Le globe illustré: journal de la famille

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s.n. 1914, 07 Juni. Le globe illustré: journal de la famille. Geraadpleegd op 03 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/w950g3jb7v/
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*1 \ t |\ flDC 1ui souffrez d'ulcères, va-IVLr\ Jj/t. riqueux, plaies des jambes, eczémas, maladies de la peau et du cuir chevelu, de maladies nerveuses : épi'epsie, neurastliénie, de maladies de l'estomac, des poumons, de rhumatismes, ^e troubles du retour dage, hémorroïdes, consti-/ation, diabète, albumine, demandez les "Recettes de l'Abbé L&uret n qui vous seront adressées gratuitement par M. l'abbé Lauret. curé d'Ervauville (Loiret) Fran-p. Affranchir îi 0.25 et joindre timbre pour réponse. VVVWVVWVVVVVWVVVVWVVVVVVl'VWWVVVVVVVVV» Tfi»i i Mm n à \ rewAïauJ 31. Rue da P9 a line s . Bruxelles . CHRONIQUE PETITE SCENE AMUSANTE. — Un élégant promeneur tenait en laisse un- magnifique anima] à la. robe mouchetée de gris et de roux, le museau emprisonné dans d'étroites mailles d'a-ciei:', lequel nonchalamment, docilement, suivait son maître, tout en regardant curieusement le spectacle de la chaussée, fort animée sous la blonde lumière du soleil. Les passants considéraient avec étonnement l'animal dont l'espèce leur paraissait inconnue. Etait-ce un lévrier? Etait-ce un lioup-cer-viea'P Etait-ce un jeune tigre? On ne savait. Les paris s'engageaient ié;fà,. Et bientôt une vingtaine de curieux se mirent à suivre à leur tour l'animal et son maître, qui ne semblaient nullement se douter du léger émoi qu'ils semaient sur leur passage. Soudain, un brave policier', interloqué aussi, lui, à la vxie de la bête, questionna le promeneur.— « Si ou plaît », fit-il, quelle sorte d'ani-mal ça peut y être? Pour lors, il me semble 'bien étrange. — C'est une bête, répondit poliment le promeneur, que j'ai ramenée de l'Afrique équa-toriale. Elle est, comme vous voyeiz, tout à fait inoflfensive. —- Possible, mais c'est pas un représentant de la race canine? —- En effet, répliqua avec douceur le propriétaire de l'animal, c'est une bête qui ressemble à un guépard, et qui, de plus, est assez rare. — Alors, c'est un fauve, reprit l'agent, un animal dangereux. Avez-rvous un permis de conduire, un laisser-passer, quoi? — Non, rien de tout cela, voilà: deux mois que sors ma bête et jamais on ne m'a fait la moindre objection à ce sujet. Mais l'agent, esclaive du devoir, dressa néanmoins procès-verbal. — x — UN MONUMENT CONTRE LA VIVISECTION. — Un groupe féministe de Londres a fait élever dernièrement un monument à un fox-ter-rier qui avait subi d'affreuses tortures pour les besoins de la science dans un laboratoire de vivisection.Sur un socle de marbre majestueux se dresse la statue en bronze du chien martyr et ces dames, qui sont des ennemies déclarées de la vivisection, ont fait graver sur ce socle une épitaphe bien sentie où, après avoir rappelé le nom et les circonstances de la mort du pauvre fox-terrier, elles protestent avec virulence contre « l'abominable pratique » qui consiste à faire des études sur les animaux quand ils sont encore en vie. Le monument a été inauguré récemment dans un grand jardin ,et deux discours furent prononcés par la présidente du groupe et l'auteur de la statue. — x — JEUNESSE! JEUNESSE! — C'est un .de nos humoristes les plus notoires. Mais, avant d'être célèbre et d'avoir cinquante ans bientôt, il fut inconnu et eut vingt ans. A cette époque, il remplissait ses devoirs militaires, et ses mots —-ses mots terribles — égayaient déjà la chambrée... qui ne les comprenait pas toujours. Or, il advint qu'un ami l'invita à une petite fête intime à Paris. Notre humoriste, enrégimenté à Meaux, s'en vint trouver son capitaine : — Mon capitaine, dit-il, je voudrais bien quarante-huit heures de permission pour aller à Paris... aider ma sœur à déménager. L'officier, le sachant quelque peu tire-au-flanc, lui répondit avec un grand sérieux : — Impossible! D'ailleurs votre sœur vient de me télégraphier qu'elle n'avait plus besoin de vous ! Le jeune soldat eut un geste de surprise, s'éloigna de quelques pas, puis revint vers son supérieur : — Mon capitaine, déclara-t-il, je dois vous avertir qu'il y a deux « fumistes » dans la compagnie.— Ah! ah! mon garçon... Et quels sont-ils? — Le premier, mon capitaine, c'est moi : je n'ai pas de sœur... L'officier, désarmé, éclata de rire et accorda la permission demandée. UN VILAIN MERLE. — Il y a, dans la banlieue de Bâle, une grande gare de triage où, sur de nombreuses voies disposées en éventail, on aiguille les wagons de marchandises dans les différentes directions. Cette gare est un modèle d'organisation, et les manœuvres s'y font avec tant d'exactitude iq.ue, de mémoire d'homme, on n'y avait jamais vu d'accident. Depuis quelques semaines, au contraire, les aiccrocs se multiplient ; tantôt c'est une locomotive qui démarre avant l'heure, tantôt une rame qui recule quand elle devrait avancer ; et toujours l'erreur se produit de la même manière : le chef de train gt le mécanicien ont entendu un coup de sifflet que personne n'a donné. On vient enfin de découvrir le coupable. Il ne se dissimulait pas derrière un mur ou une barrière, mais il était perché sur la cime d'un arbre ; ce n'était ni un anarchiste ni même un polisson ; c'était un merle. Ayant fait son nid tout auprès de la gare; il avait appris peu à peu le cocabulaire des signaux : le coup de sifflet du démarrage, celui du refoulement, celui de l'arrêt, celui du garde-à-vous. Il les exécutait avec une précision merveilleuse et goûtait, du haut de sa branahe, tous les plaisirs du grand commandement.La tête de ce saboteur a été mise à prix. LES ANIMAUX-REMEDES. — Au temps où les grands navigateurs et les trafiquants qui cinglaient vers les îles aux épices ramenaient en Europe des fruits, des plantes, des minéraux et des animaux inconnus pour le plus grand émerveillement de nos ancetres, des médecins qui pourraient s'apparenter à ceux de Molière cherchaient, au hasard le plus souvent, quel parti on pouvait trouver de ces découvertes. Il est amusant de constater qu'ils voulaient surtout trouver dans l'organisme d'animaux qu'ils voyaient pour la première fois des remèdes naturels propres à enrayer les maux les plus divers.Mais si leurs savantes imaginations prêtent ■beaucoup à rire aujourd'hui, ils ne semblent pas s'être toujours trompés. Leurs opinions se rencontrent souvent avec celles des peuplades sauvages qui vivent aux antipodes et la coïncidence est au moins curieuse. Enfin, certaines de leurs trouvailles ont été ratifiées par la science. Si, par exemple, les « talblettes de magnanimité » que l'on fabriquait autrefois avec l'ambre gris ne se trouvent plus dans le commerce, ce produit extrait du cachalot, est toujours employé en pharmacie oomme céphalique. En revanche, la cervielle et les dents de requins, séchiées et réduites en poudre, ne figurent plus sur la liste des apéritifs. Et pourtant on a cru jadis qu'elles pouvaient rendre l'appétit à ceux qui l'avaient perdu. La chair du serpent réduite en poudre, principalement le cœur et le foie, sont diaphorétiques. Le bouillon qu'on en extrait serait un cordial bien autrement efficace que l'alcool. La graisse des intestins est bonne pour les yeux. Le blanc de baleine ajbsorbé d'une façon quelconque est, paraît-il, un diurétique. Appliqué exitérieurement, il devient jn émollient. L'autruohe, qfui possède un estomac légendaire, vient aussi au secours des malades.. Si nous en croyons les disciples d'Esculape du XVIIIe siècle, la coquille de ses œufs réduite en poudre est un excellent diurétique. Le fiel fournit un onguent ophtalmique. Il entrait aussi dans la composition, du remède oontre la pierre inventé par Mlle Stephens et dans celui avec lequel Rotrou soignait les écrouelles. De l'autruche au chameau il n'y a qu'un pas. La graisse et le sang de ce bon ruminant à bosses sont des émollients. Son fiel consitute un résolutif, sa fiente fournit un vulnéraire, sa mem-îbrane stomacale sert à fabriquer une potion contre les maux d'estomac. Le sang et les ongles du rhinocéros réduits en poudre sont des sudorifiques au même' titre que' le gésier du singe. Tout ce qu'on a pu tirer de l'éléphant est la « poudre d'Hali », qui est tout simplement de l'ivoire rapé. Elle possède, paraît-il, des propriétés astringentes. L'hippopotame est moins généreux encore, et inutile au médecin, il ne rend service qu'au dentiste. On utilise, en effet, son ivoire pour fabriquer de fausses dents. Du lamentin on extrait une graisse émolliente et quatre pierres qui, d'après les vieux auteurs, se trouvent dans sa tête, auraient les mêmes vertus que les meilleurs fébrifuges. Voyons maintenant les animaux des régions glacées. La graisse de l'ours blanc est un fortifiant incomparable, cela ne fait aucun doute. Au couirs de leur longue et pénible marche sur la banquise, à la conquête du pôle, Nansen, le vaillant explorateur norvégien, et son compagnon Johan-sen engraissèrent chacùn d'une vingtaine de livres pour avoir fait de la chair de l'ours et de sa graisse leur nourriture habituelle. L'huile de foie de morue est trop connue pour qu'il soit nécessaire d'insister sur ses propriétés, mais celle du phoque, moins répandue, possède les mêmes mérites. Le renne, animal précieux entre tous dans les. pays froids, figure aussi sur la liste. On tine de ses cornes une gelée qui est un puissant astringent. La liste n'est pas close, mais faut-il l'allonger davantage?... Au point de vue pratique, le mieux est encore de s'adresser à. son médecin. UNE CLOCHE HISTORIQUE. — Le musée de Florence vient de s'enrichir d'une vieille cloche qui, il y a plus de quatre siècles, fut condamnée régulièrement par un tribunal et livrée au bourreau. Connue du peuple sous le nom de la « Pigno-na », elle évoque une période trouiblée de l'histoire de Florence. C'est elle qui sonna le tocsin dans la nuit du 5 avril 1498, lorsque les Florentins, oonduits par Savonarole, marohèrent à l'assaut de l'Hôtel de Ville pour en chasser les maîtres de la commune. L'attaque fut repoussée grâce aux mesures prises par les « Signori ». La fureur du peuple se tourna alors oontre Savonarole qui, livré par ses anciens partisans, mourut sur le bûcher. Les « Signori » voulurent aussi punir la docile coupable d'avoir sonné le tocsin. Elle fut condamnée par le tribunal à être posée sur la oharrette des condamnés à mort, promenée en ville et ensuite envoyée en exil dans un faubourg où on la tenait enfermée dans une cave. Elle y resta onze ans. Après le châtiment, on lui permit de rentrer dans la cité de Florence. — x — 262

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