Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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16 oktober 1915
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s.n. 1915, 16 Oktober. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Geraadpleegd op 05 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/s756d5q76k/
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Ouotidien beine Daraissant au RÉACTION &ADMIfciSTRATIOI ^tn rat de la Bourse — LE HAYHE Téléphone : Le Havre n' 14,01 Direetsur : FSPMS NMA7 fontes les communications concernait la rédaction doivent être adressées a8ur,rue de la Bourse, Le Havre, LOMOON OFFICE: 21,Panton Street . (Lsicester Square) s. w. ABONNEMENTS France 2 fr. SO »ar mois. » 7 fr. 50 par trime&trè Angleterre— 2 sh. 6 d. par mois. * 7 sh. 3 <i. par trimestp# Hollande.. 1.25 florin par mois. » .. 3.75 flor. par trimestre. Autres pays.. 3 fr. » par mois. » .. 9 fr. » par trimestre PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du journai ad Havre .ou h Londres Annonces 4' page: Ofr. 40 la ligne Petltesannonces4' page: 0fr.30laJign» Les petites annonces sont également reçues à la Société Européenne de pubtim oité, 1o, rue la la Victoire, Paris, qui en a le monopole pour Paris. Autour d'nne seance (De notre correspondant parisien) Le 14 octobre 1915. Pourquoi les socialistes qui! luttent contre la censure ont-ils réclamé avec tant de véhémence la constitution de la Chambre m comité secret ? Ceci paraît en contradiction avec cela. Eh bien, non ! La contradiction n'est qu'apparente. Ils sont hostiles à la censure parce qu'ils ne veulent point, que te gouvernement surveille leurs écrits, et fis sont partisans du comité secret parce qu'ils voudraient esquiver le contrôle de la -presse et de l'opinion publique. Le Parlement. — ou plus exactement les grandes commissions, — a rendu d'incontestables services pendant la guerre. Mais que de sottises M a épargnées La crainte <iu (ju'en dira-t-on ! Chaque fois que le vieil 'homme tend/ait à reparaître, nos honorables se reprenaient en ipensant au<x poilus et autx électeurs. Les uns et les autres ont les yeux ouverts et les oreilles tendues. En comité secret, les ambitions, les rancunes. les querelles poli-tiques pourraient se rèveiiilJer et se donner libre cours. Si le parti des remplaçants réussissait à renverser le cabinet, les conjurés se tourneraient vers la foule anxieuse : — « Que voulez-vous ? Nous avons dû faire cette exécution. On nous a révélé des choses graves ! » On objectera que le devoir du Parlement est de contrôler les actes diu gouvernement. J'en conviens. Est-oe que celui-ci a jamais refusé à la commission de l'armée, à la commission du budget les précisions nécessaires ? Est-ce que l'une ex l'autre ne con-. naissent pas le nombre de nos canons, de nos fusils, de nos obus,des hommes dans les dépôts ? 'Est-ce qu'ils ne sont pas à même de surveiller etroitement l'emploi des fon ds ? Mais, comme l'a déclaré avec une grande énergie M. Viviani, .il y a des secrets, que le gouvernement'n'a pas le droit, de confier è la Chambre, nd en séance publique, ni en comité secret. Il n'a pas lé droit' de révéler les 'plans militaires et les négociations diplomatiques et encore moins les coordinations de plans militaires entre alliés. Qu'il nous suffise de savoir que la coordination " On. objecterait en ^ aisol^ion. LesnJ?C 1 bles sorti- capab-^o ^ res sont les secre b 1 Wms-sociafetes «vec violence à ©gux-sociwiavec w ... TVUX orateurs ont sevi painlevé. Ce- '— l copié ses sentes, ffiot ?e cette ses périodes. Mais. surtout hérité de rosse d'Au gagneur, H a sui cu se, rasoirs. M. Denys-Coclun Gi ■ beuix autres orateur , • ont rallie 1 ^nies d'une A w applaudvsseuients désemparée et. di-1 d diaittbve, tout ,pju5, reui<u-qualîite 1 visée. C'était d autant » Driant, a que i'un de-s de te majorité Mo-1 r n'avait guère pourquoi ce magn - s carde avant la 8; - - .j!s 0nt fait appe, 1 fique succès . Pa: admirable élévation, * ] en tonnes d une ^.joinques. I: ■l'union et à la/. ' j.emaj-quer en P,ass^"M u-> tien® a ^V-'- r-x-pnïblée na pai-l ^•sucun valeur dans^.lcmcnt, contre M directement m fflfi ?M pamleyé a Tespédition de jamals en- répété avec ms'stenoe q FJ8nce put rom-tré dans sa i>en8eo qu'elle a pris. I p,re aucun des P[S (catégorique encore ■ M. Reiiaudel a ete P ^ déclaré, nous ne „ En aucune !<*>:«• 5"IVM> jcS mesures pri-sommes en o«>osi ' refficacité de notre \ STtion dans .les^^éau'ssi clairement son m Renaudel, sur „„„„vp de subtilité. contre le .cabinet, atan v de groupe vigi 11 a précisé que latov» gi eUe netai vint ,e ou d'une partie 's°onifiawe.ne saurait êtr. accusfs pas lune marque^ marone de méfiance. I bats. •toterprété^mme un f-ut ne porte rant L» Conti #^aU s'ociaHs-l £ 1 ; vait rien de '■ P'-fo™L •> C'e les lui ont °i\ • , ^ s-'éta^t en»a°® I publ L'orateur a »^Stéet^ ses forces avaient P rinnuante-ciïiq ans i . îrahi son coura-e . ^ insulteurs. «g. ' - W VTrite7 derribre Votre mandat pour 1 ■ S» î'&SS Ve l'Tessio? Cette Tjjos'e auss ^ ^ vident tumulte. I ^ CMÏ't'nénVble à voir • r rrp îrnnrw-1^ îtlS sur lapl^^i^t^t ad: le; 'vraiment lanaei eu^e. civils d*nnion. I ■ , «rô tom Communiauê belge 14 octobre. I Calme généra^not^ __ "^iTwdïstpÔœrfto^^n1 nouveau, noncé, démenti, unc communication del Bértin'à^r^ent P«t^ioi du | Ç.lc=«nPîédétal suisse. I La force de la vérité La mobilisation allemands s'cst,dès l'ori-g'rie, .étendue au domaine des idées. La loi aveugle dans le bon droit de sa cause, in-oi Iquoe au peuple allemand par ses dirigeants, en est une des formes. "Cette foi est trop éloignée de la réalité dos faits pour que, en dépit de toutes les mesures ariili-_ 'Cielles destinées à l'étayer, çlle. ne iini^e > pas par céder. Il est iutérossr.nt d'y voir 3 apparaître dès à préjer.t les premières fis-^ sures. Un article dù.-fc « Zureherr Wochen . Clironik « (n° du 28 acût 1915) qu'on nous 1 adresse (le Suisse, est instructif à cet ï égard. Il est cor-sacré à la seconde édition t d» livra, de M. Waxweiler : « La Belgique ; neutre et loyale Les exemplaire^ aile ! ri.ands de cot ouvrage n'ont ^oint tous é:,6 vendus en Suisse alémanique ; des caisses 3 entières en ont poinôtré en Allemagne.Sains . dont,s n'ont-ils pas ébranlé la convicti-.n 3 des fanatiques ; d'aucuns d'entre eux ont, ; au contraire, adressé des lettres do men i-1 ce à I'éditeui- suisse Orell Fiussli, pour en 3 avoir osé entreprendre ia publication.Quei-■: ques esprits, cependant, qui ont conservé c une certaine rectitude de jugement, ne sont point restés indifférents ou systém.a-. tiqueuionf fermés à ce qui fait la justice de 3 notre cause. C'est ce que signalé précisé-; nient l'article de la « Zurcher Wochon . Clironik. » t « En Allemagne même, — y lit-on, — l'ouvrage do Waxweiler a ronebutré de la 1 considération et de l'approtation. C'e,t s tir si qu'un juriste allemand a écrit à ï'é'li teur Orell Fussli, après que celui-ci eût été t blâmé par quelques journaux allemands . f<our avoir édité cet ouvrage: « Aucun hor.i-3 » me sensé ne peut vous faire un ropro.ru i » pour l'édition de ce'livre ; je considè'-e - u précisément an contraire comme un di>- - n voir commoidé par réouité, d'avoir don- > » né la parole à un auteur qui défend la 3 » vérité sans haine et uniquement d'après 3 » sa conviction. » UN TORPILLEUR ALLEMAND SAUTE DANS LA BALTIQUE C'EST UN SOTJS-MARIN ANGLAIS QUI L'A TORPILLÉ - dc la pr°vince ' dl^?soUus-marin anglais était aux prises ■ explosion fit dis-- hrr8^m"éloigna dan, la direc-àl t.ion de l'est- » _____ i M wos$2 aîfaî^ t " i'tsplwMfp i- Dettinaro. carnet en mains, cien. ï Ï£. S sfSS.™2S!!£i,.S8SÏ S- à l'Yser et. spécialement 1 eciuse vit-on 1 sus d »m-1 rendirent en Angleterr après les l Mor »«•. IlaUomervpourreiomd^P^aPe ^ Lt 11 ® „l premiers à ^"L^-tion d'un cinquième, l — 1 nf mands, sous 1.a directt^ banquier et gar- P. ô 1 nommé Grapé, h^éF iml/lent s'être U- I 10tr 1 con d'hôtel a .t,r tlans la ban40 I 1 vrés à un espionnage ac ■ Française, 1 t son ÏÏVres se trouvât ^^e Jbien , B®ÎS Hirmime I-» v0™» I ^ dé^;te cette bande fut c^turée gr^à ® ^esT/ent W et dt- » ■ tortr^e dossier comporte^ Parois rn^res U" séance ^LiTha^é S uçliesi- rc! nmé. substitut audiwui^ „e dépouillé et 1 -U1 nr 1 de l'auditorat du G. Q. ' \ \ 0CfVS: mis en ordre. ^ du ministèr0 1 < piSuc en « - avaient T_.es accu^ solfieraient qu.^ ^ ,u. . imnre,U-t ^ mots du t la Belgique. «résidé par M. =' w «p» Le conseil de ggm •» ^ndnv. "sont ad-1 'e m-p'°pt les Prévenus sont défendus pav < d'union". "i«'-rhrimas. Nerinckx et Dupont D E Pt B î Ê B £_ F B 0 ^ T . I On télégraphie au " J e,e|™J0upes all vj e 1 „ pendant le ^®n^ftlr0s, un accident I s 1 irundôs heures et demie du so.r I I s'est produit à <bx i.,mi»nné trois wagon- I I , T'nielt : le tram - _■ bcaucou;p de b es-1 ; I le marchandi^ i'- morts est inconnu. . 1 •:L et le nombre des moi » de lacer I On apprend ^^ïufige a Y a I denit survenu, ?S?in et non un tium, temps, lorsque 'fï: erreur, tomba » noyés.. Dom Morin au service dn kaiser t IL INVOQUE EN FAVEUR DE SON MAI- î r TRH AUPRES DES BELGES LE CROIT u I DIVIN ! r.u \ Dans la KœDfiailie VoUiszeUung, ce '' même journal n'ealliolique » qui déclare ee ; que le massacre dès Arméniens ne regarde ®el ; que les Turcs, le bénédictin français de | Mai-eilsoius, Dom, Marin, stigmatise la lui ' France qui a maltraité les eathoSques. 11 1 estime que les Belges,auiMienfedii savoir en S.1 e 1*14 que toute 'résistance- aux Allemands b* ! était innitite. II croit aussi que le devoir des cj0 4 cathaiiqu.es belges est de seconder lés auto- S ; s rités alieimandes qhi maintenant cherchent ' s à répàaer le mal .causé, attendu que le pou- j u voir actuiel, même, s'il n'est que temporaire, i," •, n'en est pas moi'is établi par Dieu. Deux mots répondent à C3 personnage " i désavoué havirment par son supérieur ee- ont - clcsiastique, l'abbé de Maredsous : n'o e — Trente miniers. qu' e Renégp.t emvers sa patrie, cô moine ca- ne: - tlioSiqiue fait risette à Luther, le moine tril e apostai. 11 blâme les Belges d'avoir été sor fidèles à la parole donnée et d'avoir mis kel ;i l'Honneur au-dessus de leurs intérêts ira- l'ai médiats. Ce moine n'a plus conscience a'-V - qu'il existe d'autres biens que ceux de la -«ot a terre. Sai t Et tandis qu'il compte pour si peu la de fidélité au devoir, il ose invoquer, pour que D" é lest Belges se soumettent aux assassins Stii s de Visé, de Mouland, de Warsa»;e, d'Anden- (Et - ne, de Dinant, d'Hastière. de Tamines, de sou e Loif\'ain. d'Aei-schot, de Termonde et au- " e très lieux, aux destructeurs d« cathédra- tel - les, aux massacreurs de prêtres, « le droit :',s - divin des Boches ». l,n a Le droit divin ! Dom Morin mê'« le droit m0 s et la divinité avec une ignoranre ou une aV£ mauvaise foi qui frise l'hérésie. C'est à peu 088 près comme s'il parlait du droit divin desi Çnc Turcs d'occuper le Saint Sépulcre ! V1» Le cardinal Mercier a parlé au nom de n(e l'Eglise avec lin p«u plus d'autorité au ® 3 milieu des lbaïonnettes prussienaes que 'l0r J Dom Morin de la retraite que lui \ ména- nia gée l'amitié du Kaiser. ^ P'a L'illustre prélat a très exactement déli- mité « les dqyoiri.de. conscience ele.s Bel- 9e r ;,U( nus- une a\UorUè tea\v. a eir ahi leur ïsAigmâg \sance. POUVOIR : fàrWou 1 4nY REPRÊSEiïTAft nuloritéjLui seul ^ soumission. ,es d'admmf ^™ c i » D'eux-mêmes les: u seraient sans vi ^ oc. I leur dU ?££&*<>»* «Sde^"sse. atr® iHuSf l^xattoUqJes an-1 rfes'sfes'si es do jt un œllltrf"vautorité di> ehef <le 1E&1 ^ rEgU. 'U"°r iique belge, approuve ^ mplaisant théo- 5 cor- 1 t; *2 ftii6 colle au cur^^„ r son supè-oxxt le se ^^TSser, désavoué par son ,1 snt de logien du ^ iands. "euldas recevant trente offre Don j^V9 voUà le triste sp^âhe Volkszeitung » rèAUe' 1 MLuthei^n aura pour sonargent^^ estes la situation favorable Le colonel Repin^n écrit dans le - Ti- ^ - sitiisfaits de la s'™8:" vagn. ^ sive l^.ÔOG Mlem^f- ^battants, ^ rA ^^01110115 de 7\™ Ctbrrenforte ^ ^ en- Je ^ ''e |. Viouvaie « lîSrcS mois, homniesUo I i' ■ iii>na me ne 'P°. *Li formations. Il" ««ïï? iet»?c;t f i AvMié-nt ont de persévé:r'i, ct dans les! o - I r.ipal, o'^tuè qu'interviendra la dM_ ( l I-'landros. -^st ^ monde ne nous e. ^seraTd'ei. ^er^^%s homm^J « I tpnir sur (?eirJ%w_ a^ troupes cont-i - i Wiltl^Tu^d<!lftSuerte £e patriotisme belge LA VERSION ALTjEMANDE D'UNE AFFAIRE D'ESPIONNAGE Sous le titre : « Espionnage belge », k « Frankfurtea* Zeifung » a publié dans soi numéro du 5 octobre, d'otprès la « Korres pondenz Belgicn » de Bruxelles,- une ver s ion allemande d'une « affaire d'eapionna ge » pour laquelle plusieurs belges ont ré comment été exécutés. Fait singulier, le « Tijd » d'Amsterdam lui aussi, dans son numéro du 5 octobre publie ce récit presque textuellement copie de la « KoiTesi>ondehz Belgion » en l'attri buan:t à « un de ses correspondants en Bel gique ». Voilà qui n'est pas précisément ur brevet rî'imi^i*tiûli>tô pour les correspon danccs « belges » de ce journal. Nous reproduisons à titre documentais rarticle du « Tijd )> : « Les trois condamnations à mort qu ont été exécutées dans les derniers temps n'ont pas seulement été «prononcées pam qu'on avait fraudé des lettres. Les pei'son nés «suivantes (étaient accusées devant le tribunal militaire de Bruxelles de « trahi son de secrets militaires » :\ Joseph Baec-lcelmans, antérieurement chauffeur dans l'armée belge et architecte à Anvers, le né' gociant Alexandre Franck, de Gand, le commissaire de police Alexis Thiry, de Sauit-Gh,;slairi,une certaine Mme Willockx. de Mons, l'architecte Charles Gilson, de Bruxelles l'ouvrier de chemin de fer Louit Stiévenart, de Mons, Sœur Mai'ia Xaveris (Eulalie Franck), de Bruxelles, le professeur d'escrime Tack, de Bruxelles. » Déjà, au premier inteirogatoire, Baec-kelmans et Thiry ont avoué .les faits donl :1s étaient accusés, qu'ils avaient fourni a un bureau belge en Hollande des renseigne-monts sur le transport de troupes belges, avec indication de régiments, etc. Thiry assistait Baeckelmans dans ses recher- Les, 9!}cs- Une circonstance aggravante poWr l - * ihny était sa promesse sous serment le ,.QV. de ne nen entreprendre contre* les Allemands ^ au ? ne rien faire qui puisse nuire à l'a.i- r\X ue torito allemande. A ces conditions les Aile- " ,p ta- "ja-nds jui avaient permis de garder s-a vîiîn place. Malgré cela, il informa Baeckelmaais i;pr- 11- de deux transports militaires par chemin n^n el- ^ îer* Mme Willockx et son fils avaient aii ,, iit> également été amenés par T^sfîpiirfV*■'1 là l'aider. Ils avalenl 1 »eri« s otre circonstances atttoua ^ jurant- donr 1 tir mans, Franck et et Stie- v ition oondamnés i morl- L dc circonstances 1 »' W" venort, on « ^ dc 10 ans de taci- &tté.nuanites. Ils mre-n. t» t, al et tovaux lorcés: é de faire pas- t» toute „ Gilson, qui s était = Unications re- ser en Hollande ^f^naSclmans, tut n n'est jattes à ^^"S^on et de 1.008 n?ra,ïf < l Mo-1 puni d'un an S.mfessea.ir d'escrime Tack, • sse. d'amende. Le pro - ■^ p0lvr Baeckel-le pa- qui avait reçu des de pneon. rs an- , mans, tut H™!, . une soeur de IrancK, as des Sœul. Maria Xavéi ia, une eg rensei: e tral- (nt accusée qu'elle avait agi 1 gnements . il . , acquittée- mands do bqnne foi et elle t q ^ enoore ime e et le „ Un de ces pms u^y e Renard ^ au-des- nouvelle affaire . c xonssaint, de Be-, catho- ie Va servante ^"2 d'avoir aidé des Bel- » l'Es11" lœil- Us furent a^use8" ^ )a {r0?,ueie. it theo- en âge ue sei^i I jugées msutfi- n supé- preuves Jouri^^ tous fca deux £ureni Luther, ^quittés. » (re Dom . j,„ir.,,trir que toute notre îitung »• Est-il nécosoavre d m ^ au péni dt admiration va à oos ^ travaillent à :t leur liberté ou/de le®^eu: libération de lem patr ]cs teUes aiie !«M qui sont vivre à iamais dans . ^ S^retf» avec nos soldats mort ..«Ua .... Miiïrin d'honneur. latBfeSipï 18 " La Tbelge un 'a<*e J|[ I Se n ST empâtement Empressement et s, . notre publication à ses ^^5 'septembre. 1 pou iS ^'IcrivSïrioui-ra îe grand jour-1 , e | nG! Sri'pem . ill-î 31 191' "" h. rYser. Des caries 1 v] % rie Visé à la bataille de t le Sexte. I ; « son! Si petitlu-nlot'ce ^f^^s'salTs- '' 1 î .voir «ans un Jn h>l{>oonsie- « Le 9011-1 , •1 I 9 août, âune si brut aie 11 ^ nouvelles l , ^ Ornement allemand ajW ^ snr n«-déd sûres au* M tossen' yAUe.rnao.ne tenlion de la rra'î„,„„ r,, gouvernement I mis de l AJ * ,/.errilo>re belge. » • io« leldte son cote, .e t ^ La campai«t- si trouve- que l^s t être adiessœs !îavre. force- çostel. te Bourse, m-r, ,*8itlg&"î&8W»îS»— LA SITUATION MILITAIRE Vendredi 15 octobre, midi. Tout ce qui se dit et toul.ee qui se sa>i prouvent que les armées française et britar nique persistent -dans leur énergique résolu lion de ne laisser ni répit, ni trêve à l'en nemi en Artois et en Champagne. Les trou pes du maréchal French s'acharnent autou d'Hulluch, au sud de La Bassée, et sont par venues à prendre pied dans le formidabl ouvrage à blockhaus d'acier et à chevaux de-frise, dénommé : « Redoute Hohenzol lern ». A la faveur d'un bon vent d'ouest des nuages de fumées et de gaz ont été chas sés vers les positions ennemies et ont vali aux Anglais l'occupation temporaire de Iran chées dont le séjour leur fut rendu intena ble par les obus allemands. Chacun se ré jouira de voir 1 os Alliés payer l'ennemi ei monnaie dc sa pièce. Il nous a enfumés nous l'enfumons à notre toUr. T1 était inou de voir des honnêtes gens hésiter à em ployer contre les coquins des armes don ceux-ci se servent sans vergogne. En Cha.m pagne, près de Tahure, les Français pour suivent l'investissement des fortification: de la butte du Mesnil qui forme encore sail lant dans leur nouvelle ligne. Cet ouvrag< emporté, les Français nosséderont un fron continu le long de la Dormoise et oourron réduire complètement, la deuxième lign( allemande dans laauelle ils ont déjà prise Les Alliés, Français, Anglais, Belges, pos sèdent la supériorité du nombre et du maté riel. Ils ne devront nas. comme l'hiver pas sé, suspendre leurs "opérations faute de mu nihons en quantité suffisante. H est dom certain que le '"ont ennemi, sous l'effor constant des obus et d'es baïonnet tes, finir? par ployer, craquer et s'ouvrir. Ce jour-là mais ce jour-lA seulement, les escadron; frémissants prendront le galon et l'éclair d< cent, mille ?obres*iaillîra des fourreaux. A propos de cette intervention de la ca valerie sur le.champ de bataille moderne .il convient de signaler le fait d'armes épîau{ des escadrons russes sur la Strvpn. Tan"dic que 1 infanterie moscovite débouchait di: village de Haïvorouka. nne n^rfit. a,** f.oV». ' hers du général Ivanof sp déploya ranide- ler" ment sous le couvert du village et, k toute | . ^ allure.^ chaTgea l'cnQflM ' V. V"**' 11.~r , «ne, mats rex»,.,,,^Tiqn<l ' \ deijiranc'nees de l ouelle eau s11 ^Wi ans M J est pas mouis inouï- -. , enfouis \ mè U°:1nour l- n«Nal.ers,;dévnom ,n l|US?I es ment », faire plus et gfe. ,i,nn fl° l nb - S : », 1 vpniT> ^ cncAai, \Va'erloo et a 'es\ îni-'vftme. si«°n.eomme | , sn,„ri0 Vfir de znnville. du moins Vi e„ flagrant, T 1 nn^rie peuven. ^ire ) îîg^gnt. 1 * «s- Uélit de formation ou d^e« situation ,Uel. ton,ours et cm ^h„vdA lw quais de Mai t agi! nons » »">• Mtc lie1"'1, ou 1 devant. Oslende f m ^ ye- ime rR ure Clo trente d'entre ei^ ,es J et comment. W™ dP ^ «<" 1a t"1°' naM défenses eNiéres._ An «• . „ rporiitor? ». ® Bel-1 "n ne pnss^dni». "0>" ^té neenmnli dans îtiè«. Uela nrouva m^de Grande-Bretagne et ?.?îîî»;hf France depuis un an. f,esiîic\teîs5e£okerÊîîi ; xt à la suite f^fvarmée atlemainde. viï» de ,^vea«deU»K ^ 13 I «S»^r®"nui9io« je , V , -udlemont Wtir, re- Po mte I Votre m'avait se ^ miliBoos. » *"» Of/i-1 r. Iislrjire et ro^-V dans Vassistane ■.. I le du I rn murmure P»?. f>Klsujtés nos 1»" P<>ni l puis, sans, presque . che.s q,JM Il-les I Vriers déléguèrent un ue ^ _ Aa n<J., en ?o«rdl Vu- ^ h doTa ^ "elles I ::on de La Has&» l'assistance. I.e '» 1 ' •relire Un frisson par«>OTm répondit . m du I Uw.\ allom&nd, blêmi.a- ^ Haye (sic,. 3 gou- , J'ignore la Convention de . Jeç,ls „ ' celles 1 — is"l'exécute ijuittèrent lui t Itn-1 Sarvs mot dire le- R (c létldcmam magne \ Aucun a en\ n- v** _ 1 lement I ;.insl qu'il av:ï:t^"L cos û "faits inquali'M-l qar la 1 voici, en iviison ^ ^ de Lolteren \ istilitê \ bJs „ le châtiment que la S enne- vient ce so voir Hebdomadaire est! r aussi, Désormais le nw<a^ ^ v& pu„u. un mp"»»1:! o^u^populattoo^^ Ss,' restaurant»! r. bu et 1 Toutes les •un bon sr>nl fermés d office , nature q'. il tracn du 1 3» Aucun yoh.cu!îe i i enc0ro dans le» 1 Havre. ?t n.ect admis a cuaue ijfleterre I tout le roon,ie le l'tr-1 %s X s;x heures du SOÎY 'I^ldoit^ercBirt-) a.0 i>»rfc DERNIERE HEURE Comaueiaùô sfisis! frasegis ir non- r- Paris, 15 octobre, 15 heures. £ EN ARTOIS, violent bombardement rù;i~ j_ proque poursuivi au cours de la nuit devant j Loos et au nord-est de Souchez. On signale ' aussi de vifs combats à la grenade dans les tranchées au sud du « Bois en Hache ». . Canonnade intense de part et d'autre , DANS LE SECTEUR DE USONS, ainsi 5. qu'ENTRE OISE ET AISNE, dans la. ré- , " gion de Puisaieine, de Quennevières et le . plateau de Nouvron. j EN CHAMPAGNE, nos batteries ont très éncrg'ic/uemevl riposté à la concentration j des \eux d'artillerie ennemie sur nos positions d'Auberive. ' AU FRONT DE LORRAINE, nos tirs de répression et dc barrage ont arrêté le jeu ; violent de l'artillerie, de l'infanterie et des ,e mitrailleuses allemandes devant Letricourt. Nous avons, d'autre part, dirigé des rafales , efficaces sur les ouvrages ennemis au nord, de Peillon. DANS LES VOSGES, une lutte très uiwè 5_ d'engins de tranchées s'est poursuivie aux environs de Chapelotte (nord~est de Badon-' villers) et sur les sommets du Linge et du j, Barrenkopf. Canonnade violente à VHart-mannswillerkopf et dans lu région du „j Fuedl. —vta-o». i, UN OiOUP IV?AIN ALLEMAND fcUX s IWOES NÉERLANDAISES e La Haye, 15 oct. — Un bâtiment de guerre hollandais a capturé en haute mer, tib 5" stèamer naviguant sous le pavillon améri-' eain et sous le nom «( Mayerick », se ren-® dant aux Indes néerlandaises avec une im-portante cargaison de matériel de eruerro destiné à armer des navires allemands in-terirés dans le port de^J^vp , depuis le début p de la guerre et der. (kVé-i Ï51 qn^ - 'c^ td° to ans, et d>. oe "à traaa» s iîSf\itsduïOW I S_-J o— ^ ))OMr— ' Im aveslkm du rccrwle»"^' ^®s'g0Uveinei ' •IsàR^HTaSe^ ■ convaincre Ws ^ ^domadave aeu> | exiqé du reç:>ut j ommes : il V . ' \ élevé, mardi, à S5.ww • acc0rde stas H f °W™TTiendre comrite des rfgj; ■4 Stto nouvelle oampa^e. »'\ de 'ord terbu. , ■ sous la dire la nouvelte et | » TITTICS reçoit d-e ' - \t> travail -mmm ïfsïS.ïJî'» h» » ™" \<&r\ wttjjgstts -rËS-'Se^ • Lo" !?,, relie réponse ■' « ^J-ailirnier que le rmt j 4 -afimi \'«,s P° "a déclaré qne, pour I enJ^Z„t ge la Douma W« v(lrler d'une ?Js?S»SS ■slfjs» ïsvas- » f r— ^ îrriU'. v'-l ' „ r, a enaagés à^0 a/fn fa n " asaâsrs MS^'&cîs ikUne '^ZTdes armes ^^rornetta-t » 5 ter .visgSV a? Vunan'î-l "«"Ç us. Jr vS-ehevêqne de Convc!V| Renient g;mr avdienre et mk^f Itèrent la I Fanciell «*^2^ endemam l ^ ^ inqualir:'i-1 connaît dan pas répondu e ' w— sfefR sastft-jfac r» - £ fc wrJSsurs , vl a,oide-t-il, que les comw« spc(mTS. nature q1; il I obli!?e éfl(,nswns ne rc dans lest ÇM -„„„iure ce constat 21e ANNEE. — Série nouvelle. —N° 55*> Le numéro : 10 Centimes rS IffîNTlHES Aîî Smedi nrtnh^ ioî«

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Dit item is een uitgave in de reeks Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique behorende tot de categorie Katholieke pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1895 tot 1940.

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