IB IÏÏHËBO : S CEWtîMES BUREAUX ru* 0* km Croix, 29, Nmmut JOURNAL QUOTIDIEN sa 76eA8NEE, Mo 275 PcSM sons le eortrOTe le ramtfflrtt§ «Httalreiltemtsfla MB»»«HSSHHS-BHËSH«HMa«SBHB^ Tarif des annonces ©•ce» 4» pugs» la pa»» ttg.0 JO «Be.•0 SB ^- notaire», avoué», huitSien, directeur devenuk hgaeSO -:-£*ûittDe3e.m<* ' ÏJeor-.'iMjie* °° .traite Avtrs «a» 1 55 S #eiu dtver* eor«i »4 50 I throcet à Liég«. Le deuxième corps fut tenu tan artère du premier. Son quartiergénéral était à Bruxelles a*ec trois régiments de sa première division, le quatrième régiment cantonné à Hal. Sa deuxième division avait sa première brigade & Louvain et la seconde dans le camp ^tranché d'Anvers. La première position occupée par l'armée ^observation, à partir du 23 juillet, sur le plateau qui sépare les vallées 'do l'Escaut e'* de la Meuse, permit d'observer la frontière de l'est et la frontière ■•du sud; de cette position nos forces actives pouvaient se porter rapidement vers celle de ces deux frontières qui paraîtrait ^menacée. Jusqu'ici, notre armé* de campagne fêtait dans l'expectative. Un peu plus Hard, en août, quand la marche des belligérants se dessina et fit prévoir une flatte non loin de nos frontières, nos trouves furent poussées en avant vers le sud. pUne brigade franchit la Meuse pour pro- tféger la frontière du Luxembourg; le ^premier corps s'étendit de Dinant à Ar|fon|, en occupant, par ses avant-postes,le [cours de la Semois; le deuxième corps Vs'avança également par la rive gauche 'de la Meuse et s'étendit jusqu'à Gouvin et à Poix. \ • Nos forces, — 50,000 hommes — occupaient ces positions lors de la bataille de Sedan; elles purent recueillir et désarmor les débris de l'armée française qui cherchèrent un refuge sur notre terTitoire. Hos s'est-il te passé? Nous disions hier que la vaillante ar K ,ield Z -?»g », 11 oct.) '

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