Informations belges

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27 september 1918
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s.n. 1918, 27 September. Informations belges. Geraadpleegd op 21 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/p55db8052k/
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N° 824 27 Septembre 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publicatioa. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. T.ps nntps c\'iy>tnrm.nt.inn. dirar.ta et. nersnnnell.e ne sont, nrécédées d'aucun siffnp. Adresser les communications de service : 29, rue Jacques-Loner, HAVRE (Seine-Inférieure) France. (xx).—t « La Belgique doit être restaurée dans son entière indépendance » — dit M. Samuel Gompers. — Au cours d'un déjeuner offert à Paris, le 2o septembre 1918, par M. Stephen Pichon, ministre français des affaires étrangères, en l'honneur do M. Samuel Gompers, président de 1' « American Fédération of Labour » et des membres de la mission travailliste, M. Samuel Gompers a dit, notamment : « Sous la conduite du grand démocrate, interprète de la démocratie, les hommes engagés dans toutes les branches de l'activité humaine ont donné aux Etats-Unis l'exemple d'une unité de pensée et d'action telle qu'on n'en avait jamais vu et se sont rangés fidèlement derrière le président Wilson pour lutter, épaule contre épaule, avec vous, avec la Grande-Bretagne, avec l'Italie, avec tous nos alliés et pour veiller à ce que la Belgique soit restaurée en son entière indépendance, à ce que l'outrage fait à la France soit intégralement réparé, que le meurtre de la Serbie et do la Roumanie soit expié de façon à assurer la sécurité do notre civilisation. » Un Espagnol ami de la Belgique : M Ramon de Apalâtegui. — Les Belges ont lu, avec un vif plaisir, des articles fort intéressants donnés, en série, dans les journaux de Saint-Sébastien du mois do septembre 1918. Les pénibles conditions d'existence faites aux habitants du territoire envahi par l'inique agresseur allemand, le courage des Belges y sont mis en pleine lumière. Mais, plus que'quiconque, les Anversois se sont réjouis lorsqu'ils ont vu, sous ces articles, la signature do M. Ramôu de Apalâtegui, professeur à l'Institut supérieur de commerce d'Anvers, en qui la juste cause belge n'a cessé de trouver un vigoureux défenseur. (xx)—Sympathie espagnole pour la Belgique. — Le Diario de Barcelona, du 19 septembre 1918, annonce que les conseillers municipaux des partis conservateur-libéral et républicain de la ville do Malaga demandent à recevoir 20 orphelins belges et français, fils de soldats morts au champ d'honneur. Un propagandiste « aktiviste » narre sa « rapide désillusion » à une feuille néerlandaise germanophile. — Un déserteur, nommé K. do Schaep-drij ver, dont les Allemands se servent comme agent de la propagande « activiste » en Belgique occupée, a été interviewé récemment par M. W. J. L. Van Es, l'un des directeurs de De Toorts, revue pan-néerlandaise et germanophile de Hollande, au cours d'un voyage en Belgique occupée. M.Van Es rapporte cet entretien dans un article intitulé « Impressions de voyage en pays occupé » {De Toorts du 10 août 1918, p. 2). Il y raconte que le déserteur, en quittant le front belge, s'était imaginé que l'« activisme » était très florissant en Belgique occupée et que la Flandre était libre et autonome ; mais « sa désillusion fut rapide ». Lui, le déserteur, se trouvait être « plus « activiste » que les activistes aux prises avec la dure réalité » qu'il était venu rejoindre. Le publiciste hollandais note que son interlocuteur « était profondément désappointe et ne le cachait pas » et il ajoute en manière de réflexion : « Combien ce désappointement était compréhensible ». Il explique que les « aktivistes » de la Belgique occupée, « quelque peu las de voir avec quelle lenteur se réalisaient les réformes en Flandre, avaient reculé, effrayés, les derniers temps, devant les mesures extrêmes proposées pars les plus audacieux d'entre eux ». Cet aveu doit être noté. Recueilli d'une telle bouche et enregistré par une telle plume, il n'exprime certainement qu'une partie do ce que le publiciste hollandais appelle « la dure réalité » —• dure, s'entend, pour les « activistes ». Il vient corroborer singulièrement d'autres aveux du même genre : ceux du journal « activiste » officiel H ut laatste Nieuws et du général Keim, cx-président de la « Ligue militaire allemande » et ancien gouverneur allemand du Limbourg belge, qui écrivait récemment dans la Deutsche Zeitung que le soi-disant « Conseil de Flandre » n'est qu' « un état-major sans troupes ». La vérité est que la population dos Flandres n'a pas été plus entamée dans son patriotisme que dans son caractère propre par la manœuvre allemande de 1' « activisme.». Elle n'attend, comme les autres Belges, l'accomplissement de ses vœux que du libre exercice de ses droits civiques sous l'égide et dans le cadre des institutions nationales. (xx). — Les propositions de paix allemandes à la Belgique. — Commentaires suisses. — La plupart des journaux suisses Se bornent à reproduire les différentes dépêches ayant trait à l'offre séparée de paix faite par l'Allemagne à la Belgique. Quelques organes, cependant, lui consacrent de courts commentaires. La National Zeitung, de Bâle (17 septembre 1918), écrit notamment : « La Belgique aurait dû recevoir une offre de paix toute différente de celle dont parle Reuter. La prétention d'un traité de commerce constituant u,ne pression perpétuelle, d'une neutralité contrainte, d'une immixtion dans ses affaires intérieures au moyen de la question flamande soulevée par l'Allemagne, 'tout cela constitue autant de coups de poing lancés au sentiment de l'Univers. Il est vrai que tout récemment encore le vice-chancelier allemand a parlé, à nouveau, de la «culpabilité » du gouvernement belge ». Le Journal de Genève (19 septembre 1918) écrit : « L'Autriche-Hongrie fait un geste pacifique : soit. A la même heure, des officieux glissent dans l'oreille du monde que l'Allemagne adresse des propositions à la Belgique et le monde attend. Or, les officieux présentent un programme de nature à couper court aux conversations que l'Autriche-Hongrie avait suggérées. D'après eux, l'Allemagne cousentirait à Ja restauration do la Belgique sous dos conditions telles que ni l'honneur ni l'intérêt do cette dernière ne pourraient l'engager à les accepter.

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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