Informations belges

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s.n. 1917, 12 April. Informations belges. Geraadpleegd op 01 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/f47gq6vc37/
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W 303 12 Avril 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, ea certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 53, rue des Gobelins, 1L.E H A. VUE (Seine-Inférieure) France. (xx). — Travail forcé et déportations. — Déclarations d'un témoin espagnol. — De Maasbode, journal hollandais édité à Rotterdam, a reçu une lettre relative à la situation en Belgique occupée. Le correspondant s'exprime ainsi dans le numéro du 24 mars 1917, édition du soir : « J'ai eu, aujourd'hui, l'occasion de m'entretenir avec un Espagnol qui, avec l'autorisation des Allemands, a pu quitter la Belgique. Il confirme l'information d après laquelle, en certaines contrées et notamment en Flandre occidentale, les femmes sont également contraintes de travailler. (Il s'agit du travail effectué pour les Allemands. N. D. L. R.) Ce fait a provoqué une recrudescence du ressentiment dont les envahisseurs sont l'objet. « A Anvers, il y a un mois, il assista au défilé d'un groupe d'ouvriers qui, pour cause de faiblesse, étaient renvoyés d'Allemagne. « Ce spectacle,disait il, je ne pourrai jamais l'oublier. Je n'exagère pas en disant que c'était un cortège de squelettes, tellement ils étaient pâles et maigres. Les femmes et les enfants de quelques-uns d'entre eux les attendaient à la gare. Il n'est pas besoin de dire que la plus vive douleur annihilait la joie de se retrouver Quand on assiste à de pareilles scènes, on comprend ce que cette affreuse guerre a d'inhumain. » « Un fonctionnaire communal lui a déclaré que 30 p. c. environ des déportés rapatriés succombent au bout de quelques semaines. Il m'a dit encore que, depuis deux ans, tous les Belges et parmi eux ceux qui sont connus comme socialistes, prononcent avec respect le nom du Cardinal Mercier. Eu ces temps de douleur et d'effroi, le peuple dirige ses regards vers lui comme vers un phare et quand ses lettres pastorales sont lues dans les églises, celles-ci sont trop exiguës pour contenir l'énorme masse des foules ». (xx). — Les Allemands cherchent des travailleurs agricoles des deux sexes dans les Flandres. — Des promesses. — Et après ?. — D'après le correspondant à la frontière du Telegraaf, d'Amsterdam (numéro du 27 mars 1917), en Flandre, les Allemands ont lancé l'appel suivant, adressé aux ouvriers et ouvrières agricoles : « Voulez-vous voir votre travail bien rémunéré ? Allez en Allemagne 1 Elle a besoin de bras. Vous y entendrez parler une langue sœur de la vôtre. On mettra à la disposition des familles de fermiers : une maison et une étable pour une vache et deux ou trois porcs. Salaire quotidien : deux ou trois Mark. Bons palefreniers : de 30 à 40 Mark par mois et le logement. » A cet appel sont joints quelques certificats d'ouvrières « flamandes » qui prétendent que tout va bien en Allemagne. Le Telegraaf dit que cet appel provoque une grande inquiétude parmi la population flamande qui craint que, ainsi qu'il advint pour les déportations, l'échec de la manœuvre doucereuse ne soit suivi par l'emploi de la force. (xx). — Les Belges ne veulent pas travailler pour les Allemands — On verra, par l'incident ci-après, rapporté par le Telegraaf, d'Amsterdam (n°du 31 mars 1917, édition du soir), que les habitants du territoire belge occupé se refusent plus que jamais à travailler pour les Allemands : « Au commencement de la semaine écoulée, une trentaine d'Anversois déportés sont rentrés au pays, Le public, qui avait eu connaissance de ce retour, se pressait dans la rue tandis que l'autorité militaire prenait de sévères mesures. « Les hommes avaient un aspect misérable. Deux femmes qui s'étaient glissées au premier rang des curieux, dirent imprudemment, tandis que ces hommes se plaignaient des traitements subis en Allemagne : « Mais pourquoi ne travaillez-vous pas tous pour les Allemands ? Vous seriez alors très bien ! ». Une telle indignation s'empara des auditeurs qu'ils lynchèrent littéralement les femmes et la force armée eut toutes les peines du monde à rétablir l'ordre.. » (xx). — Solidarité des Universités belges. — Parlant du transfert des locaux de l'Université libre de Bruxelles, qui s'installera au parc Léopold, une feuille teutonisée de la capitale belge ajoute :« Au surplus les dirigeants de l'Université de Bruxelles ont offert leurs bons offices aux dirigeants de l'Université de Louvain, à laquelle ils entendent donner une aide aussi complète que possible. » Ainsi se manifeste, tout à la fois, une solidarité scientifique du meilleur aloi et un sentiment d'union sacrée remarquable. L'Université de Bruxelles, en effet s'inspire des principes du libre examen son corps professoral compte de nombreux libres-penseurs, tandis que l'Université de Louvain, essentiellement catholique, est placée sous la direction du haut clergé belge. L'esprit de solidarité patriotique,

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