Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 28 Juni. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 09 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/wp9t14wg0n/
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DEUXIEME ANNEE. — N" 270. TSKAGlÊ JUSTSFIË 58,000 EXEMPLAIRES LUNDI 28'JUIN; 1915, ■ L I I- . T- -A.aaowrisrBîJviBîisr'T^ » L an, 12 francs. — C mois, 7 francs. — 3 mois, 4 francs 1 mois, 2 francs Journa Quo^^ .v. îdép^B llsuxi HÊDACTiON, ÀOMiNiSi pal >UN. PUBLICITE ANTVOIVGHIS î Faits-Divers, la ligne 2 francs..Nécrologie, la ligne, l ixtaïc Petites annonces, la ligne 20 centimes Sur le frô 3° phase. — Courlande et Galicie r\> 11 est heureux que l'attention ait été appelée à de divers moments à se concentrer davantage sur tel et ou tel point où se déroulaient des événements pi d'une particulière importance. Il en fut ainsi, U1 d'août en octobre 1914, pour les théâtres belge vr cl français de la guerre; en février 1915, pour la tii Prusse orientale et la Pologne; en février égale- ai ment et les mois suivants pour les deux côtés de né Constantinople : Dardanelles et mer Noire; en- or fin, pour ce qui concerne d'autres faits navals et H eu particulier l'action des sous-marin§ allemands, u' les premiers mois de l'année 1915 furent d'un f'-; exceptionnel (intérêt.. En disant cela, nous ne gr visons que 1ë<s traite généraux, car il n'y eût ni 1,1 un moment ni un point peut-être où les hostilités qt s'arrêtèrent. jamais complètement. or lia seconde offensive allemande en Prusse sil orientale et en Pologne occidentale (février 1915), Ni entièrement victorieuse dans la première de ces co contrées, s'était, semble-t-il", peu à peu usée à la co ligne presque ininterrompue des places fortifiées russes de Grodno, sur le Niémen, à Varsovie, sur ne la Vistule. Cette dernière ville formait dans la fo Pologne du Nord comme le centre d'un front russe ro pénétrant, par rapport au reste, du front austro- vo allemand. Celui-ci, aux deux côtés de ce centre, qu était en avancée à l'Ouest sur territoire russe, à vo l'Est dans les Carpathes et en Galicie. Il sembla que de longs mois, de mars à juin, ce creux rif île Varsovie et de la Pologne fut délaissé par les 19 Austro-Allemands pour* d'autres |opérat)ions de lui vaste envergure et qui — on le vit plus tard —- pa n'allaient, à rien moins qu'à dessiner de chaque qu côté d'immenses mouvements tactiques, lesquels rêi à un moment viendraient se rejoindre pour ap- Li payer irrésistiblement et en arrière sur la ligue lai ru ->e puissamment fo/tifiéë de Varsovie-ICovno. rei En tous cas, fin aAi il et préparé de[mis des da Si maines, éclata le cottf> de théâtre de Kofifensira <>e (i itrniimOi-; !nr-rrr»TfWrrm-, VC1S UClfVi . ■_ M lomètres de la frontière de la Prusse orientale. Ce tie mouvement pouvait menacer Kowno, à droite, ou, mi à gauche, Liban, l'important port russe de la Bal- loi tique. Naturellement, ce fut. le moins probable Ca et le plus hardi qui se réalisa. En même temps que tel Libau, Mitau, la capitale de la Courlande, fut ga occupée par les Allemands. tel C'est à Mitau, qu'en attendant, la chute de Na- nii poléon, le duc de Provence, le futur Louis XVIII, j t,u< séjourna tant que l'y autorisa le tsar Paul I". thi Jadis duché indépendant et, plus anciennement na encore, colonisé par les Chevaliers Teutonique3, la Courlande, outre son importance maritime, joi offrait à l'Allemagne un souvenir historique et v; f un intérêt actuel, car sa race, sa langue et sa ra] civilisation n'ont cessé d'y tenir une grande place, Le succès de l'offensive allemande, assez inat- j tendue de ce côté, fut attribué à l'insuffisance (ju du service russe de reconnaissance qui n'avait pu prévoir pour les prévenir les plans de l'adver- ^ saire. La marche de celui-ci avait d'ailleurs été foudroyante, car avant d'atteindre Libau, le 8 mai, les troupes allemandes avaient marché , 18 heures sur 36, puis dû combattre immédiate- ' 1 ment durant plus (le huit heures. La prise de Mi- ^ tau menaçait les communications russes avec Ri-ga, ville de plus de 100,000 habitants, dont un tiers d'Allemands, ainsi que vers Wilna et Saint- j Pétersbourg. Cependant ces dernières conséquences ne pou- > vaient être immédiatement réalisées et sans doute j, elles n'entraient pas dans les intentions de Ilin- denburg qui devait se contenter du succès obtenu, y contrairement à ce qu'annonçait le 5 mai le cor- ^ ' îespondant russe du Times : a Des télégrammes ^ arrivent continuellement de Libau, Mitau-et Riga. J'apprends que toute la force expéditionnaire allemande se compose de trois brigades de*çava- °° lerie et d'une brigade d'infanterie. Il est proba- ble qu'aucun Allemand n'échappera, à moins c 6 qu'ils puissent réussir à s'embarquer sur leurs mt navires. » Ce dernier mot, qui-fut loin de se réali- sal ser, se rapporte an fait que les Allemands ap- payèrent leur marche en Courlande par l'action , 1 de leur flotte de la Baltique. es Délaissant aussi en une certaine mesure le front P11 central avec les diverses lignes du Niémen, du Narew et du Bobr, enfin de la Vistule. ainsi que la ligne de places fortes qui commandent ces fleuves, l'offensive contre les Russes se trans-porta, à des centaines de kilomètres de là, tout à l'autre extrémité de la Vistule, au Dniester et au raife I Prutli, à proximité de la frontière roumaine. I levait être le pendant à la marche en Courlan t un second débordement par le flanc russe o msé. C'est ce qu'exposait fort bien, mais av m optimisme excessif, le commandant de C rieux, chroniqueur militaire du journal le M in (6 mai) : a L'événement ne doit provoqu ucune surprise. Il était prévu, car il découla écessairement des contingences stratégiqu réées par l'avance des Russes. Pour sauver longrie de l'invasion imminente, nuls moye: apparaissaient meilleurs que des attaques ai fanes de l'assaillant par les revers des mont nés. Ces attaques, l'ennemi, depuis plusieurs s laines, en soignait la préparation. Aussi bit ue devant Cracovie, il accumulait, en Galic rientale, renforts sur renforts. L'orage était v il'le qui montait aux deux bouts de l'horizo: ious ne devons pas douter que le grand-duc N oins n'ait pris toutes les mesures utiles pour < on jurer les effets. » Carpathes et Galicie, telles sont les deux se es de guerre qui, après avoir attiré plus d'ui :>is, mais momentanément, l'attention de l'Ei npe et du monde entier, devaient, en mai et juii oir se dérouler des événements grandioses et ju u à leur complet dénouement, doiit tous eutr oyaient les conséquences importantes. Après leurs deux incursions, d'abord vic-ti ieuses, en Prusse orientale (août et novemb] 114)', incursions qui semblent bien avoir eu pot ut principal de couvrir sur le flanc leur marcl nr la Pologne méridionale vers Posen et Berlii naml cette dernière opération aussi eut, été a: »tée net par les victoires allemandes de Lodz < imanowa (décembre 1914), à plusieurs t-ei tines de kilomètres de Berlin, les Russes tenti -ut de faire déborder leurs masses, plus à l'Es ans les plaines de Hongrie, pour de là se dir ^i' sur Vjeûna, Cette fois encore""*? e i*Tnrpi emment attendu par les Alliés à l'autre extri Lité de l'Europe, allait-il cesser de rouler bie mgtemps? Il se heurta d'abord à la chaîne d< a^pathes, dont lfe flanc méridional et les liai surs ainsi que les principaux défilés avaient éi ardés par les Autrichiens après même qu'en se] unbre 1914 ils s'étaient, vu obligés devant 11 tasses russes d'évacuer la Galicie, province s îée entre la frontière de la Russie et les Carp; les. Celles-ci forment à la Hongrie une défen; atiirelle. - Qu'on se représente, depuis Cracovie, sur m ingueur de 1,300 kilomètres, jusqu'à la pr< ince de Bukovine et la frontière roumaine, di unifications montagneuses étroitement accumi ies avec de rares passages ou cols : Dukla-Pas, upkow, Ulsok-Pass, tous trois assez au cent] u massif des Carpathes. Certains sommets a lignent une hauteur de plusieurs milliers de mi 'es et sont couverts de neiges éternelles. L'asoei énéral sauvage et-solitaire contraste assez avs >s Pyrénées et les Alpes, qu'Alexandre Duin: appelées « des montagnes civilisées ». Tel fut le théâtre, difficile aux opérations, o urant un long hiver — novembre 1914 à mai 315 — les troupes russes et autrichiennes s't larnèrent avec une égale ténacité. Le transpo: es pièces d'artillerie offraient, des difficulti l'esque insurmontables ; les flancs des montagni 'étaient guère accessibles qu'à des corps spi aux de skieurs, a Nos soldats, aurait dit un pr mnier russe, appellent les Carpathes « l'enf< lanc ». Le monde entier ne parle que du pai es lacs Masures, parce que nous en avons éi îassés trois fois. Mais Dieu sait combien de fo ous avons été repoussés des Carpathes et de leu: orges. Dans la Prusse orientale, dix mille lion ies sont cernés en une fois; dans les Carpathi est par groupes de cent, de mille que nos hon ies sont pris en des luttes éparpillées et ince mtes ». Il semble d'ailleurs que les Autrichiens dai :ur défensive avaient pu s'assurer les. positioi s plus favorables. Aussi, au début d'avril, li rogrès dés Russes se trouvèrent définitivemei iravés. Mais il était malaisé de chasser compl mient l'ennemi du versant septentrional di arpathes et d'écarter ainsi entièrement la m, ace d'une invasion russe dans les plaines de ; iongrie et de là jusqu'à Vienne. (A suivre.) TONT. a mois, £ nancs Sur le front piissa {Rue 19C@xa.fjL jvacwoae.. fc> y .m Oc lande AUTRICHIEN e 0p_ Théâtre de la guerô russe avec Vienne, 26 juin (hier). -- Entre Halicz e Qi_ Zurawno les combats contin Sur la rive sep Ma- tentrionale du Dnjestr des contre-attaques de >quer Russes ont été repoussées. Aotie propre attaqu ulait progresse. Avançant par Zy'aczow, Cliodorow < iques été pris h&er. Pour le sur/ u.i la situation ai la Dnjestr, en aval jusqu'à H >Uez, ensuite à l'Es >yeus de Lembera, près de Rawan fk(& et au Taneio, es aux inchangée. La rive méridioTU ie ilu San ent débar :>nta- rossée (Te l'ennemi. En Polq</nl les troupes coa rs&e- Usées poursuivent les forces ijUêijei se retirant ver bien Zawichost, Ozarow et Sienno. j jîjcie Théâtre de la guerre]italien t vi- Aux frontières du Tyrol ci tde la Carinthie izon. combats d'artillerie réitérés. Mans le territoir ■ Ni- de la côte deux attaques ennMtfës ont été repous ir en s^es dans les heures matinale<t $ l'Est de Ronchi Un feu d'artillerie violent en n \nn est dirigé con scè- 1° tête du pont de Goerz ênïâ. pente des liau 'une teurs. 'Eu- ITALIENS ; îuin, Rome, 25 juin. — Le comhdt d'artillerie, par jus- ticulièrenvent avec les calibre*imoyens et gros, , titre- augmenté tout le long du frotijh. L'ennemi tent aussi des attaques de nuit, nôtdihment en certain ict>o- endroits de Monte Pianof dans l'es vallée nbre de Grande et. de Piccolo, à Crçxta Vcrda et entr pour Piz Zopolhna et le Zellenkofû . Le tentative d ai relie t.aques ennemies contre nos p< iti'/ns au Freihofe rlin, ont. été particulièrement vit lentes. Pendant / î ar- nuit du 22 juin et le lendema/n trois attaques on Iz et été exécutées contre nous, lesquelles furent re cen- poussées grâce à l'aide effuar?;'de notre artilleri mtèr et au moyen de grenades^Wennemi (ibàti Est, donna 200 tués sur le Du bas-fond, d mm ôp7î7T 'ments de transports de Thzzo à l'Isonzo supe s:tré- rieur. Dans la région du Monïe Nero et le long d bien l'Isonzo le 22 juin a été calme. ; des kau- FRANÇAIS b été sep- Paris, 24 juin (15 heures). — Dans la régio les au Nord d'Arras la nuit, a été relativement ca\ e si- ce n'au Nord de Souciiez, où la canor, irpa- nade n'a pas cessé. L'ennemi a bombardé Arrai fense Devant Dompierre (Ouest de Péronne). Vea plosion d'un fourneau de mine allemand a été su, une v*,e d'un violent bombardement de nos tranchées pro_ Une tentative d'attaque ennemie, exécutée par u des fa^e effectif, a été enrayée. iniu- ^ur ^es Hauts de Meuse, à la tranchée deCalor, 5àss ^a situation est inchangée. Nous nous somme ■ntre maintenus dans une partie de la deuxième lign aj, ennemi. atJEimE 'ass *0=^ «S i^msj a» En Lorraine Vennemi a contre-attaqué près de Leintrey. Après une lutte assez vive il a été reliiez et p°ussé. ve sep- ^ur Ie reste du front, la nuit a été calme. ies des Le nombre des prisonniers fait depuis le lé juin ittaque dans la région de la Fecht, s'élève à 25 officiers, lorow a 53 sous-officiers et 638 hommes. don au à l'Est Paris, 24 juin (23 heures). — Dans la région \ew est ou Nord d'Arras,aucune action d'infanterie n'a eu débar- Heu aujourd'hui. Nos troupes se sont organisées *es coa- dans les positions conquises. mt vers Canonnade dans le secteur■ d'Angres à Ecurie. Au cours de la nuit et dans la matinée l'ennemi a violemment bombardé Berry-au-Bac, ainsi que Iq nnthie, village de Sapigneules. Le bombardement n'a oc-rritoire casionné que des dégâts insignifiants. repous- Dans VArgonne et sur les Hauts de Meuse on Ronchi. n'a signalé que des actions d'artillerie. gé con- Dans les Vosges, à la Fontenelle, une attaque es haii-, ennemie a été repoussée. L'ennemi ei canonné les lisières de Metzeral et les crêtes à l'Est du village où notre progression s'est légèrement accentuée. ie' ?ar- RUSSES gros, a '% tenta certains Pétrograde, 24 juin. — Dans la région de veillées Schaulen, la situation est inchangée. Au sud des >t entre ^acs ^e Raïffr°d> n°s troupes d'avant-garde ont vc el'at passé dans la nuit, du 22 juin la rivière d'Ejirina veikofel et 0CCUP& vfflaQe de Kuliglii. Dans la direction lant la ^'e ^j07ïlsc^a, violent feu d'artillerie. Au Tanew, 'lies ont nous avons repoussé des attaques ennemies près ■ent re- du village de&uhUnatz. A l'ouest de ReiwarusTta, Hillerie ^ ennemi a été refoulé dans le voisinage du village i abati- ^e Gutazelena. Notre cavalerie a battu trois com- \ fond de Va9nies ennemies. Le 21 juin et dans le courant vtQXerie nwt suivante, nous avons irrété la poussée o supér bats acharnés''J II parvint à pénétrer dans la long de r^9^on de la ville de Zolkvew. Par conséquent, nos troupes ont évacué le 22 juin Lemberg et continuèrent leur retraite au nouveau front. Au Dnjetr, le combat a continué au sud du village de Kosmierzyn, où Vennemi se maintient sur la rive réqion gauche du fleuve. A l'élargissement de la courbe 5nt cal- du Dnjetr, nous avons refoulé l'ennemi du vil-canon- loge Unich contre le village de Luha. Nous avons • Arr as. fait des prisonniers dans un combat. ). l'ex- ! ^ été sui- Pétro grade, 25 juin. — Pas de changement es-nchées. • sentie! sur les fleuves Windau, Wenta et Dubis-- par un - sa" Sur le front du Narew et, la Vistule de petites rencontres d'avant-garde?; sur le front de Tanew îCalon- 1 également calme. sommes ; Dans le secteur de Zolhiew et Lemberg l'ennemi ie ligne j prononça plusieurs tentatives d'attaque au cours i de la soirée du 22 juin et pendant la journée sui- 2 vante; il faisait des efforts avec une opiniât particulière le long du chemin de fer Lëmbt Brzszany, dans la direction des villages de Ci how-Zinitrowoitz. Cependant grâce aux con i attaques vigoureuses de nos trempes ces tentât } échouèrent. Sur le front Zurawno-Demeszkowice vio, combat rnui se développe avantageusement f, 1 nous. De considérables forces allemandes ont ; 1 sé au matin du 23 juin dans la région de Kozi s sur la rive gauche du Dniester, elles ont subi pertes graves, nous les avons poussées contn fleuve et elles ont dû se mettre sur la défensive» 7 Allemands se maintiennent ici soit sur la rive f, ? clie, soit sur des petites îles qui se trouvent au lieu. A Marbinow et à Rozdwiany les Autrichiens 1 passé le Dniester; par une contre-attaque de troupes ils furent rejetés contre le fleuve et \ 3 dirent 1,700 prisonniers. L'ennemi se maint s dans les maisons près du fleuve où il offre ? résistance acharnée. Dans ces combats notre a\ lerie lourde et légère nous a rendu de grands vices. Dans la région de Kosmezina, au Dnies et au Sud-Est de Nizniow nos troupes ont p< à Voffensive, atteignirent le 22 juin la monta e de Bezimina, qui était occupée et fortement s tranchée par l'ennemi; au matin du 23 nous ai t exécuté un violent assaut contre la montai I L'enne/im a évité le combat et s'est retiré su 'l deuxième ligne de s-es retranchements. TURCS Constantinople, 25 juin. — Au front du C eeise le combat d'artillerie avec Varrière-gard t l'ennemi a continué le 24 juin, dans la réi e montagneuse^ ^ ^ a portante, Au front d • Dardanelles, près d ' Burnu, feu avec intervalles dans la nuit d\ juin. Près de Sedd u1 Bahr, la situation e> II même que celle eiprès l'a dernière bataille, i e laquelle Vennemi fut refoulé complètement t e ses anciennes positions. Il n'a vas été pos»ible re qu'ici d'évaluer les certes extrao/dinairement vées feiites par l'ennemi dans la bataille di •9 juin; notre artillerie épargne les navires an • lanciers qui. amènent continuellement des ble. Dans la nuit dii 25 juin un détachement de re naissance de notre aile droite surprit près de >ç ul Bahr un détachement ennemi dans une 1 s chée ,l'anéantit, détruisit les mitrailleuses et 0 vint avec un butin de 26 fusils, 9 caisses de nitions, un matériel de pionniers, des nièce,* 1 rechange de mitrailleuses, des appareils téléj 5 niques et des bombes. Rien d'essentiel sur les autres fronts. vec Concadero (1,793 tonnes brutes, construit en aas 1888). Cette vente, faite à un acheteur sud-africain, a rapporté £ 16,100. 011 ANGLETERRE. — Pertes douloureuses ls Londres, 25 juin. — La nouvelle liste des per-' ~ tes anglaises renseigne 71 officiers et 1,914 hom-nies.ANGLETERRE. — La chute de Lemberg et l'opinion •_ Londres, 25 juin. — Le Times écrit au sujet £gr de la chute de Lemberg : Il ,a été commis des fautes dans le commandement de l'armée russe, ^ fautes qui ont déjà eu pour conséquence des clian-?ois gements dans les liauts commandements. Lorsque urg les Allemands se préparaient à livrer la première >m_ bataille, la ligne russe fut affaiblie au Dunajec. hes ^jes ren^or^s russes arrivèrent trop tard pour bri-m_ ser la marche en avant des Allemands. Cette né-•es- gligence de préparer la seconde ligne de défense derrière le Dunajec a sérieusement influencé la ans ^orce de résistance russe. ong Le Daily News écrit, au sujet de la chute de jes Lemberg : La contre-o£fensive allemande a été ent rïiriffée brillamment et a été complètement effi-cace. Avec la chute de Lemberg, toute la Galicie des retombe sous la domination de l'ennemi, car la ne^ victoire russe au Dnjetr ne peut en aucune fa-çon influencer la campagne principale. ITALIE. Un projet Lugano, 23 juin. — La Tribuna annonce que la flotte italienne prêtera la main aux Alliée pour M débarrasser la Méditerranée des navires qui approvisionnent mystérieusement les sous-marins allemands. RUSSIE. — On commence à évacuer Riga Riga, 25 juin. — Toutes les'familles de fonctionnaires russes ont déjà été transportés dans l'intérieur de la Russie-s RUSSIE. — Il ne faut croire qu'aux a communiqués » on- Pétrograde, 25 juin. — Un avis de l'état-ma-le jor du commandant en chef met le public en garde «P&JrcMBBBBBBHMBBE I ■■ Il Ml» ■ | Il MMMMM—1iMa—W——t-! - en ; contre les bruits alarmants répandus par des gens afri- | malveillants et qui augmentent la nervosité.Sont ! seuls officiels les communiqués de la direction de !es ; l'armée russe qui rendent tous les jours un compte per- rendu conforme à la vérité des événements mili-liom- taires. D'après le Russkoje Slowo, des avis préventifs ont été publiés à Jaroslau et à Rjacsan sembla-on bles à ceux de Pétrograde qui menaçaient ces nie-sujet nées de peines sévères. Les manifestations pa-> des triotiques doivent être également autorisées par usse, la police. ^Ian_ AUTRICHE. — La guerre austro-italienne sque Vienne, 25 juin. — Le correspondant de guerre1 du ÎVe-ffé Wiener Tageblatt annonce au sujet des combats a,J0^' autour de Folgaria : ' !" Tandis que l'artillerie italienne n'occasionna que des j* dégâts insignifiants à nos forts, nous avons déjà dé- tense ^ruit deux ouvrages ennemis, notamment Campo Longo, que les Italiens abandonnèrent après six coups, et Campo Moton, dont nous avons fait sauter, lundi, la tour jQ de des poudres. Lorsque les flammes s'élevèrent, les Ita-a et:e liens s'enfuirent en grande panique. Les combats d'in-effi- fanterie pour la montagne Coston, eurent, après qu'elle ilicie fut prise et reprise quatre fois des deux côtés, Je résul-ar la tat que notre position au Coston put être retranchée,de e fa- manière que nous avons déjà pris pied aussi sur le territoire italien. jet AUTRICHE. — Une opinion roumaine . que Bucarest, 25 juin. — L'Indépendance Rou-pour mairie écrit au sujet de la reconquête de Lem-i ap- berg : « La prise de Lemberg est le développe-arins ment naturel d'une grande opération stratégique qui a été exécutée d'après une conception ré-iga fléchie et avec une vigueur extraordinaire. Avec fonc- 'a chute de Lemberg, l'armée russe perd toute la dans Galicie. Elle évacue déjà le Dnjetr et abandonne la ligne du Pruth. La chute de Lemberg est un [ués » événement trop important pour qu'il ne domine t-ma- Pas tous ^s autres événements sur les théâtres de [rarde la guerre, d xtre/t ic u t ici sur ces uuurts jronvs. ALBANIE. — Occupation monténégrine Rome, 25 juin. — On annonce de Scutari au Giornale d'italia : Une armée monténégrine, sous le commandement du général Westkowitch, a apparu la nuit dernière devant Scutari, où elle occupe les hauteurs de Rentschi, et le camp de Schiri. Quelques centaines d'Albanais qui opiposèrent une résistance,près de Mezorec, furent dispersés. Westkowitch fit venir le bourgmestre de Scutari et lui déclara quril avait l'intention de désarmer les tribus hostiles au Monténégro. Scutari doit rester oalme, attendu qu'il n'y avait aucun danger. Le journal monténégrin Weisnik a publié une noie sémi-officielile disant que le gouvernement monténégrin avait décidé d'envahir l'Albanie pour des raisons politiques et stratégiques et pour assurer 'le transit des marchandises sur le Bojano aux endroits qui furent reconnus aux Monténégrins par le Congrès de Berlin. TURQUIE. Aux Dardanelles Constautinople, 26 juin. — On nous communique les <l^tails suivants au sujet du débarquement de la bande ennemie à la côte du vila^et de Smyrne : Aux heures matinales du 21 juin, les Anglais et les Français débarquèrent 300 bandits dans 20 chadoupes sous la protection d'un croiseur et de trois torpilleurs, sur la côte de Mila. La bande encercla le village deKasikli, éloigné de 2 1/2 heures de la côte Les bandits amenèrent un bétail nombreux et étaient sur 1© point de s'enfuir, lorsque les habitants du village et les soldats .les attaquèrent et les forcèrent d'abandonner leur butin et de retourner dans les chaloupes 14 hommes de la bande furent tués et deux faits prisonniers. Une partie de la bande se cacha dans le bois avoisinant qui fut immédiatement cerné, attendu qu'on croyait pouvoir y arrêter les bandits cachés. Nos troupes eurent 4 blessés et capturèrent de nombreuses armes et beaucoup de munitions L'attitude de l'ennemi qui s'allie aux bandit^ pour piller, provoque ici une forte irritation. ETATS-UNIS. — Les dettes des Alliés aux Etats-Unig Berlin, 24 juin. — D'après des nouvelles de Washington, la dette des puissances de la Triple-Entente en Amérique s'élève, depuis le commencement de la guerre, à plus de 1 milliard de doli Lisez en TROÏSIÈM PAGE les derniers téli grammes arrivés pendar la nuît. u (A suivre.) TOIS ! DÉPÊCHES t ANGLETERRE. — Navires capti La Haye, 24 juin. — Mardi, a été vendu à dres le premier vapeur autrichien captu

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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