Informations belges

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s.n. 1917, 20 Juli. Informations belges. Geraadpleegd op 08 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/xk84j0fh99/
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N° 401 20 Juillet 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante serva i ion împoriame Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les oommunioations de service : 53, rue des Gobelins, MA.VRE (Seine-Inférieure) France. auiCBBC! ico uuiiiuiuuiuauuua uc boi viuc . rue uc» — A l'occasion de la Fête nationale belge, les « Informations belges » ne paraîtront pas le samedi 21 juillet 1917. «Les établissements d'artillerie belges pendant la g-uerre » par le commandant Willy Breton. — Préface de M. Emile Vandervelde.— Un livre des plus importants pour apprécier l'effort belge pendant la guerre vient de paraître sous la signature du commandant Willy Breton, de l'armée belge. Il est intitulé: Les Etnblisseme?its d'artillerie belges pendant la guerre. C'est un fort volume, grand in-8°, de 198 pages avec Cl illustrations inédites hors-texte. L'auteur expose, avec l'autorité que lui donne sa compétence professionnelle, « la situation de nos établissements d'artillerie à la veille de la guerre ; leur fonctionnement à Anvers en août et septembre 1914 ; le néant dans lequel les laissèrent l'abandon obligé de notre base et la retraite de l'armée vers l'user ; la première phase de leur installation en France alors qu'il fallut tout improviser en hâte, pour arriver, enfin, à la période de leur organisation définitive, qui est celle d'aujourd'hui. » La préface de cet intéressant ouvrage a été écrite par M. E. Vandervelde, ministre d'Etat. M. Vandervelde y caractérise comme suit le remarquable exemple d'activité industrielle donné par la Belgique pendant la guerre, qui fait l'objet de l'ouvrage : « Beaucoup de gens ne se doutent pas que le principal centre de l'activité industrielle belge, depuis l'invasion allemande, c'est le Havre. « En Belgique même, la plupart des grandes entreprises sont réduites au chômage ou ne travaillent qu'à demi-temps. Dans les établissements militaires belges du Havre, au contraire, plus de 8,000 soldats-ouvriers travaillent le jour et la nuit, en semaine, et une partie du dimanche, pour fournir à l'armée belge les explosifs, les munitions, le matériel d'artillerie, les moyens de transports automobiles et hippomobiles dont elle a besoin. « De cette vaste cité industrielle, avec ses usines, ses casernements, ses lieux de récréation, qui servent aussi de chapelles, rien n'existait il y a deux ans encore. « Après la chuto d'Anvers et la bataille de l'Yser, l'armée belge, privée de ses bases, n'avait pu se re- uumciiuS) m-jM.ii w K ^ciuc-tuici icui c; t î , faire que grâce au concours de l'Angleterre et de la France. Dès les premiers jours, pourtant, elle s'évertuait à fournir elle-même tout l'effort dont elle était capable. Des ateliers de réparation s'improvisaient à Calais et y accomplissaient une intense besogne. Au Havre, on reconstituait de toutes pièces l'ancienne Ecole de pyrotechnie chargée de fournir aux troupes les poudres et les projectiles. « En août 1915, le ministre de la guerre décidait que les services belges produiraient eux-mêmes tout le matériel que leurs moyens propres leurs permettraient de créer. Nos établissements de fabrication prirent ainsi naissance et vinrent se grouper dans la région du Havre. « A la fin de la même année, plusieurs d'entre eux étaient en plein fonctionnement déjà, d'autres encore en voie d'accroissement, quand une foudroyante explosion anéantit corps et biens la poudrerie belge de Graville, y faisant littéralement table rase, n'y laissant ni un homme vivant, ni un pan de mur debout, provoquant en outre de graves dégâts dans les établissements d'alentour. « C'est d'alors surtout que date le grand effort dont l'auteur de ce livre nous décrit les résultats. « Tout était à faire ou à refaire. Il fallait recruter la main-d'œuvre. Il fallait se procurer des machines Il fallait sortir de terre des logements, des chantiers, des halles de travail, alors que, peut-être, la guerre serait finie avant que rien ne soit terminé.« Ce fut le mérite insigne du ministre de la guerre, du commandant Biaise et de ses collaborateurs d'avoir vu grand, dès l'abord, et d'avoir mis au service de cette entreprise difficile, que d'aucuns jugeaient hasardeuse, l'enthousiasme et l'ardeur au travail qui, seuls, devaient permettre de la mener à bien. « On manquait d'ouvriers. On ne disposait guère que de manœuvres : des blessés, des inaptes, des réfugiés, pour la plupart sans qualification spéciale. Mais l'armée de campagne était là, avec ses anciennes classes, composées surtout de prolétaires : c'est dans leurs rangs, parmi les métallurgistes du Hainaut, de Liège ou d'Anvers, que l'on alla chercher des spécialistes, qui aidèrent à en former d'autres. « On avait besoin de machines, et la France ou l'Angleterre, absorbées par leur propre effort industriel, n'en pouvaient guère donner. Mais il y avait l'Amérique ; et bientôt, dans les baraquements de

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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