L'indépendance belge

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s.n. 1915, 30 Maart. L'indépendance belge. Geraadpleegd op 03 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/ms3jw87r4v/
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|6èai« antécu No. 76 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI: ONE PENNY BELGE. CONTINENT : 15 CENTIMES Administration et Rédaction, Tudor House, Tudor Street, E.C. TELEPHONE: CITY 3960. LONDRES, MARDI 30 MARS 1915. [REGISTERJ3D AS a NIiWSPAPEE.3 Conservation par le Progrès. SOMMAIRE. LA SITUATION: Nouvelles victimes des pirates allemands.— Trois navires coulés. — Echec de l'offensive allemande sur le Niémen. — Progrès russes dans les Carpathes et en Galicie L'attitude de la Grèce. — Déclarations de M. Venizelos. L'heure approche. — Roland de Mares. Un sermon dangereux. — Camille Roussel. Lettre d'Italie. — Silvio. Dans la province de Liège. Pour la constitution de corps belges volontaires d'entraine» ment en Angleterre. — Henry Scgaert. Billet parisien.—Jean-Bernard. La Chambre de Commerce Belge de Londres. — Z. Z. Faits menus, menus propos. —Bob. A Manchester. Echos. Lettre d'un soldat allemand à sa Gretchen. Bibliographie. Naissances. Partie financière. LA SITUATION. Mardi, midi. faction que les premiers coups de Les pirates teutons viennent de don- canon entendus à Constantinople étaient ner la mesure de leur lâcheté et de leur ce«x de la «narine russe. Les opérations militaires en France inhumanité. . se sont bornées à un violent combat au- l n de leurs sous-marins les plus mo- tour ^es Epargeg 0ù les Allemands ont dernes, et par conséquent les plus ra- réussi à réoccuper une partie des tran- pides, a arrêté dans le canal Saint-Geor- chées perdues le 27. Les Français non ges le vapeur britannique " Falaba,"et, seulement se maintiennent dans les au-sans donner le temps nécessaire aux pas- très, mais ont pu faire des progrès sur sagers et à l'équipage de prendre place d'autres points. dans les embarcations, l'a coulé. La nier En Champagne et en Argonne il n'y étant fart agitée, plusieurs enrbares- a •eu que des duels d'artillerie. tions chavirèrent et le résultat fut que Le front belge est mentionné aussi cent personnes périrent. dans les derniers bulletins issus à Paris. Or, pendant que les malheureuses N'ieuport-Ville et Nieuport-Bains ont,été, victimes se débattaient dans l'eau gla- Jne iois de plus, bombardés par les Teu- ciale, tendant les mains pour qu'on leur tons Q111 veulent sans doute y empêcher jetât une bouée de sauvetage, l'équipage toute concentration de troupes en vue du sous-marin, non seulement leur re- d'u,n mouvement offensif. Au cours d» fusa tout secours, mais ricana à la vue ce bombardement de legers degats ont de leur détresse. ete occasionnés au pont jeté sur 1 Yser. „ , , , . , Plus au sud, du cote d Ypres, un poste Fort heureusement un bateau de ,, , . „ \ V . /, , . , , • , . d observation des Allemands a ete demo- peche qui avait assiste de loin a la ,. . • 1 , 1 , h par notre artillerie. scène, put approcher et reccuilhr les V, . c . ■ . . , ., ,. , . ' F . ,,, , , Sur le front oriental, la situation n a survivants qui furent débarques a Mil- , . , ' ,. . [ îTi. su"' aucun changement essentiel. oic aven. ^ L'offensive allemande sur le Niémen t et inqualifiable attentat provoquera, esj. arrêtée. Le feu des batteries de nous n en doutons pas, la plus \ i\e indi- sièg.e allemandes établies à Ossowiec gnation dans le monde entier. n'est plus que très irrégulier. Sur la D'autre part, on signale la perte de Szkiva les Allemands, après un violent deux autres vapeurs, 1' "Aguila," coulé engagement, perdirent le village de par un sous-marin, et le steamer hollan- Wach et durent laisser aux mains des dais "Amstel," qui entra en contact Russes de nombreuses mitrailleuses. avec une mine à hauteur de Flambo- La bataille des Carpathes fait toujours rough. L'équipage de 1' "Amstel " k rage. Les Autrichiens, attaqués par des été sauvé, quant à celui de I' "Aguila," forces supérieures, se defendent avec vingt-trois hommes manquent à l'appel, acharnement du côtédes passesd'L'szok, ainsi que trois passagers. ainsi qu'à l'ouest de Banyarolgy, mais Le bombardement des forts du Bos- sans parvenir à arrêter l'avance métho- phore par la flotte russe de la Mer Noire dique de leurs adversaires. a produit d'excellents effets, et les tor- En Galicie, les Russes enregistrent pilleurs turcs qui essayèrent d'effectuer également des progrès marqués. une attaque furent repoussés, et un qua- ' Dans le Caucase la région de Chorok trc mâts ennemi qui tenta de pénétrer est toujours l'objet de violents engage- dans le détroit fut coulé. ments: Les Turcs ont mis le feu à Art- En Russie, la participation active de vin, qu'ils furent obligés d'évacuer. On la flotte aux opérations des Alliés a pro- signale des actions assez importantes yoqué un grand enthousiasme et lès dans la direction de Soganluli et dans la journaux constatent avec une vive satis- vallée d'Alashkert. L'HEURE APPROCHE. ■ ♦ « Paris, 26 mars. lemands à envoyer une armée dans le Que les Russes avancent ou reculent Nord et à modifier totalement le..r front en Prusse-Orientale, cela n'a qu'une im- de combat. Le plan de Hindenburg se portance toute locale et très relative. trouve bouleversé par cette tactique et, J'ai déjà exposé aux lecteurs de " l'In- pendant ce temps, les Russes s'assurent dépendance" que je ne crois pas à la la pleine liberté de leurs mouvements là portée pratique d'une poussée russe à où ils éprouvaient quelque difficulté à travers ces régions de l'extrême nord- se mouvoir devant les masses alleman-est prussien. Au point où nous sommes des. C'est admirablement joué, et cette arrivés dans l'ensemble de la guerre eu- tactique, qui consiste à menacer soudai-ropéenne, j'y crois moins que jamais, nement l'ennemi sur les points où il s'y Regardez attentivement la carte et vous attend le moins, est celle qui convient à comprendrez que les Russes ne peuvent une Puissance disposant d'énormes réopérer en Prusse-Orientale que par sim- serves et pouvant assigner à des armées pie manœuvre, pour "décongestionner" entières un rôle purement local sans af-à une heure déterminée tout autre point faiblir le moins du monde l'ensemble de du front. Il y a quelques mois, la brus- son front principal. que poussée moscovite vers Thorn obli- Ce n'est pas dans la Prusse-Orientale gea les Allemands à dégarnir leurs li- proprement dite qu'est le rôle vraiment gnes devant Varsovie; aujourd'hui, le efficace de la Russie. Ce n'est pas là que coup d'audace sur Memel oblige les AI- les légions innombrables du Tzar ge ■ vent frapper au cœur les Puissances au- campagne, cherchera probablement à tro-allemandes. Dès le début, le plan conclure une paix séparée, qui l'affran- russe s'est dessiné très nettement : con- chira du même coup de toute tutelle tenir la contre-offensive allemande en autrichienne; l'Autriche se trouvera Pologne pendant que les armées du Sud acculée à toutes les abdications : elle se marchaient méthodiquement à la con- résignera à voir les Serbes s'établir en quête de la Galicie et de la Bukovine. Bosnie-Herzégovine, les Russes en Ga- L'occupation-des régioYis déslîéritées de licie, les Roumains en Transylvanie et la Prusse-Orientale ne peut mener a au- les Italiens dans le Trentin. cune solution politique du conflit euro- Przemysl est ainsi le commencement péen, tandis que l'occupation de la Gali- de la fin, — comme Constantinople, cie est grosse de conséquences à longue avant peu, sera la fin dernière. Alors, portée. Maintenant que Przemysl est l'Allemagne, ses deux alliées, la Tur- tombée et qu'une puissante armée russe quie et l'Autriche-Hongrie, étant hors devient libre de ce fait, nos Alliés peu- de combat, se trouvera seule à devoir vent, à leur choix, conquérir la Buko- se défendre contre les nations qu'elle a vine, envahir la Hongrie ou, renforçant imprudemment provoquées. Elle sait leur marche au sud de Craoovie, envahir qu'on ne transigera pas avec elle, qu'elle les riches provinces allemandes de la Si- n'a aucune coupable complaisance à at- îésie et de la Posnanie. C'est par le sud tendre de qui que ce soit, qu'on la ré- que les Russes atteindront le plus sûre- duira à l'impuissance, qu'on ne dépo- ment les Allemands ; c'est par la ruée sera les armes que lorsque des garanties sur Posen et sur Breslauqu'ils abattront seront prises contre tout nouveau risque îe colosse. de la politique pangermaniste. Il ne faut pas se dissimuler que la ca- On commence ainsi à distinguer le pitulation de Przemysl constitue l'évc- développement logique et inéluctable de nement le plus considérable de la guerre la grande tragédie. On se rend compte européenne depuis la victoire française que cette campagne d'hiver a définitive- de 'a Marne. Abstraction faite des ment "mûri" la situation et que l'usure, 120,000 hommes capturés avec plus de l'usure de chaque jour, de chaque 2,000 canons qui ne cracheront plus d'o- heure, par la guerre de tranchées, a fait bus, la chute de Przemysl a une impor- son œuvre. L'heure décisive approche, tance purement politique telle qu'elle et si des "neutres" estiment que la pourrait fort bien changer à bref délai la carte de l'Europe ne peut être remaniée face des choses. L'Autriche-Hongrie a sans qu'on leur permette de faire va- joué ses derniers atouts, et elle a perdu loir leurs revendications nationa'es et la partie. Elle est à bout de forces, à leurs droits historiques, qu'ils se hâ- bout de sacrifices, à bout d'expédients, tént de prendre leur part des responsa- Le " fidèle second " de l'Allemagne est bilités et leur part des sacrifices, car terrassé. Incapable de reprendre l'offen- demain, peut-être, il serait trop tard sive contre les Serbes, il est impuissant à et la libération de l'Europe de ''hégé- endiguer le flot moscovite qui va dé- monie prussienne se trouverait accom- fërler dans 'a plaine hongroise. La pl'e sans eux et en dehors d'eux. Hongrie,, qui va faire les frais de la ROLAND DE MARES. UN SERMON DANGEREUX. . ■ » ■ Mardi. Malgré toutes les bonnes causées en partie par les différentes conceptions volontés, les questions d'ordre politique passion'de^christ^641611110' °e QU1 resarde la se révèlent... même en Angleterre. Cer- Si ces conceptions sont profondes, et je n'en tes, ceci ne . concerne pas les Belsres, et pas' 61168 oauscront <3e3 divisions, mais ces , ., r . - , . divisions no proviennent toujours, et, comme nul d entre nous ne songe a intervenir toutes les divisions. Que du fait que nous n'appro- dans ces questions qui intéressent parti- fondissons pas suffisamment. culièrement nos amis... Ces idées sur "l'unité" sont, en An- Mais au point de vue objectif, les Bel- gleterre, anachroniques, en matière re- ges peuvent évidemment prendre leçon ligieuse. Ce qui fait la puissance de l'i- 1C'-" dée morale, c'est précisément la divi- Les journaux anglais s'occupent beau- sion. En effet, la division empêche Pau- coup d'un sermon prononcé à Eton Col- tocratie d'une secte, et permet la liber- lege Chapel dimanche dernier par le Dr té... Autre chose est Punité dans la ques- Lyttleton. ^ tion militaire, H," scr™on -J En Belgique, ce qui produit une des l Eh, oui . faiblesses de la religion (nous parlons de Les lettres pleuvent dans les rédac- faiblesse parce que la religion n'atteint s tions... et sont publiées. pas la majorité de la classe intellectuelle) ( Le sermon en question procède du c'est qu'elle est autocratique : elle n'est 1 " sermon de la pitié." La pitié est en fa- pas suffisamment divisée, et, à ce point < veur des... Allemands. D'autre part, le de vue, l'exemple de l'Angleterre est ( Dr Lyttleton parle — et ceci est impor- édifiant. Les Anglais sont bien heureux : 1 tant —de l'utilité de l'unité " en toutes En ce qui concerne la partie du "ser- 1 matières pour les peuples et aussi en ma- mon dangereux" du Dr Lyttleton, re- 1 tière religieuse. lative à la pitié pour les Allemands, un ( Et, malheureusement, il se place à un lecteur rappelle des vers d'Edward Lear ( point de vue qui a vivement froissé les q-ui caractérisent la situation : les Aile- 1 auteurs des lettres de protestation, et mands, sentant qu'ils ne peuvent plus ; qui indique la vitalité de la pensée dans arriver à la conquête du monde, ne com- 1 ce pays. Il a dit, notamment : mettent plus aujourd'hui autant d'atro- s Les mois Qui viennent de s'écouler ni>us ont cl^és. montre" l'importance qu'il y a à être unis, impor- j, était un vicil Homme ; j. . „ c i tance dont nous ne nous faisions pas idee _ Vais-je fuir loin de cette terrible vacST? < Si le pars est appole a etro sauve du péril si je ra>assleds sur ^ barrière actuel, ce sera a son uœte «u il en sera redevable. Efc gi je contirmo à souriro Si notre ennemi est forrmdab o, c est a cause aussi j'adoucirai le cœur d« la v'ache " ( de son unité: et 3e veux établir un parallele entre ^ œ sujet et celui qui nous a assemblés, en ce jour Les Allemands essaient de sou rire au- et en cette semaine, la Semaine-Sainte, pour mon- Jourd'h-lli ! trer l'unité, en ce qui concerne l'Eglise Chré- J * rvAA/fTT T rr r~\ ^ tienne; ou, en d'autres termes, nos divisions sont CAMILLE ROUSSEL. { — c LETTRE D'ITALIE. Situation obscure.— Silence du gouvernement. — Symptômes contrad ctoires.—Les neutralistes et M. de Bulow.—Resis. tances autrichiennes.—L'Italie et le b.'oc balkanique. 1 Rome, 23 mars 1915. neutralité italienne. Nous sommes ainsi c La situation est toujours incertaine, dans un état d'esprit qui nous permet 1 et je ne saurais concevoir la possibilité de former toute espèce de conjectures et s de rencontrer un homme capable de dire de concevoir tous les espoirs et toutes les t avec précision où nous en sommes. La craintes. I Chambre a pris hier soir des vacances Le silence du gouvernement peut pa- t sans que le gouvernement, en la congé- raître inquiétant, mais, d'autre part, on r diant, ait éprouvé le besoin de jeter quel- sait que les autorités compétentes pour- r que clarté sur ses intentions et sur ce suivent, avec une activité fébrile, la pré- r 'que peut valoir, à l'heure qu'il est, la paration militaire et prennent les me- !■ Pâques, 1915. LES SERVICES des :: MOTOR-BDS :: vers les CENTRES D'EXCURSIONS COMMENCERONT le Vendredi-saint, ET FONCTIONNERONT LE dimanche de Paqurs, le lundi de Pâques, ET LES dimanches suivants. CONSULTEZ LES AFFICHES ET HORAIRES The L on tion General Omnibus Co, Ltd., Electric Railway House, Broadway, Westminster, s.W. 94 ;ures et les précautions qu'on ne prend ju'au dernier moment, c'est-à-dire, à la 'eille de la guerre. Je sais à ce sujet des létails très significatifs. En de certains :oins, on se dit mv.me dans le tuyau de 'oreille qu'après Pâques, les derniers iens de la neutralité seront brisés et 'on cite même la date du 7 avril comme :elle du jour où sera proclamée la gran-le décision et où seront comblés les -ceux de ceux qui sont convaincus que ;ans la participation à la guerre, l'Italie estera avec les mains vides et verra sa ,ituation dans l'Adriatique empirer. Mais, d'un autre côté, les neutralistes ont à mauvais jeu beau visage et gar-lent un silence qu'ils voudraient rendre ;i'oyllin. Us ne se gênent même pas, [uand ils consentent à rompre ce si-ence, pour dire que M. de Biilow a en-:ore plus d'une corde à 'son arc et que es négociations pour forcer PAu-riche à céder et pour ménager une entente entre celle-ci et l'Italie, ont en bonne voie. Vous savez que :es négociations ont pour objet de dé-:ider le gouvernement de Vienne à sa-isfaire bénévolement en tout ou en parie les aspirations italiennes et à consen-ir à opérer une automutilation pour évier les ennuis d'une agression italienne. Il s'agit, il est vrai, de savoir si, nême dans le cas où la diplomatie des labsbourg se résignerait à faire les sa-rifices qu'on lui demande, l'opinion ita-ienne se déclarerait satisfaite, surtout i ces sacrifices ne comprenaient pas ous les territoires que l'Italie réclame. 1 y a ici des gens qui pensent avec rai-on que les territoires acquis par ce noyen courraient fatalement le risque de etomber, après la guerre, sous la domï-ation autrichienne et' qu'au demeurant 2 fait d'avoir recueilli ces bénéfices ea

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Dit item is een uitgave in de reeks L'indépendance belge behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1843 tot 1940.

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