Informations belges

909 0
09 oktober 1917
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s.n. 1917, 09 Oktober. Informations belges. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/d795718h47/
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N- 480 9 Octobre 1947 Informations Belges Observation, importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classiûcations ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu. être contrôlée sur s»urce. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrêlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse eu officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 29, rne Jacques-Louer, XJE HAVRE (Seiae-Inf.) France Le prétendu mauvais traitement des femmes allemandes ramenées par les Belges, de l'Est africain. — Les déclarations de Mme Schnee. — Mme Schnee, la femme du gouverneur général de l'Afrique orientale allemande, qui était à Tabora quand les troupes belges y entrèrent, fut ramenée en Europe par les soins du Gouvernement belge. En cours de route, on trouva, dissimulé entre les semelles de ses pantoufles, un factum dans lequel elle se répandait en calomnies contre les autorités belges et anglaises. Pressée de justifier ses affirmations, elle ne trouva à répondre au magistrat instructeur rien d'autre que ceci : « Je ne me rappelle plus fort bien ce que j'ai écrit ; d'ailleurs, j'écris très imparfaitement l'allemand et il m'arrive d'écrire le contraire de ce que je pense ; c'est à tel point que mon mari ne voulait pas que j'écrive sans corrections de sa part ou de ma cousine qui m'a accompagnée en Afrique pour me servir de secrétaire. Ce sont toutes choses que l'on m'a racontées. Je ne les ai pas vues. D'ailleurs, ce journal n'était destiné qu'à moi seule et je n'avais pas l'intention de le communiquer à qui que ce soit. Je ne suis pas sortie de chez moi pendant tout ce temps. Je ne sais donc rien de tout ce qui s'est passé. Les trois premiers jours de l'occupation ont été mauvais. Après, cela a été mieux. Les Belges ont très bien traité les dames blanches ». Pouvait-on avouer plus clairement l'incorrection d'un tel procédé, inexcusable de la part d'une femme instruite, du rang le plus élevé dans la hiérarchie de la colonie allemande. Les Allemands, en Belgique occupée, pour un fait analogue, auraient infligé a la coupable les plus dures pénalités. Au lieu de cela, le gouvernement belge consentit à abandonner toute poursuite contre Mme Schnee et autorisa son échange contre Mme Boè'l, la vaillante femme du député de Tournai, que les Allemands tenaient prisonnière depuis près de deux ans. La presse allemande et le cas de Mme Schnee. — Nouvelles accusations. Mme Schnee vient donc de rentrer en Allemagne. Les journaux de l'Empire (voir notamment la Gazette Générale de l'Allemagne du Nord du 21 septembre 1917) et les autorités ofdcielles lui font fête. Il y eut même échange de télégrammes entre le ministre des colonies de l'Empire et l'Excellence enfin libérée. Mme Schnee a profité de cette circonstance pour formuler de nouvelles accusations contre l'autorité coloniale belge. Mme Schnee n'apporte pas de preuves de ses allégations. Elle serait dans l'impossibilité de le faire, car ses allégations sont contraires à la vérité des faits. Elle parle de mauvais traitements que ses compatriotes auraient subis pendant le voyage de retour. Le gouvernement belge a déjà offert au gouvernement impérial de confier à un neutre le soin de faire une enquête approfondie sur cette question. Sa proposition est restée sans réponse. Si Mme Schnee fait allusion aux conditions où elle-même a voyagé, on se demande comment elle ose élever des protestations, après les marques de déférence dont elle n'a cessé d'être entourée pendant son voyage. Comment voyagea Mme Schnee. Partout, à bord des bateaux et des trains qu'elle a utilisés — car, soit dit entre parenthèses, les civils de l'Est africain ramenés en Europe, par les soins du gouvernement belge, n'ont pas fait une seule étape à pied et ils sont revenus par la voie occidentale parce qu'à ce moment c'était la seule praticable— partout Mme Schnee a reçu les meilleures places. Voici quelques détails qui édifieront le public; reprenons les étapes parcourues par elfe. Madame Schnee et ses compagnes firent le voyage de Tabora à Kigoma en première classe et dans un compartiment qui leur était spécialement et exclusivement réservé. A Kigoma, elles s'embarquèrantà bord du BaronDhannis. La seule cabine du bord, celle du capitaine, fut abandonnée à Madame Schnee et à Madame von Langen. Il y avait, cependant, à bord, plusieurs officiers belges dont deux étaient malades. Ils furent obligés de passer la nuit sur le pont et dans la pluie. A Albertville, Madame Schnee fut autorisée à rester à bord jusqu'au lendemain, les maisons du poste n'étant pas suffisamment confortables. Dans les différents postes, échelonnés sur la ligne du chemin de fer d'Albertville à Kabalo, les officiers cédaient leurs tentes aux dames du convoi, quand il n'y avait pas de maison convenable. A Kabalo, le percepteur des postes, qui seul avait une maison en bon état,en céda une chambre à Mme Schnee; cela ne l'empêcha pas d'élever une protes-

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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