La semaine: journal artistique, théatral et mondain

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03 februari 1914
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s.n. 1914, 03 Februari. La semaine: journal artistique, théatral et mondain. Geraadpleegd op 12 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/0g3gx45n8m/
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ANVERS, 3 Février 1914 Quatorzième Année. N° 19 La SEMAINE Journal Artistique, Théâtral et Mondain Abonnement: 3 frs. — Le numéro ÎO centimes Téléphone 853 Rédaction et Administration: COURTE RUE NEUVE, 28 Le Gala de la Presse au Théâtre Royal M. Henry ALBERS de l'Opéra-Comique dans le rôle du baron Scarpia Mlle Marthe CHENAL de l'Opéra-Comique dans le rôle de Floria Tosca Le Gala de la Presse C'est demain, à 8 h. i 4, que se donnera au Théâtre Royal, le gala annuel de l'Association de la Presse (section Anvers-Limbourg). Parmi les nombreux galas qu'on organise régulièrement à Anvers, celui de la presse est un des plus choyés, des plus appréciés, tant à ;ause du choix des œuvres qu'on représente que par la valeur des artistes qui les interprètent. Cette année, les organisateurs ont été particulièrement bien inspirés, en choisissant La Tosca, un des ouvrages préférés du public an-versois, un de ceux qu'il réentend avec le plus de plaisir. Une interprétation d'élite défendre le drame lyrique de Puccim, car on a fait appel à deux vedettes brillant d'un éclat exceptionnel au firmament artistique: Mlle Marthe Chenal et M. Henry Albers, de l'Opéra-Comique. Mlle Marthe Chenal qui ne s'est encore jamais produite à Anvers, est certainement l'étoile de l'Opéra-Comique, où ses succès ne se comptent plus. C'est grâce à elle, que «La Tosca», froidement accueillie lors de la création à Paris, a pu rester triomphalement au répertoire de la Salle Favart, où on la joue régulièrement deux ou trois fois par semaine, et toujours avec Mlle Chenal dans le rôle titulaire. Elle reprit aussi «Aphrodite», la belle œuvre de Camille Erlanger, qui vient de dépasser le cap de la centième. Ce sera donc une révélation pour le public anversois, que d'entendre Mlle Marthe Chenal dans le rôle Floria Tosca, où à la plus belle voix du monde, elle joint l'attrait d'une beauté radieuse. M. Henry Albers n'est pas un inconnu pour nous, c'est à Anvers que commença sa glorieuse carrière, et au début de cette saison, nous avons eu la joie de l'applaudir dans «Rigoletto». C'est la première fois qu'on le verra à Anvers, dans ce terrible rôle de Scarpia. qu'il créa à la Monnaie, et dont il est resté un des plus parfaits interprètes. Il le chanta à l'Opéra-Co-mique, à Nice, et sur la plupart des grandes scènes françaises. Il vient de se faire acclamer encore tout récemment à Tunis, dans son admirable composition du farouche régent de police.On peut donc s'attendre à une représentation incomparable, unique, car l'interprétation sera parfaite avec M■ Mario, dont Mario Cavara-dain est un des plus beaux rôles et ses excellents partenaires. La salle ne le cédera en rien à la scène, le «Tout-Anvers» sera largement représenté. Le grand commerce, la magistrature, les arts, la colonie allemande et française ont tous retenu leurs places. Le Compagnie du Gaz, désireuse de concourir à l'éclat de la soirée a décidé d'éclairer la façade du Théâtre à giorno, et après le 2e acte, il y aura un entracte de vingt minutes pendant lequel on verra défiler nos charmantes concitoyennes revêtues de leurs plus splendides toilettes. Il reste encore quelques rares places à la disposition du public ; on pourra les prendre au bureau spécial qui a été installé sous le pé-rystile du Théâtre Royal. Le Gaîa PAUL-JORGE Dans quelques jours on célébrera aux Variétés tout à la fois la quarante-cinquième année de théâtre de M. Paul-]orge, et le dixième anniversaire de son directoriat en notre coquet théâtre de la Place de Meir. Est-il téméraire de décider à priori que cette soirée sera éblouissante entre toutes, quand on vient d'assister à la chaleureuse et touchante manifestation que les fidèles habitués de notre scène de comédie ont organisée récemment en l'honneur d'un des collaborateurs de M. Paul-Jorge? Ce n'est pas d'ailleurs la logique des faits qui veut qu'il en soit ainsi ; c'est surtout la sympathie et l'estime que M. Paul-Jorge a su se conquérir parmi le public anversois qui fera de la soirée organisée en son honneur une de ces heures inoubliables où les cœurs vibrent à l'unisson dans un sentiment commun de généreux enthousiasme. C'est un topique que de signaler la place qu'a prise notre scène de comédiè française dans la vie anversoise; mais ce n'est pas du tout à fait un de dire que de peines et de tracas il a fallu — il faut encore — pour lui maintenir ce rang enviable. Concilier les exigences du public toujours grandissantes,avec un budget qui ne veut pas, le méchant, croître en proportion ; lutter contre la concurrence redoutable des cinémas, qui font dérouler sur le film d'importantes comédies contemporaines, interprétées par des acteurs d'élite qu'un théâtre anversois ne saurait pas s'offrir; disputer à des imprésarios rapa-ces, à l'affût du succès récent, une belle pièce qu'on voudrait réserver à son public ; présenter toutes les semaines, très convenablement mise au point, une pièce nouvelle, voire deux pièces en comptant les vaudevilles nouveaux; et garder au milieu de la bataille perpétuelle que cela représente, le sourire affable et l'humeur sereine, et soutenir le combat sans défaillances, voilà qui peut s'appeler un joli résultat, méritant bien qu'on s'y arrête un moment. Et c'est à cette halte, délicieuse et fraîche, que les habitués des Variétés vont convier le jeudi, 12 février prochain leur sympathique directeur. La lutte reprendra ensuite pour lui,non moins âpre, non moins pénible; mais aux moments de dépression, un souvenir le réconfortera : celui de l'ardent témoignage de sympathie qu'on lui aura donné, prouvant que ses efforts ne sont point dépensés ^n vain. Nous nous associons de tout cœur à cette manifestation, dont nous sommes certains de pouvoir saluer bientôt l'entière réussite. LA SEMAINE.—■ La Scène ensanglantée M. Louis N. Parker a écrit un livre intitulé: How to write a play.Il est étonnant combien la formule londonienne ressemble à celle de Paris, ainsi ce Boileau de l'art dramatique anglais conseille aux auteurs qui se sentent Vappétit d'un dîner de centième, de se faire photographier en auto et sur la terrasse d'un cottage (et nous qui croyions que les instantanés (?) de nos grands hommes caressants leurs chiens, étaient une invention bien française). Ah! déci- ETIUTin A f Accident, Flre & Life AS8U incendie, vol & maladie ÉliÉ! lUflj 1 AÉlAl Capital : 50 millions |4. PLACE DE MEIR-ANVERS

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Dit item is een uitgave in de reeks La semaine: journal artistique, théatral et mondain behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in - van 1911 tot 1914.

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