Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 12 Mei. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Geraadpleegd op 01 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/5m6251h78d/
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[ four les travailleurs de l'amer ■ C'est entendu. Qu'on le prenne sous la forme de schie- I dam de Cusenier, de triple ou de porto, l'alcool est un ■ lifiuide qui monte à la tête et dont les effets sur le cœur, ■ rejnSi l'cjtomac, le foie, surtout le système nerveux, ■sont profondément regrettables. L'alcoolisme est une des H„randes plaies qui rongent l'humanité. I! ruine les foyers, ■détruit les races, multiplie les dégénérés, les criminels et ■ les fous Maintes fois, on a tenté d'enrayer le mal, niais ■jamais on n'a réussi. Pourquoi? M'est avis que la ques- ■ ion n'est guère compliquée. L'alcoolisme est une maladie ■morale, et son remède est ians l'éducation. L'alcoolisme ■ esl une maladie sociale, et son remède est dans I ordre Ce ■n'est pas en votant des lois prohibitives qu'on empêchera ■ les gens de prendre leur petit verre. Dans certains districts ■ des Etats-Unis, le débit de l'alcool est défendu. Celan em- ■ pèche pas les amateurs de s'ingurgiter leur ration. Ils se soûlent chez eux, ou bien prennent le train, et vont boire là où l'alcool est toléré. I II faut d'ailleurs distinguer, car il y a alcoolisme e ■alcoolisme. Va-t-on traiter de poivrot invétéré l'honnête M épicier du coin qui prend tous les jours un ou deux petits . verres ? Et puis, la foule des gens qui vont au café, boire " leur demi, sont-ce des dégénérés? Certes, après avoir ■envoyé dans un monde meilleur quelques centaines de H cochons d'Inde, de savants docteurs en sont arrivés a conclure que iout individu absorbant une goutte d alcool, aval .- par le fait même une menace de danse de St-Ouy. • jVlais tous leurs collègues ne sont pas du même avis. ^«Notez s. v. p , que je ne tâche point de faire ici 1 apologie Bde l'alcoolisme. Loin de là. Ses conséquences regrettables *tsc manifestent journellement, et ce ne serait pas moi qui Ressayerait de les nier. Je n'irai pas non plus jusqu'à vou- II loir discuter des théories médicales, ma compétence en ■cette matière étant au moins égale à zéro. Mais ce que je H veux dire, c'est qu'il ne faut pas immédiatement jater la ■ pierre à ceux qui, soit par habitude, soit par désœuvrement, Il soi! par goût, boivent quelques verres de bière ou une ■ goutte de schnick, sans pour cela se laisser aller à des ■soulographies à tout casser. Ces gens-là — et ils sont ■ légion — s- tuent-ils lentement? C'est ça l'inconnue. ■ D'aucuns disent que oui, d'autres que non. Je me rappelle ■ qu'il y a quelques années, eut lieu à ce sujet, à la Maison ■ du Peuple, à Bruxelles, un débat très intéressant. Deux ■ théories étaient en présence. La première, représentée par 1 député Vanderveldc, préconisait le teatotalerisme le ■plus absolu. L'autre, qui prétendait qu'un usage modéré Kdc l'alcool n'était guère nuisible, était défendue par le ■ DrT'-Twagne. Qui croyez-vous qui l'emporta? Le bon- ■ templier ? N:nni. LeDrTerwagne eut pour lui le grand ■ succès de cette discussion passionnée. ■ Usage modéré, voilà, me semble-t-il, la cl*f du problè-Bme. Si l'on pouvait amener les gens à boire un peu moins *§ que d'habitude, en les y forçant matériellement, on aurait Rdéjà fait un pas de géant. En temps normal, la chose n'est K pa3 aisée. Quel député, dans un pays comme le nôtre, par ■ exemple, irait résolument préconiser la prohibition radi-R cale de l'alcool ? La vox populi lui démontrerait bientôt H qu'il fait fausse route, et que ce n'est pas de cette façon là S qu'on garantit son siège. La guerre, qui a bouleversé tant Bde théories, a fait naître tant de nécessités nouvelles, Bpourra-t-elle y changer quelque chose ? Il faudrait le croi-Kre, à première vue du moins, envoyant ce qui se passe Kdans certains pays. I Prenons l'Allemagne. Les derniers projets de lois sur ■les nouveaux impôts prévoient des taxes formidables sur ■ les boissons alcoolisées. C'est ce qui fait naître la crainte, «dans les milieux des exploitants de brasseries, devoir ■diminuer la clientèle dans des proportions considérables. ■A la suite de ces projets, les intéressés — en l'espèce les ® patrons de cafés — se sont réunis pour examiner la situa- ■ tion. Ils en sont arrivés à ceci : la consommation en bière et en spiritueux va se ressentir fortement des impôts. Com- § ment contrebalancer «ette perte? Tout simplement en • transformant les cafés en des espèces de salles de réunion S confortables, où l'on paierait un droit d'entrée, mais où les ■consommations seraient facultatives. L'idée est loin d'être ■ mauvaise. Elle n'est pas neuve d'ailleurs, e' a des précé- ■ dents. Chez certains peuples du Sud, par exemple, le café, tf tout en n'ayant rien à voir avec le débit régulier de boissons, ff a joué un rôle considérable. Le Portugal a connu des temps où il était parfaitement incorrect de consommer m quelque chose dans un café. Ses établissements servaient ■uniquement d'endroits de réunion où amis et connaissan- ■ ces venaient discuter les nouvelles du jour. Actuellement ■ d'ailleurs encore, surtout lorsqu'il fait beau, on peut voir, » à Lisbonne, devant les deux principaux cafés de la capi-■tal:s, des centaines de personnes qui causent, alors qu'à l'intérieur même des établissements il n'y a pour ainsi dire ■pas une âme. Ces deux cafés, le « Martinho » et le « Bra-ïsiliera» ont joué un rôle prépondérant dans toutes les révolutions portugaises. Même phénomène en Espagne, où le café est, en premier lieu, salle de concert. ■ Et chez nous, me direz-vous, serait-ce possible? Fran-Hçhement, je crois que non. Nous ne devons évidemment pas nous faire des illusions ; aorès la guerre, nous autres aussi, nous pourrons nous attendre à quelques jolis impôts, dont - j'aurais peine à en douter — une belle petite taxe sur les boissons alcoolisées. Mais ce que je ne crois pas, c'est qu'on parviendrait de cette façon à supprimer les ^cafés. En Belgique, le café n'est pas ce qu'il est ailleurs. H fait partie de la vie sociale. Il est quelque chose de mixte. La brasserie allemande, le bar anglais sont des en Iroits où l'on boit. Le café français est un endroit où i l'on intrigue, où l'on pontifie. Le café belge n'a pas ces j caractères bien déterminés. 11 est plutôt quelque chose de comment dirais-je ? — de familial. C'est le cercle de ceux qui ne sont pas favorisés par la fortune. C'est un lieu de délices pour les célibataires, à qui il donne vaguement l'illusion d'un foyer conjugal, en même temps qu'un en-j|droit où les hommes mariés trouvent vaguement l'illusion du célibat. Pour tous ces gens-là, le café n'est pas un lieu de perdition, mais une nécessité dans le petit train-train de la vie de tous les jours. Rien, je pense, ne pourra jljamaiii les empêcher d'y aller. D'ailleurs, s'ils y trouvent quelque plaisir, pourquoi le leur empêcher ? Ce n'est pas, j en suis convaincu, en supprimant les cafés qu'on suppri-■nerait 1 alcoolisme. Il y a des gens qui ne savent pas voir un bouteille sans avoir soif; cela ne veut pas dire que les bouteilles ont tort. Il y en a qui ne savent pas entrer dans un café sans boire outre mesure; cela ne démontre . mas que tous ceux qui y vont sont des ivrognes. I Raoul Gustave. ■ (La cuite au prochain numéro). Echos S UN NOUVEAU SÉRUM contre la rage. — La Presse ■télégraphique suisse apprend que le directeur de l'Institut ■Pasteur a annoncé dans une récente réunion de l'Académie des Sciences, la découverte d'un sérum immunisateur contre la rage canine. Cette découverte est due au directeur >de 1 Institut Pasteur à Tanger, M. Remlinger, qui extrait le feérum de la cervelle du lapin, après avoir essayé le traitement sur 120 chiens. Le lapin avait été infecté au préalable par les bacilles de la rage canine. On ne connaît toutefois j^pas l'efficacité du sérum sur l'homme. Les Expositions ■ scu/p/car, Léon Sorteel, par suite de circonstances ortuites, occupe seul, en ce moment, la Salle Taets. ■'rivée de la séduction qu'exerce sur le grand public, dans les expositions habituelles, le chatoiement bariolé des peintures, celle d'aujourd'hui acquiert, par ce fait, une physionomie grave et noble faite pour retenir longuement ■'amateur éclairé. ■ Le centre de la salle est occupé par une grande figure de Bemme, intitulée « Révélation ». C'est une œuvre superbe, ■puissante et fouillée, d'un mouvement inspiré. De quelque Bote qu on 1 admire la ligne en est harmonieuse, imprévue, ■Heine d'élan, l'anatomie savante et précise. Dans ce beau ■corps si fermement modelé se reconnaît un travail opiniâ-fe 80utenu par une ardente pensée et une vaillante conscience d'artiste. On voudrait voir s'élever ce grandiose Dimanche 12 mai 1918 10 centimes le numéro 62e a née -— Nos 127-133 Journal de Gand bcho xxets jet:landhbs Rédaction et Administration : 3, RUE DE FLANDRE, 3, GAND Abonnements : UN F ANC VINGT CINQ PAS TRIMESTRE morceau sous la coupole d'un musée ou, mieux encore, sous les ombrages d'un beau parc... Le « Torse de jeune femme » n'a pas la haute portée de la « Révélation », mai» rivalise avec celle-ci de souplesse et de splendeur plastique. C'est une étude achevée, où chaque muscle vit et palpite. Peut-être pourrait-on reprocher à la tête une certaine raideur'dans le port et l'expression, mais il est visible qu'elle tient à l'extrême fidélité avec laquelle l'artiste a copié son modèle d'étude et non à l'impuissanse de son ciseau. St la preuve en est, triomphante, dans un morceau voisin, le n° 5, une « Tête de jeune femme » d'un modelé si délicat que chaque fibre tressaille dans ce fin visage. Parmi les physionomies d'homme il en est deux d'une r marquable expression, —celui du Jeune artiste (n° 6) et celui de Sarteel même, hors catalogue, — l'une et l'autre toutes chargées de pensée, toutes vibrantes de vie. Le sculpteur a voué en grande partie son talent à l'expression d'un idéal social, idéal de justice, de lumière et de beauté qui s'incarne en de nobles effigies : « Le Travailleur », « L'industrie », « Vers la vie », « Artisan », etc. Loin de prétendre, comme certains de ses camarades et coréligionnaires, sous prétexte de démocratie, rabaisser l'art à la représentation des trivialités et des laideurs, Léon Sarteel glorifie le travail et l'ouvrier en les parant du prestige d'un art pur et harmonieux. Voyez par exemple l'allure classique de cet ouvrier du lin (Statuette, n° 20) portant sur l'épaule un paquet de fils, sur les bras une pièce de tissu, dont il se drape comme, de sa toge, un magistrat romain. Nous avons signalé déjà l'originalité et la fougue de cette silhouette d'« Orateur », projeté vers son hypothétique auditoire en un mouvement d'irrésistible éloquenee. Et nous avons loué, comme il le mérite, ce jeune « Avocat » marchant vers le prétoire en un sentiment si évident de la dignité de son sacerdoce. « La Baigneuse » et 1' « Aurore » sont des figures toutes de grâce et de charme, et la « Pieta » (hors catalogue) est un groupe pathétique, dont le sentiment rappelle celui des mystiques du moyen-âge.Léon Sarteel apparaît donc, dans cette exposition, comme un grand, un véritable artiste, capable de concevoir la vie sous tous ses aspects et de fixer ceux-ci en des œuvres originales et durables. C'est un esprit méditatif, un observateur exact et patient, un ouvrier probe, laborieux et habile, et cet ensemble très rare de dons permet de fonder sur son talent les plus hautes espérances. 0. V. ÉCHOS D'ART Au Théâtre Paihé Lundi après-midi eut lieu au Théâtre Pathé un concert au profit de Y Œuvre de secours aux éprouvés de la guerre. Disons tout de suite qu'à ce point de vue ce fut une réussite complète. Pris dans son ensemble, la composition du programme ne s'écartait guère du sentier battu. Surtout que, par suite d'indisposition, M. Astère Bogaert était contraint de garder la chambre. Contretemps des plus fâcheux. L'orchestre sous la direction de M. Guillemin prêtait son concours à cette fête. Nous avons assisté à l'ouverture de la Dame Blanche — il n'y manquait que M. Ancclin, hélas 1 —; une fantaisie sur Lakmè — et M. Geyre ?—; les Scènes pittoresques de Massenet, exécutées de façon plutôt floue; la très connue et non moins banale Mascarade de Lacome. Avec la fraîcheur vocale que nous lui connaissons M. L. Vanderhaegen a interprété Aan mijne lier au lieu de Fritz' liefdelied, extrait de l'opéra Lina, indiqué au programme et qui n'a pu passer par suite de difficultés d'accompagnement orchestral. Notre estimé professeur nous a fait connaître parmi ses nombreuses productions, deux lieds inconnus par nous jusqu'à ce jour : 'k Zag blozende wangen et une bacca-rolle, d'une mélodie simple, mais aucunément vulgaire et d'un rythme très marqué : Zeelied. Non pas que cette dernière composition fut nouvelle, loin de là. Renseignements pris, l'auteur la fit à l'âge de seize ans et tout le monde a pu apprécier lundi que ce n'était plus une promesse : aussi le présent a-t-il confirmé pleinement le passé. Une des cantatrices les plus aimées à Gand, Mad. Mor-mesnil, figurait également au programme. Très en voix, elle nous a fait réentendre la ballade et l'air des bijoux de Faust, le grand air de Violetta de La Traviata. Nous avons cependant spécialement goûté la Séparation de Hille-macher, morceau bref mais d'un sentiment poignant et dont la musique ne forme qu'un avec le texte, la célèbre Dernière lettre d'André Chénier. C'est dans un genre pareil qu'excelle surtout notre chanteuse. B. Nous recevons la lettre suivante : Gand, le 6 mai 1918. Monsieur le Rédacteur, Suite à votre article concernant la soirée de clôture au Théâtre Flamand, « Opéra Gezelschap Ose. Roels », nous nous voyons obligés de vous aviser que la critique inspirée, ayant rapport à Monsieur Van Welden, est erronnée. Monsieur Van Welden n'a nullement été oublié et il n'a pas été de l'intention des organisateurs de l'omettre; mais comme il n'a pas dû se présenter en scène, son cadeau lui a été envoyé à domicile. Vous serez assez aimable que de vouloir rectifier votre article en publiant la présente dans votre prochain numéro. Recevez, Monsieur le Rédacteur, l'assurance de notre parfaite considération. Au Nom du Comité Organisateur, Bouton. Nous n'avons jamais prétendu que c'est « intentionnellement » que M. Van Welden avait été écarté. Nous avons, avec tout le public, constaté que seul, lui,n'a pas bénéficié d'une manifestation. Qu'on lui ait envoyé un cadeau, tant mieux I Mais il nous était assez difficile de le deviner. B. Nécrologie Mort de Georges Ohnet Paris, 7 mai. — Le romancier Georges Ohnet, à qui l'on doit « Le Maître des Forges » et « La Grande Mar-nière » vient de mourir à l'âge de 70 ans. ChminlqiiB Oanloisë MUSIQUES. — P. et A. Beyer, éditeurs de musique, P. Struyf, successeur. Grand choix de musiques belges et étrangères. Lutherie artistique. Cordes garanties justes sonores. Accessoires divers. CONFISERIE chocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. SECOURS DE MILICE. — Le Comité National vient \ de modifier le secours de milice accordé aux familles de : soldats rappelés sous les drapeaux. Jusqu'à présent un ménage ne pouvait être secouru que pour le premier mili-5 cien; actuellement le secours journalier suivant est accordé j! avec effet rétroactif au 30 septembre dernier : fr. 1,25 pour 1 le premier milicien, fr. 0,65 pour le second et fr. 0,45 pour chaque autre. Le secours de fr. 0,50 par jour et par enfant est maintenu comme antérieurement. PRETS.Achat, vente propriétés. Minnaert, bd Béguin. 21. HORLOGERIE suisseBehaegel-Mee::,chaussée deCour-trai, 128, et chaussée d'Anvers, 54, Gand. SERVICE POUR MALADb'S. — De nouvelles mesures ont dû être prises dans l'intérêt même des malades : Tous les certificats (sauf ceux demandant une carte de lait provisoire) doivent être remis dans la boîte, rue des Peignes, 14. Si le malade n'a pas reçu de réponse à la demande qu'il a adressée au service, il doit introduire la réclamation au bureau, le matin de 10 1/4 h. à midi ou de 2 à 3 h. l'après-midi. Les refus pour pain blanc, lait, etc., doivent être soumis d'abord au médecin qui a délivré le certificat ; si celui-ci désire insister pour que son malade obtienne satisfaction, il inscrira les motifs sur la carte de refus. L'interessé déposera alors la carte dans la boîte du bureau sans nouveau certificat. Si un malade reçoit, par erreur, un bon pour un autre produit que celui demandé, il enverra quelqu'un avec ce bon au bureau. Si un produit a été refusé deux fois, il sera absolument inutile d'insister encore auprès de la Commission médicale, le refus sera définitif. Pour les cartes de lait provisoires, le certificat doit être remis au bureau (pas dans la boîte) afin que la carte puisse être délivrée immédiatement. Pour les enfants en-dessous de 6 ans dont la carte de lait peut être rendue valable tous les jours, pour un certain temps, en cas de maladies spéciales, s'adresser avec la carte au bureau. LA BANQUE l'Union du Crédit de Gand, Société Anonyme, fondée en 1855, Siège Social, Place St-Michel, 16, Bureau Auxiliaire, rue de Flandre 32 à Gand, a l'honneur de porter à la connaissance du public qu'elle a ouvert un Bureau Auxiliaire, à l'avenue Elisabeth 19 à Gand. Le bureau est ouvert le matin de 9 heures à midi, et l'après-midi de 2 1/2 à 5 1/2 heures, le samedi après-midi excepté. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et Uniment Heyndrickx. Pharmacien Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg-Gand. COKES. — Ration 50 kg. au prix de 3 fr. La vente se fait de 2 à 5 h. Lundi 13 mai n08 63101 à 64190; mardi 14, n°64101 à 64800. U. Laurent, avenue du Grand Marais, 213. — Transport. — Camionnage en ville, à l'heure. HORLOGERIE Kaeschagen, r. Borluut,3. L'heure juste. POUSSIÈRE DE COKES. — Ration 100 kg. au prix de 2 fr. La vente se fait de 81/4 à 11 1/4 h. mardi 14 mai, nos 11601 à 12250. SEL am. pr piles, Geniets, 14, rue Brabant. DEMANDEZ partout savon Espéranto; le meilleur; adoucit la peau. JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures générales pour Eau, Gaz, Electricité. BISCUITS. — Ration, 2 biscuits par personne au prix dé 0.20 fr. pièce. Lundi 13 mai, de 9 à 10 h., n. 33101 à 33400 ; de 10 à 11 h., n. 33401 à 33700 ; de 11 à 12 h., n. 33701 à 34100 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 34101 à 34450 ; de 3 1/2 à 4 1/2 n. 34451 à 34800. Mardi 14 mai, de 9 à 10 h., n. 34801 à 35100; de 10 à 11 h., n. 35101 à 35400 ; de 11 à 12 h., n. 35401 à 35800 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 35801 à 36150 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 36151 à 37400. Mercredi 15 mai, de 9 à 10 h., n. 37401 à 37700 ; de 10 à 11 h., n. 37701 à 38000 ; de 11 à 12 h., n. 38001 à 38400 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 38401 à 38750 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 38751 à 29100. Jeudi 16 mai, de 9 à 10 heures, n. 39101 à 39400 ; de 10 à 11 h., n. 39401 à 39700 ; de 11 à 12 h., n. 39701 à 40100 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 40101 à 40450 ; de 3 1/2 4 1/2 h., n. 4C451 à 40800. Vendredi 17 mai, de 9 à 10 h., n. 40801 à 41100; de 10 à 11 h., n. 41101 à 41400 ; de 11 à 12 h., n. 41401 à 41800 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 41801 à 42150 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 42151 à 42500. Samedi 18 mai, de 9 à 10 h., n. 42501 à 42900 ; de 10 à 11 h., n. 42901 à 43900 ; de 11 à 12 h., n. 43901 à 44200 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 44201 à 44550 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 44551 à 44900. IL EXISTE encore un amidon excellent. C'est la marque « Le Coq ». LE SAVON MOU est hors de prix. La lessive en poudre « Néerlandia » le remplace pour bouillir le linge et pour le nettoyage en général. SABOTS. — Commission locale de ravitaillement. — La vente de sabots pour les habitants de la 10 section se fera aux jours indiqués ci-dessous à la Centrale, rue Terre-Neuve, 41, de 8 à 10 h. et de 1 à 5 h., et sur présentation de la carte rose (carte de travail) et de la carte de soupe. Lundi 13 mai, matin n. 49901 à 50300, après-midi n. 50301 à 51100. Mardi 14 mai, matin n. 51101 à 51500, après-midi n. 51501 à 52300. Mercredi 15 mai, matin n. 52301 à 52700, après-midi n. 52701 à 53500. Jeudi 16 mai, matin n. 53501 à 53900, après-midi n. 53901 à 54700. Vendredi 17 mai, matin n. 54701 à 55000, après-midi n. 55001 à 55700. Ont droit: les ménages de 1 à 4 personnes à 1 paire, les ménages de plus de 4 personnes à une paire pour écolier ou enfant. Les prix sont : 2,15 fr. pour hommes, 1 fr. 90 pour femmes, 1 fr. 55 pour écoliers et 1 fr. 15 pour enfants. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vente et location de pianos par mois, pour soirées et concerts. FOUR à PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gaz et ordinaire. MAISON DUTRY-COLSON, Rue des Champs, 12, Gand. DE TOUTES les crèmes LUNA PUDDING POWDER est la meilleure. En vente partout. LE PLUS GRAND stock de meubles anciens se trouve à la maison d'art, Ad. Dangotte. NOUS APPRENONS les fiançailles de M11® Marguerite 5 De Poorter, fille de Mr et Mme Max De Poorter, avec Mr Roger Minnens de Deynze. Toutes nos félicitations et îos j! vœux de bonheur aux futurs époux. ACTE DE BANDITISME. — La nuit du jeudi au ven-jj dredi, vers 12 h., la police militaire entendit des cris jj d'alarme venant de la maison de M. Van Heddeghem, boucher, rue courte du Jour 4. A l'intérieur de la maison, on trouva la dame de la maison, et la servante qui avaient les pieds et les mains liés. Le commissaire de police de la 1 section, M. Pattyn, fut averti immédiatement ; il se rendit aussitôt sur les lieux pour y faire une enquête. Il eut bientôt l'impression que la servante n ctait pas étrangère à cette affaire et après avoir pris des renseignements, il se rendit rue Frans Ackerman pour y arrêter un certain D. C. ainsi que la femme et le frère de celui-ci. Une perquisition fit découvrir pour 83.000 fr. de billets de banque et de bijoux volés à M. Van Heddeghem chez qui le coffre-fort et tous tes meubles avaient été fracturés. Les trois personnes arrêtées ainsi que | la servante ont fait des aveux complets et ont été mis à la disposition du parquet. ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies G. WTTERWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Coupure, r. g. Nég. fonds publics, coup.-chèq., monn. étrang. ARRESTATIONS. — Le nommé D'Anvers Joseph, 22 ans, fut arrêté rue Charles-Quint, il y a une huitaine de jours, alors qu'il était porteur d'une valise et d'un paquet de saindoux volé à la cuisine centrale de l'œuvre communale d'alimentation (fabrique Lousberg). Quatre autres personnes impliquées dans la même affaire furent également arrêtées. Sous la porte de la fabrique, on a trouvé deux I grands sacs de saindoux prêts à être emportés. VAN DEN BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change. L'ONGUENT Pédiphile guérit pour toujours cors aux j pieds, œils de perdrix, durillons. Une seule application i suffit. Se conserve des années sans perdre de sa valeur. J Gacens, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. | UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmaciens » de service le dimanche après dîner, 12 courant : pour Gand jj (Dock Porte d'Anvers) et Mont-St-Amand, M. Van Roy, \ chaussée d'Anvers, 56 ; pour Ledeberg et Gendbrugge, j M. Van Daele, chaussée de Bruxelles, 67, Ledeberg BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabant. AU MINARD. — Dimanche 12, lundi 13, mardi 14 à 7 1/2 heures, le fou rire, «Mam'zelle Nitouche ». Jeudi 116 : « De Lustige Boer », soirée à 7 1/2. Tous les dimanches matinée à 3 heures. Prochainement : « Le Comte de Luxembourg » avec M. \ DE BOUVRE. s En étude : «La Chaste Suzanne» et «Les Saltimbanques», jj FONDS publics. •— Gillet, rue longue des Violettes, 37. jj OUD-GEND. — Jusqu'au 16 mai. g « La Nuit Rouge », grande nouveauté sensationnelle, j Etc., etc., etc. I Vendredi prochain : « Les Souliers rouges ». Drame nouveau. jl PAPIERS et sachets, Van den Breen,bdde l'Abattoir, 17. AU THÉÂTRE PATHÉ : Cette semaine, du 11 au 16 mai, Ellen Richter dans 1' « Honneur du Père ». mélodrame en 5 actes, « Promenade de Teddy », comédie en 3 actes. — Du 18 au 23, « Le Fer en Fusion », drame en 5 actes. : Du 25 au 30 mai : Henny Porten dans « Mariage de '■i Raison ». Du 1 au 6 juin : Le draine sensationnel : « Raspoutine », 1 reconstitution exacte de la vie du moine prodigieux dont t les exploits passionnèrent le monde entier. L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. THÉÂTRE PATHÉ. — Concert de Bienfaissance. Lundi 10 juin à 4 h. 1/2, concert de Bienfaisance au bénéfice des Prisonniers de Guerre avec le concours de l'Harmonie Nijverheid en Wetenschappen : 60 exécutants, et de Mlle Cracco. MODERN PALACE. — Jusqu'au 16 mai 1918. < Le Roi de la Confection », grande comédie-vaudeville en 4 parties. « L'Evasion de Tom Mix », drame américain. Scènes de mœurs cow boy. Emouvant en 3 parties. « Voyage de Noces », comédie. Etc., etc., etc. MANUFACTURE de cigares et cigarettes. Ed. DeLoore, rue du Fuchsia, 104-106. ŒUVRE d'Assistance maternelle. — Des leçons de puériculture seront données aux jeunes filles de 16 à 22 ans. Une place lucrative est assurée à celles qui auront suivi les cours avec fruit. Les inscriptions seront reçues au local Fossé d'Othon 31, mercredi 15 mai de 6 à 7 h., de relevée. DE KROONBITTER is de beste. ŒUVRE du sou. — 66* liste. — M. Aug. Dumont (21e versement) 25 fr. ; relevé des boîtes fr. 619,20. Les contributions de quelques milliardaires américains Dans tous les pays. les pays neutres surtout, les financiers, les commerçants, les grands industriels, les grands producteurs ont cueilli des millions sur le dos de ceux qui se battent. Au commencement tout marcha bi -n, dans l'effervescence de la lutte, les combattants payèrent sans compter et jetèient pour ainsi dire les millions par les fenêtres. Malheureusement pour les coffres-forts, tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse, et c'est ce qui arriva. Les différents gouvernements aperçurent tout à coup ces coffres-forts prenant en quelques mois des proportions gigantesques ainsi que les vastes trous rongés dans le budget par ces mêmes coffres, et ils décidèrent de faire rentrer dans leurs caisses une partie de leur contenu. Ils créèrent tout simplement les impôts sur les bénéfices de guerre et, tout comme les pélicans, nos bons coffres-forts durent rendre gorge. Le « Journal » qui s'occupa de la question cite quelques chiffres, entre-autres pour les milliardaires américains. Tenez-vous bien chers lecteurs ! c'est à bondir ! Toutes les sommes sont indiquées en dollars.celui-ci valant environ 5 fr. 20. jj En tête de liste vient. Rockefeller avec un revenu de | 300 millions de dollars, dont il doit céder 196 millions à jj l'Etat. En second lieu vient H. E. Frick avec 56 mil-' lions de dollars de revenus dont il doit payer 25 millions i comme contributions. Puis suit Carnegie avec 50 millions de revenus dont il paye 24 millions à l'Etat. ^Tarpness et Armour ont tou3 deux un revenu de 31 millions dont ils doivent céder 20 millions. Ford et Van-«lefbilt ont comme revenus *25 millions et payent 16 millions à I Etat. Astor a 18 millions de revenus et doit doter 1 Et>t de 11 millions et pour finir vient Schwab, le directeur de la Bethlehem-Steal-Company, la grande productrice d'acier américaine, qui d'un revenu de 17 millions payera 11 millions de-contributions Les Etats-Unis détiennent le record pour ie~3 soies a donner à ces chers coffres-forts. LefLciu- soigne comme une bonne mère et leur pratique de .temps ù autre une petite saignée poar éviter qu'ils ne se congestionnent. Osez encore rugir, Messieurs les "contribuables, brique vous recevrez votre receveur des'conl-ibutions, un charitable avertissement vous invitaat à aller vous soulager à son guichet d'une bagatelle de deux ou trois cents francs. Bulletin Financier Les multiples demandes -de renseignements qui nous parviennent nous prouvent que notre « Bourse officieuse de Gand » comble une véritable lacune. Si l'administration du Journal est très flattée de ce succès, elle regrette de ne pouvoir répondre séparément à chacune de ces demandes; cela étendrait trop le cadre de cette rubrique. Nous tiendrons compte le plus largement possible des désirata exprimés. Bourse officieuse de Gand Semaine mouvementée en Tramways de Gand. Comme le faisait prévoir la clôture de vendredi une fermeté dominait dans ces valeurs des lundi, les obligations restées offertes 475 haussent à 480, les actions de capital font 175-177 1/2, dividendes de 75 à 80, ces cours devaient nécessairement amener la réaction, ce qui ne tardait pas à se produire. On clôture plus calme à 475 l'obligation, 175 l'action de capital, 75 en dividende, en extrême clôture„un cours de 77 1/2 a de nouveau été pratiqué. En obligations on a traité des Filatures et Tissages réunis de 430 à 445; le bilan de la société accuse un bénéfice brut defr. 149.500, laissant net fr. 10.122 reportés à nouveau. Oblig. Crédit Maritime et Fluvial obligations emn 500; cette société dont la prudence est connue, distribue de nouveau 5 p. c. aux actionnaires, ce qui n'exige que 40.000 fr. sur le bénéfice de 83.100 fr.; une partie du solde sert à renforcer encore la réserve extraordinaire. La société ayant trop de disponible a suspendu provisoirement l'émission de ses obligations. Oblig. Prince Henri. La société demande une nouvelle augmentation de tarifs, les frais d'exploitation augmentant toujours; elle va émettre des bons de caisse 4 1/2 p. c. remboursables en 1928. On a traité des cap. Anvers à 108; des div. Bruxellois à 815-820; des dividendes Electriques Espagne restaient demandés à 76. Quant aux banques après 1325 on fait en clôturtBanque de Flandre 1335 offertes 1340; Banque de Gand demandée à 827 1/2 ainsi que l'Union du Crédit à 605. Faiblesse en linières. Gantoise offerte 1500; Lys après 1735 reste offerte à 1700. La jouiss. Loth cote 90 à 92 1/2 nominal. A Gladbach, en Allemagne, il s'est constitué une association de « tissages chômeurs » ayant pour but de sauvegarder les intérêts de cette industrie, à présent, ainsi que pendant la période de transition; une cinquantaine de tissoge y ont déjà adhéré. La Colonial Rubber reste 51 A 55 P; la part Kasai 76 1/4 A 77 1/2 P; le lot du Congo 100. Les capital Pe-troles de Boryslaw font 73 A 75 offerte. Il paraît que l'Allemagne se serait assurée 50 o/o; l'Autriche 25 o'o de la production pétrolifère roumaine de l'Etat; ainsi que de certains concessions appartenant à des étrangers. L e Zinc réactionne. Austro-Belge à 350; Prayon qui n'a pas travaillé, clôture son bilan par une perte de 673500 francs raménée à 373500; la société ayant disposé de 300000 fr. delà caisse spéciale de prévoyance. Il restait des demandes en Lujar, en Cédules Argentine, Sennah Rubber à 62 A Brazilian Traction à 310 A Nieuxve Afrikaansche Handelsmaatschappij 450 A 475P. La Pergole en automne L'air est tiède et brumeux, et la lumière rose Enveloppe et pâlit moëlleusement les choses. Les arbres du vieux parc, sauvage et délabré, Elèvent vers le ciel leur feuillage cuivré. L'automne est là, il vente.... et leur manteau palpite. Ils ont des reflets roux, des tons de chry-olithes, Des rouges de carmin. L'on entend s'affliger Leur âme frissonnante en murmures légers. Sous de hauts peupliers aux troncs d'aventurine, La pergole élégante et blanche se dessine. Elle est silencieuse et déserte, et le vent Se lamente sous ses corniches en auvent. Le feuillage frémit, un oiselet s'envole, Et de l'aile, apeuré, il frôle la pergole; Et l'on entend mourir sous l'arcade de marbre, La chanson de l'oiseau et la plainte de l'arbre. L'heure est exquise et douce. Sur le ciel voilé Comme un temple agreste, je vois se profiler Le léger édifice en les ors de l'automne. Et tout autour de moi, les feuilles tourbillonnent. Suzanne verbist. Quels légumes faut-ii planter dans le jardin potager? Les fortes épices nous font défaut: le poivre n'est presque plus à trouver et les noix de muscade deviennent de plus en plus rares. En outre la cuisinière n'a plus de graisse ni de beurre à sa disposition. C'est pourquoi elle est obligée d'employer différentes herbes pour donner un goût agréable aux potages et aux sauces; il ne faut donc plus se contenter de cultiver des poireaux, des céléris et des carottes. Il est nécessaire d'y ajouter quelques-unes des petites plantes que nous citous ci-dessous et qui ne demandent ni beaucoup de place ni beaucoup d'entretien. L'oseille est à conseiller en premier lieu. C'est une plante vivace qui peut rester plusieurs années à la même place; plus ou la coupe, plus elle croît. La reproduction se fait au printemps en coupant les racines en plusieurs parties; cette opération peut également se fdire en été ou en automne. L'oseille ne pousse pas seulement au soleil, mais aussi — et même mieux — à l'ombre. Elle ne se développe pas beaucoup à la base ot a besoin d'être fréquemment arrosée de purin. On sème le cerfeuil à partir du mois de mars jusqu'en septembre. Il est bon de le faire un peu chaquo mois pour en avoir constamment à sa disposition. Lorsque la plante porte des tiges avec des semences, sa qualité est moins bonne; il faut donc couper ces tig -s, excepté à quelques plantes qui serviront à la reproduction. Le cerfeuil croît également à l'ombre; les espèces avec feuilles frisées sont particulièrement recommandables. Une des herbes les plus répandues est le persil que l'on emploie dans la préparation des potages, des sauces et des poissons. Il faut le semer tôt, attendu que les graines ont besoin d'assez bien de.temps pour germer. Le persil peut au -si croître à l'ombre, mais alors le goût est moins fort. Il reste deux ans et même plus longtemps à la même place, mais i! est préférable de semer un peu chaque année. Les espèces frisées sont également à conseiller.

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Gand van 1856 tot 1923.

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