Mardi 2-Mercredi 3 Janvier 1917 JOURNAL QUOTIDIEN - Le ÏÏziméro ': 10 Centimes » 4* Année? —' Nd 767 LABELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS i mois (janvier), fr. 2.55 | 2 mois (jauvier-févri.r), fr. 5.10 ADMINISTRATION ET RÉDACTION a™" cV" " * 3 mois (janvier-février-mars), fr. 7.65 S4' Montagne-»ux-Herbes-2*otuyères, BnUXEZjI,E3 ' , ' ®» annonces . . _ i.2a Us demandes d-.bonn.rnom «ont r.çue, BUBEAUX , DE 9 fc 17 HEURES PRIX DES ANNONCES MU I ! X ! I - ïw exclusivement jos> R/jORESSÈE, DIRECTEUR Micrologie . .. ^ 2.50 par "s huroau* «* 183 'acteurs des poste. Coill de3 ; _ 1-03 ./Aujourd'hui : SIX page U GUERRE 883 et 834es jours de guei Les armées von Mackensen ont eu gagné d'u terrain. Tandis que dans la, UroLwisciia les Centraux pressaient de ] en pins étroitement les Kusses dans La do îront do Macin, en face de Brada, l méo du Danube, faisant un bond en as entre la iBuzeu et le Danube, a refoulé adversaires jusque dans la place de lira lettre le Buzeu et l«s montagnes, IXe armé© austro-allemande s'est, en ou avancée vers le nord' : aux dernières r velles, eha s'est établie des doux eûtes la voie ferrie, à mi-chemin entre Romr et Focsani. Enfin, l'aile méridionale armées de l'archiduc Josopùi appuie flanc, avec une vigueur redoublée, l'ofl sive g«t*srale des armées von Maekenî Cette aile s-avance vers l'est etn iivi des combats» acharnés' dons les vais d'O I de Putna, do Naruja et de Zabala. Bref, le théâtre des> opérations s'appro tous les jours davantage du cours infîéri de la SerKh, les Russes pressiés de toi parles continu»! ut, en bon ordre et en déf dant le terrain pied à pied, à battre em traite sur la ligne fortifiée Focsani-Gak La réponse des Alliés à !a note des Puissances Central Paris, 31 décembre : M. Aristide Briand, ministre des affai étrangères, a transmis samedi soir, au n. des gouvernements alliés, la. note suiva à Son Excellence M. W. Grave* Shai ambassadeur das Etats-Unis : —• Fidèles à Vengageinant qu'ils ont p db no pavS déposer isolément ies aimes, gouvernements alliés pour la .I fense de liberté des peuples db lai "Belgique, ce France, de la Grande-Bretagne, de 1?Ita] aa Japon-, d'u MonjfénCgro, du Portugal, la. Roumanie, de la Russie et do la Ser'c ont dé idé de répondre eu commun aux s disant propositions de paix que les gouv nain au ts ennemis leur ont adressées par 1 terni'iiaire des Etats-Unis, de l'Espagne, la Suisse et des Pays-Bas. Vvanfl. do répondre à. ces proposi ions, 1 Alliés j o .t opportun de protester hau ment contre les deux déclarations essenti les do la noie des Puissances ennemi* oni tàafca d'andosser amx Alliés la respons lîiliké die La guerre et proclame la victoi des Puissances centrales. Les Alliés ne pc vt J admettre une telle affirmation qui r dbrJulemouit. inexacte et qui suffit à el se-.ilej à condamner à la stérilité touta tle tative de pourparlers. Les nations allié supportent depuis trente mois le poidjs d u guen** qu'elles ont tout fait pour éviter- Eil] ont ebanentrô par des actes leur amour la paiv, eù ret ameur do la paix sutei? aujoure?hui cho/. elles aussi fortement qu'< 1914. Toutefois, l'Allemagne ayant violé s engagements, la- paix troublée ne peut Si reconstruite sur la foi en sa parole. Ui offre d'ouverture de pourparlers de pa sans con/iifcious nresfc pas une offre de pai La prétendue proposition dépourvue « toute valeur réelle et de toute précision qu mise en- circulation le gouvernement imp rial ressemble moins à une manaïuvre < paix qu'à une manœuvre de guerre. El est bas'o sur une méconnaissance- System tique du caractère de la lutte dans lé pas» dans le prison tl et dans l'avenir. En- 03 qui concerne le pass'>, la jio'e a lemande passe oiutre aux ta.ta, auix actes nux chiffres qui montrent que la guerre été voulue, provoquée et déclarée par l'A leiuugn© et 1 ' A u fcr iche-Hongrie• A La Ilav ce fut» le d#,lôg<uri allemand1 qui refusa 00 adhésion à toutes les propositions visant u d^«inr.€i.i:erL>: En^ jnillet 1914, ce fut l'Ai tricLc-Hongrie qui, après avoir adressé à I Serbie un ult niatuan inacceptable, I114 <L dira la guerre bien qu'elle eût obtenu s; tir,fiction immédiate. A ce moment, le Puissances centrales repoussèrent toutes L tentatives faites .par l'Entente eni vue C Joniner uno solution pacifique à ce confl local. L'offre anglaise Ce réunir une eau léreaco, La proposition française de eon-i U.cir uaio commission internationale, la dé marche de l'F.japeiear de Russie invitan I Empereur allemand à inaiiiuer un tribuma :1 arbitrage, l'accordl déjà interveniu entre 1 R.u&>.o et rAutrichc-Ilongr e à la veille d jonflit — toutes ces invitations*l'Allemaon 'es a 1 lissées sans répons^ à toutes ce )îfres elle m'a pas domiô de Suite. La Bel çi'que a été envahie par un Empiio (,u ivait garanti la neutralité belge, qui n : lus craint de traiter de „chiffon die papier5 es traits reconnus par lui et d'invcxpi? .'adage j NéeessitA ue connaît pas do loi. En ce qui concerne le présent, la lisant offre des Allemands se basa uni ,carta do iruerre'' de l'Europe quin^^iu.i' [u'un tableau apparent, extérieur et passa ;er de la situation, qui n'ex'prime i>as h orée réelle de leurs adversaires. Un trait; le paix qui aurait cette offre pour point d, tepart serait conclu exclusivement '1 L'avan 1." des assai.lants qui, après avoir crt u ils pourraient atteindre leur but en deu> lois sont, obligés da reconnaître aujourd'hui près deux ans, qu ils ne l'ai teindront! ja îais. En ce qui regarde l'avenir, les ruir--ré<r* Par la déclaration de guerre allemande, les nombreux attentats commis nai Allemagne et ses Alliés dont de<s hel'.i'^. ants et des neutres ont cté victime# oxi ■ent nés sanctions, tfes répirationK et dea arande-s. L Allemagne esquive les mies et 39 autres. En réalité, l'ouverture faite par «s T'ui.ssonces centrales n^sb autre chose u une tentative destinée à provoquer un ïviroment, et à forcer finalement le monde accepter une paix allemande. Son but était d'inquiéter l'opinion pu-Uque dans les pays des Alliés. Mais cette iumon, malgré tous les sacrifices qu'elle a )nsentis dé}:\, y a répoiuTu aussitôt avec ie résolution digne d'admiration et, a dé-asqu<^ le vij0 des déclarations ennemies, a note veut aussi fortifier l'opinion publi que en Ailamagne et dans les pa^s dj ; AlliAs, aù. los peuples sont diéj.i fortenu éprouvés par les pert^ subies et les r trio'ions économie ues imposées et» où voient la situation s'aggraver encore) pai ijUiprOuTo eft'oTt qu'on y exige des popu tions. L'offre cherche, en outre, à égarer à intimider l'opimon publiquo dans pays neutres qui sont depuis loiijçteni éclairés à l'endroit de la responsabilité i tialci. L'opinion publique dans les pa neutres est trop clairvoyante pour saorit la défense des libertés humaines au pre des intentions de l'Allemagne. Finalement, l'offro des l^uiséances c* ti-alea cherckei à justifier par avance ai yeux du monde de nom eaux crimes: agri siens de so-as-marins, orgam&itioni d'u 'U vaâl forcé et du recrutement forcé da ne combattants contre leur propre pays, vio] tion do territoires neutres. En pleine connaissance do La gravité de la responsabilité de l'heare, les giouv! n ornent.si alliés refusent, en- cela absoinme d'accord avec leurs peuples, de faire ét d'une proposition qui manqua cet s'ncéri et do valeur. Ils répètent une fois do pl qu'aucune paix no sera possi' i'e aucsi lôn tomps que ne seront pas assurés le ix't l lissemonb des droits et des libertés viole la reconnaissance du prinsip-3 d s nation lités et de la libre evisten-e d'O s peti E tilts, aussi longtemps que ne sera pas ii staurée une réglementation capable de fou nir d'efficaces garanties pour la sécuri du monde. En termibant, les Puissance» alliées a tachent ('{u prix aux considérations suivai tes, qui sont de nature à mettre eni lumiè: la situation spéciale de la iJ^elgiquo apn deux ans et demi do guerre. Sur la ba de traits in^emutionauix qui ont été si^n< par cinq grandes puissances euiropécni.e parmi lesquelles l'AHeimagne, La Èelgiqi jouissait avant Li guerre d'une si tua tic spéciale, de par le droit des Etats qui dr cLarait son tarritoiro inviolable et la me tait, en cas de con/life européen, souslapn toctibu die la signature des Puissance Néanmoins la 'Belgique a éié le promit pays à sciuffiâr de l'agression de FAlh majgaio : par suile, le gouverneanenti be^ estime nécessaire d'exposer avec plus de cision lo but que la Belgique a toujoui poursuiivi en combattant aux Cités dw l'Er tente. Pour la cause ôtu droit et de la jus tice, la Belgique a tau jours rempli cor sciencieusemeut les devoirs (pie lui îlnposu sa neutralité. Elle a pris les aimes pou iéfvMidre son indépendance et sa neutralit violées par l'Allomagre et lesier ficL'lo -es en^ragements internationaux. Le Clian -elier de l'Empire a reconnu ReicTiatiiy 0 4 août 1914, que l'agression, de l'Aile na.gne ét)iit une violation du d^oit de ?ons et s'est engagé au nom de l'Aile nagne à répai*er le tort qu'elle causerait Depuis d'eux ans et deani, cette iivjustic l'a fait) q t. s'accroître chaque jour en rai sa fia métliodts de pierre et d'occapaltiami qu >nt épuisé las lessourcea du pays, rain ;es in liastries1, . détruit ses villes et sa ila^es, miDltiplié les massacres, leà o\<-cu ions et les eniprisonneanents : au nio ncftif mémo où l'Allemagne parle eî-a pai: t d'humanité, elle décrie piir milliers le itoyens belges et les livre à TesoLivage Vvanfc la guerre, la Belgique no demandai ;i?m arjtro que ^entretenir de bonnes rela ions avec tous se* voisins. Son Roi et s n ■ouvornoment no# réclament que 1e rîtaJsUs em^nt die la pai^ et du droit, mais ils m oulent qu'urne piaix assurant à lour pays idur l'avenir, des réparations équitables, des aranties et des sécurités." N1. da la R. — Le texte ci-dessu*, trins nis par l'Agence ITavas, pouvant contenir Çcii erroars de transmissions une apprécia-ion définitive de la réponse de l'Ejntentc i'oit (Kre î+îservéo jusqu'à la publication du exte officiel. GUERRE OU PAIX? Amsterdam, 1er janvier : La r.o'e de réponse des Alliés à l'offpo do aix allomatKfo n'a pas produit une grande n pression à Amsterdam. Après les déclara, ous (ifi'icielles faites dans les capitales aes ays ^0 l'Entente et (Lins- ses journaux, ou attendait à une note beaucoup plus dure, a réponse des Alliés reproduit 1 s repro-les déjà faits aux Puissances eeatraks o*, ins constituer un refus formel, elle ea a jpandjant bien l'allure. A Amsterdam, on étonne surtout des longue? déclarations au ijeb do la Belgique, non pas- particulièie-ent à leur teneur, mais bien jvucji <im on croit que tout co passage a s tu1 tout ^ur but d-'impressionner les neutres qui. s la parincipe, sa sont occupés saieus> ent cJu sort de la Belgique et pour enn i-o-xlancer L'im^ession favorable que l'offre 1 paLx allemand avait produile. .Si l'on ne at'onft pas à une paix rapide, on en.visa<ge lîeudant aujourd'hui l'avenir avec un peu us de confiai:ce. Lo ,,Vaderiand", de son oôfc', écrit : ~~7 ^ perte est et resto ou^r'e aux né-»ciations."♦ Copenhague, 2 janvier : A.u ^ours d'un- dinêr de Nouvol-iAn, lo 1 Christian a prononcé Un dUcours: il a t. ontra autres : •— T'our la troisième fois, nous célébrons Nouvel-An au milieu do la guerre mon-ik). Je suis rempli do (riatesse do voir c les événement! malheureux qui so jma. H à l'etrarugex aient aussi laissé des tra- - profondes au Danemark. TouteroU,nou« voua nous féliciter d'avoir été i r&erv. s i 1 guerre et espérer eue lo gcriuo de !x Qui a été semé fructifiera.'' l o i!, i .1 ensuite exprimé l'eSp ir ouo la ix conimuera à être (,-artV'o a„ pa,, s ot ■ ! >->Dieu protège le Oane-•Stockhom, 2 janvier : Commentant fa note de réponse de l'Enw île a 1 «ffre eTo paix eTes Puissances Cein-,,Nîy<? r>a^li?t Allehandri" a.yant Piialo pno récente cfr^claration de M. Ro-z Kjeïlen qui disait que l'attitude do av.en te était contrairo ;\ toute raison efi ofjpositioni avec des faits clairement déL mtrés, ajoute : — Ln ce qui concerne la rupture du «te qui la liait vis-à-\is de la Belgûfuv. rAliamagno 1 a reconnue en déclara c'était un acto do défense légitime, cusatious qui servent do base auj: sances do l'Entente pour refuser . ment do soumettre mOma à un esann maii'o l'offre de paix allemande ne Ofcro admises par les neirties commi étô objectivement démontrées. Aucun homme raisonnable no j metti'o que l'Allemagne ait attaqué ; tio du monde par méchanceté et par d)03 aventures. Au surplus, si qi l'avait cru, sa conviction serait pi mont ébranlée depuis le jour où 1' ;rne, en plein développement des mentâ militaire? en sa faveur, a t< main pour ofiVir la paix et s'est < dispos je à se contentar do conditions rées. Par leur rofus formuléi en de* durs à l'excès, les gouvernements d tenie n'atteignent pas seulement le; sauces Centrales, mais aussi le P Wilson, qui n'aurait jamais songé ser ses exhortations aux bell'géran avait partagé le* opinions exprimée la no:o de l'Entento. Ils atteignent les pays neutres de l'Europe qui a\ rossé 1 espoir de la paix. Mais ils dront surtout et pcut-?tro le plus ment, les populations de leur propre qui dvsirent la pa.îx et en ont un certainement aussi grand que l'enne ce n ess plus grand encore. La responsab lité dans le présent ( l'avenir dont se sont chargés les 1 d'Etat qui ont dicté la note dos est incommensurable. * P.nis, 31 décembre : * L'Agence Ha vas publie une longu. sui .amt laquelle 1 Espagne, en' rôpon la no 0 du présdde.it Wilson, décla [pouvoir, en ce moment, appuyer l des EtRj s-Unis ea faveur de la paix contuv, elle est ctispis'e à engage pourparlers en vue d amener ua acc tre le? pays neutres. Colej^ne, 2 janvier : Otu mande do Berlin- à la ,,Ga/.e; Cologne" : — Pour commenter la note de r de la Qiuadru^Ie-Enienite, il faut au lable t'iiire remarquer qn/e l'on 111 eni s\d!e pus encore jusqu'à pivseint lo ta ticiel et que, par suite, on en est pir< rccneiat rédiuit à s'aa tenir au texte mis pnr l'Agença Havas. L'opiniivn ne, dais tous les pays de la Q,uadri ne considèie pas cette réponse conim r-ponso effecti v o à notro offre, niais ( uno <3ceasion saisie do justi i'-r., s> pr - oxtr. d'Un r 'l'iis, lo; bats '.e la Qi ple-Eateate. Ce qui sera fait-, de oat >, a l i, fjuite d'à cette note, est 1 incertain. 11 faut provi'soirumout at pour savoir si la gouvernement jugei' de s'adresser uno fois encore aux n et do leur faire uu nouvel ovposé \ manière de voir. Les dirigeants de la Quadruple-! croient utile do refaire uuo fois do l'ii s'joire des préliminaires de la gue d'en endosser do nouveau auix Puis Centrales la responsabilité. L'auteur nota, dont la rédaction, à on juger j verbosité, a été vraisemblablement con M. Briand, spécule sur une faibles: mémoire des peuples, mais celte sp'ci est condamnée „a priori" à uni cclu II est plus possible, en présence dos méats diplomatiques, d accuser avec chance queîconquo do sucels les Puisii Centrales d'avoir opposé un refus i efforts faits en vue de résoudre le 1 local. Il ressort trop clairemenk de <x cuments que nos tentatives »oouciUant«: été enrayées par la mobilisation ru-s même lo fa r, que la neutralité belge -té mi^o à néant par les accords du g< nernent belge avec un dos partis inté 2st atijouivl1 hui démontré par les a meuts du gouvc rnemeait belge j ilo m cm 'ore les faits révélés par les ministre Belgique à Londres, à Paris ot à I >nt établi que lo gouvernement belge z III jeu dangereux et contraire à la n ité qui favorisait la guerre et d!evi conduire indirectement, et qu'en présen :es menées, la voie nous était clair ndiqpuée. Rien ne peut empêcher qu llivulgations aient été fai;es. La déclara.ion do la Quadruplo-Ei irétend! que les Puissances Ce'uraies -# irociamées victorieases; eneoi*© que r; iareiL ne se trouve dans la note allem I n'en est pas moins indéniable ussi biioii d'ans la défensive que 'offensive, elles ont le dessus, La p: en trouve dans leurs succès mi lit; !'aulant plus clairement exprimes ^>ar omiidiibles pertes territoriales do leurs omis, que ceux-ci visaient à con<iuéri -triment de l'Allemagne des terriboiros auent délimib.'s. Traiter nos conquêtes e i ppelant, commc le fait la no.e de rép os conquêtes do situation apparente et ieure, constitue une tentative qui r.e feu ) moindre effet, même sar les plus 1 tant donné que la bataille de la Sornn ernièro offensive russe et le sort d< tournante montrar.t que 'es ennnemis i Licuno a'ianco de transformer jamais ppn ronce pré toi il Jum eut ^nhéinirro eni 'alité r^jniissante pour eux. Dans ces itians, 1 effort fait eu vue de dénia-ture lobiles do notre démarche on faveur iiv doit misérablement édliouer. Ce as par faiblesse, mais bien parco (ju< rouvo a été faite et au delà que La aiple-Entente ne pourra s'attribuer d, a.is que des sucoàs sans imporUr.ee, . Qiadruplice a fait ce qui était en >avoir i»ur empêcher une ultérieure 011 do sang. S ils avaian't fait droit à notre proi on, nos ennemis auraient pu se r,: mpte de son imporfeanca pratique. Au a ira, nvent rôp<)u§sé, on dénaturait îts, cet.e proju sLiion, ce sont eux et nl,s quj assument la complèfe respoue A de la oontinu^tion. de la gnerie. II esfc^ parmis' d'inférer do fa, ou cerl î l'attitude de la Quadruplo-Ententei, Otifs qui ont dicté sa réponse. Chez >s peuples de la Quad^uplp-Entcnto >111 le plus épui^'s, une ouverture )urpar'(a« aurait nécessairement prov ;s réflexions et projeté sur Li sit^w d i taira des clartés qu'ont intérêt à tener ceux qui veulent continuer à ix à cacher les véritables buts ]k,i-ir tels i's font la guerre. La nafcui-e ^ Sf i-e buts, poar la poursuite desqueLs l'Bi c- été fondée, ressort cla'romentj ma s- proclamation à coups do phrases d 0- et de la liberté des nations, du but n- tenicnt annoncé, de l'aveu catégoriqu t>t vise la couqui^^e do Coasianiinople, ( ut cupiition des îles grecques et des v dont la Grèce est victime. C'ommer à1- lours pourrait-on fa ira s'acoordet* 1( 1- cipe des nationalités qua la Quadm ir ton te proclame chaque jour qu'elle lu champion avec la violentation des é- la Grèce en tête, avec la conventi( a», clue relativement au partage do la 1 è- avec l'asservissement des peuples étr la esclaves do la domination russe, 0 traitement infligé à la nationalité é- daise ? * * * ^ Berlin, 2 janvier : [1- Commentant le refus que l'Entcn!' d'opposer à l'offre de paix des Pui ut centrales, le „Berlinér Tageblatt" é, 3* — Nous aurions d siré que les il .,La paix soit avec vous t;? devinss( ■s réalité au seuil de la nouvelle année a les Puissances de l'Entente en 01 l- autrement. Leur réponse est un r fui 1- sec et indiscutable- Elles rendant 1'. s- gne et l'Autriche-Hongrie seules s s^ibles do la guerre; elles déclarent n proposition do l'Allemagne n'est pa« 'i eï qu'elle est sans valeur parce qu' contient) pas do conditions de paix, is prétendent que La situation militaii i3 tuelie n'est favorable aux puissance >, tvales qu'en apparence et no reflète force réelle de l'ennemi. Elles exige piation, réparation et garantie pour ( qui a été fait par l'Allemagne eti 1 0 de discuter leur «ffre. Quel est cli à aussi biea dans notre pays qu'à l'éti e oser:iit douter un seul instant- que 1 a jets do L'Entento visant le morco'lam r l'Alloïnagno, de l'Autriche-Hongrie ot s Turquie viendront se briser contra k - du jpe-aple allemand qui défie tous 1 sauts et contre sou ardent pat-no' Sans broncher, il défendra sa propre tence. En somme, il serait enfantin ( 1 loir perd ro son tenips à chercher dï nota de 1 Entente tui mot qui permetl ' soutenir qu'elle ne constitue pas un ■ formel*" • La ,,Vossiscî.o Zeitung'' écrit : — A h suita du r 'fus railleur dia tente, réchauffant d'anciennes calomu en servant do nouvelles, notre couver et nos Alliés 110 doivent pas consen , moindre espoir que deis pourparlers ult I uisféno encore s'engager. A la iv*i;< l'Entente, refusant brutalement de mci la guerre ui-me au nom de l'hiui j nous e pouvons donner qu'une rép ,,Combattro écergiquement jusqu'au n où la froid de nos armes aura fait ! la fiè.vvo qui s'est emparée de nos eiiin-I-e ,,Vorw;irtz" écrit : — Ses ennemis voula>^ continu guerre, le peaple allemand n'a pf 5 choix. Il comprendra que le refus de tente et motivé par l'espoir qu'elle ( • encore d'arriver finalement à terrasse 1 gré tout l'Allemagne, et, naturelleanoi 1 continuera à faire eu sorte <flu'il n'er pas ainsi.'' • * * Vionflie, 1er jan\ ier : Oommeatant la r'iponso de l'Ente l'offre de paix (les Puissances central journaux) du matin sont unanimes à que cotte note donne l'impression d'ôt document de polémique, mais n'a pj signification d'un refus' catégorique somano, elle e-t très modérée, comj>ar' déclaraliona dos hommes d'Etat à Lo à Paris et à Pé.rograd. * * Sofia, 31 décemlre : Hier soir, à la séance de la 9o»b. M. Kladoslawof, prési;lent du conseil ministres, a fiait, au caursi de la discu du budget du ministère des affaires i gèiL8, le^ dtclaratious suivantes : — Je certifie que l'oiuvie do Lv iBu» est accomplie. À ceux qui prétendant nous demandons tnop, je réponds que no sommes pi:s des gens aux idées f; sist*v*. Iva procLwmaxion faite par le R m»n»e3>t de la dôciUi ration, db g*ierre prim0 parfaitement les aspirations (Du1 pie bulgare. Je cr aïs dono inutile de r die à tous les orateurs en particulier. Répondant aux critiques die l'oppos ^ui s est prononcé© contre lo pasfitig( Damtn'e par des tr-aupes bulgare?, le 1 efent du conseil a déclaré que ce pa* avait été exécuté conformément aux 0 du liant ccxmmkmdemjeiLfc bulgare, qui d'avis que l'armée Tournait.e devait battup et anéantie de l'autie côté du nube. L'armée bulgare a procuré uni f précieux à nos alliés, qui l'ont, d'u ] parfaitement reconnu. Nous sommes, tous les points, 0:1 complot accord nos alliés, a dit M. Radoslawof, qt ajoute, au n«m d\i gouvernement, que les officiers allejmagids et austro-hmii: qui se trouvent en Bulgarie sont sn* or 1res du liant comnvttrtdlefmenfc bu'lgrr M. R wlosUivrof a 'Ut aussi que les vices des chemins de fer, des postes, tél^rriphes et de® mines sont tous nixli ség'. l»pomdviuit à plusieurs orateurs qui Tiquaient les divers pourparlers engpgéi !e gouvernement, il s'est exprimé 00 suit : — xVyea confiance «a nous. L'offre paix des Puissanoes centrales a été acc lie avec enthousiasme par les pays neu notamment par la Suisse et, les pays f d baves. Quant à la Hollande eb à l'E gne, jo sais qu'elles s'apprêtent égnlea appuyer la démarche du pr^sddlrnt sj>u. Nous sommes prêts à. faire la j car nous voulons mettre fin à la g\u Nous ferons des concessions au nem l'hum ;nité et pour le bien ce toutes les lions." II a terminé en disant : — Je possède; dos documen-'s qui (Va trent que nos ennemis reconnaissent r droit et le bien-fondé de nos exigences, * * Paris, 31 déoeml ro : L'Agence Havas écrit : — Les journaux accueillent chaleur* ment la répon sa do la Quadruple-lin t. qui a été transmise par la France en lité d'interprète do la moitié de l'hurm; rt au nom do tous les Alliés. Il dévo; v - '' Ml»m igue, oxp<KS(î les motifs m . la gueiro et lOfuse noU 1 ^ pagnie nouir( arT r la 1 ' ^ mâ ' '' s M l'Allemagne a été attaquée et est victorieuse D'autra part, 1 Agenc© Haras dit quels réponse des Alliés au président Wilson es imminenie; elle sera très longue et exposert en détail l'origine et le but de la guerre. * • • Roms, 1er janvier : Le ,,Corriero d'Italia" écrit : — Quoique refusant catégoriquement d'ac cepter la première proposition de l'ennemi •a réponse «les Alliés ne ferme pas: la porte à de nouvelles communications. Si l'ennemi veut réellement la paix, il doit accepter les conditions do l'Entente, sinon il est super- lu de parler do négociations pacifiques." ^ • • • Rome, 2 janvier : Le ,,Giornalo cl ltalia'' écrit que La nota des puissance; de l'Entente est une preojve de l'inébranlable accord qui existe entre Ich Alliés; elie proclamo, à la face d^ la civilisation, les bu»is élevés de justice e?t (Ta liberté qui leur ont fait prendre les armes. L'opiuflon> ïmblique des pays combatUait. contre le bloc allemaaid trouvera dJans la note un nouvel appui moral pour continuer la lut'e. Note de l'Entente à la Grèce Le Pirée, loi* janvier : I>es ministres das trois puissances protectrices do ht Grèce ont signé, le 30. dé-cembre, la note suivante, à transmettre au gou'» ern/ement gr^c : — Les ministres do France, d'e Grande-Bretagne et do Ru&iio, en lerr qualité do représ jutants des puissances j rolectriccs do la Grèce, ont pris connaissance avec satisfaction de la réponse faite à leur communication du 1er décembre. Ils ont l'honneur de soumettre au gouven emont grec, j>ar ordre de loir gouvernement, las axigor.oes ojivan'ios visant les garanties et le* satisfactions à leur donner : 1® Garanties: Les trouves grecques sar le continent gre: et 01 gênerai sar tout îe terri toit0 .en dehors du Péloponèse seront r6-dai.es au minimum do l'effec.if sti'ictemont in(iisj,vnsabîe pour assurer les services d'ordre et de pouc^. Touies les armes et les munitious dépassant I09 quantités coufoirmea à cei état de choses, comme auss^ toutes les mitrailioi.se> et loiaito l'aruiljria de 1 armée giocquo avec ses munitions, seront transférées au Pirée dans des conditions te le* qu'après lour transfert il no reste ni canons, ni mitrailleuses, ni matériel ea do. hors du Pé<oj>onèso. Les d:iais pour l'exécution de cette masure seront fix'i-s de com. raun accord aussitôt que le . gouivernemaut grec aura accepta en principe lo transfert d. s troupos et du mat iiiel. La situation militaire créée de la sorte sera mainteauo aussi longtemps que les g'ouv or r. ©monts aL li"s l'eSiimeront nécessaire, et ce sous la su'veillanco do dûlégués spéciaux qui aérant accr'^dit s à cet effet auprès das autorités grecques. Interdiction do toutes réunions oui assemblées do réservistes dans la partie dia la Grèco située au nord de l'i-it2irae de Co-rintha. Exécution rigoureuse de l'interdiction (3ii port d'armes pour t-uis les c i v : i s ; o* Rétablissement des divers, s prorogatives de contrôle des Alliés sous une forme ;i établir d'accord avec 'le gouvernement grec, de fa.on à les reudro aussi peu onéreuses cjuo possible ; 4n Satisfaction : Toutes les personnes r.o-tuiellemont détenues en pr son [jouir raisons politique!», haute trahison, conspiration, ré. bollion ou autres seront immédiatement remises on liberté. Toutes les personnes noyant éto victimes1 injustement dos evéneman/'s du 1er et du 2 décembre et dos jours"^ suivants seront iiilecnnisiées après enquête faito on commun par le gouvernement; grec et les Alliés. 5° Le général commandant du 1er oorps l'armée sera destitué, sauf que le gouver-îement royal, pour satisfaire aux gouver-lexents alliés, décrè:o que la niesaro doit Mro appliquée à un autre général portant [a responsabilité des ordixis donnés le 1er dâ-iembro ; d Le gouvernement grec transmettra des 3\cuscs formelles aux ministres des Alliés. Les drapeaux angLais, français, italien et aisso, seront solennellement salués sur la ilace publique à Athènes en présence du alnistre de la guerre cl do toutes les gar-îisons1.Les ministres soussignés ont en Outre re-.u Ï3 le-ar gouvernement l'ordre de rappeler a,i gouvernement grec que les nécessiws milL auas les forceront prochainement à drbar-|uer das trompes à Itea et do le^J envoyer à •alonique par le ohemiu be fer de; Larissa, -es Puissjuices protectrice s portent à ia onnnissanco du gouvernement greo qu'el'es "e réservant toute liberté d'action dans l> as où l'attitude du gouvernement de Sa fajesté le Roi viendrait à donner lieu» à [o nouvelles plaintes. Do leur côté, ils réi. rent vis-à-vis du ^ouvernemenj greo l'en-agiemont formel de 11e point autoriser les ^rces années du gouvernement de la dâ-3nso nationale à mettro la retraite dos troues royales de la Thessalio et du Pir^e à irofit pour franchir la zone neutre fixée 'accora avec le gouvernement rayai. Les oussign-és ont reçu da leur gouvernoment orire de notifier que le blocus de la cota ?ra maintenu jusqu'à ce# que satisfaction it été donnée sur les points ci-dessus in-iqués."DANS LES BALKANS EN ROUMANIE Londres, 1er janvier : On mande via Amsterdam, que la famille 1 Tsar, qui so trouvait m grandi quartier 'aérai russ? j rès de Kitcliineff, a ro.ai la isite dei roi Ferdinand de Roumanie. I>'a-rès les on dit, on y a réglé définitivement 1 . question do La résidence du Roi, ainsi 10 du gouvernement roumain, pour le eau i un séjour prolongé à Jassy j3evienxlia.it 1 1 possible par suite des événements do EN GRÈCE Londres, 2 janvier : 1 Le Foreiart Office annonce que lord) Or an- ] Uo, 00 ,\ iller do légation à l'amba.sstidle! do i a ris, cv\V\\ev v*^é représ y 1 tant du goui\'or- ( • \ fès du gouvernemiinfi pro^ 1 ~ - \ ^o'os à Saloniqfuèj ill a 1 '-nt diploma'liip e. 1 l.l ie, V / . . Communiqués Offieial; Communiqués des Puissances Centrale Berlin, 2 janvier. — Officiel do ce midi Théâtre do la guerro a l'Ouest. Armées du feidmarechal duc Albi-echt d Wur.emberg : Dans l;a bouclo d'Ypres, violent d eld'ai 'tilleiàa. Les attiaque3 anglaises e-ituei^i'iïf à l'aida do grenades à main ont étâ n poussées. Armées du princ3 héritier allemand : En Champagne, dans la forêt eb l'Ai gonino et sur Ja rive orientale <iio la Mo is*, des troupes ele combat et des patremilleà al lenuiiudes ont pénétre dans des tranchée françaises et en ont ramené des pri+onin er et du butin dans leurs tranchées, elana l-°s quai les elles sont rent rées comme eiloi a a\ aient reçu l'ordre. Un grand avion ( combat flnuemi est tombé entre ai >3 ma n; Théâtre de la guerre à l'Est. Front du feldmaréchal prince LôopoLd d Bavière : Deo opérations' de reconnaissance rus u au sud de Kiga, au sud-ouest de Dwir.s et a l'ouest do Stanislau sont restées «an succès. Front du général colonel archiduc Jcs iph Au sud do la vallée de Trotusul, la crêt des hauteurs fortement disputée du moi Faltucanu est toml>ée au pouvoir des AIL manda après un énergique assaut. I>o Ion des vallées qui joignent les montagnes d Berenzk a la Sereth, nos atta<ipes ont r€ foidé l'ennemi. Nos troupes ont pris d'ac saut plusieurs positions sur les hautour des deux côtés de ;a vallée d'Oitos. [j localité do Sovoja, dans La vallée do Su situ, eet prise. Nous avons repou.ssé d-attaquas russo-roumaines et fait 300 pii sonniers. ArmiVss du feldmaréchal von Maclcenscn Poursuivant éuergiquempnt et rep>ouseai] les arrière-gardes ennemies, la IXe année forcé las Russes à accentuer leur retavitc Des troupes- allemandes et austro-hongv- i*e venant de l'ouest et du sud approchent de postions de tètes de pont ptnès de Pocsan ec dx) Fandeni. Plus do 1,300 prisonniers ( un nombreuLx matériel de guerro sont r>e tés entre les mains de l'infatigable pour sui vant. Llitre le Buzeu ot le Danube, l'euneni maintient sa trie de pont. A l e-t do lira»la, dans la Dobroudseha des Allemands es des Bulgares se sont cm parés de positions Apiniâtrein®nt d leJiduet par les Russes, qu'ils ont rejet s sur Ma cîI1*,Au cours de ces combcts, le régimoa d infanterie de réserve n° 9 de 1a PonurJi nie s'esti distingué. Front macédonien. Pas d'événements spéciaux à signaler. » Berlin, 31 décembre. — Officiel da c. soir : Activité peu intense à l'ouest commo i l'est. Eu Roumanie, les Russes ont- (té îe jetés jusque dans la tête de pont ela Bra la pie nous attaquons avec un succès do plu; 3u plus marqué. Dans la Dobroudselia, nou£ wons enlevé aux Russes dea points d'apprjj i l'est de Macin, * * CBeî'lin, 1er ;anvier. — Officiel de ce midî: Tlicâilre do la guerre à l'Ouest. Pas d'événements particuliers. Tiiéano de la guérie à l'Est. Front des armées du feldmaréciia 1 -génjértJ )rince Ivéopold ce Bavière : Au sud do Riga et près de Smargon, 1011s avons repoussé da forts détache.me\titia le ohas:e russes. Sur la rive nord du Pripet, pr^s de Pinsk, les cavaliers allemands, combattant à pied, mt enlevé d'assaut deux points d'appui usses et ramené prisonniers i olficier et 00 hommes. Front ces armées du colonels-général ar-hiduc Joseph : Dans les Carpathés boisas, des chasseurs lleMuands ont- réussi à faire router uni lockhaus ennemi avec ses défense us. Entre les vallées de l'Uz et de la Fntpa, es bataillons allemands et austro-bot'gr is près avoir pris d'assaut plusieurs !iaut«ur« ccupées par l'ennemi, ont re^ussé les vio-înteS contro-attaquca des Roumains et d<* Lusses. Herostrau et Ungureni, dans «a val-io de la Zabala, ont été pris. Front des armées du feldmaréclial-gén''ro«l on Mackensen : Dans la région septentrionale de la rrande-Valachie, les Russes ont été culbuté» 3 nouveau. La IX© armée a refoulé l'ennemi dtina js positions se trouvant à mi-chemin eu-o Kainnicu-Sarat et Focsani, tandis que armée du Danube Pa rejeté dans la cote 3 pont do Bra;la. Dans la Dobroudseha, les succès iempor-s par les ironies allemandes et- bulgares it considérablement réduit la position dea usses dans la tê>te de pont à l'est de acinj. En cet endroit, noms avons, hier, fait 000 prisonniers et capturé i canons et mitrailleuses. Près do l'embouchure du Danube, le* oupes chargées de la défense do la voie iviale ont tué 50 Russes qui venaient de a verser en bateaux le canal Saint-Georges. Front macédonien' : Rien d'essentiel. • i . * * . . •Berlin, 1er janvier. — Officiel dedesoirv L'activité n'a été grande que sar \&l m ta roumano-russes-■ » * * Vienne, 31 décembre. —' Officiel de ce idi : Front de l'Est. Front dés arméas du Feldmar£cha 1-géné-raj n Macl ensen : "L'ennemi so retire pied à pied sur la ;no Bra la-Focsani. Alors quo, à l'es#du mzéul, il battait déjà en retraité, dïiiars I\ irnée d'hier, il opposait encore, à l'ouest Iev riyi.'re et au nord do Ra^nnicu-Sarat, •' rérsi 1 aneo acdianiéo que nous aiwnn is'e en plusieurs eidroits à 1a suite de >lonts coâibats.

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