Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 07 Mei. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 07 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7s7hq3sv4j/
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JEUDI 7 MAI 1914 L'UNION PANS L'ACTION VINGTIEME ANNEE — Pi» IZT ABONNEMENTS Pour toute la Belgique Un an. fr. 9.00 Six mois ....... 4.00 Trois mois ...... 2.8S fir.-Duché de Luxemb. 20.00 Union postale. ..... 30.Q0 Directeur : Fernand NEURAY Edition (6 h. toir) Edition (10 h. soir] Edition (minuit) LE XXe SIÈCLE ANNONCES Annonces ordin., petite ligne . 0.49 Réclames (3* page), la ligue. 1.59 Faits divers corps • « » 4.00 Faits divers fin. « 4 » 3.00 Réparations judiciaires » 3.00 Nécrologie* • • • • » 2*00 Los annonces sont reçues au bureau du journal 5 centimes le numéro PB ■■■!»■ Mil 11 I II Wll IWM —<*3tsuï2in-i mtifw/iXii* ÎW &a»att2»wa«SB tumaimmBmteusaaamm ewasai wtsœœ&susj&tiB Téléphones 3B4S et 3&8Q Xnsta.iz.Â-a,ro oxania. in Ohristo Rédaction et Administration ; 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles E P I T 1 ON ¥ ; i Les ouvriers chrétiens et la politique Une mise an point Les réflexions que nous avons publiées, dans notre numéro du 19 avril, touchant un récent article de l'« Action Démocratique » sur les ouvriers chrétiens et la politique, ont provoqué, dans la oresse, de nombreux commentaires.Tandis que des journaux catholiques comme le «Bien Public» et le «Pays Wallon» approuvaient nos critiques, le «Peuple» et d'autres journaux de gauche prétendaient y trouver la preuve que nous sommes déçus de voir les syndicats chrétiens refuser de s'occuper de politique, et déclaraient que nous menacions les syndiqués chrétiens de leurs couper les vivres. Nous avons dit assez clairement, cependant, que nous sommes d'accord avec tous îes syndicalistes chrétiens pour estimer que les syndicats ne doivent pas s'occuper de politique et nous avons trop le respect des ouvriers pour les croire accessibles à des menaces dont l'hypothèse seule est inju rieuse à leur égard. Nous savons gré à nos amis de î't Action Démocratique» ae ne pas s'être laissé étourdir par des clameurs intéressées et de n'avoir pas prêté à nos conseils d'amis des mobiles aussi bas. Nous leur savons gré aussi des explications qu'ils nous ont données dans leur numéro du $$6 avril au sujet des anathèmes échevelés lancés par l'un des leurs contre les syndicalistes chrétiens qui oseraient s'occuper de politique. L'« Action Démocratique» reconnaît qu'il y avait dans ces anathèmes un « véhément ex-olusivisme » et ,tout en affirmant que leur auteur a foncièrement raison, met à ses généralisations et à ses exagérations une sourdine qui suffirait à montrer que nos critiques n'étaient pas sans quoique fondement. L'«Actiou Démocratique» ne parle plus de tr/ihison et de félonie, elle n'anathematise plus la politique en bloc, elle reconnaît explicitement qu'il y a pour le syndiqué chrétien d'autres intérêts sacrés que les intérêts syndicalistes, et enfin elle déclare que le syndicalisme chrétien est une organisation de classe, mais non point de lutte de classe. Nous persistons à croire que ces précisions n'étaient pas inutiles et nous nous félicitons de les avoir provoquées, tout on souhaitant qu'on en tire toutes les conclusions logiques. L'«Action Démocratique» déclare qu'en ce qui concerne leur avenir social, économique et professionnel, les syndiqués chrétiens n'ont garde de surévaluer l'importance du iacteur politique. Ils ont raison, mais ils auraient tort de le sous-éva-luer, et nous ne croyons pas inutile d'y insister à propos de la réponse faite par 1'«Action Démocratique» à la principale de nos objections : € Travailler «t vivre, écrit notre confrère, c'est tout un pour l'ensemble de l'humanité et avant tout pour le prolétariat. Aussi le syndicat est-il pour lui l'œuvre par excellence. Cela veut il dire qu'il puisse être indifférent à un syndiqué chrétien que la liberté religieuse*, la santé morale du pays, l'intégralité de son territoire soient ou ne soient pas assurées ? Ah ! vraiment, où pourrait-on prendre ça? Mais précisément, comment la liberté de croire et de professer la foi dans le Christ sera-t-elle un fait à l'atelier, à la mine, au chantier, ravagés trop souvent par le socialisme déicide, sinon par l'organisation militante des ouvriers chrétiens? Quant à la défense du territoire, ne sont-ce point les enfants du peuple qui seuls, jusqu'à une époque récente, en ont porté allègrement le fardeau? Au demeurant, les syndiqués chrétiens sont citoyens et électeurs; ils votent suivant leur oonscience; ils s'Inscrivent dans 'les associations politiques et ils participent même à la vie des clubs et des meetings, si telle est leur volonté. Mais, en ce qui concerne leur avenir social, économique et professionnel, ils n'ont garde de surévaluer l'importance du facteur politique ». Fort bien, mais tout cela, qu'on nous permette de le dire, manque un peu de perti-nence.Nous ne songeons pas à nier l'influence heureuse que doit exercer le syndicalisme chrétien sur toute notre vie sociale, mais nous persistons à croire qu'il ne peut suffire à tout. Les ouvriers chrétiens auront beau se faire respecter à l'usine et sur les# chantiers ; que deviendront la liberté religieuse et la santé morale du pays s'ils laissent une bande de Furnémont s'emparer du pouvoir? Ils auront beau envoyer tous leur fils à la caserne, que deviendra la défense nationale aux mains d'imitateurs des André et des Peiletan 1 C'est Fourtant à ouvrir la route à ces gens-^là que on travaillerait inconsciemment en inspirant aux ouvriers le dégoût de la nolitique et en leur donnant à croire que celle-ci se réduit en somme à des questions d'ambition ou d'intérêts. Quelle que doive être un jour la puissance du syndicaJisme, il ne dispensera jamais un pays d'un gouvernement fort. Or, sous un régime parlementaire, le gouvernement est fondé sur l'élection. Quoi qu'on en pense, c'est un fait, et il serait dangereux de ne pas en tenir compte. Nous ne voyons pas pourquoi un homme qui travaille à développer le mouvement syndicaliste n'aurait pas, autant qu'un simple syndiqué, le droit dxap-préciey avec la même clairvoyance le facteur politique que le facteur social. L'«Action Démocratique» termine en dé- , clarant que •« le syndicalisme chrétien ne re- | pousse aucun concours, qu'il lui soit même j apporté par d'autres classes sociales, voire par des hommes inféodés à une politique, à une condition toutefois : c'est que ce con- . cours soit radicalement désintéressé et que l'autonomie absolue du syndicalisme chrétien ( reste sauve». Que le syndicalisme chrétien garde jalousement son autonomie et qu'il n'accepte que des concours désintéressés, c'est parlait. Ce ( désintéressement ne peut cependant être de l'aveuglement,et on ne peut exiger des hom- < mes politiques qu'ils se placent au seul point ao vue syndical et qu'ils renoncent à s'assurer 1 Que leur concours va à des hommes qui res- i pectent les droits de toutes les classes consti- i fciant un pays et qui ne mettent pas en péril t Nous voulons croire que ce n'est pas cela ( Que leur demande 1'«Action Démocratique». c * 1 le xxe SIÈCLE cet lu pour sa RUBKIQUE spoutive ' comme pour ses informations ET SES ARTICLES POLITIQUES i T LITTERAIRE ( ■ inwwi'ifwaw Qhronique ; du Jour •— À LA CHAMBRE Mardi, très tard dans la soirée, la Chambre a voté ,en première lecture, les assurances sociales. Il fallait que ce fût fait mardi, dernier délai pour que la seconde lecture pût être faite vendredi. Samedi, expirent les mandats des députés de quatre provinces. 'Donc, coûte" que coûte, il fallait en finir mardi, si l'on voulait aboutir cette année. Et on a terminé ! Après quinze jours de discussion on avait voté huit articles du projet du gouvernement. Il en restait vingt-cinq, plus des votes réservés. Tout a été bâclé en une après-midi! Nous avons vu des députés se lever pour voter et se rasseoir précipitamment sur un signe d'un collègue ; d'autres ,avouant qu'ils ne savaient plus où l'on en était, refuser de prendre part au vote. Par moments, c'était : un vrai enaos. Et comment eût-on pu se retrouver da-r* ' cet amas de propositions extraites de quatre projets concurrents, amendées, sous-amen-dées, re-sous-amendées séance tenante, dix secondes avant le vote? En vérité, nul ne peut dire au juste ce qu'on a fait. Si l'on avait voté de confiance l'un des projets en présence, au moins saurait-on à quoi s'en tenir, au moins aurait-on bénéficié de l'étude consacrée à l'élaboration de ce projet. Mais on a, en quelques heures, modifié, taillé, amputé. L'œuvre législative de mardi n'est pas un édifice calculé par des architectes. C'est une juxtaposition d'idées généreuses, contestées, adoptées après une discussion insuffisante. Qu'on le remarque : nous ne nous élevons nullement contre la loi d'hier. Elle peut être j Donne... comme elle peut être inapplicable. Quand un ingénieur a calculé un pont, il en a établi les détails et l'ensemble. On ne i peut en modifier un pilier ou une arche sans s'exposer à voir l'ouvrage s'écrouler. Il se peut cependant qu'il ne s'écroule pas. Nous ne critiquons donc pas l'œuvre accom-j plie mardi. Toute critique serait prématurée. Mais nous déplorons qu'une réforme sociale d'aussi haute importance ait dû être bâclée de cette façon-là. La droite aurait pu, en conscience, exiger ; une autre méthode de travail. Elle ne l'a pas j voulu, parce que c'étaient les ouvriers qui ! auraient subi les conséquences du retard. Nous avons la conviction sincère que le spectacle de la discussion de mardi aura montré aux députés de l'opposition l'étendue de la faute qu'ils ont commise en sabotant, comme ils l'ont fait, le régime parlementaire. Si, pltis tard, l'application de la loi se trouve en butte à des difficultés dont les conséquences retomberont, en fin de compte, sur les ouvriers, ceux-ci n'auront de comptes à demander qu'aux saboteurs. LEURS DÉCOUVERTES M. Buyl vient d'adresser une question au ministre des finances. Par parenthèse, il ne lui demande aucun renseignement. Il essaie de faire un peu de politicaillerie aux frais de la princesse. Donc « en consultant à la Cour des Comptes » — évidemment — les clauses de l'emprunt belge récemment émis à Londres, M. Buyl a découvert une chose horrible. L'inté rêt de 3 p. c. prend cours à partir du 5 février sur la totalité du capital, tandis que la remise des fonds n'a été effectuée par les prêteurs qu'en plusieurs versements dont le dernier fut fait le 8 avril. Le gouvernement, conclut M. Buyl, a donc fait un « cadeau » à ses prêteurs anglais. Voici la réponse que s'est attirée l'explorateur de la Cour des Comptes : « L'emprunt 3 p. c., 4e série, cédé à des banques anglaises, porte intérêt à partir du 5 février 1914. La faculté accordée aux souscripteurs de se libérer par paiements échelonnés tout en jouissant de l'intérêt sur le capital entier est l'une des conditions conventionnelles. C'est une pratique constante lorsqu'il s'agit d'emprunts offerts en souscription publique. Pas plus que pour la commission, il n'y a là de « cadeau ». Et la chose est si peu anormale ou nouvelle que l'auteur de la question pourra lire, dans le prospectus officiel de l'émission par M. Graux, en 1883, d'un emprunt de 164,796,000 francs, à 4 p. c. : « Il résulte des dispositions qui précèdent : » 1° Que le souscripteur à l'emprunt jouira de l'intérêt de 4 p. c., à partir du 1er mai 1883, sur le capital entier, — soit 100 francs — tandis qu'il pourra se libérer du montant de sa souscription en versant seulement 19 fr. 28 c., le 21 mai 1883 et les 85 francs restants, en cinq termes échelonnés sur une période de ^ix-sept mois. » La bonification consentie de ce chef aux souscripteurs était alors de 2.53 p. c. ; pour l'emprunt à 3 p. c., 4° série, elle n'est que de 0.31/5 p. c. » e- OOC -, GENDARMOPHILE Le citoyen Berloz, le fougueux député socialiste, a posé au ministre de la guerre la question suivante : « L'Association des commerçants de Mor-lanwelz, d'accord avec l'administration communale .organise une cavalcade, chaque année, le jour du « Feureu ». Pour cette cavalcade. le concours de gendarmes à cheval était accordé. Cette année, on n'a plus eu le concours que de gendarmes à pied, ce qui a nui beaucoup à l'organisation du cortège. M. le ministre est-il disposé à donner satisfaction à l'Association des commerçants susdite en accordant comme auparavant pour la cavalcade de Morlanwelz, et comme il le fait pour La Louvière, lev concours de gendarmes à cheval? » Le ministre a répondu : < Les autorités de la gendarmerie responsables sont juges de décider si l'exécution des réquisitions de l'autorité en vue du maintien de l'ordre nécessitent l'emploi de gendarmes à cheval. » Mon Dieu ! qu'il aimo donc les gendarmes, ce socialiste! Et que les citoyens sont donc difficiles à contenter ! Quand ils voient passer un gendarme, ils lui crient : « Assassin ! » En toute occasion, interpellation, budget , voire débat scolaire, ils dénoncent la gendarmerie comme l'institution la plus répugnante du monde. A les en croire, la présence d'un >« Bonnot à poils » dans une réunion publique est une provocation.Et quand on ne leur envoie pas de gendarmes pour rehausser l'éclat de leurs fêtes, ou même quand on ne leur envoie « que » des gendarmes à pied, ils réclament et poursuivent le ministre de leurs questions. Il faudrait pourtant savoir ce qu'il leur faut, ne fût-ce que pour tirer nos « Bonnots à poils » de la perplexité ôù les a plongés la question du citoyen Berloz. Les funérailles d'un brave L'enterrement du commandant Cassarî Le cortège funèbre quittant ln gare du Nord Pour la réforme an* de l'électorat communal eî provisciî :>m- s .tu- »0« l°t, La commission des XXXI a cîôlm mercredi sa discussion générale ger pas qui La commission des XXXI a tenu une no l. velle réunion mercredi, sous la présidence ( le M. t' Kint de Roodenbeke. on- Le communiqué suivant a été rédigé de l'issue de ce.te réunion : i-nt, « Le président rend hommage à la mémoi) ire. de M. Wiener, décédé, et souhaite la bienv se nue à M. le comte Goolet d'Alviella, nomn les en son remplacement. >te, M. le baroû de Kerchove d'Exaerde cont ites nue son discours. Il examine l'influence qi peuvent exercer les diverses espèces de g. ranties dont on propose l'organisation -5 estime que la chose essentielle réside dat au un recrutement plus judicieux du corps élo ne toral- aje M. Verhaegen est d'avis que la solutic de "des divers problèmes qui sont soumis à * commission dépend de celle qui sera donn^ np. à la question de l'électorat. Il pense que 1( ;ra- classes ouvrières, tant socialistes qu'antis-M. cialistes, réclament la suppression du sd té fraS? plural et il exprime le sentiment qu' fé_ serait possible d'adopter un système qu sans consacrer le principe du S. U. pur < les s'mP^e> serait démocratique, tout en donnai je les garanties nécessaires. nj. M. Woeste conteste que les ouvriers ant a s' socialistes soient partisans du suffrage égal taire. L'orateur défend le vote plural conti (j0_ le reproche d'être un système empirique e fait remarquer que tous les régimes ont n< cessairement ce caractère. Quelle que soit d an- reste la valeur de ce système, il émet l'av: fc- qu'il ne peut être question de le modifier î iP" l'on ne trouve une formule qui lui soit sup( les rieure. es déclare close la diseussio gii générale, après avoir exprimé le remercie ue. ments de la commission au gouivernemen là pour les documents qu'il a fournis et au ministres à l'étranger qui ont produit de •lie rapports très intéressants sur la législatio le électorale des pays auprès des gouverne Lix, ments desquels ils sont accrédités, es, M. Dejace expose le résultat de l'exame auquel s'est livrée la sous-commission chai ' : gée de coordonner les diverses proposition gg déposées. m'_ MM. Destrée, Prins et Orban échangen sa leurs vues au sujet du classement des foi c f mules et de l'ordre à suivre dans la discus nq sion et le vote. ïpt Séance levée à midi. ii ourmee ievee a miai. e Bulletin politisa La discussion au Reickstag allemand, du budget de la guerre a fourni au mi-x nistre, le général von Falkenhe-ym, l'occasion de donner quelques explications . sur Vapplication de la nouvelle loi tnili-i- taire. Du chef de cette loi, on a cbmpté 60,000 hommes de -plus sous les drapeaux t et 38,000 conscrits n'ont pas été incorporés quoique remplissant toutes les condi-£ lions nécessaires. De plus un nombre important de recrues, mais dont le ministre ' n'a pas voulu indiquer le chiffre, ont été j versées dans la réserve.La situation parait t donc plus que satisfaisante. Mais reste à 5 trouver 3,000 officiers et 4,000 sous-off-ciers. Le ministre soutient que ces vides seront comblés d'ici au mois d'octobre, si j de nouveaux besoins ne se produisent pas. i Le ministre a été félicité chaleureusement s par les députés Erzberger, du Centre, et Bassermann. • — En Turquie, la convocation de la x Chambre des députés est fixée définitivement au jeudi 14 courant. Le gouveme-s ment a envoyé l'ordre par télégraphe aux , gouverneurs des vilayets d'aviser les dé- > putés. Halil bey, député de Castamouni, 3 président du conseil d'Etat, est seul can- > didat à la présidence de la Chambre. Nail - bey, sénateur et ancien ministre des finances, sera probablement nommé président j du Sénat. 3 — Le parlement roumain a adopté en - troisième lecture la loi concernant la revision de la Constitution. Il s'est ensuite r dissous. Les nouvelles élections commen-j ceront le 31 mai. La convocation de l'assemblée constituante est fix_ée au 18 juin. LES NOUVELLES 1 ta première communion du prince Chartes C'est Son Eminence le Cardinal Mercie qui viendra présider à la cérémonie de 1; première communion du prince Charles di G Belgique. La visite des souverains Oanoid Les sociétés do l'agglomération bruxellois* 3_ participeront officiellement à ln .réception d< [c nos hôtes royaux à l'hôtel de ville. Des délégations, accompagnées des ban ^ nières et drapeaux, feront la haie tout autom de la Grand'Place. Les adhésions doivent ,e être adressées au bureau permanent, 30, ru£ 3_ du Pélican. Salon Trlennaî y j L'ouverture du Salon Triennal de Bruxel c .les sera faite par le Roi samedi prochain, ù ,1 ! ^ heures. Seront seuls admis à cette céré->>nié 1 'S invités, les exposants et les mem-s bres de la presse avec les porteurs de cartes permanentes. Un vernissage réservé aux exposants et r, aux critiques d'art aura lieu vendredi 8 maij a dé 2 à 5 heures. e Le Salon promet, grâce aux importantes , : participations étrangères et aux envois bel-, ges, d:être une manifestation d'art du plus f. haut intérêt. i] Un élégant Tea-room buffet sera installé i dans la cour intérieure, transformée en jar-(' dm et qui constituera une annexe du com-l partiment des arts décoratifs dont l'ouverture est fixée au début de juin. Les Belges à l'étranger e Nous apprenons le prochain départ pour la t Perse de plusieurs fonctionnaires du departe-ment des finances qui seront chargés des „ fonctions d'inspecteur des douanes a Téhé-s ran, Astara, Tauris et Enzelis. Ce sont MM. j Hollevoet, Graux, Carlier et Orquevaux. Le gouyernement bulgare avait ouvert un concours international pour un projet de pa. -, lais royal à ériger à Sofia. Une soixantaine d'architectes de divers t pays et parmi eux des maîtres de l'architec-K ture, avaient participé à ce concours. C'est s un Bruxellois, M. Charles Francotte, qui i s'est classé premier dans cette épreuve. Ce - résultat fait grand honneur à notre architecture.! Le Grand Prix s C'est dimanche qu'il se disputera dans le cadre riant de l'hippodrome de Boitsfort. t L'allocation se monte, comme on sait, à . 50,000 francs. Les chevaux belges dont les . champions les plus autorisés seront "Varus et Cornimont.se rencontreront avec trois excellents poulains français Kummel, Le Bitto et . Rendez Vous. Cette journée du Grand Prix, qui est toujours une des réunions les plus élégantes de la saison, s'annonce comme un grand succès au point de vue sportif et mondain. Nos téléphones On a lancé la nouvelle que M. Segers, ministre des téléphones, allait autoriser les abonnés à renoncer au téléphone à toute époque, moyennant abandon d'un douzième du prix de l'abonnement. Renseignements pris, îa nouvelle est exacte. Une décision en ce sens a été prise par M. le ministre. A propos du canal de Charleroi M. de Jonghe d'Ardoye vient de poser à. M. le ministre des travaux publics les questions ci-après : « 1° A quel point en sont les négociations entamées entre le gouvernement et la province relatives à l'écoulement des eaux de la Senne par le canal de Charleroi? 2° A quel point terminus les travaux de transformation du canal de Charleroi arrive-rontvils à fin 1914'? 3° Où en sont les travaux du pont des Hospices et des Carabiniers 1 » Voici la réponse qu'il a reçue de M. Helle-putto : «1° Ainsi que je l'ai annoncé à la Chambre, j'ai écrit à la province de Brabant. Ma dépêche date du 25 mars dernier. 2° La mise à grande section du canal sera terminée à la fin de 1914 jusqu'à un point situé à 300 mètres en aval de l'écluse 4G établie sur le territoire de la commune de Clabecq. 3° Pont des Hospices. — La soumission dé- J posée par la Société anonyme des Usines, Forges et Fonderies de et à Haine-Saint-Pierre pour la construction du pont des Hospices est approuvée ; ladite firme recevra dans quelques jours l'ordre de mettre la main à l'œuvre. Pont des Carabiniers. — Le conseil des ponts et chaussées s'est prononcé au sujet du dispositif à adopter pour le nouveau pont des Carabiniers; des négociations seront entamées à bref délai avec la ville de Bruxelles et la commune de Molenbeek-Saint-Jean au sujet de la construction de cet ouvrage. » Les Réflexions DË M. ÛRAINDORG » (>ï«ï«) a La leçon de Seraing La mésaventure éprouvée, dimanche p< M. Hymans a dâ réjouir, au fond, ces lii vaux liégeois qu'il a été de bon ton, à g a ckc, de considérer comme dépourvus de se. politique à raison de leur répugnance à fai risette au socialisme. Ges messieurs n'ont / être fâchés de voir leur chef parlementai prendre contact avec Vélément dont il va tait naguère l[assagissement et recevoir c coup complet démenti. C'est en somr. la justification.de leur attitude. al. Hymans vit dans Vatviosplùre c Palais de la Nation. Pour viciée qu'elle so\ elle ne ressemble cependant pas à celle qu'i respire dans'une salle de meeting où les m neurs ont amené leurs fanatiques pour ii poser silence aux orateurs et remplir , salle d'appels à la haine et à la démagogi A la Chambre, M. Vandervelde est le ch> d'orchestre et les nécessités de la tactiqi lui commandent souvent de dissimuler bonnet phrygien et de mettre une sourdii aux accents de ^'Internationale ; des espri peu avertis s'y trompent et il faut de tem-j en temps dissiper les illusions si prompti à naître dans certains cerveaux. A Seraing, il n'en est pas de même. Ce, un jacobin de bas étage qui mène la danse pour cet homme aux conceptions te i ribl ment simplistes — il est cependant échevi de l'instruction publique •— Cocherill e. l'ennemi; il faut l'abattre; le capitaliste et un voleur, il faut lui faire rendre gorgi Tout le problème social? toute la scietu i politique soni là. L'action révolutionnait qui est la base et l'essence même du socic lisme éclate ainsi au grand jour, sans qv des formules polies en adoucissent les cor tours, et l'attitude scandaleuse de la fo-ui i ameutée met en pièces les raisonnement ' captieux des intellectuels qui veulent pet) à petit endormir les résistances au collet tivisme. Quelle leçon de faits pour celui qui v' pas voulu écouter le Journ?1 de Liège c qui bras dessus bras dessous avec M. Van dervelde a mené son parti à la déroute d 1912! ' Quelle leçon aussi pour ceux — y en a-i-i j encore? — qui croient à l'aptitude du part libéral à gouverner aujourd'hui le pay.s ! Ne pouvant se flatter d'obtenir la majorit absolue, le parti libéral devrait s'appuyé, sur l'extrême gauche puisqu'il s'est perdi dans la voie étroite de Vanticléricalisme C'est avec cette faction dont l 'écume a mous sé à Seraing qu il devrait passer traité pou, maintenir l'ordre, assurer. la défense natio nale, réaliser cette réforme fiscale dont i proclame l'urgence. C'est avec ces meneur, de bande — je les ai v-us de trop près pou i les (ménager — qu'il devrait compter ei abordant les problèmes complexes de la lé gislation économique et sociale. Cette situation sans issue dans laquelle se débat ce qui reste d'un grand parti historique est une preuve accablante du mai que peut causer une politrque à courtes vues. Il a manqué à la gauche des chefs au vrai sens du mot, c'est-à-dire des homme* joignant le caractère au talent. Ils auraient vu l7êcueil et auraient -osé le signaler. Cela montre — et les associations ne peuvent assez s'en persuader — qu'il ne suffit pas de pousser aux premières places les gloires locales dont la capacité se réduit à quelques connaissances de mathématique électorale; pour vivre et durer, un parti, comme une armée, doit se préoccuper sans cesse d'assurer le recrutement de son état major dans l'élite intellectuelle et morale du pays. C'est une condition sine qua non du succès et nous autres catholiques, nous devons pour notre part y veille) plus qui. jamais. Le divorce entre la politique active et l'élément dirigeant dans le domaine de la pensée et du travail est toujours fatal parce que les luttes de la vie publique réclament, en régime démocratique surtout. une sûreté de jugement, une expérience des hommes et une culture supérieure qu'on ne rencontre que rarement. La défection de l'élite dont. M. Fro.ncTc se plaignait cette année aurait dû être pour le parti libéral la preuve de l'erreur qu'il a. commise quand il a tout sacrifié à la lutte anticléricale. Des incidents comme ceux de Seraing montrent aux moins clairvoyants que le péril qui menace la prospérité du pays et l'ordre social .lui-même ne vient pas de droite. Je.me réjouis chaque fois que cette, vérité élémentaire se marque plus nettement. Graindorge. — EN ALBANIE j »o« *,( LES EPIROTES REFOULENT LES ALBA- b NAIS. — L'EXODE DES POPULATIONS EN GRECE. ^ Une bataille acharnée se poursuit autour r du monastère de Tsepo, que les bataillons ï sacrés de Delvino avaient occupé immédiatement après le retrait des troupes grecques, dont Pétat-major général y était installé. Le monastère a été repris par les Epirotes. Les mêmes bataillons sacrés avaient éga lement pris possession, le même jour, des fc villages de Houmalitza, Pitsan, Kolonia el ci Progonati (toutes ces localités sont situées le sur la ligne d'Argyrocastro). si Le gouvernement provisoire épirote se aj trouve actuellement au village de Yorgout- d sades, à 26 kilomètres au sud d'Argyrocastro, IV] sur la route de Janina. D'après les nouvelles q arrivées de ce quartier général, les troupes d épirotes ont repris, en infligeant des pertes ji considérables aux Albanais, la plupart des cl positions que la soudaine attaque albanaise q leur avait fait perdre; en particulier, du côté m de Premeti, la pqsition importante de Fra- E chari est aux mains des bataillons sacrés. 1' Les villages chrétiens de la région contestée fé continuent cependant à se vider de leurs ha- !e bitants. Vingt mille réfugiés se trouvent déjà en territoire hellène. D'autre part, on mande de Kastoria, dans v la Macédoine occidentale, qu'à la suite de la prise d'Erseka par les bataillons sacrés, î'avant-garde de l'armée épirote, qui opère dans la région de Korytza, a fait sa jonction avec les forces épirotes qui occupent la région de Leskoviki. Le correspondant de la «Politika» à Cetti- " gné télégraphie que les autorités monténé- grines viennent d'être informées de l'envoi, r( par les comités révolutionnaires siégeant à Scutari, d'un certain nombre d'émissaires ^ parmi les tribus albanaises habitant près de r; la frontière monténégrine. pn^UPWMiiifcArargiesMii pa ■■ mu ■ ■na»dJtaepwgMj| NOTES D'AUTRICHE - ><*»£)« r LA SOCIETE POUR LA PAIX ENTRE LES ^ NATIONALITES AUTRICHIENNES. 75° ANNIVERSAIRE OU DOCTEUR WILLMANN DE-CI, DE LA. ('! (De notre correspondant particulier) u' m Vienne, le 3 mai 1914. ns On vient de fonder à Vienne une société fc qui se propose d'aviser aux moyens d'établir line paix durable entre les diverses nationa-rt lités de la monarchie. Elle prétend arriver n à ce but en laissant de côté les moyens pure-lu ment politiques qui ont échoué jusqu'à pré-ne sent. Elle s'est donné un nom et s'appellera a Austria Nova ». Des personnalités du lu monde intellectuel, financier et commercial •t, forment cette société, qui aura une revue, m Elle dit avoir déjà reçu des adhésions en-e- thousiastes de tous les coins de l'Autriche. n Les dernières lignes d'un manifeste qu'elle la vient de publier donneront encore mieux aux e. lecteurs l'idée exacte des desseins que pour-ef suit cette ligue : « Toute nécessité est créa-tt trice, elle nous conduit à nous examiner et à le indiquer de nouveaux chemins. Des méthodes ie qui se sont montrées inopérantes et qui ne ts s^>nt plus en harmonie avec les nécessités 7S actuelles, doivent disparaître. Comprendre cela et vouloir le réaliser, exige du courage, mais plus encore de l'abnégation et un amour Sl envers son peuple et sa patrie, que rien ne ; limite. La Société pour le développement de e. la paix nationale en Autriche, dont la fonda-n tion était désirée depuis un demi-siècle par sf les représentants de toutes les écoles du s.j pays, dont l'œuvre de concorde est vivement p encouragée par notre empereur, s'engage, :e bannière déployée, dans la lice.La Stocieté '.e met à la place de la politique d'omnipotence f nationale l'entente organisatrice ; à la place rf du principe de lutte, l'effort concerté du rap-x_ prochement. » La Société « Austria Nova » ic entreprend une œuvre difficile. Mais c'est iv déjà un symptôme significatif qu'elle l'ait ■'f osé. Son labeu»' mérite l'attention des publi-. cistes et des diplomates. / On célébrait, ces jours-ci, à Vienne, le i- 75e anniversaire de 1a naissance du docteur r Otto Willmann, dont l'autorité comme pédagogue et philosophe est universellement re-7 connue. « Son « Histoire de l'Idéalisme », dit i le grand écrivain autrichien Richard von . Kralik, est en même temps le plus suggestif é système de philosophie. U est fidèle aux deux r grands devoirsde l'historien : il vivifie ce L qui mérite de vivro> il enterre ce qui ne mérite que la mort. » Mais Willmann est sur-. tout célèbre comme pédagogue. Il a exposé r se3 idées dans uir livre publié il y a trente-deux ans et qu'il intitula : « La didactique j comme doctrine éducative dans ses rapports 1 avec les recherches sociales et avec l'his-toire de l'éducation ». Ajoutons que Will-l mann, dont les travaux ont été loués avec enthousiasme par des penseurs protestants comme Eucken, le penseur bien connu, pro-, fesseur à l'Université d'Iéna, et par Mans-bach, est un catholique de pensée et d'action, r II est né en Allemagne, mais ayant vécu et . enseigné en Autriche la plus grande partie de sa vie, ce pays le réclame à juste titre , comme l'une de ses gloires. •«* A deux reprises, le Iteichsratli a dû être fermé à cause de l'obstruction des Tchèques. Depuis novembre il n'a pu avoir qu'une dizaine de séances. On ne prévoit pas encore l'époque où il pourra être ouvert. Les Tchèques se déclarent bien prêts à s'entendre avec les chefs des autres partis, mais ils mettent comme condition préalable que le gouvernement leur accordera ce qu'ils demandent, c'est-à-dire un landtag. »« Sans landtag, pas de reichsrath ». Or ni le gouvernement ni les autres partis ne veulent leur faire cette concession. *** Le deuxième congrès des femmes catholiques autrichiennes vient de se clôturer à Vienne, Il a duré quatre jours. A la dernière session on n'a pas compté moins de deux mille auditricès, appartenant à toutes les classes de la société et à tous les pays de la monarchie. Voici les questions les plus intéressantes et les plus utiles qu'on y a traitées: l'éducation et la formation intellectuelle des jeunes filles ; la formation religieuse ; la création de maisons particulières pour la sauvegarde de la vertu ; la préservation des jeunes servantes, l'établissement, pour elles, d'un salaire minimum et d'une limite d'âge fixés par la loi ; la nécessité de cours pratiques de sociologie dans leur éducation; la création de crèches dans les fabriques où travaillent des ouvrières ; le contrat de louage; l'éducation ménagère ; la protection des enfants et du travail à domicile ; la réforme du théâtre moderne par la femme ; l'apostolat laïque près des malades et des mourants ; les œuvres ca-téchistiques...Ce cougrès, comme on le voit, a fait bonne besogne, et concrète. ' Karl WALLINGEPu Echos parlementaires *- lOl LES JUBILÉS PARLEMENTAIRES Nos amis de la droite de la Chambre ont • fêté l'autre soir deux jubilaires ayant vingt-i cinq années de vie parlementaire, MM. Hel-i leputte et Raemdonck. Toute la droite avait souscrit et 70 convives ont pris part aux : agapes, que présidait M. Schoîlaert. Au nom - du parti catholique, il a félicité les élus de . Maeseyckxet de Saint-Nicolas et M. de Bro-; queville s'est associé à l'éloge simple, cor-; dial, mais très affectueux du président. Les ; jubilaires ont répondu, faisant l'éloge des • chefs qui ont conduit le pays de telle façon ; qu'eux-mêmes a'ont connu, pendant leur i mandat prolongé, que des jours de victoire. Et c'est aux nouveaux succès du -24 mai que l'on a bu la dernière coupe pétillante. La • fête fut charmante et tous en ont emporté - le meilleur souvenir. ' Le temps qu'il fait... et celui qu'il fera Le baromètre descend sur l'Irlande, les Cor-nouailles, la Bretagne, le sud-ouest de la France, la presqu'île ibérique, fn Méditerranée et la Russie ; il monte sur le reste de l'Eu-' robe. 1 Le vent est modéré ou assez fort, d'entre sud-5 'uiest et ouest, sur nos contrées, où la tempé- - rature est comprise entre 7° et 12°5. _ Prévisions ; Vent YV., modéré; pluie.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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