Le bruxellois: journal quotidien indépendant

1784 0
31 oktober 1917
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s.n. 1917, 31 Oktober. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 03 juli 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/kh0dv1dr6m/
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^PfemtNEMENT POSTAL. ÉD. £ Bruxelles - Province - Etranger 3 mois : ï r. 4.50. - Mk. 3.60 Les bureaux de poste en Belgique et à l'Etranger n'acceptent que des ibonnements TRIMESTRIELS; ceux-ci prennent cours les IJanv. f Avril I Juillet 1 Octob. On peut s'abonner toutefois pour les deux derniers mois ou même pour le dernier mois de chaque trimestre au prix de : 2 Mois 1 Mois Fr.3.00-Mk,2.40 Fr 1.50 - Mk 1.20 TIRAGE rllO.OOO PAR JOUR Le ruselMs Rédacteur en Chef : René .A. i-n>;itad i Journal Quotidien Indépendant i Rédaction, Administration, Publicité, Vente : BRUXELLES. ANNONCES — La ligr,c Faits divers et Echos . fr. Nécrologie Annonces commerciales . » financières . . . PETITES ANNONCES La petite ligne La grande ligne TIRAGE : fiO.OOO PAR JOUR Les bureaux du « BRUXELLOIS » se trouvent RUE DE LA IASERNE, 33 et 35, à Bruxelles (près de la place Anneessens). Chronique des Abus Reparlons des charbons n'est p;;e sans d'excellentes raisons que le compartiment des charbonnages retient de plus eii plus depuis deux mois en virent, l'attention des gens d'affaires et des capitalistes. "La récents majoration de.-; prix des charbons de toutes espèces y est bien pour quelque chose. l>a hau=s'-- appliquée atteint en effet 25 b.c. Et si, d'autre part, les salaires du personnel ont cru dama la même proportion, °e serait nne profonde erreur de croire que les deux augmentations se balancent e>t s'équilibrent; Loin de là!... Dans une puissante société m.mère de uotfe connaissance — pour ne preudre qu'un exempte," — le total des émoluments payés hebdomadairement au personnel s'élève à cent et cinq mille francs; d'où, par le fait du nouveau tarif, supplément de dépenses de vingt-six nulle deux cent cinquante franc». Or, par suite de la hausse du prix dis charbons, les ressources de o_tte société s'accroissent chaque semaine de septante-cinq mille francs. A supposer donc qu'outre les saia.res, une majoration de frais généraux se soit produits à concurrence de dix mille francs durant la même-période, surplus des rucu sseinents dt la j*>cdte dont il s ayu depuis , la mise en vigueur des nouveaux tarifs de vente et de sa-la i n s se mante à phui de quarante m die francs tous '.es hutl jours!... Aussi les ouvriers sont-ils mécontente. Quoique- l'on puisse dire qa'ils sont à préstat bien rémUn.'rés (de sept irancs par je>ur pour; le einipte sclâun&ur à douae ou quinze francs1 pour lVuvrior à veine), U est incontestable que lâcher^-exorbitante de la vte justifiait une ina-jorfctïcUn de salaire plus sensible et pins en rapport avec l'étendue des bénéfices réalisés. De pi us, les m neun&së plaignent avec raison <qu on kut 'a r et! ré certains avantages préc^ux.Ainsi, ils. ne-profitent plus de la réduction qui-teur était fait© tr;«i;lionnuilemeiit. sur ie prix de leur- charbon -de consommation, qu'on ce qiu concerne-' la qualité «fines» et «poussier». Les fortes compositions leur, uont désormais faétu-rée$ au prix orduiau;e. Il semble que les Cona.ils. d'administration ; des-içh^wbonpçgcfc devraient- se montrer piua humains, en présence d'une part, besoins; extr^ordinaireâ, et des misères sans nom ,endu-lé-'ia par la classe besogneuse, d au.re .part de la sutuaiUon extrêmement brillante de leurs ex- plO.tS-tK.DS, ... iRi^ue l'on ne vienne pas objecter que cellç-• ei ni'.fiit que passagère, que dans peu de temps pfTjt-être, et aprè^ l» gijsïçe fflertçJaemeitf.v.en- , dra. «ne caria» asgjjfe.pour toutes kg industries et ,éh particulier, pour- l'industrie charbonniè-re!,..... . . : -, La vérité est que, tant que dureront les hostilités, la houille-et ses d-rivés jou.ront, d une vogye ~sant> égalé, et partant,. que. hs actions et obligation» minières se maintiendront' à un ©ours éievé. Et ai la guerre venait à finir demain, les besoins de charbon, à l'intérieur cohype à l'extérieur du pays seront-tels que l'on ne pinirra y taire face de longtemps, à la, BUitfi<de la rareté actuelle du pré-ieux combustible et de-la disparition complète des stocks. En conséquent, les prix des charbons ne feront que monter. D ne peut être nié non plus que malgré trois ans de guerre et les racontars sans-fin sur la soi-disant ruineuse ad3n.n14.-tEa-tuOoQ demande,,içs charbonnages ont' fait d'im, portants préparat.fs pour accroître- kur extraction 5 la reprise de la-vie*normale. Jamais Ifctfe travaux prép^râtores n'ont été.si soignés, leifc matériel si bien entretenu, leurs yeineg di. ' verses si bi n ordonnées <p» » prés' -nt, ,et,-il faute e'atreïtdre à leur v6ir prendre, des la-oe'sSaticn' de» événements que nous miSbissouis,' ttn essor Butté1-pareil vers uhe prospérité nouvelle/' ' JJtl'g6^>.ein«ofé un. autre cèçé de, la. situation que* nous, voulons envisagea" ; il s!ag*t- de la das»» moyenne. Cï>rrîi¥î'e d'ordinaire, ceux gtie l'o-j poïlïrâït a ' jng®. tJffê âpfwlej:, les ^erjtêis ^aari.fiés^dëdâj-" gil^r'dftrjit-oh^pàr 1 s événements comme.pgir la-législation : lés petits rentiers et les employés,'effe-voietit' •iiertre1 frappé bien truélîty-inea%-jîwr 'la nouvelle mesure. ils n".out eu à enregistrer, èux, aii-jlWTTtf1rTtfa*'€fift reaaour«tî0 — au contraire.9 Eifc'OUt®e, -déjà atte nts fortement par lo ren-©hérissenient du charbon tr l'approche d« la saf-'-ebff'oftyi'Kur 'faut' en <it>nfeommfi'r:îé ^^s,.'lT§; s&, eiibor'è devoir compter avec'la" marche Ummt* ^ ^..diréj- iufcaôt qu'ihi'iiain^uabl^,,, v-^ de ^xa£r âvéft^aagrrifiàfcaijoB- 4e6^salaimlie4»=.-paSftSih lopins ■don»® ;d« niître • popiihttioirbo-râuï pè-^. tfcà" âtîerij cotume Ou p? ù.Jt.out \é mondé i'pitfkBâh, cswrrtûènr^ent à. trouver qtw lfw An-gtais, ^ la « [«aillent, bi*#, bolle.. ), en d.isan^ TOttïe'i' côntûiuSÎ ta kùenè jusqu.W l'écr • înent. an rn">irÏ3" doufôiijf des Piitr' «ïii-r* Càiti aly.-1 oTiaquc i|vptfème^if,'~^Sîêfà^$î?Ç7 <lp. I'5;i4a;t '-gn. humaine,, empprt'e'' aptes' s'cj jjba part souvent égalé do bonheur" jpogr. i'*a. uti.1 'i dé ;n:t.lteif pour, les, autre:-. Etepa presque tojas iJ,s arrondissejn-ents judi-çiaOsreï? dti paya eccaipé, il y a actueîknwnt des' de tontes sort s #ati9 titulaire &ff eif] : Jpo0}:t»} 4Hgf:§j iiM.i|isî« rs ou greffiers". TKi'Cii situation ïpléjtifîlt'riabk; 'à l"iàtérêi. tle e-j iutsfsi lj;.c«lûi de l'àdm^ii^fnç-ti' in d^ry brrr ne j'nt p1* / Li'-an-torité. com^jétenfce a'^$j@etr. effet bornée e <HÉ%n«r' dr s riimplaçanta- prwiaoâ^sf «ta» «o--eieîï# dâ«rtteiTt <M: omptei» vaoant®. C'est a^n-' B tin cl^rc de nWafrcy 0*1 «n empli'XP d'*'i,nifln;'-Ri' Vftûpîft î-s fotfitlîcns 'cic. ^V'Vjû'ïfiT-'do^tiuT. -'ai diiut'^e,t'i%tvë ft&ng lu *ijii un.NrtH -bjwjare L jhfinieJ gistrat, défenseur et juge devant le même Tribunal.Et lorsqu'il s'agit d'une Justice de Paix ou d'un Tribunal de police, ce fait 11e passe pas sans commentaires ironiques, sans doutes exprimés quant à l'intégrité des jugements rendu*. Le remède à cette situation est bien s.mple : que les divers Parqu. ts ne s opposent pas systématiquement au remplacement officiel de chaque démissionniaare ou défunt, soit en retenant — en vertu cle quel pouvoir ? — les dehian-,' des leur adressées, soit en priant — ou ordonnant — aux solliciteurs cle s'abstenir ju^cj.u'a-i près la guerre ! Car il est acqii s que, dans de nombreux cas, il y fi eu d.s demandes pour >es •emplois vacante, dèinuiuh's que (\u a écartées pour ne 2x1$ avoir à enregistrer de nomination fuite p./ l'occupant. Ce n'est là qu'une facétie; que pèut-il faire, eu effet, que ce soit le .Roi ou un ministre belge, plutôt que le gouverneuj général allemand, qui sanctionne ieg propcbi tions faites par le.- Cours ou les Tribunaux compétents? En réalité, dans chaque cas de l'espèce, les Parquets en cause ne tiennent aucun compte de l'intérêt supérieur de la population, qu'us immolent sur l'autel d un patnotarde,me stupide.. LA GUERRE umu€i§ ALLE.MAHOS ËEHLïy\ 30 octobre. (Officiel de midi.) Xuiiatlc Uc l.v a 1 Groupe a hrmae du iela-màiéûhai gehéxal pnnee'héritier Ittupprecnt eë uavtere : En Flandref l'acton d'artdltrm a été vive dans le éGc.eur de Dixmxide; avec de brèves interruptions. Entre la foret «6 iiouchulst et Ie canal Gomwws- ï presi lc duel d'art inerte a at-ttlm h-er, pur màmon.s, une grande mw/is-té. Il est1 demeure violent la nuit également et s'eut renforcé- ce mat n en un }eu roulant.-Uloupe ei anuve au pnuue Uup&ri<ti allemand : De part ei d'autre de Braye, au Chemin,des-Dames, tes Français ont concentré leurs feux ;ivers le soir pour une action énergique. Après une diminution passagère, le duel d'artillerie s'y est renforcé de noiint'ait depu's 1" lever du. [juvV, Dans d'àutri s parties du front de monUi. (jhe "également, l'aA il le ri ë engagée a 'é,e" pi us importante que ces derniers jours. Sur la rive droite de' la Meuse, dl's troupes de combat ré-j.uïééè'se sont' introduites après line préparation u'arHtt rie- dff cace àànties positions euneniies 'au noïdJ-ôuest de Be^o-nvaux. Les tranchées eiimprlses su'r une ïdrgeur de 1,200 inèires ont été maintenues contre quatre attaques? répétées ^usqué dans la nuit par d importants effectifs fiançali. Plus de 200 prisoniners ont été ra- • menés. L'ennemi a subi de sérieuses pertes 8->n(} a/ttes. Aviation : Aîipu-ès d-ts auire% yiriwces, des agressions à nous-- et des -re connaissait ces ennemies ont provoqtté'plusieurs fois une vive -action d'artd-lerie, " ■ ■<>-■ i { Théâtre de la guerre à l'Est. Front en jraaeedoine. Rap d'opérations de .quelque, envergure. XJjeâtie de la gueue itauen Udme a été pi\tse jMr les troupes coalisées de la 14ë armée. Le. siège, jusqu'à présent, du cominaiidément d armée suprême italien est a,nsi tomfii en nçtre pouvoir le sijièiy,e jour, aes opérations couronnées de succès. 'Sans. ré-pitf, ne. Tùéprisaiû aucun effort, nos divis.ont 'pénctrèïçi dans la plaine vers le cours du '{<*-ijlïaménto. La*retraite^ de l'armée ennéi/i-.e bai;-'iue^se tinte- aux'rares passages du flé'uve grossi Considérablement par lés averties. Les, troupes, s'avançaiit de la ÇarmUue foulent le sol vénitien silf tout le front et sont en progression \vers lë cours sup riyur du Tagharnento. Udirie est la plys grande et..la plus orientale des provinces de Vénitie, l'anclien Fqioid. Le tçhef-liCiC du inè-tne iiohi cy'tnpioit avant ^'yWïe ' fKy'irtm 4,CC0 tua béants, faisant n-tè •potiàiâemblc trafic en sole. La -mile est 'te ; . d'un éycc/ié et es^située sur la voie fçrréc ' Çormon's-.Vèniie , , Sur mer. J  "côté" du fût ut coup de main des forces de combat légères de notre /lofte qui ont envoyé tpu fond 'tes mers toute une escorte de 12 va-{ peurs de transport et deux cànire-'iorpiHvurs ' ènglai.% nos*sous-niar,ins ont fait, du "20 du- 27 , > 'fetobrV, un ^mvage colossal dans, '■ tymam], dans .la ,/iier. du XQrd,.-4#m< Jafi?OM& £ àuto.ur. di'ÇAjiglçtticxk. «t ytom M i h id.fc.rranée.. a. 1.72,600 tvnne& .de. tojiudyç. ejn-, j nj.i.Qnt é'ç .coulées, eu.S. jours [dçjenppx, non j. &'W!'Â. n?.i.jds dé',, viïpé.um et.4^- wéier* kopt,.; ' fpygyè^a .p. s.tié connu. ; . IHÈRLIÙ,,29.octobre...(Qfficiel.J . , '. I.'après-mjdi du 26 çctobre, un grand. - pr pngla.s. 'qui. croisait au nord de<la côte fia-, - Hiayae, ,fw: attaqué. à.r.iwpr.oj)i&e.par^iouk>for~.-I rte* <le çyvH>0tt. lî'véres, et gravement: endovirna-j r 0^' i. ,. i • t v I . - \, t - .... .. .. 1- _r - -. ' v . j Jm.élou^nqrïns, o/it- de,nptjM.£au ao.uté, t&OQQ, • tg.hnjs _ </«/. jQttgfi bru te, sur tç^ thj'âlrè . de t ta ., ! g^terre-sfpt entrait al. Parmi; l.çs rufVWSs, eo-yîfs, se: trpumie/it tes deuxi.vopMte witflftis.armés, « Klanigarih çhaxgç de 4,800, tonnes :dG «té-fljre, et. a. Adorlnbo, ». j . , „ AUlKiCHIEN - Vl-ES!KE, -29 attoère (Officiel-du é&i'rf.y-i • .» ; < La marche en- avant de nos trbupcè 3atf» l'v ' ftht'.ne i,--ali(inn(! fait1 (ÎC -bons'1 progrès. •"-*» ' V-IEN ft-E, 29 octobre. —• Officiel • x Théâtre de la guerre italien : • - .-Lç 34 Ils forces-de GOrtnbô' ^.iistro--hùmJroiii£S. ' <J<u^gc,iérdU.0tto von dielo'w et ■ l'aile sépi^hio-. ' -t^ile-du groupe d'années du général; von Boroe- ' >>*c commencèrent de J/onne*h'surM leur attaques jjpfir.<af«v cinquième. ■ jour de baiaiïïe, nous .(iiuityft■lfCç#tiqv.i& tojut. terrain que l'ennemi ■ • jîrt a piyé chagut 'luiamètetiHonté •&&&&*»%. 5,400 hommes — avait conquis à giand'pcine au cours de 11 batailles sanglantes. Sur le jda-te.au du Car&o nos troupes ont progressé à 11-sonzo, en s'emparant du Monte San Michèle. Nos troupes on franchi la rivière en amont. Gorizia fut déblaye par des combats dans les rues et plus lard dans le soir la Fodgora fut prise d'assaut. La région d'Oslavi/', du Monta Sabotino et la hauteur de.Korado,représentent le théâtre de combats souvent chaudeitiôui disputés, Toute résistance des Italiens fut inutile. La poursuite de l'ennemi fuyant dans le plus grand désordre amena les troupes allemandes et austro-hongroises au-delà de Corinono et du Monte Quarin jusque devant L'dine. Dans la région montagneuse au nor,'-ouest de Çivldale nous faisons également de rapu/es progrts. Le front italien de (J.arinthiC'eu ébranlé d'ans les puis impartants secteurs. Xo& troupes ont arraché à 1 ennemi, au milieu de la l'C.ge et de ta pluie des positions de frontière org.muies par deux ans et demi de possession, au sud-ouest de Tavais près de l'ontafel, dans la. région du l'IoCckCn et sur le grand l'a. l'àr suite de l'avance rapide des coalisés, br,sant tous les obstacles, il est f ni possible, lie ■.ommuniquer quoi que ce soit de certain sur le chiffre des prisonniers et du butin sans cesse. croissant. Dans la seule région au sud de F la va, 118 canons italiens de tout calibre ont été captures. Une division »'avançant en cet eharoit a enieve a tonne ni en quelques heures, 60 officiers, 3,000 hommes et Ou canons, tyuunt au butin eu maie. i\el il dépasse ae beaucoup .celui de notre offensive eu ij-allcie et en Fokp-jnc durant l'été de 191Ô. - de la guerre à l'es- et en Albanie : Situai.on inchangée. M. Ç 0 N ST A X F1S 0 F LE ,28 octobre.— .Officie!: Le 2b octobre, sur ie front du Sinai, dans te le secteur dé (jasa, nous ai uns observe que l ennemi se prtpam^i u no-us attaquer; le fou de nof.i'i, artvi'j-ie, a em.p çné c- s ai-laques de surdévelopper. os trouves, e-n attaquant le 27.octobre ie /roui du à.utaï, se sont ne-unees, sur la naut-car ae n.osset na-ssaL, a cinq rejt- s ae cavalerie eimeuiie,. qui ont eie recousues et ont subi ae fortes pênes. Les deuu cou-H-e-uhfaqu.es ennemi es qUi ont suivi ont ethoue; i ennemi a laisse -oo morts sur le terrain, -t oas avo/a, jait prisonniers deu.t officiers et atx hommes et nous ?»ou,s soin-tu s empares il unOi nt-tra-itieuse. -t avion eJinc/îil'a o.e.-touchi- par te feu de nos. canins de defeuse et est tombé uej-/1ère tes tajues puncm .,Ui, ,hur i(ft autres t ru-ut s, pt*-d' événement. %m-pbrla/it à signa* r. ,Ç' . . bULûAKËâ SOFIA, 29 ucfore. (Off.c-ei.-j Aie front en Maceuonu.'^). fdii U'uruiterie a etc de Ccinps à aw-re assez'viuiCnt au nord 'de' liitutta, dans iVcù'iiùà de la (Jiemà et aans les %at,lees du Vardar, ainsi que sur la rive occidentale ae lu "Sït'ouhia. Dans ie voisinage au vtikige xie Ji.u.prtvii, i neroique •he-uientant î^Scn-uege a abattu un ballon cUi/<TJ ennemi, qu. sa. bu<. ut en [vuiumes uorrierc lés tiyikJjs ennemies; e'<i*t ta- l/e victoire aerienrie du lie'ute-n nt'Eschiv g . Au fru-iiL uc la Dohroudseha, feu d artillerie aises vioient contre Tulcea.- f itmivAiS PAB1S, 29 oçi,, — Oii.x>.ieA d.e 3 h. p. m-: !'-■ i-n-i^i^ae,. ..a^nO'iiul. u «xi LiMt/iiO, iiûcrt.x v xO-ieliiA-'çi au ixox'ir cie Uxeeax^^wiiav. nu tmu-wii txc »OxxuU.i,u-V^llt.ilcjj.i ilUu.o ctvVJU ^ Uil C'Ou^J tlC IliU/iil IlvUS U» ^'IaIax.'s ue lciaiiÇLnjr Uv-'cj |Jil" lUxC lâxit*Ûxuisusyc'. jL"C' Ij.Oj.11 UC i AiiSiic ia lutte u a.i'ui<i.tjrj.o b\; . u»a»wZ viVo uauâ to soeceui au- 1mm d lié v autie-Sacii ee" vei'b tiarte'oiso. inos oeia-^ucru'-eus o-iL p^rivtx'é 'UèuiaT It» tMMMttéuB exuifc'ifflStiii enl iSJ'îp.eUl®'- et" btii' la r^ve ^ixuvuv.uo xa xiiett^e eo rctuix-Ue une exu>«uJ4p u^, jtK»»g»vi|Mei.s. Qjtu- .it.ra.vc eaoxve cle uts ;Axeiise t ariA;iu.ie (..unesuie a ho«uuai utMSrt>Ai(ir .muni, nos positions t^ii ie^xx-oni (jeils^ue^oxiau-; nw^JK-épijyrtUx.'.Vnc ai,'i!uiué :smù o»t suiuc. "ïî Mhïiiu-'rei^'Ute1 pâr'iKun' x«uX h tf.pu'a-iJor^ei j 'nOto'iiëiies nu tn tin BCui'pOitit; àu'néiu eut î/&îs8" tues vjauiiei-t'«- ou h-a -pis-s-ptea sui- aiii^spaèe eio cinq cerus meeivs uiiviroa mua •iiut eié*-: meui» avances. - c ne : coiHii,re-:atuiqu« .inmttctia-; ie ûe.nos-.traivpt?s,nou8 ^ renvu. xa iMu.s gxan-ue, parue ;.l ^prraip o<x>t+pe et, nous -HjpOimtf, d^; lair© uùi prisoiiniei^. En foret cl Aprëmont iiiie tentative, eiuienne sur un ue nos peuts pos-. ^tes n a uéané aucun résultat. PARIS; 29 oct. -r-(Ofiiciel-de 11-he-pr m. : Au cours,«Je ht joinr-nee, la lutte d'arinflene-•s'est maintenue viouite sur>a rrve euoii^ ue.fa Ménse, dans'lé secteur ïkns.dé Cnaunie—^ie-zoàvàux.' Canbtoiadé'iiitérmïttente sttr'ié 'nste d/u iront. • ■ " ' ' ' '' -Aviation : ' • * ■ >■ Des -avions- ennemis- «nfc- bombardé- Us- ré-Tgjoit èo- iitenkeit quc te 27 et-le Së. oc'labre. Au-i -.une victjme^.. - -■ - ■* -■ ■ -- - . v - , ■ --j.,.. -^ Armee d'Orient: .Ac-uvup^ (1 artm^rijo asse^ séiieiiçe dans, la 'rêb'ion vdu*.Varqàr et dg»s\çe|t©_'^e À^onastir, tjû'hoûs 'àVOTt'» cxectïué oe-S tîSi'-.ï de'dt'siruct.on ' 'suf^ lés fea^teriek'bhieafe^'. •fteiw'.ontreK Sé pa--li'étii.lefe'Sirr i& fe«se-Sc.Fo«irià' et "dj»fflsTa- bdnfete"' de la-©erna.'• »• > ? - RUSSE •- octobre. - "An'fpont'■g£ftéM>r<thél> ie 26' octoQfc ;~o)i aperçut aia côte prés d'UaihxricK\ une* e'sc'adrè en-'nêmié, compose'e de'di.i croiseur s 'et torpilleurs. 'A ' 10'ÀeUrest ^escadre 'ioninitnça te' boinbdrde-ïne-ifp du d'ftitiiïafch "et le 'pOiirsUîtftt 'jûsthàti,' s'èloUgnain 'cniintc; dans la direction du sud ptfest: A 'Id h'. '5CtJ'une tittiré' escadre1 ennemie-, êioigttée■■ de 11 verstes, commença ie' bojnbafdeihcnt1 de Saiis'mviide et le poursuivit jusqu'à niïd'i', s'éloignant ensuite dans M direction septetnf/rio-ndle'. Dans la dire A-on de Jfiga, reconnaissante d'éclateurs. Une de nos piîtrouilbti - att'etgim le faûbôvrg d'A nri'<ntl;of, ~ srfite apercevoir Vémie'nn. ' ' • Dans la mer Baltique', uni} escadre ennemie prit" la- mer-le 25 octobre, en partant (te Kiti-< wàst. 'Fers le soi>\' -elU'atteignit-l'ile de Epno •et en bombarda ia'eme' méridionale. Sur lù côte à l'.vst^de'- K-erdcr,-1cteé detacHeinGfi t.s ' ouvriers ennemis ont tenté d'établirdca,,pbs:ti'ôm' défensives et des obstacles en fil barbelé, mais Us jwêei -dispemés par nos feux. ITALIEN HOME, 28 octobre. (Retardé.) La violence des attaques et la résistance insuffisante de quel pues détachements de la deu. x.èm' année a permis à des forces allemandes et aairtehicnnes de percer notre aile gauche au from de6 Alpes Juliennes. Les valeureux efforts des autres troupes ne réussirent pas à empêcher l'adversaire de fouler le sol sacré de la patrie. Des magasins et des dépôts dans les régions évacuées ont étc détruits. La vaillance dont nos troupes ont toujours et partout fait preuve au cours de tant de batailles mémorables depuis deux ans et demi, donne du commandement, suprême la certitude que cette fois encore l'année, à laquelle sont confiés l'honneur et le salut du pays, saura faire son de-, voir. ANGLAIS L.ODUES, 28 octobre ; X ou s avons légèrement amélioré pendant la. nuit nos positions sur la voie ferrée Y pi-es-Houle rs. Hier rfiatin les troupes belges qut opèrent ensemble avec les Français, se sont portées en avant dans la zone des inondations et ont occupé la presqu'île d. Merckem près de Vijt-hu.zen. Au cours de la journée des entreprises heureuses ont ê»i effectuées au nord de Merc licm par les troupes belges et françaises. Le vil. luge de Luighem a été pris ce matm par les Français et toute la presqu'île de Merckem se trouve maintenant au pouvoir des Alliés. Un certain nombre de prisonniers a été fait. Dernieres Dépêches . Les combats à l'Ouest. Berlin, 29 oct. — En dépit du temps peu clair,- -l'activité die l'artillerie ennemie a été intense le-long de sw ; le feu a été partie.i-! fièrement violent centre Dixmudi; - Des déta-l cihe'an-ents ennemis s'stvauçftnt au noii'd de la v Ihvaprès une prép . ration d'artillerie'dee plus violentes-ouït/ été rejetées avec lés-plus lourdes -p r-es. Entre la foret de Houthulsfc et la Lys,, ie feu a également atteint une grande mten- . site. Après un viuljnt feu roulant, les Anglais se lancèrent à l'att -que en massps compactés au nord de la rouie de Boesittghe à Stad-'n.. Leur a.-:&iut s'écroula de façon &angiàiiité soïisi, noire feu de mitraillcus. s. Des assauts franç'tife ré'téï>K par deux fo s oontie Braye échouèrent également - après une préparation d'artil.erie des p us fortes. La où notre f-u efficace n'avai-f-. peini de|à fauché 1 ennemi, devant nés obsta-i des, il fut rejoté-cn contre-attaqu1-'; L-'aa.ail-lant en i retraité kt pre s us le feu -'anéan tisseur de mes batteries et lui occasionna les plus 1 -urdes pert s. De nombreux prisonniers res-' ère ut entre nos mains. - Perte eus ti,.vnco êBX la côte française. * Le- «Malirrii de Paris apprend du Tréf-'oit que, p?r sttite de ïa tempête qui a sévi sut !à > côte française; cinq* navires* ont' éclwué 6nt j éti romplôtement détru ts. A Ca'ye'nx, ' lé'vapeur «'Saint-Lotftes1-a échoué; tous'les membres de l'équipage se S nit noyés. tTu nouveau parti ijOiitiqne en Angleterre. Le «Matin» dj Pays apprend de Londres qu# le Gouvernament appuie la formauju d up : nouveau parti national, présidé par Xo^d.jBe. . | resford Lord Montague. Ce parti se don- : nera pour taché de tenir en échec unè opposition éventuelle des unionistes et des I béraux. Le nouv au parti eera.it partisan de la continuation de la gueire à outrance. Un rouvei accord e^tre l'Angleterre et la France. La Haye, 29 oct. — On mande de_Londrc*6 " ( que l'Anglytçj^-; ^.rapeg i accord au sitjj,Pt-du service militaire do leqra à r re-s&ortiœaiiits. reepeiqtij'ç étab'is d-*n^ ç'S deux :i ' pays; 0Pt5.afrprd.eai identique a .iptilui qui %été ] | conclu préeud-minent ,avec la I},usse'. , iùxïi | Une QOUféren,c& des syndicats .Scandinaves. ! .popephapusv, 29 oct. — Les délégations, des j syndioàts industriels sont occupés claborep programme/de La conférence dts artisans Scan, dinaves -La. date.dejcette conférence a>été fixée aux 26 et..27 .novembre. EUe se composera de ; si#, délégués .4&e ehacun -de» trois Etats acan-,'dinaves.Le cardinal Mercier et la note.du Pape.. ! L'« Osservatere Romano » publie une lettre oa.rdmaUM?reiei",- datée du 10 ootébre/dans laqueHe-eeliii-ci exprime au Pape, en son nffln , ,et-au'-Bftnv'deB-autres évêque® bélgés, "sa- gt'd-i tdt.ude. éniae. pour son appel à la'paix, dans leî | • qheUil s'eatyégaliiîient souvenu de la Belgique, , La ciise ministérielle en Psrstgne, > '■Madrid-,^ rfct. (fiâ^aè.) —- A'ia suite d'une ^«j&ttEérfHÔeïa^ife- Datd, Tooa a déclaré'qu'il s*éf-| •forcerait de'tiwtver- d s crfiaboriateurs afin dé c®bfhOt Uatîonal. "• v *-*■■ - ' Autour de la crise ministérielle en Espagnel "•! . Madrid; -SS éet. On croit qftfe 'l& fcoi as-stuerâ M-. "Dâ'to'-de stin entière eoUfiâhçe. ii action ue la ligne afci Oxxic»eïs c'c;.âgiidis. j Lo*&' Pi'tat F^Ped' » appreiîd dé-Madrid que le colonel Marquer; président de la ligue r'.milif^ire "à: 'Baîrci^kfiae/dément que l'a liguent i adressé'-au -Roi' line invitation -à ôo ' ivridre à Barcelone; -ou lut ait demandé de recevoir les offieteïs^;Le colonel-a. déclaré-qu-»' la ligue hç -f'aat pas' d©31 politique;- qu'elle no-demande. - qu-'nn go»v«rnemeiit' énergiq-ué, qui ibaiirtienT ne- la- neutralité, ■ défende-'leb frontières actuel! ie d® l'Espagne, et réalise le»- réformes hé'ac&t salree." < ' " V, " ' - - - Une acticn juive internationale. , La- Haye, 29 6ct. — Le Bureau 'de Correa: pondant» juif an^iemoe que; la direction de Toi'. i gane polonais "d'-fe f>ocialis)te& juifa «Zion»' S'ocr-■ cupe de la' pEéjoarah.on d'uin congrès mondial ' des odVtf<%8 juils, quf SeYait tefiu dans la vi'llè j ,0118.0 féturt;ra":Ta "Oonfétenoe initernatàonâle do 1 la paix. _ Les relations russo-japonaises. D'a.prèâ 'le «Times», tinte commission de fi-niantiefS iiisâea est"arrivée"à^Tokio pour.négoi-reder avec les banquiers japonais au sujet,de' Té-■Jtâblî^iàenit <fe "relations tnduéfâ-iélle»*'et éççn, -xmniiqiKB eaitre le Japon et la Russie, L'OFFBNSÏVE CONTEE L'ITALIE Une opinion italienne. Berlin, 29 oct. — Gixto Itiva écrit dans l'«A-driatica» du 26 octobre : Le but de l'ennemi est, manifestement de forcer la côte entre l'Isionzo supéri ur et la vallôa de Natiscina. Nous devons admettre que de tous les fronts de la gurre européenne, oeiui de l'Isonzo eeb le plus important. Le premier ai&aut. n'est qu'un début, .qui sera buivi d'épisodes importants et plus décisiis. L'impression en Angleterre, Amsterdam, oO o i. — L'Agence Reuttn dit: « Les journaux angia s reeonnaiesenit que la si-t'ualion est grave; mais ils assurent ^ue I'ita lie peut compter sur l'appuii d;'s Aliiés. Ils fèm, resiortir que des efforts allemands du même genre o>it déjà, à plus.i_urs reprises, échoué. La iiïimcï» écrit _à ce sujet : Notre mol d ordre au peuple italien esit : « Tenez ferme! », oar on vichcïfa certainieimen.t à votre secours. ïîoui comptons fermement que* les Italiens, dans ces heures d'épreuve, resteront fidèles à leurs glo rieuses traditons et qu'ils repous>'rOnt 'les intrus avec une inébranlable ténacité. Après deux ans et demi de combats vaiilants, la nation italienne doit tout à ooup subir une dure épreuve. Mais l'Italie, avec l'aide de sas fidèles ailiés, se rendra maîtreœe de la situation. .11 ne faut pas qu'elle so.t frustre*- uv_. huut. de ses récentes victoires et elle ne 'e £ 1 pas! Le «TimCs» deciar. ensuite que la " " ' cl l coup de surprise allemand s'expliqu- y- l'a mi e eh action, par ces derniers de nouv. ' : ties dont 'es Italiens n'avaient pu ^'ndie compte, ainsi que de l'emp.01 d'un gaa d n-jé très grande puissance. Le journal d» 1 conclût : « La vaillante armée italienne a démontré, dans cette gueriv, son courage et'son abnégation danb une telle mesure, que cet 'épi. scd-> nialhfcùreux de la campagne ne saurait te-"niF'siii Honnéùt. Sa contiance- 4û la formidable pu.tsa.iioe nu itaire "et économique des Alliés ot de l Aménqûe, reate en tière. L Italie a'de°f«rts alliés. «Le «Tintes» dit que les ùMJca-b'ôns relatives au noriibre des canons captftréï par les- O'ntraux n est que du «bluff» et que le front. de "l'Ouest saurait bien égaliMsr *dea p.itfs èventueiks. (Il semble', à eh juger par l'es faits, que ta h -fôrihidable pltissanJé militaire 01 économique des Alliés >; se manifeste surtout fiàr ce /£•-Si.ltM,qde tous ceux qui s'y 'confient soni'vàuts à'-, leur perte', tels W tteîyique, la Serbiele Monténégro, là Fini nui me-, la Russie, e-t main-te'iami- à s'i-ir tour, FItalie.j L'unpress 1 <-n e-n Frànce. 'Berne, 30 oct. — La presse française mani--ftste une plus grande inquiétude ejn oornmén. t-.n't L' d< veioppemc-nt de 1 offensive sur l'ieôn-zo. Oii cherche à pal.1er la njauvaisï ' . »-sion produite dan,3 le public, en dée. '1-^'-iés"c'liiifr"s des'pr eonn'ers et d<-% isr"xj tûres, fournis pey te» communiqués .tto Vei* trjïtxx.' sont axugçrëp àt que l'on sa. ïe 'bo^i-s'oïf&â qûe le! oJinmancléinani àlipér.*-»*, lw-teh; ramène ses ligne-s' en àrrièie, afin 6't\ cuper des pogi'tions plt,ts avantageu^eb pour arrêter ïè choc ausii'o-alLrhand. Le «Temps», lo « Al ât.jn » et d'autres journaux adressiebi. déa reprochés rha£t[ués à la Russie. C'est 'm-ïe «Temps» écrit : Nos ennémis ont }ét>x S' 1 ces derniers temps de nouvelles forces devenue. disponib.es du fait de l'inactivité russe. La rés.Ktar.ee de nos ennemis, en Befgque «fc eut France,, s'est trouvée considérablement ' renforcés, en même temps qu'ils entreprenaient une offensive de grande envergure contre nos alliés ita'iens.. Ce s«nt là leg deux seuls- fronts ..où ils aient ericoj-i^-à hr'fc'r à l'heure actuelle,. L'u Ex'ho 'dé Paris.» déclare . Les .canons al. len^nds braques sur Cividale ne laissent gwb-Si&tjer aucun doute sur le formidable but de i s liït^e des AnUicWens er dÇs Allemands. 1 ils v.eijjçnt pousser jusqu'à TJdine, . j. Le ..journal regrette que, mal heure usemmit, «aa« d,version .-russe,, comme elle ee produiéit; .j'.anué'^ dernièw, n'ôst plus poss.ble à l'houro actuelle. ... > . '■ "i < Lé «. Journal dl's Débats » opine : L'Aliemà-•gne foiunit'âctuelj^meint aux Alliée un- exem-pl" -qui devrait capter l'attention des politiciens. -En Alleoitigtie,! ies intérêts vitaux die l'Etat sont subord;inncs aux a-nt'.men.s p.rSun. iids;- La « Petit Parisien » suppose1 (i u& ) !offerwSdb a ..un caractère po-lit.que .et qu'elle fut entre, prise pour profiter des difficultés intérieures de l'Italie. LA GUERRE SOUS-MARINE. Rotterdam, 29 00t. — Du « Maasbode » : Le Hchooner « . Jernved . », ^le' voilie.r néerlandais « Hendrika » et "le voil et « Matin kl e » se sont échoués. Le valeur norvégien « Dokka », jau-geaot brut 1,115 tonnes;. e»t entré en collision avec un autre vapeur et a coulé aussi tôt. .< , . x . j, >i. -.m , ~ : ————— La Neutralité bçlge vue sous un angle français a ""Lés journaux allemands se eont de nouveau occupés, ces jours derniers, de l'interprétaiie^j "dfe l'aJquegtiori de la « neutralité belge ». Il es! iTitéAt:sâ.m 'de î-eiproduirè ce 'qu'ils expoèêiét à ce propos. « 'Oh sSit, 'd-seilit' Oes journaux allemands,que c'esi Pun des-argitiments préférés de nos enbé-bris', de'prétendre que nous avons violé la neu, tràâté belge. Or, il a é:é démontre à suffisahéo qu'eh réalité "cette neutralité - n'existait pas. Ce" qui est peut-être moins généralement don-nu, c'est 'que nos ennemis n'ont jama.s son'gé, eux; à respecter'cette neutralité belge. La-Bel. giqùe'était, pour la France, le but vers Icquej convergeaient tous sfis dés'iB, depuis que Na-pdlédn-àvait eu eà sa poséession le» pays groupés sous ce -nom collectif-, pays qui, d'ailLtirs, firént jadis partie de l'ancien empire germarii: que. L'Histoire du Second .Empire,- de Taxile IJelord, "V'Hïit'oire Diplomaitique de l'Europe, pair Débidour, tiinsi que.ies Mémoires, de MV dè Falloitx, établissent qu® le'lendemain',dû ooap d^Etàt du 2 déû^Uibre. 1852, un décrèt 'oofhêeie-de la Bèîgçfue à'ift F m 4mo Année - N. 1110 - Ed. B CI M SI CEUTIlMlsS Mercredi 31 Octobre 1917

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