La chronique: gazette quotidienne

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s.n. 1914, 26 Juni. La chronique: gazette quotidienne. Geraadpleegd op 05 juli 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/cn6xw49b64/
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Vendredi *<tO JuEiï. 1914; _ Edition C CINQ CENTIMES LE NUMERO POUR TOUTE L'A BELGIQUE 47'» année. — 173 LA CHRONIQUE ^ I f j? " BUREAUX / ï et 7, Galerie du Roi (Passage Saint-Hubert) r I ttRUXKLLK» I GAZETTE QUOTIDIENNE TÉLÉPHONES ^ . v\ Administration : N* ^® fil £ N Rédaction ; N* * ABONNEMENTS s FONDATEUR : RÉDACTEUR EN CHEF : Brijxklles : 12 francs par an; — 6 francs pour six mois; — 3 francs pour trois mois. j i imctnnrix I -IlAï>I\IîWHTIj1 Là Province 15 francs par an; — 7 fr. 50 pour six mois; — 3 fr. 75 pour trois mois. VlClOP UC lâ li!!i5)I)Al Fj JCtW u. AlllrBWIiU Tous pays de l'uni-on postale; 30 fr, par an. — Hollande et Grand-Duchtf do Luxembourg, 20 fr. par an. I ANNONCES . 4« page ; 30 cent, la petite ligne. — Réclames (après ïea spectacles), i fr, la Ifgne. — Faits-divers (corps), S lr. la ligne et faits-divers (fin), *2 fr. la ligne. — Nécrologies : 2 fr. la ligne. — On ne garantit pas les dates d'insertion. La publicité commerciale est exclusivement reçue à l'Agence-Réclame Godts,2, place de la Bourse, à Bruxelles. Téleph. A. 3Î9I La. publicité financière, les petites annonces et les nécrologies sont reçues aux bureaux du journal, ï> et 7, Galerie du Roi. ïiinii 1 i»i7rii"iilTfiï'i ^niiT "ï■ I ' ! u n I II rii«âiiliiiîirww~i7ï^iiii'iri"iiii»iiiifW^âlilT^riirillïiril»llliFÎ|iTiÏTWirtIIIII<l ■» I LA MESURE de l'Effort militaire belge MEMBRE DU CONSEIL COLONIAL C'est il'insiicurité <de la .situation interna-I tionafe iqui, dûment signalée au gouiverne-I nient ibeige, a motivé son dernier et consi-I dérahle ■efib.rt militaire. Contrairement à ceux I qui trouvent qu'il a- te droit de se reposer I Maintenant, demandons-nous s'il! est prêt à I «ainifonir le principe <ftri lui a servi jusqu'ici I it guide. Ce principe consiste dans une règle de pro-I jfiortionmalité à observer vis-à-vis de nos deux I plus puissants voisins. Jamais, il n'a été question pour cous, — ce I serait aussi absurde qu'inuposs'ible, — de I chercher ù. nous égaler à eux. Mais, étant donné qu'Allemands et Fran-I çais 'doivent garnir leurs propres frontières, I et: ce, avec des formations très denses, il faut I et il -suffit que, s'ils élargissent leurs bases | d'opérations au point d'y englober notre- ter-I riloiire, ils y rencontrent des forces orgaci-I sées «le qualité et en nombre tels que, pres-I que fatalement, ces forces fassent pencher la I Mance du côté où elles se porteront. Tout I pacte d'alliance réservé, pareille éventualité lest de nature à faire réfléchir sérieusement I an assaillant trop audacieux et trop confiant. En tout icas, Je programme dé réforme I œlopté semblait propre ù réaliser l'objet in-I 'diqué en dotant Je pays d'une armée de I 350,000 hommes, année de campagne et ar-I niée de forteresse comptées ensemble; il de-I "venait difficile, en principe, à nos voisins de I tenter par notre territoire une rapide et défci-I 6ive diversion. Supposons itoutes Jais 'hypothèses égale-I ment plausibles, y compris Jainmiiche directe I sur Anvers, justement parce qu'elle donne-I rait là, l'apération itèntée à travers notre ter-I Hioire son maximum d'ampleur. Imaginons que l'agresseur y affecte jusqu'à 500,000 .hom-[ mes. Si cette année formidaible est prête à fouler notre territoire dès le huitième ou di-I xitae Ijour, outre qu'elle -s'attirera la riposte I inévitable de son principal adversaire, elle I se mettra sur les Ciras ou sur le dos, au I moins deux cent, mille Belges. * * ♦ I J'ait été' fort aise d'entendre, un jour, un I général belge déclarer, avec une tranquille I bonhomie, que ce ne serait pas du tout com-I anode. Mais, car il y a un mais redoutable I ici, — il faudrait que l'armée belge tout en-I tière fût coneeatrée sur te pied de guerre, I pour le moment de l'ouverture des hostilités. I Qu'à cel>i ne tienne, dira-t-on, quatre ou cinq I jours, dans les prévisions de l'excellent plan I général de mobilisation, suffisent à 1'a.r.mée I ielge pour être prèle, alors que les années I «Hemande ou française ont besoin de huit I «u dix jours, peut-être davantage. I L'argument parait sans réplique'. 1.1 avait toute sa valeur jusque dans ces derniers temps. | Mais voilà que surgit une théorie nouvelle : celle de l'attaque brusquée.L'armée du temps <le .paix est portée autour de nous ù, un effec-I tif tel que rentrée en campagne, pour le pre-[ aiier échelon an moins, se' décide et se déve-| t»pp» »» une offensive feudroyante, au pre-[ «lier signal. •A supposer que noire territoire soit visé, I il ne s'agit pas de savoir ce que nous ferons, I au .bout de quinze jours, contre les fameux I 500,000 envahisseurs,, mais ce que nous se-I rons en état de faire, à lia première heure, I même contre un nombre d'ennemis tout I d'abord très inférieur à ce chiffre. I Cette question, on doit la poser et la repo-I ser sans cesse. 'Elle hante la pensée' de nom-| ire d'officiers, et non ides moins méritants. I On n'y répond pas, parce qu'il n'y a pas I de réponse à y faire, ou plutôt parce qu'il I n'en existe qu'une satisfaisante — et qu'on I n'ose pas formuler—à savoir que les effectifs I du pied de paix doivent, être notablement I renfoncés, en hommes instruits et entraînés. I Seul le service ide deux ans, ou -de deux I classes présentes sous les armes et solide-I ment soudées l'une ii l'autre, peut nous les donner. *** Appelez cela pompeusement ïï'Slenda esL Carthago, ou plus prosaïquement mon insupportable ii tarte à la crème », c'est comme I cela. A l'optimisme officiel apposons les mêali-I tés et .les chiffres. I En automne prochain, l'armée allemande I atteindra sensiblement 950,000 hommes, et I l'armée française 800,000 hommes. La première se compose de deux classes I (ou deux ans de service), les troupes à che-I val servant, du reste, trois et quatre ans. [Pour encadrer cette masse, il y-a 115,000 I sous-officiers (donc des professionnels), ét I pour la commander, 30,000 officiers. L'armée française, ayant -l'adoption des I trois ans, comprenait en tout 550,000 hommes (le troupes. Son infériorité numérique, par I rapport aux effectifs de paix allemands, était I paier ie .et pour beaucoup devenait effrayante. I L'adjonction d'une troisième classe d'envi-I ron 230,000 hommes, — le service étant porté I à trois ans, — à rétabli l'équilibre. En ce I sens que .si les Allemands ouvraient les hos-I tilités avant la fin de leur mobilisation et de feur concentration, ils n© pourraient plus espérer fondre sur un adversaire près de 'moitié moins fort qu'eux, pendant toute la durée de sa propre mobilisation. De part et 'd'autre., les trempes dites «Je 'Couverture lutteront, désormais, à conditions d'égalité Approximative. La décision n'interviendra donc que plus tard, lorsqu'entreront. en ligne, tout comme précédemment, les masses I Protondes appelées à cette fin des deux côtés I de la frontière. *** Non pas les quatre ou cinq millions ■d'hommes qu'en .ttéorie on peut aligner, à l'Est et a l'Ouest des Vosges. Qui -donc encadrerait, commanderait, nourrirait de telles masses? Mais la moitié d'entré elles irait vraisembtablemnt au feu. Et l'action de ces masses s'exercerait avec d'autant plus d'efficacité qu'elle serait moins précipitée et se produirait à son heure. Imaginez, au contraire, les premières lignes enfoncées ou tournées dès avant l'en-, taie en scène de ces réserves, ou, qui pis est, rejetées sur celles-ci en plein désordre, et* il faudrait des efforts sunhuinams pour que ll'année vaincue se remit d'aplomb et ressaisit- '.la victoire. iL'effet de 'l'attaque .brusquée, dans l'idée de ceux qui la préconisent, est ù la fois d'ordre moral et d'ordre physique. Par la rapidité des coups elle supplée à leur caractère incomp'lètemnt destructif. Les Allemands en ont vanté 'l'emploi, particulièrement vis-à-vis de la France, .parce qu'elle leur parait facile à impressionner et parce que l'appui de son alliée russe exigerait des délais plus ou moins longs avant de donner sa pleine mesure. < Aux experts de décider s'il est encore possible de « créer » la couverture française en un temps et deux mouvements, maintenant qu'elle a été augmentée dans de si fortes proportions, et si l'armée russe, qui comptera bientôt 1,700,000 hommes en temps de paix, restera ime quantité négligeable pendant plus de deux ou trois semaines. Sur ces points, la Double Alliance semble considérer les prévisions et Les menaces allemandes comme de pures rodomontades. Et, tout au moins, les apparences ne sont pas pour lui donner tort. Quoi qu'il en soit, où en sommes-nous dans cette bagarre? H y a quelques années, nous avions environ 45,000 'hommes sous .len armes, en temps de paix, et maintenant nous en avons '10,000 de plus, alors que' c'est par centaines de milliers qu'Allemands, ■Français et Russes ont renforcé leurs contingents actifs et qu'ils en ont prodigieusement acotiléré la .disponibilité. IProportionneillement, jious avons reculé au lieu d'avancer, ce qu'il fallait démontrer. Si tel devait être le résultat de la réforme militaire-, autant valait ne pas l'entreprendre. Mais non! nous avons vaillamment franchi la première étape, celle du service personnel et généralisé. Rebouelons le sac ' sur les épaules et sachons continuer ila route. L'indépendance, la sécurité sont au bout. RENE VAUTHIER. FAITS PROPOS MENUS L'AFFAIRE C'était ù peu près un devoir social; je l'ai accompli sans grand enthousiasme, comme on s'acquitte à certaines claies de corvées traditionnelles, visites, dîners de famihle; j'ai assisté un moment aiux débals de l'affaire Wilmart. Grosse déception, d'abord. Comme j'avais entendu, jadis, parlvr d'un chiure d%«affaires» éblouissent, quarante millions, je crois, cl que fai la plus haute idée du rôle joué 2>ar l'or et les chi[[res dans la société contemporaine, je m'ima-ginais que pareil procès se jugeait dans he plus somptueux décor, par exemple dms ki: salle des pas-perdus, sous le dôme et à grand orchcslrc. Il pamît que pour avoir le grand orchestre il faut s'être rendu coupable au moins d'un petit assassinat. L'affaire Wilmart se juge dans une cave, et quelle cave! propice à la cuitiv.re des champignons et au blanchissage des laitues; jamais je ne l'aurais découverte, si je n'avais remontre Gublenslein, familier de ce sérail aux mirs ju.pans, el qui me guida. Puis, dans cette cave, la cérémonie est •trop familière; accusés, presse, avocats, juges, tout ce monde est de plain-pied, encaqué, entassé, et ça sent mauvais, la boutique à TMmis... Mais à l'odeur, j'ai reconnu Vendrait. J'y fus témoin à décharge pour le Sylvain René Slevens, accusé d'avoir tutoyé un baliveau de la forêt de Soignes... Aiutre décent ion : la tête à Wilmart. Je ne sais trop pourquoi — est-ce l'effet des quarante miMions, de souvenirs vagwes, de récits amplificateurs ? — je m'imaginais que ce héros avait un groin, comme Va décrit le XXe Siècle, un cou à quadruple bourrelet dans la nuque, des yeux prêts à jaillir de leurs orbites et une bedaine de ...quarante ■millions. Le teint mat, la figure d'un modelé sans grâce, avec sa moustache de gendarme, je l'ai vu un combatif, un volontaire. Comment cet homme-èà a-l-il pu, si naïvement détaler, au lieu de tenir tète? Pour le reste, je n'ai rien vu, rien entendu. Ces messieurs broubelaient, taniôt en choeur, tantôt alternativement. C'était intime. A un momeni donné, le procureur disait... « Mais N-es-lor... )>. J'ignore le prénom du procureur, c'est peut-être Jules. \Nestor l'emploie sans doute aussi... Nestor... Jides... Une certaine camaraderie naît entre les premiers rôles. C'est gemullich, comme dit M. Von Jagoiv. En résumé j'espère que Nestor n'en a pas pour ses quarante (ou ses deux cents) millions, et le prestige de 40 millions esl compromis à mes yeux. Je me suis relire sur la. pointe des pieds, estimant que j'étais indiscret dans cette petite affaire de famille. BOB. UN VIOLENT INCENDIE près de Hoy Do Liège, le 25. — Cette après-midi, un violent incendie a éclaté dans un pâté de maisons ouvrières situé au liameau des Gottcs, commune de Strée lez-Huy. Le feu a pris naissance dans la maison d'un sieur Goîfln, et, malgré l'empressement des habitants à combattre l'incendie, l'élément s'en prit rapidement aux maisons voisines occupées par M,le Gérard, MM. Donîiy, I-îénoult et Pirkin. Toutes ces maisons ont été» détruites. Ai jour le jour LA POLITIQUË C'est un lieu commun de dire que le iSi malheurs ne viennent pas seuls; e'es aussi une vérité cruelle autant qu 'logique. De fait, si un accident vou arrive, il est naturel qu'il entraîne d'autre ennuis. iLes cléricaux ont vu l'opinion puMiqu-s'éloigner d'eux; aussitôt, il se produit, dan leur parti, forces complications et querelles ■Des fissures qui se manifestent dans leu bloc accusent te caractère hétérogène d celui-ci. iRien de plus intéressant, par exemple, qu ta. façon dont les cléricaux commencent d payer leurs fantaisies démagogiques. Ils s'ap perçoivent que cdllesxi ont été beauieou] iplus loin qu'eux-mêmes n'ont pensé. Et i! s'épouvantent de l'égale difficulté, pour eux de suivre cette voie dangereuse ou de reve nir sur leurs pas. Rien ne peut mieux montrer jusqu'où il sont allés, jusqu'où ils vont encore, qu'os incident,. et l'altitude que celui-ci inspire : leurs journaux. A Neufcliâteau survint une grève d'ardoj siers, et 1s-feu fui mis v.ix baraquements di chantier. Le juge d'instruction ayant intei rogé le président du syndicat, nombre d journaux cléricaux jettent feu et flammes.. Vous avez deviné : il s'agit d'un syndtea chrétien, un de ceux que menacent les ins tractions nouvelles de Pie X, mais qui 11 veulent pas se laisser faire ...et auxquel les cléricaux n'osent- pas s'opposer, craint d'une slcission populaire, coupant le par! en deux. Mais les patrons, vont-ils se laisser brûle leurs établissements, et pourrait-on, .décem ment, même avec notre ministre à tout taire museler gendarmes et juges ? PETITE CHRONIQUE Regarda en arrière 126 juin TZ&t. — Victoire du général Jourda sur les Autrichiens 'à 'Fleurus. L'annexion de Moienbeek. Le vote unanime du conseil communaJ d' ! Bruxelles en faveur de ,1'a.niiiexion de mog-cii | beek-Saint-Jean ù la capitale n'a pas .iaiss-! d'étonner beaucoup «de gens. On avait, en d fet,' peint le .populeux faubourg sous des cou ■leurs si noires; on avait tant insis-té sur .soî infériorité à. l'égard We la ville au point d' vue du «pavage des rues et ide la façon don étaient compris la .plupart des services, pu blics ; 011 avait fait un tableau si sombre d' ses ressources, que, malgré Qe rapport du col lège, qui avait mis toutes choses au point, 01 se demandait si Bruxelles allait accepter ui cadeau .-îinsi .présenté. .Craintes vaines. Tout le monde a 'fait la part des exagéra tions et de la .fantaisie, .11 y aura pour (Bruxedles 'Se grands sacri.fi ces à faire, mai!s ce sont ces .sacrifices préci sèment :qui mettront la commune en valeu ■et seront d'un excellent rapport pour lia capi taie agrandie. On s'inquiète maintenant de ce que va tain l'édilitô de Molenbe-efc-Saint-Jean, où se mani festent, dit-on, quelques hostilités à la réu nior. ides deux communes. Nous croyons qu'iil en sera comme à Bruxel les, où la proposition d'annexion était doiï d'avoir 'd'emblée conquis tous les suffrages. Une majorité est dès à présent assurée ai conseil communal de 'Moienbeek-Sa int-Jean majorité .qui, sous la pression de (l'opinion pu bîique, ne cessera de grossir. Hospitalité. La « Gazette de Liege », avec la bonne grâci qu'on lui connaît, en....gUMan'de les étudiant: étrangers qui se permettent de ne pas êtn 'cléricaux. C'est un curieux exemple de ci '< .styile poissard » fort à la mode à la fin di XVIII0 siècfle où, peut-être, la « Gazette » b parlait dâjà... La bonne vieille termine ce pré •cieux spécimen de douceur chrétienne en rap ■pelant •« la généreuse .hospitalité de la Belgi que ». Heureusement qu'il est d'autres Belge-pour nous garder ce bon renom, que nou méritons vraiment. On (Serait sinon tenté di rajpipeler le .proverbe disant .qu' « un bientfai reproché tint toujours lieu d'offense »\ Pauvres religieux! voici, résume par ,îe .« lBieh ifu'oijc ■», le scan daile du commerce et de l'industrie des cou vents, idénoncé même plus encore par le «père Rutten que par M. Bossàrt : « Le 'commerce que font, pour .vivre, quel ques pauvres religieux, usant de leur droit di travailler èt de vendre les .produits de leu: travail. » Quant aux enfants épuisés, exploités, au: petites ouvrières, aux '.femmes réduites au: salaires de d'airains ; à la concurrence faite pa des moyens déloyaux, aux industriels et au: commerçants laïcs, tout cela, pour le « Biei Public s», n'existe pas... Plaignons plutôt ce: pauvres religieux. Mesquineries clérieaies. Mesquineries eîéricaies. Dans toutes les petites villes de province i était, jusqu'il y a peu de temps, d'usage im mémorial que les nouveaux magistrats — pré sidents, vice-présidents, juges — étrangers ; la contrée, -tissent, lors de leur 'installation visite aux avocats et aux avoeais-avoués. Tou au moins à ceux qui étaient leurs aînés. Depuis un ou deux ans, on a abandonné c< vieil usage. Finie, la tradition! Au rancart l'a courtoisie souriante 1 Ou, plutôt, on a modi lié l'ancien programme : "les magistrats cléri eaux (cet adjectif deviendra bientôt totalemen superfétatoire!), en arrivant dans leur npu velle. résidence, se bornent à visiter leurs seul coreligionnaires, — les libéraux étant fd-ésoi mais jugés Indignes de toute politesse. Certains — plus malins — proclament qu'm magistrat, .fût-ïl blanc-bec à peine sorti d Louvain ou fruit sec éva'dé du barreau, t droit, lorsqu'il arrive d'une autre ville, au: ■ hommages des membres du barreau, des ave ' Gats-avoués et des avoués. -Ces hommages, ils les attendent chez eux Ce droit, ils finiront par y croire. Tout cela, vu de loin, peut paraître bien mi ninie. M'ais dans cette vie de province où le* moindres événements prennent de l'impor tance, où la tyrannie cléricale se fait «plu; despotique que partout ailleurs, toutes les ve 3 xations de ice igenre concourent à rendre l'exis t tence 'insupportable à ceux qui ont l'outre 3 cuidance de ne pas partager les opinions dt 3 gouvernement. La bonne réclame. Miss, Evelyn Nesbitt, qui fut la femme d< 3 Harry Tha.w — aujourd'hui enfermé pou) cause d'aliénation mentale — vient d'arrivé: 1 à Paris, après un voyage de quarante-cinc 2 semaines à travers l'Amérique. Elle a fait annoncer en même temps et soi - arrivée et son impérieux désir de repos. Seulement, ce désir de repos s'exprimait er - tête des échos publiés par les journaux pain ) siens. Le désir de repos n'exclut pas le dési: s de réclame. , Le lendemain, les mêmes journaux annon . çaient que, vainement, 1ns reporters avaien assiégé l'hôtel où est descendue cette assoif > fée de solitude. C'est assez naturel. Parm 1 cent personnes, il y a un curieux et un indis j cret — deux journalistes ! C'est justement eu: que la jeune Américaine va choisir comm< confidents de son cher secret. Ou naïveté ot bluff outrancier. Et comme la naïveté n'es 1 plus., précisément cette qualité dontf Musse disait : Grâce à Dieu, pour New-York elle est enfir j [partii - on ne peut guère hésiter à choisir entre les so 2 luttons de ce dilemme. 5 Demain — soyez-en assurés — nous a,ppren ^ drons que, réussissant -là où les plus habile j reporters avaient échoué, M. X..., délégué d< Alt Y...,-le directeur du music-hall bien connu t, a pénétré dans l'hôtel,et a pu —au moyen d'ui prodige d'habileté — avoir un entretien di cinq minutes avec miss Nesbitt, qui a déclar. ' que, pour rien au monde, elle ne monterai sur les planches, surtout à Paris. Après-demain, on annoncera que M. Y... ; offert à la jeune femme un double pont d'or. Dans huit jours, on affichera-les débuts. Il y aura foule. Et- si, d'ici-là, un ou deux hommes pou i vaient avoir la bonne idée de perdre la tèt oh la vie pour la débutante, on s'écraserai aux guichets. Nouvelle à la main j Dimanche dernier, court no il'pleuvait, un bo: . 'Brùsseleer faisait faire n son fils une -lectur instructive et amusante. L'enfant lisait : « ... Le boa appartient -à 1. 1 classe dés serpents... » ï — Tiens, lit le père en l'interrompant, le t, serpents vont donc en classe? LE PROJET DE RELIER LA GARE DE L'ALLEE-VERTE A LA GARE DE TOUR-ET-TAXIS Nous avons dit que l'administration des che - mins de fer avait montré peu d'enthousiasm. pour le projet de M. Bockstael. M. le bourg î mestrè de Laeken propose, comme on sait, d< - diminuer le nombre des trains en détournan - une partie de ,1a .ligne de Den'dre jet Waes, qui après avoir traversé la gare de Tour-et-Taxis - rejoindrait la gare de l'Ailée-Verte, au moyer i d'un raccordement à établir en surêlévatioi au-dessus de l'avenue du Port et de l'Allée i Verte. Bien que ce projet n'ait pas eu l'heur dt - plaire à première vue à la direction des che mins de fer, M. Bockstael ne s'est pas teni pour .battu ; il 'a voulu discuter .lui-mêm< toutes les objections avec ses contradicteur: î en une longue conférence, qui a eu lieu ai ; ministère des cihemins .de fer, et il a. vivemen' i insisté pour que l'on remette son projet à .l'é ; tude. i Le pont-rail de Laeken, qui est presque tou î jours fermé,empêche l'entrée du bassin Vergoti - aux navires de mer munis de mâts fixes. Cette considération, longuement développée ■ a fait l'objet d'un ordre du jour dans le > quel la section des travaux publics prie le co j mité central de la Chambre de commerce dt ï Bruxelles d'insister auprès le M. le ministre t des chemins de fer, afin qu'il veuille bien en gager son administration à rêétudier avec h plus .grande (bienveillance le projet de M iBockstael ; elle accepte éventuellement d'é - laiborer elle-même un projet, qui, en sup-pri - man.t les inconvénients du pont-rail, concilie > rait à la fois les intérêts des chemins de fer de la navigation maritime et de la circulatioi - publique... ' „ * * * M. Laneau, auteur de cet ordre du jour adopté à l'unanimité, estime que !e projet di : M. 'Bocksitael semble très simple et très pei : onéreux à réaliser. 'Le comité technique de: • c'hemins detfer, auquel serait dévolue la tâcln : de l'améliorer encore si possible, doit, dit-il i être d'autant plus désireux de trouver une. so ' lut-ion satisfaisant tout le monde, que l'adani nistration des chemins de .fer a commis ui abus évident en utilisant le pont-rail de Lae ken avec la fréquence actuelle. I Qu'on se rappelle à ce sujet qu'en 185-i, 1; . convention intervenue entre 'la ville de Bru . xelles et 'la< Société de Dendre et Waes &t.i.pu l lait notamment que le pont-rail de Laekei , ne pouvait se fermer qu'à .l'arrivée d'un train t, La ville s S' réservait ide r M amer des domrna g es-intérêt s au cas où des fermetures troi 1 fréquentes du .pont viendraient gêner la na , vigation. Auijourd'ihui, le nombre des trains passan - sur le pont-rail est si exagéré que l'ouvertur t du pont est devenue d'une réelle difficulté. «■En 'présence de cette situation, on n'est pa î loin de penser que la ville d^ Bruxelles a. 1 - droit, — dit « Bruxelliles-Maritiime », — de rt clamer réparation du dommage cônsidérabl i causé au port' par le pont-rail. Cette situatio î occasionne, en effet, à la ville des .frais d i construction et d'outillage d'un avant-port, qu f d-s plus devra être relié à la ville par de large - voies 'd'accès d'un établissement fort coi teux. » LES PROMOTIONS et nominations militair. DU 26 JUIN ÎLe « (Moniteur » du 2-5 ;uin- publie les arr< ■ royaux promouvant et nommant les offic i dont les noms suivent : Dans Tétat-major général (Lieutenants généraux. — Les généraux-: jors : Michel, comm. la 4° div. d'arm. et ■i'- circons. mil., et Raix, comm. la 16e b ' mitxte. 'Généraux-majors. — Les colonels : 'Maes, • corps d'état-major, chef d'état-major de la r div. d'arm., aide de camp du Roi; il est cha de l'emploi de chef d'état-ma-jor; Geerts, rég. d'art, de place; Itegraud, ét.-maj., 1 d'ét.ranaj. de la îre div. d'arm.; il est déclia de son empl., et Ghislain, comm. les gren: i adj. d'é t.-maj. Dans le cadre des omoiers suj rieurs de toutes armes Colonels. — -Les lieutenants-colonels : f nouM. comm. l'art, à chev. .de la div. d© c: BeOquevort, du 6° d'art.: Antoiîie, comm. I'j ' de la -5e brig. mixte: Triest, id. du 4° de 1 1 adj. d'ét.-maj.; Wielemans, ét.^maj., chef ■ cab. .milt. du min. de la guerre; Stassin, id., : d et.-ma.j. de la 3e div. d'arm.: Streitz cod . le ,14e de lig., adj^ d'ét.-maj.; Thoen .id. h ' rim. le 4e chas, à ciiev., id.; Curelier, du 10< . lig.; Ou'moiït, com:m. 'le 2e lanc.; 'Biëbuj [ comm. le ,2e carab., .adj. d'ét.-maj.î Berger, : 'lnr de lig.: Artan de S'aiutxMartin, du 9e id.^ iRuquov. du 3° chas, à p., adj. d'ét.-maj.: ' len à l'insp. gén. du génie, et De VleesOl i wer. comm. l'art, de la (16e brig. mixte. Dans les secrétaires d'état-maj Capitaine en. premier : Le capit. en iBayet. à l'ét.-maj. du comm. ,de la pl. de I xelles. 5 Capitaine en second : Le lieut. Gillet, à 1' » mai. dp la 4e div. d'arm. Dans l'infanterie Capitaines commandants. — J^es cap. en s • Haag, du 10e de lig.; Gening, du 3e id., in ' à l'ec. d'inf.: De Koninck, au serv. de^ la c ^ nie: Bohet, du 14e de lig-; -Go-ffin, de l'ét.-r de la i7e brig. mixte, adj. d'ét.-maj.; Van i ren, du .l01' carab.- Brassi.no, de l'ét.-maj. d< 6° aiv. d'arm., adj. d'ét.-maj.; Volon. du 8' lig., et Paquet, du 2° id., au aninist. de guerre. Capiiaines eu second. •— Les lieut. : Piro - du 29 ciras. <à .p., au dép. de la -5° div. d'arm.; ï jeune, du 9e de lig.; Van Loo, du l!2e id., à j {, d'av. rnilit.; DeJsaux, du,1e1" chas.; Cooren: du 9° de lig.. et Vertommen, du 1er id., ad, d'ét.-maj. en stage à l'ét.-maj. de la lro d'arm. (Lieutenants. — Les sous-lieut. : Delau. du 3° de lig., à la comp. de pion.-ponton.-en Yande Pitte, du 7° id.; Watripout. du 36 i Becliet, du 11° id.; Diseur, du 3° chas.; W 3 du He de lig.; Simonet, du 7e id.; Leclercq, iler carafe.; B'ergé, du 3° chas.; Boucau, du 2° 1 Carlier du 7e 'de lig.; Leflot, du 8e id.; Pi du l'3° id.; Coyette, du 4° id.; Bastogne, di 5 id.. et Mathieu, du 7e id. Sous-lieutenants. — Les sous-officiers : viauxj 1er serg. secr. au 10° rég. de lig. ; Va Velde, sei-g. au 10° id., et Miesse, lor serg. n <?én. au 12e id. Dans la cavalerie Capitaines commandants. — Les capita. en second : Delelienne, du 4° rég. de cha cliev. de Selliers de Moranville, de l'ét.-maj, la div. de cav., adj. d'ét.-maj. ; de Thier, du rég. de lanc. ; Vandcrcruycen, du 5° id. ; T< nay, du 1er rég. de guides; Lambert, du 2e prov. à l'Inst. cart. niilit.; Delfosse, du 5° i de lanc.; Donnay de Casteau, du cab. niilit. - min. de la guerre, adj. d'ét.-maj. ; Brennet, } 5° rég. de lanc. ; Van Innis, d»u 1er rég. de ch; ^ Baes, du 5e rég. de lanc. ; de la Fontaine, 2e id. de guid., et Cte de Meeûs, de l'ese. J subs. de l'Ec. niilit., maît. adj. d'équit. à V ^ milit. et à l'éc. d« guerre. Capitaine en second. — Le lieut. dp W kiers (éc.), du 2e rég. de cliass. Lieutenants. — Les sous-lieutenants : H( du 4e rég. de lanc., et Daufresne de la Che 1 lerie, du 4e id .de chass. Sous-lieutenants. — Les sous-officiers : I celet, mai*, des log. du 2e rég. de guid. ; Riga . id. id. du 2" id. de lanc. ; chev. de Mélotte, mar. des log. du 2° id. de guid. ; Legros, n des log. du lor id. de lano., et Cartuyvels de < 1 laert (éc.), 1er mar. des log. du 5e id. id. Dans l'artillerie Capitaines commandants. — .Les capita en second : Hellemans, du groupe de la 14° b ■ mixt., répét. à l'Ec. milit. ; Willeniaers, di rég.; Thomas, du groupe de la 4° brig. mi adj. d'ét.-maj.; Michotte, du 4e rég., et Coi de l'art, de fort, de Liège- Capitaines en second. — Les lieutenants : 1 nen, du rég. de place; Duquesnoy, du groupi , la 16° brig. mixte ; Janlet, du 3e rég. ; Talion ■ 2e rég. prov. instr. à l'éc. de cav., et Mass du groupe de la 11° brig. mixte, à l'éc. de g T lieutenants. — T^es sous-lieutenants : Goff 1 de l'art, de fort, de Tuège; Aurousseau, du de siège ; Vanloo, de l'art, de fort, de Liège ; • sar, du groupe de la 7° brig. mixte ; Brondeel l id. 18° id. i d. ; S'primont, de l'art, de fort, de mur, et Laurent, du 3e rég. Dans le génie Capitaine commandant. — Le cap. en Sehleisinger, du serv. de la l'ortif. d'An - (4e sect.j, rép. à l'Ec. milit. i Capitaine en second. — Les lieutenants : sette, du bat. de fort, de Liège! et Titeca, serv. de la col. Dans le corps des transports Capitaines commandants. — Les capita en second : M'achgeels, à la 4e div. d'arm. Ronsse, à la lro id. Capitaines en second. — Les lieutenan Goormans, à la 2e div. d'arm. ; Stéphany, 0° id. ; Paret, à la 5° id. ; Fonteyne, à la 5® Pierre, à la lro id: ; Flamand, à la lre id;; byns, à la 3e id. ; FronvilJe, à la 4e id. ; Va: broek, à la 6° id. ; Servais, à la 4° id. ; Hul au serv. de la col. ; Taburiaux, à la 6° div. <: mée ; Lebert, à la 2° id., et Toey, à la 2° id Lieutenant. — Le sous-lieut. Goossens, : 6° div. d'arm. Dans l'intendance Sous-intendants de 2° classe. — Les sou: ' tendants do 3e classe ; Debroux, adj. à l'int. ' do la div. de cav., et Rousseau, id. id. de la > fort. d'Anvers. Dans les comptables dos corp de troupes 5 Lieutenant-colonel ordonnateur. — Le m ord. Kelecom, chef du serv. de l'ord._ 5 Capitaine en premier quartier-maître, — t cap. en sec. payeur Peeters, fais, fonct quart.-maît. du 10/ rt»g. de chass. à pied. Capitaine en second payeur. — Le lieut. 3 De Vos, du 3° rég. de lanc. i Lieutenants payeurs. — D'Août, du 2° d'î e Denis, de -l'éc. des cad., et Gillain, du 13° d» j, j Sous-lieutenant payeur. — L'adj. De Coni des tr. d'administ. ' : Capitaine en premier administrateur d'h " lement et d'armement. — Le cap. en sec. ic id., Noël, du 2e carab. Dans les troupes d'administration Lieutenants d'administration. ^ — J^es sous-lieut. d'administr. : Fiévet, adminijytr. de la 4^ comp. ; Grignard, à la fabr. de con^> d Anv. ; Collaid, dir. prov. la bouch. de Mons ; Lepoivre, à la meun. d'Anv., et Brusseleers, dir. le mag. [ de fourr. de Tirlemont. Dans le service de santé .ers! Inspecteur général assimile aux neutenaais généraux. — L'insp. gén. assim. aux gén.-maj. Mélis, à l'insp. gén., att. à la mais, rail du Roi. 'Médecins généraux. — Les méd. princ. de f" a-''e cl. : Roland, méd. div. de la .6° div. d'arm., ■i- et Stabiforth, id., de la (pos. fort. d'Anvers. 'Médecins principaux.de lrc classe.— Les méd.-j.. princ. de 2® cl.; Deltenre. à l'hôp. de Brux.; r[e Froidbise, -id. .d'Anv., et Warlomont, id'. do „ - Brux. ?.. (Médecins principaux de 2e classe. — Les med, X de rég. de llro cl. Degliilage, au. 1er «ara-b.; ^ Gauld'issart. au 5e .d'art., et Desbonnet, au 4° id iMédecins de régiment de lro classe. — Les méd. de rég. de 2e cl. : Lebrun, au 8e chas, à p., >é-- ^ l'éc. milit.; Hainaut, à l'hôp. de Liège; iNe-miieay, au (&1 'd'art-.; ,Van iN'ieuwenihuy^eu, à rinfirm. de V'ilvorde; Ragé, id. de Termonde; * Finet, au 1er .ohas. à chev.; Deuhaene, .a P'hôp. " . de Bruxelles; Demolder, au 9e de lig., et Petit, au 10° id. •(r ' IMéldëcina de régiment' de 2e dlasse. — Les méd. de bat. de .lre cl. ; De Vos. au 2e clïa6. ,à ;t- p.; .Bodson. au gr. d'art, de la lre brig. mixte; ' Gillis, au 7e 'de/.lig.; Lambrette, au .12° id.; Jus-■,'[ tice, au 2° d'ai*t., prov. à l'éc. de cav.; Casters-i à l'ihôp. de. Liège; Weylatid, au rég. d'art, de» u. place; Sahoûbert, au 8° de lig.; Mollisse, au 4e id.; .Dehvarde, aux grenad.; Bruyère, au. reg. • i . d'art, ide côte; Jacminot. au 6e de lig., au corps P de corr. et au corps spéc. ; Evrard', au 1er lanc.; Walch, au ,2e de igiiid.; de Marneffe, ià l'!hop. de l" Brux., prof, à l'éc. norm. de gym. et d escr.; iDurré, au 3° lanc.; Corbey, au .gr. d'art, de la Or 10" brig. mixte; Fonda-ire; à l'hôp. de ISTamnr, eo (Detehamps, au 3e d'art. sec. iMédecins de bataillon de lre classe. — Lesi iru- méd. de bat. de .2° cl. : De .Moor, au 2e de lig.; llubens. au bat. du gén. de la lre div. d'arm.; ét.- Caluwaerts, au 'v de lig.; Luyssen, au gr. .d'art, de la 8° brig. mixte; Burger, au 2e rég. de carab.; Loriers, au 5e d'art.; -Lisin, .à l'hôp. dt/ B'rux.; Bya, au gr. d'art, de la 7e brig. mixte; _ . Portaels, au 14e de lig.; Léman, au 2e chas, à 5^r' chev.; Van de Maele, au. 4e lanc., et Wéber au o-lo- ler <clms- à Pied- .. T ,, ia; IM^decin de bataillon de 2e classe. — Le med. adjoint : Gillet, au gr. d'art, de la 15e "brig. } ]a mixte. ' c]e 'Pharmaciens principaux de 2e classe. — Les; p.harm. de lre cl. : Haccoy.r, à l'ihôp. de Louvain; Tripels. id. de Namur, et Labasse, .à l'insp. gén. /0U iP.harmaciens de lIe classe. — Les pharm. de 2e cl. : Vigneron, à l'hôp. de Brux.; Tonneau, '^c id. du ca.mp de Berv., et Van A'cker, à l'intf. an" de Termonde. 'u,j] Pharmaciens de 2e classe. — Les pharm. de -jjv" 3° el. : Van :M-eenen, à l'hôp. d© Gand; Gallez, ici. de Mons, et Vanderlinden, id. à Anvers. Dans le service vétérinaire id.; Vétérinaire en chef assimilé aux colonels. —* îry, Le vét. en- che'f assim. aux lieut.-col. Gé^irds. du .VétérinaTres principaux de lre classe. — Les id.; vét. princ. assim. aux maj. : Detournay. au 1er iye, lanc., vét. div. de la 4° div. d'arm.; Larmi-l 3e .nier. id. au 5e id.. id^de la div. de cav.; Desmet, au 3° d'art., id. 1er id.; Piret, au 6° id., id. 6° id. Vétérinaires principaux de 2° classe. — Les nde vét. de rég. : Van Vyve, au gr. d'art, de la. on. 'ô° brig. mixte, prov. vét. div. de la 2e div. d'arm.; Béguin., au 4° c'has. à chev.; Lenaert, ail 1er de guides, et Verfaille, au corps do la gend.. prof, suppl. à l'éc. de guerre. Vétérinaires de régiment. — Les vét. do lre ues cl. : Tricot, prof, d'hippolog. 'à l'éc. de cav.; 5S: ' Stodlcart, au 2e d'art.; Gillet, au 3e lanc., et iâ® Demar.baix, au 4e id. Vétéinnaire de lrc classe. — Les vét. do 3e cl. : nir- rpigSenSï illt gr. d'art, de la l'le brig. mixte; lc'-> Œî'aas, au 3° d'art.: Goffin au gr. d'art, de la •éC. Hro .•kv.îcr mi'vfp nr. tïni+nl* rlôn rle ram Bans la gendarmerie is. ; Capitaine commandant. — Le cap. en sec. du :Dath, comm. la comp. de iBruges. des Capitaine en second. — Le lieut. Gillard, Ec. comm. provis. le distr. d'Anvers. Q.iftul-eHa*!. — Le sous-lieut. Wautliier, aie- comm. île distr. de Fumes. 'X/ô capit. en sec. 'Mieynaerts, du ,2e chas, .à p. ;: ido, ff d'administr. d'habil. et d'arm. au dép. de la iva- div. de cav.. passe dans le cad. des administr. d'inabil. et d'arm. en son rang d'ancienneté. »on_ Le lieut. Radelet, du -9e de lig., ff. de secrét. ux d'ét.-maj. au .minist. de la guerre, passe dans le ^or cad. des secrét. d'ét.-maj. eu son rang et an-cienneté. Officiers de réserve ioont aum. 'dans le cad. des ott. de res. : lie maj. pens. Miller; les capit. comm. pens. àSFeels, Tonneau, Francq; le lieut. pens. Cruyplants. Dans l'infanterie , 40 Sont nommés- : ILieutenen.t-coîonel de réserve. — Le maj. de ine' rés. Miller. ' iMajors de réserve. — Les capit. com.m. de ^v_ rés. Neels, Tonneau. > de Capitaine en second de réseive. — Le lieut. de rés. Cruvin'lants. artj Personnel des chefs de musique le* ' Ont été assimilés aux lieutenants, les ohe'fs de » musique assimilés aux sous-lieutenants ; Neu-pS' l'ay, au 13e de lig.; Carlier, au 2e id.; Rogister, "-0" au 9° id.; Léonard, au 14° id.; Bury, au 4e id.; • "u Sima.r. au 2e guides; Wa.lpot, au iler id.; Linette, au xcr chas, 'à c'bev.; .Maréchal, au 12° de lig., et Qui net au l01' id. Ont été assimilés aux sous-lieutenants : Le Iclietf de mus. tromp.-maj. avec «ang d'adj., sec IMoortgat, au 2e chas, à chev. /ers Les chefs de musique avec rang d'adjudant : IDélplace, au 11° de lig., et (Michel, au 3° chas.. jt'i- «t pieid. au * * * Le capit. en sec. Van Loo, et le lieut. San-•dron, des transp. de la .2° div. d'arm., ont ecé design, pour pass. respect, dans la cav. et l'in-f . leur arme d'orig., en conserv. leur rang et an-ines cicnaieté. , et Sont désignés pour pass. aux transports, les 'lieut. : Francotte ,du 1er de lig., dét. prov. aux :s : transp. de la 4° div. d'arm.; Polet, du/13e id., id. 1 ia er Wouters, des grenad. .id. de la lre id. id. ; Le lieut. de cav. Picard, en congé sans solde, Ro- est admis, sur dem., dans le cad. de rés. ide- Est acceptée la démis, du grad. et de l'empl. ert, off. par ,1e lieut. de rés. Henry, du 13° de lig. 'ai- * * * La déc. mil. .de /2e cl. est acord. aux -mar. des i la log. de lr® cl. De Jonckh'eere et Boutens, de la gewlarrn. * ** lLc maj. pens. Masset est déch., sur sa dem., ;-in_ de la dir. du serv. spéc. du casera, du camp de (]iv> Beverloo. nnç; —.. ■ . "i 1' Echos militaires — Le général majôr baron de Ryckel, sous-ajor chef d'état-major général, avait demandé le commandement de la .gendarmerie en rempla-■ cernent du général de Selliers de Moranville, • de ,;j^venu son chef à l'état-major. Le gouvernement, voulant, garder l'éminent pa'r' officier à l'état-ma-jor, où ses ser\Tices sont vi-irt. ; vement appréciés, lui a refusé le poste qu'il : lig. demandait.. nck> ^ . * * , . Le général Leclercq, qui commandait la bri- 1 'jc( gâide mixte à. Namur, passe à la tète de la I gendanmeriô/

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