Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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14 oktober 1915
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s.n. 1915, 14 Oktober. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 05 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/2f7jq0tp9m/
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21e ANNÉE. — Série nouvelle - N° 35' Le numéro : 10 Centimes (5 SSHTIMSS Mi FMMT)/ lanilî 1i Afffttwft 1QÎ5 RÉDACTION & administration Si»' nu de la Bourse — LE HAYRB Téléphone: Le Havre n* 14,05 Directeur : FER8MD sISïRA? yexiles tes communications concernan la rédaction doivent être adressées »8u',rue de la Bourse, Le Havre. LONDON OFFICE: 21,Panton Street (Leicester Square) s. vv. LE XXe SIÉCLE aa^iiJjWBa—mu m .... —r=s» ABONNEMENTS Fraru}© 2 fr. 50 par mots. » 7 fr. 50 par trtmeata* Angtotorr©.... 2 sh. G d. par mois. • .... 7slt.Bd. par trim©a*w# HoH&nd».. 1.25 florin par mois. » ..3.75 flor. partrimostpa. Autre s paya.. 3 f r. » par mois. » .. 9 fr. » par triroj&8t«i PUBLICITÉ S'adr&sser à l'Administration du /ournal aj Havre ou à Londres Annonças 4' page? Ofr. 40 la tlqne Petitesarnionoes^ pags: 0fr.30»angn« Les petites annonces sont êgalemen reçues à la Société Etiropéenn* de pauh-cité, 1o, ruede la Wbctoire, Paris, qui «n , _ ' Otfiofeicltefl-i hefei® rarai^siîii au illiW is oSiâtiiaent dos gens du Csntre Le spectre du kulturkampf se dresse déjà sur IWllemagm —0— AVEUX DE THEOLOGIENS et d'EVÈQUE! Les gens du Centre ont beau crâner : 1 spectre du nouveau Kulturkampf qui les al ;tend après la guerre, si l'Allemagne es vaincue et surtout peut-être si elle triom phait, hante'leurs imaginations et leur arra che l'aveu de leurs craintes. Nous lisons dans une dépêche de Lugan à un journal catholique italien, 1' « Italia > du 9 octobre 1915, l'analyse d'un article qu 'le Dr Rosenberg vient de publier dans 1 .revue « Theologie und Glaube », en vue d réfuter l'ouvrage « La guerre allemande 6 .le catholicisme ». ' Cet article respire le pessimisme. Pou «"en bien rendra compte, il ne faut pas ou ■blier que l'auteur écrit sous un régime d censure sévère et qu'il est, par conséquenl obligé de donner à l'expression de sa per sée des tournures spéciales qui suggérer l'idée plutôt qu'elles ne l'énoncent et l'affii ■ment-, tout en ayant l'annarence de la cor tèstcr Le Dr Rosenberg, par exemple, déclare e bon Allemand : « On peut dire qu'un « Ku turkampf » semblable à celui des années qv suivirent 18^0, il n'y en aura pas. » Ce aui signifie, en bon français, qu'il es certain qu'il y en aura un autre. Et, en effet, il ajoute tout de suite : «( ... Mais que le travail de défense so superflu pour le catholicisme allemand, cel n'est pas vraisemblable. » Pour être dit sous forme négative et s bylline, cela n'en est pas moins assez clan ■flomme prédiction. Le Dr Rosenberg s en presse d'ailleurs d'expliquer ses appréhei sions : « On ns tient pas suffisamment compt <le la tendance séparatiste (emtre l'Eglise < l'Etat) qui donnera, le premier coup à 1 éco' confessioTbnel'le. Sans doute, « l'intérêt d rornbeslantisme orthodoxe » est diirectemei D]\)0sé> à cette tendance; mais après 1 'gueirre, la représentation de cet intérêt ir plutôt en s'affaiblissant. Il ne faurt pas pc dire de vue que d'ans l'Eglise évang)elK[u prussienne, se Livront d'Après combats ei t.rf l'orthodoxie eî le libéralisme, combat qui, après la guerre, peu-vent se prolonge j^voo une certaine violence. A présent, 1 libéralisme ecclésiasticjiue lutte pour la s< para.tion de l'Erse et dê l'Etat., et paru lies orthodoxes qui considèrent les^ pasteuj libéraux dans ^mrs chaires de l'Egilise n; ti->na,le commo des moineaux dans d'es n>i( Jd-1 hirondelle, il y en a beaucoup à qui r irépwiine pas l'idée, de la séparation c 3'Eglise et de l'Etat, parce qu'ils ne cannai; •sent pas d'autres m ayons pour se proiég( efficaceme-jiit comlre eu-x... Partout il n aujourd'hui une tendance à aller à la. ret contre du. socialisme, à cause des sacrifice de. guerre que celui-ci a réellement faits. J rtve, longuement caressé pur Naumani consistant dans la formation d'un bloc allar de Basserman à Bebel peut être prochain! trient réalisé au Landtag de Pi'usse si, a dernier momf*nt, le socialisme ne le ren pas impossible par quelique saut de côt< Alors la séparation de l'Eglise e«t d"e' l'Eite sera immédiatement à l'ordre du jour. » Est-ce éditant? Le Dr Rosenbergî avou donc : t° Que le danger du Kulturkampf est un réa-lité très j>roche ; 2° Que le Centre ne pourrait rien pou empêaher la formation d'un bloc libéral' sode<làlsto contre les Eglises orthodoxes ^ptrobestajifte e fôïi thoLLqiue ; 3° Que, dans celte aventure, la meilleur carte du Centre est dans sa solidarité d'iir iérèt avec... l'Eglise évangélique (proies tante) prussienne ; 4° Qu'il tient énormément, pour TEglis catholique allemande, à sa condition ac Ui«el«le d'Eglise nationale. Avis a>u.\- cabholiiques neutres quii vor ■draien)t bailler aux catholiques belges le bo biùiet de r internationalisme catholique de p}ans du Centre, pour les obliger en cons tionce à donner à ceux-ci quitus de leur infamies envers la Belgique ! Avis aux catholiques avuuglés qui persis tmt à voir d'ans la « forte siituation pol: tique-» du catholicisme allemand le plu solide soutien des in'téréts généavaux du ca Lholicisme dans le monde ! Ce n'est pas tout. Le Dr Rosenberg démontre l'existeno k de certaines tendances antireligieuses e BintToa.tiholÂques que la guerre a momenta nément fait rentrer dans l'ombre, mais qu réapparaîtront tout de suite après .1; guerre ». Ah ! sans doute, le Dr Rosenber-gi affirm-que, si le Kulturkampf devait se répéter tes cathodiques allemands. admiraWemen o.r/?anisés. sauraient, se défendre. Mais oi vient de voir plus haut qrieï!^ est la vrai situation où ils seraient- placés à ce poin de vue : il faudrait s'allier aux protestant; orthodoxes, partager leur sort, soutenir _ i; lutilie contre 'e blô«' reconstitué avec l'aidi d'i'rt socialisme nationalisé et ayant çaffné éperons part ^ouvememefntal... Ce ne serait plus tout ; Tait la même chose qu'au temps" de Wimdt horst et de Bismarck, lorsqu'au milieu d Vâmiettemeint politique, le <".en;t(re réussi à se faire l'arbitre des grou|>es parlemon /taiires. « Les catholiques, conclut le Dr Rosen ber^i ne a^ireiLt pas un Kulturkampf, mai ..î :t ■ cii.iunerui ptw non plus, en avan fait l'expérience. » Fanfare de commande, cette conclusion LSI ta lia ranpeT'e opix>r?unément rpie l'ê vêque de Rotneniburt?, M'gr Keppler, pro Qwoa, le 11 octobre 1914, un discours plu: pessimiste : « Nous ne savons pas., .Jcri vait-ôn. si la guerre actuelle ne sera pas suj vie d"unA autre guerre qui, pour le peupli aiVemaud. sera^iussi importante que cplle-ci TJn conflit intellectuel peut parfait'emen s'ouvrir, d.ont l'objet, sera de décider si l'At leiuarjne sera ou non un Etat chrétien. » Cet évêque voit clair, mais n'ose diri toute sa pensée : en réalité, ce conflit es déjà ouvert et en partie résolu. Les princi f pes dont l'Allemagne s'inspire dans cette guerre comme d'une règle de conduite ne , sont déjà plus des principes chré tiens, et les catholiques allemands, caporalisés, les approuvent, « de crainte de se suie Mer comme parti gouvernemental », ainsi qme l'écrivail récemment le correspondant colonais du « Tijd ». D'après certaines informations;, le cardinal Piffl, archevêque de Vienne, aurait fait aussi, à Meidling, un discoozrs également * pessimiste. Le correspondant de 1' « Italxa » ajoute : J « Pour se borner à l'Allemagne, on est , d'accord pour dire que La guerre sera, suivie ' d'une vague de démocratie qui réunira libe-l raux et socialistes révisionnistes. » D C'est la vérité même. Mais de quel nom, alors, qualifier le cynisme des gens du Centre qui osertft venir offrir aux catholiques belges leur .odieuse * collaboration pour les aider, censément, à v défendre, en Belgique. l'Egl?se catholique. ' quand eux-mêmes n'auront, sans double pas 1 assez de toutes leurs forces pour .la déîen-i dre dans leur ^ore o^vs contre les èie- ments d'antichristiànisme quils ont contn-, bué à y déchaîner ?V- ^ p ! a m DE sos mmte... »0« * Le (Dessinateur hollandais Louis I fcamaec-kers a reproduit dernfèremenvt, dan-. & lie Te-. leqraaf, le dessin qu'illustre la' réclame bien connue ^u disque Untel : un cfe'en éJcoutant j au pavillon d'un gramophone et refïQiMiais-sant <( la voix de' son maître ». Mais le spi-i ri.tueil caricaturiste avait transforme1 la réclame en une charge mordante contre I em-bochée/ Vlaamsche Stem, sous les traits d'un hargneux fox coiffé d'un cas* que a i ^ La rédaction de la Vlaamsche Sterti s est immédiatement reconnue et a déposé ] )iamte contre le Telegraa{. - C'est ce journal même qui nous lapprena. : " On en s ck îa §u\m l te tacite» " A »o« 1 UNE LETTRE EPATANTE DES BORDS i DE L'YSER 1 EHe est, vraiment épatante et l'Académie e française i.'ous apiproavera, nous en som- . me? sûrs, d'appliquer à ce tollet plein Je s bonne humeur et de crâne rie le vocable r qu'elle a reconnu jadis ^officiellement. p Peut-être même y trouverait-elle matière i. à adopter et définir oe mot d' séroisme» :i qu'un de nos soldats proposait 1 autre jour s au « Courrier de l'Armée ». L- Voi-ci, en tout cas, l'Épitre fleurant bon s la tranchée : • e tt A.vez-vous <3eux naiiiutes & perdre ® Oui ? Eh i>ic-xi oyez ce que je dis. Nous voilà dans la semaine de loffen- r sdve, absolument comme autrefois « la -e- a marne'à 0.95 » chez -le boahe Tietz. Oui. - mais tes communiqués ne parlemt que des •' Français et des Anglais ; les Belges, c'esi e comme s'ils n'existaionst pas. Qu cst-ce • les Belges y f bien doivent se dire les t « neutres ». Pour prouver à ces lascars .de neutres qu'on est encore toujours vivarv i fautait voir à quiUter les tranchées dé 1 l'Yser. : Ben j'y songe justement ! Parait que les ' petits Serbes y vont être de front et de flanc et pour amortir le choc V es alliés songent à , leur envoyer du renfort ft-amçais et anglais Ht pourquoi pas du renfoirt belge ?... C'est fîi«i d'aujourd'hui qu'on svvit qu'an est 'iw 3 rabat-col. Mais quand mênie. Y ferait boff d'udler t8jper au bord du Danuibe. ï>eri y f-e-^ rait une této le père Français, et surtout - Willy qui croirait pas ses oreilles. i Ben oui ! les petits belges .qjui défendenl l'Yser sont, tnut désignés do défendre H' ' Danube. Et ce serait un orl de souiage-" meut, car voilà-t-il 'pas* que je me ba^de " déjà douze mois aux tranchées du secteur de k« 3" D. A., la station de Pervyse, les 5 K- petrolketol » d'Oostkezjke et la. plage, al-" Ter-retour. C'est pas rigoîo, q^uoi. Toujours le même "horizon, le même crénau, le mè-" me petit poste, c'est rasaïit cette vie-là. 1 Et si la paperasseirie ne ^permet pas d'.vl-5 1er ou secours de nos alliés les Serbes, ben " qu'on taipc donc un bo=i coup, là-bas à 3 Ypres et à Loos, avec des n égimenrts belges comme réserve. Pçesque rïen qu'on ferait " des boude et des ®aut3 ponar totriwsr ftnale-' ment dans le Tournaisis Et de quel en-5 train ! ce serait, autre chose que de remplir " de f sacs avec la terre * lu k Veurneam- bo»'i' «, ce qui fait dire ! aux soldats fia, mands : Ons Vcderlmd in zalqies gevuld Aan den Yser gezet i Onder ivalrr n^sleli i 1s verre gezet ! Ah ! ces sacrés boches ! S'-i seulement ils i voulaient accepter la bataille, retourner à . la guerre de campagne, tpnv^tque |rien te ! danse I Ces boches-là ils, non is ont aguerri i et habitués au fou, on nïest jrflus des bleus. ; C'est, uni également l'histoire des renfort* t et réserves. Autrefois (Vfest-à-<$ire il y a un i an), dès qu'on les battait f;n retraite, iln i ;i boulaient avec des réserves que c'était à i nous de faire demi-tour. Om leur crevait dix benhommes et tant de suite il en ve-i: naît cent à la place. Fini à présent ce jeu-i là. Et puis on. es<t mieux moi.wé qa'au éom- - mencement de la g'i'etTe. Je- me résume ; ■ \ vcz-vous besoin quoique pai-t où la bata^V ' le fait rage de rerjfort, de faroupes d'éiîte, ■ ben demandez des hommes de bonn<> volonté chez les ipetits bolgos. On en a. assez ■ soupé de la guerre de l.ranclifes. ljâut pas 1 laisser rwiHor <i Rosalie ». .\ loi je connais ; des .hommes tfiii ont. ajouté à. la litanie de tous les Saints l'invocation : çles tranchées • de l'Yser. du travail nocturne, et do la ' guerre de to-arnehées, délivrez-nous Sei-' gneur ! Ben, je vous-serre la phali^nge, et si vous voulez faire lire la présent^ à ceusses qui ; sont au haut, tout, haïut d'£ l'édhelle hiérar-! cl ique, « ad libitum », feulement faut pas , révéler mon vrai nom. u Maintenant que nos lecteurs et nous y avons pris notre plavsir, nous -passons oet-i te lettre au haut de l'échelle hiérarchique ■ porar que ceux -qui y sont prçamem aussi . chacun pour leur grade... CONTRE LES FiTill 1SL0ES )>ou Leur cinquantième victime : L'ABBÉ FOULON, VICAIRE DE STADEN — o— On ne l'avait pas fait (igurer jusqu'ici au nombre des victimes de la cruauté allemand®, par scrupule, en attendant de connaître. exacttemcmit les circonstances dans lesqi'/elles le vicaire de Staden avait trouvé la ryioirt. Ifcs Aiemamds prétendaient quei l'abbé Femion avait été fusiBé comme franc-tireur, "Vais la Commission d'enquête bel^s vient 'Tétablir que c'est là un mensonge et une clloiraiie de pKis. Voici\ en effet, les faits dont elle a acquis 1a preuve : L'abbé Foulon, avec quelques habitants de Staden. se trouvait caché dans la cave de sa maison, sise derrière l'église. Tout à coup, des soldats vinrent frapper à la porte ; l'abbé alla ouvrir ; les Alle-'ma.ndls Tui demandèrent s'il y avait des soldats français dans la maison. A peine Ta-bbé Foulon avait-il répondu négativement qu'il était fusillé à bout portant ! Le coup fait, on fit, sortir de la cave les malheureux qui s'y trouvaient et çui, suc-cessivemcnt., furent fusillés, sans autre forme de procès. Heureusement, trois habitants purent échapper. Ma îs ils assistèrent a.u massacre et sont, aujourd'hui des témoins qjue tes Allemands ne pourront supprimer.Cela fait dune cinquante prêtres belges mis à mort sans la moindre excuse par la soldatesque allomonCSt. Les attestation» <)« cardinal Miereier et de M<rr Hoylen, d ni l'encmète autr'clhierane a établi la. complète véracité, n'affirment pas seulement l'innocence de ces martyrs ; elles accusent en outre les soldats allemands d'avoir maltraité odiieiusemen 1. plus de deux cents urètres belges. Quelle dérision de voir, dans de tcJ'es conditions, défendre la cause aile mande au nom de l'intérêt cafholïque ! fj un seul soldat de Joffrc s'était permis i l'églardi d'u'n prêtre catholique la centiè^i partie des traitements infligés à la plu'^ar des prêtres qui onit été en rapports ave>c le, soldais a'iemands. on aurait enten«5n,. cric à l'imptété française, l'antictéric alism 1 fTE-nçais. | Aux armées allemandes, au cor /yaire. ' i semble que tout soit permis et orj d1-ooWtolrqties d'es pays neutres se • jran6' ïfsî des s®! iments exprimée par 1er VfaotjwvKm,, belges à l'égard dés avocate It d^V^n Wtices (tes geins qui ont livré Belgique a F®!ta'-e et au massacre. ° H Ces sentiments, nous le ^ trn„VOI1.s d rableimant erjpwmés à i ^ dfis d beau livre consacré par no4re amd' sSmvill U^C"meS dans le pays d fn"î'é de^Sai^-Hadeli-n. près d'Olne 1111 " souvenir du servie soten.ix-1 ;fe In,ndi 9 nnvembr€ , u 1 ' es et dlemé», à la mémoire des vie ÎÎÏÎSL'iuifta5sawe dcs 5 et 6 août dans 1 paroit ea de Saint-Hadelin ». y lisait les nonns d'es soixante "pei sonr^vs tuées par les traînes allema'nde lorsy die leur entrée dan*; le village. « A la' suite de cette publication, racont ■/. Somville, M. le -curé de Sainx-Hadelii d'ut comparaître à. la Komman<iantur d ! Lie.ge, où on lui demanda s'il en était l'an toir. il répondit, affitmativement. Puis oi interrogea : t — Ou 'a-vez-vous voulu dire par « mas sacre »? — Alaiis tuerie générale, sans doute. . ^ous n'avez i>as voulu dire « bouche ■ ne » ? je "n'ai -pas eu cette intention boucherie ' ^ Iyj:|î''rra^ ("ire <ïue ce fut uni ! • — Y,°;u,? voulu, exprimer votre haini pour 1 AM'amagne. Pas du tout, j'ai voulu honorer les morts ef^ faire prier pour eux. \ >us n'éprouvez donc pas de haine ? 1 si : les coupa-blés doivent inspirei r.4^ofonde piti'é ; mais les actes, les pro-™ * font naître la hame. Comment en Sf"r *' l-il autrement, après ce nue nous m Ans vu ? m - v comment en serait-il autrement et /.ï'bre <\ q.ueliques pharisiens de s'en iimdft-fjner. les cnthoMqu^s belles pensent tous c comme le curé de Saint-Hadelin et ils sont bien décriés à agir comme i-ls pensent. LËSFAITSDU J0DR »0<( On apprend de Luxembourg la mort de M. le ministre d'Etat Eyschen, qui dirigeait le gouvernement du Grand-Duché de Lu-. xembouvfj depuis vingt-six ans. Ces jours derniers, V/. Eyschen était allé ; à Berne peur négocier le ravitaillement de son pays. C'est lui qui rédigea, en août 1914, la- protestation adressée par le gouvernement grand-ducal à toutes les puissances au sujet de la violation de son pays p&r les armées allemandes, mais de divers côtés on lui reprocha une certaine complaisance pour les envahisseurs. Jl servit de truchement à ' VAttèma/fne, à lu fin de l'année 19-14, pour les négociations que nos ennemis voxilaieirt. amorcer afin de conclure une paix prématurée.VWWWMI Le président Wilson vient dp prononcer un discours qui est vivement commenté aux Etats-Unis. Tout en affirmant sa, foi dan - y loyalisme des citoyens naturalisés. M. Wilson a déclaré qu'on avait de façon trop ' générale l'impression qu'un très grand nombre de ces citoyens ne professent pas une affection assez sérieuse pour l'idéal américain. Jl a conclu en ces termes ; « Je comtate que- d'un côté, il y a ceux qui pensent d'abord à d'autres pays,, et. de. Vautre, ceux qui.sont en tout temps fidèles avant tout à l''Amérique. ' » Beaucoup de journaux américains sifflaient dans ce discours un avertissement'aux Germano-Américains. LA SITUATION i MILITAIRE — -non- Mercredi 13 octobre, midi. Nous croyons bien que Ferdinand de Bulgarie, qui a des lettres à défaut de loyauté,» a lu et médité l'histoire de Philippe de Macédoine, et qu'il s'applique à renouveler la1 politique de violence et de ruse de ce Prince, digne de celui de Machiavel. Tandis qu'il; amusait les ambassadeurs d'Athènes {par i des flatteries et des promesses, — « blan-j ditiis et pollicitationibus », — Philippe de; Macédoine faisait franchir les monts par son armée et. allumait le feu de la guerre j jusqu'au rivage de l'Adriatique, se promettant par après d'atteindre la Thrace, -le Pont-Euxin, l'Euphrate, l'Inde, l'Egypte. Ce qu'il n'accomplit point lui-môme, son fils Alexandre s'en chargea Ce que Ferdinand de Bulgarie estime dans l'exécution de pareils desseins dépasser son orgueil et sa. force, le kaiser s'en chargera. A la vente», ce n'est point sans une certaine amertumii que l'on vit. les ambassadeurs des Alliés jouer, à vingt-quatre siècles de distance, Hé rôle des ambassadeurs d'Athènes, d autant que l'on n'eut même point la consolation die se dire que Démosthème était parmi 6u:r. Mais ou les Chancelleries ont é^é confom-dues, les Etats-majors ne le seront point et ne 1e peuvent être. Comme au temps de Phii-ilppe de Macédoine, comme nu temps <J.e Pompôi, comme au temps d'Octave, la deis-tinée. de l'Asie et de l'Egypte se joue aujourd'hui dans les Balkans. Du sort.de la Belgique dépend l'équilibre de l'F.urope Oceidein-tale : du sorl de la Serbie dépend 1 hégemo-nie de la Méditerranée Orientale et des routes de l'Inde. Aussi, ne faut-il point, s étonner que le gouvernement de Londres ait résolu de faire un immense effort pour barrer aux Austro-Allemands la route de Constan-tinople. Toute la ouestion qui se pose est donc de savoir combien de temps l'héroïque armée serbe pourra résister à la double attaque nue mènent contre "lie, au nord les \ustro-AHemands, à l'est les Bulgares. Pour mieux résister à ce demi-cercle die feu, il est possible que les Serbes, renouvelant <" tactique «du dernier hiver, aillent c .^u en arrière du Danube une posit - .^r^Iie centrât'on et ne se replient s1'" ^n rie cor de ïa Morava. L'agression ^ les position sée jusqu'ici, s'est tv" bulgare, renouî nord-est et au sik' à ,a f,ols' 8. lr.es du Time1 w-est de Nirh, vers les va deux dir" ,-A 01 'a NishawA Pans ce «rtV—' .étions, les Bulgares se heurleron r. ' . -serions fortifiées de Zaïtchar et de P: 1 1 *-of, dont la valeur militaire se double de rf y doutables obstacûés naturels, les routes et 1; ' ^oie ferrée passant par d'étroits défilés rc i cheux et tout ce pays étant montagneux e - farouche. Avant le bénéfice de la ligne inté l rieure. l'armée serbe pourra vaisemblable Trtent t^nir bon jusqu'au jour où une. puis ■ santé diversion des troupes franco-britanni ques dégagera leur front oriental. Il n'es « pas possible de dire où eetîe diversion si ; produira, mais la seconde guerre balkani que a montré combien la Bulgarie est vu! nérable sur sa frontière occidentale et com bien la voufe de Sofia est une chaussée pro pic.è à l'invasion. En attendant qu'ils secourent plus d'rede ment lia Serbie par quelque débarquemen sur le rivage bulgare de In mer Noire, les . Russes sont partis en offensive, dans la G-a licie autrichienne, à l'ouest de Trembovla L'ennemi a été rejeté au delà de la £frvpa affluent du Dniester, sabré et décimé. Ce* événements qui se déroulent non loin de la frontière roumaine constituent une diversion qui deviendrait très intéressante si lf succès d'aujourd'hui devait avoir un lendemain.Pau! Crokaert. Les êtaemests à'm dseieur bechs k LES BELGFS N'ONT QUE HAINE ET DEDAIN POUR NOUS » On télégraphie de Genève au « Matin » de Paris : « L? docteur boebe Richard Bahr est allé en Belgique, et on est revenu très étonné. « Ce " qui anime tes Belges, dit-il, est moins une angoisse patriotique qu'une froide hostilité, constamment alimentée par des sources nouvelles. A l'auberge, on ne peut pais s'asseoir à cfité d'eux sans éprouver le sentiment pénible que le dédain et la haine ont pris place aussi autour des tablos.L'iS hôtes mvisèfetes et toujours présents écoutent nos conversations avec un souiiro ironique, et quand ils tes traduisent à leurs voisins, eî n'est jamais sans une nuance de moquerie. » L;s Belges ne rendent aucune justice au grand travail que nos autorités, tant civiles que militaires, ont accompli en quelques mois pour rétablir l'ordre dans le pays. DOS amis alitornands qùi vivent en Belgique ■ depuis leur jeunesse me disenî que" tes gens avec lesquels ils étaient chaque jour en rapports amicaux jusqu'au (OT.monc»me»t de la guerre affectent Ae ne .' lus le* connaître ot passent auprès d'eux muets, sans les saluer. Gela m'a été confirmé même à Anvers, dans' cet Anvers «tent ie commerce oonsistait, pour les trois quarts au moins, en affaires de transft ewee l'AHenas.'ïrre. " Le doctiMi* Ba-br conclut de tous ces symptômes qu'il sera extrêmement difficile ; aux Allemands de résoudre ce qu'ils appel- i lent le k problème belge ». Qu'il se rassure ! D'antres se chargeront de le résoudre à sa pince. Pour nos lecteurs au front A'os lecteu-rs et no.5 amis du front belge qv; rlrsirent se procurer notre liste des morts ni l'histoire de, lu Campagne de l'Armée bcl-m peuvent s'adresser à notre correspon-4aitf- /I.. Màtagné, motocycliste au Grand Quartier Général Belge. Us peuvent également Ivi signaler tout retard et. toute irrégutarité dans le service du i0lt1-BOi. us WS6S J tftHlEiiS 1 La ville de Lokeren est Isolée parce que griL m* ® \ W les Allemands n'ont pas pu y trouver / 1^8^ cinquante ouvriers dont ils ont besoin ' ««saiSEâSSii L' Echo Belge reçoit de Lokeren des in- ^ ' " " ~7-— formations qui jettent une nouvelle lumière i sur les procédés illégaux des Allemands en uDuéMUéM^Ue OliiCSSi Depuis vendredi dernier, la ville de Lo- Paris, J3 octobre,, ï§.iieitvps fceren a étié comiplèteenent isoléÀ, et per- A la suite du bomljaréemenUrmnn^ I-' I sonne ne peut en sortir ni v entrer. -Le mar l ennemi a prononcé dans la. serin- chiSI hebdomadaire a été abandonné, cal taque d'infanterie contre nei va Une 'l'on ne peut introduite ni importer aucun NORD-EST. DE S0UCHB7 U £ Al • vàwe. et complètement repousse' cov!m*i r'cm<** . Le motif de cet état de choses est le refus attaques précédentes *<■•'<# tors de; ! des ouvriers de Lokeren de travailler aux Actions d,'artillerie'de part pt •• ouvrages militaires des Allemands. Huit of- cours de la nuit, varl^<nJrJ™J,!i:.amZe' ' fociers allemands s'en furent un jour inter- ENTRE LA SOMME @p / «S intenses j çier les autorités belges de Ixikeren au'ils région d'Andéchy. et A L'EST nîii £>i?S *a • étaient commis au sei"vice des réquisitions, vers MtsmnviUier's HE&tS, et qu'en cette qualité ils exigeaient, que ein- Les batteries ennemies ont m»,; . quante ouvriers — maçons, charpentiers, lemment la réqion 117 vrrrt n? iTf v . plombiers, etc. — fussent mis à leur dis ET A L'EST DE LA BTJTTP nrr ir stàl position. Ces ouvriers devaient se rendre h Notre artillerie les a etfh'Z.J^i 1.1 iilervelde e! réparer quelques maisons battues, cependant que nom contré détruites que les Allemands désiraient oc- encore de tranchées à trav «mmwS». • cuPer- 1 °™»V9e dit : « du-Tra- ^tées à iw* Les autorités de Lokeren fuirent forcées Lutte assez active jCrel de'S'incliner; elles rassemblèrent un cer- DANS LE SECT!~ d'enainc' de tain nomère d'ouvriers et leur firent pari viioiente avec n*' e) in «y , Ih" des ordres de l'a-utorité allemande. part et d'au' mtervemion d'ani'lerie de Mais la perspective de travai'i'er pour les LON. ^rù MJX JOUIRONS DF Rim Allemands -fut très mal acoueifllie par le$ ' RErL braves gens, de Lokeren : ceux d'entre les «v ...-<5 LES VOSGES. Venneml. apr* ouvriers qui se tro.wèrent désignés pou- .ebeé complet de son attaque sur le Tom ouvrage ou bien se cachèrent ou bie ^ é> Linné et du SchratzrrSnele a reZu-usèrent de s y rendre et. en com- ^ re. vélé sa tentative en fin de fournée. Une ^ leurs camarades, s en furent gnié ^ conde.préparmion d'artUlelie a été rTprise Tes X'4mandSs ste T T le fronL a é,é r';f .^ndShl de place, nouvel assaut qui a, dans l'ensemble éga- i n-J fin-" .-«* & «ne véritable lement échoué. Les Allemands Vont pu que avec eux^es • w,vnfrs «helles. ain sur un seul point, au sud du col du Linqe, m S..-- et Ieurs enfan's. el prendre pted dans notre tranchée de pre- mw» , oUVriebs qui s'étaient cathés mière ligne sur un front de soixante à u'b'.j l w<mreal crue Lokeren serait isolée quatre-vingts mètres. Noç contre-attaques V1 ^ qu'on trouvât le nombre d'où- -nous ont permis d'en réoccuper aussitôt ,.<?T8 bequis. une partie. Les choses en sont là. One escadrille de dix-neuf avions o. lancé •' „ „ ceîM quarante obus sur la gare de Batan- r condamnations en masse à iLessines à court où des mouvements ennemis étaient cause du refus des carriers de tra- signalés. Une autre esiadrille de dix-huit 3 vailler pour l'armée allemande rnrions a bombardé, la bifurcation Achiet- le-Gramd, près de Bapawme. D'autres apna- î Des réquisitions identiques ont été or- relis ont également bombardé la voie'1er. - données par les Allemands dans d'autres» rée avec dès bombes près de WarmerivUle. • communes belges, rt l'on peut s'attendre à- »n«- t ce qu'elles aient, les mêmes résulter. les __ i. - ouvnei-s belges étant unanimes à refuse: i.i.CN DE M. DELCASSE - de travailler «onr l'enuen i. Le cas \i it M. Delcassé, le ministre français des af-i encore de se présenter à Lessines, où les foires étnari^ères, a remis sa démission par - Allemands ont exigé quie les maîtres car- une lettre adressée au président du Cou-t riers reprissent le travail': ils .-retendaient seil. ' ^.^STfJr?e éi?:H nécessaire pour des M. DeJcassé a motivé sa décision par le Isravaux d.ut-.'.jté pudique. Maip les pï-onr-é- désaccord qui existe entre lui et ses collé- " f les ™IV,ri€;rs «"-riera *«'68 au sujet de te nouvelle expédition des ' ? ^! j ilierlmenient que I" ballast l'esul alliés dans les Balkans. . tant de 1 extraction allait être utilisé pom "let+re rfe dém'issïrvn - ! ^^^«étélwà,aCha^ sines furent a.rrôfée^f,radotes devant ^ m et conserve la "» Conseil. espèce de Cour militaire et condamnées à —r»o« =• hZS, P0"10.55 variées. [.9 notaire Lepoivré. i.cs «jcp-j.rg Rrpftiicp^MT yi"Tii. f-' ngm<wtije de la v:Le, fut condamné à P!ÇirSE*iSNT TOUTES LFS Çfiraire mois de prison: M. Lenoir. un des °"T"S t"E?> A'TA'U£S malfres-caiTièrs. à cinq ai», el trois de ses Nieh. IS octobre. — Officiel — Tta»s la confrères à une année chacun : six sous- ,r>"rnée du 1(1,ét dans la'nulJ du 10 av 11. traitants devront faire chacun six mois de toutes les attaques de l'ennemi an nord de. prison, et 160 ouvriers chacun, six semaines Pofarevats. contre In forteresse et la ville Tout cela ne servira, on peut en être as- dcT v"f ™ ?""• Vf Zchmé-, sure. ÎHi'à confirmer tes ouvriers betee? f cnwem» « subi de grande* pertes.. et nos industriels dans leur oatriotioue'dé- e,e de,n0r, dn- \MUw. de r.Ava. dont, il cision de rien faire qui ,pi)t aider en quoi » emmrp. dans la nuit précédente. que ce soit les ennemis de leur Patrie le front de la Sai'e. nous maintenons nos positions, sous le feu des gros canons Encore des travailleurs emmenés ennemis. en Allemagne Sur le,, autres fronts, rien d'important, à Le Teleqraaf du 7 octobre- annonce oue signaler. six menuisiers et maçons de Saint-Laurent "°" , .Signe0"161 °nt été emme"*S «' «-A RUSSIÈ OONPFWTPE DE l./es communes de M'alde^hem. Middel- NOUVELLES ARMÉES bourg et d'autres encore ont reçu l'ordre Geinève ,13 octobre.. — On annonce la fie designer chacune six de leurs .plus ieu- éonoemtratioTi de troupes russes à la fron- nes ouvriers menuisiers et maçons. L'auto, tière de Bessarabie et à Odessa. rité communale est rendue responsable de »o« la présence, de ces ouvriers à la convocation vivrq mumiccctutimc , eoci. _M que leur adresse ïautorité militaire. VIVES MANIFESTATIONS, A SOFIA, EN On ignore fendreit où les Allemands em- FAVEUR DE LA RUSSIE ET DE mènent ces condamnés aux travaux forcés. I-A QUADRUPLE ENTENTE . Genève, 13 oct. — On mande à la « Tri- «JAMAIS LES BELGES E 82 SOUMETTRONT nifesté devant le domicile de M. ÔhenadieH miiiarn... en faveur de la Quadruple Entente. flaatiiSfllUl!) » Le président de l'Association nationale 110(( des étudiants a été arrêté. M. Malinoff a quitté Sofia pour se sous- UNE CONFERENCE DE M. VANDER- traire aux Vex-ations de la police. VELDE A TOULOUSE La statue du Tsar libérateur a été pen- M. Emile Vandervelde a donné lundi au ^ la ^ ^lrs' - ,. Théâtce du Capitale de Toulouse une cot- v- ^i s Prï^ ■ les, »«nptr?f, 5 férence au profit des œuvres d'asSatoce Vlve ^ Russie lii .tnce A bas 1 Alle- belges. uaùsi^hi,icc j ^ bas la ; urquie ! ont été appo- MM. Steeg, président de l'Alliance fran- sur murs co.belgc, et Jean Rieux, maire de Toulouse LE5- man,Lfestants ont .parcouru divers ayant d'abord exprimé éloquemment iv.s- 7":artTî' 06 nombreuses arrestations ont poir de la Krance et des alliés. M. Yander- opérées. i-e'de rappela les atrocités dont notre jxiys ' ' *" — " La tyrannie atasde qi')-îv#te, si te Bairbare put vaincre son . , _ , . ■ pays. » rtc ^u-viendra .jamais à l'asservir, g» (ipâllll BlffElP M I IIÏPKnftlIWI « Soldats et crois, dit M. Vamiervel.le. "" Ul ttlltt BUtlilb 110 LUAûiliiiBtiiUITl tiendront toujours contre l'immonde enva- ——*>« ' » ind'?Iî^HSLiî<iS ollvriers, ))efses, LA CONDAMNATION DE L'AVOCAT comme d.s les révolutionnaires français NOPPENEY rédlament du ipain ot du fer Ou noin îviur . ^ , rtuntlr leurs enfants, du fer pour les tcu- , 1<a " de 1-renci'ort. .. (n° 2(2, du gcr. » * 1 v-; " 1er octobre; publie on gros canEuctères l an- Cos fièros déoteirations or.t été cheleureu- n0nC0 8Uivante : sement appte^udics pur l'auditoire. AVIS L'nvooat L'artillerie belge exécute des tirs nourris i. « ^ ■ no» Membre 191.5, on autres rthosce pour avoir 12 octobre. Uffar.ié i'a,nuéc allemande en î-épa.ndajit Après une nuit et une matinée calmes, l'ouvrage : « Les atrocités allemandes en Fartillerie ennemie a manifesté son activité Franco », à ia peine de dix-huit mois d'em-en cànçnnant Fumes, nos tranchées aux raisonnement, prononcée per un conseil de abords d<- Dicmude et d'Oostkerlce ainsi que «cerre près la 30» brigade suppléante d'in- Nieucapelle. tente rie à Trêves. Il y a r" à- coups de bombes vers la Trê</3s, 30 seijiemto 1915. Maison du Passeur.. /0. ,N r4 En outre de nos tirs dé riposte et de repré- (Siguu) : Dr. ME rTG-tiABERG. sailles nourris, nous avons dirigé notre jeu membre du conseil de guerre près la 30» sur. plusieurs lratxm.% ennemis. hrisja/de eiiaptéaiiiio^ d&uao/teiiie.

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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