Informations belges

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13 oktober 1917
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s.n. 1917, 13 Oktober. Informations belges. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/f47gq6vc5v/
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N° 48^ 13 Octobre 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première ■de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les oommunioations de servioe : 29, rue Jaeciues-Louer, HA.VRE (Seine-Inf. ) France auresbcx les uuumuuiuauuuo uc boiviuc . i uc Déportation des femmes françaises réfugiées «n Belgique occupée. — Un témoin oculaire, après une description des souffrances endurées par les populations de la France occcupée, écrit à une personnalité belge : « Or, après tous ces malheurs, toutes ces souffrances, voici qu'une calamité plus affreuse encore nous menace en nous poursuivant jusque dans notre exil et c'est ici seulement que j'arrive au sujet principal de ma démarche. « Cette semaine, les autorités allemandes ont fait dresser, dans chaque localité, la liste de toutes les Françaises réfugiées âgées de i5 à 45 ans. Puis on a convoqué toutes ces personnes et deux soldats ou officiers sont venus opérer un triage, d'après un interrogatoire sommaire ; ils ont établi deux catégories : i° les valides, jeunes femmes et femmes sans enfants ; 2o les invalides ou femmes avec jeunes enfants. Ainsi, à Tihange. sur 310 réfugiés, 91 jeunes filles et femmes de 15 à 45 ans : 32 valides ; à Neu-ville-sous-Huy, 90 réfugiés, 10 jeunes filles et femmes : 4 valides ; à Abée-Scry, 118 réfugiés : 37 femmes environ : 16 valides ; etc., etc. « Au dire de certains officiers venus pour cette opération, les valides seraient envoyées dans le Nord de la France pour y travailler ; les autres réfugiées seraient dirigés vers la Suisse (ou resteraient en Belgique, ou encore...?) « Ainsidonc,après tout ce qu'elles ontdéjà souffert durant trois longues années, ces pauvres femmes seront forcées de se séparer de leurs familles, pour travailler sous les ordres de l'autorité militaire oc-pante. Je pourrais citer des orphelines qui vont se trouver livrées aux hasards les plus inquiétants d'une vie périlleuse à plus d'un égard ; des mères qui devront abandonner leurs enfants; des jeunes filles de 15 ou 18 ans qui devront laisser leur mère et leurs frères ou sœurs moins âgés ; la plupart épuisées déjà par les privations, sans forces physiques, sans résistance.-sans soutien, sans expérience de la vie, sans garantie de préservation morale ; arrachées violemment et sans pitié à leurs parents, perdant ainsi la dernière source de consolation et d'espérance qui leur reste ici bas. « Je n'examine même pas la question de savoir si le droit de la guerre peut autoriser le travail forcé des personnes civiles;(je tiens cependant à démentir par avance, et de la façon la plus formelle, l'explication éventuelle que l'on pourrait fournir, d'un prétendu engagement volontaire). « L'opinion s'est déjà émue à bon droit, dans toute la Belgique, lors des déportations en masse d'hommes et de jeunes gens qui furent dirigés sur l'Allemagne.Mais cette fois,c'est à de faibles femmes et à des jeunes filles que l'on a l'inconcevable audace . de s'attaquer. Comment donc retenir un cri de douleur et une explosion d'indignation devant un aussi abominable forfait ! Comment qualifier une telle mesure, qui dépasse vraiment toutes bornes, en fait d'attentat aux lois les plus élémentaires de la civilisation, de la simple humanité, et, il faut bien l'avouer, de la pudeur. « Gomment ne pas répéter la réponse indignée que je fis un jour à un prêtre allemand, aumônier militaire : « Monsieur le curé, me disait-il, c'est la guerre !» — « Non, lui dis-je; Monsieur l'aumônier, ne répétez pas ce mot, je vous le défends. Ce n'est pas de la guerre cela..., c'est de la sauvagerie ! » « Je renonce à décrire les scènes déchirantes qui, à la suite de l'odieuse menace faite à nos femmes et à nos filles, ont eu pour théâtre les foyers des pauvres réfugiés, témoins déjà de tant de larmes. Et que sera-ce au jour de la séparation. Je ne cache pas qu'un cœur humain ne pourrait résister à l'émotion poignante qui étreint et secoue ces malheureuses, en proie déjà à une infortune sans exemple, et maintenant le jouet d'une cruauté sans nom. » (xx). — Les réquisition» allemandes en Belgique occupée. — Livraison obligatoire des pneus et chambres à air des vélos. — Un arrêté du 29 septembre 1917, ordonne, conformément à un arrêté du 15 septembre 1917, la livraison, dans la région bruxelloise, de « tous les bandages de bicyclettes (enveloppes, chambres à air ou pneumatiques complets dits boyaux) déclarés au bureau d'inscription des automobiles (Kraftfahrstelle) à Bruxelles, même ceux qui n'auraient pas encore été déclarés jusqu'ici et y compris ceux qui se trouvent encore adaptés aux roues des machines, peu importe qu'ils soient neufs ou usagés où qu ils ne puissent être plus utilisés que comme vieujc caoutchouc.» Les prix suivants seront payés au moment de la livraison. Classe A ; enveloppes, 3.50 Mark ; chambre à air, 2.50 Marie ; boyau, 6 Mark. Classe B : enveloppe, 2.50 Mark ; chambre à air, 1.50 Mark; boyau, 4 Mark. Tous les bandages ne rentrant pas dans les deux classes seront considérés comme vieux caoutchouc. Les personnes possédant un permis de circuler à bicyclette et qui n'ont pas d'autres bandages que ceux adaptés aux roues de leur machine sont exemptes de l'obligation de livrer.

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