La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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09 oktober 1915
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s.n. 1915, 09 Oktober. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/c53dz04f8j/
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Samedi 9 Ociobrs 1915 A N° 328 Samedi 9 Octobre 1915 LA BELGIQUE ADMINISTRATION ET REDACTION g-? TWnvntsiéfZie'-ci'tvsL-EIePhes-ÏE'ota.ffèTes, " BUREAUX : DE 9 à 17 HEURES jos. SVSORESSÉE, Directeur J'OOVtNM. QUGTIDiEIM LE NUMERO s lO CENTIMES r Petites annonces, j ^ . ia ligiiô, ff. OaQ | Réclame avant lea afi&ftcDS . — ± oo ANNONCES ( Corps du journal ..... — 4.00 | Faits divers ....... — 3.00 1 Nécrologie _ 2.00 LA GUERRE 432* jour de guerre L'offensive française en Champagne es! sortie do sa période de consolidation pour entrer dans une nouvelle phase d'action Des assaurts en masses ont été renouvelas conître do nombreux points de la ligne d< bataille entre la Suippe et l'Aisne. La dépêche de Berlin situe les plus violents de ces assauts près dyï?pine de Vede grange, puis au nord-ouest) et à l'est d$ la ferme de Navarin, puis dans le secteur de Taliure, puis au noie! et au nord-ouest de la ferme de (Beauséjour, et enfin au nord-ouest de Villo-sur-Tourbe. Les belligérants sont d'accord pour reconnaître que le village de ce nom est tombé au pouvoir des Français, qui l'ont dépassé vers le nord'. Les Français annoncent, en outre, qur'ils sont parvenus au sommet du point d'appui constitué par la butte de Tahuire. Il s-agit do la hauteur cotée 192, au nord-ouest du village. Les assaillants vont s'efforcer d'accentuer la progression qu'ils ont réalisée d'ans- la région des sources de la Dormoise, progression dont les Allemands ont dit), le 7, qu'ils avaient réussi à la localiser. Dans l'entre-tomps, Las duels d'artillerie deviennent, sut de nombreuses sections du front, de plu}? en plus fréquents et redoublent d'intensité, notamment au nord d'Arras. * * * Au cours de combats nombreux, les belligérante se sont de part et d'autre assuré certains avantages. Les Allemands ont développé l'action dei leur artillerie sur la D'wina, dans la région de Jakobstadt, et dlans le secteur de. Zargrad à 40 kilomètres au nord de Du-: nabourg*. A l'ouest de cette ville, leurs inlassables assauts ont fini par ouvrir dans les positions de la défense une brèche assez ii-otable. Au sud, dans la région du lac de Dryswjaty, ce sont les Allemands qui continuent à mener le combat. Par contre, depuis la Disna jusqu'à la Wilcjka, les Eusses soutiennent leur pffens',i.vel : cille : leur a valu certains résultats locaux. Bntré la Wilejka et le Pripefc, c'est le 6fcat?u quo. Près du confluent du Pripcb et do la Sfcachod, les alentours du village de. Pozog sont- le théâtre de combats assez ,opi-niairc^. I/offensive y appartient pour le moment aiux Allemands. Plus au sridi-csl), un retour offensif des Russes a ramené sur la Styr moyenne le théâtre des./hostilités qui s'était étendu jusqu'au Kormin inférieur. La lutte se poursuit maintenant d'ans les secteurs do Czartorysk et do Kolki, avec d'as alternatives variables. A mi-chemin de Luzk et do Rowno, les Russes oontre-attaquent sur la Pultilowka et an nord do Duono, de même que dans les _ environs de Kremenez sur l'Ikwa supérieure. En Galicie, les adversaires restent mactifs. Enfin, sur la frontière de la Bessarabie, les Autrichiens annoncent; qu'ils ant repoussé plusieurs attaques russes. * * * Ijcs nouYolles qui parviennent du front austro-italien, ainsi que celles dos Dardanelles, continuent à offrir peu d'infc'rft. F.n revanche, après une trêve de neuf mais lo théâtre db_ la guerre dans les Balkans se réimpose à l'attentien. Le passade, de la Drina, de la Save et du Dann!)c par^Ttes' t TOLipcs aivs£r<;-Tillèmandès' apparaît SSf effet, I ïoiume le début d'une nouvelle offensive feé-;f| lérale eiiSrepriso contre 1e pays du fcu,r Pierre. Jja première invasion autrichienne s'était! .'ff1 ;ctuéo par la Mafechwa, contrée monm-l • ■■nense comprise entre la Drina et la sjfre'i ont au nord-ouesb de la. Smbii-. Apipuyés ,ar lëârs alïiés, les AustioJIoug'rois atta-[uent cette fois la frontière sert» à l'ouest t au nord, sur a!Mienrs...eeiilajaesL rU-, l.-Hn. ûèlres de front. Les puissances centrales eu-îeïïT "R'aii'.ï dotite' obliger do la sorte leur dvorsaire à une dissémination désavantu»-euse de ses ressources militaires," compai-ativement restreintes et très éprouvées par , no longue période do guerre. Malgré la I «organisation do leur armée, qu'ils ont eu I 3 temps d'accomplir depuis janvier der-ier, et en dépit, de leur endurance rranar-uable, il n'est pas contestable que cette issémination, si on les y contraint, mettra ; es Serbes dans une situation difficile. Leur era-t-il possible de résister efficacement. < i eux seuls à l'effort principal des Aus-îo-Allemands, alors qu'ils auront, d'autre . 80 Itjoccapar' des précautions mili-aires a prendre contre la Bulgarie 1 Car il s pus douteux que les Bulgares se sont aul puissance!? cen- 'H llt l1® '} attendent que le moment ' : mr&isÀ mLlrzX'JL*110 étà ' Allemands ont fait de passer à tavraisolV'' errnoire pour aller, d'accord avec ' ;ane, donner la.main à leurs alli& wf il Constantinople, le succès ae lcn,„ ™ln* fl fl pourrait être mis en douto. C'est 1 uoi les jwàMnçeg de l'Entente ont iSLî Latemeut décidé d'entraver ~Là i œîUomands vers l'est, en cn™±U u-deyant d'eux nn eorgs evpétlitionnaira, uî dos maintenant est prêt à dSbfliTiii&.-s iloniqae. ——■——— A-f^t égard, la chute récente du cabinet a enflas donne à réfléchir. On ne sait en- d )re à l'heure actuelle, si ce débarquement, c effectue ou s'il s'effectuera avec ou sans""a assentiment^ la Grèce, doiiTTa^feV'J lrois_Jij:||otUc-ses se .présentent, r Pmtuèro hypothèse : Les'"Grecs consen- l nt de bonne grâce au débarquement. En l ; cas, il est possible à l'expédition du gé- t ;ral Sarrail de se i>orter par la vallée s Vardar au secours des Sei'lies et d'aller t tter à leurs oôtés, h tnoins qui'entre- ûI>ft ^ Bulgares ne viennent leur barrer ? route. £ OçiijaàaKï hypotlièse : Kon seulement la [ consent au passage des Alliés, mais cnle de coopérer à l'action du corps ex- t tiitiannaire. Inutile d'insister sut l'avan- v ^ui en résulterait pour oelui-oi au. A , point de vue de l'accomplissement de sa • mission. Troisième hypothèse enfin : Les Grecs ; s'opposeût par la force au débarquement. Cette opposition rendrait pour ainsi dira i pratiquement irréalisable la mission du jcorps expéditionnaire. î D'aut-res Jaet(iui^, ^aiâora — et) non des Vnoinllfés — interviennent dans l'apprécia^-non de la situation militaire dans les !Bal-ians. Une intervention possible de$ ré-^erves. turaues destinées à la défense des ueinàndo à Être retenue, maintenant que, selon certaines indications, les Jlliés vont s'occuper avant tout de porter ^cours à la Serbie et ralentiront par suite leurs entreprises contre la presqu'île de pallipoli. 't iEnfin, l'intervention de la Roumanie dans J?un ou l'autre sens aurait un'^^p^'l^i^^ffîîrme. Il est vrai que jusqu'ici les Roumains paraissent surtout préocoupés de laisser aux autres le soin de tirer les marrons du feu à leur profit. Le système leur ^ a fort réussi1 lors de la guerre balkaniqiiïO de 1^12-1913 : ils semblent croire qu'une nouvelle application .en aurait un succès pareil. \ 9 r DANS LES BALKANS Londres, 7 octobre : L'Agence llcutor ajunonce que ïes membres du nouveau Cabinet grec sont : MM. Za'-mis, "^èsideniCe et affaires ôtirangùres ; Gu-naris, inbériqur;^ Yamikitsas, guei'ne; Kunf dur lotis, marine; Dragumis, finances j'ThoDf tokds, commerce eft insta-uction pubUàqueii îihallis, justice et chemins do fer. Lo por-tofefijj'file da la guerre changera pe-uti être dé titulaire. Le nouveiu; Ca.binet se pr&enfcerâ à la Chambre limdi prochain, Paris, 7 octobre : Uambassadeur grec à Paris a transmis au g'ouvernement' fran^is une' nouvelle et ^énergique , note de protestation contre le dér-bar^umi^f^3e alliées "a" Sâlonique.' Londres, S octobre : I/O ,,Times", lo ,,M*orning Post'% îc ,,Daily News" et le ,,Daily 'Chronic1e,;' s'occupent de la question grecque et sont unanimement d'avis que'ïa sèulé façaon de niettre rapidement fin à une situation insup-portable, consiste à renforcer le . plus, pos- h i^lblo__les. troupes débarquées à Saloniquo et- j "à les soutenir "par une puissante escadre. | -Lçr-.^nres54 et le ,.Morning Post" insis-fesit, en outre, pour que l'on exige du roi do iGrècq qu'il fasse connaître licitement ses intentions. Sofia, 7 octobre : L'Agence télégraphique bulgare apprend de Nisch que, lundi, l'ordonnance do l'attaché militaire de la légation bulgare a été attaqué et grièvement blessé par des agents de police serbes. Cet incident, lorsqu'il a été connu à Sofia, a provoqué une explosion do colère. , $blogne, 7 octobre : Jfpn maiide de Vienne à la ,,Gazette dâ /ologne" : / Lo texte de la réponse de la Biilgario à| « l'ultimatum russe n'est pas en^f^if^inu. ï1 IToutefois, on affirme qu'en termes très 1^ lignes, elle repousse l'affirmation russe — S Qu'elle appelle^unS1 m? la- I Irjuelie des officiers allemands et austro-lion- f ferois se trouveraient dans les rangs de / ; l'armée bulgare ^ elle refuse de romprsr j fbs relations aveeles puissances'*centrales. PétrogTad, 7 octobre : Lo ,, Courrier de la T3ourse" annonce que r |archimandrite. serbe Soscow a été avisé ^ Eue la Bulgarie- a repoinssé les exigences FussSsPefr a 'én\Toyé à la Serbie un^ ultima- i tum à propos do la Macédoine. La iBul- / prie--donne à la Serbie vingt-quatre heures « ^our répondre» /f Paris, 7 octobre : Lo „Tempé" annonce que lo roi FVïrdi- . uand de Bulgarie commandera lui-même son année, avec lo général Ieko-w comme chef ^ d'état-major. ^ JBofia, 7 octobre : je Hier soir, les représentants do la Qua- \ ffi'Hj;■ '. - iCii!enie OLU.iIfm:\i}.!é lopi-s pac--?^ï)-;>; [s. \ I^e mijys're b:J.,-<ï a. /'if-r i t1 ■l'juulé £ ?es passeports^ ainsi que le ministre/serbe. & v - f n Londres, 7 Octobre : * v On nando d'Athènes au ,,Daily Telo-. r >i*aph", que les 3/5 de l'armée bulgare ont g. 5té e.uvo3rés à la, frontière serbe; lo reste le mémo du côté grec. Bucarest, 6 octobre : L'ambassadeur serbe s'est rendu auprès ^ le M. iBradianu, prési^ont du ConsrfJ, et au- t£ jrès du ministre des affaires étrangères, ' jour leur demander do protester contre les k concentrations de troupes bulgares. Les deux jc ninistres auraient opposé une fin do non- *L •ecevoir à cette demande. e, Berlin, 7 octobre : Oa télégraphie de Chiasso au ,.Berliner c.{ jokal-Anzeiger" que, d'après un télégramme ^ ■nvoyé le 0 octobre cP Athènes au „Coriiere t [ella Sera", le dél>arquenient des troupes de . ?.j Quad'L'upIe-J^U^le, qui avait commencé ^ ier, a étc .-^ispendir1 iusqu' à ce que la si- P' ration soit ^evçrrttO plus claire. i Or - Athènes, G octobre : ? la A la suite de la crise mx lislérielle, la p< îhambro a été ajournée. ' rm - 'tasWtoSBSSK • / ° si; Athènes, 6 octobre : Le Roi a demandé ce matin leur appui ux anciens présidents du Conseil. Après ^ élibération, la constitution d'un Cabinet, de oalition, sous la présidence de M. Saimis, ce ^étô déoidée en principe. M. Veaizolos ne f0 irait pas partie de co Cabinet. Les an- et iens présidents du Conseil seront reçus de ii< Louvoau ce soir par le "Roi ; ou croit qu© bs détails de la formation du nouveau Oa~ ânet seront réglés au cours de cet eutro-ien.L'ambassadeur anglais a été re;.u. au jour- in t'hui longuement par le Poi. rj;- La retraite absolument inattendue de I. Venizelos a consterné ses partisans et . surpris ses adversaires. La fidélité delà copulation au Poi a sauvé la situation. la Les ambassadeurs des puissances de rjSn- li< ente ont fait _ hier, tard dans la soirée, une vi isito aii ministère dos affaires étrangères, de I, Y enizelos étant absev^j ils ont. été recus-1 de | par le chef du département politique. On I garde lo secret quant au but de leur visite. Rome, 6 octobre : On croit que la défenso des îatérêts des sujets italiens on Bulgarie sera confiée aq,. ministre des Pays-Bas. Home, 7 octobre : L'Agence Stefani annonce que le gou-l vernemonfc italien a fait remettre ses passeports au ministre de Bulgarie à Borne. Sofia, 7 octobre : . Les not^steUles qui annoncent un accord antre la Bulgarie et la Grèce sont p'rém'a-titesV 'La '"Bulgarie n'a pas négocié avec la Grèce concernant la cession des districts do Gewlegi et de Doiran, qui sont actuellement serbes, et elle n'a rien convenu avec la Grèce concernant la configuration future de la péninsule. D'autre part, le gouvernement bulgare ne pourra pas consentir de priuue-abord à un partage de la Macédoine. Malgré ces difficultés, il est certain aujourd'hui que la Bulgario et La Grèce, pour maintenir leurs bonnes relations, ne discuteront pas, en cas d'occupation de la Macédoine, la question do Gewlegi et de Doiran ; soir règlement définitif est réservé jusqu'à Ea paix. On considère comme probable qu'avec dos vues un peu larges, on trouvera en IBul- " garie et on. -Gr^ce une baâo~dJmtente. Athènes, 7 octobre : . . . -Au sujet de la dSînl-sion de M. VeniaalQg, on apprend que le" î^î^^iraTT dSma'ndc à l'ancien président du Conseil do ne pas se contenter de protester contre la violation, de la neutralité grecque par l'Entente. 1x3 Roi aurait encore voulu que M. Venizelos déclarât que la Grèce était fermement résolue à défendre sa neutralité, même par les. armes. M. Venizolos se serait relus# à faire cette déclaration. Baie, 8 octobre : Une dépêche privée do Milan dit que le gouvernement serbe a pris toutes les mesures pour transférer' la Scoupschtma, les banques et les principales administrations à Pristina. Sofia, -8 octobre : Le" personnel bulgare a pris possession de la ligne Mustapha-Pacha-Dedeagateh. T.o trafic ferré bnlgare comjnencera incessamment.Paris, 8 octobre : La légation serbe annonce que le ministre de Serbie à Par?*, M. Wesnitsch, en présence do la situation présente, ne son go pas à abandoimer son poste. (Bucarest, lo s octobre : Le service do chemin de fer interrompu antre la Bulgario et la Roumanie a' été ré-iabli. SURJV1ER Amsterdam, 7 octobre : La Société hollandaise 'de. navigation a •té avisée que le vapeur ,,TexelstroomJ5 1,602 tonnes brutes) a coulé près de Shor-îcss. L'équipage do 28 hommes a été sauvé. Dn croit que le vapeur a touché une mine. Londros, 7 octobre : i Lo vapeur ,, Agami an", de la Compagnio 3'ilarman, a été coulé. Vingt hommes de ! ''équipage ont été. sauvés. i DÉPÊCHES DIVERSES s . "Ivondres, 7 octobre : £ Sir Archibald Muxray a été nommé chef i u %rand état-major de l'armée britannique. < on '.quartier général fixé à Londres. 1 * * * ( Pans, 7 octobre : * Le ministère des finances annonce officieL ïment que las pourparlers entre M. Ba-rk ^ fc M. Ri bot ont amené un accord complet 1 tir toutes les Questions qui ont été dis- : atées. J * ' a ' Haarlem, 7 octobre Il y a un an, deux miiie réfugiés ; belges _ rrivaient à Haarlem. Ceyx qui séjournant g ncOro actanellemoat dans la ville ont offert '[ u 'Comité des réfugiés un objet d'art, cou- a ra du "sculpteur belge A.-IL Bellens. Elle ç jprésente une infirmière do la Croix-Bouge n îcourant un blessé. - 3 * * « La Haye, 7 octobre : Lo directeur général des postes et télé-/ caphes hollandais que, d-'après^ a avis de j^ÉHfmistraOnn^es ■nniqui^^^ billpm ;écr banque felgefjnp îuvenU^ctre "InÉroduifë" ' e-ïi A'h^lètêrrA--er en" h •lande Uq,ue "clàiis dc§"*lsttrç^ 'cfô'rX la, va-, i- Les Riraient l>'= cpéd'iés i>ar un autre moyen ou ostiix qui l' raient expédiés, môme comme valeur dé- t; arée, dans un but spéculatif, seront con- s: squés à l'arrivée. ti » * «s r< Jrenève, 7 octobre : l' ftepuis le 1er octobre, l'entrée des étran- cl |'s en Suisse, qui jusqu'alors était absolu- f; »it libre, est soumise à de sérieuses res- i' ictions. Toute personne se p-ésentant à frontière doit être munie soiîi d'un passe- g' >rù délivré par lo pays d'origine et per- rf attant d'y rentrer si elle accomplie un o( nplo voyage cF affaires ou d; agrément, ti it des documents authentiques nécessaiies obtenir le permis d'établissement si elle to sire prolonger son séjour. df Quiconque se présenterait sans remplir 3 conditions serait impitoyablement renié. Exception est faite pour les expulsés ci les réfugiés politiques, auxquels la Suisse se ait à honneur de conserver un droit tr asile. qi « * * !>» Copenhague, 7 octobre : n Le gouvernement a publié hier un décret se berdisant la vente à l'étranger de navires h« nois. 01 . * • H1 La Haye, 7 octobre : lé La récolta des pommes de terre en Iîol- m nde est inférieure, cet'ie amiée, de 8 mil- m ins d'hectolitres à celle de 1914. Ixi réou- le rturo des frontières pour l'exportation "i 3 pommes de terre rencontrera sans doute & s difficultés., l'J Washington, 7 octobre : On annonce les fiançailles du président Wilson avec Mme Norman Golt. Le mariage aura lieu dans le oourant de dé- •> —. - gu Cà b les utiq u <w ^cant la guerre, les câblogrammes d'Europe aux Etats-Unis passaient en Allemagne, do Ëmden à New-York, par les Aço-res ; en Franco, do Brest à New-York; en Angleterre, par Valence, iBallinskelligs-Bay, Waterville et Portheurno. Des 162,223 câblogrammes expédiés à New-York en 1913, 78 % partaient par les câbles anglais, 2 % par le câble français, et 20 % par le câble allemand. Dès le début des hostilités, soit le 5 aoiH 1914, lo câble allemand fut coupé par la flotte anglaise. Les autres câbles sont restes on exploitation, sous le contrôle de l'Angleterre. Virtuellement tous les télégrammes envoyés pat la Hollande et les pays Scandinaves doivent passer par la censure anglaise, les communications télégraphiques avec lo câble français à Brest étant rendues impossibles par l'occupation do la Belgique. D'autre part, la Franco no transmet aucun câblogrammo qui emprunte les lignes allemandes, autrichiennes ou hongroises. Pour los particuliers qui désirent ne pas se soumettre à la censure anglaise, la ligne A lia ïiagne-Daneaiark-Suède-Rus sie-Changhaï-Manille-Guam-San-Francisco reste ouverte. La transmission des télégrammes- revient évidemment plus cher. Alors que le câblogrammo do Londres à Now-York no revient qu'à fr. 1.25 par mot, le tarif par la voie do 'San-Francisco marque fr. 9.75 par mot. L'Allemagne, cependant, est en communication journalière avec los Etafcs-Uais, grâce aux deux station# de télégraphie sans fii do Eilvese (Hanovre) -Tuokerton (Etats-Dnis et Nauen (Berlin)-Sayville (Etals-Unis). Ce service fonctionna si rapidement que les discours historiques, prononcés au Reicbs-tag par lo chancelier va 1 Bethmann, étaient en grande partie déjà transmis à Say vil le quand l'orateur finissait son harangue. , On sait que les Etats -Scandinaves, pour so débarrasser de la tutelle anglaise,, ont décidé d'immerger un nouveau câble transat; antique qui. partirait du Danemark pour aboutir à Long-Island. Toutefois, comme ces câbles absorbent une énorme quantité do f'J'l de cuivre et do caoutchouc, dont les disponibilités sont plutôt rares, en ce mo-f tne.at, il o?t à prévoir que l'exécution du projet .subira quelque retard. Les Grenades à Main Ces engins, dont il est fait une si grande eoi?,sommation dans los tranchées, sont vieilles 3-oinmo lo monde. Déjà en 1427, l'Y.'incisco Si'orza èm))Hqyait des bouteilles remplies de poudre) que skb soldats tançaient sur les issaillants du haut dos murs de Casalmag-?iere, siu' lo Pô. Baptista délia Valle déjà décrit cet engin ians son ouvrage paru à Venise en 152.1-. iin HaUande, un comte de Nassau inventa lUio grenade à main dont les troupes tarent usage lors du siège de Broda. Dans son ruvrage ,,Ars magna artillerie", le g'néral polonais Sieminowicz décrit très minutieusement cet engin et nous apprend qu'on lui lonne ce nom do grenade à cause do sa Ressemblance avec le fruit du grenadier. Dès 16S5, chaque régiment comptait une :ompagnio do grenadiers, chargés de lancer os grenades. A la fin du XYïIe si'x^le, on rouve des grenadiers dans les armées prus-ïiennio, _ aufcricîiâenno et française. iJHiis XIV i-djoignit à chaque régiment une compagnie le cetto arme. A mesure que l'artiill/arie se )ei-fectiohna la grenade tomba en désuétude t lo nom de grenadiers fut donné auix roupes d'élite. Le XIXo 6ièole vit renaitre la vogue de a grenade. On l'employa au siège de Sa- ' agos^o (1SOS-1&39), au si?ge d'Anvers (18"2L u siège do SébastopoU (1854). Les Améri-•aius en firent un grand visage lors de la ;uorre de Sécession (186&-1SS4), de mêm© ;ue kis Anglais au Soudan (l88£). A chaque nouvelle apparition, l'arme était ei^ccïionnéc, rendue plus meurtrière,, et* l'on ait les ravages qu'elle occasionna lors de 1 guûrro russo-japonaise. Depuis, toutes les 1 rmées en sont pourvues et l'on peut dire u'à ,cotte heure la vieille grenade a. voi.v u chapitre au de 2, lo canon^^''75 court et la pièce de , Les Belges en Hollandg /1 Une "^^é^oefge ^cPart^omestiqne en Hol-bndo vient d'être constituée à La Haye, irigéo par un comité de huit, dames, elle ! >t placée sous la. présidence d'honneur de l princesse Albert de Ligne. Lo but de j œuvre est de donner un enseignement- pro- l que aux dames et jeunes filles qui dé-rent développer leurs dispositions artis- ( r]U'es pour les arts du foyer. Mes pour- \ mt ainsi porter à une véritable perfection \ ait de ces menus objets qui font le 1 larme d'un intérieur bien compris. Que de 1 .roaisio n'y a-t-il pas à faire valoir dans (_ irab«squé d'un paravent, dans l'ornenien-tion d'un abat-jour, dans lo capricieux lillocliis dp un store en dentelle ? Et les images et entrelacs, les grandes tachas de mleur, tantôt éclatantes et riches, tantôt îdes et charmeuses, - à semer sur les cousus, tentures, tapis de table, étoffes de ut genre, que de ressources n'y art-il pas tns tout cela pour nourrir cet amour ,2 >ur ]a chose belle cîe couleur 1 Mais il y a un second but : dans les 6 ^constances malheureuses que nous traver- ^ ms, il arrive que des dames songent à cuver quelques ressources dans les talents a l'elles ne développa ient jusquei-ià que rar leur agrénuent. Elles sont toc décou- 5 .gées quand elles comparent le prix déri- c ■ire qu'elles en reçoivent aux longues n aires do travail patient que leurs travaux " Lt coûté. Il en sera toujours ainsi tant t'on offrira en vente une œuvre d'art iso- ^ 3, quelle qu'elle soit. L'école espère re- ^ édier à cette situation en entreprenant elle- ti âme la mise en valeur des travaux que h y élèves y auront produits, soit en orga- 1< sanfc des expositions, soit en concluant s accords avec les principales maisons do d ndnstrio de luxe* ^ COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués allemands Berlin, S octobre. — Oîficiel de midi : Tîléâtre d^e la guerre à l'Ouest. En Champagne, après les vaines tenta' tives do l'ennemi de forcer notre front ie< ô et 6 octobre, la journée d'hier a éta rela tivement calme. A l est de la ferme de Navarin, nous avons dans la matinée, contre-attaqué et repris u morceau de tranchée où les Français éta-ien' parvenus à pe maintenir; nous avons à cette occasion capturré quelques prisonniers e 2 mitrailleuses. Vers la soirée, la canonnade ennemie a de nouveau augmenté d'intensité, i^ans l'après-midi, l'infanterie a âttax^ruô ù quelques endroits-; xmrtout elle a été re-poussée.Ntaus avons assailli avec succès une posi-: tion ennemie qui faisait saillie au sud i de Sainte-Marie-à-Py et avons fait prisonniers 6 officiers et 250 soldats. A l'est de l'Argon ne, près do Malin-oourt, nous avons fait sauter des fourneaux de mines et détruit ainsi pluskyars sapes ennemies. Théâtre de la guerre à l'Est. Armées du maréchal von Ilindenburg : Au nord deKosjany et au sud du lac de Wisznie'w)» nous avons repoussé des attaques russes. Armées du maréchal prince Léopold. de Bavière : La situation n'a pas changé. Armées du général von Linsingen : Près do Newel et d'Omyt (au sud-ouest de Pinsk), nous avons chassé des postes avancés de l'ennemi. Au nord-ouest de Czartorysk, notre offensive progressé. l^es troupesi allemandes de l'armée du général comte Bothmer ont repoussé plu- Le passage ' de,.la Druia. de la S^'e et du Daiiiibe continue dans des condit'ions favorables.'" £u sud-ouest' 'de Belgrade,' nous avo'iî? capturé 4 officiers, 296 soldats et 2 mitrailleuses. En face de Ram, après avoir livré combat, nous nous sommes emparés dfe 3 canons. . V. ... " • - - '* * * Vienne, 8 octobre. — Officiel d'hier : , Front russe. A la frontière de Bessarabie et près de Krzcraiesaieo en .Volhynie, nous avons repoussé plusieurs attaques des Russes. Siu-ie restant du front do la Galicie orientale ec sur l'Ikwa, lo calme a régné. Au nord de Dubno et sur la Putilowka, de gros effectifs ont attaqué à de nombreux endroits sans ménager leurs munitions. Partout, ils ont été repoussés avec do Portes pertes. Par end'roits, les combats ont abouti à des corps à corps acharnés, entre autres près d'Olvka, où la division do Liiz a résisté avec son sang-froid habituel. Huit cents soldats et plusieurs officiers lusses ont été faits prisonniers. Au nord-est de Kolki, des deux côtés de la voie ferréo do Sarny à Kowel, l'ennemi a pris pied sur la rive occidentale du Styr à quelques endroits. . Des forces austro-hongroises et allemandes çontre-attaquènt a\eo succès. Le villago do Kulikowico sur le ?'tyr a été conquis par des bataillons airihro-hon-groi.% malgré une défenso acharnée ; l'ennemi a laissé 2-00 prisonniers en notre pouvoir.Près de Çzartorysk, des forces alleman-ies ont chassé l'ennemi de ses positions. Dans lo secteur de la Szczara supérieure, L'ion do nouveau. Front italien. Sur le front du sud-ouest-, il n'y a eti [lier que les duels d'artiillerie liabituels. L'ennemi n'a essayé d'attaquer que près de lietsanp, dans la partie noed du plateau lo Doberdo. Les détachcr.nents d'un régi-nent italien do milice mobilo qui ont-voulu progresser, ont complètement échoué. Reniant la nuit, nos troupes ont rejeté l'ènne-ni di delà de ses position^ d'avant-poste. Front du Sud-Est. Des forces austro-hongroises et allemandes ont forcé hier à de » nombreux endroits lo passage do la Save et du Danube, entre 'ombouc-hure de la Drina et la Porte de ^er. Les avant-gardos serves ont été re-youssée».« t »r * ConStantinople, 7 octobre. — Officiel du jrand quartier général : Sur lo front des Dardanelles, rien d'im-)ortant ne s'est passé, en dehors du feu labituel et réciproque à certains endroits. Trois torpilleurs ennemis se sont appro-hés de l'embouchure du Krerwis-Dere et ont ►ombardé notre aile ga,ucho ; le coiïtre-boin-rardement de nos batteries établies sur la ive asiatique a provoqué un incendie à ord d'un des torpilleurs ; ils se sont alors dus éloignés. Pour le reste, rien de nouveau. C®^a^fiuîiiqué3 des armées alliées Paris, 7 octobre. — Officiel de 15 heures : L'e'jnemi a violemment bombardé, au ours cÈe la nuit, notre front- au nord de i Soarpe. ïl a tenté quatre coutre-attaques uccessives contee les posîfîons "' rifcemmèrit ' ooquises par nous dans les bois, à l'ouest u chemin de fer do Souciiez à Angres. Il . été complètement repoussé. ^omoîîfffifiWàlfr» -tt. 'î'éciproa u 0 au Ltd dei 'la Somme, da-ns les secteurs d/Ande-iy, d'Aucoui-t, Ca^ny-sur-Matz;, ainsi qu'au ord do l'Aisne, dans la région de Tracy-i-Val et du Bois Saint-Mard. En Champagne, l'ennemi a prononcé, en n "des retours ôffen^fs opiniâ- •es par lignes snccessi vos coiifre lés posi-ôns qu'il venait de perdre au noi-d de Taure. 11 a partout échoué, subissant de mixtes pertes. - Aux Enarges, nous' avons fait explose# aux înirieC qui ont séiieuseanent e.idomma-é les ouvrages ennemis» Canonnade violente de part et d'autre entre la Meuse et la Moselle, au nord de Flirey. Ea^JLojX&ine, une forte reconnaissance ennemie a tenté d'aborder nos trancliees dans la région - d'Athieaviile. Elle a été arrêtée , par nos réseaux do fils do i'er; et- repoussée . par nos tirs do barrages et nos feux d infanterie.* * « ; Pans, 7 octobre. — Officiel de 23 heures: ; 'Bombardement violent et réciproque aux environs—de Nionport,-damj le secteur Hel • Sas-Sfoflflfit,Bftete» Même activité d'artillerio do part et d'autre en Artois. Nous avons légèrement pro-, grosse au suïï do Thélus, près de la route d'Arras à Lille. Un coup de main tenté par l'ennemi sur un do nos postes avancés près de JPopiiicoiiit, au sud de Roye, a complètement écïoué. Sp.y. l^Aisnc, nos batteries ont provoqué pâr leur feu deux très violentes explosions dans les lignes_ ennemies dans la région do JuVincourt et incendié la gare do Gui^ni-eofirt.En Champagne, l'ennemi a prononcé, au cottts -dtr^in journée, dxiux c 0 n t r ci-atiaq u es contre nos positions à l'ouest de'la Fermo Navarin. Elles ont été toutes deux repous-soes avec des pertes sérieuses pour l'en-uemi.Combats à coups do bombes et de grena-des AçgPwic, à la Fille-Moite et à la Haute- Chevauchée. L'ennemi a dirigé, en différents points du front de.L^^lne, notamment près d'Arra-courf, cTe Bures, âu nord de Reillon et au nord-est de Badonvillers, une forte canonnade à laquelle nous avons riposté. 7Qsges, nous avons dispersé unelorte reconmiissance ennemie Passant à I 'attaque contre im de nos postes à l'est de la vallée do Sondemach. Un dre nos avions a mitraillé cette après-1 mi<!i, on ^ Champagne, un^ ballon .Jcaptiè' oa- I ISn^ ClUÎ '^fr£n lés I ° ^ " •-,% / Pétrograd, G octobre. — Officiel dit grand état-major général : > Dans la région do Jakobstadt, la canon-|nade habituelle a repris. Au sud-est de rcettio ville, l'ennemi bombarde la région cio Zargradj au/ sud de Inwenhof, sur h, Dwina. Dans le secteur de Dwinsk, duel d'artillerie ininterromjru. Au sud de Postawy, nous avons ^ rejeté l'ouneani hors1 de ses tranchees près de l'ouvrage avancé de Sa-gatsch. Sur le front situé entre le lac de N'arocz et le lac de Wiszniow, nous avons encore^ refoulé l'ennemi. En poursuivant no-tro adversaire dans la région située au sud-ouest du lac de Wiszniew, nos troupes ont pris les villages d'Abramoswsz, de Bo-rowy Mlyn et do Minki. De Smorgon au Pripe-t, pas do modification essentielle. Près du confluent de la Stochod, l'ennemi a de nouveau tenté do s'emparer du village de Pozog, en attaquant sous la protection d'un- feu d'artillerie concentré. Nous avons repoussé cet&e attaqué. An sud-ouest de Czartorysk, l'ennemi a été refoulé sur le village de Notafeiolki ; il a laissé entre nos mains environ 150 prisonniers et une mitrailleuse. ^ A l'est de Kolki, près des villages de Krasnowola et do Koszys2»ze, nous avons eu -dos renconti-es avec l'ennemi qui avançait vers l'est. * Pétrograd, 6 octobre. — Officiel do l'état-major de l'armée du Caucase : Dans la région côt-ièro de la mer N'oire, il ne s'est livré que des combats d'avant-postes au sud-ouest do Kopa. I-e 14 octobre, au sudî-est du lac de Tor-toum, sur le front srtu/é entre les villages de Kegik et d'Ardost et au nord-ouest de Korossan, los Turcs, profitant de l'obscurité, ont tenté d'avancer. Ils ont été arrêtés par notre feu. Au sud de Korossan, combats d'avant-postes près du village de Ivourfa. Dépêches Diverses Paris, 8 octobre : La Chambre a adopté jeudi.à l'unanimité l'emprunt anglo-français de 2 1/2 milliards qui a été conolu aux Etats-Unis. M. Ribot, ministre des finances, a déclaré que la conclusion de cet emprunt a été vivement approuvée par l'opinion publique. Les nouvelles ressources ainsi crdéos serviront à payer les achats faits en Amérique et' à améliorer lo cours du ehange. ♦ v * La Haye, 8 octobre : L'exportation de fèves, de choux, d'oignons, de choux raves et de betteraves rouf ges a été interdite. * * * La Haye, 7 octobre : Le gouvernement allemand ayant, reconnu que le vapeur néerlandais „Kahvijk" avait été coulé, le 14 avril dernier, par un sous-tnarin allemand, l'Allemagne et- la Hollande ont décidé do commun accord de faire établir les dommages-intérêts par experts. Le travail de ceux-ci étant terminé, l'indemnité fixée pour la perte du navire a été versée aux armateurs Hardte Dekker, à Rotterdam. La cargaison du ,,KaS\vijk" appartenant au gouvernement néerlandais1, sa valeur a été réglée sur la base fournie par les documents. ^ « Niow-York, 7 octobre : Lo lancement du ,,M.-I.", lo plus grand sous^marin existant, a eu lieu aveo un plein succès. Ce srvis-marin a environ 80 mètres de long et pourra^, immergé, atteindre la vitesse de 16 noeuds. Il porte quatre tubeâ lance-torpilles et un canon do trois pouces, monté sur le pont d'avant. n est équipé avec un moteur à l'huile lourde qui lui donnera un rayon d'action dei près de 2,500 milles marins. Avec des bases de ravitaillement, ce rayon pourra vtre sensiblement augmenté. II est pourvu de trois périscopes et la coque est construite do fg#on à rendre* l'ôpfjronn^ge inefficace.

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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