L'indépendance belge

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14 november 1917
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s.n. 1917, 14 November. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/b27pn8zd5h/
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■me année. Ne 269 L'INDÉPENDANCE orJS AYAUSVÎE-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE : 5 CENTS) -f, v - Ë^NISTR-ATION ET REDACTION: liSË STR-, HIGH HOLBORN, W.C. 1. ItEPHONE: HÔX,BO$lJ 1773-4 BUREAU A PARIS: 11, PLAGE DE LA BOURSE. TELEPH. : MERCREDI 14 NOVEMBRE 1917 En vente à Londres à 3 h. le mardi 13 novambre (3 MOIS, 9 SHILLINGS. ") ABONNEMENTS : • 6 MOIS, 17 SHILLINGS. ICONSERVATION PAR LE PROGRES. .1 AN, 32 SHILLINGS. J LA SITUATION »-*■ Mardi, midi. î retraite de l'aile gauche italienne 4 ( Piave supérieur n'à- pas été Sans fc ïaer de nouveaux sacrifices. Le corne * «lié de Berlin annonce la capture, 1 ;{secteur de Belluno et dans la val- 1 nPiâve, d'un total de 14,000 pries, mais le fait que l'ennemi dit < atteint-Félt-re indique que nos alliés ( ijimé enfin des régions où ils sont ' sesposés au danger d'être débordés. 5 pnvant sur les Alpes Vénitiennes, 1 lté du général Di'az dispose mainte-'d'une ligne relativement facile à ' dre, et la crue des eaux du Piave c L cette fois-ci nos alliés. Ceux-ci 1 a.quelques jours devant eux pour se 1 jsiî et regrouper leurs forces, et si 1 f. de temps a été mis à,profit, il doit < iirpossibilité, théoriquement, d'ar- 1 l'envahisseur. t ar le quart d'heure, l'armée Ua~ ! «est pauvre en artillerie, et la tâche :ipale pour les Alliés consiste à la c Sper en canons de tout calibre, st évident que l'ennemi est en c re, et il le sera pendant quelque 1 i encore, de tirer avantage de sa 1 •iorité écrasante en artillerie, et il 1 i certainement- de cette situation : s avantages qu'elle .comporte. ;i«és comme ils le sont, manquant ( illeïie, nos alliés ont intérêt à main- 1 l'ennemi, sur la ligne du Piave, 1 : que celle-ci constitue la ligne de J [Mlu plus courte, ce qui, dans les kAsboÎh actuelles, est tout à leur " fj»c. Mais Ile risque d'être débordés J le nord subsiste toujours pour nos , et g'est là une menace qu'il con- 1 de ne pas perdre de vue. ar le moment, les attaques autri-nes dans le Trentin ont pu être tenues, et on est eu droit de supporte trqupes qui ont arrêté l'offen- j ju printemps 1916 sont à même de ^ Kir celle de l'hiver 1917. Heureusement, la situation générale plus la même, et sans s'alarmer ou ^ fera des considérations pessimistes, } It prudent d'envisager la nécessité ] le retraite nouvelle. j Bmmele fait très justement remar- -f ï un journal italien, la ligne de l'A- ; est celle que l'Italie aurait dû adop- j pas où elle aurait été obligée de se lire, seule, contre l'Autriche-Hou- ( jet si ce sacrifice devait être néces- { rpour sauver l'armée, il ne saurait < question d'hésiter. c pille de Venise, quoique située bien rièrede la ligne du Piave, se trouve 1 jbte dans la zoâe des armées, et c'est s :en sauver les trésors inestimables c le gouvernement italien en a-interdit i h à l'année, neutralisant ainsi la i et ses environs immédiats. Tout c pi peut être sauvé est ra- -? "en arrière et des trains sont .s gratuitement à la disposition 1 habitants qui désirent partir. D'au- c part, nos alliés, en se retirant, dé- g pt tout ce qui peut être utile à l'en- e jet c'est à un véritable massacre de \ [miles que se livrent, depuis quel-jours, les troupes du génie ita- c k afin de priver l'ennemi des, <' s d'observation qu'ils constituent. ' c ^ont là de sages quoique pé-l ( îiblea mesures, car il est nécessaire de aira-le vide le plus complet devant un s-nnemi qui ne respecte rien et qui cou-raiut la population civile à travaille; )our lui en dépit de toutes les convenions et de toutes les lois humanitaires, Or, tous ces sacrifices nous eussent'été épargnés si nous avions pu nous résou-h'e plus tôt à cette coordination des ef-orts à laquelle nous arrivons finalement sous la pression impérieuse des événe-nent s. Comme l'a rappelé hier M. Lloyc ieorg-o au Conseil de Guerre iîiter-allie lui siège à Paris, les désastres serbe, rou-nain et italien eussent pu être évités si es Alliés avaient réellement considéré o-us les fronts _ comme un seul théâtre ['opérations et si nous avions subor-lonné à la préoccupation de gagner la guerre, les questions de susceptibilité et le prestige qui ont, jusqu'à présent, ormé obstacle à l'union si souvent pré-onisée.Le Premier Ministre a ajouté que si ela ne changeait pas, il n'assumerait dus les responsabilités d'une guerre ap-)eiée à aboutir à une catastrophe faute l'unité I Ce sont là des paroles graves, mais qm out homme consciencieux et lionnêt. !omprendra. Ce qui est décourageant jour tous ceux qui prennent réellement :a conflit à cœur, c'est de voir le manque l'organisation, de coordination et de vo-■onté: qui paralyse toutes les actions des Vlliés. Il est parfaitement superflu de le lier ou de le cacher, et c'est le devoir de a presse de faire comprendre aux liom-nes, responsables du pouvoir, qu'il? -ont ÈDu-devant de gravés mécomptes s'ils ■oiitinuent à persévérer dans les erreurs lu passé. Alors que sur le front occidental la ituation est inchangée, les nouvelles de 'alestine-continuent d'être très favora->les. Après une retraite de plusieurs ours, les Turcs essaient de sauver Jéru-ade.m et Hebron en offrant de la résis-ance le long d'une ligne à peu près pa-•allèle au chemin de fer qui traverse la 'alestine du nord au sud, mais les trou->es britanniques ont déjà déborcîé p»r-iellement les deux ailes ennemies et tout ndique que la poursuite de.s Turcs pour-a être reprise incessamment. La situation en Russie est toujours loin l'être claire, et il faudra sans doute at-enclre plusieurs jours avant de pouvoir j faire une idée à peu près exacte du ours pris par les événements. D'Un côté on affirme que Kerensky. io.rnilofï et Kaîedine, ainsi qu'Alexeieff, ont d'accord pour supprimer l'anarchie, [ue Kerensky dispose de 200,000 hom-nes, en marche sur Pétrograd, et qu'un louveau gouvernement, constitué saris ït on cours des socialistes, a été constitué à ,loscou, comprenant M. ltodziauko, pré-ident de la Douma, et le général Korni-ôff. D'autre part, on dit qu'il y a eu les collisions sanglantes tant à Pétro-;rad qu'à Moscou, que des banques ont •té pillées et que le banditisme sévit un >eu partout. Signalons,également qu'il est inexact, ontrairement aux affirmations précé-lentes, que les Iles Aaland auraient ete iccupées par les AHemands — et attelions..—«— in ii i ■■ uubMa felï EHItOPEENNï Il LE FROMT MERIDIONAL 'E COMMUNIQUE ITALIEN p italiens résistent dans le Trentin l®e. lundi- soir. — Du Stëlvio (prè j frontière suisse) jusqu'à l'Astic< i'in occidental) aucun événemen litant ne s'est .produit hier. f1 'e plateau d'Asiago, l'ennemi i 1"%' dans l'après-midi, ses atta I "Ur nos» lignes dans les secteurs d< Nont Lougark — Côte 1,674 — tl l' di Qallio (Gallio est à 4 kil Bord-est d'Asiago, et la ligné dési I a-dessus s'étend à environ 6 kilo lC5 au nord de Gallio). ■action ennemie a complètemen ln'-' fous le feu de notre artillerie e infanterie; à l'extrémité sep lionale du front d'attaque, où un ' "dte d'infantçrie eut lieu, iio troupes ont 'contre-attpqué et sont par-1 venues à faire quelques prisonniers. - _ Sur le restant du front montagneux, au cours d'engagements avec les avant-gardes ennemies, nos ti'oupes avancées ont solidement résisté partout. Dans la plaine traversée par le Piave, 5 un feu violent est signalé. > LES COMMUNIQUES ALLEMANDS ^ Berlin, lundi.—Les troupes montées wurtembergeoises et austro-hongroises ont fermé la route à l'ennemi en retraite " dans la vallée supérieure du Piave. Dix 3 mille Italiens ont été forcés de se rendre. ? Nos troupes qui ont poussé en-avant de Belluno en aval du Piave, se trouvent - devant Feltre (qui se trouve à environ 5 - k. et demi à l'ouest du Piave et à 2 k. en aval de Belluno). Sur le Piave inférieur t il n'y a rien à signaler. t ' V Berlin, lundi soir.-—Dans la vallée du 3 Cordevôle, à l'ouest de Belluno,* 4,000 «i Italiens ont été faits prisonniers. el palestine —*— > La défense de Jérusalem Le général Allenby signale que les Turcs, après avoir battu en retraite sur une distance de 48 kilomètres, organisent une nouvelle ligne à travers la plaine Philistine et les collines basses de la Judée, couvrant Jérusalem et Hebroif. Le milieu de cette ligne, -qui s'étend de la côte vers le sud-est, est à environ 37 kilomètres de Jérusalem. Les troupes montées britanniques et les troupes écossaises sont déjà en contact avec les deux flancs de cette nouvelle ligije et des combats d'avant-garde ont eu lieu et se sont terminés à l'avantage de nos Alliés. - ei mim orientale Trois hôpitaux ennemis capturés Remontant la vallée du Lukeledi, à quelques kilomètres au rroM de la frontière de la colonie portugaise, les colonnes britanniques ont rencontré dèux autres hôpitaux contenant de nombreux soldats çnnemis, et les derniers canons de marine allemands, qui avaient.été détruits par explosion. Au nord-ouest un hôpital contenant des malades des troupes ennemies ayant défendu Ma-henge, s'est également rendu aux forces 'britanniques. Le gros des forces allemandes est poursuivi rie près: • vm raiiE Un discours de M. Lloyd George Au déjeuner offert hier par il. Pain-levé au ministère de la guerre à Paris, M. Lloyd George a parlé de la situation actuelle des Alliés avec ce qu'il a appelé "une franchise peut-être brutale," et a déclaré, au sujet du Co«seil de guerre iuter-allié, qu'il fallait une unité réelle et non une unité de façade. Voici lés principaux passages de son discours : 31. Lloyd George posa les deux questions suivantes, ^uquelles il répondit lui-même : 1. Pourquoi ce Conseil . de guerre a-t-il été établi maintenant? 2. Pourquoi n'a—til pas été créé plus tôt? Pour répondre à la première question, il rappela la tragédie-serbe 'de 1913, la tragédie roumaine de'191Get le désastre italien; ce ne sont certes ni les soldats ni les marins qui sont à blâmer; les fautes sont dues au fait qu'il n'y avait pas d'autorité responsable pour unifier les efforts des Alliés; toutes les tentatives faites jusqu'ici pour obtenir cette unifé ont été vaines. Tels sont les faits c^ui répondent à la première question. Quant à la seoonde : ce sont les préjugés nationaux, la susceptibilité nationale des questions de prestige ou de délicatesse qui ont empêché la formation de ce conseil auparavant. M. Lloyd George déclara (ju'il luttait depuis longtemps pour arriver à cette coordination indispensable» L'invasion de l'Italie aura peut-être un bon côté, car sans cette grande leçon nous n'aurions peut-être, jamais atteint cette unité réelle. A moins qu'un changement ne soit effectué, dit M. Lloyd George, "-je ne pourrais accepter plus longtemps la responsabilité d'une guerre vouée au désastre par manque d'unité." Discours de M. Painlevé Répondant au discours de M. Lloyd George, M. Painlevé rendit hommage aux énormes services rendus par l'Italie aux Alliés, et déclara qu'aucun Français ne pouvait oublir que c'est la neutralité bienveillante de l'Italie en 1914 qui permit à la France de diriger toutes ses forces contre l'envahisseur. En ce moment, dit-il, par tous les chemins de fer, par toutes les routes, des soldats, français et britanniques, des canons et des munitions sont dirigés au delà des Alpes. L'aide sera proportionnée au péril. Il faut que les Alliés mettent en commun toutes leurs ressources, toute leur énergie, toute leur volonté de vaincre. Un' front, une arméè, une nation, tel est le programme de la victoire future. Ceux qui parlent de paix en ce moment trahissent-, consciemftient ou inconsciemment, les intérêts de leur pays, de la civilisation et de l'humanité. Ne se sont-ils pas demandés ce que^signifierait pour le monde une paix signée sous la menace triomphante du militarisme prussien, une paix misérable et honteuse? Plus rien ne pourrait les libérer, ni eux ni leurs descendants. Non ! Toutes nos pensées doivent aller à la guerre, et à la guerre seulement, jusqu'au jour où le droit triomphant surgira des champs de -bataille. Déclarations de M. Bonar Law v M. Bonar Law a donné à la Chambre clés Communes quelques renseignements sur le nouveau conseil de guerre ; celui-ci comprendra le premier ministre et un membre du cabinet des gouvernements de France, d'Italie, et de Gramde-Breta-gne, et se réunira à Verseilles au moins une fois par mois. Chacun des Puisi-sances désignera un délégué militaire permanent comme conseiller du conseil de guerre. Ces délégués seront indépendants des états-majors cle leurs pays et n'auront pas defonctions exécutives,mais ils donneront leurs avis au conseil de guerre sur toutes les questions affectant la coordination de la stratégie alliée. Les états-majors et les commandants militaires des armées de chaque Puissance çhargée de la conduite des opérations militaires ijesteront responsables envers leurs gouvernements respectifs. Les délégués militaires et leur personnel siégeront- en permanence à Versailles. le c0mp d'etat russe Kerensky à la tête des armées M. Kerensky a publié une proclamation annonçant qu'il reste commandant en chef, jusqu'à ce qu'une décision ait été prise par le gouvernement provisoire. i Une défaite extrémiste près de Pétrograd \ D'après une dépêche de Copenhague, un combat se poursuit sur la route de Gatehina à Pétrograd, à dix kilomètres de la capitale, entre les troupes de Kerensky et des Bolshevîks; l'issue en est considérée comme certaine. Des déserteurs bolsheviks qui. sont arrivés à Pétrograd déclarent que la victoire est du côté de Kerensky. • ^ Dans les camps bolsheviks à Pétrograd, la confusion et la discorde prévalent. Tous les ministres du cabinet précédent, à l'exception du ministre des affaires étrangères et du ministre du commerce, ont été libérés. Lès cheminots et les organisations officielles appuient le comité de Salut Public et Maxime Gorky lui a également donné son adhésion. Le général Kaledin, commandant en chef des Cosaques, a refusé d'obéir aux Bolsheviks et s'est joint à Kerensky. Les troupes extrémistes se composent d'environ 50,000 hommes et d'un nombre considérable de marins, mais ces derniers ne sont pas entièrement d'accord avec les Bolsheviks. Un délégué du nouveau Comité de Salut Public qui négocie avec les hommes de la marine, dit que des opinions divergentes prévalent parmi eux et que cjuelques-uns d'entre-eux mécontents de l'attitude de Lénine rompront avec les Bolsheviks. — Central News. La situation Les Bolsheviks ont abandonné leur attitude offensive, se considérant à présent comme les défenseurs de la l'évolution contre les armées de Kerénsky, cle Korniloff et de Kaledin. " . Le quartier général de l'armée §-'est-prononcé en faveur d'une combinaison des groupes démocratiques. La garnison de Pétrograd a élu un comité spécial afin d'assurer la sécurité cle la population. L'Union 'des chemins de fer a retardé la grève générale de 12 heures et les négociations ont été reprises. Dimanche matin à la première heure, les cadets cle l'armée ont oacupé le bureau des téléphone . Vers midi, les partisans extrémistes ont-tenté de le reprendre.Quatre écoles de cadets ont .été assié gées>. Sommés de se rendre, les jeune-officiers ont refusé, 'agissant par ordre.'-Quelques combats eurent lieu, et à l'école Vladimir la lutte se prolongea; les troupes révolutionnaires durent faire usage de leurs canons, endommae-eant assez sérieusement le bâtiment. L<.r.> que l'école fut prise parla "G a.'le Rouge," quelques cadçts furent tués, et leurs cadavres furent jetés dans la rue». Un commissaire du comité militaire révolutionnaire, se trouvant parmi les forces assiégeantes, fut presque lynché parce qu'il tentait de sauver la vie des cadets, et il n'échappa à la mort que grâce aux efforts d'un comité municipal arrivé à propos. A Moscou, la situation est indécise et les informations reçues à Pétrograd de cette ville sont contradictoires. Suivant un télégramme clu 12 novembrej après un violent combat au cours duquel il y eut de part et d'autre 700 tues et blessés les partis auraient signé un compromis, décidant la création d'un gouvernement socialiste comprenant des Bolsheviks. L» commandant du district- militaire d« Moscou aurait accejité cette solution. A Odessa, la nouvelle du soulèvement extrémiste a produit une grande excitation. Un comité révolutionnaire fut immédiatement constitué pour soutenir le ^ mouvement extrémiste, mais la muiiici-palité, le Comité des postes et té-légra- ' plies, la Conférence des paysans siégeant à^Odessa et une grande partie de l'opinion publique s'y opposa. Aucun acte de violence extrémiste ne s'est- produit à Odessa. Les conseils de l'armée des fronts méridionaux, sud-occidental et caucasien sont, dit-on, absolument opposés au mouvement extrémiste. Quant aux autres provinces, les informations sur la situation créée par les extrémistes font totalement défaut. Le Japon et la crise russe Les nouvelles inquiétantes de Russie ont créé à Tokio un malaise, qui s'est traduit par une baisse dans les cours du change et par d'autres symptômes. On s'attend à une action du gouvernement conforme aux désirs des Alliés. - AUTOUR de la GUERRE ARGENTINE — Les troubles provoqués par les cheminots argentins ont recommencé samedi dernier; les grévistes ont incendié les wagons du Chemin de fer de l'Ouest. L'attitude des cheminots peut être attribuée à la confiance qu'ils ont dans l'appui du gouvernement. Le journal "Na-cion," rappelant lia faiblesse du gouvernement lors des grèves récentes, dit que c'est à ses effets désastreux que les troubles aujourd'hui doivent être attribués. ETATS-UNIS — Des dégâts s'élevant à Fr. 373 millions ont-été occasionnés par un incendie dans une usine de New-York. GiîANDJE-BMEïAGNE —■ Au. cours d'une réunion tenue à Manchester, sir Arthur Yapp, directeur de l'économie alimentaire, a indiqué les rations qui ne devraient être dépassées en aucun cas. En ce qui concerne le pain, les distinctions sont faites d'après le travail fourni par-les individus.'' Hommes fournissant un rude travail industriel ou agricole : 8 livres par semaine. Hommes fournissant un travail industriel ordinaire ou tout autre travail manuel : 7 livres. Hommes inoccupés ou d'çccupation sédentaire: 4 livres 8 onces. Femmes fournissant un rude travail industriel ou agricole: 5 livres. Femmes fournissant un travail industriel ordinaire ou en service domestique, 4 livres." Femmes inoccupées ou .d'occupations sédentaires :■ 3 livres 8 onces. Pour les autres aliments, sans distinction d'individus: Céréales autres que le pain, 12 onces par semaine; viande, 2 livres; beurre, margarine, lard, huile et graisse, 10 onces ; sucre, 8 onces. Les enfants recevront des rations raisonnables, dont les proportions n'ont pas encore été établies. DERNIÈRE HEURE Un succès italien Lés dernières informations confirment le succès des troupes italiennes dans la région de Gallio, qui sont parvenues à rétablir les communications avec le Val Sugana et le Val Brenta. — Cen+iral News. i

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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