La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

1802 0
17 oktober 1916
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s.n. 1916, 17 Oktober. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 21 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/n00zp3xd8w/
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LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS jmois (oct., nov., dés.), fr. 6.93 | 2 mois (oct., nov.), 4.60 | 1 mois (oot.), 2.30 Les demandes d'abonnement sont reçues EXCLUSIVEMENT lux guichets dos bureaux do pesta. ADMINISTRATION ET RÉDACTION 31, Montaffne-^iVK-lŒerbes-F^o'èaff&res, 23JRZT^OSLiL»E3 BUREAUX : DE © à 17 HEURES Jos. MORESSÉE., Directeur 1 PRIX DES ANNONCES j Petites annonces . . • a : i la ligne, fr. 0.50 Exclame avant les arinoiii'e9 . . — 1.25 Corps du journal .,...« — 5.00 Faits divers ........ 3.75 Neorologia ......... « 2.50 Coin doi Kleveura. . . < . « » 1.00 awwawi—a—w ■■■ ■■■■iK—uwutfnKMi LA GUERRE 806' jour de guerre Les opérations languissent entre l'Ancre •t la comme, tandis qu^ la lutte so poursuit, fort active, au sud1 du fleuve, Le lopg do la ligne Ba.tleux-'ChauLues et purdcunio rameui dans le secteur d' Abluancouxt. Au jicrd-est do ce village, dont ils occupent la partie nord, les Français se sont emparés, après des combats opiuLâtres, du hameau el de la sucrerie de Genennont. ♦ * * Les Busses esquissent, en Voilhyuie cb en Gaiicie, un nouveau mouvement «X'ensaf qui intéresse les secteurs habituellement cites : ceux à l'ouest de Luck, à l'ouest do Brody et sur le Nara.ov/ka. Dans les Carpathes, la coupe du Smotrec, qui a déjà plusieurs fois changé do mains, do nouveau au pouvoir des Austro-Allemands.* * * La situation est restée approximativement la même eu Transylvanie et le long du front maoMoniea. EKo n'a pas changé d|i tout dans la Dobroadscha# Dans Arras Extrait du ,,Journal", de Pans : — Devant un étal, où de» choux..» dès tomates, des salades et tics melons, 6avou-reuK et frais, sont: offerts en vente, se trouvent quelques femmes, le panier au aras, occupées à jaser, l'e temps à autre,' un coup do canon, particulièrement ref^n-dssanï — car on bombarde la ville dP tout près — interrompt la conversa [ion. Le silence rétabli, chacune reprend sa causale avec le même calme que. s il s agissait simplement du passage de quelque grosso auto co transport. Des 25,000 personnes habitant Arras avant la guerro, 1,000 se sont refusées à abandonner leurs foyers et elles oonilnucnt à vivre comme si de rien n'était, à part le boraoardttnoait quotidien'. L'antique cité four-ait la meilleure justification du vieux dicton : «On- se fait à tout." Les promit::es émotions passées, chacun a repris ses oc-c.ita<ioii(S eoutumières; je nie demande nu'iue si ces gens, le jour où le lxnn'oardc-mei.t prendra Ûn déïmiuvement. néprou\o-coût pas la sensation qu'il leur maaquo quelque chose. — Eii ! bien, madame», demandai-jo à une passante dont l'extérieur paisible mo frappa d'autant julus que je savais que In. propreté devant sa maison-, venait d'être com-11 tjj.non-t démoÊia par 'es bombes, n'ttcs-vous pas dans les transes, chaque jour, lorsqu'on vous bombarde de la sorts " — Non pas, fit-e le, nous nous disons simplement : Ecoutez, cela recommence. F,t quand le feu devient trop violent —derniè-remoiHû ils nous ont envoyé 305 bombes — nous passons dans les caves. Ne desjroz.-vous pis voir mon refuge ?" Do La rue, nous descendîmes les vingt m unies d'un escalier roid^. pour arriver dans une sorto do souterrain uniquement éclairé et aérâ par la porte sous 1 escalier. La fauiillo se tenait là. Le sol était pavé da brigue?. Maiii4'e3ttement le mobilier avait é:é rassemblé à la hâte : une table couverte do cotonnelto, une couple de chaises ordinaire®, un fauteuil en osier et une graindo armoire en noyer. Au muir, une cage avec un canari qui, pensif, contemplait un chat noir, ronronna titl sur un coussin. Au fond de la place, deux lits et, dans un codn, une poêle rissolant sur un réchaud à pétrole. Là vivaient .maintenant :s braves boiu*geois qu'on se re, résente raifc mieux, confortablement installes, dans Mn appartement bien éclairé. Mais ils acceptent! la situation actuelle vcc une résignation digne d?envie. — Vous ne poun iez croire, me dit la femme, avec un sérieux parfait, combien la bière reste fraichp dans ce; te place." Armée d'une bougie elle me précéda, par une étroite ouveituro cachée derrière un rideau, dans un passago souterrain), profond ûti large de trois mètres, encavé dans la couche de grès tendre sur laquelle Arras est bfi'i. Ure foule do ces chemins, sYteru. danfc :\ des kilomètres do distance, ont ét^ creus s sous la ville. On se croirait dans les catacombes. On m'a raconté que ces coi;loirs dataient des Espagnols, qui, des pierres extraites, construisaient leurs maisons ci, sous terre, reliaient entre eux de 'a sorte divers établissements re'i^eucç, no-taniment celui du mont Saint-Eloi, situai à six ou huit kilomètres au nord de la ville. Cas allées souterraines, profondes de 15 H; très à cciflns endroits, constituent nin ce11 ont abri contrc les bomihes. La tem. j 'raturo froide f )û y règno serait suppoi*-l.îble, ni^éGaifc l'odeur qui persiste 1\ des niilliers do _ fromages qu'on y me»t'ib sé-îlier autrefois. On me fit voir ensi»te la place obscure où, pendant les bombûrde-raents violents, on cherchait' rci'uge en iompa.^nio des voisins. — C'est icû, me dit ma ciecïone, que .ie no blottis avec mou chien qui, avant la guerre, ^ n'eut jamais prétendu entrer dans •cfcte niche. Mais, quand le bombajvîement ommença, comme si la bête avait ci mijuris a danger, elle no fit aucune di"ficiilté ]>our ne suivre. I/is autres habitionts viennent gaVment ici et, en silence, lions amendons a fin do l'orage. Quand do grisées bornas éclat ont, tout tremlle à faire pe^r. Et ^nendant je n'ai pas envie de quitter la Ule. Vor.s comprenez, c,uand on y habite epuis si longtemps !... Et puis, il y a les choses auxquelles on tienî ; ainsi ma maison, el'e n;a plus do toi fi, c'est vrai, lais ce n'en est pas moins ma maison !" » DANS LES BALKANS ; EN ROUMANIE Paris, 15 octobre : \ UAgence Iîavag apprend de Bucarest que I >j retraite des Roumains hors de la Tran- f ylvanic e*t due piiucipaiement à la supé- j loritvS numérique des troupes allemande» et r u^î!ro»-àongi'oise.s. En ce moment arrivent î d'importante renforts, qui occupent les orOtes et les cols des Carpathes. Le roi do Roumanie va prerulre pers nneJliment la direction des opérations milà'jaires. Milam, 1G octobre : Le „î>ecolo" annonce que La situation en Roumanie est désespérée. La Roumanie devra se préparer à soutenir un combat près do BiKïarest, car malgré les affirmations ôo M. Lloyd Georgq, lo secours de l'Euitente est iusnjffisamt e; est arrivé trop lird!. EN GRÈCE Parils, 14 octobre : UAgence iiavas apprend d'Athènes que les Alii'is ont. occupé les petites ilea do Leroe et de Kyriv, situées à l'entrée de l'arsenal do la marine. Len«?ro3, l;j octobre : L'Agence lieuter apprend d'Athènes que les Alliés ont occupé les forts dominant le l'irée, afin do pouvoir contrôler 1e trafic dans ce port. Salonique, 15 octobre : M. Athengenis, neveu de M. Skotiiloud'is et préfet de Saloniqiue, a démissionné et es! rentré à Athènes. Paris, 15 octobre : Les journaux apprennent de Salonique que lo premer numéro du journal Wtieiel édité par lo gouvernement provisoire contient Ui formule du serment que tous les» fonctionnaires du gouvernement provbssice doivent prOter. En m<ine temps, plusieurs séries de nouveaux timbrer-poste ont étô mi3S9 en circulation. Une de ces série* port© l'effigie de M. Venizelos, tancKs que sur les aiutres figure l'effigie du triumvirat : Yeniaelos, Counflburiotis et Danglis. L'étatd'âme de laGi'èee Trois notables grecs, partis d'Athènes au début de segpèemU'e, sont parvenus, a^rès uno foule do ditiicultés, à gagner le nord de l'Europe. Questionnés par des représentants! de la presse, ils ont consenti à consigner, par écrit, leurs impressions sur ce qui so passe dans leur patrie, si tiraillée (tans tous les sens à 1 heure présente. La Grèce étant quasi séparée du resta d'à monde par le fa't do l'interruption des conMûuaicalions télégraphiques et postales, il rv'c&t pas sa us intérêt d'être renseigné sur cet état d'àimo. Voici d'eue le résumé v o cette Êil • .c,77 . — Avant la guerre,, les sympathies d.:. la Grèce allaient incontestallement vers La France, l'Angleterre et la Puskle. Il y a quatre-vingts ans à peine que ces puissances l'ont affranchie. Ajoutez à cela le secours apporté par la Russie pendant la malheureuse campagne contre les Ottomans on 1907, l'assistance financière de la France sous la forme d'euupruntjS, la cession des îles par l'Angleterre en 1860 ; considérez que le oommerco liellénique se pratiquait surtout avec des firmes nn^laWes ot russes et. que la Grèce, en tant que nation maritime, était en quelque sorto tsa-butairo de la Grande-Bretagne ; songelz enfin à l'amitié historique entre l'Autriche et la Turquie, et vous trouverez les sentiments des Grecs amplement justifiés. Quand éclata la conflagration actuelle, le pays se divisa en deux camps. Deuat bons •tiers do la population, certainement, se rangèrent dui côté de l'Entente ; les* sympathies des autres allaient aux Puissances centrales'. Ces dispositions ont perduré pendant toute la première année do la guerre. La divergence de vues n'existait jas que dans les rangs du peuple : el e se remai> quait aussi dans les milieux dirigeants. Le Rei, complètement grec dans sa poLtvque, considérait la situation en 'soldat et, d'ac-coid en cela, paraît-il, avec son état-major, avait la conviction que les puissances do l'Entente no triompheraient pas de F Allemagne. Il bâtit là-dessus son programme politique, et n'envisageant pas uno intervention aux côtés de l'Allemagne comme désirable ou môme possible, il so prononça pour la neutralité. De Ut naquit son désaccord avec M. Venizelos, entièrement gagné à la cause do l'Entente, mais dont tous les effort» se brisèrent contre la volonté du souverain. Après l'échec des Dardanelles, le Rci redoubla son action sur lo chef du cabinet pour l'amener à une politique do stricto neutralité. Ce fut en vain. Les Alii's avaient fait miroiter aux yeux do la Grèce un accroissement considérable do territoire en Europe ot en Asie Mineure, à la condition de se joindre à eux avec ses forces do terre et do mer. Cets propositions n'obtenant pas le succès espéré, ils sollicitèrent-simplement lo concours de la flotte hellénique. Il est manifeste que si la Grèce avait consenti, elle n'eût pas tardé à- £tro entraînée tout entière dans le tourbillon. Sur ces entrefaites, 'les esprits s'étaient fortement échauffés. L'opposiûen entre lo parti du Roi et do l'année et celui do M. Venizelos allait grandissante- L'insuccès de l'Entante devant Gallipoli valut au p-o-mier ministre la perte de nombreux partisans. Puis vint l'occupation do Salonique par les Alliés, so décidant un peu tardivement à venir au secours des Serbes. Nou- < velles instances de plus en plus pressâmes, i accompagnées do menaces de blocus et de ; pressions de toute nature ; toujours san=. aucun résultat. L'opinion du Roi et do l'état-major quant aux chances douteuses de nuccès de l'action de Saloniq*o finit par 1 s'accréditer parmi la masse, el M. Véni- t aelos abandonna le pouvoir. Après l'occupation de la Serbie, lot? Allemands ot les Bulgares ayant franchi la I frontière, un revirement se fit jour. Une ?in<;tmoe d'offeisrs jrreos et quelque deux sents gendarmes crétois passèrent à l'Eu- ] ente; mais l'immense majorité de Tarmfo « >e serra autour d»> son chef. Faisons oh- f server cepend:nr qu'il serait malaisé de t Lire connuent l'annéo se comporterait, si e ilo était entraînée dans la guerro, sans i e Roi. c ^ Sans prétendre que les dispos-itfions de h 'année grecque soient absolument favora- r >1*» au\- Puissances centrales, on peut af- r iriner que les agissements de l'Entente, de p es représentants et de ses troupes n'ont ii >as peu contribué à fairo dévier les se m- c a&ies naguère ardentes à son égard. Suit li à l'apipui, une séria de fài^ d»nt l'on f explifiuo Patitiftndie d'il comrnvain^Bt du [\*o corps d'armée grec. Après que les Français eurent fait sauter le grand pont de Demir-Iîissar, le corps d'année de Cavalla se vit forcé de s'a})-provisionner par la mer ; or, les navirus grecs fuawirt arrêtes, sous prétexte q<ue les provisions étaient destinées aux Bulgares, co qui fait, que duiant des sema.ines l'armée ne s'alimenta que de léguiaes, de Kt-cines et d herbes 1 A Cavatta, un pain coûtait 8 francs, une bo.to dr adluniettcs 60 centimes. En outre, quantité d imeid^ts fâcheux se produisirent entre les solcurts grecs et le» tioupes du gcoiéial Sarrail. ..Finalement, l'Entente en arriva au geaad bleous : la Grèce se verrait forcée à démobiliser; le cabinet Skouloudis devrait dé-iaissionr«r, lo paiiement * serait dissous, des éleoferens nauveiles auraieut lieu. Quinze jours durant, le pays résista; d^s dejmanfte.5 d!c secours arrivaient par milliers do tons les paints de la province où l'on souffrait de la famkie. La Grèce dut s'incliner; M. Zaïmis, sorti victorieux du nouveau scrutin, succéda à M. Skt,uloudis. Co r»> sulfcat apaisa l'Entente, et il était plu,s que temps, car on apprit qu'une électian, d'ut-vorable à ses yeux, eût d'chaîné uue cata»-stroalie sur Athènes. Deux cents soliatii . de marine fran'y-ais se tenaient prêts à sS-vir à l'Iastitut fraiiois. On avait csceHiryté que lu roi Constantin laisserait passer le moment opportun pour céder et qu'on pourrait airft! arriver à le faire arquer et porter M. Venizelos au pouvoir. Quelques 'jours pl-s tard, l's (VstitPKtioTis plouivaient parmi le? nants fonctionnaircs répuitég Éidètes au roi. La lutte so-iii^o s envenima. Il s'avère que plus de> 30,#00 Grecs, susjr^ts de loyalisme ont étS pkoto^ayl i s par de s gens, Cretois et J-evae-tins bous, à Li soWo d\2 l'En t int 3. La rîa tion eont-.o celle-ci s est ma:i!fesfc!o dans La. (r ation Spoiitiattéo de; „Ligues de^ réservistes dont cort^iremefiti nous ne tarderons pas à ontendie parler." SURJVIER Copenhague, 15 octobre : L'équipage d'un vapeur angLais torpillé est arrivé hier à Berlevaag ( Finmarken). Les trente hommes d'équignago d'un ar_-tre vax>eur coulé par twi sous-marin, allemand ont été débarqués liier' à Vadsô. Londres, 16 octobre) : Lloyds annonce que lo sehooncr néerlan-evais ,. Auny" a écho i Son équip ée a éfc .-sauvé.Longes, 16 oetobre : IjIo . (T i annonce que lo lougxe uYmui-deni^G-i" a échoué. DÉPÊCHES^ DIVERSES Papif, 15 octobre : Mcmbra de âoLA.t-, mutilés f rampais ont o>^iimé lo <Cé«ir do r'-^ter cî,,rs 1 arnée on. y oc "Ripant 1 un oa l'autre petit empiai ré-uiunviM. UnG d-'cision so^a |juwe àe^eg.-ivl dans pou de i>ernp3. En at>oa'i:uii, k> ;;ou-vornemont imîli.airo de Paris a publié la linrte dfes ptrafeseions et des niéiica-s dtnii^ lesquels Ve® mutilas pourraient] ê^re utSis^s. Co sant notammert ceux de commis aux éc ri tan-es, inspecteur do houian^erk^ owrfon-nance, copdoimica*, forgeron, dkctjy- lo. raiphe, stiénogr'apho, ^speOfeur d'usine, sokl)Aiir et liquidateur. Les laswrii s ' t-w.varieront neuf ou dix heures par jour et t xi- cheranb uni salaire quetidien de 4 à *5 francs. * _ ♦ • Paris, 15 octioi'brc : Le ,,Teanps" amnoace que la r'calte de oet'e aniK»e sera la plus mauvaise omiomo ctepMiis deux ans. La. récoke n'aijtciodfla, suivnnt les starsstiqses o8hettelt?s, rjue 60 rai! U or s do quieîtaujx métriques au maximum, al;rs fuie les besoins de la France, y compris le ra.vatalHomeait de l'armée, s'élèvent à 86 millions do quintaux. * . « m Paris, 14 octobre : La LigiNî pour la défense des Droits l'homme tiendra, lus 1er et 2 novembre panoaliadu, une assemblée plénière à Paris. Eâ.'o dt'iliItérera sur les conditions d'une paix durable. * A 4e Parti*, 14 octobre : Le „.twacftcal" annonce que le per L ra-oical et le parti radical socialiste fion--ais ou/vriront un congrès à Paris lo 23 'octobre.* Pa^-is, 16 octobre : M. Paul i.affont, d'puté, qui pilotait un avion au-dtassus des lignes allemandc.% a été blessé, • Berne, 15 octobre : L ambassadeur d'Italie s'est rendu samedi s-uprès du pi^eident de la Confédération, helvétique et lui a exprimé les vifs regrets de son gouvernement à propos de la mort du soldat suisse, tué sur le pic des Trois Idiomes par un projectile italien. * * * Londres, 16 octobre : Un grand nombre d'avions anglo-français >nt exécuté, lo 12 octobre, une attaque lérienne sur Oberndorf; trois avions anglais no sont pas rentrés. * _ • » ESscn, 14 octobre : . I* Syndicat charbonnier rhéiian.-wwlpha-ian a é65 renoavelé lii.;r pour la pt-rjode ht 1er avril 1017 au 31 mars 1922. 4 La moustache facultative l e .,Daily Mail" annonce qre le port de a moustache, qui était jusqu'ici o'^!wi*oir ans l'armée bHtonai^ue, sera désormais icultntif. L'introdiroîitm diu servie obi ivoire eti la d-'xnofratib.itioii de 1 acm<?e n fat le résultat ont été le > raisons déter- ' liaaiutes do ceWe décision. Il y avait, en ffdfr, dans les rangs un nomlirre cor.sidérj- 1 lo d'avocats, do médecins, d'acfcTO^'hom. 1 les d'affaires pour qui la fcice sedgaieusa. ' lent rasée est en quelque sorte une enseà- ] ne. Tous ces gens avaiant fait de leur lieux pouir prendre l'aspect mojust.aeh u, m a h 1 &s tentatives avaient produit de si singu-ers résultits chez la plupart qu'on a préu ' iré leur laisser lo olroit d£ so pasj^r I„, 1< COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués des Puissances Centrales. Berliu, 10 octobre. —ôf/îci_-l de ce midi: ThéiUlre do la guerre à 1 Ouest. Daniii le secteur bat aine de la Somme, la vioîeite activité de 1 artillerie a continué de part et d autre pendant la journée. Au nord est do Gueudecoui't., au cours d'une attaqiro, les Angla.s ont pénétré dans n**rv tmrikI^o la- plus avancée sur uhe petite largeur; ils en ont été coin^i'tement rejete» par une contre-attaque. Au nia tin et au soir, les Français ont l attaqué noJ positions étatetiee à 1- o*est de ijafcUy; ils ont, été repoussas partout, au sad-o^sfi du vidage, par une vi gourous j caatre-at tique. Armées du p*ince héritier allemand : Eiii Argonne ot s or Ies,deu«x rives d'e la .^leaise* lo fan da l'ar^tieiic est de\eiuplus \ iolont à certains moments. Théâtre de la guerre à l'Est. Fr.omt du fel-imaicchal prince Léopoldde Bavière : A l'omo^t de Lucfc, dans le secteur dia Zub'lato- Zuturcy, d''éûe»sii«fkCl5 attaques, pirè-]iawies par un viole* t fou d^aitikoHe, se f.or>t oercHuiées avec do forfcas jiertes jiour ï en«emi. Bes attu.^joies panieilus ont égale-weat échoué au sud de la voie ferrie l5ro-^-1 -^emterg ot dans l'affaisscmoati de la Grabenka. &es forces ruisses considérables ont éti vainrment lancées à 1 attaque, eu éclio'ons profonds, sur la Karajcwka. entre I.iipndca-bolma et Skomorocky. A ces eadrovis^mus îivons également réussi à infliger de fortes pertes à l'ennemi. Front du général de cavalerie archiduc Charles : Dans les Carpathes, donnant de l\irtc.n-sion à lewrs succès obtenus sur ie Smotrec, des bataillons allemands oui rapoussé des e»ntro-at;';aqiics et ont fait prisonniers 3 officier» et 3S1 solda4s. Sfjtr le D. Coman, des fc-.-ou.pes lavaro'* s ont jxris d'assaut plusieairs tranchées roumaines.A l est de Kirlibaba», des attaques prononcées par des régiments austro-hongrois ont été suivies de contre attaques russes qui on-t ét j rej oassees. Le noral ie dies prisonniers fui fi à cetta occasion défasse ua millier.-Au sué-ouest de Dornn-Walra, les trou* pos alliées ont reieté l'ennemi; au delà de la valléo do la Noagi-a. Théâtre de la guerro en Transylvanie. Les combats ont continué à la frontière roumaine. Théâtre de la guerre dans les Balkans. Armées du feimaréchal von Mackensen! : La situation reste inchangée. Front macédonien. Dans le sectewr cTo {a Czerna, des deux côtés do Brod, do violoirtes attaquer, renouvelées pend-Mit la nuit j>ar d:s troupes se*l>cs sont rostres sans résultait. Près de U.runisle et au nord de la Nidze-Planiina, des attaques partielles ont été également ropoussées ; l'ennemi a subi des pertes sérieuses. * * / Vionnei, 16 octobre. — Officiel d'hier midi : Front de l'Est. Au sud die Hatezeg (Hotzingi), nos troupes, au cours do combats acharnés, S3 sont maintenues sur la crôte-lroiïbiiîre, dans toute étejiSue* Au sud et à l'est de Bra^so (ÏLronstadty, il n'y a pas eu hier de modification essentiel<c. Dans Li régi on-frontière orientale de la Trx^-lvaj^e, (in cttlivie mnintenant de la. présonco de l'ennemi d'étooites bandes de ien~-i i t'oins les montages de Gy^rg^ô. A l.'c-=fi de Kirlibaba, n:os troupes ont gag-né d'à teropain à la suite d'une atlaquo qui a surpris l'ennemi ; elles ont amenij > oftioieps, 413 soldats russes e„ 1 mitrailv leuse. Dts bataillons allemands se sont etwparés do nouveau, de la hauteur de Smotrec.Au sud-evt du col de Pantyr, iuie attaque russe a été repouss'-e. Lua Volhynie, nouvelle recrudescence d^ao. tivité oihez les Russes. Durant toute la ourn/'e, la canonnade russe a étiS violente t >u<t le long do ce front. Par endroits, l'ia-faiïtcrio eanemie est sortie de ses tranchées, mais nul!3 part elle n'a pu atteindre îuos obstacles. Front italien. L'action est en général restée niinimo. Dans la région do Gorz, les Italiens ont attaqué ce matin nos positions sur les hau-tetrrs à l'esl) de Sober. (.îefcco attaque s'est-écroulée en j>a-rt,io sous n«tite feu d'artillerie; partout ailleurs, elle a éitié repoussée à la suite de corps ù corps. A l'est de Trente, un Farman a ét) abattu au cours d'un combat aérien. Front du Sud-Est. Rlîm à signaler d'Albanie. ♦ * * .Sofia, 14 octobre. —. Officiel de l'étatî-majsr : Front de Mac tloine : Aucun changement dans la situation. Vivo activité de l'astillerio <«itro lo lac Prespa et la Tscheina. Sur le front, dans le coiuîe fo*mé par la rstieena, hi canonna«îe habituelle. Plusieurs Faiibles atbaquf-s de l'ennemi ont été repoussées. Dians la nuit du fô au 14 octobre, les rCrW^s, attaquant avec de gtos eteotifs, au îord du viHago de SWvifrza, ont éfcé ro-X)u«si's avec des p&rtes sa.ag^an-tès pour les issuiftantv. Drius la vaU^Vî de la Mo^enitza, oan^n-ïado peu iuton«e. Nous aroas aisfiiiont ro-jous^.é une a'.taque tentiée contre la hauteur le Behovo. .Sur les dewx rires du Vianlar. >ar moments, canonnades peu inleascs. Le calme a régné au pied de la Bela-ùtei Planina. Sur le fron/j do la Stroima, combat entro létac-hements d'éc-laireurs et canonnades lo-aliséas e« peu intenses. Sur le littoral de*la mer E^ée, les navires ennejims ont cro sô actâvememt. La Ilot ie a bomljardé les JiaucemS dominant Orfa/no. Front roumain. Rien do chjingxj. Le cahne règne 1e long du Danube. Dans 11 Debraftdscaa, à lest de la voie ferrée allant de Donrio à Mei-jidié, cacomuule peu intense. Le ctilme a régné sur la côte de la mer Noiie. • * <» Sofia, 15 octobre. — Officiel du grand état-major : Fro-nt macédonien. < Une puissLuiie attaque que l'emnemi adi-rigiéo avec des trou^x^ fortes d'eiuviion uno division contre le secteur compris entre la route conduisant de Bitolia (Monastir) jusqu'à Kiechtura (?) et centre la voie ferrée, a été" repoussée avec de fortes pertes pour l'ennemi. L'attaque a éyâ renouvelée à deux, reprises pondant ]a nuit; les deux assaut» ont éttè également repoussas avec do for.es jjertos poui* l'eiincnni. A l|est do la voie ferr e, une tanfcative d^attaque de 1 iinfanleiio , ennemiio a été enragée immédiatement par . lo feu de notie arti'fleiio. Dans le coude de la Czerna, combats acharnés. Toutes les attaques enuomics ont-été repûussées à l'aide de grenades à main. Dans la valléc de la Moglenitza, feu habituel de rartilieiio. De faibles attaques partielles ennemies diwgées contre les hau>-teurs situées au sud do Tarnowo, snr la colline do Bahovo et sur le sommet du Buiyktasch ont été repoussées. Sua- les deux rives du, Vardar, faible feu d'artillerie. Au pied de la Beb'.sitzia Planina, le cil nie prévaut. fcur la Strouma, faible canonnade locale et engagements entre patrouilîcs. . Sur la côte de la mer E-géo, le calme règne. Front roumain. La sitiation est inchangée- Sur tout le front, le calme prévaut. » ♦ ♦ Con 4t a n ti nop' e, 16 octobre. — Officiel du 14 octobre : Fimt du- Caucase : A l'ailo droite, feu i Y artillerie; à l'aile gauclie, esoarmoucies qi i ont tourné à notre avantage, l^es autres fronts, aucun événement important à si&ualo -. Front de Gaiicie : Dars la nuit du 11 au 32 octobre, nos troupes ont tenté des coups ce main en divers cuàr-oife^ du front •^niieaii; elles ont ]>ris une grandie quantité d'armes et d''trrit des tranchées eonomi:s. * * * Constantinople, 15 octobre. — Officiel du grand quartier général : Sur le front persan, trois escadrons da cava'erio ennemie qui tentaient d'approcher dia Bidsoher en l'enveloppant ont été repoussas.Sur le front du Caucase, sur l'aile drei'e, escarmouches. On détachement ennemi qui essayait d'attaquer en rangs serrés a efcé ùispett'sé par notre fou efficace. Une attaque ennemie dirigée contre une partie do nos positions établies sur l'aile gaucho a été enragée par notre fou et repouss'e par nos coutrcKiifcaquios. Sur celte aile, des rencontras entro patrouilles se sont terminées à notre avantage. Pas d'événements importants à signaler sur les autres fronts1. Communiqués des armées alliées Paris, 15 octobre. — Officiel d3 3 heures : Au sud cte la Somme, l'ennemi a tenté hier soir plusieurs contre-attaques sur lis positions dont nous nous étions emparés au cours de la journéo d'hier. Quelques-unes ont été dispersées par le feu de notre artiHeiïie avant d'avoir atteint nos li-' g«ies. Les autres ont toutes été brisées par nos offensives, qui ont maintenu et consolidé tous nos gains. Nuit relativement calme sur le reste du front. « * * Pans, 15 octobre. •— Officiel de 11 h ares : Grande activité d'aviation et) d artillerie dans la région de la Somme. Lo nombro dos prisonniers valides faits au cours des combats d'hier dans le secteur Ablainçourt-•Bclloy s'élève à 1,100, dont 19 of'iciers. Rien à signaler sur lo reste du front. ♦ . * * Paris, 15 octobre. — Officiel de l'armée d'Orient : Activité moyenno d'artillerie sur l'ensem-blo dlu front. " Les troupes serbes progressent sur la rive gauche de la iC'zerna. Un de nos escadrons a coupé la voie ferrée au sud de Sérès. * * * Londres, 14 octobre. — Officiel de 1 après-midi : La nui4! dernière, nous avons exécuiti deuiix attaques fructuieuses contre des tranchées enneniies (établies au nord - ouest d'Ypres et ail sudl-ouest d'IIulluch. * * • Tendres, 14 octobre. —. Officiel du soir : Aujourd'hui, des attaques locales 33 sont ' produites. Nous avons sérieusement amélioré nos positions pnNs de la ro'loute fickwaben et nous avons fait 200 prison-nierSi j Sur lo reste du front, rien A signaler, < en dehors di? l'activité die l'artîllcrio et des mortiers do tranchées. » * « Rome, 14 octobre. — Officiel du grand quartier général : ! Sur le front du Trentin, duels d'aiti'le-rie dans la région du monte Pasubio. Sur la cime d-j Vanoi, da.*is la nuit du 13 octobre, nous avons rapetissé une atta- j que onine'nie dirigée contre nos positions étaÇHos wur la Ifcusa Alta (hautenr 2460). Dans la valKe .supérieure du But., forto activité de l'artillerie enaiemie. La nôtre a c répondu à son feu et a incendié des bara- c queme«ts autrichiens établis à l'arrière du Petit-Pal. ^ ( Dan^ lo secteur »ïtué au sud-est de 1 G-orz^ prononçant imo forte attaque vt^-s le i nord, nos irou'pp^ ont ttanphaé l'ow-upar c tien des hauteurs conipi-ises entro le Bober « 6 la roiUo de .--ani-PietroKl'rebacina. Noua avons t'ait quelques prisonniers eti notus avonM i«ecuieilli une quantité cKaimes et du! matériel abandonné par 1 ennemi. Sur lo Karst, la journée a été relativement eabne; nous l'avons mise à iprofiill !>our fortifier les i>ositions récemment conduises. Nos di'tacheineaits do reconnaissance ont ramené une certaine de jirisonniersi, eu grande partie des blessés. Nos avions ont lancé do? ljombcs mil" ded camps ennemis établis dans la vallée d<i ."ugaua et sont rentrés indemnes. A, la soi-ré'e, :e> avions ennemis ont survolé, eomine d'habitude, la région de 1 Isonzo raférieur; los boimbes jetées n'ont fait ni vietame, ni dégât. * * * Pétrograd, H octobre. — Officiel de l'étit. major général : Sur le Stochod', à proximité du village de Rla-yme.t ', près de Semaiinjka, au sud 'e Kisofiii, d'ans la, région boi.s.'e sitai^ à Toi:«35ti do Bubnow, nos citrouilles ont été actives; elles ont disperse un posta de campagne et ont occupé ses tranchées. A ces ondToMs, des contre-attaques ennemies ont ctj ^poussées }>ar notre feu. • l aiifs les environs de Dorna-Vatra, duel d'artillerie, au coui-s duquel le vaillant / commanlant d'un régiment de cosaques, colonel Toeskajef, a été tué. Dans la Dobroudscha, rien d'important àl signaler. Dépêches Diverses Hambourg, 16 oetobre : liai il Bey, miii.^tro turc des affaires \ étrangères, est arrivé à Hambourg. ♦ * * Vienne, 1.6 octobre : On maudo dd Serajevo aux journauix que Kcrovjo, condamné aux travaux forcés à perpétuité pour l'attentat j>erpétré contre 1 archiduc François-Ferdinand, est mort, il y a quelques jours, à la prison militaire de Mol'endoif. * Malmo, 15 oçtèbre t Le journal ,,Arkhangelsk" écrit ce qui , suit au sujet du bombardement de la côte de Murman : — 1-a "ville et les installations du jx>r8 d'Alexandrowsk ont été récemment buni-barviécs à deux reprises par un grand sous-maran allemand. Le bureau du télégraphe et la station de télégraphie sans fil ont été incendiés; il n'en reste que les murs. /J.e bureau de l'administration des accises a été^ détruit. La barcasse du gouvernement a été coulée, ce qui paralyse ie trafic dans le port. Deux vapeurs anglais qui se trouvaient à l'ancre dans le port ont été endommagés.Le général anglais Forsell a été chargé do dit Rendre la côte de Murman. Seize navires do sauvetage recueillent, les nombreuses épaves qui flottent sur la mer. ♦ * • L Pétrograd, 14 octobre : IS Agence t légraphique de Pétrograd a^ nonce : ~ Le inini^tj'ro des affaires étrangères a lirié ses représentants diplomatiques de fuite savoir amx gouvernements auprès desquels ils sont accrédités que les territoires iliôoau-verts eu 1913 et en 1911 dans la mer dos Glaces par le cap il a Le VilKitisky et dJsi-gnéts sous le nom de „Pays dlu Ftear N'ic-o, las II'', ont été annexé» à la Russie. A * • Pétiro^rad, 15 octobre : Le ministère des finances vient do publier l'avamt-projct du budget pour- 1(J17; il tixe les recettes ordinaires à 3,998 millions de roubles e;. les recettes extraordinaires à six milli yns do roubles, alors que les dé, e s-s ordinaires sont évaluées à 3,72>1 millions de roubles, les dépenses de guerre et les dépenses extraordinaires non comprises. Comparâtivemenli au budget de l'année en oours, le nouveau ludget. accufo une augmentation de 966 millions de roubles ôd de 32 p. o.^ Lo^ déj cases totales accuse..* uno majoration de 447 millions oui do 14 p.c. La- plus grande partie de ces amg|me itatbnsl sera consacre e à améliorer les voies do transiiort. ♦ * * Pétrograd, 15 octobre-: La ,, Gazette do la Bourse" annonce l'émission prochaine, en Russie, d'une nouu velle quantité de monnaie divisionnaire. * A + Stockholm, 15 octolxre : M. Grébst, commerçant suédois, dont le nom figure sur les listes noires anglaises, a été arrêté à Kirkwall, à bord du vaptur danois ,, Frédéric VIII". Il a été conduit à Londires et passera devant un conseil dq guerre sous l'inculpation d'esj ionuage. I.e ministre de Suède A, Londres a re,(u des instructions sévère** pour réclamct* trèsr. énergiquoment la libération de M. GreLi t. En Suède, ^ incident a provoqué une grande surexcitation. * * * Christian ip, 14 ocroî>re : Ou monde olficieliemcnt de Londres que, jusqu'à nouvel ordre, il ne sera plus, délivré d'autorisation pour exporter en Norvège de l'huile ù'c poisson, iîcs conserve^ le poisson, de l'amidon ot du talc. * * * La Haye 15 octobro : La direction des deux eonv{*ignics do péchc i protesté auprès du gouvernement anrglait jontro l'ari^-statior de leurs liteaux àS ■h ahe par des torpilleurs anglais; ces ba^ teauix, qui s'étaient réfugiés pendant uni cm pète dans les eaux anglaises interdîtes, y fureait arrêtés bden qu'ils n'cussenO ixiTî-•>ôché. ' * » Londres, 14 octobre : La Elleman Line et la Wilson Line von^ usionner. * » Pétrograd, 15 octobre: La „Novo'!'o \'remia" apprend do MonV [en qu'A ïchar>4elioun, trois magasin# int été piBés \t in«endiés par plus de ceif. >olieiers diinois. 17ordre a été rétabli par (es troupes chinoises et japonaises. Lei-roupça jajjonaises sont actuellement oent entrées dans les environs de Tchantrôiour n vue de manoeuvres. Mardi 17 Octobre 1916 JOURNAL QUOTIDIEN Le Numéro : lO Centimes 3# Année. — Nb 69t5

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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