L'écho de Bruxelles: pour le bien être général

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14 oktober 1914
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s.n. 1914, 14 Oktober. L'écho de Bruxelles: pour le bien être général. Geraadpleegd op 02 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/fj29883k1r/
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L'ECHO DE BRUXELLES POUB LE BIEN ÊTBE GÉNÉRAL Les Nouvelles de la Guerre LA REDDITION D'ANVERS Bombardement d'Anvers - La panique -Anvers évacué par les troupes - Entrée des Allemands - Navires allemands cou-lés dans le port par les Anglais. DERNIÈRE MEURE Il n'y a que peu de détails des opérations militaires qui ont précédé immédiatement rentrée des Allemands à Anvers. L'état-major belge a encore fait détruire les magnifiques ponts de Boom et de Tamise. Nous avons déjà signalé cette rage de destruction qui n'a vraiment servi à rien. Il n'a été coulé, par les, Anglais que quelques navires, à l'encontre du chiffre 32, avancé par les journaux allemands. Dans quelques navires les machineries seules ont été détruites. On proteste vivement contre l'intention qu'aurait !'état-major de diriger nos troupes, retirées d'Anvers, en France ou en Angleterre. Le public commence à trouver que la Belgique a fait assez si pas trop, et qu'il est inadmissible que nos fils et nos frères aillent se battre au loin pour une cause qui n'est pas la nôtre. On trouve que la dernière décision devrait appartenir au Boi qui a conseillé la cessation de la lutte et tout homme raisonnable se rangera à son avis. Il est temps que la paix revienne en Belgique! Les nouvelles que nous recevons d'Anvers sont effroyables. La population était redevenue assez calme après la première panique, lorsque le commandant général déclara que " tous ceux qui veulent sauver leur vie, se sauvent „. Alors ce fut une course folle vers l'Escaut, les gares et surtout les chaussées vers la Hollande. D'après les journaux hollandais, 200 mille fuyards se trouvaient de mercredi à jeudi entre la ville et la frontière hollandaise.C'est le mercredi matin que le parlementaire allemand se présenta avec drapeau blanc pour demander la reddition ou signifier le bombardement. Le roi Albert voulut rendre la ville, mais la délégation anglaise dans Tétat-major fit prévaloir le refus. Le bombardement commença dans la nuit. " Les Zeppelins se joignirent à l'artillerie et l'on assista à des scènes d'horreur sans précédents dans l'histoire. Pendant ce temps l'armée se retira en Flandre par le pont de bateaux lancé sur le fleuve. L'état-major fit incendier les tanks à pétrole et la lueur sinistre de ce grand incendie joint au feu qui avait éclaté sur quelques points fit croire que toute la ville était en flammes. L'attaque d'Anvers a duré du 28 septembre au 9 octobre donc exactement 12 jours. OFFICIEL. — Tous les forts d'Anvers des deux rives ont capitulé, Dimanche matin sans conditions. De source privée, généralement bien informée, on dit que les troupes qui se sont rendues dans les divers forts se montent à 56.000 hommes. Le restant de l'armée s'est retiré dans les Flandres. LA REDDITION D'ANVERS L'armée Allemande est entrée à Anvers, voilà la nouvelle qui commença à se répandre à Bruxelles, Vendredi vers la soirée. Samedi matin, la nouvelle était confirmée par les autorités allemandes et le midi fut affichée le communiqué laconique suivant : Bruxelles, 10 octobre. Les troupes allemandes sont entrées à Anvers, hier à midi. Le Gouvernement Militaire Allemand. C'était à peu près tout ce qu'on pouvait savoir de cet événement si important et si tragique dans l'histoire de notre pays. A Anvers le commandant en chef de l'armée assiégeante, von Beseler a fait afficher la proclamation suivante : HABITANTS D'ANVERS, L'armée allemande entre victorieusement dans votre ville. On ne fera de mal à aucun de vos concitoyens et on respectera vos biens, si vous ne commettez aucun acte d'hostilité. Toute résistance sera punie conformément à la loi martiale et peut avoir pour conséquence la destruction de votre belle ville. Le Bombardement. Le bombardement d'Anvers était devenu une chose certaine dès qu'était confirmée la nouvelle de la prise de Heyst-op-den-Berg. De cette hauteur, la réduction du fort de Lierre, surtout avec la grosse artillerie allemande, n'était qu'une question d'heures. Lierre et Koningshoyckt furent bientôt réduits au silence. La ville de Lierre fut ensuite occupée et, comme nous l'avions fait prévoir, de là le feu allemand pouvait atteindre facilement les faubourgs d'Anvers. C'est ce qui a eu lieu pendant que successivement d'autres forts furent réduits au silence. Avant de commencer le bombardement, le général von Beseler, se conformant à l'art. 26 de la convention internationale de La Haie, avait par l'intermédiaire des représentants des Etats neutres à Bruxelles, averti les autorités d'Anvers pour l'évacuation éventuelle de la ville par les femmes et les enfants.Nous avons décrit dans notre dernier numéro la panique qui s'était emparée de la population à l'approche du bruit de la canonnade. Quand tombèrent enfin également à Anvers les illusions entretenues par un système savamment combiné de nouvelles fausses et d'excitations aveugles, quand les premiers obus commencèrent à tomber à Mortsel, puis à Berchem, la panique et l'affolement furent indescriptibles.A Anvers, comme à Bruxelles au mois d'Août, on avait éventré les rues et élevé partout des barricades. Ces précautions peu sérieuses contribuèrent à faire paraître plus terrible encore le spectre d'un combat dans les rues. L'Etat-Major avait convié la population civile à sortir de la ville annonçant que la lutte serait continuée à outrance, Par les bassins, la chaussée d'Eeckeren et de Bréda des fouies immenses sortirent affolées de la ville. A la gare centrale la cohue fut indescriptible. Le grand hall retentit des cris désespérés des femmes et enfants abandonnés à leur sort, ou séparés par la poussée ou les événements antérieurs.Bientôt la ligne de ceinture ayant été atteinte par des obus, il ne restait pour ceux qui voulaient gagner la Hollande par rail, qu'à se rendre à Eeckeren ou Kapelien. Dans i'armée un découragement insurmontable s'était emparé des soldats qui avaient tenu bon jusque là. Chez les commandants de tout grade ce découragement était devenu de la prostration.L'entrée des Allemands. Quand Vendredi midi, la cavalerie allemande entra dans la ville, i'armée anglo-belge s'était retirée sans combat, on ne sait dans quelle direction. La nouvelle que la lutte suprême dans les rues n'a pas eu lieu, a été accueillie à Bruxelles par un soupir général de soulagement. Dans la nombreuse colonie anver-soise de la capitale, nous avons vu des scènes d'autant plus émouvantes que la perspective d'une résistance désespérée, annoncée par un état-major opiniâtre et inconscient dès le début de la guerre de la force des adversaires, d'une fusillade ou d'une canonnade dans les rues et d'un embrasement général d'Anvers, avait pesé comme un cauchemar sur tous les cœurs. 1" ANNÉE — N° 6 LE NUMÉRO : 10 Centimes DU 14 AU 16 OCTOBRE 1914.

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Dit item is een uitgave in de reeks L'écho de Bruxelles: pour le bien être général behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in - van 1914 tot onbepaald.

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