La région de Charleroi

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27 februari 1916
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s.n. 1916, 27 Februari. La région de Charleroi. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/4b2x34n727/
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IM° 238 - Deuxième année 10 centime* le N* Dima nche 27 Février 1916 La Région Rédaotlon. Administration. Publiait* ANNONCES I Buraau • ^^l*EE3F JR *0381 'èf V Offre» •« demande* d'emploi», 2 ligna* <0.3$ ®2, Rue du Laboratoire, CHARLEROI MJJEm «fe#isfeôlSi^flL£4%sfckiJuS JEw%Jr Jfr ©orM tf« loumai i« ii8n. a »r. - raita-div«-atan»m» e«> Anonoee judiciaire» la llgn« 1 1r Abonnements » ptr i! Po»t«, fr. 9.00 | JOlldldl Quotidien Avu d« •oclétia, U ligna O.BO - NtoroloçU (• llf«0i> Sfr v,e*^^llllllllHf™Blfaifl™lillinBIM<^MMMM,lllllllllllllllaMI'l,"",lll*MIIMI'PM^'pF^ffWHMWffBfBBBBiMrBWwrs^ hihiil'uni 1 ffi«WTff»nriiMmrfflTOHTri;TrrarinirT^^ n m ni ■!■■■■ «■m ■ ■■■■ LA GUERRE Communiqué allemand Théâtre de la guerre à l'Ouest Berlin, 26 février, 6 heures du soir. — Dans la nuit du 25 février, l'attaque d'un détachement anglais à l'Est d'Armentières fut repoussée. En Champagne, au Sud de Sainte Ma-îie-à Py, les Français ont attaqué la position prise par nous le 12 février. Ils parvinrent à pénétrer dans la première tranchée sur une largeur de 250 m. A l'Est de la Meuse, en présence de Sa Majesté l'Empereur et Roi, de nouveaux progrès importants ont été faits sur le front de combat. Les braves troupes combattirent jusqu'à ce qu'elles furent en possession des hauteurs au Sud Ouest de Louvemont, du village de Louvemont et des groupes de fortifications situés à l'Est de cet endroit. Les régiments brandebourgeois firent une violente poussée en avant et arrivèrent jusqu'au village et à la fortification blindée de Douaumont, qu'ils prirent d'assaut. Dans la plaine de Wœvre, la résistance de l'ennemi fut bridée sur tout le front jusque la région de Maronville (au Sud de la route nationale de Metz à Paris. Nos troupes poursuivent de près l'adversaire en retraite. La prise annoncée hier du village de Champneuvilie repose sûr une information srronee. Théâtre de la guerre à l'Est A part des combats heureux de nos troupes d'avant-postes, il n'y a rien à signaler. communiqué autrichien Théâtre de la guerre à l'Est Vienne, 25 février. — Par endroits, combats d'artillerie. Théâtre de 1» guerre auatro-ltallenne Aucun événement important. Front balkanique Nos troupes en Albanie ont poursuivi les Italiens battus hier et avant-hier, à l'Est et au Sud Est de Darazzo et les ont refoulé sur la langue de terrain à l'Ouest des étangs de Dours. Les installations du port de Durazzc sont sous le feu de nos canons. L'embarquement des hommes et du matériel de guerre est dérangée avec succès. L'entree en action de quelques navires de guerre Italiens, resta sans influence sur la marche des événements. Nous avons fait jusqu'à présent au cours de ces combats, n officiers italiens et plus de 700 hommes prisonniers, capturé 5 ca nons et une mitrailleuse. Communiqué Turc Constantinople, 25 février. — Le 23 fé vrier, aux Dardanelles, un cuirassé el deux croiseurs ennemis, dont le feu étaii guidé par des avions d'observation, lan cèrent sans résultat quelques obus contr« la côte de Kilia Palamoutlouk. Un de nos hydroplanes mit les avions ennemis en fuite. Un autre vaisseau de ligne et un croi seur tirèrent également sans succès quel ques projectiles contre Saddil Bahr ei Tekke Burnu et ensuite se retirèrent. Des autres divers fronts, nous n'a von! reçu aucune nouvelle relatant des modi fications importantes. Armées alliées Communiqué Français Paris, 25 février. — Officiel de jeud après-midi : En Artois, combat à coups de gr&iade; à main à l'Est de Souchez. Dans la région au Nord de Verdun, 1< combat a continué toute la nuit avec li même intensité de la rive droite de 1; Meuse jusqu'au Sud d'Ornes Par cuite de la violence du bombarde ment dirigé sur notre position avancée di Brabant sur Meuse, nos troupes, favori sées par l'obscurité et appuyées par le feu de flanc de nos positions sur la rive gauche de la Meuse, évacuèrent le village. Une attaque dirigée sur Samogneux fut repoussée ; une autre exécutée par une brigade au moins contre le bois de Caures nous en reprit une partie ; la pointe Sud est actuellement encore entre nos mains Toutes les attaques dirigées sur Beau-mont furent incapables de nous chasser de cette localité, devant laquelle se trouvent nos positions. A l'Est de ce secteur, nous dominons au delà d'Ornes les tranchées situées au Sud de Herbebois. Les mouvements de retraite exécutés pour éviter des pertes inutiles ont été accomplis dans l'ordre le plus parfait, sans que l'ennemi, qui n'avance qu'avec des difficultés et pertes considérables, parvint à percer notre front en aucun point. Canonnade lente et continuelle dans le secteur Ornes Fromezey. En Lorraine, l'ennemi prit pied dans un de nos postes avancés à la foret de Chemine!" ; nous l'en chassâmes aussitôt. Quelques engagements de patrouilles à l'Est de Reillon. Au cours de la nuit dernière, une de nos escadrilles de bombardement a lancé 45 projectiles, dont plusieurs de gros calibres, sur les bâtiments du chemin de fer de îiïetk î*J l. 1) Oïl Ci i. viï "V/VU flO région, où un grand incendie fut aussitôt observé. Paris, 25 février. — Officiel d'hier soir : Nous avons dirigé un feu précis sur les ouvrages ennemis, à l'Ouest de Maisons de Champagne et au Sud de Ste Marie-à-Py.Dans l'Argonne, feu destructeur sur les retranchements allemands de la Fille-Morte.Dans la région, au Nord de Verdun, l'ennemi a continué à canonner, avec la même intensité, notre front, depuis la Meuse jusqu'au Sud de Fromezey. Entre Malancourt et la rive gauche de la Meuse, Faction d'artillerie a un peu diminué. Dans cette région, aucun combat d'infanterie n'a encore eu lieu. Entre la rive droite de la Meuse et Ornes, l'ennemi a montré le même acharnement qu'hier et multiplié ses furieuses attaques. J , Il a laissé sur le terrain des monceaux f de cadavres, sans réussir à percer notre l front. / - Sur les deux ailes, nous avons reculé notre ligne, d'un côté derrière Samogneux, de l'autre côté au Sud d'Ornes. Notre artillerie a riposté sans relâche à celle de l'ennemi. En Lorraine, nous avons repoussé et poursuivi un détachement ennemi en reconnaissance qui cherchait à s'approcher d'un petit poste au Nord de St-Martin. Au front de l'armée belge, action insignifiante de l'artillerie. Communiqué rusàe St-Pétersbourg, 25 février (officiel du 24). — Front Ouest. — Dans la région de Riga et dans le secteur d'Oger Probsting-shof, des avions allemands ont survolé nos positions et jeté des bombes. Dans la région d'Oger, l'ennemi recommença sa canonnade nocturne et envoya un detachement à l'arme blanche contre nos tranchées. Il fut refoulé par notre feu. Dans la région de Dunabourg, près du chemin de fer venant de Poniewiez et au Nord de Czartorysk, nos détachements refoulèrent l'adversaire et avancèrent. En Galicie, prèj des villages de Hladki et Worobijowka (15 km au Nord Est de Tarnopol) nous avons fait sauter une mine et occupé l'entonnoir. L'ennemi bombarda l'endroit où l'explosion eut lieu, mais sans succès. Près de Michalcze, l'ennemi lança des bombes dans un entonnoir de mine occupé par nous. Il essaya d'attaquer, mais fut refoulé par notre feu. Mer Noire, — Près du Bosphore, nos sous-marinS furent attaqués vainement deux fois par deux aviateurs ennemis. Les sous marins coulèrent un voilier chargé de charbon. Caucase. — Nos détachements refoulent l'ennemi avec succès. Communiqué Anglais Londres, 25 février. — La nuit dernière, nous avons fait exploser une mine en face d'Hulluch et occupé l'excavation. Aujourd'hui, le combat d'artillerie près de Bacgstmaur (?) s'est terminé en notre faveur. Notre artillerie a canonné avec succès les ouvrages ennemis près de Frelinghien, au Canal d Ypres à Comines et à l'Est de Boesinghe Communiqué Italien Rome, 24 février. — Dans la vallée de Popena (Rienz), l'artillerie ennemie a déployé une activité particulière contre nos positions sur le Monte Piano, sans causer de dommage. Sur les hauteurs au Nord Ouest de Goerz, dans la nuit du 23 février, des détachements ennemis s'approchèrent de nos lignes dans le secteur de Pevma, où ils se mirent à lancer des bombes à gaz stupéfiants. Le feu de notre infanterie et % '{?/ ;s obus bien dirigé; d'une batterie. sMhrent pour'refouler l'assaillant La neige est tombée abondamment dans toute la zone d'opérations. La Querre Maritime Frontière Occidentale, 25 février. — Le correspondant du Times à Madrid fait connaître à son journal, que le vapeur « Westburn » fut après le débarquement des 206 prisonniers, conduit au large par son équipage de prise allemand et coulé. L'équipage est revenu à Teneriffa, à bord d'un canot. Dans les Balkans Kome, 25 février. — L'ambassade grecque dément l'information de l'Agence télégraphique bulgare, qui faisait connaître que l'ambassadeur hellénique avait déclaré à Radoslawow que la Grèce resterait neutre, même au cas où Saionique soit attaqué par les Bulgares. Cette information est dénuee de tout fondement. Vienae, 25 février. — On télégraphie de Lugano que les journaux milanais annoncent que l'Entente fait des préparatifs pour occuper tout le domaine des îles helléniques. Toulon, 25 février. — Le consuls et vice consul d'Autriche-Hongrie, arrêtes à Silonique et Myti-lène, seront exoediés vers Genève où ils seront mis en liberté. (Qlie devient le consul allemand ? demande le Journal ie Cologne.) A:hèies, 24 février (retardée en transi».). — Le députe Telepfidis a interpellé le gouvernement au sujet de l'arrestation du vice consul austro hongrois à Chios En termes sévères il stigmatisa la conduite de l'Entente et réclama d'énergiques mesures de la part du gouvernement. Le président du conseil Skuludis répondit que celui ci partageait absolument l'indignation ressentie par Telepfidis et ajouta que l'incident mentionné constituait un abus de plus à l'interminable série de ceux déjà enregistrés. Le goivernement ne pouvait malheureusement faire autre chose que de protester et de demander la mise en liberté des intéressés. Des citoyens grecs furent ég dement arrêtés à Chios et je regrette de constater, ajouta Skuludis, qu'à part de rares exceprions lesprotestationsintroduites ne donnent pas les résultats désirables et conformes à notre bon droit. De la Suisse, 24 février.— Essad Pacha est arrivé à Brindisi à bord d'un contre-torpilleur italien. — • '•Tî-.'si -ss; Budapest, 24 février. — Le correspondant de l'Az Est à Barcelone informe, qu'au sujet de la démarche austro hongroise ayant pour but la remise d'une note au r i Nicolas par l'intermédiaire des bons offices diplomatiques espagnols, le cabinet de Vienne n'a nullement pris l'initiative de cette démarche qu'il savait parfaitement vaine Mais qu'en raison de l'insistance des ministres monténégrins qui estimaient accomplir un devoir - — 11 '«■aBHSBMg* en sollicitant de leur souverain la confirmation des pouvoirs conférés, il s'est acquitté d'une mission confiée. On sa vait très bien à Vienne que le roi Nicolas ne pouvait en aucun cas intervenir pour la conclusion d'une paix isolée préconisée par lui-même, puisqu'il est sous l'entière dédendance de l'Entente,ECHOS Londres, 22 février. — Au cours des débats au sujet du projet Sydenham, lord Beresford déclara ()ue si l'Angleterre avait dès le début des hostilités institué un blocus effectif, la guerre serait terminée. L'orateur cité désirerait que la déclaration de Londres soit officiellement annulée et que toutes les marchandises destinées à l'Allemagne fussent déclarées contrebande. Beresford conclut : « La guerre est menée par vingt-deux dilettantes do cabinet, ce n'est pas nous qui la menons, c'est elle qui nous dirige. La guerre ne se gagne pas au moyen de compromis.» Lord Loreburn objecta qu'il ne pouvait comprendre comment Sydenham pouvait croire de faire plier l'Allemagne au moyen de la méthode qu'il préconise. Elle n'aurait d'autres effets que d'eveiller des difficultés avec les neutres desquels l'Angleterre dépend tant au point de vue de ravitaillement que pour les transports maritimes. Le blocus n'est pas le seul facteur prédominant, et la pression desflottes n'activerait pas la fin de la lutte. Le seul moyen de préserver le continent européen d'irréparables malheurs, c'est de terminer la guerre. Paris, 25 février. — Havas informe de Lisbonne que le nombre de navires allemands .confisqués ancrés dans le Tage s'élève il 35. D'après le Temps, la formalité de préemption et le déchargement s'opéra sans incident. Une division navale portugaise prit position devant les vavires pour fîmpê-■ ci.-» Louie rusisiance. La coiiiiîfiàtioii lut sigiimee 1 par des officiers, de marine etle^eiioanelaiierruoid débarqué remplacé par un portugais. Lorsque toutes les formalités furent accomplies le croiseur « Vasco de Gama », battant pavillon chef de division, tira 21 coups de canon. Le gouvernement a déclaré qu'il ne s'agissait pas là d'un acte hostile, mais d'une simple mesure dictée dans l'intérêt publique. L'amoassadeur du Portugal à Berlin a été chirgé de porter dans ce sens, ces faits à la connaissance du gouvernement impérial. Washington. 24 février. — Le démocrate Gore tenta de déposer un bill et une résolution au Sénat, par laquelle les Américains seraient avertis de ne pas prendre passage sur les navires de commerce armés naviguant sous le pavillon d'un des belligérants.Le républicain Brandiggé empêcha la discussion à ce sujet en déposant des conclusions à la Chambre des représentants. Mondell déposa le même projet, mais on croit improbable que la Commission parlementaire le prenne en considération. Une crise politique se dessine, Wilson étant menacé d'une révolte des démocrates contre son autorité. Le Président reste toutefois fermement tésolu à refuser toute sanction légale par laquelle il serait interdit aux américains de voyager à bord de navires belligérants armés. Frontière suisse, 23 février. — Les journaux suisses mentionnent que l'Allemagne a autorisé l'exportation de quelques centaines de wagons de sucre brut et de pommes de terre destinees à la plantation prochaine. Le Gouvernement impérial a de plus autorisé l'exportation de semences d'orge, avoine, seigle, ainsi que d'autres variétés légumineuses ou fourragères.Frontière suisse, 23 février. — La Baler Nach. informe que le i« adjoint ff0"' de maire de Belfort a fait connaître à la population que par ordre de l'autorité militaire, la livraison du gaz par les usines municipales cesserait à partir du 19 courant. Cette mesure est consécutive au bombardement de la ville par l'artillerie lourde allemande. Frontière suisse, 25 février. — Des journaux milanais déclarent que les informations françaises au sujet de l'attaque allemande à l'Ouest sont moins affirmatives qu'hier. Il apDert, toutefois, que d'importants effectifs de renforts vont intervenir et 1 'Italia écrit que l'on sent nettement les prémices d'une grande bataille. Teneriffe, 25 février. — Le capitaine d'un des navires coulé par les Allemands, a déclaré dans un entretien que le soi disant « Môwe » était un navire de 2000 à 2500 tonnés, armés de 6 canons de 17 1/2 centimètres, 2 tubes lances torpilles et de nombreuses mines. Le vapeur filait 17 nœuds. L'équipage se composait de 200 à 250 hommes et le commandement était exercé par un comte Dahna L'équipage du « Luxembourg» (navire b«'ge) raconte qu'ils furent bien traités à bord du «Westburn » Ils étaient gardés par sept marins armés de grenades à mains. Zurich, 25 février. — La Neue Zureker Zfg. informe de Rome qu'on confirme officiellement au Vatican l'intervention papale entre l'Autriche et l'Italie, pour réaliser un accord réciproque interdisant de part et d'autie le jet de bombes d'avions.

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Dit item is een uitgave in de reeks La région de Charleroi behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Charleroi van 1915 tot 1919.

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