Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 21 April. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/js9h41mc8w/
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Le carde vicieux ■ L'homme a un amour inné du rond, forme idéale el jggcéleste entre toutes les formes. Moutard, il aime les bai- • Ions rouges, court après un cerceau, adore les œufs de Bp'au-s les bullss de savon, les noisettes et les billes ; ■il ne donne guère (les soufflets, mais préfère taper à coups ■Lpaina i>ie» tonils.Plus tard,s'il a senti ,Iu ci. 1 i influence V .. . ,, son me, ■ Misant, l'a foulé poète, il Kiie k Brma.ri.-Ul, la lune, Satuni -, e< (irniff iJument du svslè.ne concjnîriqii- qu'il s'est affu .ii HdV: anneau. Il Jevsnï ies rondes :1e jeunes filles Hh-.&iil'es en "1" 1 et, danfsessonn-s : roscicu s .our e Blè«rém.nl sousles zéphy S'ilf iV-; i. plus :>raiiqL; , K dévient paysan, i! s'attache d'instin :t aux eho:,.s ronacs, ■au, miches de pain, aux pommes.de krre ; détestant les Banales rentrant dans ses propriétés, il ne cherche qu a iffs'arrondir. Devient-il soldat, il caresse de l'œil la croupe Hde son cheval ou la nourrice'qui passe. S'il fait autre chose - / enfin, sa préoccupation principale consiste à rouler son ^semblable, expression suprême de l'intérêt qu'il porte au Bajond. K Cet amour, l'homme l'applique partout et toujours, qu'il soit seul ou en groupe, qu'ii forme un clan, une nation ou une race. Depuis que le monde existe, l'humanité imite 8BLn exempi, : elle tourne en rond. Vous m'objecterez que «T je trompe dans celte affirmation oat.-gonque, que nous marchons avec le progrès, qu la civilisation du XX" siècle est i.iconlestaùlement supérieur a celle ce la ptnode n folilhique, et que l'esprit de M. Wûodrow Wiwon est ■infi. nent plus subtil et plus développé que celui de l'iiuitime des cavernes. Evidemment, évidemment ; à cer-Btams points de vue - superficiels, oserais-je dire — vous Hbvez parfaitement rai: on. A'însi, une 60 HP. va ccrtaine-Bment plus vite que les chars de course du : .fitps c N 'rem; ' 1: phonographe dépasse en ingéniosité la viole des trou-Bbadours; il ne viendra à l'idée de personne uo vouloir pr.-B|tendre qu'un tank blindé n'est pas un meilleur engin de ®»guerre que le cheval de Troie. Pourtant cela ne démontre Bpas ^rand'chose. Je pourrais vous répondre que les poings S de Bombardier.Wells et de Jim Johnson — rois du ring, SBEEois du knock-out — ne sont pas plus solides que ne l'.taient ceux de Milon de Crotonc ; que nos arrivistes HL'ont rien inventé de neuf deuuis Alcib'iade, le'quel se fai-iîsait de la réclame en coupant la queue de son chien ; que ®les petites femmes de l'Hospice Lousbergs n'ont rien ilfinvenlé de m :f depuî Phryné et Messalîne, ni nos fem--s honnêtes uepuis la belle Hélène. Vous voyez : dans ^■tous les cas, les positions restent les mêmes. ■ La guerre, par ..:ple. C'est ici que nous tournons en ^Kond. L'histoire — ce long procès-verbal des souffrances Hde l'humanité — est là pour en témoigner. Si elle est ^■devenue autre dans ses formes extérieures", la guerre est ^■encore toujours, dans ses mobiles et dans ses résultats, ce Hqu'elle était il y a des siècles. A ce point de vue, nous ^■tournon^dans un cercle vicieux depuis que notre espèce Hpeuple la terre. Que de fois des oracles n'ont-ils pas Rannoncé l'arrivée prochaine des jours radieux, la fin des ||g guerres, la fraternité universelle? Dans l'idée de Nobel, ■ cet âge d'or ne tarderait plus à venir. C'est pourquoi Nobel ■ inventa la dynamite,produit de destruction et de massacre, Ravec les revenus desquels fut institué un prix pour la RPaix ! A chacune de ces prédictions, l'humanité s'est H animée d'un nouvel espoir. N'empêche que, le moment ^Bvenu, on s'est bardé de fer d'après l'exemple des aïeux, ^Kpour monter à l'assaut aux ~sons éclatants de trompettes ^■thébaines. K Soit, répliquera-t-on. Mais les guerres d'antan n'étaient Bpas aussi effroyables que celles d'aujourd'hui. — Illusion, . - ^ v illusion vous dis-je. «Nospères estoyent meilleurs ! » Ah, ^■oui ! On a répété cela longtemps avant nous ; on le répé-Mttera longtemps encore après que nous n'y serons plus. A ^mmon humble avis, il devait être au moins aussi désagréable ^pde.se sentir inondé de plomb fondu ou de poix bouillante, ^■comme au siège d'un château-fort, que d'être foudroyé Hmar un obus à la mélinite. Il y a même progrès sur ce bon ^■.vieux temps : on en finit plus lestement avec une balle ^Ëde Mauser qu'avec des hallebardes en forme de scie. A ■' part cela — nous sommés devenus plus scientifiques dans ^Kl'art de nous charcuter ies uns les autres, et voilà tout — H le reste, c'est kiff-kiff bourriquot. Au fond, le résultat ^■est le même. Le coup de fusil n'est qu'un vulgaire coup de Mj^oing dont le génie humain a multiplié la puissance. ^■Quant aux conséquences indirectes de la guerre,mon Dieu, ^Bon n'était pas mieux loti auparavant. Au contraire, il y a ^■quelques siècles, on mourrait encore plus vile de faim et H[de privations, sans compter l'intervention de la peste, du ^^■choléra et de tous leurs autres confrères dont les fantaisies ^■macabres nous ont heureusement été épargnées jusqu'à ^■présent. ■ Cette guerre-ci est la dernière, disent les optimistes. ^■Franchement, je n'ai pas l'habitude de broyer du noir, ^Kmais quant à croire cela, non, autant croire que les escar-^■gots ont des ailes. Nous sommes dans le rond, mes chers ^Hamis, et nous continuerons à tourner dedans. La nouvelle ^■édition, revue et corrigée, ce ne sera probablement plus ^■pour nousft car tout le monde en aura assez. Elle sera ^■réservée à nos descendants ; elle dépendra aussi de la ^Bfaçon dont les choses s'arrangeront une fois l'orage apaisé. ^«[Certes, le pacifisme gagne du terrain, beaucoup de ter-j rain, énormément de terrain. Do belles théories sont H|échaiaudées par des hommes généreux et plein de ^Bbon sens. Les diplomates paraissent disposés à agir ^^Hd'une manière tant soit peu plus raisonnable que ^Rlans le temps, lorsqu'ils avaient l'air de certains de ces ffljaventuriers du Far-West qui jouent au poker dans un WJjssaloon de bas-étage, avec leur couteau et leur browning à ^■côté d'eux sur la table. Cela porte à croire que les arran-^■geinents qu'ils feront, ils ne devront plus les considérer, ^■quelques années après, comme des poules ayant couvé un ||£ canard. Ligue des nations ! Limitation des armements ! B6 Voilà de beaux principes, dignes du développement moral ^■auquel nous sommes arrivés, en dépit de toutes les folies ^■commises. Je suis de tout cœur av'ec ceux qui les défen-I —dent et qui tâcheront de les réaliser. Mais quant à croire à -! • 'eur réussite complète, non, vraiment, je n'ose pas, c'est ^Bpar trop beau. Ah 1 si tout homme n'était uniquement que HsTartarin lapin de choux. Mais voilà, il est très souvent ^Raussi Tartarin lapin de garenne. Et c'est précisément cela Qu> me chiffonne. Après la fin du présent massacre, il y ^■aura évidemment une accalmie, l'énergie étant.épuisée au Hinâme degré que les coffres-forts. Mais plus tard ? Non, ^■décidément, je crois que nous ne sortirons jamais du cercle. Ce ne seront pas quelques tours de politique qui par-| viendront à métamorphoser les hommes en séraphins. Les h|hommes sont des animaux plus compliqués que les autres Hien apparence, mais dont tous les actes se ramènent finale-g|Rment à la satisfaction des mêmes besoins : manger pour s • conserver l'individu, faire l'amour pour conserver l'espèce, faire la guerre pour exercer sur d'autres l'esprit de domina-^■tion que tout être porte en lui,consciemment ou inconsciem-^Bment. Cela me parait une loi immuable. Dura /ex, sed lex. L : ne v°'s pas le moyen d'en sortir. Je vois bien les guerres plus espaceés, plus rares, mais au-delà, non, malheureusement non. Et pourtant, qui sait, après une si terrible |j||leçon ? Tenez ; n'en parlons plus, et • espérons quand ^Bnême. L'espoir fait vivre. Raoul Gustave. ÉCHOS Au Théâtre Néerlandais I Rigoletto | A vrai dire plus rien ne m'étonne ! Sous la direction Iexperte et sûre de maître Roels, notre troupe d'opéra a accompli avec éclat tant d'actes d'audace,qu'une représentation de Rigole/to qui, dans le temps, faisait frémir nos directeurs de troupe constituée, finit par sembler chose toute naturelle. j Et cependant, tout amateur sait quelle robustesse vocale il faut pour parvenir à bout de ce rôle. On dirait franchement que si bien « le vieillard l'a maudit » que les interprètes du bouffon-mauvais génie devront succomber sous le fardeau de la croix. Avec une vaillance et une ténacité vraiment admirables- M. Vincke a soutenu pendant ces qualrs actes, l'un plus dur que l'autre, ce rôle'écrasant, la crainte de tous les barytons ne possédant pas des poumons à la Noté. ■ ni.i-i ne 21 ,v.i 1918 10 cft - méi 62e a iës — \'os 106-112 Journal de Gand BOHIO 13-1 . S ,IT J^ -i * M ,! ' Rédaction et Administration : 3, BUE DE FLANDRE, 3, GAND : OSTF-'AHC TIWOT < T:Q RA.* TRIMESTRE n e Certes M. Vincke n'a pas ce qu'on peut intituler l'or- e ganc du baryton de grand opéra qu'exige cette partition ; s il en arrive même parfois, par suite des efforts, à un man- , e que de moëlleux désagréable dans l'aigu. Mais il y met e tant de courage et, avuuons-le en son honneur, tant.d'a- st mour-propre, qu'on le lui pardonne volontiers. D'autant le plus qu'il a des moments vraiment émouvants, 'ians le r_ second acte surtout, gaillardement enlevé par lui, malgré : is le manque de tenue. M. Vincke, qui fut attaché à notre première scène et ; nsiiiie à la M : mai.:,connaît parfaitement toutes les traôi- ■ t- lions qui s'attaeh ni i s .n personnage, et il le rend du reste avec habileté. De ce côté l'exercioc des reprises ! e le guidera sûrement. e Qu'il me soit permis toutefois de lui faire observer que 1 :s s'il y a de bonnes traditions, il en existe également des rf mauvaises. Certains chanteurs, et non des moindres, — ie je ne dis pas << acteurs » — s'adressent exclusivement au IS public, font fi de l'action et par le fait, de leurs partenaires; i_ ce qui géne considérablement le jeu des derniers et nuit [e incontestablement à l'homogénité de l'interprétation, n Qu'elle s'oit dite, mimée ou chantée l'action se passe !_ sur le plateau. Au théâtre lyrique une dérogation à cette lS règle peut être permise dans le but de faire valoir une note particulièrement jolie ou bien lancée. Mais cette exception n ne peut devenir la règle. s ( Ces restrictions faites, en appelant de plus l'attention lie ;t I l'artiste sur sa prononciation parfois défectueuse, nous ne 3t pouvons que le féliciter. D'ailleurs les applaudissements e et les nombreux rappels lui auront prouvé conVoien les 1S auditeurs ont été heureux de réentendre une de leurs~pièces ;e favorites dans des conditions, ma foi, très acceptables. IS Le rôle de Gilda, très dur également et musicalement s très difficile, ne pouvait mieux être confiée qu'à Mlle De 1^ Vos. Les passages particulièrement périlleux pour elle au •1 2 et au 3 ont été franchis sans difficulté apparente. Au ; point de vue vocal ce fut excellent. a M. Deshayes dans le duc^e Mantoue a fait grand plai- 5t sir. Son air « de la plume au vent », qui doit être le it «îijfstuk » de pas mal de présents, souleva des eathousias- c mes et faillit être bissé. s Le rôle plus effacé de Magdalena était confié à Mlle Alb. De Vis. Elle eut l'occasion d'y prouver encore la qualité ït remarquable de sa voix sonore .et contribua ainsi à la réussite de la plus belle page de l'œuvre, le quatur du 4. i, Elle y fut aidée du reste par M. Reynvoet, qui a rendu Sparafucile, rôle écrit pour basse très profonde, d'une A manière fort satisfaisante. Le bel organe de M. Haemelinck e a fait impression dans le comte le Monterone. Vrai, voilà î} un vieillard qui ne tremble pas devant la mort ! é *s&Tous les autres rôles, ainsi que les chœurs, malgré quel n ques défaillances, contribuèrent à cette soirée qu'on peut e dénommer : un succès. L!orchestre, dont la part est moin- /V dre cependant dans cette œuvre qui, de ce côté, paraît s plutôt vieillotte, fut correct et modéré. Les amateurs de «bel canto » ne manqueront certainement pas- de rede- it mander Rigoletto, si l'on peut en ctoireles applaudisse- e ments d'une salle archi-comble. î. A ce point de vue nous recommandons chaudement les lf représentations de l'opéra-lyrique durant la saison d'été, a Biles constituent une nécessité pour n»tre population, • l mélomane de nature et offre en même temps aux familles u un délassement honnête et élevé. On s'inscrit déjà pour s les abonnements au guichet ou chez M. Beyls. Mais qu'on à s'y prenne à temps ! Au Théâtre Minard r> La représentation en l'honneur de I - Mad. H. Œevaert-Stevan s Une carrière de trente-cinq ans d'actrice,de vingt-cinq ans ie de professeur-constitue une étape sérieuse dans la vie hu-s inaine. Et quand on peut, après ce long terme, contribuer a soi-même à fêter son jubilé, en interprétant un des grands a rôles du répertoire, celui de Magda, en est en droit de se considérer comme un élu. On peut bien vous le dire, Mme Gevaert, ce privilège n'est octroyé par la nature qu'aux II artistes de tempérament et d'envergure ! e II m'appartient moins ici de détailler l'interprétation de r cette œuvre fortement charpentée de Sudermann. Qu'il me e soit cependant permis d'insister particulièrement sur la s prononciation châtiée de la jubilaire, sur son jeu émouvant n 1 et pourtant sobre, sur l'incarnation parfaite de ce caractère à entier, sur l'élégance somptueuse et le bon ton de ses toi-lettes, tranchant, comme il sied, sur l'intérieur étriqué et ' petitement bourgeois. On a revu en Mme Gevaert l'artiste n de grande tradition; à la voir on se figure l'actrice des belles ' lignes classiques ou néo-classiques, rappelant M"10 Segond-11 Weber. s Avec M. Van Havermaete qui retrouve en Schwartze un l" de ses meilleurs rôles et M. De Ne'éf en Heffterdingh, nous 'd avons eu le bonheur de revoir ce sympathique trio qui ;t créa à Gand l'œuvre que Mme Gevaert, non sans une légi-e lime fierté, et sans doute, avec la" préoccupation préve- i ll nante d'évoquer chez l'auditoire de chers souvenirs, avait ■ a reporté sur l'affiche. Les autres rôles, tenus par Mme De y Pauw, Peelman et Buys; MM. Plaat, Eeckhout, Van Lanc-u ker, Van Acker, complétèrent l'ensemble de façon très '» méritoire. Après le 3° acte la manifestation eut lieu. M. De Gezelle retraça la carrière si bien remplie de la jubilaire, qui débuta s à Bruxelles en 1882 sous la direction de feu Ed. Hendrickx s qui avait découvert l'artiste 'lors d'une conférence au Wil-lems-fonds.r Elle fut. attaché- à Anvers et puis à Gànd, une troisième » fois en 1895 lorsque son mari M. Henri Gevaert avait en main la direction du Théâtre Néerlandais et faisait des efforts qu'on ne saurait assez louer, pour diriger son exploitation vers l'idéal purement artistique; vision élevée, mais souvent intangible. Que M. H. Gevaert trouve ici la petite part qui lui revient assurément dans cette manifesta-e tion 1 d Le nombre de créations de la jubilaire ne se compte plus ! La moisson de lauriers qu'elle récolta fut ample, % mais bien méritée. Aujourd'hui encore l'artiste remplit avec talent et dévouement sa tache à notre .Conservatoire. C'est ce que le directeur de cette institution, le sympathique maître Mathieu, reconnut dans un petit speech qu'il fi au nom du corps professoral et au nom duquel il remil un n souvenir à son professeur. a Vinrent encore Mme De Pauw, au nom des élèves et ex-i- élèves; M. W. Meyer au nom du Multatuli. Des cadeaux, s des corbeilles, des gerbes à ne pas en finir ! Des applau-e dissements réitérés de cette assemblée d'élite, parmi lesquels nous avons distingué des sommités littéraires et e théâtrales, voilà le bilan de cette manifestation qui, malgré sa cordialité, se distinguait des nombreuses autres par sa tenue hautement digne. s Soulignons pour finir la délicate attention de la troupe é Roels qui, par l'entremise de M. Beyls, a profité de l'occa-s sion pour faire parvenir un album-souvenir à son dévoué a régisseur. Cette attention délicate a paru toucher vivement s M. De Neef. B. ' "S ïï-bî:, MUSIQUES. — P. et A. Bcyer, éditeurs de musique, P. Struyf, successeur. Grand choix de musiques belges et étrangères. Lutherie artistique. Cordes gsr!- .nti;s justes sonores. Accessoires divers. A LA COMMISSION locale de ravitaillement. On se plaint vivement dans le public du laiss'r-all:r qui règne dans ko iiagasins de l i Commission e ravitaillement. Il n'entre pas dans nos habitudes de noua faire à ia légère l'écho . c. réclamations tfe ce genre : i ous savons que le public est vite porté à la critique el ''autre part nous n'ignorons pas combien :le difficult s se rencontrent dans l'organisation desservies d« ravitaillement, inais les abus dont nous allons parler, nous les av. ns constatés par nous-mème et personne ne pourra les contester. Dimanche dernier, dans un magasin du centre de la ville, on a laissé entrer plusieurs clients avant l'heure d'ouverture, alors que le public devait stationner à la porte à un endroit particulièrement exposé aux intempéries; Comme certains élevaient de justes réclamations, une des vendeuses eut l'audace de crier que ces personnes étaient attachées au service. Pourquoi alors devaient-elles se tenir devant le comptoir, entasser des marchandises dans leurs filets à provisions'et quitter ensuite le local? L'une de ces privilégiées eut la bonne fortune de pouvoir acheter 1 kg. de saucisson et cette faveur fut refusée à une autre cliente, parce que, lui dit-on, seuls les ménages de neuf personnes et plus ont droit à 3/4 kg., aucun à 1 kg. Un autre fait plus grave encore : certaines personnes parviennent à se procurer dans les magasins de la Commission des quantités de saucissons et de tête pressée si importantes qu'elles en remettent à leurs voisins et amis. Nous connaissons les magasins où ces abus se commettent, mais il va de soi qu'il ne nous appartient.pas de les citer ici; nous estimons que nous avons fait notre devoir en signalant par la voie du Journal cies abus dont l'authenticité ne peut être r vcquée en douk. Quant aux nombreuses histoires qui se racontent dans le puelic, nous n'en parlerons pas, n'ayant pu en contrôler l'exactitude. Qu'il nous soit permis d'émettre .le vœu que grâcç à un peu de surveillance et de contrôle, il soit mis un fn in à cette libefté excessive. Il importe de supprimer toutes les faveurs et de mettre tous les clients sur un pied d'égalité parfaite. LA BANQUE l'Union du Crédit de Gand, Société Anonyme, fondée en 1855, Siège Social," Place St-Michel, 16, Bureau Auxiliaire, rue de Flandre 32 à Gan ;, a l'honneur de porter à la connaissance du publie qu' ;ile ouvre à partir de mercredi 1e mai 1918, un Bureau Auxiliaire, à l'avenue Elisabeth 19 à Gand. Le bureau est ouvert le matin de 9 heures à midi, et I'après:midi de 2 1/2 à 5 1/2 heures, le samedi après-midi excepté. BUREAU de change Jules Dossche, 27,, dig. de Brabant. NÉGOCIATION de montés étrangères, chèques, coupons, fonds publics, 11, Quai Oignons, ROD. DE JONGHE. VIVRES. - Comité National de Secours et d'Aliinen-talion. Rationnement de la quinzaine du 21 avril au 4 mai : Saindoux, 350 gr., 1,75 fr. par ration ; Lard, 250 gr., 1,25 fr. pour le salé, 1,35 fr. pour le fumé ; Riz, 320 gr.> 0,39 fr. la ration ; Farine de riz ou flocons de riz, 210 gr., 0,30 fr. la ration ; Café, 50 gr., 0.40 fr. la ration ; Sel, 400 gr. pour les non-assistés, 0,12 fr. et 200 gr. pour les assistés des soupes 0,06 fr. la ration. Le Comité Central des Œuvres d'Alimentalion a décidé que la huitième distribution gratuite aux secourus des soupes populaires et cantines bourgeoises comprendra : 400 gr. de choucroute et la ration de 250 gr. de lard par personne. PRÊTS.Achat,vente propriétés.Minnaert, bdBéguin. 21, HORLOGERIE Kaeschagen, r. Borluut,3. L'heure juste. AVIS. — Certaines personnes se présentent au domicile des habitants et se font remettre les cartes de ménage et fournir d'autres renseignements, sous prétexte qu'ils sont inspecteurs du Comité régional. Ce Comité avertit le public, par la présente, qu'afin d'éviter tout abus et avant de fournir des renseignements, d'exiger, dans des cas pareils, la carte d'inspecteur dont lesdits employés du Comité sont porteurs. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et Uniment Heyndrickx. Pharmacien Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Leueberg-Gand. CUIR. — Comité Provincial de Secours et d'Alimentation. — Région de Gaud-Urbain. — Section du Cuir. — Un certain nombre de bons, pour la réparation des chaussures,seront mis de nouveau à la disposition des ménages, du 22 avril au 4 mai. Les ménages qui n'en ont pas encore reçus, pourront seuls en obtenir. "DEMANDEZ partout savon Espéranto; le meilleur; adoucit la peau. L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures générales pour Eau, Gaz, Electricité. LA BANQUE l'Union du Crédit de Gand, Société Anonyme, Gand, avise les intéressés, qu'elle distribue un dividende de 3 fr. par action de 50 fr. pour l'exercice 1917. Le coupon 33-34 est payable, à partir du 2 avril 1918, au guichet N° 6, du Siège Social, place Saint-Michel, 16 et au Bureau Auxiliaire, rue de Flandre, 32, à Gand. SEL ain. pr piles, Geniets, 14, rue Brabant. U. Laurent, avenue du Grand Marais, 213. — Transport. — Camionnage en ville, à l'heure. • COKES.— La vente se fait à l'Usine à gaz, boulevard du Gazomètre sur présentation de*la partie A/B de la carte jaune. Lundi 22 avril, de 8 1/2 h. à 11 h., nos 45401 à 46100; de 2 h. à 4 1/2 h., n08 46101 à 46800; mardi23 avril, de 8 1/2 h. à 11 h. n08 46801 à 47500. Prix 3 fr. la ration de 50 kg. FOUR à PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gaz et ordinaire. MAISON DUTRY-COLSON, Rue des Champs, 12, Gand. COMITÉ National de Secours et d'Alimentation. — (Région Gand-Urbain). A partir de lundi prochain 22 avril, le bureau de vente n° 31, actuellement av. du Strop, 81, et le bureau de ve lté n°43, actuellement chaussée de Zwy-naerde, 7, seront réunis et transférés à la chocolaterie Wauters, chaussée d'Otterghem, 21. La division des numéros des cartes de ménage servis les différents jours de la quinzaine, est changée et dorénavant fixée comme suit : Lundi, 6000 à 9999 ; mardi, 5000 à 5999 ; mercredi, 4150 à 4999 ; jeudi, 4000 à 4149 ; vendredi, 3300 à 3999 ; samedi, 3150 à 3299 ; lundi, 3000 à 3149 ; mardi, 2300 à 2999 ; mercredi, 2150 à 2299; jeudi, 2000 à 2149; vendredi, 1000 à 1999. Le Comité attire tout spécialement l'attention du public • sur le fait que ce numérotage est appliqué aussi bien aux î clients de l'ancien bureau n. 13 qu'à ceux du bureaux 31. L'ONGUENT Pédiphile guérit pour toujours cors aux , pi«. ds, ails de perdrix, durillons. Une seule application i suffit. Se -mserve des années sans perdre de sa valeur. : Gacons, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. > M. KETELS, charbons, rue Liévin de Winne, 54. ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies. POMMES DE TERRE. — Dans l'ïhtérêt de la population, vu le manque temporaire de pommss de terre et en attendant les arrivages, l'autorité compétente a mis une quantité suffisante de rutabagas à la disposition du service. Dans quelques jours toute la population du Grand-Gand recevra une ration de 1 kg. par tête. Chacun est obligé de prendre la rati»n de rutabagas qui lui revient, sous peine de se voir plus tard privé de toute ration de pommes de terre. Le prix est fixé à 0,20 fr. le kg.. la distribution se fait sur présentation de la carte de pommes de terre. La distribution de rutabagas ne se fera très probablement qu'une fois, maximum deux fois. On espère que la population n'eiUravera pas le service de ravitaillement-et que la répartition des pommes de terre pourra recommencer sous peu. VAN DEN BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vente et locatîoii de pianos par m'ois, pour soirées et concerts. G. WTTEuWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Coupure, r. g. Nég. fonds publics, ccup.-chèq., monn. étrang. PAPIERS et sachets, Van den Breen,bdde l'Abattoir, 17. BISCUITS. — La 3# vente commencera lundi prochain. Le prix est fixé à 0,20 fr. par biscuit. Toutes les prescriptions publiées antérieurement restent valables. Lundi 22 avril, de 9 à 10 h., n. 1 à 300 ; de 10 à 11 h., n. 301 à 600; de 11 à 12 h., n. 601 à 1000; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 1001 à 1350; de 3 1/2 à 4 1/2 n. 1351 à 1700. Mardi 23 avril, de 9 à 10 h., n. 1701 à 2000 ; de 10 à 11 h., n. 2001 à 2300 ; de 11 à 12 h., n. 2301 à 2700 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 2701 à 3050 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 3051 à 3500. Mercredi 24 avril, de 9 à 10 h., n. 3501 à 3800; de 10 à 11 h., n. 3801 à 4100 ; de 11 à 12 h., p. 4101 à 4500 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 4501 à 4850 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 4851 à 5200. Jeudi 25 avril, de 9 à 10 heures, n. 5201 à 5500 ; de 10 à 11 h., n. 5501 à 5800 ; de 11 à 12 h., n. 5801 à 6200; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 6201 à 6550; de 3 1/2 4 1/2 h., n. 6551 à 6900. Vendredi 26 avril, de 9 à 10 h., n. 6901 à 7200 ; de 10 à 11 h., n. 7201 à 7500; de 11 à 12 h., n. 7501 à 7900 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 7901 à 8250 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 8251 à 8700. Samedi 27 avril, de 9 à 10 h., n. 8701 à 9000 ; de 10 à 11 h., n. 9001 à 9300 ; de 11 à -12 h., n. 9301 à 9700; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 9701 à 10050; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 10051 à 10400. LE PLUS GRAND stock de meubles anciens se trouve à la maison d'art. Ad. Dangotte. CONFISERIE chocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. OUVE*RTURE du bassin de natation, place Van Eyck, 5, le 22 avril 1918. Les mardis, jeudis et samedis de 9 à 1 h., le bassin est exclusivement réservé pour les dames.Abonnements. Bains chauds en chambres. CARTONNAGE INDUSTRIEL. A.DeNobele, 109, rue jj de Courtrai, Gand. Emballages pour toutes industries et | produits alimentaires. i THÉÂTRE PATHÉ. — A partir du 26 avril les concerts (• syrnphoniques auront lieu tous lés vendredis au lieu du 1 mercredi. Vendredi 26 et vendredis suivants : concerts; I mercredi 24 et mercredis suivants : cinéma. ! FONDS publics. — Gillet, rue longue des Violettes, 37. THÉÂTRE PATHÉ. — Audition Aerschodt. Samedi 13 un public select a pris un réel intérêt à < l'audition privée d'orchestre et chant exécutés par de jeu-; nés amateurs. Félicitons M. Louis Aerschodt de donner ij ainsi l'occasion à ces artistes de se familiariser avec le ^ public, de faire de l'ensemble et de développer ainsi leurs goûts artistiques. Malgré l'inévitable trac de débuts, le programme, composé de morceaux classiques hérissés de'.î difficultés, a été fort bien rendu. Dans la partie chant, Mlles Julie Michel et Marie Mestdach, M. Ch. Pipyn, : $ Mlle Anna Van Hyfte, M. O. Coorevits, Mlle Andrée Tyman. ont récolté des lauriers bien merit:?. Mlle Edmce » Van Tright, malgré une très sommaire préparalion, a enbvé l'air difficile « Et exultavit » avec un trio vc aarqu -ble. La voix n'est pas fort.-, mais elle ;i ! ?o".cId;; n- : méthode et possède beaucoup de charme. MANUFACTURE de cigares et oigareltes.;fid.-D : Loor" rue du Fuchsia, 104-106. THÉÂTRE PATHÉ. — Sibérie de Tolstoï. film merveilleux mérite en tous points la réputation extraordinaire qui l'a précédé ici. Le sujfct-âpre, frémissant, glacé, renferme des situations très curieuses bien que fort vraisemblables. La mise en scène etTinterprêtation, dignes du magnifique chef-d'œuvre du Comte Tolstoï, ont droit à tous les éloges. MODERN PALACE. — Jusqu'au 25 avril 1918 : « Entre 10 1/2 et 11 heures », grand drame de la vie de théâtre en 5 parties. Série 1917-1918. « Les Trois Cousines », Comédie en 3 actes, avec Paola Monti et Etore Berli. « Grisilidis », drame colôrié. Etc., etc. AU MISARD. — « De vroolijke Oorlog», opéra-comique en 3 actes, musique de Johan Strauss. Dimanche, lundi et jeudi, à 8 heures. Matinées : ohe et jeudi à 3 heures.'* NOUVEAU CIRQUE. — Directeur : Jos. Van Da-nmo. Tous les soirs à 8 heures. Dimanche et jeudi matinées à 3 heures. Pour la première fois à Gand : « Gri-Gri », operette en 3 actes, musique de Paul Lincke. Grand succès.à Anvers, Bruxelles, Liège, Namur, Ver-viers.OUD-GEND. —Jusqu'au 25 avril. « Le Ckevalier de Maison-Rouge », grand drame historique en 8 parties, d'après le Roman célèbre d'Alex. Dumas. AVIS E. H. O., le 17 avril 1918. • PROCLAMATION Sur la ligne de chemin de fer d'Ath à Grammont, sur le territoire de la commune d'Overboelaere et sur la ligne de Sottegem à Grammont, sur le territoire de la commune de Nederboclaere, les habitants de ces communes ont de nouveau, avec mauvaise intention, détruit ou attaché les fils des signaux, pour que les signaux ne fonctionnent pas. Par cet acte,le trafic par chemin de fer est mis en danger grave pour tous les transports de troupes. Ce n'est que grâce à l'attention des-fo.nctionnaires du chemin de fer que la tentative a échoué et qu'il ne s'est pas produit d'accident; malgré la défense de pénétrer dans les bâtiments du chemin de fer, il est continuellement contrevenu à cet ordre ; des dégâts, dûs à la malveillance ont été également commis. La plupart des coupables découverts sont de jeunes personnes qui certainement ont été instiguées par des adultes. Les communes en particulier ne se sont pas préoccupées de la surveillance qui leur incombe et n'ont pas prêté attention aux avertissements. Outre la peine légère infligée à certains coupables, la commune d'Overboelaere est frappée d'une amende de 12,000 M., la commune de Nederboelaere d'une amande de 6000 M., par le commandement supérieur de hx 4° Armée. Ceci est porté à la connaissance du public. Der Etappeninspekteur, VON SCHIKFUS, General der infanterie. Boisrsa officieuse d« Depuis plusieurs mois les transactions augmentent journellement en nombre et nous permettent de prévoir, la reprise après la guerre d'un marché financier important à Gand, surtout en valeurs de nos industries locales, qui ne restaient plus à la Bourse gantoise qu'à l'état de souvenir. Les valeurs suivantes ont été traitées cette semaine. Lots du Congo 99 1/2 A 100 P. Actions Banque de Flandre 1325 ex coupon de 45 fr. afférent à l'exercice 19i6 et rendu payable depuis le lr avril. Les bénéfices nets de l'exercice 1917 se sont élevés à fr. 1.148.000 contre 1 067.000 en 1916. Le même dividende de 9 °/0 soit fr. 45 a été mis à un compte provisoire pour être distrioué ultérieurement. Tramways électriques de Gand. Capital 160 A 165 P; dividende et jouissance largement traitées à 67 1/2, restent demandées à ce cours. Linière Gantoise. Après avoir été traitée à 1700 reste offerte à la dernière séance ù 1575. Le rapport lu à l'assemblée générale du 17 signale que les usines chôment complètement depuis le 24 février 1917. Le complu de Profits et Pertes clôture, pour l'exercice 1917, par un solde débiteur de fr. 440.000. Linière La Lys après 1800 tombe à 1650. Du rapport lu à l'assemblée du 16, il résulte que les usines ont continué à î travailler jusqu'au 31 janvier 1918. Le bilan de l'exercice i 1917 est clôturé par un excédent de bénéfices de \ fr. 2.064,70. j Les titres Argentins 4 1/2 % 1888 sont demandés à ! 97 1/2 %; le Brésil 4 1/2 % 1883 à 93 °/0. " R. D. J. 33-A, r Q,xJ JiJ DE G-A -È* 13 SOCIÉTÉ ANONYME Extrait du rapport du Conseil d'Administration présenté en Assemblée générale du 11 mars 1913 Bilan au 31 décembre 1917 Le bilan se solde tant à l'actif qu'au passif par une somme totale de ... fr. 236.582.595,28 Mouvement Général Le mouvement général de nos opérations a atteint pendant l'exercice 1917 tant au débit i'au crédit 2.805.419.454,22 Capital Social Le capital social se compose de ^ 3.000 actions Série A de 500 frs soit . fr. 10.000.000 00 ).000 » » B » » » 5.000.000,00 ... . nl , fr. 15.000.000,00 déduire 60 °/0 non appelés sur 3.000 actions Série A soit fr. 6.000.000,00 ?.800 » » B » fr. 2.940.000,00 fr. 8.940.000,00 fr. 6.060.000,00 11 a été versé par anticipation fr, 4.873.800 00 fr. 10.933.800,00 î décohijiosant somme suit : * — 3.830 actions au porteur entièrement libérées fr. 1.915.000 00 200 » » » » en capital appelé » 100.000,00 2.416 » nominatives entièrement libérées » 6.208.000,00 3.554 » nominatives libérées de 40 °/0 » 2.710.800 00 °-000 fr. 10.£33.800,00 Réserves Le montant des réserves au 31 décembre 1917 est de ... fr. 2.673.038,55 Si vous approuvez les répartitions proposées il y aura lieu d'y ajouter les sommes reve- ant à la réserve dans les bénéfices de l'exercice 1917 soit fr. 146.865 65 :s réserves au lr janvier 1918 s'élèveront à. fr. 2.819*904,20 Si nous ajoutons le montant du Fonds de prévision temporaire 1.339.767,80 ensemble des réserves atteindrait. . fr. 4.159.672,00 Immeubles L'estimation des immeubles de la Banque y compris ses installations de coffres-forts 'est éleyé à " fr. 580.000,00 Ce poste comprend notre immeuble du siège social, l'immeuble occupé précédemment par la Banque Centrale iantoise ainsi quRceux de Deynze et d'Eecloo. Caisse Les recettes y compris le solde au 31 décembre 1916 se sont Revêts à . . . • fr. 303.317.214,26 ds paiements à . . fr 296.476.513,!5 [ restait en caisse au 31 décembre 1917 "T .... fr. ' 6.840.791,11 En 1916 le mouvement général de la caisse avait été de fr. 565.214.014,50, en 1917 il a été de 599.793.727,41.

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Gand van 1856 tot 1923.

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