Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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09 december 1918
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s.n. 1918, 09 December. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Geraadpleegd op 05 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/6d5p844q08/
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Lundi 9 Décembre 1918 "ON NUMERO QUINZE CENTIMES Lundi 9 Décembre 1918 ABONNEMENTS _0-a. Les prix d'abonnement seront fixés dès Qu'il nous sera possible servir régulièrement nos abonnés de ia ville et de l'extérieur. JOURNAL DE LIÉGE PUBLICITE Annonces la ligne, fr. 0.S0 Kôçlames . » ti\ !.«> Avis mortuaires „ fr j oq Avis de sociétés a fc. g 00 Emissions, bilans» rapports, » fr. 4,0!) Faits divers fin »> fr_ |\)g Faits divers corps „ fr" g.SO Réparations judiciaires »> tv. 8.00 (Tarif provisoire) FEUILLE POLITIQUE, LITTÉRAIRE ET COMMERCIALE. - FONDÉE EN 1104 RÉDACTION ET ADMINISTRATION : 22, RUE DES DOMINICAINS. 99 ^r--liTan,.TWr,7I..,r., LE SENS DES RÉALITÉS -*i) O-i La politique est la science des réalitiés. Nous ne saurions jamais assez le dire et le redire.Il est des courants d'opinion auxquels il serait impossible do résister. Par contre, il est des nécessités d'ordre économique devant lesquelles il faut s'incliner. 11 serait dangereux de nourrir trop d'illusions. La Belgique va se trouver aux pri-fces avec bien des difficultés. La plus brutale des réalités est la situation industrielle de notre pays... Les industriels n» cachent pas leurs appréhensions. L'avenir ne leur apparaît pas couleur de rose l La question do la main d'oeuvre les préoccupe vivement Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'elle inquiète nos grands producteurs. Lo manque, de bras 6e faisait sentir partout avant la guerre. Quatre années de chômage A peu près complet ont créé dans une certaine classe de la société un laisser-aller incontestable. L'inaction nous a déshabitués du travail. 11 faudra quelque temps avant de voir regner partout la régularité et la discipline nécessaires à toute organisation sérieuse. L'insuffisance d'alimentation tend également à diminuer la productivité de l'ouvrier. Les secours du fonds de secours ne pourront être alloués qu'aux travailleurs frappés par le chômage involontaire.. Le jour où ils se refuseront k un travail honnôto et digne, Ils perdront le droit à toute allocation,I andis qu'en Franco et en Angleterre, les usines occupent de nombreux ouvriers militarisés, les nôtres sont encore sous les drapeaux. lia ne tarderont pas à être libérés, pour être remplacés par des jeunes gens de 19 à 25 ans. La situation restera tendue... II ost à craindre que beaucoup des nôtres fixes à l'étranger ne «oîent tentés d'y élire domicile après la guerre. L'industrie de nos alliés n'a pas souffert comme la nôtre. Elle est toujours en pleine activité. Elle travaille pour l'armée à des conditions très rémunératrices. Tout en réalisant des bénéfices fabuleux, il lui est permis d'assurer à la main d'oeuvre des salaires très élevés. Ce ne sera pas malheureusement le cbs pour nos établissements. Les exactions allemandes les ont laissés dans un état déplorable. Leur matériel est détruit, leur outillage enlevé, leurs installations mômes ont été bouleversées. La dévastation a été entreprise avec une telle méthode qu'elle révèle la préméditation de <">mpromettre le relèvement de notre industrie.Il est hors do doute <nio les alliés feront rendre gorge à l'Allemagne. En attendant, nos usines restent vides et leurs approvisionnements à sec. Séparée du monde pendant quatre lon-guas années, la Belgique a perdu tous ses déboucli/és. Sa clientèle s'est forcément , adressée ailleurs. Nous reviendra-t-elle ? Il faut l'espérer. Mais, en cette matière, la question sentimentale joue un rôle relatif. i Notre clientèle ira surtout où la porteront 6es intérêts. te— Telle est la situation générale de l'indus trie. Combien de temps durera cette crise On l'ignore. Il est nécessaire qu'on s'ei préoccupe et surtout dans les sphères po litiques. Jusqu'à présent, l'exaltation patriotiqui dans laquelle nous avons vécu nous a ur peu fait perdre de vue le sens des réa lités. Au cours d'un meeting socialiste tenu ' Bruxelles, deux Ministres ont pris la pa rôle, MM. Vandervelde ot Wauters. Ils n'on pas dissimulé les difficultés de la situatior industrielle du (pays. Mais au lieu de pré cher la patience et la sagesse à leurs corn mettants, ils leur ont laissé entrevoir de* satisfactions qu'il n'est permis à personne d'envisager. La lutte d^s classes semblt surtoait les avoir préoccupés. Les revendi entions les plus radicales ont été mises er avant. L'industrie, encore toute meurtrit des coups que lui a portés l'étranger, serait mise sous la tutelle des syndicats ouvriers.A défaut de persuasion, on recourt à, la menace. M. Camille Huysnuans. qui se fait des Intérêts nationaux une singulière idée, écrivait dans »( Le Peuple » ce qui suit : « Nos camarades belges vont revenir bientôt, mais avec un tout autre esprit qu'ils sont partis. Ils ont appris ce qu'était un syndicat bien organisé ; ils ont appris se faire respecter ; ils ont appris à utiliser les lois sociales dont ils réclameront l'importation. Ils reviendront avec des cadre» solides dont les éléments seront précieux, avec de l'argent qju'ils mettront à la .'disposition de la Commission syndicale.Ils reviendront avec la volonté de lutter pour une Belgique nouvelle, dans laquelle les droits des travailleurs ne seront plus vinculés et 'dans laquelle ia prospérité d'une minorité ne se fondera plus sur la misère de la masse, m Nous ignorons de quelles lois sociales nos ouvriers méditent d'assurer l'importation.Tout efficaces qu'elles paraissent, elles n'ont pas empêché des con'lits et des grèves aux heures où la /production était cependant la condition suprême du saliut *de la na.trie. Si aux difficultés d'ordre matériel que nous avons énumérées, l'industrie doit ajouter les crises déchaînées par le mauvais vouloir de ceux qui se prétendent les conducteurs de la classe ouvrière, l'œuvre de la reconstitution nationale en pâtira davantage. Par de vaines et stupides discordes inspirées par un soufflie de haine, allonis-nous compromettre les admirables résultats ac-jui? par la. vaillance de nos soldats ? L.i Belgique n'aura-t-elle connu l'ère de a liberté que pour retomber dians une au-re servitude, la dictature de la misère m révolte, selon île mot saisissant de M Ubert Thomas. Le pays conscient do ses destinées se ourne anxieusement vers ceux qui ont as-iumé les responsabilités du pouvoir. Nos Souverains à Paris • , L'accueil à Paris Nos souverains, qui étalent accompagné* du prince Léopold et de M. Hymans, ministre des Affaires étrangères, sont arrivés a Paris jeudi, à 14 heures. A l'arrivée du train royal, lo canon se mit à tonrior. Une vibrante Brabançomu salua l'apparition du Roi et de la Reine. Lc-s dames de la Croix Rouge offrirent des ileurs à. notre gracieuse souveraine. Du haut des balcons des maisons pavoi-séos, les cris de « Vivo lo Roi 1 Vive La Roine ! Vivo lo princo Léopold 1» nqtentis-sent intarissablement. Les musiques militaires jouent la Brabançonne. La ville était pavoisée aux couleurs l>el-ges- Un accueil enthousiaste a été fait & la famille royale. Dès midi, une foule compacte se pressait sur le parcours du cortège royal. Les honneurs étaient rendus par les troupes du 27e régiment des chasseurs alpins à la fourragère rouge. Le Roi, la Reine et le prince Léopold ont été reçus par M. et Mme Polncaré et tous les ministres. Le canon tonna et la musique joua la Brabançonne. Quand il se rendit au ministère des Affaires étrangères, dont l'hôtel devient pour deux jours palais royal, le cortège royal a été l'objet d'uno grandiose et imposante manifestation. Sur le parcours de la gare du Bols de Boulogne au ministère dos Affaires étrangères,* une foule enthousiaste n'a cessé d'acclamer les hôtes royaux. Ix* Roi Albert a reçu MM. Poincaré et Clémenceau avec qui il eut de longs entretiens.Les souverains se sont ensuite rendus à l'Elysée pour rendre visite au Président de la République. A l'arrivée comme au retour, une foule innombrable dont l'enthousiasme ne finissait pas, les a acclamés, aoritant chapeaux et mouchoirs. Le soir, un dîner était offert en Dhon-> neur du roi Albert, de la reine Elisabeth et du prince Léopold. MM. Dubost, président du Sénat, Desoha-nel, président de la Chambre, M. Clemenceau, les membres du corps diplomatique, les ministres, les maréchaux, etc., étaient présents. La Reine était assise à la droite du président Poincaré, à la gauche duquel so trouvait le Roi ; le prince Léopold était à la gauche de Mme Poincaré. La musique de la Garde Républicaine a joué pendant le repas. Nous avons donné hier le résumé des discours qui ont été prononcés par M. Poincaré et par le Roi. visites royales Vendredi, le Roi Albert et le prince Léopold ont visité l'asile belge de Courhevoie, où sont hospitalisés des vieillards et des soldats belges et français blessés. 1 Le Roi «'est entretenu affectueusement ' avec chacun d'eux. ' Le passage de l'auto royale a été salué 1 par d'immenses acclamations. ( La Rein« s'est rendue à l'hôpital belge IHùtcl-Dieu), un s'eepurs de guerre et a fait Visite aux œuvres de la mairie du Ce. j , Hommago de la presse ( & la Belgique Los journa-ux français publient le po trait du Roi et de la Reine de Bel-nrru Ils jie tarissent [pas d'éloges à ttet adresse. Voici en quels termes Us rendent lion mago à notre pays , 1 ï-e IouTnat r <i Nous comprenons mieux, aujourd'hu la valeur inappréciable du soulèvement d fflque' NoU3 "vois, en effet, pa quelle somme de souffrance et d'efforts HÏnSaC'fUltter la. traite signée sans hésita tton pour soutenir l'honneur de la natiot Noms mesurons exactement la dette do gra titude contractée par les Etats qui au raient dû être les protecteurs du faible riït ®.n.réalité, ont été sauvés par lui »/. m ,T ^ na sora Jamais oubliée pa '>réSe,vé tout ®«e/d Le Matin r to."4h' duiÏÏraiS Tcltid'e0tf « Si * gagé la civilisation entière Que senit ii j#ffiafs?t,ssairBSï-« fe£5fsessctaa* ses S0,mIle' «* ><> Premier de Le Petit Journal • à&W&fusxs!* Bulletin Politique tout / /»?( 6 ?"'• ''acCOTd «e serait pas tout à fait complet entre les Alliés curo- Pr„ ? d an côte> et les Américains de l'autre. A œ en croire, le Président Wiison 1 application intégrale de son pro-Sïf'-a06 (,U1 contrarierait consirtéra'ble-leura ^sfianCe' 1Angleterre l'Italie dans c/t très possible qu'entre le programme idéaliste do Wiison et les aspirations iratiquas des puissances européennes il y nt une certaine différence, si l'on veut s'en enir strictement aux mots. Or, l'histoire •lent de nous apprendre qu'il est difficile n matière politique, d'établir des règles [ui ne soient pas un peu extensibles. Le Président Wiison a en vue le bien d^ humanité. C'est un très h™., Mais il a aussi conscience des réalités sait que certaines des aspirations anglo tes, françaises et italiennes sont justes que leur réalisation sera une cause c tranquillité future et de progrès. Il ne sai ra s opposer à co que chacun obtienne s us_ MSfac.tion. ise. c'?st ^insi> Par exemple qu'il faudra r ,'en ?? , r.e. la Gestion d'Arabie, de Syrie, . po- , ^/es"ne, d'Arménie, de Mésopotamie > aLgypte. A part le pays des Pharaons, 1( lue autres sont en plein désarroi, conséquen un du mauvais gouvernement des Turcs. Ce éa- Pays ne pourront rien faâre par eux-mi mes. Pour se relever, il leur faut l'assi: i à tance de l'une ou de l'autre nation eun pa- péenne. Ce que les Anglais ont fait d ont 1 EP'.Pte, ils peuvent le faire de la M esc ion potamie et de l'Arabie. Les Français so rô. indiqués pour appliquer en Syrie 'les m» ,m„ vhodes qui leur ont si bien réussi en Ti jcj3 nisie. Mais il est indispensable que ce so u,e 1 *m ou l'autre et pas tous les paya h 1 ble lois, qui soit chargé de réorganiser cihc di- "une de ces régions. en N'oublions pas qu'il y a eu une gendai ne mene internationale en Macédoine et qu el: se- fut une source de conflits. m- Pour nous, Belges, il suffira que dan ces régions d'avenir nous soyons mis su la un pied d'égalité à tous les points de vu du commerce, des exploitations, conces in- sions, etc. Nos consuls et les représentant ri- de nos industries devront pouvoir circule et commercer librement comme par le pas nir S(^- C'est pour l'avenir de nos mines un rit question de la plus haute importance qui ait celle de l'égalité des droits en matière d< ris commerce et de droits de douane dans le; iti- pays qui vont ôtre nouvellement créés. Non; >nt supposons très volontiers que nos intérêts ;a- "ans les grandes discussions qui vont s'ou ré- 3ercnt mieux défendus que par le passé à Quant à la presse hollandaise, elle perc ii- son temps à vouloir semer la défîanco entn les partenaires du grand procès qui vc ■er s'ouvrir Peut-être, au fond, la Hollande Ue craint-elle de se voir subitement invitée £ us comparaître devant ses juges pour répon-are de 1 attitude peu aimable qu'il lui esl la "Parfois arrivé de prendre. Aujourd'hui encore, elle est fort embar-es rassée dans les explications qu'elle donne «r- suJet du passage des troupes allemandes par son territoire. Si le gouvernement es hollandais voulait réfléchir et méditer sur ■è- ja façon froide et nette dont sont condui-:e_ tes :es négociations des conditions de l'ar-ie mistice à Spa, il comprendrait peut-être que les alliés ne se contentent plus d'expli-ie cations vagues ou enfantines. Peut-être un at de ces jours, y aura-t-il à La Haye, un tel u_ C0\1P1. e canoiî> que les Jongheers et autres M noDUions germanophiles néerlandais en res. re feront confondus et que le peuple et la .a bourgeoisie réunis se décideront enfin à nalayer cette clique de boches. Sanq doute, ^ alors, verrons-nous plus clair dans les in-[g tentions de nos voisins du Nord. On se demande quelles sommes les Alle-!e mands ont dû dépenser pour arriver mrl-i_ p'é tout à soutenir leur popularité dans la plupart des pays neutres. C'est ainsi ^ qu en Espagne, leur influence y est encore très considérable malgré les victoires déci-e sives de l'Entente. ,n. y h P.eu: de jours, un économiste anglais s écriait : « Le second front des Alliés, c est l'Espagne 1 » Reprenant l'apostrophe, Emmanuel Brousse .député des Py-rénées orientales à la Chambre française, publie dans Je Journal une étude sur l'influence allemande en Espagne. A son avis, le danger do voir l'Espagne complètement soumise à l'influence allemande existe réellement. Il reconnaît quen Catalogne règne un sentiment de • >ve>».table et profonde amitié (pour l'.Ein-tente et y voit la cause des tendances séparatistes des Catalans. Ceux-ci veulent se detacher d'une .masse dont l'esprit et la mentalité sont différents des leurs. Par-tout ailleurs la propagande allemande, approuvée et même encouragée, a porté des | fruits. « Les Allemands, dit Brousse, qui . se sont fixés en Espagne, no font pas de secret pour Hire "qu'elle va devenir la ' meilleure colonie allemande. » Patiemment, les Germains s'instmuent dans la plupart des grandes entreprises • mines, chemins de fer, électricité, métallurgie, etc. Ils parviennent emlevier par-tout les places de directeur, ingénieur, administrateur. Chaque jour grandit en Espagne l'influence lallemande sur le terrain commercial et industriel. C'est'un grand danger contre lequel s'est déjà, élevée la presse indépendante de Madrid Barcelone, Valence et Bil.bao. I.es Alliés feront bien de ne pas perdre de vue cette situation et de prendre au plus tôt des mesures sérieuses pour permettre de tenir tste h cette influence néfaste. Demain il sera trop tard Comme c'est bien la même chose partout et comme partout, chacun s'v laisse prendre. Ce peuple de gens instruits était « f£iratl/1CT le mal. Pour le pro-Jii*I,ieI1?eifîîîaiî Péda!î0S'«Iuoment à do'1? r6 Ilnt,ustr'e, du commerce, de la diplomatie et du journalisme. Nulle SJlo 'v »ne SJT ^"a't moins mi'en quo Notre éducation à net égard était imparfaite. Il appartient à la « Presse « de réparer cette lacune. a M DANS L'iLLEIiESE OCCUPEE " * —«ns-o-ot» . J L'AVANCE DES ARMEES ALLIEES ri Les armées alliées cortinucnt à procrée- « avancent a^ne' ^ troupes britanni^ics « aS r' 7 ont d onv'ron L'5 milles il e 1 Elfcl> vers Cologne et Bonn dont elles sont distantes de 10 milles Elles doivent avoir atteint le Rhin dans À mi S , Sè les 7^1 jours^ Le=°vi 1 les d vallée^de 1 dApas?f Treves et descendent la yanee de la Moselle vers Coblence TU in„l à m oins de 40 milles de cette ville Les Fran I çais ayant occupé l'Alsace-Lorriine prS" d' LES EELGES A DUSSELDOBF ta rie inSS,em °rf' 5', ~ L'isolement de la partie <*, il. / lIe sur la rive gauche du Rhin es> ri très sévèiement maintenu. Les troupes lie)- je ïSLÎ? • . i luiconque de passer les té ponts qui sont barrés par des lils do f»»r Jorbeié. L'hôte! où logent les offiders'bel- £ i » J arboré le pavillon belge. I>es bateaux tic ^ enc,ore sur Je Rhin malgré ju a défense faite, ont été avertis j)ar des Ht :oups de feu qu'ils avaient à s'arrêter. La Chambre syndicale a protesté auprès le le la Commission d armistice allemande i ontre la défense de naviguer sur le Rhin. ' M. Erzberger a télégraphié qu'il propo- de ;t sera Spa une. atténuation à la défense î- communiquer entre les deux rives. e LES ALLEMANDS ONT PEUR DE > L'INVASION i Copenhague, 5 décembre. — D'après i 52£?£ '}nz?l«er, le maréchal Foch a < . donné la fermeture de la frontière ent « j Alsace-Lorrai-ne et l'Allemagne. Les ■t lemands protestent. s Le Vnrwacrts montre des craintes tr - rÀrhSniar S1ïe',,<lu Projet forané par le m l; If S. . h d occuper l'Allemagne entiè " d'7 l?erIm. comme il l'a annon /u « • j?rnier ultimatum, si les claup d- 1 armistice concernant la livraison d e locomotives ne sont n >s exécutées ava ' w» ^ p.lrntlTon' à dire à dix heure ' iï m?!? L"', l°urnal socialiste croit q-le maréchal se prépare ù mettre 6on pr jet à eiécution. t , L'AVANCE DES BELGES «Tl.^iquéude Ia 3e division d'armée ■ 77of.r? 7r,dé.cemljre 1918, en fin de tourné " vhL ^Dlv,aioji de cavalerie arrivée n e Rhin, occupe Neusz et Crefeld ; les têt = frnTit -J?Sne® ^ infanterie ont atteint Anï • ^sscuberg, Baal, Jackerath, Ai r clin incident spécial à signaler. » LES ANGLAIS A COLOGNE w. h n,dï?s'- 7 ^cembre (officiel). — Lo m annonce que les détachemen tod,"(v D.;011' °C0Up' Coloe,le ™ L'AVANCE iDES AMERICAINS Londres, 7 décembre (officiel) — r^n ' contim!éé - La 3e' armée ' h I S fa,rCh?, ™ avant et a attedi ■ nisch V,v.nriakrRuPPeratHl}oos, Kempi : KelîerbacSf Greunerbur,g, Simmen " — Autour de l'Ai mistice Lao^ s-ostitusnt déià Les Allemands eommencen claSset r] îîre Ç°r.5e. Conformément au aux alhés6 l'pmistice ils ont déj:\ rend, clusioîi tfà iU1ias eBfderont jusqu'à la con livres sterlin ' s. ccnte millions d russe r po aTi 6 «toi'trués au Tréso ment' des tré- »restlluenL j°umelle wn é^fi.i. f01;3 d "S, Ceux <léià rendu sont évalués à deux milliards de francs. Los navires turcs .G' ~ L'Amirauté annonce qui rendus d? euerre tu,rcs o»t ét. nïi , , et iIs so,lt mainte tontfnop]* V'tnSenCe™atérraj1emrn! daStVo^emant été livré à Stonfe La flotte russe de la mer N.oiire, à bore du laquelle avaient été placés des écruim-ges allemand®, a été livrée aux Alliés Elle se compose du d.readnougbt «c Volya tex ^rt;;^dre,^de 9 ^s g. i-yu.atle so«s-ïnarfns ont été és-ale- ssis'àri-*"3 LOS vaisuï-s françaises en BeSg;]quo On sait que les Allemands, en prévision c-^n ?eUt/ettraite av,li0"t évacué vers la Boi-g.que toutes les valeurs se trouvant dans banques françaises de la région occu- des soldats français, sous la direction d'un généralVoayeur et, d^fs Prfn. Allemands en civil, procèdent dans diverses banques de la capitale, et notamment au Comptoir «Nationni d'Es-compte de Paris, au Crédit Lyonnais, fi 1 enlevement des nombreuses caisses qui y avaient été déposées par les Allemands vers ia mi-octobre. Les caisses contiennent les coffres-forts et valeurs provenant des -villes du nord de la France : Lillje, Tourcoing, Koubai.x, Valenciennes, St-Quentin, etc. D'autres coffres furent envoyés uar i'ennemi dans les banques de Liège. On dit qu ils contiennent des valeurs pour plusieurs millions. Ces coffres vont également être dirigés sur la France par auto-camions militaires. Ils seront rendus aux établisements financiers auxquels ils appartiennent, ou dirigés sur Paris si ces banques sont détruites. ÉTRANGER —— FRANCS ACCIDENT DE CHEMIN DE FER — L'express d'Orléans est entré en collision prés de la gare de Meung-sur-Loye avec un train de vivres américains. Dn compte, jusqu'à présent, 1Q morts et 25 alessés. Vautres victimes sont encore sous es décombres. ANGLETERRE LA PART DE L'ANGLETERRE Londres, 7. — Le Daily Mail apprend que I. Lloyd Georges annoncera aujourd'hui [ue la Grande-Bretagne et les dominions emanderont à l'Allemagne, comrne argent, .(>00 millions de livres sterling à titre de éparation* L'ABOLITION DE LA CONSCRIPTION Londres, 6. — Dans un discours pronon-3 à Dundee, lord Churchill a déclaré que s représentants anglais à la Conférence e la paix demanderont l'abolition géné-ile de la conscription dans toute l'Europe. ALLEMAGraS .E GOUVERNEMENT CONTRE LE REICHSTAG Berne, 5 décembre. — Le gouvernement empire a adressé àu bureau du Reichs-g le télégramme suivant : « Le gouvernement a décidé de vous char-:r d? ne payer à messieurs les députés s i Reichstag. le 1er décembre 1918, que les tons de présence qui doivent ôtre acquit-3 en cas d'une dissolution du Reichstag er* nieme temps nous vous chargeons de océder au retrait des cartes de circulait sur 1« chemins de fer que possédaient o squ a présent messieurs les députés du ] sichstag. » rl [f:,Prési<lent l'chrenbach a répondu par h télégramme suivant. : i A la direction de l'empire, à Berlin. u > Lette ordonnance est illégale Le droit s libre parcours est garanti par la loi du 13 de 22 juillet 1018 pour toute la durée de 1: Période législative. Or celle-ci dure encore . Le paiement des jetons de présence ne doii pas dépendre d une dissolution fictive di: Keichstag ; lo Reichstag n'est pas dissous le ot Je Proteste en son nom contre l'illégalité ,r- 3ui est commise. ro r, " i'° fouvern°ment n'a pas le droit de j. donner des ordres au bureau du Reiohstae et je défends au bureau d'obéir au décrel ès en question, » a- re L'ALLEMAGNE PEUT PAYEB oth°?rTaS' ~ L,° Dail" !>'ail Publie des ea statistiques démontrant que la richesse de :[ Allemagne avant la guerre prouve qu'elle g, I>ou.rra payer, car les dommages qu'elle a ^ subis sont minimes. 0- . Ij?3 systèmes ferroviaires, les forêts el e3 terrains représentent une somme de 5(J milliards. D'après une évaluation modeste, la valeur des^dépôts de minerais dépasse 4 tril-• lions 7i:i milliards, et si les dépenses de guerre des alliés se montent 625 milliards, on voit que cela ne représente que la sep-£ tieme partie du capital allemand. Selon M. Ilelfferich, l'Allemagne épargnait annuellement 12 milliards 500 millions.LA SITUATION ALIMENTAIRE iDe Zurich. — Tandis que les autorités £ allemandes s'empressent d'étaler aux yeux clep missions de Croix Rouge et des journalistes étrangers la misère du Peuple allemand, l on apprend qu'à Ratisbonne, le bourgmestre a décrété la suppression des 1- semaines sans viande. A Essen, dps arri-a vages.de graisse et de viande ont été éga-Lt lement annoncés. En réalité, il n'y a au-;- cuno .crise d'approvisionnement en Alle- magne. 7,i-w,-^ont™i,re'7,i1 Lhem° actuelle la population civile bénéficie de ia distribution . des stocks accumulés pour l'armée en vue de la campagne d'hiver. Quant aux céréa-les, il y en a. une provision suffisante nour aller jusqu au printemps. Les seules difficultés viennent d'une crise de main-d'œu- r,X?™-CoIe,pi'ovof'llée nilr le départ des prisonniers ,1e guerre. Mais, étant donné t ;a„n7lamv œuv.ï 1U0 10 démobilisation va rendre disponible, la prétendue crise ali-1 ïïf allemande se réduit à un pro blème d'organisation. r ESPAGNE ; LE NOUVEAU MINISTERE ESPAGNOL 7 ^«pbre- — Le nouveau ca-mnet est constitué comme suit : Président du conseil et affaires étrangères : M. Ro-manonès ; guerre : M. Perenguer ; ma-: t'^:3 ™ac?.n :,.,u»«ce ■ M. IloseUe ; ■ ^1- Contma : Inisfcruetion : M Galmtella ; Finanees : M. Calbeten ; fn-térieur r-M Amalie Dimano ; Ravitaillement : M. Argente. TURQUIE LE SORT DES LEADERS DES JEÛNES TURCS nnn?nueriîe' 1~ A P''°P°s de la prétendue nouvelle de 1 arrestation de Talaat Pacha, er Pacha et d'autres personnalités tur- SSrtuH tBerlin'la "Gazette de m!L % d^cIare. dans les milieux autorisés S?6 i .a™bassi;tle de Turquie a bien demandé 1 arrestation de Talaat Pacha pour ?roVt"mes,poli i<Iues, mais un traité d'ex-tradiUon n existant pas entre l'Allemagne nrri ♦ on matière politique, cette mem'aljemand refUSée ^ 'e l'^ba^arifha' ?-fPrc>r?ar.t la démarche de déclare qu'il avait quitté Ja iurquie pour ne pas gêner le nouvpn.11 gouvernement mai, qu'il" étaft prêt à ?e tourner à. Constantinople dès mie les trains pour 1 Orient seraient rétablis. il« «ïï? ^ Enver Pflcha et Charkri Pacha, ils ne se trouvent pas en Allemagne. » ETATE-U^SS AU SENAT; AMEItlCAIN it^nf,!t«n?rt0"' 5' ~ La discussion sur les oiLvw*tl r programme de M. Wiison est ouverte. Le senateur Kralinghuysen, répu- niîhS 1"VI,f M', ^Vilso» » se prononcer Pn ^ aj- sur principes qui se prêtent a diverses interprétations, déclarant que le Président ne devrait pas faire de proposition définitive avant qu'il ait la cer-titude que le peuple s y associe, /.«if -S Î^l1* républicain Ivriox, ancien secrétaire d Etat, a déposé une résolution proposant la remise jusqu'après la Conférence de la paix, des questions concernant la constitution de la Société des Nations ainsi que tout changement radical dans les anciennes lois internationales régissant la liberté des mers. La résolution déposée par le sénateur Knox prévoit également le retrait immédiat i des forces expéditionnaires américaines de , 1 armée et de la flotte et l'abolition des pou-voirs présidentiels pendant la guerre dè£ que l'ennemi aura satisfait aux conditions l3 de 1 armistice. ~ s La résolution a été renvoyée sans discus- ^ sion a la commission des Affaires étrangères. n Le sénateur républicain Sherman propo- a sa de declarer vacant le siège présidentiel Bar suite du départ de M. Wiison. ? Sherman, après avoir reçu l'assenti-ment du Sénat, en critiquant la voie sui- S; vie par M. 'Wiison, déclara que le voyage ' du Président n'est, pas justifié et pourrait „ ctre néfaste. Il insista sut le fait que le de- ? paçt du Président suspend le pouvoir légis- a [■atif du Congrès. A la Chambre des Repré- n-jentants, les leaders républicains ne feront »( "ien pour créer des difficultés au Président £ Le sénateur démocrate Williams, répon- " tant a M. Sherman fit remarquer que MM. joosevelt et Taft avaient franchi les fron-îeres du pays alors qu'ils étaient prési- Z lents. M. Will'ams dit que M. Wiison dé- rn irait avoir des conversations franches et ri a .incères avec MM. I.loyd George, CJémen- iiP eau et les autres premiers ministres al-'es M. Williams ajouta que la victoire ré- Ls ^uhlicaine aux élections démontre simnle- i ient que le peuple croyait que les répuibli- ■ d't ams accorderaient, mieux que les démo- pl0 rates, leur appui aux efforts de M. Wil- réi on pour continuer la guerre. ja CHINE un LA CHINE SE FACHE Londres, 5. — L'Agence Reuter annonce rci ue le gouvernement chinois a adressé fi sul i Hollande une note dans laquelle il lui ont emande de rappeler le ministre de I-Iol- ' u> m de à Pékin. Jj'a, Selon des rapports reçus, ' il existerait ne forte friction entre lo gouvernement i fc Lamois 'et le représentant hollandais à L angkok. guc ËÉ555555B5ÉËI ——■ Dernières Nouvelles dos Journaux LES AVIONS ALLEMANDS Londres, 7 décembre. — L'Agence Reoi-aPPren<i de source officielle. que les tOOO avions qiue les Allemainds devaient livrer en exécution des clauses de l'armis-* ri® ,seron^ bientôt tous entre les mains des Alliés. En tout, ajoute .Reuter, l'Allemagne a perdu beaucoup plus de 6000 avîions depuis le .1er janvier 1918. Les Alliés en ont perdu beaucoup moins et jouissent maintenant d'une immense supériorité aérienne. (V. D.) LA QUESTION HOLLANDO-BELGE Amsterdam, 7. — Au sujet de la campagne menée par la presse étrangère con-tre xes Pays-Bas, le journal JDc Telcgraaf, ci Amsterdam, s'est adiressé au baron Fal-lon ministre de Belgique à La Haye, afin de lui demander son avis au sujet des relations entre les Pays-Bas et la Belgique. Le baron Fallon déclara : « Je puis vous assurer que les irelations entre 'nos deux pays sont aussi bonnes que précédemment. Le gouvernement belge est animé des meilleures intentions et tient à conserver et à étendre les liens d'amitié qui nous unissent. Le ministre confirma cependant que lie passage des troupes allemandes par le Lim-bourg avaient fait à la Belgique et aux Alliés une mauvaise impression. Le baron Fallon exprima son espoir qu'après la guerre les relations économiques entre Ja Belgique et les Pays-Bas se développeraient énergiquernent. Au sujet de la motion du cercle maritime de Bruxelles qui formule des exigences annexionnistes, l'ambassadeur déclara n'avoir appris cette affaire que par les journaux. Ce Cercle qui ne porte pas le moindre caractère officiel était inconnu à l'ambassadeur. (V. D.). LA QUESTION DES PRISONNIERS Berlin, 7 décembre. — A la sous-commission d'armistice pour les prisonniers de guerre, les Français proposèrent d'accorder plus de liberté aux prisonniers en Allemagne. Les délégués allemands demandèrent alors une mesure identique à l'égard des prisonniers qui se trouvent dans les pays de l'Entante. Cela fut immédiatement refusé parce que le traité d'armistice ne' stipule rien à ce sujet. Les délégués allemands rappelèrent les pourparlers qui ont eu lieu à Berne. Lors de cc<s pourparlers, les Français demandèrent des adoucissements crue les Allemands accordèrent. Les Allemands rappelèrent leur attitude passée et demandèrent qu'on leur fasse également des concessions. us ajoutèrent que le gouvernement allemand faisait tout son possible nour assurer le rapatriement des prisonniers, mais il dst impossible d'en rapatrier 800.000 en quelques jours. Le Président français répéta que le traité d'armistice ne contenait rien ou sfïjet des prisonniers allomand's dans les pays de l'Entente, et il ajouta que la commission qui se réunira le 12 et le 13 décembre à Trêves, pour examiner la question de la prolongation de l'armistice, pourrait s'occuper du traitement des prisonniers de guerre allemands. (V. D.) LE PASSAGE DES ALLEMANDS DANS LE LIMBOURG HOLLANDAIS Artsterdiam. 7 décembre. — Le M a an b ode apprend de Bruxelles à la date du 7 courant : Le Stanctart apprend, de source bien informée, eue le Ministre néerlandais des affaires étrangères. J. Van Karnobeeck. va démissionner à la suite des difficultés provoquées par le passago des troupeis allemandes par le Limbourg. Le Maasbodc reproduit cette nouvelle sons toutes réserves. (V. D.) CWJpm— «D I EN BELGIQUE L'Ordro do 1 Tcor On affirme que le roi des Belges a l'intention de créer un nouvel ordre militaire dont le titre parle par lui-même ; 1' « Ordre de l'Yiser ». Le premier titulaire <en sera le maréchal Foch, et le roi se propose également id'en (conférer }es insignes au maréchal French et à l'amiral Ronarc'h, qui commandait, en 1014, comme capitaine de ; vaisseau, nos héroïques fusiLiers-marins : pendant la bataille de l'Yser. Conseil© consulta.tîr3 Voici le texte de l'arrêté royal instituant 1 as Conseils consultatifs dont nous avons , arlé : t Art. 1er. Il peut être créé, auprès de cha- 1 ue département ministériel, un ou plu-ieurs conseils consultatifs de trois mem- J res au moin®. Ar. 2. Les mem/bres de ces conseils sont .J ommés par le Roi, pour un terme de trois ns. Ils portent le titre de conseils de gouver- J' binent. Ils se réunissent à la demande du inistre. Ils donnent, collectivement ou in- ^ .visuellement, leuir avis sur les projets de is, d'arrêtés ou de règlements qui leur ;■ »nt soumis et, d'une manière générale, J ir toutes les questions qui sont renvoyées fi leur examen. ^ Art. 3. Les fonctions de conseiller de di Duvernement pont incompatibles avec lies de membres de l'une ou cto l'autre s deux Chambres. Elles n'entraînent au- ni ne autre incompatibilité. Art. i. Les conseillers de gouvernement d; Hissent, d'une indemnité annuelle de 6.0C0 ie mes,, h charge du budget du départent auquel ils sont attachés. Les autres le; penses auxquelles le conseil peut donner u sont aussi prélovées sur ce budget. le, ta l réponse au discours, du Trcno -a Commission parlementaire chargée lo; laborer la réponse de la Chambre des ! présentants au discours du Trône s'est ou mie mercredi et jeudi après-midi. Dans première de ces réunions, on s'est borné faj les échanges de vues, d'où se dégageait évident désir d'union. M. du Bus de d'i rnàffe a été désigné pour préparer un de, mort, qui a été discuté jeudi. Quelques mt ?uricti)>ns proposées d'abord quant au tir> fage universel et à la liberté syndicale I été repoussées, et c"«est finalement h êtr îanimité que la Commission s'est mise dâ' -cord sur un texte définitif. noi iert du gréméral Victor Michel sai e général Michel, ancien ministre de la an rre, vient do mourir à Bruxelles. I Lo rateiior aktiviste , 'Du « Peuple » ; un do 1108 Ministères, on vient df âié fLXr' !1>armi les dossiori £,ch® ou S& anoué°sC,an0nlS leurs S. aUx activistés flamands pai ce>î? m?f,™efnt 0nt 'permis d'étn-aux toltrrâ sir '6 fra!'Cs fur«'t versé! ^■'sonnioi-a îa!îs par ,e> Belgos ■o ® sePte/f9]r^"rkv?(depui! as; %ss Hommôgo mârltâ .ont de^p^liésfranrtémoTgn?,. lièrement rendire' ZmZT- J't PatïïoTque ™ iïïïfâ* s'esAdressée'ÏSf a étisi «mouvante, rie rte eonfVeS^r^fl de 19Iy' ""c térature HttiSSi.'SjSai'gg» Is seurs s'est déclarée heureuse 1 ^pr°',°s" au publie rnnriio , de Presenter dea hommesÏÏ L? ^Qflt «nommé, un ment la protSaf?on triotis^ beto "°ntde, '1» pa- violence. ''"mmation de L© rapatriement cs«e prieonsiiora ot ira-ruines Sans'l^'ZSe^ ^ ganiséUrégul1ièremmtement ttl' pu 6tl'e or' Les maesacree do Dlir.ant f 'cpUnTtkC7Sé°r,r cités Site1pfftSkules atr° lors de leur entrée dans la vilb pour étre^remises^^la no mande. En voici le texte .p0pulat'on all<>-et'^f S3 LA MTIÛM BES LOYEgs"* 10 «u projet LeslCtrih?,^rincipales dispositifs : ment dos loyers arMérS^^amaeront ou paie-ciu solde imparé di, i,[ , C0Uciinvsice «chus, si iS Sui ™tlapJU0ltlé, KW.rs i août 191i. conclus avan« le paiement°soft de taf" totalit? d®damn6 aa soit d'une ouofiti =,,, ] • 0 8a detto,. si le bailleur prouve uut'iibi ù la "loiti(5 preneur lui pcrmettLèni /°SE0,"rces dla ou lui permettent Ia ffuerr« s'acquitter de la-totalité <te« i raction' 0UIcsUtrrîbrPtilé M^moitié ie la o ^;féa%'° Wer ne>r°r,t aU 'iai<>ment -vont été 'Uis&fet!%^ mentPd'ùnte^omMeZfnS'îtlamn'5 <IU'a" p'"!<y ^es lu y ers dus en vertu d'un {5n 1" «vaut le 4 août ^&t^CaeeUéWn,0difl6 Par Les preuves à iournir seront faites nnr Mp1isde droit' ,émoins et Le juge pourra imposer au preneur la ouŒndedttallIte de 1,6tat d« Bes ri-e la lueni J ! f^ges pendant le cours ■?« • -la-date de l'action. En ce 'avait'ei^Tn^ffirmera sous serment qu'il avait et n a pas d'autros ressources le J"1 £?fusera taire la déclara-on ou de prêter le serment pourra être, etteî™ aU paiement de la totalité de sa» Le preneur coupable de fausse aéclara, ""sif'moïff""5.4 uu emprisonnemeTt l /! I n™ <r0is ans- et à une amefa'de itratrint ft'ancf- Cetto condauinat'j0n •;t, f'Iïra de -Plein droit la déchéance des Jlais de paiement. actk,ns ™ Paiement des loyers ne ront pa^ reçues en justice si le loyer an îel ne dépasse pas : ' (X/0 francs pour les immeui>'16q situéa ns 1 agglomération bruxelloise L ï communes de plus de lOO.OO-j haMtaiit, 400 francs pour les immeubles i communes de =0.000 à 100 (X)0 habitant^ 300 franos pour les immeu bles situél^ ' ^communes de moins de'Io^S fe iffsssx SWSS» •• V été retenu sous les drr neànv t prisonnier de guerre t8rni5 °u \ été, de la part de l'ennemi me mesure le privant de S/ obJet i motifs d'ordre niilitaire i, f-'.pour a3de°c'?tm<mt P0vv la durée de °l'eS' ado .cette mosure. eitcu f de' cette disposition pourra, e invoqué par le conjoint, les desrpn-ts ascendants, frères et sœurs du pre--ni nSC Ve- -',alt Icur soutien et si ha-^ S a ' ont continué la jouis Station,9 ^ dé°èS' Sm départ e preneur ou sas héritiers seront ertn..

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Anvers van 1832 tot 1940.

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