Bruxelles-dépêches: feuille d'informations télégraphiques internationales et d'annonces diverses

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06 augustus 1914
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s.n. 1914, 06 Augustus. Bruxelles-dépêches: feuille d'informations télégraphiques internationales et d'annonces diverses. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/x639z91j35/
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■■ - ... . Jenéi 6 Ml (914 8e Année. - R» iWt 5 Centimes Ie numero 3, rue du EDITE PAR LE VELO-SPORT S'ACCENTUE kt% \idi u -me' amven en dehors de la proteose sont glissés égale- LES ALLEMANDS SE RÉFUGtEHT EN HOLLANDE UN OFFICIER BELGE TUE EN RECONNAISSANCE , Au cours d'une reconnaissance de cavalerie entre Plaineyaux et Esneux capitaine de Menten de Homes à la tête de son escadron de lanciers, ^trouva tout à coup en présence d une troupe d'environ 500 uhlans, accompagnés de mitrailleurs. Les lanciers ouvnrenUe feu sur les uhlans qui répondirent par une pluie le ball-s; le commandant de \ nten de Homes tomba mortellement frappé; à ses côtés, une trentame, de.anpiers furent étés à terre. Les anciers se replièrent en bon ordre vers is; les uhlans ne les poursuivirent hantqu'llsaUaientjerelesMMs. UN PARLEfflENiAlRE K I !.. 1/2 de l'après-midi, le parlementai allemand qui s'était rendu à Lrége lo malm à 6 heures, était de retour a VSur l'auto qui le transportait IhïlaSu.n^anJdranoauhancdeortu- ,„.. établi à l'aide d'un drap de lit ei d'un manche à balai. Leparlementaire était conduit au fort Dul'touionrs dans sa voiture et les yeux f.ZL "il repassait devant .nous pour ;,h; (,,mllli,auquartier général alle- mLe'rhautfeur de l'automobile qui a reconduit le parlementaire au-delà de Fle,„ a rencontré sur la route de M.che,oüx, des cadavres allemands en s. grand „ombre qu'il a dû renoncer a avancer et i déposé le parlementaire en pleins champs. De; nombreux Hessés allemands Q s- somt x& ftigèee en territoire ho-lüaiidais. PG'usitfuars personnes affirmerai ajv^>ia* entetodîu le bmiit du canon dans la direction eu Litmiboruirg: bciLLandaie ; l'opindom» gémémai^ à Liège, est que l'aimée noiltaïudadae ai "livré batailile aux débris dto Vile earps auDDemaiwi et k«s ohiasses de som teirótoire. Mais cicini n'est venu jusqu'à présent com'firmear cette, supposition.. L'ATTAQUE DE LIÈGE CONTINUE L'attaque dé la position de Liège, commencée mercredi matin, et avortée dans le secteuas nord-est (entre la Meuse et la Vesdre) dans 'les conditions que nous venons de rapporter, sVst continuée durant la nuit de mercredi à jeudi «s par corps JJlemand. Les forts de Bon celle ef 'de Chiaudfontaine y sont principalement dintéressés et les oibns ai Iemands sont même arrivés jusqu'au fort dö FléV malle, sur la rive gauche de la Meuse. Nos troupes sont favorisées par un beau 'dan; de lune; les phares des forts fonctionnent à mer» veille, nos obus portent et l'on a i'espoir qua j j'r-tt-'■eigesont rempoilé . sis- . ,?, r.-oml allemande se montrèrent i ieurs. s allemandes sont énormes, fiaient de 8.000 morts, il ne et une appréciation (très difficile; nous croyons de h à 5,000 tués allemands allemands auraient nlu plusieurs canons et plu- illeiises. : ont subi des pertes, mais pas romparables à celles par 1< RICEABLES ALLEMANDS VERS LIEGE uit et alors que la bataille ors los fortsde Liège, un st avancé vers Liège; nos pi t te feu sur lui. Nouvellesde partout EN HOLLANDE LES ALLEMANDS ESSAYENT DE PASSER PAR EYSDEN, MAIS ILS ÉCHOUENT Amsterdam, 5. — On nous mande de Eysden (frontière belgo-hollandaise) que les Allemands ont tenté en vain de forcer les forteresses. Néanmoins les Allemands se sont battus toute la nuit. Leurs efforts à réparer les ponts ont tout à fait échoué., Les blessés allemands sont transportés' à Maestriçht, où ils sont considérés comme prisonniers de guerre. L'OPINION PUBLIQUE Après les premiers jours de nervosité et de ^paniqufe, le peuple hollandais com-? menée à se rendre compte de la situation dans laquelle elle se trouve en face dû conflit européen. L'attitude du gouvernement^ belge a trouvé ici la plus vive sympathie: ,tions. Les régions etœ&ki§s. w \ + • + LA RÉSISTANCE Plusieurs résiste s*a\enlurer 1 également, les Allemands furent repoussés avec de grosses pertes. Bref, l'attaque simultanée des forts de Barchon, de Ghaudlontaine et d'Embourg fut repoussée avec le plus grand succès. LES ALLEMANDS ESSAYENT DE PASSER ENTRE LES FORTS Pendant que les Allemands attaquaient les forts, d'autres troupes ennemies essayaient de passer entre les forts de Barchon, d'Evegnée, de Flérpn et de Chaudfontaine. Du côté de Barchon, les Belges reculèrent jusqu'au ravin de la Julienne. Ici, les Belles s'$rrAj.£i:e»L »^'o«l-c«c"-.-«j*,^w f „von C'est ici que nos hommes tirent preuve d'une valour exceptionnelle. Le general Léman donna Tordre au général commandant les deux régiments de ligne engagés de se porter à l'attaquedes positions allemandes et de rejeter 1 ennemi ère, jusqu'aupont de Wandre. Une autreVigade d'infanterie chargée de soutenir les deux régiments de ligne, n'eut pas a intervenir. Nos lignards repoussèrent les Allemands jusqu'à 1,800>/™JZf* fortstandis que les canons des oilsdémolissaient les moulins d.'Argenteau qui contenaient de nombreux soldats allemands. Pendant ce temps nos hommes noursuivaienl les Allemand avec une arSe:Si confinabioiitftt jusqu'àa témérité te général Léman dut faire sonne 'la retraitepour que nos hommes ne lioij des io\ i s Al ment entire gorges ent de nos 1 de délpgi les forts Liège résiste énergiquemenf LE BRUIT AVAIT COURU QU'UN REGIMENT DE HUSSARDS ALLEMANDS AVAIT FORCE LES FORTS ET OCCUPAIT LIEGE. NOUVELLE FAUSSE. LIEGE, JEUDI MATIN, TIENT TOUJOURS SANS DEFAILLANCE ET PAS UN ALLEMAND NE SE CONTRE EN VILLE. UN COUP D'AUDACE ÉCHOUÉ ses dl eng-n^ ave© Fin! nettement Les per certains p faut pas exacte es qu'un chif doit être i égaleuifiil sieurs mit Les Bel ne sr UNE PETITE PATROUILLE ALLEMANDE ETAIT PARVENUE CEPENDANT, EN TENTANT UN COUP D'AUDACE, A ENTRER DANS LIEGE ET S'EST PORTEE Les Français arrivent TROIS DIVISIONS FRANÇAISES MARCHANT VERS NOTRE CHAMP D'OPERATIONS. ! LES Vers 1$ ootirtinuai rA>ppele LE'GENEMUSSISME UNGUIS Ml MINISTERE JEUDI, AU MINISTERE DE LA GUERRE. GARE MX FAUSSES NOUVELLES „«„«îlTeuM ALLEMANDS LANCENT QUANTITE DE DES AGENTS PROVO^TÉURSALUEMATROUBLER ET .N FAUSSES ^"«^'SoUE ET PROVOQUER DES PARIQUES. AU QUIETER L'OPINION PUBL QUE ET ™° « ffAMMES. WAIS0N PEUT "l!!!ffiÏÏD!S™ ™™» STVLE ETANT TOUT A te Cuiats te iroli ' iï tes i FAIT NAIF. anéantis, mais lorsqu'ils furent a portee des fortins, les mitrailleuses belges entrèrent brusquement en action et couvrirent l'ennemi de mitraille Les Allemands turent couchés sur le sol, fauches comme un champ de blés! LES ALLEMANDS ATTAQUENT ontaine A peu près en même temps qu'ils se portaient à l'attaque du fort de Barchon, les Allemands se portaient al attaque du fort de Ghaudfontaine au sud-est de Liège, les colonnes allemandes arrivèrent par Trooz et Pepinster. Le fort ouvrit le feu et les Allemands cherchèrent un refuge dans les bois avoisinant le château de Forêt; le fort, en quelques coups de canons, démolit le château. L'ennemi dut se replier et un obus belge tomba au milieu d'une colonne allemande, causant beaucoup de ravages. L'attaque du fort de Chaudfon taine dut être arrêtée. SES AVEC DES PEKi ansgABLE8p0URL.ENNEMI. Nous avons annoncé brièvement dans notre édition spéciale parue mercredi ftorès-midi que les 7e et 10e corps^d arEaSauds avaient livré une attaque *nSlî—tv troupes all^anaes essayaient de se glisser dans les m- fetiS4°ueS ies deux corps aile wiands assaillant nos positions compreÔ'un effectif total de 6,000 hommes. ' La bataille à commencé a S U i.h>i ■«s du matin; les Allemands se portèrent TraUaque du tort de Barchon situé au nord-est de Liège. L'artillerie allemande ouvrit le feu, «ais [es obus, mal dirigés, n'atte.gn.ren«as le fort et allèrent dévaster le petitwfllaee de Housse.■ , Pendant un long moment, FarUllem demande ne se rendit pas compte de son erreur et continua à épargner le fort. LA TACTIQUE BELGE ILS SONT REPOUSSES DEVANT LE FORT D'EMBOURG EGALEMENT Toujours au même moment, les Allemands attaquèrent le. fort d'Embourg Là Les Allemands, soutenus par leur ar- ■tmerie de campagne, se rapprocher)très près du fort; à ce moment, notre artillerie cessa le feu et les Allemands moment à 'assaut, croyant sans doute. Les Belges ^^mtmÊÊÊmmiÊÊm

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