Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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13 september 1917
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s.n. 1917, 13 September. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 07 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/f47gq6s327/
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■gÉlMBilIlM— La réponse de l'Allemagne an Pape^ Berlin, 12 septembre. — D'après le «Berli-•ner Tagebèat-t » la réponse allemande a la note pontificale serait envoyée un des premiers iours. Les pourparlers qui ont été tenus cnez le chancelier par la commission libre ont eu pour sujet d'eclaircir les points de vue &enc~ raux ainsi que la conception de la note. A cette occasion, des discussions très animées o-nt eu lieu. La note-réponse s étendra également sur les nouveaux buts de guerre des puissances centrales. Berlin, 12 septembre. — Le correspondant de l'« United Press «à Rome annonce de sources .émanant du Vatican, qu'on y attend avec confiance que la réponse dos, puissances centrales contiennent des conditions de paix déterminées.Les combats à l'ouest. Berlin, 11 septembre. — En Flandre, les Anglais continuent à sacrifier inutilement des patrouilles et des détachements plus faibles, en poussées de reconnaissance et attaques partielles. Le 10 septembre et dans la nuit du 11 oelles-ci furent repoussées partout, notamment a 1 est de Zwarte-len, au nord de Frelinghen, près de St-Julien et près de Langemarck. Plusieurs prisonniers ont été faits. De la forêt de Hou«iulst jusqu'à la boucle d'Ypres, l'artillerie anglaise a augmenté d intensité. Les aviateurs de l'Entente ont ieîé des ■bombes sur Bruges, mais n'ont occasionné que de minimes dégâts matériels. Une escadrille de bombardement allemande a attaqué Dunkerque. PI us-sieurs incendies ont été constatés. En Artois la situation est restée calme. Dans la région au nord de St-Quentin, les Anglais ont perdu au cours de nombreux petits engagements, presque tous leurs minimes succès de ces dernirs jours, De nouvelles attaques prononcées le 11 septembre ^ entre 4 et 5 heures du matin à l'est et au sud-e®, de Villeret restèrent sans succès. Les pertes anglaises ont été lourdes. Le terrain devant, les positions allemandes est plein de cadavres anglais. L'a veu le plus clair du peu d'activité combat rive es fourni par le communiqué anglais du 10 septembre à 8 h. 15 de l'après-midi, qui faute d'un succès positif quelconque s'attar.de à décrire in-extenso ur grand nombre de comba-s de patrouilles insigni fiants et tout à fait d'arrière-plan. Sur la rive orientale die la Meuse, les Françai ont augmenté par une nouvelle et vaine attaque leurs pertes sanglantes. Entre 6 et 7 heures dt matin ils dévalèrent en large front depuis la foré Fosses jusqu'à celle de Chaume. Par une augroen tation intensive de leur artillerie, ils cherchèrent î écraser les défenseurs allemands et à s'avancet encore une fols de la forêt de Foss?s contre le< positions allemandes au sud de Wavrille. Un fei destructeur allemand aux allures de bataille étouf fa dans l'œuf ces tentatives d'attaque. Dans le oou rant de la journée, l'artillerie allemande annihili lencone plusieurs tentatives d'attaques françaises par tlelles, et balaya d'une façon terrible les troupeu d'assaut prêtes à l'attaque dans leurs tranchées die sorte que les Français ne plurent prononce: d'attaque ultérieure. Les combats à l'est. Berlin, 11 septembre. — A l'Est, l'activité s'es réduite à de nombreuses rencontres entre poste: avancés depuis la mer jusqu'à la Dwina. Dans l'an gle sud-est de Bucovine, les Russes ont attaqué. L matin du 10 septembre, ils déchaînèrent de bonni heure des forces considérables entre Solka et 1: vallée de Homurultu. Les premières vagues d'as saut vinrent se briser sous le feu de défense de: coalisés.Les vagues suivantes réussirent à prèodr< pied en quelques endroits des tranchées antérieure, au prix de lourds sacrifices. Dans ta nuit du 1 : septembre, une attaque russe prononcée à la Gnilj inférieure près de Samoluskowce fut nettement re poussée. Troubles à Turin. Genève, 10 septembre. — Le « Journal de Ge nève » confirme que des troubles se sont produit: la semaine dernière à Turin. Quoiqu'on ne pos sède pas de détails, on sait toutefois qu'une véri table révolte a du être réprimée par la force armée Un croiseur anglais gravement endommagé. Bâle, 11 septembre. — Du Havre : « On mand< de source anglaise autorisée que le 23 août un croi eeur d'environ 20,000 tonnes escorté de deux re morqiueurs, d'un croiseur auxiliaire et de plusieur: torpilleurs a été remorqué à Plymouth. Le naviri était sous eau avec de graves avaries. La partis antérieure plongeait dans l'eau. Le navire a ét< mis à la côte et remorqué ensuite à la faveut de la haute marée. Le croiseur de combat avai heurté une-mine. On compte 4 morts et 21 blessés Les chiffres de Lloyd George et la guerre sous-marine. Berlin, 11 septembre. — Lloyd George aurai déclaré dans une réunion tenue à Birmingham Les hommes d'Etat allemands et la presse alleman de se sont donné beaucoup de peine pour convaincr< le peuple allemand de l'inexactitude des chiffre: que j'ai énoncés à la Chambre des Communes ai sujet des pertes sous-marines et au sujet de nos efforts pour les remplacer. Le, seul fait qu ils s oc-e oupent de ces chiffres prouve auffi^mment que 2 mes chiffres ont anéanti leurs espérances. Hiler ii soir, j'ai pu voir au ministère des affaires étran-gères des chiffres publiés par l'agence allemande, l qui sont loin de concorder avec la vérité. Certes ! les pertes sont grandes et suffisamment malheu-s reus^s, mais les chiffres que j a: ci'tés à la Chambie des Communes sont certainement concordants. fc Le secrétaire d'Etat du ministère de la marine c allemande a déclaré ce qui suit au sujet du pré-i- cèdent discours de Lloyd George : « Le discours 3- par lequel Lloyd George essaie de discréditer nos dorinéeç et de semer ainsi l'inquiétude et le doute parmi le peuple allemand n'est qu'une jonglerie artificielle de chiffres, pour autant qu'il se rap-a" porte à la guerre sous-marine. Selon qu il le juge s" opportun pouir sa démonstration, Lloyd George j6 prend les pertes comme nettes ou brutes «n usant nt du terme « tonnes brutes » ou « tonnes nettes », e" selon les besoins de ses chefs-d œuvre de cal-e! cul. Etablissons donc encore une fois que les pu-,té blications de l'état-amiral allemand ont été plêiiie. '.e nient confirmées du côté anglais par les communi-J cations semi-officielles du « Times » du 4 août. es C'est pourquoi si l'on veut ajouter ne fut-ce qu'une faible oréance aux paroles de Lloyd George, il doit n" prouver que les chiffres de pertes cités par les au-s" torités de marine allemandes qui ont toujours été donnés en chiffres bruts ne correspondent pas à la la réalité des faits ; il faut en outre ajouter que les chiffrés citiés sont des chiffres minimum. Si Lloyd ss~ Geoirge ne peut réfuter les chiffres publiés de s' source allemande, dès lors toutes ses conclusions ,re s'écroulent. iSi Erratum. n- Dans notre édition B du 11 septembre, une er-si- reur typographique nous a fait imprimer dans la dé-pèche f( Pertes die l'Entente » qu'il est- impossible à :st l'Entente de se permettre des pertes d'un demi-"re million d'hommes par semestre. D'après les chif-l°" fres qui précédaient ce résumé, le lecteur en addi-un donnant, a coirigé lui-même le chiffre d'un demi-ni~ million d'hommes en un million ei demi d'hommes L'enfer russe. Cologne, 11 septembre. — On mande de Stock- 116 holfn à la « Gazette de Cologne » : D'après ur dl' bruit émanant de l'ambassade anglaise, Kerensk et aurait été assassiné par Les Cosiaques. Je transmets n,~ la nouvelle sous toutes réserves. D'après une in- a formation de Pétrograd à la « Gazette de Colo ;er gne, le général Korniloff a pris des mesures poui ^ marcher avec une partie de ses troupes contre St-011 y Petersbourg. D'après des informations de Pétrograd, l'anarchie ^ s'étend de plus en plus.Des troupes de Moscou son: "a arrîvées à Kazan et en sont venues aux mains ave< lr~ la populace. De violentes collisions ont eu li"-t >eS entre les troupes et la gendarmerie de Kazan. D: îs' vrais combats ont eu lieu entre des bandes d fuyards >er et des patrouilles mi'.iaires. Bâle, 11 septembre. — De Pétrograd au « Peti Journal » : Lors des troubles dans le faubourf "St d'Ostrowwo, 23 solda.s et plus de 50 ouvriers on tes été blessés ou tués. Berlin, 11 septembre. — Du « Lokal-Anzeiger » La soif de jouissance a atteint des proportions in j ouïes à Pétrograd. Les débits <$e vin et les caba a rets restent ouverts toute la nuit ; le vin et 1< . Champagne coulent à flots. les _ . , La situation en Eussie. D'après des nouvelles particulières arrivées i Stockho^, les éléments douteux de l'armée son de plus en plus maîtres de la situation en Finlande ' a Dans toutes les vil les on assiste journellement è re~ des scènes de violence et de désordre. Des bandes comptant jusqu'à 200 soldats rôdent dans les ville-, côtières. La situation est encore plus grave dans la police, dont l'incurie s:rait inconcevable. Li 3 police montre une impuissance absolue vis-à-vis ^ des excès qui se commettent journellement. Toutes les filatures de coton du gouvernement d< Kostroma ont arrêté leur fabrication, ce qui me 40,000 personnes sur le pavé. Les machines ont ét« de détruites. oi- Londres, 11 sept. — Le gouvernement russe i •e- pris les mesures nécessaires pour mettre en sé trs curité les trésors de Pétrograd. On prépare l'éva ire cuation éventuelle de la ville. tie A raison des événements qui se sont produits sut hé le front de Riga, deux commandants de régiment e iur 30 officiers d'état-major ont été mis à la retraie. Le ait 3s régiment d'infanterie de Pétrograd ainsi que le 5s. 2e régiment d'infanterie de Reval ont été puni* disciplinairemient et passeront en jugement Sun l'ordre du général Korniloff, pour avoir abandonne ait prématurément la tête-de-pont de Riga. : D'après des nouvelles venant de Pétrograd, l'a in- narchie s'étend de plus en plus. A Kazan sont arri :re vces des troupes de Moscou, qui sont actuel lemen es aux prises avec la populace. Il s'est égalemen au produit des collisions violentes entre ces troupes e: s la gendarmerie de Kazan. De véritables batailles de positions ont eu lieu entre des bandes de déser-e teurs et des patrouilles militaires. CfaroniGUt» Théâtf®?® A L'OLYMPIA. — Le Greluchon, comédie en 5 4actes, de M. S>rg!nes. — Cette fine & spirituelle comédie de mœurs parisiennes met en scène une 6 actrice entretenue qui s'éprend d'un amant de cœur, un jeune dramaturge, avec qui ei le finit par vivre. Sa passion pour lui augmente. Lui se lasse de ce tête-à tête constant. Aussi lia quittera-t-il ►g t pour ne lui revenir qu'en visiteur. Il est de ceux qui ne peuvent aimer que dans un nid usurpé. :e Cette belle pièce fut donnée lundi soir devant 16 une salle fort bien garnie, qui a acclamé ses inter-:> prêtes. La révélation qu'elle nous valut fut celle ^ des grandes qualités de Mme Eva Raynal, une des meilleures élèves de M. Lambert, le distingué ré-gisieur de « Comœdia ». Elle fut bien prèi d'être "' parfaite dans 1 erôle de Francine Fernay. Mme Charmai (Pauline Delamnoy) reste l'exquise et 'l~ étonnante comédienne, au talent si personnel, que ! on aime tant a entendre. Elle est irrésistible de finesse et de naturel. Louons également Mme Fre-'' chet (Sa'cmé), excellente. M. Samuel Max a réa-'f Usé de nombreux et énormes progrès. Il est e® r^sse de se classer l'un de nos meilleurs jeunes-J~ pr'emi'^rs du momeint. Sa cotation du rôle de 'f Gaston Lagarde est très fouillée. Toute gaucherie a a disparu de son jeu, d~'une sincérité et d'un nature' Ss captivants. M. H. Bruneaux confère au personnage de Maxime de Brécourt un relief bien vivant, grâ-ie ce à ses dons remarquables de comédien accom-ls pli. Citons encore M. Bernard (Sathonay), Raymond (Lucien Val lier) et Gerber (Joseph), qui fait un domestique bien naturel. Les talentueux in-l terprè.es de cette intéressante œuvre bien pari-J sienne ont vraiment remporté un triomphe méri- .'l té. — Frabcl. u- :f_ A L'ALHAMBRA. — La Chasle Suzanne, opéret. Ii- te en 3 actes de G Okonkovvski et J. Gilbert, tra-ii- duction de De Grade. — La direction du théâtre du s. boulevard de la Senne donnait dimanche soir, devant une salle archi comble, la première, en fla-mand, de la jolie opérette La Chaste Suzanne, dont ]n le scénario brode sur les aventures de la famille des Aubrajs et de celle de Charancev. L'œuvre est tg émaillée de danses et de couplets réussis. La mu-n sique est pimpante.et sautillante. La mise en scène ^ est heureuse et l'interprétation hors pair. Des ap-ur plaudissements réit'rés, des rappels, rien n'a man-■ t qu» au succès mérité. La Chaste Suzanne fut la jeune et jolie E. Block, qui chante et joue avec un réel talent ei affirme de précieuses qualités voca-nj les. M. Clauwaert s'est taillé, un nouveau suîccès ,c dans !e rôle de Pommarel. MM. Bergers (Hubert des Aubrais), Dons (Conrad des Aubrais), De Mid-deleer (René Boislevrette), Kindermsns (Charen-[,s cey), De Haen (Garçon Alexis), de même que Mmes Betsy Van Es (Jacqueline), Dons (Baronne des Aubrais), Gryson (Rose Charemcey) se sont également fait app'audir. Les autres interprètes ^ complétèrent sans accrocs et fort honorablement ' (les chœurs étaient ravissants) cette disribution choisie qui assure à cette opérette un énorme et m.'i'îté succès. — Valbeur. EN PROVINCE «Ld i. 3 a ïi V 7 llï VSJ AU PAYS DE LIEGE. — De notre correspon-es a dant, le 11 septembre : s0111 Les glaneurs. — Les pommes de terre étant rapide. res, c'est par milliers que'les glaneurs et glaneu-:nt a ses sillonnent nos campagnes en quête de ra.ppor-indes ter le soir une petit « malquai » de « crompires ». 'illes Les trams vicinaux en sont bondés. dans L'œuvre du Coin de terre. — La culture de cette • La œuvre, à Seraing, s'étendait sur plus de 9 hectares; à-vis les résultats ont été des plus satisfaisants et la récolte en céréales et pommes de terre a été très it de abondante. C'est de très bon augure pour l'hi-met ver. (Jos.) 11 cte A GAND. — Uns noie flamande au Pape. — Le « Nationaal Vlaamsch Verbond » die Gand vient :£ie f de rédiger une note en réponse à la note pacifiste ^Se" du Pape. En voici les peints principaux : La note eva~ papale, en proclamant comme condition d'une paix durable la liberté des petits peuples, envisage spé-s sur oialement les peuples des Balkans, les Arméniens nt et et surtout les Polonais. Il y a également d'autres Le peuples à qui otf ne peut plus refuser une autono-:e 'e mie politique et économique. Panai ces derniers, punis nous, Flamands, sommes incontestablement u;n des su® plus indigents, quoique un des moins connus. 1830 onne noUg indépendants, mais la nouvelle Belgique dut choisir un roi suivant la volonté de ''Angie-1 a_- terre, et les amis de la France s'emparèrent de ern l'armée, des administrations de toute espèce, de men, ia justice et de l'enseignement, au grand préjudice ment (je ;a partie flamande du pays. Par la Belgique, la es et Flandre a été durant toute l'histoire et est encore 1 FEUILLETON DU BRUXELLOIS. ^ V 3 ^ o •*** ■ ■ w a a NEUF ANNÉES DE CAPTIViTE PAR Louis GAGNERA Y d) Incarcération. — Impressions. — Description pontons. — Egalité. — Vivres. — Travaux. Tribunal. — Industries. — Berlaud. — « affalés ». Après une traversée de six semaines, le Rai lies entra dans la rade de Poortsmouth. Le lei main même, le 15 mai 1806, je fus transféré, i une partie de mes compagnons d'infortune, siu ponton le Prolée. Un ponton, personne ne l'ignore, est un vi vaisseau démâté, à deux ou trois ponts, qui, ret par des ammarres, présente presque l'immob d'un édifice de pierre. (1) Garneray J.-Françols, peintre français. Il i slna le portrait de Charlotte Gorday avant son e oution (1755-1837). Son fils Louis, peintre de marine, né à Ro (1783-1857), mort depuis 60 ans. Voir les célèbres Aventures et Combats Louis Garneray (E. Flammarion, éditeur, Par A son retour en France, Louis Garneray fut prisonnier par les Anglais et traité comme un i oalre, Je ressens encore l'impression pénible que causa la première vue du Protée, ancré à la d© huit autres prisons flottantes, à l'entrée d ^ rivière de Porlchester, sa masse noire et Info ^ ressemblait assez, de loin, à un immense sa phage. Je regardais, avec le désepoir au cœur, peni que le Transport-Office nous conduisait à son b ce sombre tombeau dans lequel, enterré viv des je devais voir s'écouler ma jeunesse; mon ini — nation soulevait les épaisses murailles de bois, £es montrait les visages flétris et désolés Ses info nés Qu'il renfermait dans son sein ; mais, hé nH_ mon imagination était bien loin encore, comm ide- pus m'cn convanicre quelques minutes plus t vec d'atteindre à la hauteur de la réalité. , j Quelle affreuse impression je ressentis lors« conduit entre une haie de soldats, sur le pont me trouvai brutalement jeté au milieu de la ni ellx rable population du Piotécl enu Aucune description, quelle qu'en soit l'éner 1 ll- aucune plume, quelle que soit sa puissance, sauraient rendre le spectacle qui s'offrit tôt coup à mes regards. tes- Que l'on se figure une génération de morts ;xé- tant un moment de leurs tombes, les yeux ca le teint, hjve et terreux, le dos voûté, la barbe uen culte, à peine recouverts de haillons jaunes lambeaux, le errps d'une maigreur effrayante de l'on n'aura encore qu'une idée affaiblie et bien is). complète de l'aspect que présentaient mes con fait gnons d'infortune. »r- A peine eus-je mis les piers sur le pont que gardiens s'emparèrent de moi. m'arrachèrent br me lement mes habits, me firent prendre un b; file glacé et me revêtirent ensuite d'une chemise, d' s la pantalon et d'un gilet de couleur jiaiine-orBnp nne l'étoffe n'avait pas été prodiguée dans la confi rco- tion de ces effets, car le pantalon me descend à mi-jambe, et le gilet, beaucout trop étroit po lafi; la largeur de ma poitrine, ne croisait pas. Ces de crd, pièces étaient timbrées en noir d'un T et d'un ant, d'une dimension colossale : ces lettres représe fcgi ta'ent les initiales de Transport-office. Cette oi me ration terminée, on me conduisit avec mes comj rtu- gnons nous faire inscrire; puis une fois classés las ! enregistrés, on nous déposa chacun de notre cê î je au poste qui nous était assigné : quant à moi, ard, fus parque dans la batterie de 24. A présent, je demanderai la permission au le lue, teur, avant de poursuivre, d.e donner une descr • 1e tion exac'e et complète de l'intérieur d'un ponte isé- cette description me semble indispensable p-c l'intelligence des récits qui vont suivre. ?ie; L'on sait que sur le p"ont d'un vaisseau il exi; ne deux gaillards, celui de l'arrière et celui de 1 t à vant, qui sont séparés par une rambade et par u grande ouverture qui laisse à découvert la par sor- de la ba'terie de 18 appelée « carré de la drome fes, Ce carré et le gaillard d'avant étaient les set in- endroits oCt il fût permis aux prisonniers, ce e en n'avait pas lieu toujours, de respirer un peu d': , et et de se promener. Les détenus avaient baptisé < in- endroit, avec cette ironique gaîtté qui ne fait jam tpa- défaut aux Français dans le malheur, du nom'po peux de parc. Le parc avait environ quarante-qi des tre pieds de long sur trente-huit de large. uta- (A suivre.] ss au service de France. Or, la Flandre veut être er- libiel Nous le disons à Stockholm et à Rome; libre de toutes les entraves qui l'ont empêchée de choisir sa propie voie, de se développer suivant ses mœurs et son caractère national, en un mot de remplir un rôle civilisateur, enrayer la funeste décadence de l'Art flamand et renouer les tradi-' 6 lions de la Science flamande du moyen-âge.Le sort ln^_ de la Flandre, avec sa riche côte, son sol fertile, sa population diligente et son port mondial situ1; si avantageusement, fut la camsie de beaucoup de S<^? guerres dans le passé; il est la préoccupation égoïs-t~"11 te des belligérants d'aujourd'hui, et il fera renaître ux les convoitises poétiques si les influences étrangè res ne sont p£fs expulsées de notre pays. L auto-rnt nemie de la F'-undre est d'un intérêt européen! Sa Sainteté le Pape et tous les pacifistes doivent se e convaincre que la réalisation d'une paix entre tous ■^,s les peuples est une chimère, aussi longtemps r"' qu'un de ces peuples restera opprimé pour des buts impérialistes. Pour cette raison, qu'on n'ac-m" corde pas seulement la liberté aux Arméniens, aux et peuples des Balkans et aux Polonais, mais égale-lut: ment aux 4 1/2 minions de Flamands de la Belgi que, ainsi qu'aux autres peuples dominés : Irlan-',e* dais. Finlandais, Egyptiens, Indiens, Bretons, les ea" Flamands du Transvaal et de la France, etc. ! Non en seulement la question de l'Aisaae-Lorraine, qui es~ doit son caractère internai,ional à la négation de vérités historiques et de faits ethnologiques, non 6 a seulement celle de Trieste et du Trentin, mais 18 également la question flamande doit être résolue suivant les principes démocratiques de l'autonomie des nationalités. Les Flamands veulent maintenu 'm~ leur existence comme peuple. Le travail pour une a^~ paix sur des bases qui préparent d'autres conflits CÎU1 est du travail inutile. C'est pour ces raisons que nous désirons avertir S. S. le Pape pour le bien de ®r.'~ notre peuple, pour le bien de la société humaine, 3I1~ pour le bien des ieléaux sacrés de liberté et fraternité ! « Paix » ne signifie pas seulement « pas ret_ de guerre »; la paix ne peut régner que là où les ,ra- forces morales d'un peuple peuvent se développer du sans entraves. » — (Bavon) de- — " fia- Arts, Sciences et Lettres A l'Institut des Sciences psychiques de Liège, '■'e centre et tête du vaste mouvement nSo-Spiritua-e9t liste qui occupe la pensée moderne, on étudie pour nu~ le moment une question de physiologie-psychique ène je la plus haute importance. Le « Bruxe'lois '> tou-aP" jours à la tête pour l'encouragement du progrès, a an~ tenu à honneur d'être parmi les plus ardents pro-1a pagateurs du spiritualisme scientifique en lutte un contre le matéralisme dissolvant et suranné, aussi )'oa_ j'ai pensé que seç lecteurs devaient être les pre-ces miers à connaître ''événement intellectuel qui se '®rt déroule en ce moment. Les professeurs de l'Ecole de Liège, ainsi que les spécialistes appartenant à eu- cette école néo spiritualiste, étudient en ce mo-QUfi ment un cas singulier de dédoublement de la per-n,ne sonnalPé, qui mérite d'attirer l'attention des aa-iont vants. Il s'agit d'un sujet qui à un moment donné, ites graduellement s'est senti envahi par une force in e,nt connue modifiant complètement les allures et le tion langage du sujet, prenant même par la bouche de et Co dernier un nom particulier lorsqu'il entre en action. Ce sont bien là les signes connus des savants sous le nom de dédoub'ement de la personnalité. Le chef de l'Ecole néo-spiritualiste, le professeur Dr Marcel Monier, auquel je demandais on hier son avis sur ce singulier cas qu'il m'avait été permis d'observer de près, me dit : La Science ra doit être sévère lorsqu'elle se trouve devant des eu cas de ''espèce, son rôle doit être de couper court jqj., à des enthousiasmes intempestifs disposés à voir , des phénomènes surnaturel, là où il n'y a que des phénomènes d'ordre psychique, au sujet desquels la Science seule a pour mission de se prononcer. ,es~ Cette appréciation toute scientifique du savant lié-ré' geois est très sage, car un certain nombre de perces sonnes se laissant guider plus par l'imagination que >hj_ par la raison commencent à considérer cette personnalité comme étant un grand Prophète. Dans notre siècle de science et de progrès, c'était déjà . bien assez de l'Antoinisme et du Dorisme sinns qu'une nouvelle secte vint détourner une partie de l'Humanité du plein air de la Vérité, élément na turel de la vc'ritab'e Science. \ (Relire l'article que M. Fr. B>elvaux a publié >p" dans le « Bruxellois », sur le cas du Professeur "s il allers 'a forte pièce jouée avec tant de succès très .... . au Wtnfer.) >no- °rs, fes Oéurïloms, Cercles, Sociétés 830 Piomeiwdes du Vieux-Liège.— a) Les samedi 1E et dimanche 16, excursion à Hody, Fairon, Hamoir, 'de S y (logement), My, Saint-Rcch, Harzé, Aywaille. Départ du terminus des tramways communaux (Se. raing), à 9 h. 3'4. Directeur, M. Comhaire. S'ins-crire immédiatement. ' ^ b) Dimanche 16 . Fond des Cris, Ferme Roc or" 'Lanore, Sur-Cortils, Méry, Font in, etc. Départ rsw au tram de 8 h. 55, place St-Phclien pour lie Fond des Cris (réduction) .Les étrangers sont admis jain aux conditions ordinaires en se faisant inscrire 'un au local, 85, rue Féronstrée, à Licge. (?e; u uu-n 1 SPORTS iait our BILLARD. — Une belle série faite par un pro-eux f'-'sseur belge en Hollande. — On annonce de La , q Haye au « Nieuwe Rotterdamsche Courant », que en_ le professeur be'ge Ed. Horemans a fait à la So-j,p0_ ciété Littéraire sa plus grande série sur le grand |r^_ osdre ; il a notamment fait une série de 407 points. , et au cours d'une partie jouée contre un membre d: la Société Littéraire de La Haye, qui avait promis je à son adversaire un magnifie/,e jeu de boules dans le cas où il ferait une série de plus de 400 points. t INFORMATIONS FINANCIERES on- BOUKSE OFFICIEUSE OS BRUXKI LE,S. our Les cours du jour, — Mercredi 12 septembre, iste Rentes et L'-.ts de villes. — Rente belge 3 p.c l'a- 72; Anvrs 1887, 83 1 2; Bruxelles 1905 69 3/4 une Gand 1896 64 3'4. nie Banques. — Banque de Bntxel'es 940; Crédit ! ». Anversois 412 1/2; Outremer cap. 726 1/4; Crédi; Hils Nat. Industr. priv. 327-1/2; id. fond. 588 3/4. qui Chemins de fer et Tramways. — Bruxe'lois div. 'air 882 1/2; Buenos-Ayrîs div. 32 1/2; Espagne Elect cet div. 66 1-2; id. cap. 137 1/2; id. fond. 1382 1/2 lais Tientsin fond. 2125; Transport 1/10 fond. 1087 1/2 orn- Secondaires 1/10 fond. 1462 1/2; Grands Lacs 295 iua- Métallurgie. — Email. Gosselies 146; Tôl. Con stantinowka ... ; Tombow jouis. 210; id. ord. 57 1/2 ) Thy-le-Château 1635; Prov. Belge 1625. Charbonnages. — Anderfues 1030; Bois d'A-vroy 950; Bonne Fin 915; Esp.-Bonne Fortune 780; ; Carabinier 880 ; Est de Li>'ge 1050 ; Charbon. Belges 535; Fa'isolle 25!)0; Grand Mambourg 105; Grand Conty 665; Hasard 865; Ouest Mons 1140, : 1135; Kessa'ts 1500; Houillères Unies 877 1/2, - 882 1/2; La Louvière 310, 312 1 2; Laura cap. t 1700, 1810; id. div. 1350, 1345; Poirier 760; Ma'r-i cinelles Nord 630, 620; Moneeau-Bayemont 360; i Nord -Fléau cd. 69 1/2; Tamines 1250; Trieu-Kaû ; sin 1305; Couchant Flénu 71 1 4; Wilhem-Sophiai - 2420, 2365. ; Mines. — Baccarès 116 1/4. Gaz, Electricité. — Electr. Sofia cap. 1100; idem ord. 990. Valeurs coloniales. — Clôture Java cap. 202 1/2 212 1 '2 ; id. fond. 1340, 1380; H;'véa 215; Kassai ' ...; Geomine 600; Katanga 3015, 3025; Lacourt ' fond. 665, 660; id. cap. 545; Sennah Rubber 75 1/4 ' 74 1/2; Soanghei-Lipoet 517 1/2, 525; Union Mi-^ nière 1725, 1735; Tanga 119 1/2, Tl8 3/4 ; Zuid Preanger 201 1 2, 203 3 4; Haut-Congo ord. 905, 900 ; Selangor 425, 427 1 2. Valeurs diverses. — Sucrenlts St-Jca-n fondât, s 297 1 2, 292 1 2; Floridienn.e cap. 485, 472 1/2; -, id. fond. 325, 300; Pétro'es Grosnyi priv. 2900; id. ,j ord. 2600; Cartoucherie R. B. priv. 145; Belgp-; Can. Pulp. o^. 1430; Brasserie de Haecht 320. 1 Va'eurs étrangères. — Barcelona 118, 117 12; 5 Ccmp. Agric. Egypt. cap. 258 3 4; Dy'e et Baoa-e lan ord. 1000: id. priv. 1000; Kaiping act. 77 1/2, 5 76 3 4 ; Savigliano 1320; Taganrog 420. > COURS 1>U CHANGE. ° New York, 12 sept. — Berlin ...: Paris 5.7850; s Londres 60 jours 4.72; Cable Transfers 4.7645; e Argent en barres 97 5'8. 8 Vienne, 10 sept. — Berlin 155.75; Hollande 468; > Suisse 236.50, Sofia 127.50; Copenhague 339; Christiania 339.25, Stockholm 376; Rouble 2.65; s Constantinople 30 7 8. s Stockholm, 10 sept. — Londres 3 mois 13.80; r id. à vue 14.30, Berlin 3 mois 39.40; id. à vue 41.40, Paris 3 mois 49.50, id. à vue 51-50; Suisseï 04, Amsterdam 3 mois 122, id. à vue 125; Copenhague 91.35; Christiania 91.50; New-York 2.98; Helsingfors 44; Pctersbourg 48;'Vienne 26.50. Zurich, 11 sept. — Angleterre A 22.15, V 22.35; r France A 80.50, V 81 ; Allemagne A 64, V 65.75; e Autriche Hongrie A 40.50, V 41.25; Italie A 59.75, - V 60.50; Hollande A 195, V 198; New-York chèq. a A 4.65, V 4.72 ; New-York court terme A 4.66, V - 4.73; Copenhague A 143, V 145; Stockholm A 157 e *V 160; Christian'8 A 142, V 145; Pétersbourg A 75 ii V 85; Madrid A 101, V 106; Buenos-Ayres 0. Berlin, 11 s^pt. Acheteurs Vendeurs e Hollande 301.75 302.2,S e Danemark 217.00 217.50 à Suède 240.75 241.25 H Norvvège 217.25 217.75 Suisse 151.25 161.50 Autriche-Hongrie 64.20 64.30 Bulgarie W.50 81.50 Turquie 19.90 20.00 Espagne 127.50 128.-50 e BOURSE DE PARIS. e Paris, 10 sept. — Rente 3 p.c. 62.40; Emprunt " 5 p.c. 88.05; Espagne Ext. 4 p.c. 105.90; Russie) 1906 5 p.c. 68-50; Turcs unifiés 4 p.c. 61.30; Cré-dit Lyonnais 1150; Union Parisienne 622; Métropolitain 440; Nord Espagne 430; Saragosss 431 ; Suez ® 4,599; Cooutehouc 223; Bakou 1300 ; Briansk 301; ® Lianosoff 287; Maltzeff 390; Le Naphte 335; Rio-e Tinto 1810; China Copper 356; Tharsis 148; De s Beers 375; Goldfields 46; L:na Goldfieids 43; Randmines 90. r s BOURSE DE NEW-YORS. . s New York, Î0 sept. — Atch. Top. a. Santa Fé 4 p.c 95 1'2 ; Unit. S'at. Steel 5 p.c. 104; Atch. Top. a. Santa Fé 96 l'2; id.préf. 94 1/2; Baltimore a. Ohio 66 1 2; Canadian Pacific 156; Chesrp. a. e Ohio 56 1/2: Chic. Milw. a. St-Pau! 63 1 4; Denv. '" a. Rio-Grande 7; F.rié 20 1/2; id. Ire préf. 30 7 '8 ; s id. 2e préf. 23; Créât North. préf. 103 7/8; Hli-à nois Central 100 1 8; Interbor. Cs. Corp. 8 5 '8 ; s id. préf. 52; Kans. City a. South. 18 7/8; id. préf. 5 51; Louisrille a. Nashville 119 3'4; Miss. Kans. 1 a. T?x. 4 3'4; Missouri Pacific 28 1/2; Nat. Railw. of Mex. 2e préf 0; New York Central a. Hudson é Riv. 86 14; New York Ont. a. Wst. 19; Norfolk a. '' Wst. 114; Northern Pacific 99 5'8; Pennsylvania s 51 3/4 ; Reading 82 7 8; Chic. Rck. Isl. a. Pac. 52; South. Pacific 91 1'4 ; South. Railw. 26 5/8; id. préf. 56 14 ; Union Pacific 128 5/8; Wabash préf. 47 1 2; American Can. 42; Am.Smelt. a. Réf. 95 3 4 : Anaconda Cop. Mg. 71 1/2; BetS/K-hem 5 Steel 102 1 4; Central Leather 82 7 8 : I/ttern. M. • Mar. 28 7 8; Intem. Mere. Mar. préf. 87 5'8 ; Un. ■ Stat. Steel Corp. 108 i 8; id. préf. 116 1/2. Le mouvement du service des comptes-chèques c en Belgique. Nombre des comptes de chèques postaux exîs-tant dans le territoire du Gouvernement général, s à la daie du 31 août 1917 ; 1,299. e Opérations effectuées sur 'es comptes, en août 1917 : 18,152 inscriptions au crédit, pour 49 militons 523,507 marks; 16,615 inscriptions au débit, pour 46,536,0S9 marks, soit 34,767 opérations, pour 96,059,590 marks, dont il a été liquidé, sans motf-vement d'espèces, 50,141,972 marks. a Avoir moyen de® comptes chèques postaux, en 0 août 1917 : 13,458,957 marks. Montant des virements effectués avec l'Allema. S gne : 2,020,204 marks. s ANNONCES 2 fr. la ligne. Faîtes Îei?tî2fe couvettures pr vêtements. Tailleur pour ' Dames exécute façon Pf.LET0T18ft. Complet 30 (r. Av. Ducpelîaux, 53.277 y ISaSadjes du foie, de 3a vessie et des reins sont radicalement guéries à tout âge par les Capsules blanches du D' Davidson 20ann. de succès. Dépots : BRUXELLES, Plmrm , 1e., t desCioisades; ANVERS, De Betil, ^7, Longue r. Neuve: CMARLEROI, Lefèvre. 63, r. de M.ucinelle; LIEGE, Goosens: GAND, De Moor, r. de Bruges,^ Antiquités. Achat meubles crist. porcel., faïences, ' ars;ent.,tabl.,bibelots. 1Î2, r.deTheux, Ett®r3ï.32» [iPlBil l||| is lis ] TOUTES OPERATIONS SUR TITRES : ; Retisecgrteraenfs 2 Paiement coupons français et étrangers 397 - u 50, rue des Ponts-Comines, 50, LÏLLE Imprimerie Internationalet 9. rue Ruysdaei hE EHOXELLOIS

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Dit item is een uitgave in de reeks Le bruxellois: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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