Le bruxellois: journal quotidien indépendant

1212 0
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1917, 08 Maart. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 28 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/zc7rn32385/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

4"" Année - N. 877 - Ed. 1 CINQ CEHTÏKES lonJi « Mo «•fi 1Q1' ABONNEMENT POSTAI, ÉO. Bruxelles - Pnmm - Etranger 3 mois : Fr. 450. - Mk. 3.6D Les tooisii ûc -poste es Bejgi-gM ei à WStnœeer «'sera-.?*»* qoe «es jabsniîicct^ais Tj&MiiS'JSîliiLS.î'COBZ-ci preenent cours les IJanv. 1 AI-RU. Ï J1!IUxi I ©CM*. On pentV;>lOTiiierto«rt£!FoisTOmr1«3 oetnj Acmiifirs imils «m siSme jOBrie et mens iûé cfasque tri ratt-tr-c &a î îfcSW î fK-OÎS P> 3.(f0 tt1t4Ô B îSS-ab l^O TIRAGE :^0.©0O PAS 0088 Le Bruxellois {Rédacteur en Chef : René Arninnd i journal Cueifdien tadépendan _ Rédaction, Administration, Publicité, Vente : g ™ BRUXELLES, 45, RUE HENRI MAUS | ANNONCES — La ligne Faits divers et Echos. fr. 5.00 Nécrologie. » 3i>") Itrofflces -coTEurercIales , L5G » financières. . . 3^0C PETITES ANNONCES La petite ligne ®-5t La grande ligne. ...» » LU ,0 T18AG£:MO.OOO PAS JffUR DERNIERS COMMUNIQUÉS OFFICIELS AjL.Lfc.ftiAKJ>S BERLIN. 7 mars.. — CflcfeS de miilî- Théâtre de la gaerae à ronsst. Sur les barils âc la Scarpe, des deux côxs éc i'Antre «f de la Somme, dans la Cfm&pague et sur k rive de la Meuse, i'action 4'artiBaie a été très vive; plusieurs pis éguiememt des combats cal eu lien entre êtes détachements à'<.ii.~ircurs et la garnison 4t tnawkée. Le scir, tes Français ont aiiacpxt au jmti' aord-esl de Verlm nos nouvelles posilt-cns du b&ii des Cornières; ils ont été repoassés par notre jeu. Le temps clair a favorisé les aviateurs dans i soc&vi-fltournent de leurs missions. An cours de nombreuses lattes aériennes, 15 ariens ennemis ont été âes-ttevdm.Par me opération de l'adversaire,nous «RW< per du an avion. ïtoestre de ia guerre à l'Est. Entre la mer Baltique et & mer Atoire. par siôK de la dknixvtim du froid, ic jeu est éevensi plrs tvj éens jaques scctews; l'action £e l'infanterie ess encore tâcmcturt'e minime. m eu âis.«oaoiae : Entre le VmrsLntr et ic Lu: de Dois in, et dans k bas f&aé le lu Struemat, nos postes est refrain dei poussées de compagnies anglaises. BERJ-iN, S mars. — Ofjxiel da soir : A pari des combats d avanî-posHes il n'y a pas i'événements particuliers aans la région de f Ancre. A.UTM*Cî*ÂMMS VIENNE, € mars 7 Théâtre de la guerre à l'Est, Dans ht Huan ne des poussées russes ont Ukoui. Au soi de Brscaem/, .tac eataqae nocturne des Runes e été rcpocssée. ïaéitîe ae ta guerre italien. De fortes chutes de neige eut entr&ré l'activité eombàttive en géuéi ,'i ei ont également interrompu le combat au nord ne ta vmlte de San PcUagrino. Le cuit un feu de mines jut à imiveeu dtiigi conlrt mUre position Ae Costebeibu Des tcainlives d'attaque des Italiens vinrent se briser centre notre feu de ben.i£B- Va ecnp de main ennemi taaite le col Bmor, fat repoussé à coups de grenades ù main. Vers k tmaîinM ïaàrtasmre une gr^idc explosiez devant le Monte- Sief, nos positions restèrent nlan-tseins indemnes. Xii-i.cnjiQ Uv lâ SU SUir-Sr-e*. Bien de nevveau ù signaler. TURCS COS STÀXTISOÏLE, 6 ans. — Oijkiel ia 5 : Jfront Persan : A t'est de hotmdtm deux régiments de esvnlem ennemie om essayé l'un nprès ïentre d'eeiïoquer notre position, mets ils jurent repousses pur notre jeu d'artillerie. Sur les autres pools L. di&ùkm est factoMgfe. BULGARES SOFIA, S mars. — ■Officiel du S mers Front en Macédoine: Dans ia riglcm de lù ha et ûe la ÏSoglerw, jeu isolé i'artillcde et de lance-mines. Ftdb&e Jeu €ar-tiilciie dans la vallée du Vardar et vive acthilé aérienne. Feu d"■artillerie mtermisteni à 1 a Struemta cl eembetts in^gnijuntis entre paireiiilles. ïrront «n Soumaais; A l'est et à l'ouest de Tukea, feu d'infu-Hi-crie cl de mitreiikusps entre postes près de ' lahmmdié. Un détachemcnl ifintenteric russe « «ssjyé de s'approcher de nos postes sur la glace, mms il fut êcsperst et chassé par noire jeu. FRANÇAIS PARIS, 6 mars. — Officiel ie 3 h. p. m. : Sui lu rive dixâte de la Meuse, la lui te s'es. pmtrsuinc au nord du bois des Caurièrcs. L'ennemi a essayé de nous citasse,r de nouveau des élémenîi de tranchées reconquis par nous hier. Tentes se: tentatives cul été brisées par nos jeux et nos contre-attaques. La lutte d'attlleiie continue dens la région au nord de Douaumont. Deux coups de mai, exéeœés par mous, l'un au sud de Lassigny, l'autre dons le secteur d'Ammertzweiler, nous cuit perrmi de fme des prisonniers. Nuit calme partout ailleurs, PARIS, 3 mars, — Officiel de 11 h. p. m. : Entre t Oise et l'Aisne, nos tirs de desiruclim oui bouleversé: les organisations ennemies au nom-mvst de Mords-sous-Touvcnl et démoU des casemates et des nirris au nord d'Aulrê&tcs. Sur la rit* droite de la Meuse, actions violentes d'artillerie sui tout ie front Les Gtuuhbrcttes-&e~om>aax, Aucusi action d'infanterie. Canmuode MermZGentc sur h reste dn fioul, RUSSES PETROCJtAli, 5 viens. — Officiel • Au front à l'ouest et en Roumanie, jeu Tt-uproqu'. de détachements d'éaMnems. AVIATION. — Notre artillerie a eiascx.iu~u ut avion e-meraï au -acrd-onc ;t de Lnck, ■qui a pris fr.i en tombant à pie. L'appareil -a éié capi.iré U Varia temr fait prism<imer. tTAl^'ŒNS ROME, 5 mars • An jront de Trient aeir&c pins intense k 4 mur-à partir de la vallct: de Ficragnole jnsqaau Haut Coràeivk. Dans la partie supérieure de 'a rallcc t-> San Pwkgrino iAnstoJjmc bufflonne attaque de no. troupes nom a valu ia possession é'rne forte position dans le massif du Costabclla à vue uWtiûk k< plus de 2,700 m. Nous avons tait 61 prisonniers -e capturé une mtraSteusc. A a front Jtdien actw, d'artillerie rêriipraqne par weHarvaUes. Nxras a»m--causé des âcgSts et des im endies dans les ligne, ennemies à proximité de LesSvaMza {Isenze moyen) Des détachements de leemnaissanee ennemi cmt tenté de s'approcher de nos kg nés nu se&csi de Ver yjibaj ils « ut tli nettement repoussées. &Ui*LAà& LONDRES, 5 mars ; L'ennemi a attaque au matin, la position conquise par nous â l'est de Boucfyavesœs. Il a été repoussé avec pertes et a laissé des prisonniers en nos mains. A l'est de -Gommeconrt nous avons améHort les position'i, prises hier ei les -avous reujoicées.Au mthin nous îU'ons exécuté deux laids, couronnes de succès an sud--est et au nord d'Airas, avons infligé à l'ennemi des pertes et ramené -12 prisonniers. Nous avons pénétré dans les tranchées ennemies au sud-<rst de hnmchy et avons fait îles prisonniers. Six avjons ennemis oui été abaaus. Dernieres Depeches ItCd ceaaoass îï&si tus x OMA. Berfia, ti murs. — Le 3 mxr% sut 1 Antre, ies - «iiDjja® «Et CJOfltmaé #w te Serran <pn set^uû ce-TSiiî itos peâîious. Q«uuiqite les Angiais sfenî mis û mipoiîaaïes loroes en îigsie, ils n œt pas rensà à sppnxtrer des aaoveîles p-iâtioss alle-raaBoes. Au ©utrrs -de -ts-s ccraitets, <3 es détachements •âe conveiiTtre «deamas c-at encore -eriieré atts Aa-gîïis, orna la réfikaî de Gamniscc-irt, deux ïamaii-leyscs. t a ss reursst ras 1 es, fis ©ta «sqîâvé Bac Stagne «anemie, dirigée, après usa vioieate jsvjs-ratiija d'axiîiierïs, j*r ^es Graines impoKautôs cc-ii-ne ie Bizz, sitaé à l'est ;,e Gmmnscyuxt. En ûtftors du terrain <nœ dces s.uas velaeialremest évacué, tes Aagmfe n ont rétsa à se fixer sor ancnn point. L"atta<îue ennemie, prontBïcee le 4 ir.«rs près de Bouciiavesnes au rnojen d'importantes ferces, s ccfacué, oœmtt celtes peeaaacées le 2& lévrier près de Sriiiy. Les trempes d sssaat angiaisss çtâ s'é-taieni aTmoci«s sar nue ^rgetir de 2 Idlcrû&îres, oaj «iô débotàées sur fera deux ailes par une esBU-e-attojoe iTrjEéJisteiHe.Tiî pim-ùncae et obî été jures-eue part&ut reposssées. Au ctasîre seiiiemeat, eiies tmt réussi â se BûKidr daas me pctàie pmie ces uriaicaces; tes tentatives iaiies su ocers auit par l etraean pour cl*rgîr sera gaia de ïerraâî odî «cfeooé. Stir lots te reste ia iront, les Aiieraands ent développé tiae graade activité. Près de Cfeiliy, au sud de la Somme, outre les jxisassRkxs signa-és, nous îwas sohks «aqnrés de 2 nâradkrses. la positio i* vie ^u yvrrx x. t ,I -t (.. établi que les Anglais otsi subi de fortes pertes. L'attaqae prenûacée sur la reuîs d'Eto'a-Verdtic nous a encore vais trais mitrailleuses; d Autres en-core û-at étî capturées te a région de Niederafjadi et près d'Amertsweiter. Nous avons fait, en. oeîre, 'des {Tisonniers. La gsaade attaqae que notîs avois proaoac-àe sus la rive ©rîeotele de la Messe nous a permis de progresser sur jia tosnt de 1.500 mètres; 600 prisonniers -soîU restés entre nos mains. Nos pertes ont été particulièrement pea iinpcrtaales. Après ane courte préparation d'arrillerie, les treapes françaises occapant les tranchées étaient-déjà battues au peint que nos colonnes d'assaut tmt pu pénétrer, ït trois endKâîs, dans les lignes françaises. Grâce à de rapides 5eîs de grenedes à main, les abris ont cié rendus intenables et les Troupes françaises crut dû se rendre par groupes. Dtmission du premier ministre cMsoîs. Berlin, 6 nssrs. — Les journaas îondeaiens pu-bijeiit la dépêche suivante de New-York ; — D'après un ték^ranjae ds Pékin, 1e -cabine) s'est proooooê à l'ummiatilé eu faveur ée la rup-tui-e des relations dipîomstiqjies avec l'Allemagne. Le Piéàdeat n'a pas appiwupé cette décJsioii, d^-cle-taat que la Coasttoiûn coaiaait ce pouvoir à la: seal. Le premier ministre a doraié sa démissiaa ei ies autres aniniares te suivront vraisemblableutei] dans sa retraite. Suivant une aalre dépêche Reute.r de Pokiii, 3c premier ministre a décidé de se retirer après une scène qui a eu lieu entre lai et le Président de 3a Pcpublique. Sa démission sue sera vraiseœbla'b'k;-ment pas accotée. jusqu'à présent, rien ne s'est m&diflé dans 3'st-tltude de Ta Chine v"s-à-vls de TAHemagnc. Nocs ne publions donc cette dépêche que sous toutes réserves, dit l'Agence Tvollî, étant donné qu'aaciac j:cuvelle officielle n'a été rejtre à ce sujet ai au ministère des aSaires étrangères., ai i, la ÎSgatioa de Chine à Berlin. 1 Amsterdam, C mars. Router.) — Le prejnier ministre a déclare aa Président, que certaines negeck-' lions, dont 1e Président n'avait pas ét.: informé avaient eu lieu avec les Alliés. Sur ce, le Présioeai adressa m premier ministre tme réprÈmanae en îu. disant qn'eïi sa quaiîté de commandant snpréme d< 1 armée et de la flotte, il aurait dû être consulté. L< pren&r ministre se récria et finit par remettre sî ' démission ; il xartit ensuite pour Pékin. . l>a rareté «oissante des livres en Angletorise Berlii, S mais. — li ressort d'une Intonfistiet d'AmsteT :«tm ît la <> Gnzxà» de Vcss », an sujei d'isr discours prononcé par f ancàen ministre du commerce RimcSraaa, ckvant -une assemblée d'armateues que celrà éi aurait d.élafê que l'importation des vi i vres «n Angteterre, a;awt ét.: teTtoment minime te dernières «emetoes de février, que le gom-eriïîmen - 1 a\ait dà en-tsmw -tous les stocks de vivres du "Roysu 1 i me-Unî, sxmœnt ainsi qne le rsrtrnaiemeni de 1; Grande-Bretagne ne pouvait «e faire que par 3a provisions de réserve actasïles, qui toudiaîent î letn fin. li est en tout cas étebH que si l"i;np:;rta t 1 tion n'at^mente pas, pemple anf^ais Miiiirs bien tôt de la ïmm. Le swsveraeœeitt s'est préoccapc d'à îrord d'écarter les riffrcAés de transport P-af v&ii de ferre. En scaêral, la rérarfitien est saisïcîsaat* îusqa'ici. Ôa «tsife maiiaenant lis meyens d'aprè ' lesquels la narigatioa neurre p arrait réttfeMr 1. commerce réciproque, dans l'Intérêt de l'Angle#r ro et de se6 alliés, et on esfêre réussir par les dé marches que l'Ameriqoe fera de commun accom près des neutres, a cet efret. Mainbutu'g, 6 mars. — On mande de Londres a « Hamburger Etemàenblait », par voie indirect© La cherté des vivres de -eoiièrc néeemté, a doi né lieu, ces jours^ci, à d«s troubles, à Maneâwsie: ; Leeds, Sheffield et à l'est de Londres. Dans les m lieux ouvriers, les magasins sont fermés presqr toute la journée, par suite du manqite de provisisr reçtrps par les négociant ^ Les marcltés durent peine une heure. Les con.iutaes ont veulu oblige tes magasins à Tester cuvei s, mais les ïemmes d'-oi vriers et in police «a sont veaas aux mains. Le magasins ont été pillés. A Leeds et à Sheîfkld, 1 troupe la dû intervenir. Les provisions de pomme de terre, qui de,'aient servir jusqu'ici peur l'armé et avaient été aménagées îsns le peTt -et estasses dans des dépôts, ont presyje toutes été gelées < sou- impropres à la consommation de l'aranée» Ce ptaanies de len e sent actuellement mises à la dispe sition des communes. Le i'-i, le beurre, te lait et i farine de froment sont devenus si rares, qae tes nu gasins délaiUaat ces dearies ont îermé leurs établi: semenîa et n: acceptent plus de commandes. Ia poiiu^uâ ue «a nniswmt ie 1 xaan La grande pelitiqce de i* semaine «octaee ai ci cors «ipcarié aucua diaD£cutesâ sens h situation pc lidque de l'Allemagne vis-i -vis des E^te-Unis. Pc nuavement, Wilsun seotâlai; voua-ir aucneuï: ja m nion du nouveau Congres, qui jééui avec lui, ceai aiencc son -existence tegaje te 4 mars, il avait dej CL-avoquâ à cet cltel te 6c^at jour te 5 mars. JVlai déjà te .ij lévrier d avait :.^laiae au Congrès le pleins pouvoirs et les cr-.e s peur psuv-sir assure la proiectiaa des navires et des citoyens améiicsic sur mer. La discussion de son va u «si déjà, compris dans 1 ordre da jeur du Çepgrâs. Entretemps, ie vi peur d'essai américain « Oi tans 3) est arrive a £or deaux sans avoir été torpul • par un scas-maj m a 1 truand. Par contre, quelques Amuicaais ont pt; avec le vapeur anglais « J ieonia x>, de la Canar Line, qui a été torpillé le 25 lévrier au sàir. Reste voir si te Président constatera cet incident cornus un acte qui iercerait les E..!ts-Unis à déclarer i guerre. Dans l alfnatation, ti s aura pas grand"enos à. craindre de la résistance <ti'es amis de la paix. Le ouvriers, parait-il, se sont ra iii s résolument aa Prt ij-'o-rt. ■<£ J- est poussé à laisser alkr tes évécet-îe-nts part cuiièremeat par la crise des vivres qui a dé; éclaté aus Etats Unis. C'est une apparition siagulk rement enceuiageante à première vue, attendu qu les Etats-Unis n'ent pas eu à scufcàr jusqu'ici d'un enss de vires, maigre la récolte pea lavoiaple,û'ai: tant pies que l'espcrts^an vers 1 Europe est arrête par les sous-martns alJeanarids. C est ici -qu 'on do: en trouver l'csplicatica. L'expcrîatiaa cesse et le ports et les entrepots à la côte de l'est sont eaeont bros. Les arrivages du pays sont donc arrêtés, ert j rer.ehétîssenianï des vivres, dont se plaignent depti: îongtemps tes cavriers, s'est transformé -en cris dans les grands centres de la cité de l 'est, à New Val; et à Pfcilsdtlphi-e» Cet état de choses n'est pi inqu-ctatit jott l'Amérique, Mais c'est déjà une 1( r-m qui dœne à réfléchir. Tout te système des du mms de ter des Etats-Unis est ©rganis-é de façon ce qu'il ne conduit que vers quelques points de t cote de l'est. Depuis que tes travaux da Canal d'En sont terminés, cette situation -est devenir enco: plus évidente. Des détours sont donc à peu près in possibles. De là iiafluence immédiate d une stàgm ti. n semblable ^ui augmeutera encore à nu èarrsî de la côte américaine s'organisait et qui deviendra de ce fait très efficace au moyen des soas-.rrmrâas a tentands. Ea outre, te système des chemins de f; j est tut ebstacte direct à, la concenfratioa ci aux mo; vemeats de irosipes dans une direction ou l'antre, a été organisé au point de vue éesnomique et par- di entreprises privées. Personne n'avait -ssugé, fci: que les grandes lignes de chemins de fer américaû furent construites, que tes Etats-Unis auraient r j'avais être exposés à une guerre avec ua Etat ettr< péen. S'il en était ainsi, le monde verrait que c grand Etat est beaucoup plus sisce^tible, plus fa bis <et beaucoup moins en ^taation de se déienc: qu'on eût ru se l'imaginer en présence de : grandeur ta de ses richesses. Le chancelier de L'empire allemand a -déclaré i m,m eau dans son discours du 23 Jêvrier,Qae les A leirands ont fixé Ses « limites iiidéplaçabJes, qu i ne peuvent pics reculer » et qu'il n'existe pcutr et qu'une éventualité : En às'snt. L'attitude de l'A& magne ne peut pas être mieux fixée-qu'en ce m j ment-ci ; elle ne pourra être modifiée par* aucun & nement quel .qu'il sait Ni les négociations qui tp£ sèrent par la Suisse, ni Its négociations danoise ni Je torpillage de navires hollandais qui n'ont p-i terni compte de Vavei-fissemem alietnand., ne fera détourner l'empire afieimma d'un pas de sa ligJ ' de rniâtnte. La décision des événements ultêriet. depend Fimp^emen't du Président "\\'jls;n et an Cet grès. Expulsion iTtm vapeur aî tisé anglais ûe la Hollande. ; ' La Haye, S mars. — Le naviie marchand ang-t; t « Piîncess JBetita » est arrivé ce -matin à Hot vain-MoHand. Les amoriiés fiécouviirem 'qtte des c t nons avaient été portés' à bord dans des buts defe 5 sîfs. l.e navire a dû ttnittsr immédiatement b po t : sur l'ordre des autornés "hollandaise.--. Iiestructîcm de la fabrique de mnni-;ons à ïiOTidres. Le journal professionnel malais « Firi » nous do ne un aperça détaillé des dégâts «aosés par Te: plcsion dn 19 'janvier dans la fabrique de ifutnitios à Londres. Les tég-'us s'élèvent à plus de un m'iilî . de livres swrimg (dor.c plus "de 25 miffions ; franca). Le bâtiment dans lequel l'explosion a < lieu, est complètement détruit. D'un côté, on pe I, voir un trou de 100 pieds de largeur et de 25 pied ! de profondeur. Le département chimique s'est com u plètemeat écroulé et te autres bâtiments sur tes ter ; rai us BvoJsinaats sont devenus ia proie des flammes i- Dans te voisinage les toits ont ésé soulevés par i -, pression de l'air. Plus de 10,000 fenêtres ont ét' i- brisées. Uses de nombreux endroits 4e ce quartie: e de la ville, les murs des maisons se sont cjevresés s Les comliaifi 'ie jSoucàavssaes. à Berlin, fj mars. — L'atiaque anglaise près de Bou s chevesnes avak été cpparerisncnt eiiéciiiée sur un< ftiande échelie et sur ua large front. Le feu d'âr s tiherte siulent qui avait été dirigé l'après-midi su; y tout Je front, depuis la iarêt de St-Pierre-Vaast jus s qu'à Bouchavesnes, s'est transformé vers 5 h. 30 di e l'après-midi en ieu -roulant. Les troupes d'attaqu s anglaises qui s'étaient rassemblées dans tes premié ■t res tranchées, fareaî louiejois aperças à temp u par les troupes allemandes et prises sous un feu des i_ tracteur, de sorte que tes Anglais ne réussirent p» a à pror.acer leur attaque au moyen des troupes pré • parées à cet effet. Ce ne fut qu'à 1 est uoUoucita (_ vesnes qu£ tes Anglais qubièrent Jsurs txaucht-es Leur attaque s'écrcuta ioiUelo.s sous aoîrs feu,avei !t des pertes saisglames. Une seconde teatative d aua h que exécutée vers S h. 40 n'aboutit pas davantag: sous ncir-e nuée de ieu. Les attaques Ixançaises a vue de re-conqucrir îes traucSu-es perdues te 4 niai, dans te i>ais deCauiières, ont toutes échoué. Le r a _ : diotél^ranuae françêià au 6 mars, i heure après ' midi, annonçant qu'une partie de ia pcsiticaa aurai été Kccogtasc, est de pure invention. Les traoebée; ont été maintenues contre toutes attaques et ss fe> u'ouveat soddejacni bus mains des Allemands. La su-uation ea Grèce. ^ Beiiia, 7 mars. — lie Rotteroam au t Berlin e; Lokiû-AriZviger » ^ Ou ruaude de Lausanne que' ï< mainlica da hioces. par î'Eateste, cause une miser-: sans cesse croissant. Malgré la misère la plus ei frayante, en plusieurs eridroits, les soldats françaù '. s'approvidonataj ea vivres, aux dépens de la population. L'Emeute auiali oi'en aux habitants des îles ' ioniennes des céréales â cosaition que tes îles ss a détachem du Roi et reconnaissent 1e goavernemea " de Saionique. Malgré toute la misère, les autorités a de l'île ont refusé celte offre. Berne, 5 mars. — Les souffrances de ia Grèce n<t s paraissant pas encore assez importantes » ceriaia; milieux français. ,C est aifisi .qtte te ■< i. um*! Ues Débats exige dans àn' nm'cie 'Se fond Àé ce jour l" des mesures encore plus énergiques envers la Grèos a et en particii'it;r centre le roi Constantin. Des cor icspondam au « Petit Journal d à Athènes font re-e marquer que 3c blocus n'est toujours pas encore as e sez etRcace La Grèce dort apprendre à connsitri tout le poids de la force de l'Eat-ente. La âtuatiar e actuelle a empûé -an point de devenir intolérable. Las prisonniers allemands an Angleterre. s Londres, 6 mars. (R enter.) — On communiqut officielfement que les nouvelles règles de soins î e accorder aux prisonniers allemands ciïils et mili s taires, correspondent à la dernière publication dt e ccrurôleui' des vivres, qui les a approuvés. Jusqtt K les prisonniers auraient reçu plus que la resirictiai s recommandée pai- Lord Devonport. La question germano-mexicaine. Berne, g mars. — Le correspondant du « Pelé ;i Parisien a à Washington, câble à la date du 5 mars • J'ialgié 1a dée tare tien oirietelte du miaistre mejiie . ° général Aguilsr, d'après laquelle le Mexique n'au e rait reçu aucurre ofire de l'Allemagne, te gouverne L~ meat snaiâteain persiste à dire qu'il a la certitud; l" da compter germauo^uexicaîii.Les déclarations cour, f toises ofiicielles de l'ambassadeur mexicain Ftetclre u . aa sujet des attentions amiables et des preuves d'es prit amical des autorités mexicaines, qui ont été ré r pétées iors de la remise des lettres de créance à Car ranza, n'eat pu être littéralement recueillies, il es " certain toutefois ^u'en ce moment le gouvernemen s américain ne désire pas de complications avec 3'An gleterre. Il est donc -clair qu'il cherchera à mainte ls : nir tes relations amicales aussi longtemps que pos 11 sibte. Fletcher ne se fait toutefois aucune iliusioi sui' l'influence allemande qui travaille tout te JVlcxi . que. Le gouvernement des Etats-Unis est trop biei l" renseigné sur les affaires mexicaines p-ottr croire i ® la durée de relations amicales, au cas d'un confii a aimé entre les Etats-Unis et l'Allemagne. Le gou , veineaieut amérkgisi est prêt à toutes tes éventa» e liiés. Le procès Sciùfcaann. !S j Berlin, S mars. — -Après un procès de 05 jours ■x l'inculpé Schiffmann a été condamné à 10 ans d i_ réclusion et 10 ar.s de perte de ses droits civils,sou ' déduction d'une détention préventive d'un an et si J" -nieis. La femme Ahrens a recueilli un an et si s" mois d'emprisonnement, moins cinq mois de détar 3> tion préventive. A ia Glnvmbi'e des Coiairtune^. : Rottei'dam, -6 mars. — Dans la séance tenue hic le ' à -la Chambra des Connu unes, le dépu;S J^sabert l>® déclaré que le ministère de la guerre aurait micu v \ ïalî de ramener 10,000 hommes de Salonique, pluti que de les enlever à l'agriculture. Sir Herbert {libéral) dit que la question la plu . importante ea ce moment n'était pas !e matériel lu 15 maia peur continuer !a guerre. Churchill a dit qu' | était douteux que la décision pùt s'obtenir eaccu a" ! cette année. U espère que te gouvernement n'en 1_ " ploieia pas son armée à un combat violent outr rt ' mesure, s'il n'est pas certain qu'il peut aboutir une phase décisive. Bcnar Law a refusé de se déclî rei peur ou contre l'expédition de Salouiquc. 11 n , s'agit plus seulement de la politique anglaise, ma n- j las Alliés, poursuivent une polié.re commune e <• ' Orient. Sonar Law -estime qu'il n'y a aucune utifit « ; à retirer -de la sêatuse secrète, preposée par -Ch« m cliiD. Ea réponse à une interpellation, Bathurst c"i< ie data que la disette de pommes de ten« n'exista • u pas seulement en Angleterre, mais dans te mono ut entier. Si l'on continue à manger des pommes d s terre, dans ies ckeoasiacec.. ae.uelles, parsenae na pourra probablement se procurer encore des pommes de serre à la fin du printemps ou au commencement de l'tté Les gens qui peuvent vivre de pro-î visions .devraient s'abstenir de manger des pommes 3 , de terre, afin q-ue ©eltes-ci puissent suffire k «Ern#n-r ter le® pauvres, il ne croit pas que tes paysans ont retenu des pommes de terre. XFa aoii¥eau commandaiit anglais. Rottadam, 7 mars. — Le « Nieuwe Kritercam-! sehe Cornant » annonce que Sir Wiuiam Pakeham - -a été nommé comniandam de la flotte des croisears-;• cuirassés. Jïiorï da l'ancien président du Portugal. ; Bàie, 7 mars. — L'agence Bavas annonce as Lis-: , bonne, la mort de M. de Ariaga, l'ancien président . de la république dé Portugal, s Le a ITrédenc VHI s. Copenhague, 5 mars. — La ligne Araericauo-5 Scandinave a été informée que le vapeur « Frédéric Y1ÏI» aurait envoyé un télégramme sans fil sa date du 2 trars, annonçant que tout va bien à bord. La guarre maritime. . Francfort, 7 mars. — Oh mande ue La r'aye à la « Gazette de Francfort ') : Le vapeur anglais « Ber-thold d (0,723 to.TO'jsj a été coûte près ne C^omoo, j Le navire se trouvait es route de Durban aa Japon, . Le vapeur « Worcesteriield » (7,115 tonnes), CGulé déjà il y a quelque temps, a également péri à proximité «e Coio.T.tx}. Les primes e 'assurances pour tes t voyages aux Indes «est fortement montées â cause de ces deux pertes. Le « Kîeuve R5îîeresm=eiie Courant » suppose qae ces deus ravir; s oa; été vie tlmes au vaissia: u-fai.iûrae « M&ve il Rotterdam, 6 mars. — Du « Meewe SoCsrt'ï^û-sthe Courant ip ; Le vapeur Biaiehand armé an, jS « Frinsesse Meî&a a, -qui se tnmve »eSBeSec5e: -. s, 3 ancre au N&twe %'aterseg, a été fisc; ses survefiJanee mîiiiaiie. Amaeruam, ti mars. — De J'-a AÀgtraeca Hcn-delsbîad j> : Le vapeur « Princesse Melita » a été remis en libéré après un séjour d'aae dearâ-heure. U a pris 3a direction du Kicxiws Vt-aterv/eg et -aoa «elle de 3'Argleterre. A bord se trouve un malade. Le navire masque d'eau. Hambourg, te mars. — Le vapeur « Livtegstcne », cliargé de sstlpèîre, à destination de l'Angleterre, a été amené dans ia mer du Nord et conduit comme prise Mï-i'h: .rs. .da stpS.ée- ' Christiania, t> mars. —• Le vapeur norvégien « Gurre », torpillé dans la mer du Nord, faisait route de Bergen à Huil. Ce sinistre coûta la . vie à 19 personnes, dont deux dames, mère et fille, qui avec l'autorisation du consulat briti-naique avaient risqué de voyager dans la zone dangereuse. Le commandant du sons-marin qui avait remis au capitaine de la barctie à voiles « Holtchi », deux survivants de l'équipage du vapeur « Gurre », aurait averti celui-ci avec insistance des dangers de la zone de barrage, vu la présence de nombreux sous rna-| lias, et lui aurait raoenté qae le jour précédent quatre vapeurs auraient été cesiés, Il avait recueilli à bord «n machiniste norvéglea, afin de 3e ramener avec de boas soins en Allemagne. I ■ I I II M III I II Ml 11 I K€1M F.£ ÇRepi adultes de l'édition précédente^ Guerre mobile au ftoat de l'ouest? Liîgsa», 4 mars. — Le cwwspoaiawî du r Corriere deila Sera » affirme que tes aidantes militaires ^françaises sent coavaiBcaes qa'on passera aa ii ont de 1 ouest à une tactique de mouvements qui retardera de queiques sesaiwes Jes opérations . projetées de l'armée de l'Entente. Le collaborateur militaire du « Tijd », d'Amsterdam croit qu'on peut -s'attendre bientôt à d'importants événements au front de l'ouest. 31 croit probable que te jeune état major anglais ae sera pas à la hauteur de ia stratégie éprouvée des officiers d'é-tat-major allemands. Jte ce fait la perspective que t la campagne d'été sera décisive, semble se cenfir. mer. j Concentration (pat le capitaine Erich von Saizmann, collaborateur t militaire de la u. (Jazetter'âe iV«s »J Des chefs d'armée qui ont basé leurs opérations stratégiques sur tme position,ont éprouvé généralement des désillusions. Le crampeni.emenx obstiné à une position déterminée aura souvent pour conséquence de permettre à l'adversaire dîmposer la loi 2 aux opérations. C'est justement dans le facteur de s ' cette prépondérance morale,que gît le moment cri-s tique des opérations militaires. Cela sera toujours j I ainsi et se fait justement valoir aTjourtfhni dans la guerre des tranchées. « La guerre, diîtfiî autrefois Oausewitz, est un vrai camélion,prcc qu'il change de nature dans cha-' que cas concret. Dans les événemens de i'Jincre, a nous devons voir un cas concret semblable. Î1 s'y j. passe quelque ^îose de -camélionesqae et on serait • |t tenté de rappeler la phrase bien connue ; « Qu'est le camélicin quand on 1e met sur un drap écossais ? » s ' Comme variante à de Clausewitz, nous pouvons demander aujourd'hui : Que fera l'Anglais s H arrive q | dans notre territoire abandonné de l'Ancre? Nous * e ' ne le savons pas. Mais je crois pouvdr affirmer Iran. ' quiilement que l'Anglais 1e saura encore moins, Son 1 état-major général crèfvera donc probablement de :t rage comme te camélion sur le drap écossais. Après tes événements de la semaine écoulée, la phrase suivatfte du général de cavalerie van Bern-s bardi se fera encore valoir oompiètean vt : « L'his-toire de toute la gi.terre nous prend, que te succès n'est lié à atteinte forme d'attaque ni ..e défense. » ._ ' Nous pouvons donc réclamer le sticc^ ;cr£r nous ; Laissons l'Angleterre demi «et le :n( s evcc eèî jt cSbtes et lui faire croire pen:,..t Cxa .ies jours e • qu'elle a pris dïs positions ê m . . ,.e a c ii-e vré des décombres de poussière da;-. >.ts vi'..ageâ et du terrain français complètement uuaaatteuié^

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes