Informations belges

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30 augustus 1917
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s.n. 1917, 30 Augustus. Informations belges. Geraadpleegd op 01 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rr1pg1n32s/
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N° 440 30 Août 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leuF texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 53, rue des Gobelius, LE HA/VRE (Seine-Inférieure) France. La campagne belge dans l'Est Africain allemand. — Les colonnes belges opérant dans la région S.-E. de l'Est africain allemand ont entamé avec succès des opérations offensives au Nord et à l'Ouest de Mahenge. Au Nord, la colonne du major -Bataille, en marche vers la rivière Ruaha, rejetait, le 18 août, des détachements ennemis établis à Kikumi, et, le 19, elle infligeait un échec aux forces allemandes occupant la position de Tope (une étape au N. de Kidatu). L'ennemi se retira vers le Sud, laissant aux mains de nos troupes un Européen tué, six Européens et un askari prisonniers. Au Nord-Ouest de Mahenge, entre les rivières Ruipa et Kilimbero, une colonne belge, opérant en liaison avec une colonne anglaise, progresse en rejetant les forces allemandes qui lui sont opposées vers Fakara et Mahenge. Les établissements de l'Intendance belge dans la région du Havre. — C'est au Havre que le service des approvisionnements de l'intendance belge au ministère de la Guerre, a constitué les vastes magasins où s'accumulent les provisions et les marchandises nécessaires à l'alimentation, à l'habillement et à l'équipement des troupes belges. Ces magasins couvrent une superficie de plus de25,000 mètres carrés. Ils renferment en tout temps pour 45 à 50 millions de marchandises. Un millier d'ouvriers et d'ouvrières sont employés par le service des approvisionnements qui, pour ne citer que quelques chiffres, avait délivré, à la fin de l'année 1916, à l'armée de l'Yser : 2.5 millions kilos de riz, pois, haricots, etc.; 3 millions kilos de café ; 4 millions kilos de sucre ; 5 millions kilos de graisses alimentaires ; 22 millions de boîtes de conserves, etc., et par mois, quelques 3.5 millions kilos de farine. A la même date, ce service avait fourni, en chiffres ronds, pour l'habillement des troupes de campagne : 400,000 capotes, 570.000 vareuses, 500,000 pantalons, 1,200,000 paires de chaussures, 3.5 millions de paires de chaussettes, 2.5 millions dechemises et 2 millions de caleçons. Ces chiffres suffisent à caractériser le formidable effort accompli pour tirer l'armée belge du dénuement lamentable où elle se trouvait quand s'acheva, en novembre 1914, la victorieuse mais sanglante bataille de l'Yser. (xx).— L'irréalisable annexion. — « Nous ne f agnerons jamais le peuple belge à notre cause» crit un Allemand. — Méprisant langage à l'égard des Flamands. — Un rédacteur du journal allemand Rheinische Westphâlische Zeitung a fait un voyage à Bruxelles. Il rend compte de ses impressions dans le numéro du 1er août 1917 de son journal, 2e édition, sous la rubrique : « Bruxelles ». Quelques larges coupures feront justement apprécier la saveur des observations du journaliste allemand. Voici : « Entrer dans une ville que l'on connaissait en temps de paix, que l'on aimait, dont on considérait la population avec les regards bienveillants que nous avons pour tout ce qui est étranger, forme certainement une des impressionslesplus étranges delà guerre. Nous nous trouvons main tenant soudainement au milieu des mêmes maisons, des mêmes hommes et — nous sommes devenus tout à fait différents. « Malgré toute ma bonne volonté d'être objectif, de penser enfin d'une manière purement humaine, comme autrefois, je n'y suis point parvenu à Bruxelles. Bien que trois ans se soient déjà écoulés depuis que nos troupes entrèrent à Bruxelles, bien que je ne sois pas entré à ce moment, ni plus tard, les armes à la main dans le pays belge, que je connaissais si parfaitement, bien que je conçoive sans peine que ces gens aient défendu leur pays, et que je comprenne de même les mesures de défense justifiées de nos soldats, je ne pouvais me défendre du sentiment d'être un conquérant, d'être un vainqueur. « Il se peut que la faute en soit moins à moi et à ma bonne volonté, qu'aux Bruxellois eux-mêmes. Chacun de leurs mouvements, chacune de leurs mines sont encore aujourd'hui une protestation silencieuse; la manière dont ils refusent de céder le pas dans la rue, un mot chuchotté mystérieusement, qu'ils croient ne pas être compris par le a barbare», ignorant de leur langue, — tout cela met l'antagonisme au grand jour et me contraint, moi aussi, à éprouver l'impression décrite... «.. .Je ne veux pas dire par là que j'ai une estime particulièrement grande pour le flamandisme, je le dis au risque qu'on me jette la pierre de divers côtés. Il est vrai que le Wallon est loin de m'être plus sympathique, mais le Flamand, du moins celui de la ville, n'est pas un compagnon agréable. Une des nombreuses illusions auxquelles on s'adonne volontiers chez nous, est que les Flamands forment un

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Dit item is een uitgave in de reeks Informations belges behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Le Havre van 1916 tot 1919.

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