Notre Belgique

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s.n. 1918, 04 August. Notre Belgique. Seen on 06 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/2z12n5033f/
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NOTRE BELGIQUE ùieu protège I» libre Belgique _ _ * U étte* ps s'Belgique trail mervèti St eoa 1ici l V O %J I I IU I li f*** gg puss mays <?s %'e%t fit d'emt WsSIâa t Ttesd &o«y Tarif des Abonnements fcôdKesiû» at «dmiNistratisai Afeonnemsats Militaires î Militaires i RSel* S.BO *r. i Msia 4 fr. » , a o«s a ,«■ ^ Olvlis I ,'France) . - - « Mol. I.SO Jr. S M*U 6 tr 13, RUE DES COMMUNES,. CAJLAI8 Î!I Ï1T. ' ' * " Î «o ^ f T" tyaa$r«r> ... ? ^ols 3.30 fr. S Mois £ fr. ' psp «gfcis i * ■• •» * ffipe , arsîîs^i?!?# A l'Aurore de la 5èmc année de guerre Que ferons-nous p Les grands anniversaires déroulent à nos esprits leurs souvenirs de deuil, de gloire, d'enthousiasme. Il y a quatre ans que les Allemands ont perpétré leur forfait, ouvert le temple de la guerre, déchaîné sur le monde les puissances de dévastation et de mort. Quatre ans 1 Certes, en dépit du temps qui s'est écoulé, le soldat belge garde intacts et son ! patriotisme et sa vaillance. Et pourtant ' qui pourra jamais décrire la douloureuse 1 passion qu'il a endurée, le cœur saignant -loin de son foyer et des êtres aimés, bal-' lotté à tous les vents, nomade, déclassé, j soumis à toutes les rigueurs, à toutes les i privations, à tous les daugers. L'épreuve l'a assailli, et, sans broncher, il a subi l'attaque, muscles et nerfs tendus pour l'infrangible résistance. Ce qu il a fait jusqu'à présent, il le fera encore durant cette nouvelle année qui s'ouvre, il le fera jusqu'au bout. Nous pouvons avoir confiance en lui, il ne boudera pas à l'ouvrage. Seulement, n'oublions pas que le soldat1 lui aussi compte sur la Patrie et sur ceux qui la représentent, c'est-à-dire sur ses' chefs. Il donne ses sueurs, il donne ses peines, il donne son sang. En échange, que de-mande-t-il ? Non des articles élogieux, non dea dithyrambes ampoulés, non des témoignages d'une phraséologie creuse : le; moindre grain de mil ferait bien mieux son affaire. Ce qu'il attend, c'est que nous^ lui facilitions dans la mesure des possibi-' lités, une vie qui malgré la meilleure volonté du monde ne cessera jamais d'être anormalement pénible et inhumaine. Les années qui coulent ne font qu'ajouter à son sacrifice : elles nous imposent de ce fait une obligation plus rigoureuse de l'aider et d'améliorer sa situation. Nous entrons dans uue nouvelle phase de la guerre : qu allons-nous faire pour que le soldat la commence avec une joyeuse ardeur, et qu'il ne ploie pas dès >our nos Soldais? maintenant sous le fardeau que les mois prochains feront peser sur lui ? Qaestion capitale, qui, nous n'en doutons pas, préoccupe les autorités responsables, et dont une prompte solution importe grandement au bien de l'armée et de la Patrie. Nous qui de jour en jour justifions davantage notre titre di « quotidien du front belge », nou3 lui avons consacré toute notre attention. Nous avons interrogé à ce sujet et les hommes, et les chefs. Des officiers, des soldats nous ont communiqué leurs desiderata, leurs avis. Nous avons reçu des missives collectives exprimant l'opinion de groupes de gradés. Bref, en collaboration avec nos amis du front, soucieux de défendre l'intérêt sacré de nos défenseurs, persuadé que dans les circonstances présentes le patriotisme ne nom impose pas de devoir plus urgent que de travailler au mieux-être de nos soldats, dédaigneux de toutes querelles politiques et de tout conflit intérieur, ne connaissant ici qu'un ennemi : le Boche, ne poursuivant qu'un but : le salut de la Belgique, et. pour y arriver, le bien de notre armée, nous nous permettrons, en quelques articles, de soumettre à l'autorité les mesures que nous estimons répondre aux justes aspirations du jasse. Nous traiterons d abord la question qui au regard des hommes prime tout : « les congés ». Puis celle, souvent abordée en nos colonnes et toujours actuelle «des repos ». Enfin, nous nous demanderons quelle récompense on pourrait accorder t< aux vaillants qui depuis quatre ans font leur devoir au front ». Sans présomption, conscient de collaborer dans notre modeste sphère au grand ! œuvre de la reconstitution nationale, nous | ' osons espérer que notre voix désintéressée sera entendue en haut Hou, et que notre frère des tranchées se réjouira d'être à l'aurore de cette 5e année de guerre, plus que jamais soutenu, réconforté, consolé dans l'âpre tâche que lui impose l'amour de la Patrie. L Ë LO U Du sang des martyrs lève une moisson de héros Pour la qualrième fois le douloureux anniversaire de la violation du territoire belge émeut nos âmes ferventes. Au*s vivant» que le premier four, le* souvenir, du carnage et de l'incendie, contommi et allumé par Ut Huns moderne*, noui emplissent la pensée: Visé, Warsage Herve, Francor champs, Andenne, Tami nés, Suriee, Dinant, Wavre, Jemappet Quaregnon, Marchiennes, Ethe, Latour Etalle, Neutchdteau, comme autant di victime* sanglantes, s» hissent sur h calvaire de la Wallonie. De toute* no* province* aucune ne fu épargnée : le poing robutte de l'Allema gne, dont le* pangermanittet tont t fier*, s'était abattu lourdement tur elles La terreur seule pouvait, suivant un doctrine chère à leurs hommes de guerre mâter, au point de la rendre muette e soumise, cette population (vallonné,dort gine gallo-romaine, que le professor Car Frarkt qualifie dans la revue: « Du groeste Deutschland » de « MéphlsU latin ». Latins, oui, nous tomme* fier* dei |jrf, il n'eit pa>, à l heure présente, d , nom, qui nous soit plus cher. Mait, * « Méphisto » jamais, lu caractère wallon est loin d'être diabolique : franc, loyal, primesauiier comme il est ; nous aurions tôt fait de rétorquer l'épithète à nos ennemis d'outre-Rhin. Lorsque le fer et le teu eurent porté ; aux quatre coins de la Wallonie les bien• f faits de la kultur, sans cependant voir la I victime pantelante crier merci, It bour• ( reau, honteux sans doute de la noirceur ! de son crime, inventa ce mitérable alibi: t « Ce sont les femmes et les enfants wallons, qui ont commis des meurtres sur [ les soldatt allemands, il* leur ont même crevé les yvtx ». f , Au crime s1 ajoutait désormais l'outrage. ; Et la réponse des wallon* fut ce qu'elle i devait être: a Du sang de* martyr* leva une moisson de héros ». t Aux soldats, difsnseurt de Liège, la . cité ardente, te joignirent des volontaire* i en grand nombre ; chaque jour encore, . malgré let fi.lt barbelés, malgré tout let » obttacles accumulés aux frontières, le* f vaillantt fil* de la Wallonie ritqueni cent t foit la mort pour venir offrir leur bras à . la patrie bien-aimée. I L'Allemagne, exaspérée d'une sembla■ t ble audace et d'un *i bel amour, ne cette > d'inventer de nouveaux moyens d'épouvante: déportations, jugements sommaires, i .exécution* répétée* ; la jeunette wallonne 91 continue quand même, laitianf derrière LES RESPONSABILITÉS DE LA GUERRE Il est impossible, en ces premiers jours i d'Août de ne pas se reporter k ans en arrière et de ne pas revivre par le souvenir les journées tragiques qui provoquèrent le déchaînement de la grande catastrophe. Pendant le mois de juillet, l'Allemagne joua la comédie diplomatique. Dès l'attentai de Sarajevo, sa résolution èliit prise : il lui fallait la guerre. Le grand conseil des chefs militaires et politiques s'était réuni à Post-dam. L'accord s'était fait sur la nécessité d un conflit armé qui permettrait aux Centraux, préparés à l'attaque, de se ruer sur l'Entente et d'emporter la victoire en quelques mois. Il s'agissait de manœuvrer pour que le conflit austro serbe ne s'apaisât point et que l'étincelle allumée par le meurtre de l'archiduc-héritier ne s'éteignit point. Ainsi fut fait. Sa Majesté apostolique François-Joseph n'hésita pas à se déshonorer par le jeu infâme de l'ultimatum à la Serbie. Le gouvernement de Belgrade, accueillant les suggestions de la Russie, eut beau se soumettre aux conditions les plus ignominieuses : rien n'y fit, l'empereur d'Autriche refusa de se rendre et ne songeant pas que les soldats de la Double-Monarchie étaient, par vocation spéciale, destinés à se faire « rosser » sur tous les champs de bataille, il mit résolument le feu aux poudres. I.es malédictions du monde civilisé poursuivent jusque dans sa tombe l'infâme vieillard, rouge du sang de milliers de victimes. En même temps que Vienne, Berlin jouait sa partie dans la comédie diplomatique qui devait si tragiquement aboutir. Le kaiser et ses représentants, tout en affichant un immense amour de la paix, entretenaient clandestinement la résistance autrichienne. Ils accueillaient avec une complaisance affectée les suggestions russes, anglaises, françaises, mais s'arrangeaient pour les éluder sous main et pour faire surgir l'inévitable. L'année 191i a été féconde en révélations de tout genre à ce sujet, et surtout les indications du prince Lichnowsky et du docteur Muehlon ont jeté une lumière éclatante sur les machinations germaniques. Aussi l'évocation, en ces jours anniversaires du début de la guerre, met en un relief saisissant la responsabilité allemande. Heureusement, les événements depuis quelques mois, ont pris une tournure telle que, en même temps que la culpabilité des Centraux, nous enregistrons leur totale déception. « En quelques mois, nous serons les maîtres du monde » se disaient lé kaiser et ses con seillers. Quatre ans sont passés, les armées de l'Entente prennent peu à peu le dessus ; à la France, à VAngleterre s'est joint le monde entier et surtout l'Amérique qui dresse tout , un continent en face de l'Allemagne ; la Russie qui semblait pacifiée fait entendre dt sourds grondements et montre à sa manière habituelle, c'est à dire par des assassinats j politiques, ce qu'elle pense de l'amitié germanique. Le Japon, en union avec la Chine et les Etats Unis, intervient en Sibérie et me-'nace toute l'expansion orientale de i'Allema-, 8ne- ' Bref, Guillaume II, repassant l'histoire de ces dernières années, peut s'appliquer le mot j de Talleyrand : « La guerre que j'ai déclarée ? fut plus qu'un crime : ce fut une faute. » J. Morande elle deuilt et angoisses, de passer résolu ment la frontière. L'hittoire rtdlra plus tard les train quotidiens d'hiroiime et citera les nom j qu'il convient de ne pas oublier, trnf d'intérêts sacrét ne le permettent pat au joufd'hui. Malt pour symboliser la Wallonie tou entière, une voix vénérable t'est élevé* Un saint vieillard, homma de tcienci profonde, revêtu dune des plus hautes dignités : le cardinal Mtrcier, drapé dan, son manteau de pourpre romaine, t protesté avec une énergie inlassable con ire ces violences faites à la liberté et à h dignité humaines. Semblable aux premiers pères de l'é glise, lançant l'anathème contre l'empe reur parjure, le primat de Belgique i sVgmatisé, à la face de l'univers, le, menée* infâmes de la Germanie. Sa voix fui écoutée : au delà det océan, la parole de juttice s'ett envolée, tusci tant dè nouveaux détenteurt à la cauti immortelle du droit ; de partout un peu pie de guerrier t a surgi. En entrant dans cette cinquième annéi de guerre, nous voyons apparaître t l'horizon le* signes certains d'une invin cible espérance. Quittant les rivages d< l'A ttique, où la civilisation lattne pri naissance, la blanche statue de Samc, thrace s'avance à grands battements d'ai les, vers la Gaule : France et Belgique Déjà nos étendards alliés se gonflent ai vent de la victoire et dans les champs, l blé du renouveau est moissonné. Demain, quittant fusils, canont et gre nades, nos soldats reprendront la char rue et l'outil. Et pour avoir maîtrisé L même bêle d» proie et lutté pour le mêm idéal let peuples libres seront unis. Pas n'est besoin de la frontière di Rhin, un fleuve de sang noue sépare < jamais de l'Allemagne et des allemands George SOHIER Soldat, NOTRE BELGIQUE fait ce qu'elle peut pour toi. Fait' tu ce que tu peux pour elle ? Soldat, achite, propage NOTRE BELGIQUE. | Au jour le jour 1 SPORTS | Décidément fa vogua est aux sports. It n ! s'écouie pa3 ùe> semaine sans qu'il y ait que, . que fêta ou quelque sensationnel match d î foot bail. Tout où il y a quelques Cfntiroètrf-d'eau nos tritons s'ébattent et leur noaibr grandit chaque jour. C était inévitable en u pays aussi humide que la Fiandre. Tous le soldats sont devenus amphibies. Dans tou les coins lesjisses malmènent un malhen \ reux ballon. L/escrime a ses fervents d j même que la boxe et pas mal de piottes n ( rêvent plus que de chassés croisés*, de swing ; ou d'uppercuts Dans une praiiie proche di cantonnement d'autres fout tournoyer lt f canne eu des moulinets savants et même par : fois sur les routes on peut voir des coureur.-. s'en aller d'un pas cadencé pour s'entraineif t à un 4.000 ou un 10.000 mètres. Il y a aussi' ' le rowlng autrement dit le canotega mais il ; se fait surtout sur das radeaux. Des tonneaux i quelques planches, une perche et nos ioups de mer s'en vont à l'aventure. '• Un sport nouveau s'e&t implanté. Il s'agit | du laccemant de la grenade. Ce fut un belge | Sckaekers qui triompha à Paris dans le championnat inter-aliié lançant la grenade à 66 m. 67. Il vient de battre officieusement s*-| record en projetant la grenade à 70 m. 28. ^ Il ne manque plus maintenant qu'un Gordon Bennett qui donnerait une coupe où tous ( nos chauffeurs pourraient lutter de vitesse en (un ciicuiÈ des Flandres. Il ue l -.ut pas dés-| espérer, un chauffeur de P. A. R. s'entraine {déjà et au premier virage il a culbuté dans un fossé. Vous voyez il promet... Willy Renier. ——masa»»—- FÊTE AU FRONT Belle fête, celle donnée à la... du ... l'après-• midi 29 juillet. Profitant ;de quelques jours de repos, notre commandant de Cie le lieutenant Geys, aimé . de tous nos piottns, organisa avec le concours de l'adjudant Van Damme, une magnifique fête, rehaussée encore par la présence de ■ notre excellente musique de Régiment, Jouant ses plus beaux morceaux. ! L'organisation de jeux divers par les soins de l'adjudant Van Damme était parfaite. Citons : La traction à la corde, où de solides ^as du 1er p loton sortirent vainqueurs. L» :ourse en sac, nvnc ses culbutes fréquentes, ;ou se à la cuiller ; lutte à coups de «Vader-and» avec équilibre instable; course troïka ; sauts en longneur et en hauteur ; jeux du gobelet et de la tinneletto. Avec cela un « Step » smasant, exécuté avec an chic partait par le camarada Franssens et Mademoiselle Von Tongerloo, qui furent applaudis chaleureusement par l'assistance accourue nombreuse des cantonnements voisins.Tout était pour le mieux. De nombreux prix furent distribués aux vainqueurs par notre commandant. Une collecte faite à l'intention de nos blessés rapporta la 9omme de 30 francs. Nous remercions et félicitons de tout ccear notre commandant do Cie et notre adjudant pour le résultat do cette b3lle fête, qui fut une véritable partie de plaisir et qui procura à nos petits soldats en ces temps malheureux un peu de bien-être et de joie. Vive le lieutenant G'ys ! Vive l'adjudant Van Damme l MIGNON i Les Sports au Front Fête Athlétique organisée par le Comité Sportif de la Ole du de ligne Le dimanche 28 juillet furent disputés au terrain du D. H., superbamont dàcoré pour (a circonstance, le# championnats du 1er Bon du de ligne. L'organisation de cette réunion sportive qui iisons-le tout d'abord, obtint uu succès éclatant, avait été assurée par le comité sporlit de la 4e Cia. S. A. R. le prince Lêopold, soldat au 1er Bon, avait tenu à assister à cet « event » sportif pour applaudir aux prouesses des militaires de sa glorieuse unité. Le sympathique général Jacques, fervent de tous les sports et supporter convaincu ; le général Richard, superbe commandant de la D. L, le lieut colonel De Camps, commandant du régiment ; le major Borms du I Boa iont les générosités ne se comptent plus, le rasjor Delréz et d'autres et d'autres dont ja n'ai retenu les noms, se pressaient sur l'estrade. Le si aimable commandant de la D. I., ie général Joostens, empêché, s'était fait représenter par son chef d'étai-major. Une multitude de spectateurs s'écrasait le long des barrières, chacun encourageant ses favoris. La Ire partie, comprenant le sport proprement dit, donna les résultats suivants : 100 m. p'at. — Finale : 1. Aerts L., 4a Cie ; 2. Tobback, 4^ Cia ; Crav&tto, 2e Cie. Temps : 11" 3t5. Le sergent Brasseur, champion de la D. A. parti hors concours gagne de 2 mètres. Saut en longueur : 1. Cuypers A. 4e Cie, 5 m 25 ; De Sohepper O, 4e Cie, 5m 15; Aerts Û., 4e Cie, 5 m 08. 1500 m pl&t f 1. Bjnny, Ire Cio, 4' 58" 3,5 ; 3. Darip. 2e Cie, à deux mètres ; 3, Brullfifmans, 4e Cie. Traction à la corde. — Finale : équipe Ire Cia bat équipe 4e Cie. Saut en hauteur : 1. Cuypers, 4e cie, 1 m 55; 2. Cravatte, 4e Cie, 1 m 50. 400 m. plat : 1. Op de Wert, 2e Cie, 61" 2,5; 2. Matthys, lve Cie, à 3 m ; 3. Van Baelen, 3e Cls. Lancement do grenades, précision : Suhakers, 3e Cie, 10 points ; 2. Goiiin, 10 p. Lancement de grenades, longueur : Schakers, 3e Cie, 70 m 48 ; Schœls, 4e Cie, 58 m 8.0 ; Wlllemyns, Ire Cie, 56 m20. Schïkors qui gagna le championnat des Aidés à Paris est parvenu à dépasser sa performance d'alors. 800 m. relais : 1. Equipe 4a Cie (Aerts-Tob-back Dupont Cuypers), en 1' 47" La deuxième partie nous permit d'appltudlr une démonstration très captivante de lutte gréco-romaine, entre le sergent Délédicque et le soldat Van Larhoven. Le professeur Lorquet et son élève Hardy, en 4 rounds de boxe française, nous Initièrent à ce noble art. Tout en souplesse et en agilité, le professeur Lorquet fit une démonstration magnifique qui nous prouva que la boxe trançaise est un excellent moyen de « self défence ». En un étourdissant assaut de cenae royale, le sergent Délédicque et Paulus soulevèrent d'enthousiastes applaudissements. E \ boxe anglaise, la caporal Hick et le so'dit Collard nous montrérant tonte leur science des « swings » et des « uppercuts », faisant preuve d'endurance et de stoïcisme. Les « Frères de l'Yser », en de multiples sereines acrobatiques impeccablement exé- e> 3° Année — No 524 Le Numéro 5 ctmes Dimanche 4 Août 1918

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This item is a publication of the title Notre Belgique belonging to the category Oorlogspers, published in Calais from 1916 to 1918.

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