La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1915, 07 April. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 07 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/db7vm43s8r/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22me ANNÉE. . MERCREDI 7 AVRIL 1915. ^ t N°- 97. COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. PETITS SUCCES. PARIS, 6 avril.—Communiqué officiel de 15 I.eures:— Il n'y h lien d'important à ajouter au communiqué d'hier soir. \u sud-ouëst de Vauquois, nous prîmes pied ^us un des ouvrages ennemis. Xotro succès dans le Bois d'Ailly (sud-est de ^int-îlihiel) nous a permis de faire des pris.on-nicts et de capturer une mitrailleuse et un UDceur de bombes, >'ous avons fait des progrès dans le Bois Brûlé ! , j'est du Bois d'Ailly. le terrain gagné par nous au nord-est de jfgniéville a été retenu.—Reuter. JOURNEE DE PLUIE. PARIS, 5 avril.—Communiqué officiel de 23 heures:— Journée de pluie et de brouillard sur tout le front. Au Bois d'Ailly (sud-est de Saint-Mihiel) nous a\ons enlevé trois lignes successives de tranchées. Nous avons également pris pied dans une partie de l'organisation ennemie ail nord-eat d© Kegnieville.—Reuter. VERSION ALLEMANDE. BERLIN, (J avril.—Le grand quartier-général communiqué ce qui suit:— *ur le théâtre occidental de la guerre, depuis lùr, les Français sont particulièrement actifs i , ,:e la Meuse et la Moselle. Avec de grandes es c-t de nombreux canons ils attaquèrent au • rd-est et au sud-est de Verdun, ainsi qu'à Ailly, i .emont, Flirey, au nord-ouest de Pont-àMous-' - :i, au nord-est ainsi qu'à l'est de Verd.un. • Leurs attaques ne se développèrent pas toutes j'ir suite de notre tir. Au sua-est de Verdun ils lurent repoussés. Sur le versant oriental des hauteurs de Meuse l'ennemi réussit à prendre pied. ioinporairement dans une partie de nos tranchées, mais il en fut repoussé au cours dé la nuit. La bataille dans le voisinage d'Ailly et d'Apre-ir.ont a continué pendant toute la nuit sans aucun succès pour nos adversaires. Dans le voisinage de Flirey les combats furent très acharnés; là plusieurs attaques furent re-poussées.A l'ouest du Bois le Prêtre une énergique attaque française au nord de la grand'route Flirey-Poiit-à-Mousson fut brisée. Malgré les fortes pertes que nos adversaires ont subies au cours de ces engagements, il faut supposer, suivant la récente division de leurs forces qu'ils continueront leurs attaques dans ce district, la futilité de leurs efforts en Champagne ayant paru évidente.—Wireless News, COMMUNIQUE ANGLAIS. EXPLOSION D'UNE TRANCHEE LONDRES, G avril.—-Le Press Bureau publie la rapport suivant, reçu de Sir.John Frencli:-- 5 avril, 1913. (1) La situation reste toujours calme sur notre front. Un changement de temps a limité les possibilités d'activité de la part de nos aviateurs. (2) Au point de jour du 8, nous fîmes sauter avec succès une mine sous les tranchées allemandes dans les environs de La Bassée. Cent mètres d'une tranchée et une partie d'un four à briques turent détruits. A la'su'ite de cela, toute activité des Allemands dans le voisinage iinmé- iai fut arrêtée. L'artillerie allemande, au contraire. ;i soumis notre front dans ce secteur à un violent bombardement.(3) Sur notre extrême gauche, la supériorité locale acquise par nos tirailleurs a été recompensée par l'immunité relative avec laquelle les .travaux le nos premières tranchées a été exécuté. (4) A" çe propos, je voudrais faire ressortir que, <;uoi(]u'aucun communiqué n'ait été publié depuis le 22 mars, à cause du manque d'incidents dignes d'une mention spéciale, des activités individuelles se sont manifestées nuit et jour sur tout le front. L'effet général de ces activités, 'lans lesquelles nos troupes continuent a faire nreuve de la supériorité déjà signalée, est cumulative et possède une grande «valeur militaire. ZEEBRUGGE BOMBARDE. ACTION DE LA FLOTTE ANGLAISE. AMSTERDAM, 6 avril.—Un correspondant du "Telegraaf " donne des détails au sujet des opérations navales britanniques oui ont eu lieu samedi et dimanche au lairge de Zeebruggc. Deux poseurs de mine allemands étaient ••coupés à travailler activement devant le port., samedi après-midi vérs quatre heures, lorsque rois noiseurs anglais parurent et ouvrirent le :cu, provoquant la retraite éperdue des poseurs de- mines. . Le même soir, des croiseurs anglais bombardèrent les-batteries allemandes de Zeebrugge. Pendant toute la journée de dimanche, les Allemands restèrent préparés à une nouvelle ■ittaque, mais les navires anglais se contentèrent le croiser au large du port, apparemment dans !e but d'empêcher toute action de la part de soiis-mari-ns allemands. I-e correspondant déclare que le raid aérien wpl.iis de jeudi dernier a occasionné la mort d'un soldât. Aucun civil ne fut atteint. U ajoute que les effectifs allemands dans les entre Ivnocke et la frontière allemande ont '• renforcés ces derniers jours considérablement. On rapporte de tous cotés en Belgique que des ' paraiifs sont en coûts pour le retrait de - -ides masses de troupes allemandes des garnirons belges; elles sont envoyées vers l'est. Il" est certain que d'importants mouvements do trounes ont déjà lieu dans diverses partiés du Pays.—Central News. SUCCES BELGE AU CONGO. LE CHEMIN DE FER DU TANGANYKA. LE HAVRE, 5 avril.—Une dépêche du vice-verneur général du Katanga, le commandant | -ouibeur, au ministre belge des Colonies, annoncé ''l'une nouvelle attaque des Allemands au nord lac Kivu, a été repoussée par les troupes du [ l'°ngo Belge, l'ennemi subissant de fortes pertes. : Les Beiges refoulèrent les Allemands dans feur propre territoire. Lu voie ferrée reliant la rivière Lualaba avec lo lac Tanganyka, est achevée. Cet événement 'pnstitue une date mémorable dans l'histoire dv | u,ago Belge. j h sera désormais possible de se rendre de: i ■ Unley t'ai 1 s au lac Tanganyka, en sept jours , ; 'bemin de fer consolidera aussi la défense d( i la cpl0ai0 contre une invasion extérieure.—".In «cpendaûce." BILLET DE FLANDRE. UN DRAME DANS LES AIRS CI-GIT LE "TAUBE." 1 X ,- EX FLANDRE, Jeudi-Saint (par courrier)»—Les Anversois qui vivent actuellement ei. Craude-Bretagne se souviennent-ils des meetings d'aviation que l'on organisa jadis à leur intention? • Qu'elles eussent comme théâtre la plaine de Wilryclc, les sables de Sainte-Anne ou l'Escaut lui-même de Tamise à Anvers, ces manifestations sportives ne contentèrent jias toujours tout le monde... et leurs pères, les organisateurs. Si le public ne démolissait pas les tribunes, s'il ne paraphrasait pas l'énergique cri wallon "On rind les yards," les administrateurs tiraient des figures longues comme un jour avec pain KIv. Que le drapeau fit ou non son apparition à notre chère cathédrale le public-disait: "On vole 1 " Et il avait toujours raison, qu'il considérât le verbe voler comme transitif ou comme intransitif. Savent-ils, ces chers concitoyens, qu'en ce moment il y a meeting d'aviation permanent et qu'on y peut assister sans bourse délier?' Les aviateurs sont toujours là, et même un peu là! Mais foin de la redingote et du haut-de-forme ; .aux places de première l'habit militaire est de rigueur. Vous voilà tous invités! Ceux qui étaient aux premières cet après-midi ne se sont pas ennuyés et certains d'entr'eux ont volontiers rengainé leurs doléances sur la monotonie do leur vie de non-combattants temporaires. Mais situons le drame, car c'en fut un, ou plutôt ce fut un épisode marquant d'un drame, qeulque chose comme l'avant-dernier acte: il y avait le héros et le vilain à qui fut porté un coup sensible. Quanf à la jeune héroïne elle est captive encore, mais l'heure de sa délivrance est prochaine ! La scène représente la plaine de Flandre, brune et dorée sous un précoce soleil d'avril. Au premier plan une petite ville à'pignons,*bombardée il y a des semaines, bombardée il y a des jours, bombardée il y a des heures, qui sera bombardé* demain peut-être, mais qui demeure calme comni( une vieille béguine initiée, par les méditations. au.\' mystères de la vie et de la mort. Plus loin un canal où dorment des chalands ci qui file lentement vers une petite bourga.de ai: clocher trapu. En avant du canal, des champs labourés au-dessus desquels oscille le vol frémis sant des alouettes ; des prairies où les margue rites mettent de blancs astérisques. Au fond, tin village où un moulin symbolise h Flandre à côté d'un svelte clocher qui, miracu leusement, tient tête aux averses de fonte et dt plomb que le vieux faux-dieu allemand déchaîne presque sans trêve. Et sur tout cela ce ciel'merveilleusement claii et merveilleusement bleu dont le. seul souvenii doit vous faire gagner le "spleen" dans k> t brouillards des îles hospitalières. En vieux habitués de la scène no.us notom aussitôt le moindre changement dans le décor. Voilà que dans l'azur vient d'apparaître ur petit nuage lait-de-chaux. A côté un deuxième floeonne. Bientôt il en mousse vingt, trente, de: détonations éclatent à droite, à gauche, •partout Et à chaque coup un nouveau paquet d'ouau vient s'effilocher à l'horizon. Us se ressèrent autour d'un minuscule poin noir qui grandit, se rapproche et révèle bientôt le! formes caractéristiques de l'avion allemand qui l'on eut mieux nommé "Geier" que "Taube.' Car cet oiseau n'a rien de la colombe pacifique c'est un vautour qui cherche une proie. Il nous faut maintenant regarder droit au-des sus de nous pour voir» le sombre volatile. E nous sommes en plein sous la trajectoire de no canons qui vomissent slirapnell après shrapnel avec un long gémissement. Sur les pavés de ballettes de plomb s'abattent en claquant eoinm' de très gros grêlons sur un toit vitré. Gare ; "ces confetti que notre excellent bourgmestre M Devos—loin des yeux, près du coeur—eut san doute, s'il les avait connus, interdit au mêni' titre que les pois chiches au carnaval! Mais le tir précis de nos artilleurs oblige 1 "Taube" à virer de bord. Pendant qu'il déeri une large courbe, il tourne le dos à un biplai français qui file à toute allure pour lui coupe la retraite. Et à peine a-t-il repris la direction du fron que deux autres avions Alliés lui donnent 1 chasse. Les flocon3 laiteux achèvent de se dissoudr dans l'air. On ne tire plus! C'est maintenant une course de vitesse. L noir ennemi n'oublie pas ses plus noirs dessein et, faute de pouvoir faire pis. il laisse choir un bombe dans une de ces prairies constellées d marguerites. A la détonation de son engin perdu répond un musique plus allègre; le biplan vient d'accordé la parole à sa mitrailleuse. Tac-tac-tac-tac:tac tac-tac ! Le gracieux oiseau, dont la carapace d'alum nium resplendit au soleil, fait face au " Taube et fonce sur lui. Voici un moment inoubliable comme la ft conde imagination d'un Wells en a rêvé: la guerr dans les airs! Le "Taube" s'échappe, mais 1 " Voisin," digne de son nom, est toujours proche juste au-dessus de lui. Un cri jaillit des poitrines des témoins d cette scène. Le -Taube," de noir, est deven rouge. Il est en feu ! Et 1© voilà qui descend, loin, loin, avec un vitesse que les amateurs de records ne devror jamais lui envier. Il disparaît derrière le petit village ou u moulin symbolise la Flandre à côté d'un svelt clocher qui miraculeusement résiste aux obus. Nouveaux Icaves, les aviateurs germains or expié leur coupable témérité. Entre nos lignes et celles où l'on attenda • anxieusement leur retour, ils gisent carbonisés. Et le léger biplan "Voisin," qui revient de so " maiden trip "—il est arrivé'de l'usine ce mati est accueilli au passage par des saints ponctué d'interjections trop militairement énergiques poi n'être point sincères. Et tout rentre dans le calme relatif que noi apprécions ici: nos canons grondent, uiîe fanfai éclaté au loin, lés "envois" des Boches sor rares Ici, près de nous, un laboureur sème... Quand ce blé sera mûr nous en pétrirons 1 bon pain que, vainqueurs, nous romprons à 1 table du grand banquet final ! RAID AERIEN SUR BADEN. AMSTERDAM, 6 avril.—Un télégranime c Berlin dit:—Hier soir un aviateur hostile a je' deux bombes sur Mulheim, Baden, sans caus< de dégâts militaires. Trois civils furent tués.-Reuter.LE RAVITAILLEMENT DU LUXEMBOURC AMSTERDAM. 5 avril.—On annonce ( source allemande que le gouvernement c Luxembourg a réussi à obtenir des quantités co sidérables de vivres à Amsterdam. Des négotiations sont actuellement en coui pour l'obtention d'un permis d'exportation, et c estime qu'il y sera donné suite, si le Luxembou garantit la destination exclusive de ces denrées l'alimentation de la population civile. Les marchands allemands de blé et de grain ?ont, alarmés de ce que le gouvernement ait repr le commerce de blé de firmes privées, et il y il du malaise au sujet des limitatious croissant • apportées rfUx entreprise.; particulières-—Ccntr &0VV3. COMMUNIQUES OFFICIELS RUSSES. NOUVEAUX SUCCES. IMPORTANTES CAPTURES. RETROGRADE, 5 avril.—Le communiqué officiel de Fétat-major général publié ici. aujourd'hui dit :— Sur le-front à l'ouest du Niémen, nos troupes ont continué hier à faire des progrès heureux sur certains points. Dans les Carpafhes, pendant la nuit du o au •1 avril, et toute la journée du lendemain dans la région au nord de Bartfeld en Hongrie, au-délà de la passe Dukla, il s'est produit des combats violents à l'arme blanche et des duels d'artillerie. Nous fîmes prisonniers 20 officiers et plus de 1200 soldats, et avons capturé deux mitrailleuses. En même temps nous continuâmes à enregistrer de nouveaux .progrès sur le front entre Mezo Laborcz et Uszok. Dans le courant de la journée nous avons capturé 25 officiers, plus de 2000 hommes et trois canons. Après l'occupation de la station de chemin de fer de Cisna (sur le versant galicien de la passe de Lupkow), nous avons saisi de nombreuses locomotives et voitures, ainsi qu'un vaste dépôt de munitions et un convoi d'approvisionnenients. En Bukovine, des combats désespérés se sont livrés, samedi et dimanche, près du village d'Okna, au nord de Czernotf itz, à la suite desquels plus de mille prisonniers autrichiens tombèrent en nos mains. Sur les autres secteurs du front, la situation n'a subi aucun changement marqué.—Reuter. UNE VICTOIRE RUSSE. PAlflS, 6 avril.—Un télégramme de Vienne à la "Tribuna" de Rome dit qu'un engagement sanguinaire est en cours depuis dimanche dans le district de Saros, sur la frontière de Galicie. Suivant les dernières nouvelles autrichiennes toute l'armée austro-allemande opérant dans les Carparthes, de Dukla jusqu'à Eperges, est en pleine Retraite. Les nouvelles troupes bavaroises, ajoute le télégramme, font mauvaise figure sous le feu. Au cours de la journée de dimanche les troupes austro-allemandes ont perdu 15,000 hommes.— Exchange. TERRIBLES PERTES AUTRICHIENNES GENEVE, G avril.—Suivant un télégramme de Vienne à la "Tribuna" de Rome, les Austro-Allemands auraient perdu dimanche, dans la région de la passe de Dukla, une quinzaine de mille hommes.—Central News. DANS LA MER NOIRE. DEUX CROISEURS TURCS CHASSES. PETROGRADE, 5 avril.—Un communiqué s officiel public aujourd'hui dit:— Le :> courant, dans, la mer Noire, au large d< ; 1a, côte de Crimée, notre flotte échangea des . salves à longue portée avec les croiseur: • " Goeben " et " Breslau," qu'elle poursuivi' ; jusqu'à la tombée du jour. Pendant la nuit nos torpilleurs rencontrèren . les croiseurs ennemis à une centaine de milles di t Bosphore, mais ces derniers ouvrirent un fei ? très vif. et déclinèrent le combat.—Reuter. I MINES EN BALTIQUE. i STOCKHOLM, 5 avril.— Le " Svenska Dag blad " apprend, des autorités navales suédoise! j qu'il est évident que les Russes ont posé d< i nombreuses mines dans la Baltique, le long de; côtes allemandes de l'île de Ruegen jusqu'à l'îflo i de Bornholm. Des mesures énergiques ont im I médiatemeht été prises par les Suédois. :ifin d< t mettre ..leur marine marchande-en garde contre les dangers de ce nouveau champ de mines. De; torpilleurs signalent le danger aux capitaine-; t dans la Baltique et dians le Sund.—Reuter. i BOMBARDEMENT DE SMYRNE. * ATHENES,' 5 avril.—Le vapeur " Arcada ' ., aii'ivé au Pkée venant de Vurla (Asie mineure " signale que Smyrne avait été bombardé hier. ' Une violent canonnade a été entendue, et l'oi ^ vit plusieurs navires de guerre faisant route dan. " îa direction de la ville. n Les Turcs refusèrent à 300 passagers l'auto J". risation d'embarquer sur 1' "Arcada."—Centra _ News. L'ATTAQUE DES DETROITS. e LES FORCES DEFENSIVES ° -, TURQUES. DEDEAGATCH, 3 avril.—Les forces turque en Tlîraee, aux Dardanelles et à Constantinopl' se répartissent actuellement comme suit:-— e Une armée de 100,000 hommes est concentré t à Gallipoli et aux Dardanelles, sous le coni mandement effectif d'Essad pacha, le défenseu "J de Janina. Une deuxième armée de (i0,0(> e hommes, destinée à l'a défense de la ville de Cor: stantinople, se trouve aux- environs de cette ville t prête à se porter à l'endroit qui serait menace Enfin, une force de 40,000 hommes environ s t trouve en Thrace, et surtout à Amlrinople, don on a commencé à compléter la défense, qu'o: n avait entièrement négligée ces derniers temps II La plus grande partie de cette armée de 200,00 s' hommes appartient à la réserve de la territorial r levée en masse depuis quelques semaines. Ell est encadrée par des officiers allemands. s Le point.faible de la valeur de l'année turque *? c'est le manque de munitions. Durant les (ici x nières opérations des Alliés dans les Dqrdanelle: les Turcs ont dépensé une quantité considérabl ° de munitions qu'ils ne peuvent plus remplace: Le manque surtout de mines sous-marines se fa durement sentir. L'ordre a été donné aux troup*-de n'utiliser les munitions qu'avec la plus grand économie possible et seulement lorsque cela c-: indispensable. L'armée de Constantinople est casernée dan i les maisons privées, lés casernes ayant été tran; [T formées en hôpitaux par crainte des aéroplane _ des Alliés. Le' général Liman von San-ders, qi concentre la direction générale des opératior militaires sur tous les fronts, a établi son qua tier général dans la maison des frères Kazanova T- Quoiqu'une décision définitive n'ait pas encot le été prise concernant la défense de la ville ci u Constantinople. on continue à compléter U i- travaux de défense autour de la ville. La côl européenne de San-Stefano jusqu'à Bouyoul s, Tsekmexljé, et la côte asiatique depuis Haïda m Pacha jusqu'à Pejidik, ainsi que les îles d< ■g Princes, qui se trouvent entre ces deux côtes, oi à été pourvues de travaux de défense et de canoi de siège. ?s Actuellement on travaille fiévreusement is mettre en état de défense la côte du côté de a mer Noire, où les Turcs craignent un débarqu ïs ment russe. Toute la population mâle de c< al endrerii-s est forcée d'aider à ces travaux.—"I LES PIRATES. DEUX VAPEURS COULES. DEAL, 6 avril—Le steamer belge "Topaze' a débarqué ici ée matin l'équipage du steame anglais " Northlands," de 277G tonnes, appar tenant au port de Cardiff, torpillé lundi matin i 11 heures au large de Beachy Head par le sous marin ai.emand " U1.2." Le " Northlands" transportait une cargaisoi de minéral de fer. Son équipage vit apparaîtn le submersible et essaya de lui échapper et formant la vapeur et en navigant en zig zag, mai il fut rattrapé, et averti d'un coup de canon ; blanc d'avoir à stopper. Le commandant aile mand donna, deux minutes aux vingt-quatr-hommes pour s'embarquer dans les deux'canot et torpilla le bateau, qui coula en dix minute après s'être brisé en deux. Le sous-nia/rii plongea immédiatement, abandonnant l'équipag-à son sort sur une mer houleuse. Au bout d sept heures les canots furent aperçus par 1-navire belge. LE " PRINZ EITEL." NEWPORT NEWS, 5 avril.—Le commandai! du chantier naval de Norfolk s'est rendu à bon du " Prinz Eitel Friedrich " et y a. conféré ave son capitaine. On prévoit maintenant avec certitude que ayant manqué l'occasion de fuir dans la tempét de samedi, le croiseur auxiliaire allemand ser interné sous peu.—Reuter. LE SORT'D'UN CHARBONNIER ITALIE1S GENPiS, 6 avril.—Le steamer italien " Luig Pàrodi,'' qui avait quitté récemment Baîtimor avec une cargaison de charbon, est considér comme perdu. On n'a plus reçu aucune nouvelle du " Luij Parodi " depiifs son départ de Baltimore, < aucun navire suivant , la même route n'a p donner aucune information au sujet du sort d charbonnier. Les journaux attribuent sa disparition à un • attaque d'un .sous-marin allemand, encore qu' soit elifficilede croire que des sous-marins opérer dans cette zone de l'Atlantique.—Reuter. UN CHALUTIER TORPILLE ET COULE Le chalutier "Alantha" a été torpillé hier » coulé au large de Longstone. L'équipage de 1 hommes fut recueilli par le vapeur suédo "Tord" et débarqué à Blyth. Le chalutier revenait de la mer Blanche av< une fort chargement de poisson lorsque vers ur heure de l'après-midi le capitaine entendit ur violente fusillade; il vit alors à une distance d-'ei viron 200 mètres un sous-mafin peint en blan U lui montra lestement la poupe et fila à tou vapeur. Malheureusement un coup de canc toucha le milieu du chalutier, qui donna de banrle. Le capitaine donna l'ordre de descend 1 les canots; pendant qu'il descendait la seconc embarcation le sous-marin recommença à tirer, dès qu'il en eut l'occasion lança une torpille, q' fit couler le chalutier en dix secondes. Les Ail mands n'offrirent pas Iei moindre secours, : donnèrent le moindre avertissement. L'ATTENTAT CRIMINEL CONTR LE "FALABA." EXCUSES ALLEMANDES. Le télégramme suivant'destiné à excuser l'f tentât criminel contre le "Falabà" a été.répani par la T.S.F. allemande:—- BERLIX. (j avril.—Le fait d'armer des navir marchands et le conseil qu'on leur donne d'î taquer les sous-marins forcent ceux-ci à agir vi et rendent impossible le l'ait d'accorder un tem plus long pour sauver les vies humaines. Toute la responsabilité retombe sur le go vernement britannique, qui contrairement (s: aux lois internationales a inauguré là guerre coi ! merciale contre l'Allemagne et contrairement (s > aux lois internationales a permis aux navir ' marchands d'offrir de la résistance.—Wirele ' Press. LE COMBAT DES EPARGES. UN OURAGAN DE FEU. 1 ; PARIS. 5 avril.—Un communiqué officiel < Bureau de la Presse donne les détails suivar - sur les combats aux Eparges:— 1 Un compte-rendu détaillé a été publié d divers engagements qui nous ont valu la captu d'une partie importante des positions allemande à la date du 17 et du 20 février. Le communiqué du 20 mars annonça ele ne veaux gains, à la suite de contre-attaques al mandes infructueuses. Les rencontres , des J 19 et 20 m ars %ne furent pas moins brilla ni que les précédentes, et se développèrent avec même méthode.et le même succès. Dans les tranchées démolie^ par le feu s notre artillerie, nous avons découvert nombreux cadavres enfouis sous là ter Quelques survivants se souvenaient encore î l'effet foudroyant de nos obus: ils appartenais - au 4me régiment bavarois qui venait de relaj r à oet endroit les' hommes du Srne régime ) bavarois. Ce dernier avait été terriblement < - cimc au cours des batailles livrées en févri-, le 4me bavarois qui Pavait-remplacé, avait re • ordre de conserver coûte que coûte les trancha 3 sises sur les hauteurs, restant encore aux miai t des Allemands. i Depuis l'attaque de février, les Alleman avaient entrepris la construction d'abris se ) terrains creusés à une profondeur eonsidérab e Tous les hommes de la division, qui étaie c d'ancien* mineurs, avaient été. rassemblés pc creuser des excavations de huit mètres de p , fondeur. Au moment de notre attaque, les Bavarois trouvaient an fond «le leurs abris, mais le i c placement d'air causé par nos projectiles éteig ■. leurs lampes. Ces hommes, plongés dans l'obsi t rité, furent aisément faits prisonniers, et s soldats occupant les tranchées furent à leur te e tués ou blessés par notre artillerie, t L'effet de nos obus fut tout aussi formidal sur les troupes de renfort. Elles furent surpri: s par un ouragan de feu, et l'intervention de no i- infanterie compléta l'œuvre de notre artillci s —Central News. li s LA SANTE DE M. VAN KUYCK. ANVERS, 1er avril (par courrier).—L'état e santé de M. Van ICuyck, échevin des beaux ai e a gravement empiré. L'honorable échevin a s vivement affecté par le bombardement de la vi € 11 ne s'en est pas remis. D'ailleurs depuis l'o ration de la double cataracte qu'il a subie, r- déclinait visiblement. Les docteurs Poirier >s Ciselet le soignent. Us n'ont plus d'espt it, L'hydropisie se montre. Ce serait une vraie pe 3 pour Anvers. Bon citoyen, bon édile, tolérant serviable, presque en dehors des partis, sa i* laisserait un grand vide. a -r~ T ~ -On mande de Pétrograd qu'un ukase ls pelle sous les drapeaux les conscrits dte la cla ,e 1916. cc qui augmentera l'armée russe hom'Dfvs. PEUT-ON RECONSTRUIRE? "OUI," REPOND M. NYS. Le Comité national de secours et d'alimenta tion, constitué à Bruxelles, s'est occupé de la pos sibilité de venir en aide à ceux de nos com 1 patriotes dont les demeures ont. été détruites 1 en nemi ou par suite des péripéties de la guerre. Mais avant d'agir, le Comité a voulu établir 1 » situation- légale-des intéressés. Et il a, fort sage i ment, demandé à un de- nos juristes les plu 5 qualifiés en Droit international—M. Ernest Nys 1 conseiller à la Cour d'appel de Bruxelles—un consultation sur ce sujet. 5 Nous croyons intéressant pour les nombreu 5 Belges réfugiés en France, en Angleterre, e: i Hollande, en Suisse et dont les demeures ont ét 15 anéanties, de reproduire ici le texte intégral de 1 ^ consultation de l'éminent jurisconsulte: La reconstruction de maisons " sinistrées durant la guerre, a suscité, dit M. Nys,' une objei tion. L'opinion s'est accréditée que ceux qui r< construisent ou simplement déblaient les mat< j riaux " éboulés " ne recevront aucune indemnit c. après la guerre. L'auteur de la note qui m'est soumise ' écrit : "J'estime cette opinion erronée et. je pens< 5 qu'après une expertise sérieuse, on pourra pa: 1 l'aitement discuter, une fois la paix signée, l'ir demnité due à un "sinistré" qui aura rétabli sq habitation." J'estime également, continue M. Nys, que 1 i réparation et la reconstruction eles bâtiments el ® tériorés ou détruits ne pourront être invoquée c contre les propriétaires qui les auront fait ex< i cutcr. t Dans, tous les cas, dès maintenant, celui-ci do n réunir les rapports d'architectes, d'entrepreneur u de gens de métiers, les affirmations de personne dignes de foi, les feuilles de contributions, h e polices d'assurances, les quittances et autn I documents e[ui lui permettront d'établir la valei t antérieure à là destruction et la mesure dai laquelle celle-ci a été faite. Mais il est. ur observation fondamentale et dont on ne tient pi compte, semble-t-il. '* En cas de destruction par la guerre, le citoye ^ n'a pas droit à une indemnité. On a invoqv ,J la solidarité des nationaux; cette idée absolue n 13 jamais été appliquée. Il ne s'agit pas de mesun décidées en vue de la défense du pays et ex c eutées de propos délibéré par les autorités mi: e taires, en dehors de la pression des événements ( e guerre ; en pareil cas, il y a expropriation poi cause d'utilité publique. U s'agit (le faits t guerre: en el'autres mots, d'actes qui se sont a e complis sous l'irrésistible force des circonstance II " La destruction par l'ennemi, dit Charl a Ballot ("Des effets de la guerre," 1871, p. 49)_i e donne aucune action en recours au propriétaii le ni contre l'Etat ni contre les communes. "La destruction par les nécessités de la d 11 lense n'en donne pas davantage quand celle-ci e; lieu sous la pression urgente des faits de guerre 11 Un autre publiciste. Charles Pont (" Réqi sitions. militaires en temps de guerre," 1905, 83> a essayé d'énumérer les dommages provena des faits de guerre et ne donnant lieu à aucui p indemnité. "Sont considérés connue tels, écr il. tous les dommages quels qu'en soient 1 auteurs qui résultent des rencontres de l'anm des ravages causés par les projectiles et par 1 combattants, des occupations, détnolitior tranchées, terrassements ou autres ouvrages fa: sur le champ de bataille ou à ses abords... généralement tous les faits qui se rattachent a ■t- nécessités immédiates de la lutte; on y ajou iu tous les dommages qui proviennent du fait l'ennemi, même de ses opérations préparatoiri es car tout ce çiui vient de l'ennemi a le caractè ,t- de contrainte et de force majeure s'exerçant s te le pays envahi, sur ses habitants et sur 1er îs biens." Pour les réquisitions et pour les contnbutio u. en argent, des distinctions ont été faites q e) nous pouvons nous abstenir d'indiquer ici. jj. Le point important est le suivant: dans c) phase actuelle élu Droit des Gens le droit à' 1': es demnité n'existe pas en cas de destruction par ss guerre; toutefois dans presque tous les pays, c lois ont attribué après, la guerre, aux citoyens ç auraient perdu tout ou partie de leurs biens que la loi française du 27 février 1793 appel des indemnités des secours. En 1871, notamment, l'Assemblée Nation) de France fut saisie d'une proposition de loi e voulait faire supporter par l'Etat les domina? que la guerre avait fait subir aux habitants. L' i eles arguments était que la guerre n'est pas y: cas de force majeure, mais qu'elle est un im] d;j. sang et d'argent à payer par tout le mom Thiers combattit le principe sur lequel repos es la proposition de loi. Il lui opposa un princi re différent; il montra l'Etat libre d'indemni: :s, seulement des dommages volontaires intentii nels, réfléchis, dont il est l'auteur. Il affiri u- que l'Etat n'était pas tenu d'indemniser c le- hasards de la guerre; il soutint qu'il s'agiàs S, non d'une dette, mais d'un acte de bienfaisai «s et de générosité nationale. C'est élans le sens la secours que disposèrent la loi du 6 septeml 1871 et la loi du 7 avril 1S73. de II faudra, en Belgique, fairo une loi pe de régler l'indemnisation. Lors de la confection e. cette loi, il sera sage de faire des dispositif de concernant les reconstructions et les réparatie nt déjà.opérées par les propriétaires: cependant er va sans dire qu'en dehors de toute dispositi nt expresse, les reconstructions et les réparations lé- pourront en rien aggraver la situation des p îr, priétaires qui les auront fait exécuter, çu H n'est pas sans utilité de mentionner qu es 1910'l.-f Chambre des Députés de France a ns saisie par l'initiative parlementaire d'une position de loi concernant les dommages ma ds ricls ptovenant des faits de guerre; elle met! •u- l'indemnité à charge de l'Etat moyennant le. clamation à faire valoir avant la conclusion nt la paix. ur Bruxelles, le 5 janvier 1915. ro- (s.) ERNEST NYS, professeur ele l'Université ,s.e Telle est donc, ajoute le " XXme Siècle," ." situation en droit. Il n'est pas sans inte 1111 d'ajouter qu'en fait, il faut souhaiter—et < ,u" indications précises ont été données officie es ment à cet effet—que l'on reconstruise le mo ur hâtivement possible, surtout dans les villages , les hameaux. II faudra évidemment profiter des cire :€s stances—ce sera le seul profit ele la guerre . pour imposer' aux demeures de ne>s cultivate 1€' de nos ouvriers des petites villes et des cî pagnes, les conditions de confort, de salub' et d'hygiène qui, trop souvent, leur faisai défaut. j Nous pouvons dire que la question a été rr à l'étude depuis les premières semaines de ifi guerre par le département des travaux publ "j„ Et tout fait augurer pour nos paysans et oé ouvriers des demeures coquettes et confortai ' que leur vaillance et leur endurance leur aur ct bien méritées. >ir. ; — , rte —Un Zeppelin a survole dimanche, soir ct rade de Dunkerque. Avant été signalé par rte torpilleurs, le dirigeable retourna immédiatem vers les lignes allemandes. — Une dépêche de Rome annonce qu' ap- sécousse sismiqu,e" fut enrégistrés lundi à 7 sse 20 du matin par l'observatoire d© Rome, de croit que la région.affectée est celle d'Avezzi Les dcLails majT-aue***- LA CIRCULATION A TRAVERS LA BELGIQUE Un "avis" du gouverneur général von Bissing a été placardé sur les murs des villes belges * occupées. Il est ainsi conçu:— A côté do morf'désir de faire revivre le commerce et le trafic dans le pays, j'ai mon devoir • militaire qui m'oblige à arrêter tout espionnage cie l'ennemi et à empêcher les Belges en âge de 1 porter les armes de t quitter le pays pour aller s'enrôler dans les armées ennemies. J Si ce devoiT militaire m'oblige à imposer cer-' taines restrictions au mouvement dif iniblic, l'-a» 2 faute en est en grande partie à telle partie de la population qui favorise les tentatives susmen- c tionnées. } En conséquence, je me voisj à mon grand; ^ regret, daps l'impossibilité-d'abroger les prescrip-1 tions touchant les passeports dans les .provinces touchant aux Pays-Bas, notamment dans : la province et position fortifiée d'Acnrers; la province de Limbourg ; l'arrondissement de Liège avec plaoe fortifiée; l'arrondissement de Verviers, de même que dans la contrée touchant à notre front é de bataille, l'arrondissement de Tournai. Dans toutes les autres parties de mon gouvernement, je veux—confiant en la loyauté do la population—lever les mesures restrictives du 7 passeport, excepté celles touchant la circulation des autoinobilejs. Pour la partie du territoire soumis^, à l'obliga* il tion du passeport, il est imposé l'obligation d'un " laissez-pagser," pour la edrculation en auto-a mobile, en chemin de fer, en chemin de 1er i vicinal, en bateau, à bicyclette et en voiluro (celle-ci seulement en dehors des aggloméra-s tions), et celle des piétons (au delà d'un cercle -- de (> kilomètres de ra3ron autour du lieu de 'leur résidence). Pour qu'il soit possible d'identifier toute per-, sonne rencontrée en dehors des agglomérations, 's en général "toute personne privée appartenant a ;s n'importe quelle nationalité" âgée de plus de ; 15 ans. sera tenue de se munir d'un "certificat |r d'identité" et contenant sur un formulaire à se procurer ici : les nom, domicile, lieu et «lato de naissance, âge, profession et jjhotographie du ,s porteur ainsi que la signature engageant, la res~ jxmsabilité de l'employé ayant délivré le certi-n ficat. ' Les prescriptions existantes touchant les rap-ports entre la Belgique et l'étranger, de mémo ;'s qu'avec la région d'étape et d'opérations, restent en vigueur. : J'espère que mes efforts en vue de ranimer le» i" commerce et l'activité ou pays, efforts qui té-; r moignent de ma sollicitude pour le bien-être et la prospérité de la population, rencontreront au-, près des autorités et du public l'accueil et l'appui que je puis eu attendre dans l'intérêt bien :-om-f" pris de tous et que je ne serai pas obligé de re-prendre les mesures restrictives que je viens de e lever. ' Ces prescriptions sont entrées en vigueur k g. partir du leT mars aernier. a Elles imposent tellement, de paperasseries nou. v velles, qu'au fond... rieii n'est changé! ti- : ni LES BELGES EN ANGLETERRE ie it- es Nos lecteurs sont priés de bien vouloir yisiu^ e, le "Savoy Hôtel" demain jeudi à l'heure c\i es five o'clôck..w is. Ce sera l'occasion pour eux d'admirer nombrf ts de toilettes charmantes pour le printemps crcéc.1? et par M. Revil. Tous ces costumes sont fabriqué- ix d'étoffes provenant exclusivement de manufao te tures anglaises, et les plus jolies actrices de# le théâtres de Londres serviront de mannequins .<= pour la circonstance, attendu que cette manifesta. rè tion d'élégance aura un but hautement philau« ur' tropique. ... rs A l'issue du thé tous les modèl.es seront vendu* aux enchères, dont le montant intégral ira au ns fonds de Sa Majesté le roi Albert, ne ' Le comité du Club Albert de Tunbridgc Wells la a l'honneur d'inviter tous les Belges ele cetter n- localité et des environs à l'assemblée général*» la (fête intime) qui se tiendra en son local, :'.2, es ' Calverley-road. demain jeudi, à 3 heures de re* ui levée, à l'occasion de l'anniversaire du Roi. ce Des drapeaux belges et d^s friandises serons* lit offerts aux dames et aux enfants. Lie Le vicomte Bryce, O.M., inaugurera ui jourel'hui l'exposition de la reconstruction de I? ;es Belgique, à quatre heures de l'après-midi à U un School ot Architecture, University College, Gower- Lin street. >ôt La direction du collège a placé à la disposition le. du comité des salles en vue de conférences, ait cercles d'étude et de l'Exposition, qui restera pe ouverte pendant tout le mois d'avril. Une ;er grande collection de plans, photographies des >n- villes belges détruites a été réunie pour permettre na aux architectes, ingénieurs, avocats, conseils les municipaux belges et autres pour leur permettra ait d'étudier les nroblèmes de la reconstruction pro-ice chaine des villes. Des plans d'un intérêt parole ticulier, montrant les dégâts causés dans certaines >re villes ont été mis à la disposition du comité par le gouvernement belge, ur ins DECLARATIONS D'UN CONSUL BELGE, ns MELBOURNE, 6 avril.—M. Lauwers, consul- il général de Belgique, au cours d'un discours pro- on nonce hier à Bendigo, a déclaré que la Belgique ne savait quelque temps avant la guerre qu'un oon- ro- ffit allait éclater entre la Grande-Bretaghe et l'Allemagne, mais que la Grande-Bretagne ne en voulait pas y croire. L'Angleterre, déclara M. été Lauwers. aurait dû dire il y a longtemps à l'Aile- ro- magne: "Arrêtez vos armements et J'accroisse- té- ment de votre flotte, ou- nous vous déclarons la ait guerre."—Reuter. LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILES. 9 penre la iigmï.—Joindre le montant aux ordres s.t.p. la rét T>EERSAERTS Jean de Cortenberg prié donner jes | > à son ueveu, 39. Pagc-strect, Londres, 6.W. Lus INDUSTRIEL belge installé en Angleterre et * cherche comptable dé Banque ou de grande industrie parfaitement au courant. Références premier ordre critées. Ecrire " Hicrea," au bureau du journal. Standard OïDce, on- Flect-st.. E.C. ■— ¥ ÏEGE--—Tout habitant du cette viiie employé lira JLi daiii m. L'INDUSTRIE DU CAOUTCHOOO est instamment prié de s'adresser aux bureaux do % lté VICTOR TYRE CO.. Ltd.. 15. Carteret-€tract. Westminster. Bn^ TVTOUS mettons vivement nos compatriotes en J.^1 garde contre certaines azences de placement d'employés. 3Se qUi no yisent qu'à leur escroqtker de l'argent. Ne rersez de la cautionnement ou de garantie qu>*^p ics «-éfcrenccs lee plus [CSi lérieu^esl ios / \N demande dessinateur belge ou français (de les ™ préférence ayant travaillé aux maisons Dorzéo <m r.n+ Gilain) familiarisé arec la construction des appareils d'évapo-ration ou similaires (fonderie, chaudronnorir) et jjourant en établir le prix de rerient.—Ecrire aux initialec R. E., ljureaa du journal. la T A METROPOLE paraît chaque matin, sauf la rlp-ç 1 J dimanche, dans le " Standard." Tendu chez tous le» 4 marchands do journaux «n prix d'ur. penny. Nous conseif-Cllt Ions virement à nos amis de s'abonner «u prix de 3sh. 3 par mois pour le Royaume-Uni et 4sh. <1 pour l'étranger, ct n* .. nous adresser '.e prit de l'«bonnement en un mandat. I.» , tarif des annonce? d'j la li;ne pour lo " T.!»m n* d'adreaes des exilés." payable d'arance. ci pour tont aut'ri On oublicité. le tarif du " Standiro'." Nous avons ourert un no bureau dans l'immeuble du "Standard," Fleetîtreet. lî!4. ,uu* *5.C., ouvert dè 2 \ 6 he'irea. Er. cas de demando C*C ■-'ndi'8 deux tiwhiBa d'an nennj.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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