L'écho belge: journal quotidien du matin paraissant à Amsterdam

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16 januari 1915
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s.n. 1915, 16 Januari. L'écho belge: journal quotidien du matin paraissant à Amsterdam. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/610vq2t59q/
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^er© Aimee N°. S5# 5 cents CIO Centimes) Samedi lö janvier 1913 Journal quotidien du matin paraissant a Amsterdam Comité de Redaction: £'(/mo/f faft fa Force. Toutes les lettres &oivettt être adressées au bureau de redaction: N.55. VOORBURQWAL 234-240. Telephone: 2797. Rédacteur en Chef: Oustave Jaspaers. Charles Bernard, Charles Herbiet, Gustave Peellaert, René Chambry, Emiie Painparé. Beige est no f re nom de Familie. Pour les annonces, abonnements et venteau numero, s'adresser a 1'Administration du journal: N.2S. VOORBURGWAL 234240.Telephone: 1775. Abonnement f En Hollands fl. 1.50 par mois. payable par anticipation \. Etrangerfl. 2.00 » n Vittoria" qui & trouve cela! Comme si l'Allemagne respeoterait un semblable traite , 1© jour oü il s'agirait de substituer son hegemonie propre a oelle de son alliee. Le jour oü l'ambassadeur de S. M. Victor Emmanuel aurait la naïveté de rappeler un tel traite a la Wïlhelmstrasse nous assisterions vraiment a une scène plaisante. Sans doute M. von Bethmann-Hollweg n© rééditerait pas Tanecdot© du „chiffon d© papier" qui lui a valu un© fois tant de succes. Non bis in idem. Il se contenterait de dire a l'envoyé italien: „Hé, de grace, tourn©zvous. Qu'avez-vous fait vous-même du traite d'alliance qui vous obligeait a vous battre avec nous?" Mais les Italiens sont bien trop fins pour êtr© dupes. Charles Bernard. — Fort bien, dit eet homme, nous allonsenquêter sur place.i§>~.% ■ La dame et 1'officieaJe mettent én marche. fis atteignènt bientöt le poste de Beirendreoht. Petit conciliabule en allemand — 'què la dame ne comprend pas — entre [supérieur et inférieurs. Puis, cette stufé■fiante■ phrase: Ces hommes disent n'avoir jrien pris. Et puis, avez-vous des témoins? Des témoins? Mais il n'y a que les soldats presents et qui, maintenant, se. tiennent comme larrons en foire ... La dame en a !eté quitte pour son or... Nous connaissons bette dame et nous nous portons garant de i'authenticïté de son réeit. M»-«-0 ■ ■»■ Propos de Guerre. „De Gaaet van Antwerpen" a été susipèndue durant un mois pour avoir annoncé it. ses leoteors qu© les Autrichiens n'étaient kpaa victorieuxl Pauvres Anversoi» si bien ikenseignés par les canards imprimés ■ avec jj'assentóment (pour ne pas écrire l'encouïEagement) de l'Allemagne! , Les „Antwerpsohe Tijdingen" ont vécuoe Que vivent les rosea: peu de temps! Cette Jeuille germanophile que tout 1© mond© méprisait, un beau matin, n'a plus oaé affronter le jugement du puMio anversois, 'Déja ïe versificateur mirlitonesque avait quitte le triumvirat qui avait eu le triste courage 4e fonder c© papKJilTRestaient Mauw eb f avoeat We#leri Céfcari* peu. D'autant que So dernier n'a' rien d'un journaliste! Et dire que ces „Tijdingen" avaienb agrandi leur cadr© et pa-raissaient sur quabre pages! En repons© a sa fin premature©, le pilote de ce journal vous répondra que teil© ébait rintentkra du triumvirat. En effet. Nous le savions. Et ces „bons patiiobes" ont du être êbonmés ©uxmêmes que 1© peupfe les ait tolérés si longtemps! « * * Mais nous attendons touTJouas de M. de Vos-Van Kleef, Timipirimeur de la rue Rouge, qu'il nous fass© connaitrela liste des persoanalités „dont les convictions pa'triotiques' ne font de doute.a persons©' i comme M nous disait, et qui ont accepté dè faire paraitne la feuiHe: „L'Avenir"Depuis le 2 janvier, nous sommes sans nouvelks de eet imprimeur et de sea amis. „L'oisivetê est Voreiller du diable" etnos internes le sont, hêlasf plus gu'ils nevovdraient: oisifsl A la longue, la paresseforcée produit chez ces jeunes gens, cmsang gênéreux, & l'dme violente, impatientsde voir la Patrie délivrée, une sorte d'êtatmorbide, pernicieux et inquiéiamt. Il faut, a tout prix, chercher le remede. Les patients, d'aïlleurs, paraissent • disposes a seguérir euzmêmes, et swggèrent, dans ce but, d'exeUents traitements. Au debut cefut la fièvre — un peu de déUre. J'ai ditque nousrecevions ici des monceaux delettres d'internês. Ces monceaux tendent A denenir de véritables montagnes; tantmieux, puisqut cela nous permet de veniren aide a quelques consciences aux abois,de nous rendre compte aussi de l'étatd''esprit qui règne dans les camps d'internement. Au début, dis-je, Vexaltation fut excessive. Tous voulaient rejoindre lefront, aller combattre aux cótês de ceux qui dêfendent, dprement, le dernier coin deterre beige... Llan gênéreux — hêlas/ aussi,généreuse folie. La HoUande, respectueusedes traites, ne peut autoriser eet exode. Ily eut de regrettables incidents, dont lesnótres ne portent peut-être pas towte, laresponsabilité. Mais l'apaisement estvenu. A tous ceux qui nous envoyaient desmissives éperdues, pour savoir de quelle maniere Us pourraient aller, la-bas, mettreleur sang bouillant au service du pays, nous avons prêché le cahne, la resignation, la patience. Haintenant, vous l'aurez puconstater, üs ne songent plus qu'a tuer le temps — c'est tout ce qu'on peut les autoriser & tuer! — et demandent des livresinstmetifs.pSP Void, ó ce sujet, entre cent autres, une lettre qui nous est parvenue: „Vous avez publié & maüntes reprises des demamdes de sóldats, tendant a obtenir des livres de francais,. ariilMétique^iiSécanique, dessin, >etc, de la paft; d%: gênéreux HoUandais ou Belges établis'^n Eollande. Moismême,j Suggestion excellente, A laqueile nous applaudissons des deux mams, et qui d'aüleurs est en voie de realisation. L''instruction chez nous, il faut le reconnoitre non sans quelques Iwnte, laissait A dêsirer. Depuis longtemps elle aurait du être obUgatoire; espérons qu'elle le deviendra après ces cruelles êpreuves. Quoiqu'il en soit, certains internes ont maintenant tous les loisirs pour rattraper le temps perdu. lis semblent bien decides A les mettre A profit. Louable determination, qui mérite des encouragements en haut lieu. Espérons qu'on 's'occupera activement d'organiser des cours A l'usage de nos internes; ce serait joindre I'utile A l'agrêable. Il parait qu'A Harderwijk deux ou trois instituteurs ont d'ailleurs commence i dêjA; d'autres ne peuvent manquer de suivre ce bel exemple. Au reste, dans une récente circulaire de Mr. le ministre Poulet, ü était dit que les instituteurs qui seraient employés A eet effet, pourraient même être rétribuês par le gouvernement beige. Il s'ensuit done que l'idêe de notre correspondent „était dans l'air", et qu'elle ne peut manquer d'aboutir. Et Von pourrait même, afin de fournir aussi aux internes, entre les heures d'études, de gaines recreations, organiser, ce nous semble, un enseignement sportif. Il nous revient que dans certams camps on donne déjA des lecons d'escrime. Qu'on y joigne un peu de boxe, de savate, de football, de culture^ physique, et tous ces braves garcens, A qui l'mactivitê pèse tant, finiront peut-être par oubliet W V™ hw.t justes gouci*. A Liége. Des fantassins, retour de l'Yser, sontarrivés a Liége. Ils étaient couverts deboue, des pieds a la tête. Ils avaient durester dans les tranohées inondées, ayantde l'eau jusqu'aux hanches. De vieux soldats ont du etre égaiement rappelés paroequ'üs ne pouvaiènt plus résister auxtemMes fatigues d© cette campagne. Da,grandnombr© d'enfoè eux sont perclus de rhumatismes.f##C^ Il est passé de longs convois de ehaijbo^s, allant vers l'Allemagne. tx\■-■}'-'" J^-^'ft Six cents blessés vieranent d'arrivêr d'Arm.entières.,*^g5^*i°^i Un jeune homme de Mouland qui essayait d© passer la frontière a été blessé a la jambe et fait prisonnier. ♦* * A part trois endroifci, la frontière est ihfranohissabl©. C©s ©ndroits privüégiés sont Mouland, Touron St. Martin et Gemmenich. Les aubres chemins sonb barrés: fils de fer barbelés, arbres en bravers des routes, etc. Les Allemands s'occuperaient de creuser des tranchées tout la long de la Meuse. * * * C© sont des soldats bavarois du 9e .regiment de landsturm d© Nurenberg qui oocupenb un© partie de la province. A Verviers.» A en croire certains éohos, l'opinkm pubhque est peu favorable aux Verviétois qu© Ton accuse de travailler pour les Allemands. Nous avons déja fait justice de ces accusations gratuites. Mais l'on oublie trop que Verviers fut la première ville beige ocoupée; que 1'administration communale, privée a ce moment de son bourgmestre, n'avait pas d'instructions, qu'elle fut oomplètement isolée pendant un temps tres long! !>"autre part, sur une population de 50,000 ames, il faut tenir compte qu'il y avait 10,000 Allemands et que, si en temps ordinaire une grande partie des usines trayaillait pour l'Anglëterre, la presque totalité livrait ses produits manufactures a rAllemagne. Jusqu'a la prise d'Anvers, aussi longtemps que l'on conserva l'espoir d'une délivrance prochaine, seuls les marohands de laine, menaces dè requisitions, vendirent leurs marchandises, Mais, après qu' Anvers se fut rendue, il falhro aviser a rendre 1'occupation supportable. Les usines rouvrirent done leurs portes afin d'achever les ordres qu'eiles avaient en mains et surtout pour donner du travail aux ouvriers. Avec les benefices realises 6ur les ventes, des. soupes furent organisées, des sécours distribués. On cite même un gros marchand de laine qui, un, jour durant, distribua des pieces de oin^ francs a la ports de son bureau. Aussi des firmes nombreuses mirent laines et étoffes a la disposition d'ouvriers, travaillant soit poui les soldats réformés, soit pour les pauvres de la ville. Sans doute, y eut-il quelques defaillances. Certaines firmes aux mams d Allemands fabriquèrent des draps militaires pour A Ëppeghetn. Un' journal beige a publié récemment unelettr© d'un médecin allemand nommé Scheel qui écrivait au sujet de ses souvenirs de guerr©en Belgique: „On s© réjouit en voyant conum©elles fSmbent bien les maisons d'oü l'on a tiré!" Cette phrase caraotéristique m'a rappelé ce qu'il m'avait été donaié d© voir a Eppeghem, dans ce matheureux village, theatre d© sanglants combats oü les nótres s© comportèrent si vaillamment!T»v-?; Après la pris© d'Anvers, von der Goltz Pacha ayant permis aux Bruxellois d© circuter plus librement aux environs de la capital©, je me rendis a Eppeghem visiter 1© champ de bataille. C'était 1© 21 octobre, par une après- midi pluvieuse. Le paysage était d'un© désola- piasanautre prémontré, un frère et un tion extreme. A pert© de vue on n© voyait qu© " maisons incendiées, champs ravages, arbres déchirés par la mitraiïle. J'avais la conviction qu© le villag© était complètement abandonné par ses habitants. Et ma surprise fut grand© d© voir tout a coup una colonne d© fume© 8'élever d'un toit. Penetrant plus, avant, je m'apercus qu'un incendi© venait de s© declarer dans un corps de bêtiment tout neuf qui ©omprenait deux habitations. Un cordon cte soldats allemands entourait ces maisons ©t madntenait les curieux a, distance. Ces derniers, Bruxellois pour la plupart, étaient venus, comme moi, voir tes ravages causes par la bataille. _ Les Aflemands avaient tous te fusil a la main ©t üimajns et Italians. La Roumanie s'exalte de plus en plus a la pensee que l'heure est venue d© réaliser ses destinées. Vous verrez que les Roumains marcheront avant les Italiens. Il est pour cela une raison. Le canon tonne a lours frontières purement fictives et qui séparent d'un© facon arbitraire deux fractions d'un même grand peuple. Pour tout dire on se bat chez eux. La Bukovine est aux mains des Rusèes. Bienböb la Transylvani© subira 1© même sort. Qu'un© paix favorable oouronn© les efforts dee allies, les Roumains pourront-ils tcoepber dee Russes cos deux provinces roumaines? Leur roi, de ce chef, d©vrait l'hommage féodal au tsar d© qui il les aurait recues. SujétioBj insupportable et qui ferait de 1'ingratitude une loi pour ttfut patriot© roumain. D'autr© part, que la puissance militaire d© l'Allemagne finisse par triompher de la bravoure des Francais ©fe de la bénacité* des Russes, et le rêve legitime du royaume danubien de réünir un jour dans un mêm© faisoeau toutes les aafciennes colonies roumaines d© la Dacie seradt envolé pour toujours. Une Hongrie tjrannique — les . descendants des Huns seraient trop heureux d© prendre une revanche definitive contre les tils lointains de Trajan et de Marc-Aurèle — constituerait pour la Roumanie isolée entre une Serbie écrasée et une Bulgarie hostile une menace constante. Pour tout dire, l'indépendanc© de oe pays tiendrait moins qu^ un fil. Eb voila deux éventualités insupportablea pour la fierté roumaine. Oependant, je n'en vois poinWle troisième a moins que la, Roumanie qui a déja, tiré l'épée a la fin de la guerre balkanique en 1913 pour affirmer son prestige, n© répète un© secor, fois ce geste logiqu© et nécessaire. La Bukovine eb la Transylvani», ell© peut ' les prendre. Ces deux provinces lui appartiendront d'autant mieux qu'elle n'en sera redevable a, personne. Au lieu d'etre obligee ar^ne réeesndiss«noe^ ieritante vis-a-vis de la Russie, c'est la Russie au contraire qui lui saura gré de son intervention. Au surplus, ainsi agrandie eb fortifiêe, promue au rang de grande puissance, ©lie n'aura rien a, craindre de personne et la Roumanie peut rire de ceux qui croient l'épouvanter ayec 1© spectre russe, bon tout au plus a impressionner 1'imagination débile des Scheidemanü ét consorts. Aussi nous sommes bien tranquilles. A la première fonte des neiges cinq cents mille sojdats, vigoureux et disciplines, pareils a ces legionnaires qui, dé Marius a. Consfcantin, creusèrent des fleuves rouges dans les hordes sans cesse renouvelées des grands barbares Wanes, "' :'é»nchiröpib? les passes des- Ca^rpathes. Finis Austria©.*£&&%i i L'interyention de' la Roumanie dêclan- chera quasi automatiquement celle de ritaHe-iNous avotodjfb a plusieurs reprises les raisons sentimentales et materielles qui l'empêchent de s© désintéresser d'un oanflit oil son autres belligérants. Parmi les derrières il en est une sur laqueile il convient d'in-- .sister. Quelle que soit Tissue du conflit, rAutriche en sortira diminuee. Partout oü - ses armées ont af f route le sort des batailles, sans le secours des Allemands, ©lies ont été lamentablement défaites. Battus par les Russes, battus par les Serbes, c'est en vain que les Allemands s'efforcent de rendre un peu de lustre aux armes de leuis allies. Aussi les verrarlHMi, au cas improbable d'une victoire, s'assurer tous les benefices et réduiraient-ils TAutriche-Hongrie a n'ètre plus entre leurs mains qu'un simple instrument. Par exemple, dès le temps d© paix, 1© grand étatmajor d© Berlin assirmerait un controle militaire absolu dans tout 1© territoir© de la double monarchie, ceci pour prévenir urn nouveau Lemberg, un autre Valjevo. Quant a l'ébat-major d© la marine, il détournerait son attention de Kiel vers Trieste. Car c'est certainement Trieste que visait M. Ballin, directeur de la „Ham-bürgAmerika", dans son sensationnel article du „Frankfurter Zeibung",oü il disait que l'Allemagne devait chercher en dehors du bassin de la mer du Nord un point d|appui pour sa f lotte. Dès avant la guerre l'Allèmagne avait commence de réaliser son projet en envoyant dans la Méditerranée le fameux „Goeben" et le „Breslau" qui depuis ...Ce ne serait plus un croiseur de bataille mais plusieurs escadres de superdreadnoughts que l'Allemagne entretiendroit désormais dans ces parages de facon a menacer sérieusement la suprematie _ maritime anglaise et francaise et a rendre illusoire dorénavant tout© tentative de l'Itali© d'affirmer la supériorité de son pavilion dans une partie quelconqu© de la Méditerranée. Ceci Fltalie ne peut 1'accepter a aucun prix. Loin de poursuivr© ses projets^ d'expansion, ses c&tes e© trouveraient directement sous le canon des Allemands, des Allemands qui n© lui pardonneront jamais d'avoir refuse d© s'associer a leur guerre. A ceci qui est la réalité, les partisans du maintien de la neutralité et d'une politique d'amitié avee les deux anciens allies n'opposent qu© des pauvretés de c© genre: „Nous sommes assures contre une hegemonie d© l'Autriche dans la m©r Adriatique par un traite avee TAllemagae^" .C'est MLa ,, En Bqlgique A Bruxelles. O'était dimanch© dernier, pendanib 'JK grand'messe, a 1'égfis© de Sb.. Jacques-s)»i Caudehberg. La f

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