La Métropole

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s.n. 1914, 18 Juli. La Métropole. Geraadpleegd op 18 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/z60bv7c258/
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LA MÉTROPOLE VX^O IVTNTBIMBINrTS _ 2 , tr. 16 — Un ta. ♦ ••••••••• • • • fr 8 — Sb mot» '''!!! ! ! i ' "0 Trol» mol». .••»••«••«•>" t 21e Année On »'*bonn« i tons le« bure*ui de poste et aux lacteui». (r NI ,0o ETRANGER, le port en sus: lN O I VO r</xt t A VfT-kt7 .'.k/.nn«C d#» nrAfArfellCA 8 UX le numéro Journal quotidien du matin le numéro g Tous les jours 59.ruedesPelflnea,Anvers Le dimanche g de 4 à 10 Administration: » 3519 t'e fPlUTIHK MTIlIltS „a„«* da,w«™, . T^nhone 617 Pa9e» WdUIMû Annonces ï la petite Chronique tporUv* U ligne llrae f, 0 30 t. 3 00 Annonces financ.id. »' I 00 Faits divers fin id. . 2 00 Réclames la llffue, » I 50 La Ville id. » " 00 Faits divers corps id. » 3 00 Emissions Prix à convenir 5ûmC(li Pour toute la publicité, sauf celle de la province dAn- «^tUIlCUl vers, s'adresser à V AGENCE HAVAS : ... ^ • * m 4. t m À à BRUXELLES : 8, place des Martyrs. juillet l9l4 à PARIS : 8. place de la Bourse. à LONDRES : »V.Çkg^EË°£jLi^—^ roui » ynditio^ B bureau Alcoolisme et stérilité i J'ai lu, il y a plusieurs années, ue mé moire d'un savant professeur de Munie] qui. après avoir recueilli des renseigne I monts statistiques sur la descendant d'un grand nombre de ses clients alcoc liques, démontrait d'une manière rrre I ïutable que l'alcool tarit d'une manièr certaine les sources de la vie. Les iule B'alcooliques étaient en grande majorit ■tériles ou bien leur descendance portai des traces ordinaires de la tare patei Belle encore accentuées dès la seconde g( aération. „ , Ces conclusions me sont revenues eo m( moire en lisant les travaux du docteu Btockard qui vient de démontrer d un manière expérimentale sur les animauj des cobayes, l'exactitude des conclusion I auxquelles le savant allemand était ai rivé par le chemin de la statistique. L'auteur s'était proposé d étudier k I effets de l'alcool pris à petites doses su ' la génération. Un lot d'animaux servi I de témoins, l'autre lot était placé en e> I périence dans une caisse renfermant d< I vapeurs d'alcool, et ils y restaient ira i heure on moyenne par jour P^dant^ I jours sur sept. Les animaux supportèrer I très bien oe régime, ils n étaient pM H K toxiqués et ils se trouvaient donc êti I tout à fait oomparables à un homme qi I va au café pendant une heure ou deu I pour y prendre des apéritifs, sans avo | jamais été même une seule fois ivre. 1 I réagissaient d'ailleurs à, 1 at\sorPtl°®' I l'alcool, tout à fait comme des homme il» reniflaient, s'assoupissaient, et s e Hormaient; d'autres plus excitables, s ag taient violemment ; d'autres devenais méchants et cherchaient querelle a to leurs congénères Après oe traitement les animaux p I naissaient normaux et avaient gagné < l poids. On les sacrifia aprèsi trente-d« ï mois d'expériences, on fit 1 " F oroscopique de leurs viscères, et de leu tissus. Les glandes reproductrices notai I ment semblaient touft à fait normales. F Le résultat des observations; montre q i les animaux n'ont guère souffert mdn S duellement, mais c'est sur leur desce dance que les tares heritées se : tèrent nombreuses et multiples. L alcc est donc un poison plus redoutable po la race que pour l'individu. Les tablea «uivants le démontrent surabondemmeo Unions Stériles Fécond. Rajeton _ _ Tir. m.-; I 1. Série de oontrôle fe&Ve et foraeftle I normaux 35 2 » w> i II. 1r génération ( Mâ-le ailcoolique. , [ femelle nonn. » 33 26 33 | Mâl* normal 0 i femelle adcool. 15 3 ib Mâle et femelle o 1 alcooliques 29 1& î flll. 2' génération Sujets d'origine alcool, avec . normaux 3 0 Sujets d'origine alcool, avec 9 alcoolisés 3 0 fujets d'origine alcool., non alcoolisés 19 ' 12 13 Le problème de l'hérédité a donc été • visagé sous toutes ses faces, et suivi toutes les combinaisons possibles, et 1 fluenco néfaste de l'alcool y est demont à-l'évidenco dès la première général» La stérilité dépasst la moitié, et cela la première génération. Les unions oondes donnent un nombre énorme mort-nés, supérieur toujours au nom do rejetons vivants. L action de l aïc s'étend même jusqu'à la seconde géné tion des sujets issus de parents alco< ques, et non alcoolisés. Ils donnent enc sept, unions stériles sur 19 et six rejet-morts-nés. . . , „ Il semble que le croisement avec des dividus normaux puisse paralyser c< tore héréditaire, mais le nombre des jetons vivants est diminué; si au contra te oroisement s'opère avec des radavn alcoolisés, les effets sont désastreux unions sont fécondes mas les rejet aaissent morts (5), et deux seulem restent vivants. . Jamais à ma connaissance, la resp sabilité morale de la stérilité n a établie aussi clairement. Le père qui s coolise d'une manière chronique ait donc en lui la source de la vie et c damne en outre ses enfants à la stôni Cette responsabilité morale de la st lité est par ces expériences définie a manière beaucoup plus précise; un gp nombre de personnes soiut donc stér fatalement, sans que leur conscience soit chargée. C'est donc une grave erreur de or que la limitation de la natalité est jours volontaire, et que la diminution nombre des naissances dans certaines gions, dans certaines familles est un dioe certain de leur immoralité ou de J moralité. La raoe actuellement vm paie très lourdement les excès en al de la génération précédente. Les départements viticoles de la I< r£ Bont dans ce cas et aussi les provi. industrielles de notre pays, l'immora la peur de l'enfant interviennent cea nement pour une grosse part dans la miniution de la natalité^ mais ce ne ; pas les seules causes. L'influence hér taire joue aussi un rôle très i^P^r dont l'étendue n'est pas encore défi] verrient fixée, mais il faut en tenir cod pour apprécier et juger la moralité personnes stériles, et fixer leur res sabilité. Le nombre des ménages sevrés des ces joies de la famille, maigre^leur intime et très vif désir est peut-etre b coup plus grand qu'on ne croit; ils pa souvent la consommation alcoolique leurs ascendants. Il y a donc un beaucoup plus étroit qu'on pense ord: rement entre la consommation de l'a dans un pays, et la fécondité de ses 1 tants. Son Eminence le cardinal Mercie condamnant et en s'efforçant d'enr les ravages de l'alcoolisme dans r pays travaille donc en même temps restaurer une natalité normale; et un devoir pour tous les catholique suivre ses conseils et de l'aider dai «W.U1. ... latnM L'Actualité La démission du général Huerti 1 . L'information taait de lois laua; ' AT faussement pair la presse jaune d. > VI Etats-buis s'est donc finalement vi Le président Huei-ta a deniissiomm " Oerteé, oette démission surprendra malgi & bout- cai" tous ceux qui ont suivi les eitorl 3 du général Huerta et qui n'ont oesse de rei é dre hommage à son indomptable éneagie dai t la lutte contre les ennemis du Mexique pot vaient espérer encore qu d sortirait van queur de cette lutte. Mais les circwistant* " L ont décidé autrement. . Dans sa lettae J démission, le général Huerta a donne les ra " Miis de sa démission et oe que 1 on se ref r sait de croire tant que les feuilles des Dta/h e Unis étaient seules à l'annoncer, se trauv ; aujourd'hui confirmé par le président lui-mi s ine. Le gouvernement mexicain était aboi - de ressources. La résistance contre les ifitat Unis et contre les rebelles, allies oontrair . ment à tous les démentis, 1 avait eimiso i oomme l'Europe se désintéressait dr- crt r lutte, dans laquelle il s'agissait cependant c t ses intérêts aussi, le président Huerta i nouvait que céder devant des foroes et d. s ressources de beaucoup supérieures aux si« v Les conséquences de cette démission du g t néral Huerta ne peuvent être prévues en i moment. Elles sont d'ordre absolument d 1 vers: politique économique et moral. Dans 1 e. deux premiers domaines, on en est twliti 1 aux suppositions, suppositions pour lesquell X les éléments ne manquent pas d ailleurs r qui se basent sur des faits tellement cono Is que les conclusions à em tirer s imposent, pre le nue d'eUes-inemes. , • c. En oe qui concerne les conséquences po ' tiques du départ de Huerta, elles peuve î être résumées en ces deux mots : Le pré Jr dent Wilson approclie du prote^r^ mir Mexique. L'intervention des Etats-Unis, to ls au moins en ce qui concerne 1 action du go vernemant américain, ne poursuivait d a a- tre but que le protectorat sur .a >. - .••••! ■n de l'Amérique centrale. Lorsque 1 on ét. x parvenu à hisser Madero n.la presidon après la chute de Porfmo Dtm, on croyi le but atteint. Madero fut renverse à s touir par les troupes de Huerta et les H.ta Q" Unis en étaient pour leurs. frais. Le suco seur do Madero n'était nullemOTi line orc le tuw des trusts américains et grâce a son an-d- aie et à son intégrité on pouvait esperer q n- son gouvernement rendrait au pays le oair ,o. ?t la séourité néoessraires. Il allait y arnv ni de l'aveu même du président démissionnai lorsque les Etats-Unis déba.rquerent des tr. U pes à Vera-Oruz, donnant ainsi aux rebe ax un appui qui devait leur permettre de se it. lover des défaites subies auparavant. La, volte allait être réprimée sans 1 ni'.or ' des Etats-Unis. Ceux-ci, de 1 aveu un i ,és trop cynique de M. Bryam, ne veulent ma tenant qu'une chose,_ à savoir 1 avenean i de Carranza ou de Villa. Peu leur rinpo d'ailleurs lequel de ces assassins arrive a présidence. C'est un de jours hommes-li 6 qui se trouvera au pouvoir, et si après c 0 le rival, l'autre brigand évince, se me' 8 combattre le nouveau président, les ^tî o Unis s'en trouveront charmés. L occasion proclamer définitivement le protectorat e pays sera toute trouvée. Avec Huerta paraît donc le dernier espoir du Mexique 0 sauvegarder son indépendamee. Les laits plus î-éoents sont là pour prouver qu il n „ >lus rien d'autre à attendre, a moins qu< sucoesseur d'Huerta soit plus heureux. Cb peu probable malheureusement! Les cire 6 stances ne changent pas en effet clu jour lendemain. En ce qui concerne les ooi în- quences économiques du départ du presid unt on les connaît depuis longtemps. Des a j in. sent et sans la moindre difficulté, le Mexi tout entier passei-a sous la domination „ trusts des Etats-Unis. La guerre menée ;v' Wilson contre Huerta n'était que lo resu », des pressions des hommes des trusts su. f^" gouvernement et oelui-ci en tire les a^ de litres politiques, laissant aux financière Dre pourvus de scrupules le soin de se livre oo! l'exploitation des ruines ilmonoelees pai ra- guerre au Mexique. Des voyageras qm ,li visité le pays pendant les dermeres sema en font en effet une description qui fait ] 516 -er que des années passeront avant que ms dé«âts causés par la guerre et_ les dçvs tions des rebelles soient répares. Mais in- ne concerne que les contrees agricoles itte oays. Les souroes pétrolifères ont ete pt re- ?ées par les brigands de Carranza et de 1 ire sous le menace des hommes d J trusts Jus Joute de suspendue le paiement des sub i„~ tions aux rebelles. _ 1 XI suffit de considérer meme superfjca Dnf ment ces conséquences de la giierre du ent xique et de la démission du général Hu naur se rendre compte des dégâts mo. on- causés par cette affaire. Le droit mteim. été nal en effet est frappé à mort par le n al. lent Wilson, le puritain amstere, qui xre métier d'enseigner ce droit à des jeunes naïfs de l'université de Princeton a fïï" ''avoir l'occasion d'appliquer ses prece l, . T,e gouvernement des Etats-Unis et suî -ri- u o-ouvemement démocrate de y>' ilson po me 4 ^a,n ter d'avoir créé des précédants oui i>nd tifient toutes les injustices et tous les iles mes contre le droit dîyns; les guerres tut en Triste gloire que certainement aucun d'Etat européen n'enviera à Wilson. lire J°er9- ;ou- ~ du in Industriels anglais enBelgi mte Les membres d'une société technique !Ool -Olaise, « The Institute of Automobile 1 neers of England ,, au nombre dune „cc quantaine, visitent actuedemfflit la Belg sous la conduite de leur président. M. C ^ lev Us sont accompagnes de délégués cieis de deux départements ministériels to!" tanniques, la marine et la guerre, dl- Les ingénieurs anglais ont ete reçus lont credi matin par M. Ad. Bremer admin édi- teur-dolégué de ta Société Oockenll iant raing. L'après-nudi du mente jour, ils oni liti té la Fabrique nationale <1 armes de g ± de HeLtaJ, OÙ ils ont été reçus par M 5 „ loppin. La veille, ils avaient visite des et d sements indnstnels d'Anvjrs et de Loi: ?on_ Jeudi matin, ils se sont rendus par SDécial de Bruxelles aux établissement 3°»- ltoe Mabille et B. Peignit s. _ à très l'usine était abondamment deooree aus eau- leurs anglaises et belges. Les ingénie lent oÏÏTétTîeçus par M. Pelsrtms, admin de teur-délé^ié, et. M E. Gremer thro lien -énéral. Ce dernier leur a offert à dinet «m château, à Manemont. cool labi- r . AV8S r en Xe A cette époque de l'année {e nombre c j, v abonnés se rendant en villégiature est ? t dérable. Pour faciliter la prompte exéi 0 ®f des mutations, nous prions instammet 5 abonné» de vouloir bien nous rappele is sa ancienne adresse en nous communiquan nnuuallA ndrBRSÔ. Échos LA VILLE e Programme de la journée H FETES ET CONFERENCES ^ Corclo d'éducation physique. — A 8 lieures et d ' mie, à la Bourse, grande démonstration de gyi e mastique avec le concours de l'Ecole normale i 6 l'armée à Bruxelles. l- Cercle Royal Union Dramatique. — A 5 heures^ s à la Gare Centrale, départ pour l'excursion — fê [-i champêtre à Vieux-Dieu. I COURS , I Jardin Botanique. — AS heures du matin, cou; s public et gratuit de microscopie. e Berlitz School, 8, Melr. - Langues rivantes. H La retraite de sir Cecll Hertslet e Une nouvelle qui sera sans doute reçue e S- Belgique, et à Anvens en particulier, av. it surprise et regret, c'est l'annonoe du depai de Sir Cecil Hertslet, consul général t !- Grande-Bretagne et doyen du ooaps conei tlLaine, qui compte prendre sa retraito 1 ann< prochaine. .e Ive départ de Sir Oecol Hertslet, qui i jejoompbe que de fortes et sincères sympathie « sera unanimement regretté surtout à Anve i- où tous ont eu l'occasion d'apprécier ses em I nantes qualités de dipilxxmato avise et mrruei 3 I et de parfait homme du monde. , 50 Qu'à nous soit permis de rappeler ici qi i-lo'est, en grande partie, grâoe aux constan ?s|efforte du distingué consul général d Angl ;■ I terre que s'évanouirent dans son pays l îs I préventions fortement enracinées contre ît rôle que la Belgique joua au Congo belge islqu'il fit apprécier oe rôle à sa juste valeu s-Je'est encore grâce à des rapports consulair (d'une rare impartialité et témoignant d il là-1parfaite connaissance de la situation mdx îtl tri elle et comme foiailie du pays et en par »i- bulier d-u port d'Anvers, que se resserrere le d'avantage les .excellentes relations d amul ut et d'affaires entre l'Angleterre et la Belgiq" u-Jet dont nous ne pouvons que nous relicrU u- On peut dono affirmer que le séjour a A vers de Sir Cecil Hertslet aura été le d.ig itlcouronnement d'une brillante carrière i cc {cours de laquelle il s'acquit 1 aamtie partie ât libre de notre Souverain et qui lui valut I an sympathies aussi profondes que sincères :s- J tous ceux qui ont eu l'honneur de Je conni! k- j tre de près ou de loin. Sir Oecil Hertslet emportera dans sa. } j traite l'estime de chacun et le regret de ue] voir nous quitter trop tôt. nei fA Dans l'Ordre de Léopold ra-\ A Anvers sont nommés dans l'ordre de L< le?|poM: , .... _ re- Officiers: KM. Oambresy,, auditeur m. ré-1 taire à Anvers, et Olilevier, vice-prçgident I tnibumal d'Anvers. ►eu Chevaiiers : MM. Biart, Oruyeamms et M< im-jtens, vioe-présidente au tribunal .d Anve: mt Witteveen, juge de paix à Anvers (2e a rU ton); Ayou, référendaire-adjoint, De Jon, la ancien juge; De Lesçduze, Relecom et V resIHemelnjcK, juges au tribunal de comme ela d'Anvers; MM. les curés Beten, curé-doj i à à Boom, et Van deci Eynde, our<wloyen »ts-JDeume, et M. Van de Zandem, notaire . de I Anvers. SU1 I ~ Le monument Beernaert 'W U avait été dit que des efforts serai . I tentés en vue de répairer le geste stupide■ ■ p anticlérioaus du Conseil commamal dans 1 faire du crédit sollicité par le Comité I monument Beernaert. " On aurait essayé notamment de repree ' ter la proposition de crédit et de faire AT1«- venir le Conseil sur sa décision. Les libéraux modérés, que desole la ty.r JVTJnie de la démagogie envahissante, ne T S vont se borner de cet espoar. Un article " r règlement d'ordre intérieur du Conseil c l+Tf I mumial interdit, en effet, de souonettre a r . i r, I veau au Conseil, dans le délai d_ un an, -jjj, question sur laquelle il s'est déjà pronoa f à La Fête nationale ' l'a| Le bourgmestre prie ses concitoyens de ont hoir pavoiser leurs demeures le mardi 21 ; ineshet, à l'occasion de la fête nationale. >en- ' H Le défilé des écoles ceci A l'issue du défilé des écoles à la placi th- Meir, te 21 juillet, jour de la fête nation oté- les enfants des écoles catholiques se dm riUa roret par la rue des Tanneurs et la Lor sanslrue de l'Hôpital vers le Cercle oatliolique ren- une oourte séance festavale aura lieu. Un petit cadeau sera remis à tous les eOilc fants avant pris part au défilé. Me- Tous le6 amis des ecoles catholiques ertn invités à oette séance, qui oammenceira -aux Ions» heures quarante-cinq. ifiio- rési l La Fête des mères | Lo 15 août prochain sera oélébrée, c« l'an passé, la fête des mères. On se soui que oette fête, due à l'initiative clo M 5r; Van Kuyck et lancée par la Ligue Anvei ™ Avant, eut en 1913 un succte très sati sant pour un premier essai. Nous n on Ions oomme preuve que la rapidité ave. les fleura furent enlevées Plaoe \ 'Lt il la date du 15 août. _ I Oette année-ca, sans aucun daute, le ' Icès sena plus considérable encore. Aussi mes^nous oertains que nos détaillanit manqueront pas de rappeler en temjw i là leur clientèle, la célébration du joui finères. La Ligue Anvers en Avant les y a BUS d'ailleurs en mettant à leur disposât™ affiches, comime elle le fit 1 annee dierr Les membres de la T/igue Anvers en A ^ jreoevront ces affiches gratuitement, «I autres négociants x>ouirront les obtenir m< gluant une légère redevance. offi- Rlbauds et mendiants de jadis bri-l Le Musée de Folklore, en notre viliie, stxle uni exemplaire absolument i^uqi mer_ « Der Fielen, Rabauwen ort der fecha stra-l Vocabulaer », publié en 1563 par Jan de t Se- à Anvers. . . visi- Oe volume très curieux contient un uerreLaipe oomplet du « bargoensoh or ai ■ Ga^ taal », la langue verte qui était en usag ablis- temps passé, parmi les ribauds et mène vain.Mont les villes et le plat pays étaient mi train à la suite des guerres incessantes, i Va- Un autre livre, la « Kluchtige Calto lont :| décrit en détail et en vers toutes les cou-lgoiies de mendiants, de faux îniirm-irs y d'étudiants à la manque qui e_xploitaii( istra-lcliarité publique aux XnIo et a V ile s: nteur-l Tous leurs boniments entrelardés de dans tions pittoresques empimntees aux la étrangères, que les commerçants espa I allemands et italiens avaient întrodu Anvers, y softt notés avec une scrupi exactitudle. Ces deux volumes, que tous les bibiio et folkloristes convoitent, seront reim.T incessaanment par les soins de MM. Vie le nos! Mevero et L. Baekelmans. consi- La réimpression sera complétée pa :ution étude sur la vie des ribauds et mendia t nos sur leur idiome spécial. • leur Voilà une très heureuse idée, qui ne t leur quera pas de réjouir tous ceux qumteT |les moeurs et coutumes du temps jadis. j j IWUUVH"»* Electorallsme Très justes, oes réflexions du « Bien Pu I blio » à propos de l'article dans lequel 1 c In dépendance » vient de lancer par-dessus bore les députés libéraux flamands: « Le fliamingantisane n engage point 1* parti libéral; seulement, le parti libéral em ! poche avec satisfaction les petits profits qu< lui vaut La propagande des flamingante anti cléricaux, contre les ministres et les deputfe catholiques suspects de tiédeur. » L' « Indépendance » a tort de rudoyer se laanis flamingants. Ceux-ci ne sacrifieront ja miais leur anticléricalisme à leur flaimngan e" tisinie. Ils font du flaniinganîtisme a peu pre 3 comme M. Neven fait de 1 antimilitarism u dans le Liimbourg, M. Pereoous du cartellis „ me dians le Pays de Waes, M. Van Hoegaer t den de l'anticai-tellisme a I.iege, M Loram du pacifisme dans le Luxemliourg. Tout oeli n'engage pas le parti libéral. Ce n est^que d ■sjl'électoralisme approprié aux intérêt? d parti libéral dans chaque région. » f Et le tout constitue le oode du pa.rfait labé Irai: « Agiter avant de s'en servir ». !c A Buenos-Ayres pour 375 francs •t] Voici une bonne aubaine i>our les Anvea 16 sois? Us pouri-ont visiter dimanche, gratui l" tement, un des plus beaux bateaux et de « plus curieux. C'est le « Bajùa Bkmca », d S Hamburg-Sùdamerikanische D. G. (agent ■e 1 ELffe & Co), amarré au quai CockeriM 15A 5,1 La Hamburg-Sud-Amerilianasche a fait er ■s Ibrer (Lans le service secondaire qu'elle orgî i-|n(ise avec la Hambiwg-Amenka Lime, vei ^ les ports de l'Argentine, oes vapeurs sp< Iciaux au transport des passagers de la noi ie velle (jLasse II A (classe mtermédiaiire entr les 2ième et 3ième classes), notamment 1i c Bahia Blanoa », « Bahia Castillo », « Bahi p Laura », « Buenos-Ayres ». le Ce qu'il y a d'extraordinaire dans ces bî ;t teaux, c'est que le prix de passage, malgré ] "' luxe et le confortable, ne reneat qu a 3/ 38 francs aller et 675 francs aller-retour Mont< ie| rideo ou Buenos-Avres. Et avec cela les pai ®" sagers ont accès h tous les ponts. Il faudn ,l; aider voiir cela! . . "I Le public aura libre accès a bord aimai ^ die de 1 à 5 heures de l'après-midi. le nj Le sorcier Raspoutlne lu S'il faut en croire les dépeches de llussL u- il n'est pas impossible que le sorcier Raspoi esltime se guérisse du coup de poignard que i le a porté Kionie Gouesseew qui coiiSKloi"a tî- llaspoutine comane un .oriininel aus^i redo table pour l'Etat que pour l'Eglise et qui r i ^ardait, a-t-elle déclaré, son entreprise < le châtier le « moine » comme un devoi r sac pour elle et pour les autres jeunes filles oubr g6es par lui. , , I Si le « saint homme », comme on i appetl là-bas dans les milieux les plus élevés, oruei jdie ^ blessures, son influence ne fera e\ Ideniment que grandir. Raspoutine preteo ili-lqu'ii est victime des machinations du moi: au Hiodore, son rival en sorcellerie, et qu kaura bien se venger. Ceci est'l'état despi ni-J dm moine sorcier, opérant dans un autre d "s ; m aine que celui des rhu màtismcs popul^aa m-|et jouissant de plus de prestige dans 1 ima| 5e. nation des grandes daane?-. r'^es que de co | sidérât ion dans l'opinion bourgeoise. ^ "cel Son histoire nous semble la caraoteris en J que de l'état d'âme du schisme russe. à! L'Œuvre du vêtement à Berchem L'excellente Œuvre du Vélément, qui, '-0 f11' la présidence d'honneur du distingue boui 166 uiesbre de Berchem, M. Fl. Cootmans, a d af-j tribué au cours de ses quatre annees d ex d11 bon.ee pour plusieurs millioi's -de francs ne 1 I tements aux enfante pauvres des ecoues en" Berchem, vient de publier son rapport i I nuiel. L'exercice 1913, dit le rapport, a marq a'n | un nouveau progrès très important de l u | vre, qui gagne de jour en jour plus de sy 1 I pathi.es, grâoe surtout à 1 aide moral et 11 5311 l'térielle du président d'honneur et des me ou" Ibres protecteurs. Le zèle des collecteurs ^ collectrices ne s'est pas démenti au cours |dernier exercice et l'œuvre a pu distnbi pour 2755 francs de vêtements. Voilà un bel exemple digne d etre si ou- partout ailleurs. uil-l ___ I A la mer ou ailleurs j Des grincheux, — il y en a toujours, Ue demandent pourquoi il y a tant de g kZ? qui fuient la ville où ils sont accoutumes JZ /ivre. Pourquoi, en prévision d un pc 0,„- | oette manie de se hâter à faire des mal 1 de s'enfei-mer dans des wagons sur oh au; Jet pouasiéreux, pourquoi ce désir d aubier vj (lians des hôtels pleins de fièvre et die or _n+ dans des villas mal meublées et moins c r» fortables, à coup sur, que notre chez no Est-ce pour distraire nos entante e Mai lest des tas de gens — trop — qui n'ont d'enfants et qui partent quand meme. Ls< pour raffermir notre santé? La bonne rume gue! C'est sans doute par amour de la ient ture? Qui oserait l'affirmer? .F. Les villes d'eau, les plages h La mc*ie, s en Palaces et les Casinos ne sont point la sfai- ture, que nous sachions. vou- Alors P i la- Ne serait-ce pas parce que, a nos y< ertelles vacances, le pont, lie moindre jour de < •ré, sont l'époque de la bonne paresse, d suc- liberté, de l'indépendance de tout ce som- nous assujettit? C'est certain: ce n e^t s ne tant la ville, l'intérieur gai et ooquet de « oulu I nous que nous fuyons, mais les habitudes de? monotonie, souroe de névro:a et de ncr diera I thénie. d^J C'est bien pooi.r oela que tant de gens lière. iront aujourd'hui. Combien ils ont raosot vant que noua voudrions pouvoir en faire aut le? Mais sovez tranquilles, amis lecteurs, v I- 1 —,,0 TnonniiArft r>as demain mat BRUXELLES Lcken Laet —)o(— (dos- Au ministère des sciences et des arts eren- Notre excellent confrere, M. A. ih. e au vez, directeur à titre personnel au mini iints des scienoes et des arts, vient d être no restés directeur. »pe », Le couronnement du Chah de Perse raté- Le ministre de Perse M. Mahmoud 1 « et recrevra à l'hôtel de la légation, le mar nt la courant, entre 2 et 3 heures, les félicita ëcJes. do la colonie persane à 1 occasion du co locu- nement du Chah. S Au Bureau socialiste international [tes à Le comité du Bureau socialiste int lieuse tional s'est réuni hier à la Maison du 1 pour s'occuper des divisions qui existei nhiles sein du parti socialiste russe. M. Emile •rimes dervelde, au oours de son récent voyaj bor de Russie, a fait les premières tentatives e: de l'unité et d'un rapptoohement entt r une fomiistes et révolutionnaires. nts et Parmi les socialistes étrangers qui se vent h Bruxelles en co moment pour s man- per de cette question, citons, M. K.Kai essent Mme Rosa Luxembourg, et plusieurs de à la Douma. Lettres de Russie —m— ) Correspondance particulière de la «Métropole. > L'anti-alcoolisme en Russie. — Les incendie de forêts. — La mort du Ministre de Hus • sie à Belgrade. — Affaires scandaleuses. Saiut-Pétersbourg, 15 juillet. Les ligues antialcooliques internationale " luttent depuis quelque temps contre i'usag l établi de lever le verre à la fin des repas e i wononçant speechs et toasts. Ce mouvement auquel ont souscrit deja sej. ; évoques d'Angleterre tend à se généranseï en ce sens que les toasts ne seraient pli; 1 obligatoires. L'empereur Nicolas II qui ei î courage beaucoup la ligue antialcoolique vier 1 d'abolir la « Tscnarska . c'est-ànln-e le veri d'eau "de vie que l'empereur et les otuciei " supérieurs avaient l'habitude de vider a i o< cas ion de cérémonies et manifestations nul taires, pour le bien des troupes ; cela entra lierait la disparition de l'usage établi de doi uer une ration d'eau de vie a chaque solde - pour célébrer ces festivités, ainsi que la vent - des boissons alcooliques dans les cantines. s Toutes ces mesures tendent a faire aboi: p le plus possible l'usage des boissons alcool s ques dans l'armée et à faire disparaître < • fléau qui décime une partie de la populatio : russe- s Les terribles incendies de forêts qui dés-lent l'est de ia Russie font prévoir des rum< -importantes; les propriétaires de ces yast< e domaines dont la richesse consiste spécial' >s ment en immenses forêts,assistent impui6san a au désastre ; l'incendie communique, non sei leanent, par le vent d'est, persistant, ma l_ encore par le sous-sol, où le feu gagne c e proche en proche à travers les tourbières ju 5 qu'au moment où se faisant jour, au ras d sol, il se communique aux basses branches d ^ arbres, non éloignés, et envahit immédiat a ment d'immenses étendues; les hautes herb desséchées dans la steppe sont un puissa élément de contagion, lîien ne peut cloun. une idée de ce qu'est ce fléau quand ni déclaa-e ainsi dans la steppe portant 1 meend d'une forêt à l'autre. Et que sont ces foret des étendues grandes comme une provm< î Aussi chacun de ces incendies devient un v i'. ritable désastre, quand on songe que tout c n rasé sur le passage du feu, qu'à cette ep it que de l'année les moissons mûres sont detri i- tes et que cette perte vient s'ajouter a ce &- des habitations de tout un pauvre monde q le n'a de ressources que ce que la terre et ~é forêt .peuvent lui donner. On s'attend en Rt ;l- sio à une réédition de la terrible famine q décima la population il y a quelques anne le it peine. it -i- La mort subite à Belgrade de M. de Haï id wig a péniblement impressionné le monde < le ficiel russe; vous n'ignorez pas qu'il était 'il chef du mouvement panslaviste et surtout "it chef du mouvement politique slave dans o- Balkans. La Russie n'avait d'yeux, dep es quelques temps, que pour la presqu de c ci- Balkans où son influence avait été pins n-moins compromise, l'an dernier, lors de reprise des hostilités, de la part de la B li- garde. Or cette influence compromise à oe n ment se raffermissait depuis quelques me spécialement en Serbie, et l'on sentait que ligue slave balkanique était en train de prendre le dessus dans la politique et les aires d'Orient, d'autant plus que l'attitii des puissances européennes leur avait f us perdre le peu de prestige qu'elles avait 6~ encore. ^' L'avenir nous apprendra si la ligue bail ^ nique créée par M. de Hartwig a quelc change de se perpétuer et d'être renfort par de nouveaux éléments. A l'heure qu'il est, tous les regards s< - tournés veis l'Albanie dont la situation uc plus que troublée et dont le prince occi lU" une position des plus critiques et des mo m~ enviables. Mais l'étei-nel problème des I ia lcans est toujours là, qui se dresse devant - puissances' oomme un immense point d int j„ rogation. du ^ * * * 161 Vous n'ignorez pas aue la morale est i • chose fictive pour la plupart des grands gneurs russes, dont la vie d'orgies et de pravation ne trouve d'égale dans aucun au pays. Or il n'est bruit, depuis quelque ten que d'un procès sensationnel qui sera pre blements jugé à huis clos; c'est la famé « affaire de Kazan » ou oomme la denomm - certains journaux russes « Le passe-te] Mie favori des amateurs de Kazan ». Le rôle p: de cipal dans cette honteuse affaire était rer nt, par le professeur Méreohkowsky, de 1 unr les, sité de ICazân, qui avait comme pruncip fés compagnons de débauche le professeur Ivai vre de la même université, et un certain non-lit d'éminen.ts pei-sonnages, appartenant tous en- parti politique de l'Extrême droite; plusu lis? d'entre eux y compris le professeur Mer< s il kowskv touchant des appointements au pas vire de la police secrète russe. ^ x-c Outre ses fonctions officielles à l'uni ver.' cila- Mérechkowsky devait encore faire rappor na- Département central de la police, sur touf faits et gestes des élèves et des professeur; les l'Université ;sur ses dires nombre de persoi n,a- innocentes furent exilées de ICazan en d du gouverneur de la province. Il a donc été découvert que ce persour Nix, éminent et cultivé à foi;mé une espèce de x>n- (;i0 n'ayant d'autre but'que la séductio 3 1^ la violation de petites filles. Leur qua QUl1 aénéral était à 1' «Hôtel de France» a Ka " Pendant un voyage à Saint-Pétersbou avait adopté une enfant de quatre ans, ; 0 1« satisfaire à son but et non content de 1 « [ras" chez lui, il se rendait fréquemment a 11 dont les orgies n'étaient pas ignorées du 3 en priétaire M. Osipow de 1'«extrême droite» 1 était en même temps membre du conseil Y?„ nicipal. • Des bruits coururent sur les étranges m— nions de l'hôtel de France, mais les perso compromises étaient trop haut placées pouvoir donner crédit à de semblable: meurs. Après trois ans de scandales on fil enquête au nom du ministère de 1 éducs et au nom du ministère de justice. # Ne pouvant l'accuser pour affaire; mœurs sans compromettre ses oomphees, rechkowsky fut accusé du fait d'avoir f' sur l'archevêque dé Kazan, sur le lro Rou- teur de l'éducation de la province et si îtère membre influent de l'extrême droite, ■ mmé tains rapporte secrets » qui n obtinrent cune faveur à Saint-Pétersbourg. Les perquisitions faites à son domicilie, dis qu'il fuyait la Russie pour se réfug ban Paris, prouvèrent que le nombre de ses ii 21 mes, dont il tenait la comptabilité, s e tions déjà à « vingt-six » 1 iron- De semblables scandales peuvent se pi ter dans d'autres pays, mais il n y a q Russie pour laisser vivre en paix j>endant ans d'immondes personnages qui oonti: E*na- leur vie publique en dépit des plaintes < juple accusations, du moment qu'ils sont du it au conservateur. Van- "Un personnage de haute éducation ( re en tenant au cilergé, avait été nommé « dir< î vue spirituel » dans une école supérieure du e ré- case. Ayant séduit la plupart des jeun moisdÉBj^confiées à sa tutelle spirituel!* trou- neu^^Hides attirèrent l'attention. I occu- «gna^^Blblique ne connut pas de b tsky, mai^Bautorités considérant apparer pûtes quey^^Kle offense aux mœurs ne deva lôtrJ^^B crueûileniecnt punie, changèren pleanent l'aumônier d'éoole, et — si incroya ble que cela puisse paraître — il fut nomm Inspecteur des écoles dans une autre regioi du pays. . Ceci se passe de commentaires! Serge. ' 5 L'homme qui prend le tube s (o) a S'il est arrivé quelquefois à des chirurgien oublieux de Laisser traîner des ciseaux, un t montre ou une blague à tabac dans 1 abdt ■ men de leurs clients, recousu sur cette omis 5 mou, voici que, par une juste revanche, ie _ patients se mettent à leur tour à éprouve t des a distractions » dont les opérateurs pa e tissent. , , , s Au Diaconat de Strasbourg, un maiad suivait un traitement pour une affection d ; larynx. Le praticien avait fixe, dans 1 ai " rière-bouche de ce quidam, un tube de c I fameux radium, dont les vertus radio-active I c^ommencent à êbi*e utilisées par la tlienapei « tique moderne, oe qui nous prouve, entr parenthèses, que les hôpitaux et clinique . possèdent d'assez coquettes ressources, il es ' permis de supposer qu'en faisant oette op< ~ ration, l'homme de l'art n'avait pas rate 1 n plaisan terie traditionnelle : n — Et maintenant, mon ami, vous pou ve vous vanter, tout comme un grand ténor d'avoir unie fortune dans le gosier ! )_ Il avait dit ça sans malice, histoire de r< * conforter l'autre et de faire naître un na 's sourire sur les lèvres moroses du malade " Miais l'innocent badinage avart frappe oelu s ci - il n'était pas, comme on dit, tombé dai ?" l'oreille d'un sourd, et le médecin impruder 's avait compté sans son hôte. Comme tout [e monde, oe malade savait que le radium coi 5" tait extrêmement cher, que sa valeur ma u ohande dépassait oelle de l'or. Et s il? ma 35 quarit là-dessus d'indications précises, n aval pas étudié avec Mme Curie, il se prenietta bien d'acquérir au plus vite des notions pli II complètes sur ce troublant problème. -r Donc, quand la diaconesse pénétra dans ; se cellule, il l'interrogea doucement sur la or tendue fortune que recelait son gosier. L i '• firmière, comme le médecin, n'y voyait a e,' cune malice: elle révéla au malade que e" petit tube de radium vala.it plus do francs. 0- Bigre! oensa l'autre, ébloui. Et il se rri tout à coup "à s'estimer davantage et à croi '^( qu'autour de lui, on ne l'appréciait T>as_ f III se/. Puis, il se mit à songer qu il eut bi< la voulu, en somme, que sa gorge fût plus m s- i,acLe, pouir qu'on' augmentât la dose: oua-i o.n prend du radium, on n'en saurait tri 66 prendre. Oe remode-là lui plaisait telleme" qu'il eût désiré, le pauvre homme, « en i (Torger », c'est le cas de le dire. "t- ^ Sur cette idée, il s'endormit, ou bien feigr ►■f- de s'endormir. Et il rêva à la fortune qu > Ie lui avait mise dans le gosier et qu on 1 le enlèverait, hélas! aussitôt qu'il serait guen es Le lendemain, quand l'opérateur ont lis dans la chambre du malade, afin d msipéot es son larynx, quel ne fut pas son etonneme ou en constatant que le petit tube avait dispa la on ne sait où, comme une muscade d escan il-teur! Il le chercha parmi les draps, sur io- table de nuit, sous le lit, et jusqu au fond is, l'urne intime'où s'entr'ouvre un œil vigilar la le tube demeurait introuvable... Alors, ni ' re- terrogea l'homme: celui-ci jura ses gran vf- dieux qu'il ne savait réellement pas oe q de l'objet était devoant. ait Devant cette ignorance étrange, le me< nt cm fit oette conjecture que peut-etre le tu de radium avait été, suivant sa pente, trouver le tube digestif^ par une symoatl ue naturelle, et qu'il n'était pas impossible c ée son patient ne l'eût andé à accomplir sî trop d'encombre ce petit voyage sentim» mi tal... L'homme de l'art avait çevme jusr pet un électromètre, prêté par l'institut de pl ,ne sique, établit que le radium se trouvait dî . l'estomac, donc à mi-chemin de sa foute. «I Alore, répétant le langage que le lie' w tiient à la tortue, le médecin dit a son malt — Mon compère, il vous faut purger... Mais.ce ne fut ^ as, vous pensez bien, a a quatre grains d ellébore » que le main „ peux en fut quitte: on lui administra i 'f dose qu'il jugea., oette fois, excessive. L ef 1- fut p-ompt: continuant h su:vre une pe \U'~ iiyésistible, le petit tube quitta son m frère et reparut a-u jour, mtaot... C est ai S' qu'on fit « rendre gorge », si je puis m ex\ nier ainsi, à cet amateur de radium, vict: ^ rie l'éleclironiètre qui sonde les rems et Plaignons ce malade malchanceux, 'my n'avait peut-être d'autre but que d'approf 1}>" lir ses études sur le dérivé de la « T>f blende», et qui va devoir purger encor ^ff une oondamnation trop probable! au ï INTÉRIEUR ser- ité. Nos finances . . ; au Voici des détails précis sur 1 omission i les velle faite par le gouvernement ; de XJn groupe d'établissements de crédit mes o-es et étrangère a acquis, pour moitié te •'pit et pour moitié à option, oent millions francs de bons du trésor belge 4 p. c. r iage boursables le 15 juillet 1919 ainsi que Cer- millions de rente belge 8 p. c. 2e seaie (i i et novembre). . x •tiei Cette opération ne donnera lieu à auc aan. émission publique. Les acheteurs seront *g il vis directement par les banques mteress x)ur qui ont décidé d'émettre les bons du ti voir à 99.50 net et la rentie 3 p. o., 2,& b* lôtefl à 76.00. pro- qui Les Belges à Rome . mu- Mgr Keesen, sénateur provincial du bourg, a été reçu, mardi en audience pi réu- par le Souverain Pontife. nnes pour Mariage . i ru- Jeudi a été célébré au château de la U i une Eau, à Ethe, le mariage de Mlle la oom ition Geneviève de Briey, fille de M. le comte mille de Briey, gouverneur de la provm< ; de Luxembourg ,et de la comtesse nee bar Mé- d'Huart, avec le baron Léon van Caloen. >urni Les témoins étaient, pour la mane< ;ura- sénateur baron Alfred d'Huart, son gj r un père, et le baron Charles de Broqueyiile, t cer- dû cabinet, son oncle; ceux du marie ét ; au- lea deux barons van Caloen, ses frere6; La bénédiction nuptiale a été donnet tan- \6 révérend ouré d'Ethe à l'église parois ier à Père Hénusse a prononcé une charn victi- allocution. evait — Les Congrès d'éducation familiale ésen- Le président des Etats-Unis vient d îr ue la officiellement les nations étrangères, le trois partements de l'instruction publique et ruent justice, les gouvernements loca.ix, les m >t des p alités, les associations pédagogiques, parti faire représenter au 4e Congrès interna de Philadelphie, en septembre prochain ppar- Ce Congrès a lieu sous les auspices icteur Commission internationale des Congre* Cau- ducation familiale, presidée par b.A; îs de- duchesse de Vendôme. Les autorités qui i, plu- raient pas encore reçu les renseigne ,'ind ' voulus au sujert de ce congrès peuvent i >rnes, tenir en s'adressant, par écrit, au siège iment commission, 14, rue Victor Lefevre, à t\îm- XOliu 8e Congrès qui eut lieu, à Bruxell - 1910, l'on oomptait 74 délégués officiels re-5 présentant 22 pays ; la délégation des Efcat»-î Unis était particulièrement nombreuse. . Le Bureau of Univei-sity Travel, 31, Tri-nity place, Boston et l'American Express Co, 11 Scrib, Paris, organiseront aux Etats-Una des excursions auxquelles les touristes pourront participer. Dans la diplomatie S. Exc. le comte Bonin-Longare, ambassa k deur d'Italie à Madrid, ancien représentant du roi Victor-Emmanuel en Belgique, est arrivé vendredi à Bruxelles et est descendu à l'Hôtel Britannique. e Déplacement ministériel M. le ministre Poullet, ministre des scien* - oes et des arts, a visité mercredi après-midi la s nouvelle école moyenne de garçons de Lo-r keren. Bourses de voyage réservées aux porteur! e de diplômes scientifiques " Les personnes désignées ci-après, ayant - subi avec succès les épreuves du concours de e 1914, ont été Classées dans l'ordre suivant : s j. — Faculté de philosophie et lettres. — " 1° M. Lamy, Hugues, né a Fosses, reçu doc-e teur en sciences morales et historiques par l'université de Louvain ; 2° Mlle Devigne, * Marguerite, née à Dînant, reçue docteur en art et archéologie par l'université de Liège. a II. — Faculté de droit. — M. Fallon, Va-lère, né à ïsTamur, reçu docteur en sciences 7l poilitiques et sociales par l'université de Lou-' vain. Les pêcheurs de Heyst f Une délégation des pêcheurs heystods vient • d'être reçue par le ministre des travaux pu~ " blics. , Les pêcheui-s ont demandé à M. Hedleputté le dévasement du bassin de pêche annexé au •e port de Zeebrugge. ! Le ministre a promis de donner satisfaction aux délégués. Manifestation Léon de Lantsheere J? La manifestation Léon de Lantsheere aura lieu à Assche le dimanche 26 juillet. La souscription a été fixée uniformément l -, cinq francs, qui peuvent être envoyés à M.Ne-! rinex, professeur k l'université catholique, tl_ secrétaire du Comité, 36, rue Marie-Thérèse, à Louvain. A l'institut St-Joseph à St-Nicolas •+ La distaioution des prix aux élèves de l'In* r0 stîtut St-Joseph à St-Nicolas-Waes aura lieu ^ le jeudi 30 juillet à deux heures et quart pour ,n les élèves de la section préparatoire (4me et a 5me années) et de la section moyenne. id >r La mine néolithique de Spiennes -i* Ijes travaux de déblaiement entrepris h e- Spiennes ont mis à jour une des plus importantes mines néolithiques connues. Cette mi-if ne consiste en une série de puits qui n'ont >r pas moins de quinze mètres de profondeur. u: Du fond de ces puits partent en rayonnant des gaJeries qui sont soutenues par des pi-ra liers naturels en oraie. er Le service des fouilles a découvert ces jouit nt derniers? à l'orifice d'un puits d'extraction, ru les vestiges d'un habitat néolithique, des o- fragments d'urnes dont quelques-unes orne-1;> mentées, des gaines de hache, des restes de de repas, etc. n- L'aviculture en Belgique. ds D'une conférence faite par M. Albert ut Henry, à la Société Royale Centrale d'Agriculture de Belgique, nous tirons les renseigne-le- nients suivante: be II y a, pour tout le royaume, 12,144,412 -e- poules, coqs, poulets et chapons, soit en îk moyenne 6.23 têtes de volailles par heotare uc de culture. ns Les diverses provinces se classent oomme m- suit quant au nombre absolu de têtes de vo-[ailles : Hainaut (2,423,709). Flandre orien-iy baie (1,862,262), Brabant (1,569,484), Flan-uns dne occidentale (1,568,987), Liège (1,389.098) Namur (1.051,862), Anvers (825,665), Lim-rr< bourg (760,653) et Luxembourg (686.685). de Si l'on envisage le nombre de têtes par hectare de culture, les provinces se olassent rec comme suit: Hainaut (8.38), Flandre orien-2U- taie (7.89), Liège (7.33), Brabant (6.11), ine Flandre occidentale (5.71), Anvers (5.51), fet Umbourg (5.47), Namur (4.80) et Luxem-ite beurp1 (3.43). £ Conseil provincial d'Anvers Séance du vendredi 17 juillet cjui La séance s'ouvre à 2 h. 25, sous la prési-o>n- dence de M. Van Hal. ch- Le Conseil continue la discussion du budget e... au chapitre des travaux publics. A l'article relatif au crédit pour l'Association provinciale et intercommunale de distri-— but ion d'eau, M. Zech, revenant sur un in-oideait soulevé dans une séance précédente, fait remarquer que les membres de 1a Gau-•■he n'ont montaé aucune hostilité au projet, dont ils sont au oontraire grands artisans. Si des observations d'ordre juridique et pratique ont été présentées par des membres d» ou" La Gauche, elles avaient pour but d'éviter des , , difficultés à la société pimjetée. bol_ M. Opdebeeck, de Malines, voudrait savoir *nïe si la Société compte dans un temps assez nap-d° proolié pouvoir entrer dans la période d'exé-erB(\ oution et si le département des Ponts et '. Chaussées ne s'est pas opposé au captage des nai- eaux de MolJ. , M. Claes, député permanent, repond qu U une n'y a de la part du Gouvernement aucune ®el apposition et que le département , ' et Chaussées, qui semblait éprouver des crain-?s.or tes au sujet du oanal de la Campine, par suite *Tie> de prélèvements sur La nappe d'eau souterraine, a réservé son jugement jusqu à la présentation du projet définitif, qui sera soumis l'année prochaine au Conseil. L/im- . Lacroix expose les raisons techniques iyée pour lesquelles il y a lieu de craindre, selon lai, que la oaptation des eaux de MoLl n® modifie trop sensiblement le regime hydrographique de la Campine. a-ire- m. Van Regemorter émet le vœu que le xisse Q01Xyernement se prononce prompte ment sur Oa- 1q projet de 1a Société, pour permettre à e de ysii^ci d'entreprendre ses travaux au pli» onne ^ Le Conseil vote presque sans discussion k ? : le chapitre relatif aux monuments du culte, •and- L'ordre du jour appelle ensuite le chapitre chef portant les crédits pour l'instruction publiaient que. ... i M. Bastyns déclare qu il ne votera pas w ; par crédit obligatoire imposé par l'Etat pour iee 5ia.le. fournitures scolaires, parce que la hste des lante livres employés par les élèves des écoles libre* ne doit pas être publiée. M Van Regemorter déclare qu il voter* contré le subside en manière ds protestât!» vitor contre une loi que les, partis d oRP^jn J s 'é- la Oliamlire ont considérée «mime inconstatii de la tioimelle.il estime aussi que la loi scolaire con iniri firme une tendance injurieuse de la part ai à se parti catholique à l'égard de ceux qui n >ional professent pas les idées religieuses par tetai qu'il y est implicitement inscrit qu U n y de la pas de morale en dehors de la religion. , d'é- M. Claes, député permanent, s etonne de R. la attaques que, dans ses discours M. Vanlfc n'au- gemorter a dirigées contre une loi qui oon« nente cre deux réformes dont il se déclarait, le.chau e® oh- partisan : l'obligation d« 1 instruction eit 1 de la stitution du 4e degré. Bru- Il termine par un rribrant hommage à « le ministre Poullet qui, pendant des moi: es, en resta sur 1» rèche pour défendre devait 1

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Dit item is een uitgave in de reeks La Métropole behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in - van 1914 tot 1918.

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