L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire

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s.n. 1915, 27 Juni. L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire. Geraadpleegd op 18 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/sn00z72788/
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ANNEE, No 151 Fnblié sons le contrôle fle YiïWM militaire allemaule IE NUMEROr: 5 CENTIHES 77 Tarif des annonces 'Ann. 2° page, la lig. 0.30 ynotaires, avoués, huissiers,directeur de verte, la lig. 0.30 Annonces financ. » 6.40 Nécrologie» 1.00 Faits divers fin » 1.25 Faits divers corps » 1.50 Chronique locale » 2.00 Réparations judic.» 2.00 Des re/nises sont accordées proportionnellement au nombre dej insertions demandées. On traite à forfait pour les annonees périodiques. S'adr. bur. du journal. ABONNEMENT ANNUEL Pour Namur. ■ « ■*■ ■ e » fr. 12.00 Pour la Belgique : s « * » o » te. 14.00 JOURNAL QUOTIDIEN GUE i LE PAPE ET LA GUERRE . Une note du Vatican Rome, 24. — L' « Osservatore Romanono,organe, du Vatican, publie la note suivante : « Pour mettre en garde nos lecteurs comme tous les hommes sensés et impartiaux de tous les pays' contre les commentaires et les intentions fantaisistes prêtées au Souverain Pontife, nous no croyons pas devoir laisser passer sans remarque les bruits publiés et commentés par les journaux au sujet d'un entretien d'un journaliste étranger avec le Pape. Pour couper court à ces interprétations et commentaires, nous rappelons qu'il existe une différence essentielle entre les documents publiés officiellement par le Saint-Siège et les communiqués de nature privée. » Quant au conflit européennes intentions du Pape ne sont pas douteuses,car elles ont été à plusieurs reprises exprimées clairement dans l'Encyclique du l#rnovembre, dans le discours de Noël adressé aux cardinaux, dans l'allocution du Consistoire du 22 janvier, dans de nombreuses lettres adressées par le Pape aux cardinaux et aux prélats, et enfin dans la lettre du 25 mai au Doyen du SacréCollège. «Ces documents,publiés officiellement, expriment exactement les idées du Pape, et le Saint-Siège en prend toute la responsabilité. «Les autres documents, c'est-à-dire les publications privées dont nous nous sommes occupés et aussi celui dont il . est question aujourd'hui, contiennent en réalité plusieurs inexactitudes, dont une partie est si évidente qu'on s'en rend compte immédiatement, et nous croyons inutile de les spécifier. »_^- — ■ (« Frtnkf . ZfiftT», 25). U-jpiraàTOuest Communiqué allemand 25 juin, 7 h. soir. Officiel. — Dans un corps à corps, nous avons capturé plusieurs mitrailleuses. jPlosieur* avances ennemies contre la wûoiîiou Je Labyrinthe furent repousséesi Au bord Ouest des Argonnes, l'attaque d'un bataillon contre nos positions avancées s'effondra avec de grandes pertes. Pendant le coap porté après l'attaque, nous avons encore arraché à l'ennemi une tranchée avec deux bloekaus. Trois mitrailleuses de plus et trois lance-mines tombèrent entre nos maint. Sur les Haut3-da-Mense, les attaques entreprises à l'Ouest de Tranchée échouèrent complètement. A l'Est de Tranchée, nous regagnâmes une tranchée de communication, détendue avec acharnement par l'ennemi. Communiqués français Paris, 24. 3 h. après-midi.—- Dans la région ' au Nord d'Arras,Ia nuit fut relativement calme, ti ce n'est au Nord de Souchez, où io combat d'artillerie ne cessa pas. L'ennemi bombarda Arras. Devant Dompierre, à l'Ouest de Péronne, on violent feu fot dirigé contre nos tranchées après l'explosion d'un fojer de mine allemand. Une faible tentative d'attaque,faite par de très faibles troupes,fut aisément repoussée. Aux Hauts-de-Meuse et à la route de Calon• ce,la situation est inchangée ; nous conservons la ligne allemande. En Lorraine, près de Leîntrey, une contreattaque de l'ennemi fut repoussée après un combat assez violent. Sur le reste du front, la nuit fut calme. Paris, 24 juin. 11 h. soir.-— Dans la région d'Arras, il n'y eut pas de combat d'infanterie aujourd'hui. Nos troupes s'établirent sur le terrain conquis. La nuit dernière, il y eut un vio-ent combat d'artillerie dans le secteur Angres-Ecurie. Aujourd'hui, Penoemi bombarda très violemment Berryau-Bac et le village voisin, Sapigneul. Le bombardement ne nous causa que des pertes sans importance. En Argonne et aux Hauts-de-Meuse,activité de l'artillerie seulement. Dans les Vosges, une attaque allemande près de Fontenelle a été repoussée. Les Allemands bombardèrent les abords de Metzeral et les chaînes do hauteurs à l'Est du village, où nous avons fait de légers progrès. L'AVIS DU GENEBAL JOFFRE Un chroniqueur parisien raconte qu'un soir on échangeait devant lui,à la table de famille, les propos « ordinaires », les propos dont les circonstances font qu'à cette .heure personne ne se puisse distraire. Par exemple : — Croyez-vous que la guerre finira bientôt0? Vous devinez le dialogue. Il y avait la un académicien disert, qui ne disait rien. On s'étonna de son silence. Et vous, cher maître, qu'en pensezvous*L'académicien répondit gravement : Moi, je suis de l'avis du général Joffre. On fit : « Ah l » Mais on ne Drit pas autrement garde à la réponse, et l'on parla d'autre chose, c'est-à-dire de la guerre. — Croyez-vous vraiment qu'il soit possible deh les » réduire par la famine? " Nouvelle discussion. L'académicien disert ne disait toujours rien. Derechef quelqu'un lui demanda : -~ Qu'en pensez-vous, cher maître? L'académicien répondit encore, du même ton « —Je suis absolument de l'avis du général Joffre. Et la conversation suivit son cours. Mais, quelle que fût la question 'posée, l'académicien était toujours de.l'avis du généralissime. Nous étions un peu surpris qu'il fût si bien renseigné sur les opinions du général Joffre, qu'il ne devait pas avoir souvent l'occasion de rencontrer, et qui. au surplus, ne passe pas pour très bavard. Si bien que tout le monde finit par s'écrier en chœur : — Mais quel est donc l'avis du général Joffre ? Alors, sûr de son effet, l'académicien repartit avec bonhomie : — Je n'en sais rien. Je ne l'ai jamais vu.On rit d'abord. On s'aperçut la. pour certains civils à la langue inteinpciante, une excellente leçon de « tenue & La guerre à l'Est Communiqué allemand 25juin,7h. soir.Offioiel.—Al'Est.—Le village de Kopaczyska, occupé avant-hier.a été quitté (Je nouveau hier.Au Sud-E3t.près du village de Stogna, nos troupes pénétrèrent, après un combat acharné, dans une partie de la ligne ennemie et surent s'y établir. Au Sad-Eat. — Des troupes du colonel général de Woyrsch ont traversé la contrée au Sud d'Il8a pendant leur retraite. En général, la situation des armé.es du feld-maféchal von Mackensen n'a pas changé. Au Nord-Est de Haliez, on a dû faire repasser sur la rive gauche du Dniester des parties de l'armée du général von Linsingen devant des contre-attaques supérieures près de Martinow. Plus en avant, nou3 progressons avec f notreattaque. L'aile gauche de l'armée est près deShedorow. > Communiqué autrichien Vienne, 25 juin. midi. — Front russe. —» Entre Haliez et Zurawno, les combats continuent sur la rive Nord du Dniester.Des contreattaques russes furent repoussées. Notre attaque progresse. En avançant au-delà de Zydaczow hier, Chodorow a été pris. Le reste de la situation est inchangé sur le Dniester, en aval d'Halicz, et à l'Est de Lemberg près de Rawa-Rnska et sur le Tane-w. Là rive Sud de la San n'©3t plus occupée par l'ennemi. , En Pologne, les troupes alliées poursuivent les Russes,qui se retirent vers Zawioho3t,Ozarow et Siennio. Communiqués russes Pétrograd, 24 juin. — Dans la région de Scttaulen, la situation est inchangée. Au Sud du lac de Raigrod, nos avant-postes ont traversé la Ejrina, la nuit do 21 au 22, occupé le village de Kulighi. Dans la direction de Lomska, violent feu d'artiilerie. Sur le Tanew, nous avons repoussé des attaques ennemies près du village de Lublineti. A l'Ouest de Rawa-Ruska, l'ennemi a été repoussé dans le voisinage du village de Gulazelena. Le 21 juin et au cours de la nuit suîvan'e, nous avons résisté dans de violents combat» aux poussées dirigées contre Lemberg. L'ennemi subit dtîs porte* au cours de ses attaques prèo du village de Bukowioe et plus au Sud sur la Szcerzica, mais il réussit à avancer dans la région de la ville de Zolkiew. En conséquence, nos troupes évacuèrent Lemberg le 22 juin et continuèrent leur retraite sur un nouveau front. Sur le Dniester, le combat oontinue au Sud du village de Kosmierzyn, où l'ennemi se maintient sur la rive gauche du fleuve. Pétrograd, 25. — Sur la Windau, la Wenta et la Dubissa pas de changement important. Sur le front de la Narew et de la Vistule, U n'y eut que des petites rencontres d'avant-postes; sur le front du Tanew, il fait également calme. Sur le front Zurawno-Demesz-Kowice, violent combat, qui, jusque maintenant, se développe anotre avantage.m Près de Martinow et de Rozdwiany ,les Autrichiens traversèrent le Dniester, mais furent repoussés sur le fleuve par une impétueuse contre-attaque de nos troupes. Au cours de ces combats, notre artillerie lourde et nos pièces légères intervinrent efficacement. La situation de l'armée russe Franz Molnar. la correspondant de 1' « Az Est » et de la « Neue Freie Presse • écrit : « Nous ne devons pas exagérer les nouvelles sur la désorganisation de l'armée russe, qui lutte vaillamment. Sans doute, à la suite des nombreuses défaites, quelques groupements se sont 'disloqués; il manque aussi du matériel d'artillerie. Mais cela ne veut pas dire que l'armée russe est fi nie et qu'on n'a plus qu'à la chasser de la Galicie. Des prisonniers russes parlent d'une ordonnance par laquelle l'état-major russe rend les commandants personnellement responsables de la peite de tout canon. La conséquence en est que le commandant russe sacrifie souvent un grand nombre de soldats d'infanterie dans le seul but de sauver une batterie. Il est arrivé à certains points que l'artillerie russe n'attendait pas la décision du combat,mais se retirait longtemps d'avance et laissait l'infanterie se débrouiller. Auparavant, il y avait toujours tout autour des positions de l'artillerie russe des quantités de matériel qu'après le tir on jetait tout simplement comme inutilisables.Actuellement, on ramasse tout cela aveo soin. Il n'y a pas de doute que les Russes l'emportent pour le remettre aux fabriques de munîtes. Cette grande économie se reflète dans les bulletins relatant les succès de nos troupes, comme, par exemple, U y a quelques jours, lorsqu'on annonçait que, lors de la prise d'uns ligne de défense, on avait fait 16,000 hommes prisonniers et que le butin consistait en un seul canon.» (• Düsspldorfer Gen. Anz. », 25, et « Kölner Tageblatt »,25. Le grand quartier général russe Berlin, 24. — Du quartier de la presse de guerre : Le grand quartier général russe ne se trouve plus en Galicie et bientôt les grands oombats à l'Est se dérouleront eu territoire rosse. Ainsi, la reprise de Lemberg constituera la fin de la seoonde phase do la campagne ruaie. LE TSAR AU FRONT- St-Pétersbourg, 24. -^ Le Tsar est parti Ie B3 juin pour rejoindre l'armée de. campagne, La guerre russo-turque Communiqué turc 0 Constantinople, 24 juin. — Au front do Caucase, le 23 au matin, dans la régiofl de Kaleh Boguaz, un de nos détachements, qoi menaçait l'arrièregarde do l'ennemi, repoossa par une oontre-attaqae une attaque ennemie. L'ennemi dut se reliror sor Kaleh Boghaz. Guerre austro-italienne Les combats à la frontière italienne Vienne, 24. — Quartier de la Presse de guerre : Après de violents combats, qui durèrent 8 jours, les positions près de Plawa sont encore entre nos mains. L'ennemi n'a percé nulle part nos positions. L'ennemi transporta environ 6 compagnies sur la rive orientale, dans la nuit du 10 au 11 juin, protégé par un violent feu d'artillerie. Mais il se retira sur la rive occidentale lors de la contreattaque. Le 12 juin, l'infanterie ennemie franchit, l'Isonzo et attaqua la hauteur 383, oit était concentré le feu d'environ 80 canons.L'ennemi arriva %dans-nos positions, mais il en fut • après un violent combat corps à corps.Le "rode l'ennemi dut de nouveau s'enfuir sur 2a rive occidentale. Environ un millier d'Italiens tués restèrent sur le champ de bataille. Trois nouvelles attaques, dans la nuit du 14 juin, furent fasilement repoosséei. Le 14 juin, au soir, une violente attaque fut repoussée avec de grandes pertes pour l'ennemi. Le 3,5 juin, l'ennemi bombarda sans interruption nos positions et lança de grandes quantités de projectiles. La nuit suivante, trois attaques d'infanterie contre la hauteur 383 échouèrent devant la résistance des Dalmates. De même, une violente attaque, entreprise le 16 juin avec d'importantes forces, se brisa. Le 17 juin, il y eut d'importantes attaques d'infanterie. Les brigades de Ra venue et de Forli,ainsi que la milice mobile,y prirent part. Les Italiens subirent des pertes sensibles. Des prisonniers déclarèrent que le Roi avait ordonné de s'emparer à tout prix delà hauteur près de Plawa. Le 17 juin,leoombat se décida. L'ennemi se retrancha devant nos positions, mais n'entreprit pas d'attaques sérieuses. Suivant les récits des prisonniers, sur one longueur de 1,200 mètres plusde3,000 5.aliens gisaient sans sépulture. Nos pertes, en morts, blessé8etmançnjant8,n'atteignentpas ce nombre. Communiqua autrichien Vienne, 25 juin, midi. — Front italien. — A la frontière du Tyrol et de Carinthis, plusieurs oombats d'artillerie. Dans la région de la côte, aux premières heures du jour, deux attaques ennemies ont été repoussées à l'Est de Ronchi. Un violent feu d'artillerie a été dirigé contre la tête de pont de Görz et le bord du plateau de Cormon. Communiqué italien Rome, 23. — Le duel d'artillerie, notam meut celui des pièces de gros calibre et de ealibre moyen, augmenta d'intensité sur toute la longueur du front. L'ennemi tenta de-vige*s?eu«efl titequ-^j, notamment à certains endroits de Monte-Piano, du ValleGrande, du Valle-Piccolo et de Cresta-Verde entre le Pizzo. Des tentatives d'offensive de l'ennemi contre nos positûni du Freikoffel forent particulièrement violentps pendant la nuit du 22 jain et pendant la j< o née suivante. Nous y avons arrêté trois contre-attaques, qui toutes furent repoussées, tant par l'aide efficace de l'artillerie que grâce à l'utilisation de bombes à main. L'ennemi abandonna 200 morts sur le terrain. Du bas-fond de Flitsen, on annonce des travaux d'installation pour l'artillerie lourde sur les hauteurs voisines, de même que l'utilisation des colonnes du train qui, partant de Fiitsch, montent de nouveau vers l'Isonzo supérieur. Dans la zone de. Monte-Nsro, il fit calme le 22 juin. & Les combats en Tripolitaine Berlin, 24. — Un communiqué de l'Agence Stefani commence par ces mots : Alors que nos troupes combattent aveo bravoure à la frontière,d'autres troupes doivent prendre part à de violents combats en Tripolitaine, où la situation s'est aggravée par suite de l'agitation des Senussis. En Cyrénaïque, la situation est inchangée. Mais en Tripolitaine, les troupes indigènes se sont révoltées et menacent la sécurité des places importantes de la colonie.Les indigènes sont bien armés. LÀ GUERRE MARITIME Londres,24.-r- Le schooner finlandais «Lee» a été coulé par un sou8 marin allemand,mardi, an SudEst de Vile de Faer entre les îles Orkney et Shetland. Berlin, 24. — Un sous-marin russe, probablement du type <* Akula », fut attaqué le 22 mai dans la mer Baltique, â 25 milles à TEst de l'île Gotland,par un aéro allemand. Ce dernier lança des bombes sur le sous-marin. Le résolat n'a pu être fixé. Cependant, du côté russe, on considère le sous-marin comme perdu. Londres, 24. — C'est dans la mer du Nord, le 20 juin, que le croiseur-cuirassé*Roxburgh» a été torpillé. Copenhague, 24. — L'équipage du vapeur de pêche allemand « Nord », qui a dû être remorqué à Skagen, raconte qu'un sous-marin anglais a coulé 3 ou 4 vapeurs de la flottille de bateaux de pêche,composée de 7 unités. Les équipages ont en amplement le temps de quitter leurs bateaoz. De la frontière hollandaise à la Kœlnische Zeitung : Dans la nuit du 24, deux chalutiers de pêche : VUitwaarts et le Vinceroy, ont été torpillés près des îles Shetland. Les hommes de l'équipage sauvés affirment que cinq autres chalutiers ont été torpillés. Berlin, 24. — Les journaux américains annoncent que l'Amirauté anglaise fait construire actuellement aux Etats-Unis on nouvel engin pour faire la guerre aux sous-marins allemands. Il servira à faire le service de patrouille avec les bateaux de pêche dans les eaux anglaises. Ces bateaux seront pourvus de moteurs très puissants et pourront dépasser la vitesse du destroyer le plus moderne. Le champ d'action ne sera pas très étendu parce que es bateau n'aura que 17 mètres de longueur. IT^MSSB RUSSE POURRAIT PARLER DE PAIX ? Puisse on télégraphie à la Kœlnische Zeitun g : Des feuilles suisses publient des nouvellestermes de Copenhague, d'après lesquelles on aurait appris au Danemark, par des communica-|rnernent russe aurait peimia deb- ns de presse sur la paix. AUX DARDANELLES Communiqué turc Constantinople, 24. — Au front des Dardanelles, il n'y eut, hier, près de Seidd-ulBahr et d'AriBurnu, que de faibles engagements d'artillerie et d'infanterie. Aux autres fronts, la situation est inchangée. Des émeutes à Lemnos Berlin, 24. — On mande d'Athènes aux journaux italiens : Il y a quelques^ jours, des émeutes très graves ont éclaté dans l'île de Lemnos. Les Anglais avaient hissé le drapeau anglais eur un bâumënt. La population grecque de l'île cmt que les Anglais avaient l'intention d'an nez:,? l'île. Les Grecs se réunirent et marchèrent armés contre les soldats anglais. Il y eut de violentes rencontres, au cours desquelles il y eut de nombreux morts et blessés des deux côtés. ' Bombardement de l'île àe Casteiloriza D'après des informations privées, venues de Constantinople, un croiseur français a bombardé l'île de Casteiloriza (côte d'Asie-Mineure), occupée par la Grèce. LA HAUTEUR 216 Rotterdam, 22. —- Dans une lettre du oosrospondant particulier du Petit Parisien à Gallipoli, il y a ce passage Intéressant : « Dès qu'ici- on a mis le pied sur la torre ferme, on n'entend phis parler que du numéro 216. Qu'est-ce donc que ce no 216 ? Cela représente à peu près, pour nos soldats ici, ce que le pic de Hartmannsweiler a été pour les soldats en Alsace, c'est-à-dire une position difficiles à prendre. 216 portera proprement parler, le nom d'Achi Baba, d'où les Turcs et les Allemands nous arrosent continuellement de mitraille. Lorsqu'on se trouve" encore à bord du navire, près du quai, on voit déjà 216, menaçant et moqueur, se dessinant nettement sur le ciel bleu. A différentes reprises, nos navires ont bombardé la colline, mais elle est toujours occupée par les Turcs. Ils s'y tiennent à l'abri, dans des tranchées bétonées à la façon allemande. Et de cette colline, qui est la cible de tous nos tirailleurs, nos adversaires bombardent aussi le lieu de débarquement. Il y a des pessimistes qui prétendent que l'on n'a pas encore réalisé beaucoup, mais ici les choses ne se passent pas comme partout ailleurs; il faut un courage presque surhumain pour gagner quelques centaines de mètres de tranchées dans ce pays inconnu et montagneux. Et que d'obstacles l'ennemi sait dresser devant nous ! Du fil de fer barbelé audessus et en-dessous du niveau de l'eau; à terre, des tranchées, des mines souterraines, des retranchements garnis d'artillerie, etc. Jamais en France on ne pourra se faire une idée de ce que nous avons déjà surmonté et de ce que nous aurons encore à surmonter. Mais puisque nous voilà une fois débarqués, il n'était plus possible de songer encore à la retraite. Nous avons maintenant à lutter contre deux ennemis. Contre les Turcs devant nous et contre la mer derrière nous. Si nous cédions maintenant, ce serait la mort certaine. Aussi nos gens s'en sont bien rendu compte; ils ont repoussé toutes les attaques de l'ennemi. Les attaques nocturnes" qui furent exécutées les 1er, 2, 3 jusqu'au 7 juin con're nos tranchées, se firent en formations serrées. Les Turcs répétèrent l'attaque trois, quatre fois, mais chaque fois elle se brisa contre notre résistance. Ce seront, pour notre corps d'expédition, des nuits inoubliables; mais elles appartiennent maintenant au passé. Nos gens attendent maintenant, impatients, dans les tranchées, le signal de l'a'ttaqae. Au moment où je vous écris' ces lignes, ils passent le temps à regarder du côté cte tf»6, dans 1 espoir qu'on pourra bientôt lui donner le coup de grâ:.*. Ils savent que le jour où cette hauteur ?er,\ prise, un grand pas aura été fait sur la route de Constantinople. {Deutsche Tageszeilung%25.) En Hollande On annonce de La Haye que le gouvernement hollandais compte déposer très prochainement, sur le bureau des Chambres.un projet de loi tendant à obtenir un nouveau crédit de guerre. — La Commiesion des rapporteurs de la Seconde Chambre, à La Haye, s'est réunie hier, pour la première fois, pour discuter le projet de loi concernant la construction des nouvelles unités navales.Il aîagit de construire 2 croiseurs, des sous-marins et des hydroavions. Amsterdam, 24. -— Le ministre hollandais de l'agriculture a autorisé l'emploi des réfugiés belges aux travaux de fenaison. L'Espagne et l'Autriche Les journaux viennois annoncent que l'Empereur FrançoisJoseph a eu hier une entrevue avec l'ambassadeur d'Espagne. L'audience a duré une demi-heure et, d'après la « Neue Freie Presse»,la conversation entre le Souverain et le diplomate aurait roulé uniquement sur la guerre. e Mesures de guerre italiennes La « Tribnna » publie un ordre du jour du général Frugoni, où il est dit que quiconque se met en rapport avec l'ennemi ou aveo h population se trouvant sous la domination ennemie, sera fusillé. Les maisons où seraient donnés des signaux seront immédiatement rasées.Quiconque se révolte contre les troupes italiennes sera fusillé. Quiconque se tiendra,sans motif plausible,* proximité des camps de troupes ou des bâtiments militaires, sera déféré à un conseil de guerre. » LE RAVITAILLEMENT DU GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Le ravitaillement de Luxembourg au moyen de farine suisse se fait avec l'assentiment de la France et de l'Allemagne. La Franklurter Zeitung ajoute, d'après une dépêche de Berne, que tous les quinze jours, et cela jusqu'à la réeolte prochaine, un train chargé de farine partira de la Suisse pour le Luxembourg. LE RETOUR DE M. DERNDURG D'après le Berliner Tagebelatt, M. Dernburg, qui se trouve à bord du Bergentjord, qui fut arrêté par les Anglais, puis rerâché, a prévenu par la T. S. F. ses parents, à Berlin, qu'il arrivera samedi soir avec Mme Dernburg. Une dépêche de Bergen ajoute que l'on attendait le .vapeur, làbas, le 24. LE SULTAN OPERE On apprend de Constantinople que le Sultanvient d'être opéré à la vessie par le professeurIsraël, de Berlin. L'opération aurait été pratiquée avec succès.^( EN GRECE Maintien des troupes sous les armes Athènes, 23. — Les hommes de la classe de 1913, qui ont fini leur terme de service, sont maintenus sous les drapeaux comme réserve, de même que les réservistes de la classe de 1912 et crux des nouvelles provinces qui sont nés en 1888 et en 1889. L'ECHANGE DES BLESSES ENTRE LA FRANCE ET L'ALLEMAGNE De Berne à la Frankfurter Zeitung : Les négociations franco-allemandes, en vue de l'échange des soldats grièvement blessés, ont fait de tels progrès que l'on s'attend avant peu à la conclu-^ r-.ion d'un accord sur cette (uiesüpn humanitairei,] BUREAUX rue de la Croix, 2*9, Namur Coimunipés h Gouvernement ARRETE J'apprends que dans la province de Namur des marchands s'occupent comme affaire d'accaparer d'une manière illégale les bons de l'administration de l'armée allemande, souvent en profitant de l'indigence et à des prix bien en dessous de la somme indiquée sur les bons, ou inférieurs à la valeur due à l'objet réquisitionné. En témoignant un intérêt de bonne intention à la population, je préviens contre de pareils marchés. Si ce commerce restait en vogue, je serais forcé de recourir à des mesures plus sévères et d'ordonner, en cas de besoin, que le paiement des bons soit uniquement versé aux personnes (ou bien aux héritiers) au nom desquelles les quittances sont données en premier lieu. Namur, le 25 juin 1915. Kaiserl. Gouvernement Namur, Freüierr von HIRSCHBERG. Generalleutnanfc, LE DEBIT D'ALCOOL rArr&lè. — Il est défendu aux hôtels, restaurants, cafés et autres établissements publics de vendre ou de servir aux militaires d'autres boissons alcooliques que du vin ou de la bière. Les contrevenants seront passibles soit d'une peine d'emprisonnement d'un jour à deux mois et d'une amende de 500 maks au plus, soit de l'amende à l'exclusion de la peine d'emprisonnement. Les' contraventions seront jugées par les tribunaux ou les autorités militaires. Bruxelles, le 16 juin 1915. Der General-Gouverneur in Belgien, Freiherr von BISSING, "^ . Generaloberst. VALIDITE DES ACTES Arrêté. ~- Les actes reçus ou délivrés par une autorité publique allemande ou par une personne de nationalité allemande dont les actes revêtent le caractère d'authenticité peuvent être utilisés en Belgique s'ils sont légalises par le chef de l'administration près le gouverneur général. Bruxelles, le 16 juin 1915. Der General-Gouverneur în Belgien, Freiherr von BISSING, Generaloberst* 'A~S"— Par jugement du tribunal de campagne de Liège, en date du 22 mai 1915, le sujet belge Germain Bury, employé de chemin de fer à Welkenraedt, a été condamné à mort pour espionnage et a été fusillé. Il a été prouvé que Bury s'était procuré des renseignements sur les mouvements des troupes allemandes et les avait fait parvenir à l'ennemi. Bruxelles, le 20 juin 1915. Der General-Gouverneur in Belgien, Freiherr von BISSING, Generaloberst. ~ Pour la poste des lettres entre Bruxelles, Liège et Verviers avec leurs faubourgs et le voisinage, ainsi qu'Anvers, Hasselt et Welkenraedt sans Jeurs faubourgs et leur voisinage d'un côté et les Pays-Bas de i'autre, à partir d'aujourd'hui, pour les communications privées, la carte postale seule est admise. Des communications purement pour affaires pourront encore toujours être données par lettres, qui ne devront pas contenir olus de 2 pages d'un papier à lettre d'une grandeur ordinaire et qui devront être écrites lisiblement. Sous les mêmes conditions, à partir de maintenant,le commerce des lettres et cartes postales estpareillement admis entre les endroits belges indi• qués plus haut et les soldats belges et les person;ilc3; FCte:tes Pays-B^. De même, des mandais de poste peuvent être adressés à ces soldats et ces civils et expédiés par eux. Le commerce de lettres avec ces soldats belges est sans taxe. Les lettres qui ne seront pas conformes h ces instructions ne seront pas transmises à leur destination et rendues à l'expéditeur. (Communiguô.) r----^. \ Les prix maximums Avis du gouverneur de Bruxelles en date do 23 juin 1915: Les modifications suivantes aux prix maximums entrent immédiatement en vigueur dans l'agglomération bruxelloise : 1° Les maximums se rapportant aux prix des pommes de terre sont supprimés; 2° Le prix maximum de la farine est fixe à 50 franc les 100 kilos. LES AFFICHES ALLEMANDES Tnuf! Ipsi arlirirs; paraissant sous celte rubrique sont publiés officiellement par le gouvernement générai en Belgique. Londres, 23. — Des journaux américains publient l'article suivant emprunté au journal Tschugai Schogfa Schimpo, de Tokio : Il faudrait être fou pour songer à envoyer des troupes en Europe. Notre amitié avec l'Angleterre ne sera pas de longue durée. Quand l'Angleterre aura atteint ce qu'el-le veut, elle abandonnera tous ceux qui l'auront aidée. Nous sommes les égaux des Anglais. A présent déjà, il nous faut regretter qu'une convention nous ait obligés de venir en aide à'l'Angleterre. Il est même hors de doute qu'une entente avec l'Allemagne aurait eu plus d'importance pour l'avenir du Japon. Les années prochaines nous entraîneront dans de graves complications. Nous devrons prouver que nous constituons une grande puissance civilisée et que notre développement a atteint le même niveau que celui de l'Angleterre et de l'Amértoue; quant à la force, nous ne craignons ni l'ùTî ni l'autre de ces deux pays. Notre force nous permet d'entretenir sur la côte occidentale de l'Amérique la colonie que, depuis longtemps, nous désirons y fonder. Songeons à accumuler d'énormes quantités d'armes et de munitions. Aujourd'hui, l'Amérique livre des armes et des munitions aux ennemis de l'Allemagne; le jour viendra peutêtre où l'Allemagne, à titre de représailles, nous fournira des armes et des munitions contre les Etats-Unis de l'Amérique du Nord et contre l'Australie. Nos prisonniers allemands ne peuvent nier qu'on ne les traite d'une façon chevaleresque chez nous. La Russie, la France et surtout l'Angleterre ne traitent pas leurs prisonniers comme ont le droit de l'être des soldats qui sont des héros. Sous ce rapport, pas un seul de nos prisonniers n'a lieu de se plaindre. Nous avons tenu compte de tous leurs désirs et avons témoigné du respect et de l'estime aux femmes et aux enfants. La blessure que nous avons dû faire à l'Allemagne s'oubliera et d'ailleurs on pourra la cicatriser de façon à satisfaire les Allemands. Mais il est encore trop tôt pour s'occuper de cette question. Cela dépendra du succès des armes allemandes. On ne peut nier que l'Allemagne et l'Autriche vaincraient même des ennemis plus nombreux encore. Le jour de la grande « liquidation », nous prouverons au monde que nous ayons le droit de nous nommer un « Etat cultivé », capable de montrer aux ennemis de l'Allemagne ce qu'on entend par loyauté et justice. Nous n'avons nulle raison de haïr l'Allemagne, pour iaquelle nous éprouvons une grande estime. ♦ -r» L'A PROTECTION DES ANIMAUX PENDANT LA GUERRE On apprend de Genève qu'une fédération universelle pour la protection des bêtes pendant la guerre — société dont il a été question à plusieurs reprises déjà — vient d'être fondée sous la dénomination d' « Etoile rouge ». Des représentants des sociétés pour la 'protection des animaux étaient venus de beaucoup de pays, même d'outre-mer, pour assister à cette réunion. ENCORE LES FAUX BILLETS DE BANQUE. — La police de Schaerbeek recherche un individu d'une trentaine d'années vêtu d'un costume en étoffe bleu foncé, coiffé d'un chapeau boule noir, qui avanthier soir a remis en paiement, dans un établissement de la place du Marché, un faux billets de la Banque Nationale de 2 francs. Ce billet porte le n° 441370 série I. Le papier est plus glacé et le texte en flamand n'est pas correct, notamment le mot « de Namaker »>, dont la lettre finale manque. Le chiffre 2 à l'intérieur n'est pas visible. Bimancne 27 join" 191ST »M»»»M»M»j»M»j»jB»a»aKa»j»a»j»j»aB>janM»ri»JB Ç Collège N.-D. de la Paix 4Namur Bulletin météorologique du 26 juin (8 heures du matin) Haut, barométrique à 0. . .760 6. Variât, bar. dep. la veille.,,•+- 2 6 Température de l'air...17 7 Temper, max. de la veille ...24 6 Temper, min. de la nuit . . .15 8 Direction du vent . . ,WSW Vitesse du vent [m.p1sec.)...7 0 l'air max. = 100. . .94 Eau tombée* en millim. . • •33 NECROLOGIE On nous prie d'annoncer la mort de Mlle Afa* deleine MOHIMONT, décédée à Namur, le 25 juin 1915, dans sa 17e année, munie des secours de la religion. L'enterrement aura lieu le dimanche 27 courant, • en l'église St-Joseph, à 4 h. 30 (h. centrale). Réunion à la mortuaire, rue de Fer, 47, à 4 h.15.' .— L'abbé BEGUIN, curé de St-Nicolas (Namur), informe ses frères et sœurs qu'il chantera la .messe pour-tous les défunts de la famille, mardi. 29 juin, à 11 heures (heure centrale). Le service de quarantaine pour le M. et Mme Léon Grognard-Macaux feront célébrer une messe pour leur frère et beau-frère, M. Jean MACAUX, lundi 28 juin, à 9 h. (h. centr.), en l'église paroissiale de St-Joseph. La messe anniversaire pour le repos de l'âme de M. Joseph DENIS sera célébrée en l'église de La Plante, lundi 28 courant à 10 h. (h. centr.) Une messe pour le repos de l'âme de MmeAlphonse MIGNON, née Ida CONSTANT, serachantée le mercredi 30 juin, à 9 h. (h. centr.), en',l'église de Jambes. On nous prie d'annoncer la mort de M.' Napoléon LE AU RENT, ancien conseiller communal, ancien receveur du Bureau de bienfaisance, décoré de la Médaille et de la Croix civique de 2e classe et de la Médaille commemorative du Règne, de Leopold II, né à Courrière le 30 novembre 1840, y pieusement décédé le 25 juin 1915, muni dès secours de la religion.> Les funérailles auront lieu le lundi 28 juin, à'; 11 h. (h. centr.), en l'église de Trieu-Courrière. Vu les circonstances, il ne sera point envoyé de lettres de faire part, le présent avis en tenant lieu." — On nous prie d'annoncer la mort de Mme Irma DUNQUET, épouse de M. Léon HALLIN, décodée à Godinne-sur-Meuse, le 25 juin, à l'âge de 53 ans. Enterrement lundi 28 juin, à 11 h. (h. centrale), en l'église de Godinne-sur-Meuse. Vu les circonstances, il ne sera pas envoyé de' •lettres de faire part. —- La famille Purnode, d'Ermeton-sur-Biert, a le regret de devoir annoncer la mort de leur rei gretté époux et père, M. Joseph PURNODE. Enterrement lundi 28, à 11 heures (h. centrale). — On nous prie d'annoncer la mort de Mme, Vvc Jules CLEMENT, née Victorine HUCORNE, décédée à Vedrin, ce jour, dans la 72e année deson âge, administrée des Sacrements de la religion. L'enterrement aura lieu lundi, à 10 heures,(h. centr.), en l'église paroissiale de Vediin. Vu les circonstances, il ne sera pas envoyé de' lettres de faire part. — On nous prie d'annoncer la mort de Téclu«sierpercepteur de Dînant, M. François HOUBION, veuf de Mme Félicie MATERNE, né à Rivière le 11 janvier 1855, y décédé" le 25 juin 1915, administré des Sacrements de N. M. la Sainte Eglise..; L'enterrement aura lieu lundi 28 courant, à Ri-; vière, à 10 h. 30 (h. centrale). Réunion à la maison mortuaire (écluse.Rivière)/à 10 h. 15.* Le présent avis tient lieu de lettres de faire part. — On nous prie d'annoncer la mort de M. Fir» min SQUIFFLET, veuf de dame Emilie DEWEZ,décédé à Montignies-sur-Sambre, le 24 juin 1915.- Les funérailles auront- lieu lundi 28 courant/ à 11 heures. — On nous annonce la mort de Mme Begge>' CLAESSENS, épouse de M. Michel HENRI, née*à Andenne le 24 mars 1874, y décédée le 25 juin 1915, après une longue et pénible maladie, munie> des secours de la religion.| L'enterrement aurà^lieu dimanche 27 juin, £6 heures (heure centrale).) — M. Jules VERHEGGEN, percepteur honoraire* des postes de Liège, vient de mourir, presque nui»! iaire, en sa villa de Wideumont. • — Une messe de quarantaine pour le repos de l'âme de M. Raymond B O REUX aura lieu lundi 28 juin, à 10 heures, en l'église Saint-Barthélémy^, à Cnâtelineau. — Un service pour le repos de l'âme de MU» Yvonne RIGOT sera célébré ep l'église St-Joseph, mercredi 30 juin, à 11 heures (h. centrale). u MESSE DE JEUNESSE. — Lundi 28 courant, & 8 h. 30 (h.c), Grand'Mésse de jeunesse en l'égliseStNicolas, chantée à l'intention, de tous les soi*dats namurois, avec Communion générale à l'ini tention particulière de nos héros qui j3flj donn|leur vie pour la Patrie.«»,-*-<■ 1 ?\ Œuvre de la Soupe de Namur Le comité de l'Œuvre décide de suspendra la fabrication, à partir du 26 juin courant. { Cette suppression résulte de l'attitude des) intéressés euxmêmes. Geux-cr»avaient pris pour les 2/3 l'engage»1 ment d'acheter la soupe à 0.1*0 le litre. Une faible minorité ayant seule teno sar promesse, l'Œuvre doit supporter une pert»; trop importante pour que ses revenus partico-^ liers pussent la combler. Le Comité saisit cette occasion pour adres-! ser ses remerciements les plus vifs à tous ceus qui l'ont secondé. Il ne doute pas que, dans le cas d'une ra1 pris»? de l'Œuvre, ils retrouvent £2» mêmes appuis moraux et financiers qui leur ont ét!É acquis josqù'à présent. Namur, le 25 juin 1915. Pour le Comité : Le Secrétaire,Le Président, \\ Jean GRAFE. F. SCHOEFFTKR. LIGUE DU COIN DE TERRE. — Comité clr SW Servais. — Le Comité informe les famdles qu'un© conférence d'économie alimentaire, donnée par \ Mme Henrion, institutrice diplômée de 1 ménagère de Liège, aura lieu à la Maison des>Œuvres, rue Saint-Donat, le mardi 29 jum, à»6 h. 15 (heure centrale).; Nous comptons sur la présence de toutes ïesilmères de lamilles et nous les engageons ms.tamment. à se faire accompagner de leurs jeunesfilles de plus de 16 ans.i Nous insistons pour que ces conférences soien*' fréquentées avec assiduité et notre Comité Central nous autorise, dès aujourd'hui, à affirmer que. des prix seront donnés aux ménagères qui, ayant»? assisté régulièrement aux conferences, auronl chez elles, à jours déterminés par le Comité, pré« paré une des soupes expliquées et cela avec lesj produits du jardin. — Merci mille fois aux braves cœurs qui on» été si empressés de procurer un ht à l'enfaufcd'un de nos héroïques défenseurs. TIRAGE ^eTËMPRUMTS CONGO BELGE Emprunt de 150 millions de francs (1888) ; 164etirage. — 21 juin 1915 27 séries.soit 675 obligations, remboursables»à partir du 15 avril 1916. S. 44581 a. 5, remboursable par fr. 10 000 S. 22690 n. 4S,00O S. 26744 n. 91,000 S. 27450 n. 131,000 S. 59234 n. 121,00*? Remboursables par 750 francs :) S. u.S. n.S. n. S. n.i 15546 1 1554Ô 10 15546 13 16581 9 16581 10 19^30 14 199^0 20 26744 10 28234 12 39029 2 39959 9 39959 23 40567 3 40567 3 40567 8 40567 1* 51414 12 53537 9 53537 18 59234 17 59234 21 Sauf les numéros primés.indiqués ci-deaauv les séries suivantt-s'sont remboursables par, 240 francs : 150 2748 3005 11379 15546 16*581 19622 19930 Jf^O 26744 27450 28234 29089 39029 3^609 39.^59 40567 44ô'81 45889 50021 50848 51414 53537 5422» 59234 59i05 59520

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Dit item is een uitgave in de reeks L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Namur van 1839 tot 1918.

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