Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 15 April. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 04 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/q814m92j2d/
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22 ANNÉE.— Série nouvelle.—N* 52! Y a «ma««A * Samedi 15 Avril 1916 SÉDACTION & ADMINISTRATION H tu m dt ls Boires -•»- LE HAVRE Téléphone : Le Havre n' 14,05 Eireeteur : FEPMD OTRÀ* Tentes tes communications concernai la rédaction doivent être adressets s8u,,rue de la Bourse, Le Havre. LONDOÎV) OFFICE: g1, Panton Street LE XXe SIÈCLE ABONNEMENTS Franc* 2 fr. 50 par njpls. » 7 fr. BO par trlmestf» AnglaUrr*... ■ 3 oh. O «s. par » 7sh.f<.par trlmesf i Nstras MT*- »<». 'S®' *« > . 9 rr. d par trlmastr* PUBUCITÉ ytcfressor â rAdministration dujdurnàf au Havre ou à Londres Annonces 4' pagot Ofr. 40 la ligna Patltes annonces*0 Aagej 0fr.30Ullfln# £e# petites annonces sont également reçaes à La Société Européene ds Publicité, /o, rae delà Victoire, Paris, qui en a te monopole pour l'aris. Quotidien beige paraissent au Havre 'I..1 La nation italienne Qui ne s'est, trompé, avant la guerre, si le peuple italien, comme d'ailleurs sur peuple français ? Nous les regardions à tri vers le prisme de nos opinions et de w passions politiques, non pas tels qu'i étaient mais tels çue notre éducation notre position de partisans nous les fa soient voir. Je connais un ardent libre pe: seur qui n'est pas encore revenu d'avo vu, à Paris, les églises pleines de mond Saus doute croyait-il, à force d'a\oir lu liiort du parti-prêtre d'ans ses journaux, qi lesj curés disaient la messe, à Paris, 'levai ifes bancs misérablement peuplés de qu< ques vieilles dévotes. Ne faisons pas 1 fiers, nous autres catholiques. Pour des rf sons contraires, nous n'étions pas loin < partager cette opinion. Sur la foi d'écrivaii do talent, mais plus soucieux de la coule' que de l'exactitude et, pour tout dire en i riMt, apocalypticpies, nous nous imaginioi que le catholicisme avait été arraché d luis quarts de la France. 0 mirage* de littérature et de la politique ! Il est aujou d'hui évident pour tout le monde que c'est pas cela du tout. A droite et ,h gaiuche, l'Italie a pâti et 1 wéfieië d'une erreur analogue, produite p. des cs.uses identiques. Comment les cath Mques doivent juger la conquête des Eta (pontificaux et. la prise de Rome, il seri siEperdu de le dire. L'Eglise l'a dit ass «ïair ei «ssez haut. Quand le fait accom: nem-t-Û couvert par la prescription ? Ces! Elle qutl appartient d'en décider, au n nient qu'elle choisira, et à Elle seule. N'e pèche que le fait-de 1871 a contribué à f mer, sur le royaume d'Italie, sa politiq: ses ressources, et son avenir, l'opinion d' grand nombre de gens. Croyants ou croyants, tous les Belges ont lé plus gra intérêt, selon nous, à se guérir de lei erreurs et à voir tel qu'il est, chacun g dant d'ailleurs toutes «es positions, grand royaume avec qui plus que jams au:lendemain de la guerre, devront cpmp toutes les nations de l'Europe.; Nous ave appris, hélas ! à nos dépens, que les il eions coûtent cher dans le domaine de politique extérieure. * a & Il v a encore de par la monde des hoftur convaincus que la monarchie de-Sav s'est emparée de Rome principalement, non uniquement pour faire enrager le Pe — qu'on nous passe le mot — et pour bur lier l'Eglise. Erreur profonde. L'hostilité la Papauté et à 1 Eglise n'a jamais été, au bien de la part, du gouvernement que peuplé italien, que l'accident d'un jour. M •pli ne sait que les idées survivent dans masses à l'événement où elles ont pris lt source, telles les vibrations d'un étang i core animé à la surface quand la pierre < les a. provoquées repose tout au fond l'eau. ? Jusqu'aux environs de 1S90, l'Ite s'est, débattue dans une crise financière d' le cours de.la rente et la rareté de l'or att târeilt longtemps l'acuité. Son année a 'tes malheurs en Abyssinie. Il a fallu l'é de siège et une sanglante, guerre de r pour avoir raison, il y a une vingtaine d' nées, dos émeutes ouvrières de Milan. Df totale la péninsule, l'influence des Loi maçonniques, si elle, a beaucoup décru, loin d'ître négligeable. Il sien faut cep «kint que l'Italie soit la terre classique de Révolution,-de l'anticléricalisme furibond de. la monnaie .de papier. Il s'en faut surt «pie l'armée italienne soit incapable de s porter un autre feu que celui du bivou Il se peut que certains de ces traits ai correspondu, dans tel ou tel moment, l'histoire italienne, à une réalité. Mais 1 groupement n'en produit pas moins _ i image déformée et caricaturale. L'Italie 1915 n'était plus, dans tous les cas, l'Iti de 1S05. et elle l'a bien prouvé. Elle s jetée noblement dans une guerre no' avec son cœur et avec son cerveau, non à'l'étourdie, mais en mesurant froidem lés risques et le profit, le moral aussi b que l'autre, et son armée se bat magnifiq ment. ■ L'Italie n'est pas plus essentiellement Paradis de l'anticléricalisme et de la rév< tion sociale qu'elle n'est uniquement le p dés ruines et, des voyages de noces. C raie nation énergique, laborieuse, .inti gente, idéaliste et positive à la fois ; c un vieux peuple qui recommence à v et qui peut ee promettre les plus 1 te destinées. Au point., do vue religic c'est une nation ù la fois catholique et a cléricale, comme la France, mais non d-même manière ni dans la même mesi plus catholique dans le peuple, moins d les classes élevées, et infiniment m' anticléricale, incapable dans tous les ca< sacrifier le plus petit intérêt national i Satisfaction d'une passion ou d'une ranc religieuse. S'il apprend jamais qu il y a catholiques pratiquants dans la famille ribaldi, mon ami de tout à l'heure cr que la fin du monde approche « * * Ajoutons que ce peuple prolifique et L rie-us — car c'est encore une légende qu paresse inguérissable de tous les Italien: Midi — a la chance d'avoir en ce mon des hommes d'Etat et un gouverner di:ines de lui. Sous les espèces du ( qu.isme, de la tyrannie des factions p! mentaires et de la corruption électoral a payé son tribut, il faut le reconnaître, maladies engendrées sous toutes les taries par la démocratie politique. ? quelle admirable réaction, au mois de 1915 d'un organisme resté sain et vi, îeux contre un régime qui ne l'avait ent qu'à la surface ! Entre des politiciens qu songeaient qu'au prc-Ot immédiat et un versement soucieux de l'honneur et de 1' nir du pays ; entre les maquignons finrecchio et les hommes d'Etat résolus pas manquer l'occasion d'accomplir f les destinées de leur pays, le peuple i choisir. Autant que l'influence d'une dont on ne louera, jamais trop l'intelli^en le patriotisme, l'instinct de ce qu'exige: la sécurité, l'honneur et la grandeur c Patrie, que la victoire des empires cent aurait condamnée à la servitude, a d miné son choix. D'avoir ainsi posé et. rt ce problème redoutable sera, devant tcjii'e, l'éternel honneur du roi, du goi np.ment et du peuple italiens. Que ne peut-o attendre d'une nation dont les chefs, dar un pareil moment, ont pu voir si clair i agir avec tant de décision ! Dans un article publié ici même quelqu< semaines avant l'entrée do l'Italie dans r guerre, Dominico Russo reprochait à e Quadruple Entente et à ses missionnain !_ en Italie de méconnaître, tout au moins ( IS sous-évaluer l'idéalisme italien »>t de fit [3 parler d'avantages matériels et de conquêti ;l à un peuple seosible par dessus tout ai j. inspirations de l'honneur. « Demandez-! j. donc de se battre pour délivrer la B< ir gique, écrivait notre ami ; vous le décid , rez plus facilement qu'en lui offrant Triest lu le Trentin, et même l'Asie-Mineure ». D (e observations personnelles ont confirmé, nos yeux, cette opinion, que nous trouvioi ,j. aloi-s un peu paradoxale et entachée d'op î9 niisnie. Il n'y a peut-être pas de peuple da: 1. Ic monde dont la mentalité constitue un pl le parfait dosage d'idéa.lf&me et de rialisrr 13 d'intelligence pratitfue et de chevalerie. Im ,r ginez Don Quichotte et Sancho fondus en > Q seul homme. Jacques Bainville a bien sa ls ce . phénomène, dont il a magistraleme ,s exposé l'origine et les caractères, et c'est nos yeux le mérite capital de son beau Iivi r- * i * * :c Apr'ès dix mois d'une guerre radié, sa glainte, el qui a.si fort aggravé pour les \ ®" tit.es gens les conditions de la vie, d lr Belges sont tous les jours l'objet, de la p« o- d'hommes du peuple et de modestes bon 's geois, des manifestations les plus te chantes. Un religieux de nos a,mis pleur, d'émotion en nous racontant qu'un pe 'Il bourgeois de Rome lui baisa les de , à mains, un beau dimanche d'hiver, sous ic- tonnelle d'une auberge de la Campagna, m- apprenant qu'il.avait un Belge devant 1 :>r" ii Ali ! la Belgique, padre ! nous ne vo ie, aimerons jamais assez n ! Quel contrai un entre ce respect pour le malheur et les gr !n_ siers sarcasmes des gentilhommes de Ce n*' gne et de Berlin ! ,r5 Ce religieux, qui habite Rome dep' ir" bientôt \ingt ans, n'a pas attendu la guei ™ pour comprendre et pour aimer le peu- ,is italien. Je me so:uvien5 qu'au début de tec guerre oe Lybie, comme un esprit supe "J15 ciel raillait e"n sa présence ce qu'il appel Y" le grossissement dans la presse de ces co la bats contre quelques bédouins et la disp portion qu'il affectait de voir entre l'am tion de la jeune Italie et ses moyens de r lisation — je me souviens que mon a.mi es pondit à ce sceptique : «Comme vous c nie naissez mal ce grand peuple ! vous voudi si- qu'il fût a.dwlte avant le temps ! un peu po nntience ; attendez qu'il ait purgé l'hy a), ttièqne d'un passai misérable : s'il vous s- à hie un' peu maigre dans un vêtement enc trop large pour son état actuel, ce •! du qu'un moment à passer. » lis Les événements ont dbnné raison à ne les ami. La grandie guerre, qui rendra à l'Us ,ur ses frontières naturelles, a déjà achevé ! •n- unité morale. A force d'intelligence 't fui courage, elle a déchiré l'image, caricatm de et fausse, que trop d'étrangers se faisa.i lie de la nation italienne. Elle a révélé ,nt monde la figure véritable d'un gi-and peu; es. enthousiaste et. fin, généreux et prati ] cu ardent et. discipliné, encore, inachevé « lai doute, mais capable des plus grandes cî o res et avec qui la. Belgique délivrée trouv in", autant d'honneur que de profit à viveo ns étroite amitié. les Foriiand NEURA1 est -D- — I pîjtiactiotis ?88tifica!« m- ac. "»oa snt de Nous lisons dans une corresponds îur romaine de la « Croix » du 13 avril : me de « Les « Acta Apostolicso Sedis u da: 'lie du 3 avril, qui paraissent ce soir, cont est cent, notamment, les nominations sui\ 'le, tes, qui seront justement remarquées vis M^r Paulin Ladeuze, recteur magnifi ent de l'Université de Louvain, a été nom ien par bref apostolique, le 19 février, plue- notaire apostolique. Cette nomination joute aux actes antérieurs du Souvei le Pontife concernant la restauration de 'lu- niversité de Louvain : tout le monde iys le concours que S. S. Benoit XV dont! est la reconstitution de la bibliothèque d< îlli- célèbre Université. 'est M. Charles Dessain, bourgmestre"8e r; Unes, a été pareillement, le 19 février, n iau- mé commandeur de Saint-Grégoire 'ux, Grand et M. François Dessain, de ! nti- chidiocèse de Malines, chevalier de Sa î la Grégoire. ire, ans a signaler, en outre, parmi les nom. 'ins tions de camériers secrets sumuméra i rte celle de Mgr Charles Sentroul, profesi 1 l'"1 à l'Université de Saint-Paul au Br une ftfgj. Senta-oul est prêtre brugeois et rtes ries disciples les plus estimés du card Go- Mercier à l'Institut supérieur de phil ''ra phie de Louvain. _ Nos listes ibo- m 0 riu de prisonnier lent a îcnV iiwvwwwvw aci- lr'®" L'accueil fait par le public à la liste " prisonniers que nous avons publiée nag aux a montré qu'elle répondait à un bes lati- pour satisfaire au désir qui nous a clé tais primé, nous nous sommes vus oblige: mai p-océàer à im. tirage supplémentaire. Sjou- tiraqé est naturellement réduit et nous amê gageons tous ceux qui désirent se proc i ne cette brochure à nous envoyer sans re go»-' leur :: iscrintion. av,Ç" RapMlons qu'elle contient, en V/i> ,,u QUA V PAGES DE GRAND FOU M i ne lis noms de' quelques milliers de miliu nu" belges dont les noms sont compris c l su ia iciirc A et DE'/' inclus. élite Celte brochure, d'un si grand intérêt ce et ics Belges, sera expédiée franco contre lient voi de 0 fr. 60, en un bon postal, au bui e la du journal, rue de la Bourse, 28 ter -aux Havre. Mer- Pour l'Angleterre, lei demandes doi soin Être adressées à notre London Office, his- panton Street (Leicester Square) Loti iver- s. W. Joindre 6 pence. • la campagne allemande ,s contre i le Cardinal jfocier 'p il SCRUPULES TARDIF3 n DE LA rt KODLNISCHE VOLKSZEITONG J- e- La " Koelnische Volkezeitimg » s'émp e, tardivement du caractère qu'a pris en Ail :s magne la campagne contre le cardinal Me à cier. îs Dans son numéro du. 4 avril, le journal c ti- tholique de Cologne proteste contre les pr is cédés du « Kladerradatch n qfui dans st is dernier numéro a publié une gravure insi c, tonte pour le cardinal Mercier. Von Bissii a- y est représenté montrant le doigt d'un ges m rrenaçant au cardinal Mercier, lequel app si ralt sous la forma d'un oiseau habillé en év nt que. Il y a une légende à ce dessin : « 1 à l'on parle allemand, comprends-tu, m< ■e. vieux ! » La « Kooînische Volkszeitung n écrit à n_ propos : 16 a Ls (t Kladerradatsch « croit-il, parce q le cardinal joue un rôle germanophobe i grettable, pouvoir se dépouiller de toute i serve, alors que comme homme et conn Prince de l'Eglise, il y a encore droit aujoi 'n d'hui ? Même comme caricature politique, 'lt pareilles grossièretés ne sont pas de mise ux ne sont pas Je moins du monde justifié! 'a Combien cette caricature ssms esprit se d en lingue de la. politesse dont, a fait preuve I'£ "• njUiistration allemande en Belgique da cette affaire .certainement très délicate et c >'e demande d'être traitée avec précautions D!i' Même au point de vue patriotique, ces ir l0' nœuvras anti-ôatholiquEs doivent être cr quées de la manière la plus catégorique. « tls Te . Cette émotion est tardive et elle surpre île un peu' de la part du journal qui s'est m< la tré jusqu'ici un'des pius passionnés con ■fi- le cardinal Mercier. La « Koelnische Vol! ait zeitung » n'a. pas hésité à faire chorus m- les autres feuilles allemsaides pour accu; ro- l'archevèqiie de Malines d'espionnage. ! bi- jourd'hiii, elle s'aperçoit que le vent qu'f éa- a semé risque de déchaîner une tempête ci ié- tre les catholiques allemands et elle c m- ca'sse-côu. ' iez Personne ne se. méprendra sur les seï oc mente qui lui dictent ce respect soudain ' po- vers l'illustre prélat qu'elle a attaqué si \ m- limment Dre Si c'est l'amour de la vérité el îe-resp est du Sacré-CMlègo qui inspirent ls. « Koelr ohe Volkszeitung », qu'elle réclame donc '•o l'administration allemande,dont c-lle loua ilie politesse (!) des éclaircissements sur ce >rn meux complot qui devait donner définit! de ment au primat de Belgique figure de i aie minel. • V ne, Il K3 peut y avoir déni poids "'s et déni mesures ses .ira ci Le conseil de guerre, siégeatnt à Marsei a condamné le négociant en grains Aug ' tin Garoin, de Saint-Rémy, à 10,000 frai d'amende, à dix ans de privation de —< droits civils et civiques et aux frais env l'Etat, pour avoir accepté un contrat de c tare de l'Allemand Herb, habitant Napl l Très bien ! Mais, dès lors, comment -pourrait-il e permis à des citoyens des pays alliés songer à lier, directement ou indirecteme Qce des négociations avec des citoyens des p: ennemis pour préparer un accord quelc que en vue de la paix ? ges De telles négociations ne sont-elles j en". cent fois plus criminelles que des négoe 'an. tions en vue de nouer des contrats comm ciaux avec des citoyens ennemis ? que "•* — g LES FAITS DU J0U airi j »*->« sait j A la suite de Vélection d'un libéral <k c à Je canton de Luxembourg-Campagne^ : la gauche a regagné sa majorité à la Cham luxembourgeoise. Ma- iwwwvv.f :™ 1 ^s fonctionnaires de \Xashlngton ( •ar déclaré qu'il y aura à bref délai une note int- Etats-Unis à l'Allemagne, et que cette ti sera la dernière. Il g a eu ces fours-ci une panique à ina- Bourse de New-York parce qu'on avait 1res pandu le bruit que le comte Bernstorff n 1€.Jr crait ses passeports d'ici à une quinza jsil. de fours. ['Hï% AAAAAAAA/WVV inal Tout danger de crise parait conjuré oso" Portugal. Le président de la Républiqu, réalisé l'accord au suict de l'amnistie. dit en outre que le gouvernement s'ad.p dra.it plusieurs ministres sans portefev clwisis parmi les notables de tous les par /VWVVWWVW S Les journaux allemands annoncent qu accord vient d'àtre signé entre l'Allema; et lu Roumanie pour l'envoi dans ce p de produits manufacturés en échange céréales roumaines, des /wvwwvww uère oin. Les relations du gouvernement grec a ex- les puissances de l'Entente sont telles , ; de les bruits concernant une crise minisléri Ce prennent de la consistance. en- On prévoit ■ la formation d'un eabi urer Rhallys qui curait l'appui du Parlement tard luel. tWWVIWlvVI On signale l'intention formelle du g AT, < reniement espagnol de demander des lires ranties à l'Allemagne pour la sécurité nlre ses navires marchands ; si ces garan ne sont pas accordées, des représailles oour ront exercées sur les navires allema . réfugiés dans les ports espagnols. wvtvw -vvw Le Le démembrement de la Chine se pc vent suit avec régluarité : on annonce auu 21, d'hui que la province de Kiang-Si — fa*î don siéme 'depuis trois jours — vient à son t ' de proclamer son indépendance. ! Notes d'Espagne -♦**- LES ELECTIONS POUR LES CORTES. — LA MORT DE GRANADOS. — L'ESPAGNE PLUS NEUTRE QUE JAMAIS (Correspondance particulière du XXe Siècle! Les élections sont terminées. Comme on devait s'y attendre grâce au système d'<c in-•i sincérité » et de « caciqudsme n que j'ai si souvent expliqué aux lecteurs de ce journal, it ss'stème qui falsifie la politique espagnole, f- le même pays qui donnait, il y a deux ans, r- à M, Date èt aux conservateurs, 100 voix cKe majorité, donne aujourd'hui à leurs ad-ï- vorsaires libéraux au pouvoir par un sim-o- pie jeu du guignol parlementaire^ une majo-»n rité d'autant de voix. Cela durera jusqu'au 11 jour où la conscience civique de ce peuple g s'éveillera et exigera de ses maîtres la te loyauté et le dévouement à la chose publi-a- qrue,. Les dernières élections ont pourtant é; dépassé, en maquignonnage, en tromperie ci et e.n pression, ce qu'on avait vu au para m vant. En vertu d'une loi électorale élaboré* par Mauira, le gouvernement a fait élire ee sa-ns lutte quatre-vingts de ses candidat»' qui. n'avaient, pas d'opposants. Les gens honnêtes de tous les partis commencent i 12 comprendre que c'est trop abuser de la pa ]e" tien-ce des citoyens espagnols... Qui rnettn c„ le fer rouge sur la Plaie ? " » ir- 4 * iif- La disparition de 1 illustre musicien Gra et nados dans le. torpillage da Sussex pro ;s vwjue en Espagne une vive émotion. Iji is- .meeting monstre a. eu lieu à Barcelone, d* d- mandant au gouvernement d'obtenir d> ns l'Allemagïie réparation complète pour ce [ui assassinât qui prive la Catalogne d'une d, 1 '■ ses ptus pures gloires. On annonce d'autre 0.- meetings à Madrid et. ailleurs. Au directeu cfe[ l"Metieo de BSrcélone. qui' faisait pal au président du clonseil de l'indignation pre n(j du-ite par la mort, en do telles etreons )n. tances, du compositeur Granados, et de 1 ,.;1 néoessité d'une amende honorable de la pal ;s" de l'Allemagne, M. Romanonès a répondu ■eC «Dès que j'ai eu conaissance de l'évént ;f.;- ment, j'ai pris les mesures réclamées pa lU". cette affaire ; et comme premier effet, j't \'j. reçu des nouvelles qui me permettent d e! m. pérer la plus entière satisfaction. » rie Le Libéral, uin des plus importants Joui naux madrilènes, après avoir reproduit 1 iti- déclaration du chef du gouvernement, ra.j m- pela "ue 70 navires allemands, .représentai io- un i mage net de près de 170,000 tonne! s«nt ancrés dans les ports espagnols, t jci cjàtito . « Pourquoi rïinvtteriotis-Wms po ,i=- courtoisement les capitaines de_ ces baieav de à sortir de nos ports ? u la » (a- & v,,. Ne croyez pas, cependant, que l'Espagr ;ri. soit sur le point d'abandonner*la neutralit Elle en est plus loin aujourd'hui qu'elle n e a jamais été. Voici co que disait M. de R1 msnonès, dans un discours-programme. : veille des élections : « Les nations eur péennes qui restent, neutres cont très pe nombreuses ; il y a beaucoup de symptômi qui font prénoir'que bientôt elles seront ei core moins nombreuses. C'est justement 2e, cette heure qu il importe de faanquillis< JSI l'opinion de tous en proclamant que l'E 10S pagne restera neutre parce, que c'est £ 3es ferme, très ferme volonté. Aucune suggc »rs tion, pour forte qu'elle soit, ne sera capab ul- de ,a faire changer (l'altitude et de dire es. lion- Voilà l'affirmation capitale que toi les candidats de notre parti doivent foi: tr0 devant leurs électeurs. Dans l'ordre inle je «wlional, le triomphe do notre parti sigr nt fie le maintien strict, rigoureux et loyal t lys la politique de neutralité... » 11 serait int Dn- vessam-t de comparer ces déclarations av ce que le comte de Romanonès écrivait lv )a3 même, au début de la guerre, dans sf ;ia- organe le Diario Universa!, sous le titre 1 er. Neutralités qui tuent. Il y déclarait qi l'intérêt majeur de l'Espagne était, sans e ti'er directement dans le conflit, d'aider'i toute manière les puissances alliées. Cel Rnui signe ces lignes, parlant à M. de Rom nonès, l'a entendiu se plaindre amèreme •les complaisances de M. Dato pour les ge manophiles et des embarras que les aut rités conservatrices créaient à la prop , gande franco-belge.... Il est vrai qu'alo kre M. le Comte était dans l'opposition et tr vailia.ii ti reprendre le pouvoir. La questi< est de savoir de quel profit sera pour l'E oagne cette neutralité « stricte » qiue chaq mt groupe belligérant interprète comme étn les dirigée contre lui. Qui vivra verra. oie Luis MOLINA. rl DEUX FAITS INTERESSAIT Çc~ wvwvwwta t ne Ils sont extraits d'une lettre écrite d'i camo allemand à un de nos amis par i prisonnier belge qui n'a certes pas son au à « écrire pour les journaux n. 3 a Ce prisonnier donne à notre ami des no On velles du Borinage d'où ils sont originair nn- tous deux : tout va bien, écrit-il, et on y ille des œufs et du pain blanc à suffisnric tis. Et après avoir ainsi rassuré notre ai sur la situation des siens, ce prisonnier .supplie de lui envoyer du pain... i Les opérations me vec DEUX ATTAQUES ALLEMANDES SONT REPOUSSÉES 9lie Petrograd, 13 avril. -- Après une pr nef paration d'artillerie, les Allemands ont j ac_ taqué la tête de pont d'Ikskul ; ils ont d repoussé^.. Dans les régions de Jacobstadt et Dvinsk, duel d'artillerie. ou- A l'ouest du lac Narôiche, le 12 avril. go- 18 heures, après une violente canonnne de fie petits groupes ennemis, puis de fort lies folonnes ont avancé sur le village de Ce se- rihsa. Notre artillerie les a dispersés. COPUHIPÊ BEL5E ur- ur- 13 avril. — Faible activité d'artillerie s rot- différents points du front, à part sur Di mr muide et Reminghen, où le bombardement été plus vif. VAINES MANŒUVRES Un journal allemand essaie de faire croir que le goumettent btljs est tlïisê quant à l'avenir du pays La Frankfurter Zeitung <îu 1er avril 101 ( n° 91, a publié l'entrefilet suivant : La Belgique et ïe pacte de Londres a Berne, 31 mars. — D'après des nouvel!) parvenues à la « Neue Zurcher Zeitung « de correspondant d'Amsterdam, le président de ministres de BroquoviUe, le ministre de la Ju tice Carton de AViart, le ministre des Coloni-Benkin ont voté dans le conseil de= ministr réuni au Havre pour prendre une décision dé nitive en ce cjui concerne l'adhésion de la B< gique au Pacte de Londres excluant toute pa. séparée, pour l'adhésion, tandis que le min: tre des Affaires E&rnngiôrep baron Beyens tous les autres ministres ont voté contre l'adt sion qui est, par conséquent-, rejetée » Ivbus sommes en mesure 'd'affirmer cpi n'y a pas un mot de vrai (Tans œtte no-•velle manifestation de la maîîiopjréiw&S ail mandé. , , ^ . Toutes les décisions an sujet mi pacte/ Londres ont toujours été prises L'UN. N'IMITÉ* DES MINISTRES BELGES. Cette nouvelle manœuvre i>our im oroire cpie les Belges sont divisés sur ' question de" l'avenir de leur pays, n'au: „1,.^ ,1- r.n.viîiP nmo IÛQ QïT^roes uu -i * , U produstiss dss sises?,s et des muaitieBS eaFraas t ' «Oit LES 100 INQUIETENT L'ALLEMAGN i t La presse allemande s'est émue d appri : dre que la France a construit des pièces :- gros calibre capables de lutter avec ses j r Aussi s'empresse-t-elle de déclarer que ! i dustrie française ne peut construire de t canons. Cette affirmation ridicule est évidemm' -. déstirée à rassurer l'opinion alleman a C'est pour atteindre le mfime but que i. n Dernières nouvelles de Munich n du it avril ont affirmé que le béton des forter ! ses allemandes résisterait mieux que ■t béton des forteresses belges aux projecti .,. de ê?i-os calibre. X Ol ELfttîES CHIFFRES IVTEKESSAN' Voici quelques chiffres intéressants i e les progrès immenses, insoupçonnés. >. cdmpiis par I'indust-rio militaire dans la n hri--ation des ctmons et des munitions )- guerre. a Le chiffre 1 représentant la product > au 1" août-191-i, \-oici comment se me u rent les propres accomplis : « 1. Febricé'^n des obus vides de 75. 1- chiffre 1 dev nt 14 au 15 mai 1915, ctrj A le 1er février 1910. T 2. Fabrication des obus vides des calib 5- supérieurs. Le chiffre 1 passe è 8.5 le 15 i a 1915, à 44.1 le 1" février 1916. s- 3. Fabrication des canons de 75. Le c fe fre 1 pas=e h 11 le 15 mai 1915, à 23 le c- février 191G. is 4. Fabrication des canons lourds. Le c o fre 1 passe à 23 également le 1" févi r- 1916. i- On cite, comme exemnle de ce quo t le l'initiative nrivée. le cas d'un construct é- d'automobiles nui a créé de_ toutes piè ;c en trois mois une nsine aui fabrique j- jourd'hui mille shrapne.Us de 75 à l'hei m q » L'ACTION l ITALIENN r- °- VIOLENTES ATTAQUES REPOUSSl a* PETITi; AVANCE ITALIENNE rs a- Rome, 13 avril. — Goniimandement su] >n me. — Dans la vallée de Pedro, pendan s- nuit du 11 avril, l'ennemi, par une alla le . iolente et soudaine réussit à faire irrupl it dans des parties de tranchées occupées nous sur le Monte Sperone. Dans la soirée du 12, après une inte préparation d'artillerie, nos troupes con — attaquant ont réussi, après une lutte acl Q née, à. reconquérir les positions perdues h réaliser de nouveaux progrès sur les elles du Monte Sperone. m Dans la vallée de Sugana, petites et 1 in lant.es rencontres où notre infanterie a ] jé à l'ennemi 22 prisonniers, dont deux < ciers. u- Dans le bassin de Plezzo, pendant la r es du 12 avril, nos adversaires ont assailli a force nos positions de Rnvnilaz. Arrêtés < e bord par notre feu, ils furent ensuite c ni tre-attagués et repoussés. Une tentative le l'ennemi pour faire irruption sur le «fa\ cek, a subi le même sort.. Sur le Carso, nos hardis détacheme s'approchèrent des tranchées ennemies, " tre Sa.n Michele et San Martino et les b U leversèrent à l'aide de bombes et de tu d'explosifs. Sur tout le front, les duels d'artillerie c tinuent. Notre tir a provoqué de nouvel et graves dommages dans le fort de Lui na et causé des incendies dans la zone é- Caldonazzo. Notre canonnade a dispersé it- outre une colonne ennemie dans la va ■té de Lepenja (Isonzo). ae NOUVELLES BRÈVE h e »o et—~ f9 — L'écrivain, dramaturge et journal: américain Richard Harding Davis, vi _ de mourir à l'âge de cinquante:deux a 11 avait été correspondant de guerre « New-York Herald ». — Le général français Trumelet-Fali grand officier de la Légion d'honneur, i.r mort avant-hier des suites do ses bles x- res, reçues aux batailles de l'Yser. N-i a de Ritche, il fit, comme simple scidat guerre de 1870. La restauration de la Belgique, î le discours de M. Asquith .1 1. J. 61 ta JM BùèB âitBUlâUUC La presse allemande consacre des cern* mentaires au discours de M. Asquith. Nous i, signalerons en premier lieu les lignes suivantes de la « Gazette de Vas s », qui concernent plus particulièrement la promesse des Alliés de restaurer notre pays. Le joar-îs nal boche veut bien que le mot « Belgique n n revienne sur les cartes géographiques d'où s les armées allemandes se vantent sans s- doute de l'avoir effacé; mais rien de plus ; îs . h Si M. Asquith entend par le rétabli?' il- sement de la Belgique le retour de cette ex-!J- pression géographique daDs la carte d'Eii; i* râpe, on pourrait sans doute causer sur ce s- point; s'il veut considérer comme non ave-E-- nu tout co qui s'est passé jusnu'ici è cause de la Belgique, toute conversation ultérieure serait inutile. Avec la meilleur*: il bonne voloryté du monde, la possibilité i- d'une entente raisonnable ne semble .pas ». être rapprochée. Il faut donc one_ le combat! continue jusqu'à co que les Alliés arrivent le â la raison. » . ^ On insiste beaucoup, outra-Rhin, sur la "e phrase où M. Asquith a dit qu'i!_ ne voulaiti la pas la dostructidn de la vie nationale alle-•a inande, et l'on se demande à quels engagements cela pourrait correspondre. Le _ » Berliner Ta-geblatt » écrit : n M. Asquith assure nu'il ne veut ni mutiler., ni 'détruire la vie nationale allemande; cependant, 'e chauvinisme français contd-nue A rêver de la prise complète de 1 Alsa-'• ce-Lorraine. Une telle'mutilation du soi national ne signifie-t-elle pas aussi une mutilation de notre vie nationale? » E De son côté, la n Gazette de Voss n pro-:n- teste contre l'idée de priver l'Allemagne da de recommencer 'son mauvais coup : ?Û . ' . in- n Co mie VT.-Asqnit.il a dit sur les nécessités tés de .détruire le militarisme allemand ne riifnifie pas autre chose que la destruction :nt de la force militaire prussienne. On veut le. bien nous laisser rêver après qu'en nous ranjlna imnnissflnfs. » 8 cs. — • >- ,,c's A FQS l*nTP.ïïPS *T ABONNIS D'ANGIETERRE ac- NOUS PRIONS NOS LECTEURS E"? fa,- ABONNÉS D'ANGLETERRE D'EXCUSES cie LE RETARD INVOLONTAIRE QUE POUR-RAIT SUBIR CES ÎOURS-CI L'ARRIVEE su. DE NOS JOURNAUX. S DEVANT VERDUN hii- ——»o« 1" s Epmseoe£t ou relai ? eut Vendredi, 14 avril, eur C.ES Le ralentissement des attaques elle> alî* msmdes devant Verdun est diversement in-lrc- terprété. D'aucuns estiment que l'ennemi s'opiniâ- tnera et qu'un, nouvel assaut général se prmîuira avant, qu'il soit longtemps. D'autres croient à l'épuisement de l'ennemi Equi, par ailleurs, se rendrait enfin oompta de la vanité de ses efforts tant pour s emparer do la forteresse que pour détruire l'armée française qui la défend Maintenant. en effet, que le front de défense, au ■ES nord de Verdun, est rectiligne ou presque, ta difficulté d'y mordre est beaucoup plus grande qu'au début, puisque des attaques >rê- eonceritriques et des feux de flancs ne peu- - la vent plus être mis en œuvre. pe Les Français ont incontestablement subi ton des pertes rîevant Verdun, mais celles d» par l'ennemi doivent être Incomparablement .plus élevées, d'autant que les Allemands nse ont mis en ligne, dès la première heure de Ire- bataille, d'importants effectifs, alors qu'il iar- est (je notoriété que les Français avaient i r-« relativement peu de monde dans leurs ro- avant-lignes. Aux pertes nettes de l'ennemi, — morts, blessés, prisonniers, — il faut, 'ni- du reste, ajiiiter les régiments qui, ayant ir's fourni des efforts renouvelés, ont leur fores >m- nerveuse épuisée. L'expérience de la guerre prouve que les régiments qui ont donné uit dans une bataille doivent être mis an repos-en plusieurs semaines, voire plusieurs mois, l'a- avant de pouvoir fournir un nouvel effort. °n- C'est un excellent prélude pour l'offensive de alliée des prochains mois. — Paul c or- nts en- BERLIN EST DE PLUS EN PLUS ou- RÉSERVÉ ke3. Le communiqué allemand d'hier se contente de dire que les conditions de visibilité on^ très défectueuses ont empêché toute action mx d'avoir lieu sur le front de Verdun. Ainsi :®r" imagine-t-il une excuse naturelle *, une ac- de ealmiie due sans doute plus sûrement à la ,e,n nécessité où se sont trouvés nos ennemis lêe de réroarer leurs terribles pertes et de reconstituer ou de remplacer leurs unitéc — épuisée* et démoralisées. r»S LES FRANÇAIS FONT BES PRISONNIERS La Gazette de Francfort public une recîi« sic floatinn qni montre eue les Français font ent beaucoup de prisonniers devant Verdun, ns. encore que les comin«cliquas «îe Paris ne du croient pas devoir en parler. « Les journaux anglais et français avaient 'er, prétendu, écrit la Gazette de Francfort, que est Je-s quatre régiments allemands 108, 112,1W su- : et lo3 avaient laissé entre les moins des itif Français respectivement 403, 234, 91 et 19(5 la Prisonniers, alors que les listes offici«lj£§ dts-gertes allemandes n'en parlaient pas.

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