Le rappel: journal politique, industriel, commercial et agricole

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07 augustus 1914
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s.n. 1914, 07 Augustus. Le rappel: journal politique, industriel, commercial et agricole. Geraadpleegd op 04 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/wh2d79697z/
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Quinzième année. N. 219' 5 CENTIMES le numéro. — Abonnement par semaine : 20 CENTIMES vendredi 7 A Un h'cz en aper-l Je. Son br ',s Hait au vo- fi-ssUrer ': j Je paierai l'Ccourut au voulait me ifin je réus- Ique je dési- pr le gratin. , non, me contradic- l'a utre. L©: Itant. 'Oc ÉI3ACTION & ADMINISTRATION Rue ïiéopold, 39, Charleroi 5 50 ABONNEP/rF-NTS •fr. 10 00 ..Ir.mois. . te. Trois mois. fr. 3 00 Adresser toutes les lettres et communications au Directeur du RAPPEL Rue léopold, 39, CHARLEROI. — Téléphone 8& LÀ DEFENSE RAPP Journal Catholique Quotidien '," REDACTION & ADM1 Rue Léopold, 39, ANNONCE! La petite Jigno (4° page). . , Demandes d'emplois Béciames (3° page), la ligne. . . Faits divers Chronique Béparation judiciaire ON'traite a forfait Pour la publicité, s'adresser au Bureau du 2L La victoire de mercredi : 40,000 Allemands repoussés. '-- Combat de nuit. «- Tentative d'assassi* nat contre le général Léman. -- La journée terrible de Jeudi : les Allemands tentent un vigoureux assaut. — Ils sont repoussés. == Les Allemands ont des milliers de morts. POUR LA PATRIE ! ia mouillure de mes yeux, quand je songe iiaissait pas encore, chantant bien hau cette marche Vers VAvenir dont les couplets vibrants alternent à cette heure avec les sourds grondements des canons et de la mitraille... Texte de la proclamation do Roi A l'armée de la Nation Soldats, Sans la moindre provocation de noire port, un voisinorgueilleux de sa force, a déchiré les-traités qui portent sa signature et violé le territoire de nos pères. Parce que nous avons été dignes ae nous-mêmes, parce que nous avons refusé de forfaire à Vhonneur, il nous attaque. Mais le monde entier est émerveillé de notre attitude loyale ; que son respect et son estime vous réconfortent en ces moments suprêmes. Voyant son indépendance menacée la nation a frémi et ses enfants ont bondi à la frontière. Vaillants soldats d'une cause sacrée, f ai confiance en votre bravoure tenace et je vous salue au nom de la Belgique. Vos concitoyens sont fiers de vous. Vous triompherez, car vous êtes la force mise au service du droit. César-a dit de-vos ancêtres : De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves. Gloire à vous, armée du peuple belge. Souvenez-vous, devant Vennemi, que vous combattez pour la liberté et pour vos foyers menacés. Souvenez-vous, Flamands, de la Bataille des Eperons-d'Or, et vous, Wallons de Liège, qui êtes en ce moment à Vhonneur, des 600 Franchimontois . Soldats ! Je pars de Bruxelles pour me mettre à votre- tête. Fait arapet cfo lhaient d'at-' 1 ouverte, en1 |aut, ou put: irait produi-j |bougie. lener là-de-j |Avançons. une basse (avardac lui Jnent, qui a, possède la, traversaient e lueur se nt à la porroevoir dans de Fleurydes pieds, ■int à l'aida placées im- Récit détaillé de l'attaque de Liège De l'ensemble des renseignements donnés 6ur la nuit de mardi à mercredi et la jour»née» de mercredi, il résulte que les ALlemands font depuis deux jours une tentative désespérée pour emporter de vive force la position fortifiée de .Liège. La raison en -est évidemment qu'ils comptaient que Liège allait les accueillir. Reçus à coups de fusil et de canon., et voyant leur plan déjoué, ils essayent de le réaliser quand même à coups d'hommes, en attaquant Liège d'une façon répétée. Mais ils ont trouvé à, qui parler. Nos troupes ont été admirables d'héroïsme, splendides de valeur militaire. Voici les détails de ces combats historiques d'où Farinée belge et la patrie sortent grandies à la face cm inonde. VATTAQUE BE KUIT DU 4 'AU 5 AOUT Dans la journée de lundi, les Allemands étaient doifc arrivés au nord, à l'est et au sud de Liège. Ils ort entouré la position sur toute la rive droite de la Meuse, où se».trouvent les forts de Marchon, au nord d'Evegnée, de Fleren et de C'est tou tee front qui a été attaqué et par des ouvrages de campagne établis dans les intervalles, ouvrages composés de tranchées dans des dispositions diverses, avec fils .barbelés, fougasses, mines, etc., munies d'a.ritillerie et défondues par des troupes mobiles Tie toutes armes. Ce sont les intervalles qui ont été aataquées par les Allemands dont le plan est de forcer des intervalles pour entourer ensuite les forts et tenter l'assaut. Ces intervalles ont été magnifiquement détendus. Les ouvrages qui s'jrtrouvent sont placés en arrière de la ligne des forts, de manière que l'assaillant ne peut connaître exactement leur posTiion pour les canonner et doit s'engager entre les forts mêmes pour îiêureuse disposition a été fatale è Les troupes de celui-ci engagées daine la ligne des forts ont été exterminées :à la pois par le feu des forts «et par celui des intervalles. L'action a été vive surtout autour des fortsde Barchon, id'Eyegnée, Fléron et Chaudfonitaine. 1aits opérés autour des 'fonts assuraient un tir TTune grande efficacité. Les troupes mobiles occupaient le terrain emavant. d'abord, puis se retiraient lentement dans les intervalles, attirantl'ennemi. Ajoutons que la région d'attaque est favorable au défilé des assaillants. Le pays de Hervé est coupé de ravins, de tailliset de chemins creux que favorisent la marche de l'assaillant vers les forts. Malgré ces conditions favorables, les Allemands ont été battus. COMBAT DANS LA NUIT A la faveur de la nuit, les Allemands se pont, avancés Vers nos troupes. Les projecteurs des forts décelaient leur marche, tani*dis que la canonnade et la fusilladese faisaient entendre. Le 7e corps allemand tout entier participait à l'attaque. Le feu fut terrible de part et d'autre. Nos .soldats restaient héroïquement au poste. 'Toute la nuit, la lutte dura dans les ténèbres ou sous la lulur fulgurante des projecteurs. Quand le jour se lova., il éclaira des centaines de cadavres allemands. L'OFFENSIVE'BELGE. — UNS! PARTIE DM 7e CORPS DETRUIT Ce fut alors que se plaça la plus glorieuse partie de la journée. Les troupes allemandes pressaient particulièrement le secteur nord de la position, autour du fort de Barchon. Des renforts belles y sont envoyés. Les troupes î>elges y ges y sont envoyés. Les troupes belges forment une brigade mixte de deux régiments, ■ bous le commandement d'un de nos plus brillants et énergiques généraux qu'il est inutile de nommer, actuellement, pas plus ! que ses régiments. Leur gloire sera connue bientôt. Et l'on voit soudain cotte bell# brigade se mettre en mouvement et commencer une offensive à fond contre les Allemands qui étaient alors en progrès. Les hommes ont juréjeter î'enn.emi ou de se faire hacher jusqu'au dernier. Et alors, sur les hauteurs de Wan.dre,les Belges marchent à l'ennemi, toutes armes réunies et liées. C'est une offensive foudroyante. Les Allemands 'essayent de résistete'à notp| feu et â notre avancée. Ma.i§ ilsplient. Leurs pertes sont énormes. Bientôt'c'est la débandade et la fuite de cette infanterie allemande qui trouve devant elle descœurs de héros et d'admirables soldats. # Le 7e corps a été rompu. Et voici ce quevoient quelques heures après les Hollandaisde;(Maesitrichit, car c'est sur Maestricht que•fuient, épendus, les fandlemanxLs. LE SPECTACLE DE LA DEBOUTE t Voicice qu'on mande de'Maestricht : .. Cinq mille Allemands en fvite éperdue sont passes par Maestricht. •' « fis étaient dans un état épouvantable, à •Jaire püié. ,' » Leur arrivée a ri renient ému la population. ' » Us ont été réconfortés, munis de vivres ïet dirigés sur Aix-la-Chapelle par train spécial. » L'ambulance 'd'E'yden, en Hollande, au '■nord de Visé, est comble. » rNous passons sur certains détails de cette dépêche. Ce qu'il faut en retenir avant tout, c'est l'impression causée par la déroute dos "Allemands, après une nuit et une matinée do combat. DES FAITS Au sud, l'intervalle d'Embourg subissait. Aussi des attaques violentes. Il s'y entre autres des gardes civiques. Certains pnt .vu les Allemands à 300 mètres. A ce mo- ment, une compagnie d'infanterie contourna le font et parvint, après un feu nourri, à repousser les Allemands en leur tuant un colonel au moment où il marchait à la tète de ses hommes. L'élan des troupes était admirable. LE CHATEAU DE LA S'GRE S, MINE, SAUTE. ENSEVELISSANT DE NOMBREUX TUES ALLEMANDS. Les artilleurs du fort d'Embourg, comme d'ailleurs ceux de tous les forts, tiraient avec une précision terrible. Les gardes civiques voyaient leur tir dirigé sùr Nle château de Langres, en face du fort, château qui était miné et que les obus belges firent sauter au moment où il était entouré d'Allemands. Ceux-ci eurent un grand nombre de tués. LA MANOEUVRE DES BELGES L'offensive belge se produisTTsur un front étendu. Il faut remarquer que ce mouvement fut, pous nos troupes, un combat en campagne et non un combat de position. Nos troupes manœuvrèrent sur le terrain et firent preuve d'une remarquable habileté de tactique. Elles montrèrent un courage et une endurance .extraordinaires. On vit des .régiments donner deux et trois fois de suite.suppléant par la capacité manceuvrièpe et la complexité de l'effort a l'infériorité du. nombre.Nos soldats et nos officiers donnèrent tout ce qu'ils purent. La patrie leur doit une éternelle reconnaissance. LES ALLEMANDS SE MASSENT AU SUD DE LIEGE. — AU FORT DE BON CELLES' Toute la journée de mercredi, a été marquée .par de chaudes alertes aux Biens-Communaux. Le fort de Boncelles n'a cessé de tonner contrôles troupes allemandes, dont^la présence était signalée aux environs d'Esneux et Plaincvaux. Mort dji commarfdant Camille de Menten de Horne 'La journée de mercredi a '"i™ marquée par un triste événement. i ommandant Camille de M'enten de Horne, a La tête de sonfers,faisaitune reconnaissance entre Plainevaux•et Esneux. Il se trouva tout à coup en présence de la cavalerie allemande comptant500 %ulilans a.vec des mitrailleuses. Les lanciers, leur commandant en tête, firent face à l'ennemi. Une véritable pluie de balles s'abattit sur eux. Le commandant tomba mortellement blessé. Une trentaine des nôtres furent frappés à ses côtés. Le reste de l'escadron décimé se replia dans la direction de Boncelles, pour cherche* du renfort. Les uhlans ne les y suivirent pas et se retirèrent sur Esneux. La MORT D'UN EGLAIREUR ALLEMAND I HONCELLES Un acte do courage accompli par un rde nos troupiers est à signaler. Une patrouille d'infanterie battait le bois de la Vecquée, dans la matinée de mercredi. La petite troup^ allait passer quand elle aperçut un cavalier allemand qui s'enfuyait. Nos fantassins se mirent à ses trousses et perdirent sa trace. Le sergent continua seul sa. poursuite, s'écartant assez sérieusement de sa troupe. Il allait rejoindre ses taniarades quand un coup de feu partit d'un amas de broussailles. La balle lui ér-afla la joue. Il se précipita vers le buisson et y découvrit un uhlan qui s'efforçait de se dégager. > Le sergent se précipa sur son agresseur et lui.déchargea trois coups de fusil. L'uhlan étaitgrièvement atteint, mais respirait encore. Le sergent le somma sous peine de mort de lui fournir les renseignements qu'il avait. L'autre lui répondit : « Je me rends, mais j'ai toujours un cœur allemand ». Il mourait peu après quand on le transporta au fort de BoncoTics. Sur la poitrine de l'Allemand, on a trouvé un rapport donnant une description détaillée dos lieux et des positions autour de Boncelles. LB SHRAPNEL LIBERATEUR Vens 10 heures-du matin, vers l-'léron, un incident qui mérite d'être conté se produisit. Le garde-champêtre s'était transporté à bicyclette vers « Mon Bureau ». endroit situé à deux kilomètres et demi de Fléron. Il était en uniforme et porteur d'un browning. Deux cents mètres avant Mon Bureau, il se 'trouva soudain en présence de quatre Allemands qui le couchèrent en joue. Le garde "leva le bras en l'air, pui scontinua sa route, poussant sa machine de l'autre main. entré ce matin à Bruxelles, pour repartir bientôt à la-tête de notre armée. UETATMAJOR ANGLAIS EN BELGIQUE a 'Le général French, commandant des armées anglaisesen Belgique, est arrivé chez nous. Il a été l'objet de vives acclamations de la part de la ouïe a son passage par nos vue?. a Et nos Belges, nos petits Belges ont achevé la phrase, cette phrase d'iniquité qui leur bourdonnait aux oreilles : ((...oui, n'est-ce pas, nous aurons quelque chose de votre félonie et de votre déshonneur... Cela, jamais ! « Et ils sont partis... Us sont partis, avec dans les yeux la haute silhouette d'un grand Roi qui leur a dit : « Voulez-vous maintenir intact le patrimoine de vos ancêtres ?... Un pays qui se défend, s'impose au respect de tous. Ce pays ne périt pas. Dieu sera avec nous dans cette cause juste. » g Us sont partis. » Je me les figure là-bas, à Anvers, à Namur, à Liège, sur le front des corps d'armée où ils ont revendiqué leur place, je me les figure le fusil dans les mains, le cœur battant d'allégresse, chantant les refrains d'une Brabançonne qu'on ne.con- Ah ! ces regards où passent en éclair les grandeurs tragiques de la patrie qui saigne... ces fronts sereins, noircis de poussière et qui rêvent aux foyers désolés,aux foyers meurtris par l'infâme brutalité d'un étranger qu'hier encore on accueillait comme un frère... ces cœurs en qui chantait la vie, la vie noble et généreuse, fière de se donner à tous, fière de se dépenser pour l'apaisement des luttes fratricides et pour la gloire paisible d'une nation forte d'elle-même... Quelle pitié, mon Dieu ! de se dire que bien de ces vies-là peutêtre seront fauchées dans leur fleur, parce qu'il a plu à un homme, à un homme qui s'appelait — ô ironie des choses ! — le prince de la paix, de faire sonner les éperons de ses bottes et d'aiguiser son sabre sur nos têtes... ' Us sont partis... De.ces foyers si douloureusement vides, où pleurent en silence tant d'àmes, heureuses pourtant d'avoir dit, elles aussi : « Partez, c'est le devoir, c'est la patrie, et la patrie c'est tout » ; de ces foyers-là, aux soirs tristes et sans sommeil, dans la vision pénible des batailles où tant d'êtres chéris, demain peut-être seront couchés? enveloppés de leur grand linceul de gloire, il me semble qu'une grande prière doit monter suppliants vers le Christ,le Christ gardien invincible des causes saintes, Celui « dont lis deux bras cloués ont brisé tant [de fers » et qu'il doit nous entendre, Lui, Lui qu'unjour l'on condamna parce qu'il était leJuste et parce qu'en ce monde il fit prévaloir cette paix radieuse dont nous nous réclamons,o. D. Plusieurs bataillons allemands décimés Liège, 6, midi. . le deuxième corps de l'armée allemande a participé a une attaque de nuit centre les forts de de Liège. H traversa des zones minées qui, en éclatant tuèrent des bataillons entiers. Aucun des forts ne tomba entre les mains des allemands. Mille deux cents blessés "allemands ont été ramassés sur le champ de bataille. Kf^S-^ 6 officiers allemands déguisés tues âans le bureau du gouverneur militaire de iége, 6 Aujourd'hui, à 4 heures, do matin, six officiers allemands, déguisés en anglais, se sont introduits dans le bureau du gouverneur militaire de la position fortifiée de Liège. . ils furent reconnus et tués immédiatement. Le général Léman est sain et sauf (Havas) -*\xs^*^v- IMETIENTBOI! Bruxelles, jeudi, 12 h. 50. A 11 h. 30 du matin, Liège tient toujours ; ü n'y a pas en ce moment un seul allemand en armes à Liège, mais ils ont provoqué une panique. Ce matin^ une pointe de cavalerie a passé, mais elle a été désarmée. La commune de Bressoux a beaucoup souffert. Les habitants se réfugièrent dans Liège en annonçant Varrivée des Allemands, ce qui causa une panique épouvantable .On fit courir le bruit que Liège s'était rendu et que le général Léman était prisonnier, mais les clairons de la garde-civique allèrent 'crier partout que la ville n'est pas prise. Des Allemands avaient réussi à, pénétrer dansl'enceinte du fort de Fléron, mais il fut repris par nos troupes. Les français à la rescousse Bruxelles, 6 août. Le gouvernement français a pris toutes les mesures nécessaires pour coopérer à la défense de la Belgique. (II avas-R cuter )< *>^V7\/%A*- les Allemands avancent vers l'Ouest D'après certaines informations, les Allemands s'avancent vers l'Ouest. On signale des reconnaissances à Esneux, Villers-la-Tour et Havelange. * Nisch, le 2 : Le bombardement de Belgrade a recommencé par intervalles de 1 à' 6 h. du matin. Le tir fut dirigé sur la partie basse et le centre de la ville. Des maisons ont été endommagées. Unobusier. serbe opéra avec succès. On ajoute qu'un débarquement d'Autrichiens près de Gronel et de Graditsch a été énergiquement repoussé., La gnerre austro=serbe Vienne, 6. — L'artillerie de forteresse serbe installée sur les hauteurs environnantes essaie par un feu violent d'empêcher la navigation sur la Save et le Danube. Les troupes antriiehiennes ont ouvert le feu, endommageant la forteresse* La ville est épargnée. L'Ambassadeur d'Allemagne à Londres est rentré dans sonfays Londres, G. — L'ambassadeu:rs.d*kl-i lemagne à Londreis^est^Fetouimé dans la. matinée à Berlin. $ g Les parlemeirtaiFes nsoilisès^

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Dit item is een uitgave in de reeks Le rappel: journal politique, industriel, commercial et agricole behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Charleroi .

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