L'étoile belge

2593 0
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1914, 30 Juni. L'étoile belge. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/fn10p0z64z/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

rln;' x3 . DE HâBONN'îhP^W POUR BRUXELLES : Lu su : 19 fr.; 6 mois, fr. <>.i»0; 3 mois, Ir. 3.54 POUR LA PROVINCE : Un an : 14» fr-.; 6 mois, Ir. S.&O; 3 mois, 5 lr. BUREAUX : rue des Sables, 13, ouverts de 9 à 16 h. il au//ti ue remeiireicyruuae laotmnemeni (T* France, Angleterre, Allerigneet j Q *„ ANNONCES : 45 c10" la ligne; minimum 4 lignes, fr. 1.60. tous pays de l'Union pdaie. j * ce ET ««1)E% ^iimnhA Les annonces remises avant 2 heures à l'Office de Publicité, Hollande. 7 fr. — Grand uché, 6 fr. Lcilflïl6S u IIUIllwl U 36, rue Neuve, paraissent le soir même. iaromètre du 30 juin ^ heures « "" —normal 29. l'»0; Temper. mof »"n veille • Maximum dk *S. nuit, ' 9 3 Minimum dp Jy ^ 7 GC a 8 h. 769aœ0 Baromètre.n. //, <£> \ Quantité d'fU P'24h.. 0™*0 de 8 a 8 lr Observâtfis Ijùj fff // Températ^e. e|=)o/b c7 II 7G3Bun~ Barom'-tr. * 81 ÏS I hum. absol.). -H. Humiditcf00 = l\ ^ Và B1 *>»/! §\v Vent donnant Y\cï?y ' // 12«>50'2 Déclin, rign., Vv-^vr'^^fcpr^rtjïiaui\^r,n ^"■''ldes Lune': Soleil : lever llh.42 teveii' »ï3 —coucher, -3li. s couclierpJli. »• Pré», i l'Institut mêtéor. : Vent faible de directions variées ; beau, /Service «les malles OsaeudeDoavi-cs Etat de la mer, le 30. à 4 neures : calme u h i i L3 a Tv-TVTa. l-. ' i y T .«a. rî r»am «=* Ho <SaiT>£ii «irr» La liste des morts tragiques de la maison d'Autriche prend dî douloureuses proportions et nous pensons qu'il n'est pas, dans l'histoire contemporaine, d'exemple d'un souverain plus éprouvé que le vieil empereur Fiançois-Joseph. Son frère, l'archiduc Msximilien, voit, en 186Î, s'écrouler au Mexique ses rêves d'empire. Il tombe tusilB à Queretaro Sa femme, sœur de note roi, perd la raison après ce sombre dame. En 1889. c'est la tragédie de Mtyerling. Son propre fils, héritier du tr>ne, l'archiduc Rodolphe, époux de la pràcesse Stéphanie de Belgique, est troivé mort dans son pavillon de chasse. Puis c'est, er 1898, l'acte sauvage de l'inarchiste Luc \ cheni, en Suisse, abattait brutalemen I d'un coup de points l'imiératrice Etisa-j - beth au moment même où elle se dis-/ posait à prendre psBsagesur un bateau. I au bord du beau lat de Cenève. Et voie: I maintenant son neveu, 'archiduc-héri tier Prançois-Ferdnand et son épouse qui succombent, jssass nés tous deuj à Sarajevo, en planes pompes d'unt I réception officielle. Cette funèbre lite la:, saisir tout c< qu'a dû avoir dejiéchi ant ce cri di vieux souverain, ai moriient où, dans s< résidence d'éi: d'Iclil, ou il venait d'ar river pour ciluchr à rétablir sa santé chancelante, Ion -lui communiqua li nouvelle fatal» : e Sur cette terre, riei ne m'aura étaéppgné ! » Rien, en eff«. Rs même les attentat: dirigés contn se personne. Il avai t .vingt-trois an: quind le boucher hon grois Libyeni ; na sur lui, un soir, i Vienne, et ten di lui couper la gorge A \ ne dut son s utqu'au col raide de s; inique qui a 5nia la force du coui Vté et la gra féde la blessure. \'émotion pijjrlùte par le drame di \.jevo est détint plus grande qui 'liiduc-hérity avait, à côté du viei Vreur, souvf malael" et obligé pa: BV | d'éviter Sg-neusement les fati H , afTirmé uï personnalité forte e H plus repréÉatives. Il y a peu di K. imrtAUlflnr.r. ^ r. AnA n r, A Ivonopischt, en Bohême, Guillaume 1 et l'amiral Tirpitz, chef de la marin allemande. Il était à la tête du gran mouvement de réorganisation militai! et navale en Autriche. Il s'était rend en Bosnie pour accompagner sa femm aux bains d'ilidzé. Par la même occ; sion, il présida aux grandes mancei vres. Il avait, dans un ordre dû jou: félicité chaleureusement les troupes ( prenait part, avec sa femme et sa suili à une réception officielle à Sarajevi quand se produisit le drame qui s'ai complit de telle façon qu'il semble bie qu'on ne se trouve pas en présent d'actes individuels. Le bruit d'un complot contre l'arch duc-héritier avait d'ailleurs couru il a quelques jours et la police avait pr des précautions minutieuses. Elle n'ont pu cependant empêcher le doub crime. Apôtre d'une « plus grande Autriche l'archiduc passait pour avoir été l'un c ceux qui avaient contribué le plus à pou ser l'empéreur à annexer définilivemen le 5 octobre 1908, la Bosnie et l'Herzég' vine. Et, bien que cette annexion se so produite sans réelles difficultés, on r peut dire que le fait accompli e accepté avec résignation. Ajoutez cela la répercussion, parmi les élémen slaves de l'empire dualiste, des évén ments militaires, des chocs, des rem niements qui se produisirent dans 1< États balkaniques ét l'on se rend comp que la version d'un complot politiqi peut trouver crédit. Il est hors de dou qu'il doit régner parmi les éléments si ves en Bosnie une atmosphère propii aux entreprises folles. La nouvelle c l'arrivée à Sarajevo de celui qui passa pour un des principaux promoteurs c l'annexion a pu sembler à quelqui exaltés une occasion de vengeanc Acte stupide et de nature à retardi pour longtemps peut-être ïe rêvé 'ca ressé de voir la province slave deVeni tôt ou tard un troisième royaume, lié : l'Autriche et à la Hongrie. — rt>S DÉPÊCHES 7 V- * ^ Services spé-ciau: FRMCE AU INAT Confiances Au début de la see du sénat, M. viani déclare que t le peuple franç s'associe au deuil di maison d'Autrii et adresse à l'empir François-Jose: doyen des chefs dt d'Europe, l'hc mage de ses condolées émues. M. Dubost s'associces paroles au n du sénat. (Applaudiiients unanimes.) Fines Le sénat a adopttndi après-midi chapitres réservés d\dget des financ sans augmentation dédits, mais en ceptant de voter uljurlement des c dits supplémentaires) permettront,ai que l'a exposé le raptur, M. de Selv de donner satisfaction seulement a récQrna.tions des poa, mais aussi a agents des finances, eux, sont res L calvnes et corieetï et autant de dre I :i_pibtenir satifattior sénat aadopteuite le doublé' provisoire aïiicabte uillet. ■ Enfin, il a (opte leget de la mari ! missicusse T'aKiirai ussine (s officiers de I mission rv ont té Toulon, I manche sqà 7 h.Jsi qUe le vi I amiral P" c.hef CJ'major génér I i -unirai l5ine ©t officiers rus: nnt expripie nou, fois l'erithi H miasme ciliur avaitisé leur sijc ■ narmi 1'^ nav?îe- ont rédigé c V-aooorts pur séjou içs remettre vendredi fint-Péte^rg à- leur i ■ «glet^e A., paquebot houé C'est dlle> a ^ h.flu soir, que H nxaMëh>Qorn*a" s'ëchoué. Rép( dant à. [*ls radiographiques, vapeur "ire e' t1! contre-torr leurs alS. ^ son slrs- ra's du bro '1s euren|elque peine ■ découv]quebot. Au t'.e 101fa' lekssagers co: mpncèptter le Ca\nian à l'au et se ' :i bord A^ssandre. L rhouei causé aut victime. nacju«ra Probabfent être re floué,J fem.ns co:ae. j;jj'este à bor I ICHE-HCQRIE lncfs un charije course yja éclaté daies constri ! tioiP ie courses Baden. I dé0-31"138 a 20°.'francs. E con'rovisoires vfjtre édifié uvelle saisoil courses q juillet. H MAROC Hoi espagnol aqué ^^^^^^^^^^^Bofficielle ■ attaqué un o-:>i de ra ^■Espagnols on, un iieu ■ un iieutenaitués, de soldats bles Les tre Hint eu deux rfs et ris s de I'ËTOILE BELGE TURQUIE Invitation Djemal pacha, ministre d« la mari turque, a été invité par le gouverne-me Vi- français à assister aux prochaines gra ais des manœuvres navales. Il arrivera :he Paris le 4 juillet prochain. S: BRESIL L'emprunt om Le Brésil n'a pas accepté les dernièr propositions concernant l'emprunt. To tefois il a formulé immédiatement des co j tre-propositions. Dans les milieux officiels brésiliens, < fonde sur les derniers télégrammes de Lo dres un grand optimisme au sujet de ns^ conclusion prochaine de l'emprunt, es, ■ ■— u 1 1 Les IrêflGients laUanip! nts LA REVOLTE ALBANAISE me Le prince Bib-Doda ne' Le prince Bib-Doda continue d'avanci Il se tient en communication avec Achm bey, qui se trouve à Kruja, pour s'ente dre avec lui en yue d'une marche en ava la» commune. e©. A Durazzo. — Un village en flamm Il n'est sui*venu aucun changement da ~s 1a. situation à Durazzo. La nuit et la ir " tinée se sont passées sans incident. Da , les environs du village de Zuba, au nm . est de Durazzo, de gros nuages de.fum • se montrent à l'horizon. On suppose q le village est en flammes. Un voyage de Turkhan pacha Turkhan pacha est parti pour Vieil et pour Rome, où il va tenter d'obtei le une aide plus efficace contre les insi. m- gési le On a observé dimanche soir un ince 'il- die au nord-est de Durazzo. On suppe on que Do-re-Douscou est en flammes, à On a constaté samedi et dimanche forts rassemblements et d'importar m- mouvements de rebelles sur le Rsaburt, Un chef engage les insurgés Le à cesser les hostilit în- Amdi-Bey-Islam, un des chefs insurg blessé et fait prisonnier, a envoyé aux : surgés une lettre les engageant à ccsî les hostilités. Un hodja aurait fait dire qu'une répc s se à cette lettre sera remise demain. 1C_ Le commandant du port de Durazzo ^ été arrêté sous l'inculpation d'avoir € les tretenu des intelligences avec les ins^ ■es Sés. Deux Serbes ont été arrêtés sous l'i culpation d'espionnage et aussitôt exp sés. Les Epirotes interviennent Des Epirotes, après un long bombarc ment, ont occupé, samedi les villages : ice banais de Labovà, Kontkacci et Kuir vi- ritzaef et la kasbah de Pellini, enfreigna te- ainsi la conventiori de ne pas se sen ux d'artillerie dans l'attaque des rebel] )u- dans le port. iuf Le Machias est entré dans le port et fait cesser le bombardement. 1_ — l GHE-HOÎGRI1 Jhiduc hérifer Fraiçois-Ferdi- el de la pincessi Sophie. —i IPLOT A SHAJEV3 A Saajevo. — Mani^^^^Hj antiserbes Encore Lei démonstration^^^^H>oes se jent Plusi renojv'elées lundi plus «l in- l'opinio tensi , à Sarajevo. gens croa politiqu tes epiiïsuln^ans suh^^^^Hgrande fouie paré, ont arcouru jles i nes^^^^l du portrait de l'inpereun Ils onfl ■l'hymne na- On pe tionaetpou H ^■l'honneur de Aorès la n|narchie et de Des cris gîtions hostss aux Serbes o^W^pOussés. Les xi- jeVQ très cun hôtel sit.u|P pm de la maison de ceu l'Unin intellectuelle «be et de l'école a,rrêtés serbaont été brisées a»i que les devan- tures|de plusieurs mailns de commerce ^ serbe}. I L^ manifestants qi la police et lies Sa trou pis dispei*saient s( réunissaient sans ^a. c 1 cesse5sur d'autres poirs de la ville et la nu-it, ! population s'était join à eux. Ces mani- R3'3 enc festaéons prenaient u caractère de plus Irainspc en pjas menaçant. Lè magasins serbes courohn étaient pris d'assaut < pillés. cueils. Vu le caractère mq étant de ces ma- Voici, nifestations et la sure itatioii c rois sainte renseigr de la population, l'éta e siège a été pro- sur le q clamé et annoncé à ï îeures de l'après- trottoir midi par des roulemfs de tambour et l'archidi par affiches. Tous le: joints de la ville détoné sont bccupés militai r en t.. le dos Un jeune homme jeté lundi maitin toinlba u une bombe, qui a fai xplosion, au coin où l'au" d'une rue. Seul un muiman a été légè- la voitu: rement blessé. L'aute de cet attentat a lement < été arrêté. On n'a p encore d'autres mobile détails à son sujet. trouvaie Le meuier tiVOn1? Dé Belgrade : Gavr Pi'inzip, l'auteur ohiduc. de l'attentat de Sarao, a fréquenté à Arrive Belgrade plusieurs cl-es de lycée. Il est Prima se retourné en Bosnie, eeptembre 1913. _ La r . ... temps, 1, L'empereur reie a Vienne pandue Les prévisions en v des funérailles apparut „ r» u -.i- tel de vi L'empereur Franç.' Joseph a quitté frénétiqr Ischl lundi à 6 heureiu matin, rentrant Malgr« à Vieime, où il est aidu pour prendre chidi» \ les décisions concern les obsèques. On uroJÊk^ pense qu'elles auront i vers le 10 juillet. L'empereur retournernsuite i Ischl. ; L-arwUdttc épouse sèront probablement inhvi^^^^^K',uton un caveau de famille édifié r é ce i r. ^ ^, d'Amstetten, sur la route de Linz* K. rchl Le nouvel archiduc héritier, H ( François-Joseph, a quitté sa résij^nubile Reichenau, près de Semmoring, et H H nhldnc tré au château d'Hetzendorf, i^l Vienne. en nia Un télégramme subséquent sigi^^^B coib:.,j,c l'empereur est arrivé, en parfait<^^^B^ iaient avec sa suite, à 11 h. 10 du matin. hpox ■ reçu par l'archiduc Charles-Fra^^^K^ , seph. Il s'est rendu en voiture dé ^«l0. au château de Sehœnbrunn, acclai _alce un public nombreux. vïpar étaier Lorsque l'empereur s'est rendu iî¥ I i auto gare au château, en traversant les ru.» Schoenbrunn où flottaient des drap A de été bl cravatés de crêpe, la foule nonibreuseraux ce s'était rassemblée ne put s'empêche» qUi sures pousser d'enthousiastes vivats en agip ^e a été chapeaux et mouchoirs. François-.foM^ant celle fut profondément touché par cette i*eph trouv festation. .Miani- sonn> Dès l'arrivée de l'empereur au chu* ne st les dignitaires et les diplomates se P®tieau, la fe tèrent à lui pour apporter leurs c Jésen- des f léances. , fcndo- attei Le président de la chambre des dei| De M. Svlvestre, a adressé au comte Stm\ut(r,Sj mort président du conseil des ministres, uneV„hkj arri\ pêche dans laquelle il le prie, au no£|Pdé_ Le bureau de la chambre actuellement r vent gée, d'être son interprête auprès de seml reur et de lui exprimer la vive doi ■, V( éprouvée par les députés à l'occasio^^Kur autl l'attentat de Sarajevo. Wde L< L'empereur a reçu lundi apres-mid* expl ministre commun des finances, M. de ■ ]e ain1 linski. L'audience a duré une heure. X^ji- Bos ■ n'ai Autour du drame ■ prb Le Tem\is publie les dépêches suivaM- ^a" Vienne l Quand il se sentit mortelle^K^gg . . atteint, l'archiduc F)jançois-Ferdj«nent a/iressa à) sa femme ces mots qui ^Vnand ru les derniejrs : « Sophie, tu dois viv'l^»furen.t la les enfants. » , pour rj,; Vienne : La Rcichsyost, qiu etaaH " lations avec la chancellerie de l'ar^l en re. ' : publie sous le titre de : « sei)tin*_,llicluci > l'armée » une violente attaque co^®€ni^ de Serbie où l'attentat de Sarajevo ej^gntre ]a fié d'incroyable provocations. quali- ,.p, Budapest : Le comte J-indrassi^^r l'opposition modérée, a. déclaré cllet ^ ul, naliste qu'il est très djflieile ' ,in joui- , pour le moment les c.mseqne^«|.apprécier rî . ques de cet assassinat. I.e défu^H ^ poiiti- ^ : était un point d'interrog, itio-n^^* archiduc 'V grie. On ne le connaissait pi^^H-l, la Hon-On ignorait ses vues et se^^^^Hs t_as i(.j oe qui concerne le cri-as - ■ v En ï' . voir s'il fut l'œuvre i^^^^^^Huece. o dividus ou Lien l'exé^^^^^^li jour, d' q , «n règle. S'il était é:ta^^^^^B'ote-UI;cn; ce plot, il faudrait agir^^^^^H't U(s!-™ . c A Bel^^^^H'e ner,' documen Le bureau de la suspe! a communiqué de -tnH H disant que1. ^ leur de l'emipe-neur pr0 i,: ° monarchie voisine. I ■,,ltion des ! L'officieuse ^ dire article dans le rnèm^^^^^^^^^l . ^ .f ont Le roi, prince nement ont envoyé dépensa condoléances. trie, a Guillaume II franes et . ' avec Wiim L'empereur Guillac^^^^^^^^^Ho oU 191!, nuxH pei ques de l'archiduc litH ■cela résulte Les rois de Saxe etH ■ être créai blement aient aux obsèques. opos, nouve Le mobile entendu, Le meurtrier Gavrj^^^^^^^^^^Hiation obéi lynché par foule le fait d toyabie, a déclaré l'impérialisme et ^Bidienee est si: François-FerdinancL^H audience an plus haut degrd^^^^^^^^^H pourquoi il l'a tu M Bd?elœ " C duché: L'attei tàt teurs ait é soigneu; ement préparé sieu; journaux viennois expriment Le C ion le l'attentat est dû à des motifs prêtai [Ue4 avait été soigneusement pré- Tinter Le joi lerdsitionne <hez des suspects dal'f^ ès lttentat, de nombreuses perqui- constE 5 dcticiliaires o ît été faites à Sara- lie u fiez fcs individu: suspects. Plusieurs on do: ix-c avant essavé de fuir, ont été dices s. i " T un se Le .' Ncjveau récit .de l'attentat prime Sa-rfevo : Les cirps de l'archiduc et g?™'] diJiesso ont ite embaumés dans . ' t eljeur visage a été moulé. On n'a nesje icoj fixé le moment où ils seront nay0 ooils à Viénrtifc D'innombrables ~iant! me ont été déposées sur les oer- b i, o source autorisée, de nouveaux jnie ients sur 1 attentat : D'abord, Le qus de la gare, on avait lancé du conni r s droite contre l'automobile de tioras due un petit projectile qui avait que : fai jlemenit et qui passa derrière verai ; d: la duchesse. Aussitôt après puiss uni bombe qui explosa au moment inoye utoaobile suivante passait. Dans été n ure de l'archiduc on ne savait nul- La ce qui était arrivé lorsque l'auto- ge a si ivante s'arrêta. Ceux qui se hérit ienl dans la voiture descendirent de v teun ibile de l'archiduc s'arrêta aus- que raidit compte de l'incident à l'ar- se re naJit •é à l'hôtel de ville, l'archiduc ex- être son indignation au sujet de l'atten- pre-s? réception fut très brillante. Entre- que la nouvelle de l'attentat s était ié- sera : dans le public. Quand l'archiduc tre e t avec sa femme au portail de l'hô- polit ville, il fut sftlué par des hourras lues. ré le préfet, qui l'en dissuadait,l'ar- » voulut absolument continuer sa . . pour aller tout d'abord rendre ^eui ïrtSfiôpital milit lire au lieutenant- ( teSSSSfi laisantant! A' l'angle de Va rue Fr^ d£ ement nersonne n'avait été touene l a % Senant-colonel Morezzi qm avait blessé à la nuque, est.hors de aang • d< ï^i^ïïf^i^sonutomobile % ^on^îfwfsstsdansl^V^ t> éass | ^Vienne : On dit ' vtplles'de l'archiduc et de la .ii--.es •iveront à Vienne le 8 juillet au sou iemeSrtrierUa Uré de ^ut près ce qui I pHque que les^deux coup^feu «eut "sni^Heraégovi^eût msmm illœSrff 'VoSntSefarrltedevant le konak, a duchesse était tout i lance. Ai^e"'archiduc s'affaissa .'Oitui , ^ médecins arrivèrent im- srasff-ç. r'a'ïS" && c.hiduc sUCÇO™-1°a. la dUChesse mourut quelques^ïnutes après sans avoir repris connaissance. Ce que disent les journaux de Vienne Tous les journaux consacrent de long! wmmm. ' n 1-mo intelligence ouverte a toutes it i testions. Il était d'un caractère ferme < „ eût fait? dit-on, un excellent monar.que. '- Le vœu d'un organe slavophile l I a Gazette de Saint-Pétersbourg expnn u-ivsnoir que le gouvernement autrichien ' répondra pas au crime de Sarajevo par "îr.ihipment de représailles contie 1 nstaves, ^lui, tous? condamnent ce crime a , nsurde. é!'( Lg deuil de cour en Angleterre ^ Lo roi d'Angleterre a ordonné iàn de iusfl'une semaine. d Au parlement italien % Le marquis di San Giuliano a anno: François-Ferdinand et de la duchesse de de Hohenberg. Il a déclaré que le peuple ita- toi lien, dont le cœur bat toujours pour tout de malheur humain, compatit avec le senti- de! ment d'un ami et d'un allié à la douleur du ra; ' peuple austro-hongrois. . d's Le président, M. Carcano, s'associe aux qu paroles du marquis di San Giuliano et en- 1 voie son expression cordiale de solidarité l'a dans la douleur à l'auguste-empereur, à la co] chambre de Vienne et à celle de Budapest, m: Au sénat, le marquis di San Giuliano et <ïu le président ont également prononcé, à ^ . l'occasion de la mort de l'archiduc et de la x.es duchesse, des allocutions que tous les sena- 1C teurs ont écoutées debout. ^ La presse italienne ga t Le Carrier e délia. Sera dit qu'en Italie on va s prêtait à l'archiduc François-Ferdinand al - l'intention de rétablir le pouvoir temporel. ai Le journal ajoute que si cette allégation ne repose pas sur des preuves, il est cepen- m dant un fait certain, c'est qu'en aucune cir- cjj constance l'archiduc n'a donné à rita- ^ l- lie une preuve quelconque d'amitié ; r'e: s on doit, au contraire, inférer de divers in- sa é dices qu'il nourrissait à l'égard de ce pays un sentiment de défiance. ch Le Secolo, organe radical-socialiste, s'ex- pu prime d'une façon moins sympathique en- po . core. Son article, très bref, se termine ain- oi si : « Nous plaignons les victimes ; la cause p0 de leur mort remonte à une politique fu- tri i neste qui refuse aux peuples leurs droits ou nationaux et provoque la résistance san- El ® glante de la violence personnelle. » de Opinions françaises ei ix . , lg i, Le Temps écrit : Pour ceux qui i ont ^ .u connu autrement que par des interpréta- ^ le tioras de presse, la conviction, subsiste ^ ,it que François-Feidinand eût été u<n sou- re verain actif avec qui, pour une grande ^ 3S puissance sûre de son buji et des ses ^ ut moyens, la collaboration politique n eut g îs été ni impossible ni inutile. s il- La Liberté, après avo/ir rendu homma- C] o- ge au courage dont fit/preuve l'archiduc ^ se héritier, envisagé la /questibn au Ppia}J; i ut de vu)2 politique eti /exprime le souiiait c is- que l'archiduc ChJarles-François-Josepn ^ r- se rende compte de |oe fait que les natio- ( nalitéis de la monarchie ne peuvent pas t x- être soumises à /jne politique de com- j n- pression à outraiftice. Elle souhaite aussi ; e- que le comte Beifchtold, maintenant qu i é- sera plus libre dC© ses mouvenients, m - , ne tre qu'il n'a airfiune propension pour ô- politique d'aventures. m. Bruxelles 11 " La section Autrichienne du Salon de^ sa Arts décorati® sera fermée en signe de 'te deuil aujovmJRui et le jour des iiuneiaille e p l'archjjfduc néi iii'''. d Autriche et de la 'ach Le comte Jean d^Mérode,^rand maré-uto- chai de la cour, s e.. ^ ^ légation d'Au-l'ar- res et demie du mat nrésenter les con- ven- triche-Hongrie, afin P au chargé rque doléances du Roi et de «i,rviiski ran- d'affaires, M. Ladislas de SkrynsKi. J°rs le ROMAN D'UNE COMTESSE 'heu- on lira avec intérêt cette ^ge'n^tanc^ iché, i'an dernier, évoquant les• C1 Hevint ^esse ^ lesquelles le prince heiitier devint dans répoux de ia comtesse Chotek . avait L'archiduchesse Fi^ric Mes- t^ïnSTSU les .Premières étonl lobile déià en âge d être mariées. éta't que nant qu'en très bonne mjunan qu elle éta-t lie se elle jetât d'un cote et d autre og de»plu, s per- matrimoniaux et se nut en gn Au Dublic brillants partis. Or, a Mt Q bri] sa saww^r srtwss quilles futur empereur-roi. ., trpnte-huit ar xx tsva wss^rjas 1 aie^ C°L^ouïinfst'y manquaient pas, en . Ur ^ fet non Plus qu'une demoiselle d'honne ss.au da,51?£°£tahurnoani ferneùr Sa femme ét mite de ti°ns dans la Qipi à qui se5 {aimhe ue l'ar- une très fréquente dans 1 as gâtaas» saaçs .-!> s 1 chauf- P . u mourut assez jeune, et le con ' - <3u il S un stage dans une maison de sa, ouverte ?p ivit de près. Ils laissaient sept ants dont six filles, et c'est leur tante 5 konak, t4sse Rinsky, qui s'occupa^ces connais- lières Elle s'en occupa fort bien, ^wsie ra de la ï^tre elles firent de très bnllï ^'affaissa marj,apes : l'une épousa un comte Nos brentim- wre le comte de Schonbourg-Vor ile. L'ai- Lfauchau, une autre enfin quelquun n quart bieîfplus haut placé encore... Mais n lir repris '^aînVe^'la comtesse Zdenka, ■ Vienne ^es.te pour eùe elle se sentait en ietl0nSSt itnTde part^rî^^le appela auprès de T^l'if comment ' nerPgâUqVui dteStt™ W trouvait à Presbourg qi i. L'archi- Jp^dinand avait résidé à le, n'avait François^ u avait coniv au même l^e^3 famille Chotek. Il s'ent, lie,mais il ^pao relations communes avec la d. toutes les Peu à peu il prit du |^e. l/myïtèrt^caV il fallSt déjouerP la '°phile S evo par un ^ naissance. une princesse du sang contre les ; , pjutôt durement toutes les pers e crime ab- d maison, n'aurait pas. un msta 'H offine^sans fveZ^tans'fo leterre "j" mine d'accaparer, le prince hériti lé itn deuil n'est certes pas pour cela qu elle V1 MaisPFrançois-Ferdinand et la co n Sophie s'y prirent adroitement, K a annoncé fiasse dete maison ne^s'aperçut d . i,;,i„r T7iip était même ia\ie de \ou que ie t de son auguste invité, le prince, qui avait tout pour paraître charmant à la irinian d t de six filles à marier, se prolongeât au-- delà du délai fixé. « Ce-n'était point sans d i raison, se élisait-elle, et elle se réjouissait d'avance. Si le prince s'attache ainsi] ç est ^ t qu'il est amoureux. » Il l'était, en effet, mais d'une autre, ij qui é l'archiduchesse n'avait point songe : la '• ! comtesse Sophie. Comment la terrible maman s'en aperçut^elle ? Le comte And..., c t qui, dans le dernier numéro de la t i a publié sur ae sujet un article très inté- , ressant et très documenté, fait intervenir ici les jésuites. D'après lui, co sont eux qui , au raieif tout arrangé ; ils auraient la\ o-risé, de/toutes leurs force", ce mariage mor- ' ganatiaue, dans l'espoir de mieux tenir le i futur Jouverain par sa femme qui leur de-Q vait. /ant. Peut-être est-il plus simple et : à auss/plus vraisemblable d'accorder moins L aux/jésuites et un peu plus à l'aJnoui'. n ijne dame de la haute société viennoise m'a raconté un jour cette anecdote. L'ar cmduchesse Isabelle, du temps que Fran-'• çcis-Ferdinand séjournait chez elle, avait ! rémarqué que, sous prétexte de regarder i- sa montre, il regardait beaucoup plus une s photographie placée dans le boîtier. La chose n'alla pas sans l'intriguer d abord, e- puis sans la réjouir : « C'est évidemment le i- portrait d'une de mes filles », pensait-elle, i- Or, un jour, en partant précipitamment e pour la chasse, l'archiduc oublia sa_ mon. i- tre sur le bureau de son salon. Son hôtesse, ■a curieuse, s'empressa d'ouvrir le boîtier. 1- Elle y découvrit, avec horreur, le portrait de sa demoiselle d'honneur. Trépignante, êcumante, folle de rage, elle »e précipite chez cette dernière. Elle la congédie sur-le-champ. Elle la jette à a la porte comme on ferait du plus mauvais fg de ses domestiques. La pauvre comtesse réfugie chez un de ses parents, à Pjlg^en-j" Ce que l'amour n'avait pas p^dinand. " core dans le cœur de Franc<>iitei. celle qui ft le désir de protéger, de r^^ôt II ré-ut aouffraifoour lui, ro?eia Badbp d?fftcultés. solut de ïépouseï' 1®a-is,3^ SL.llcoui) de ia" que d'obstacles! H f®-' „ «nm- fléchir ' u? temps et beaucoup de Pne1^®' ®,-acluer son le vieil empeieur, pour lui ar par consentement. Ce cons6nt,e™L .. sévère ?h être donné, mais à une double et sevee 10" condition : l'archiduc s de sa ,as serment solennel, à ne jamais , ,m; femme l'impératnct, ni de ses enta héritiers de la couronne. __ 0i„.per-n11 C'est ainsi que 1^archiduc FraniJ^tek on- dinand épousa la comte;sse Sophie la| Celle-ci arrivait à la cour de Vienne avec^ I plus petite, la plus pénible, re. I rassaînte des situations-^étsxt. pwg çue dans cette cour; elle.demeu:iait q ". ?a dresse et la persévérance mêmes. Elle a . aré- conquérir un à un, par un effort dei chaei heu jour, tous les honneurs et tous les toit l'Au- Le plus rigoureux des protocoles la i _ con- sévère des étiquettes accumulaient sur s argé chemin d'insurmontables oL_tacles. . obstacles, il ne fallait pas songer a l franchir; mais on pouvait les touille C'est ce qu'elle fit, en se servant oppoitur ment de toutes les occasions qui s '^ei ibliée Les ambassades étrangères de Vienne^ q inces lui permettaient de se rencontie avec q evint elle voulait, fuient pour elle un te.ia d'action excellent. Et admirez les résultats, suivez cette icesse traordinaire ascension. L almanach de- l déric, tha enregistre cesprogrès avécunep hoîA-nt cinn une brieveté convaincante. Jin )• •ét-on- cinq'ans après son mariage, lP„u^'âiCat éta't motion : la princesse reçoit la qualihcat-igards de Durchlaùclit qui vaudra pour ses fplus cen-dants. Quatre ans après, elle ^ ^ sn Au- duchesse (Heriogui) d,|®0^n^gbl^ 3 bril- qualification d'Altesse (Hoheit). I n n e nanid Unoérial décrète qu elle passeia immu Drtuné tement après les archiduchesses ans ne le cérémonies officielles. On assuie que i ' des fete même elle a été placée avant e ait ans Au cours d'une visite du kronprmz aA ifin de ne, elle était assise a la place a noua n'avait entre l'empereur et• ^^onpmz. u hien S'arrêtera-t-elle la ? louttau pi»1 uu ^aS non. Si le serment de son mari s oppo £lïis œ qu'elle devienne impératrice d Autr Slle à S loi hongroise par contre lu^pe, ireuses d'être jeined^jn». i ■ du en ef- Vienne. Quelle invraisemblance q commun6 Ls hommls," ne peuvenujp Vognin. impératrice, en famille trouvera bien le moyen de la lui ;s fonc- — R. R. lis ne était Hélas ! deux balles stupides on .miliers, brutai.ement à ces rêyes de granef-" ans l'a- ^vvww lonné le wwwwwwvwwia'iavwwwvxw'Avv«/ e, extrê- . . M__ prnu Ile aida Voir plus loin noo v e^comte res Nouvelles de la*u,T< e COIIIL^I VVVVVVVI le santé, ^V^VVVVVVVVVVWVIVVVVVVVVVVVVVVVVVV sept en- , 'cesser FRANC1 Plusieurs ., /Et5ile Be brillant» Correspondance particulière C . Nostitz, Ans' ^ 3U1 5-Vorder- rian» » ^u'un de a French Tar ais n'an- divertissant C'est un spectacle b^t par trois g lit entrée ceiui donné en ce mtfBes . j-hôtel :z l'archi- des puissances pai^ gein(; et jadm: avait peu ville> la préfecture dln Toutes trois llîeevoile" tration du Mêtropq, sur les caprices ès de l'ar- vertuent a se lam^ et toutes trois , sa sœur sous-sol trop tou£jic _ sans cesser d lent cette cusent- devant le rg quand complices. . ^t prouvé, provo On peut encjgj^ B0urbon et ar: pnn nu des un scandale hr les responsabilités, "état a ^!»dre, à l'hôtel de vill la demoi- possible dj jamais, au grand jai ■it du goût même résu icipal n.eut d'issue u: n petit air un débat/ ier la sur Tamman'amusej c'est ie camarade ise de l'ar- un q^taire du syndicat des te nSÏr r? bert' fan partie, à très juste Ut, mênSTpar fiers j/ssion d'enquête et il va pai sang, trai- la c%, là où les « rouges >. on personnes sou» ./utile de lui faire inspecter le instant to- v^-^nts faits par des « jaunes ». d'honneur, ra^ît pas ce travail-là. us fortune ij-^ 'ecte. Deux compagnons an héritier C|^B^ Qn parcourt les galeries. H e 1 avait ( faU un signe 0n s arrjj la comtes® ■gagnons donnent quelqM® ,1 ; la m:^^^^H":';t le camarade secr^* ;ut de matériaux, les irioil® le Ça, du ciment? Non, messieurs, c est du gâchage de sable ! . — Ça, de la pierre ? Non, messieurs, c est du gravât ! .... M. Bienvenue, général des ingénieurs, s'étonne : ..... Mais enfin, Hubert, 1-e métro tient debout ? . ... Ça prouve, M. Bienvenue, ejue vos cal-, culs sont bien faits, vos voùtages bien soudés, mais on vous a volé sur l'es mate-■ riaux!... Il faut tout revoir 1 Et l'ouvrier qui rend ainsi hommage a 1 la science des techniciens et qui flétrit, du ' même coup, les entrepreneurs, l'ait baisser ^ tous les fronts devant son. franc regard. Voilà, camarade Hubert-, de bonne et sai-t ne action ouvrière ! s Battage mortel e La boxe est un sport robuste. La lutte. qui ne possédait- point la même qualité, es-Lt" morte de cette affection spéciale qu'on de r nomme le chiqué, maladie qui se contrait e par excès d'avidité. La lutte n ex» P . a que pour les piètres amateurs de i, foire ou de « catch as catch c^ » bêtement ie truqué. Et si on laisse faire viei us que je connais bie^e^ ^ i- meme T ' e «en d'ailleurs), e, ce, sen en , L^ns, ne résisterait cer- li i °Xi' :!°a;Jgtemps à une répétition it tainement pas / ® . ,, , , , + /e comédie a laquelle nous de la lamenta , , . , AT p j, -/ùster : le match Johnson-Mo- , ' venons d ^ le à iaJ1*ut le gratin, tout le faubourg et deux is <;ent mille francs de recette pour assister 5^1 à l'exhibition d'un noir trop gras et fatigué, !" I d'ul\blanc 3ui recevrait en dix rounds, je ^ \ parilce que l'on voudra, une trempe solide é- I deS \a^ns n,ûnporte quel poids moyen >Sj montai : Klauss en forme ou même Billy ïe Papk^ ir Mistr Johnson a été malin : Il a exigé si :>n cher pW matcher Langford qu'il a fallu ^ y renoiW et pour un honnête pourcentage un ncs, je crois) il a accepté le Mo- sa I ra,n. cîue.unboat Smith venait de battre, les m3!5 Qlll^néficia d'une virginité nouvelle. 1 Pu"ninit par se révolter tant la boxe er- fut lamen^^ Faroux, notre si sympa-ek. thique FaiXj remercie ce matin le Won-- la derland ii'^is d'avoir organisé cette ren-,a;1" contre. Tan^s j asi-1 .^or«?v} r Peut-être pas un Bombar-â, àldier ; e ,, euseme^it entrainé1. Vous vin- 1 serez stupe a\ar la ligne que vous four-ftca- 1 nira le com gon authentique vain-r la 1 queur Gunbo^jth avec Carpentier. I ^ /intr. iK»ur la sai- ' l a" I son des bain^^r les matches conclus aanf,p à tout prix /' a^irecteuirs de casino •Oits. entre im.TdevareUX et- n'imPOfte plus gui-- Mais /ULVci mieux au public pa- v-; son risien. j . Ces Je n'irai/18 , nouvel ordre aue i les chez mes fc^-espnd ordre"" »iei:- les Dastil' le,s Clément, les & faune, fc^f^K^leh. Je vou-i, qui draisbieL . :n„ ni us de^llams. Mais ^Ui Piu%deS;fôaenXMacV,., rraon plus de £ ces d ruqueurs te ex- s enten'd' si proprement Qui ,e Go- ^clet ai'fois, leur propre " le pu-preci- r xe est en péril, la \k 190°' hove cause d'une bande de » belle 6 i"'0" Snnent le <■ boniment ». s qui f des- tou/ux spéciaux, pour cinq ou les t faîte sui/ recette, et qui ne peuvent sjds avec dri la besogne honnete que brevet Jme purement sportive... pare^^^H lli:'d!a- 1 duraient pas la faire. Qtiand 1« -us, e,t I plus éduqué que ces gens-la -H fèUes L/tardera point — ils auront fait H , Yien-nii au sport que les insectes a la vi^Mf^ nneur (Ju'en dites-vous, Georges Rozet, Bernard, Pierre Giffard ? H oir a» Louis )pose JML r| "IlleSagnI qd'e (Correspondance particulière de I'Etoile ^Becoe) qi le Berlin, 27 juilkn jour Le duc de Meiningen, \ ?une le dernier des Medicps M Le duc George-Ernest de Saxe-Meinio. ' gen, qui vient de mourir et qu on .enter* , fln demain, aura été le dernier Meeluis. 1 • politique lui répugnait conune une val et stérile agitation et toute sa 'vie, to-a vwvv\ fortune et toute 1 irtfiuenee^j*' . .. sa fonction et de son i i j kie" crées à sa passion du theat»e Vq^ ,/ t. i hé^t» j assure, de moins belb" . ^ jfl rt/VVVV Le duc était très--^ . fa une i ■ ■flTJtenhai.t, / \ - 3? / Belge; U^eauc0up J" ( uin. p.Bis très lonL, ^ c*a\dy^& \ a une cinquaii^ la décision de s. ît que rement au gou\v^sacl eut dç^^-c0 gran- ducai de Meining-..iLa célèb^f 6-®- J^Ê tel de « Meini-nger « que vous avez S minis- Bruxelles nagyièré en f\ . ois s'é- qui révolffioyiia ie théàk» et\ ■s d'un en scène dytniatique dan-s tou\\j^u-is s'ac- rope, cette/',oui)e est,' si l'on peut •d'être dire, son /Juvr/ge. Il la réunit, l'é-duqua et l'él/ctrisa de son arder^ voquer amour die /art ejii théâtre. Il y aura eu peu arriver de direct/M* P"» actifs et plus soudeui i. Un- du détail et l'ouUaconle quHl j-ravaiffait y le le l'avant-/cène' l'Jnui ,1e premier .é-iss^-^ -un-lis v u.1 Cm' luis 'm tliéytiv, .1 us H utX: d. acteurs ,,1/ ; - - 1* d'Artoquin/à difieràices s°cia de Hu- rai saienUl ■> y avaitillus qt 11 v£Lnukt ^ terras- deitliéàtre:,l des collabii atei^is. ^ itre, de }»• ' ' moii& lartout, Àdune l'idée' de 'f tra-JÉ ■ , "n'M m 'IHuLi "J^^Kéfunt commença à s intéresser aux^ ifdramatiques, le theâtre allemanJH M Bans un i,.cause p^B . proie des viKM ■ i'C d'ensenj de gra/ jn^jpu des acteifl ■as et pot. de àm t i rr amée. + N" 1S1

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes