_ DÉPÊCHES DIVERSES Londres, 28 juillet : Le ,,Times'' annonce qu-'ao, certain nom bre de députés unionistes préconisant ui aplanissaient de la crise irlandaise te soai b réunis hier à la Chambre des commune 1 et ont) décicK, après un échange de vuies 5 de délibérer à nouveau à ce sujet la se 1 maine prochaine. Cotte brève information, envôyée ai .,Times" par sir Edwaed Carson: o, Ion I-Ienry Bentnigh, a produit une bonne im pression au Parlement. ♦ * * T-or,drcs, 2S juillet : M. DîUon, diputô nationaliste, a tf.jp js. une motion demandant à la Chambre d« Communes do prier 1e gouvernement de faire connaître le projet du système gouvernemental dont il entend doter lTrlandi pendant la. guerre. * * * Londres, 28 juillet' : En réponse à une adresse signée pa.i Iretate-ueuf de pu tes irlandais et sollici tan la grâce de sir Roger Caserne nt» puir des motifs politiques, M. Asquith a répondu qui tous les détails concernant ca'.o affaire se ront soigneusement examinés. « * * Copenhague, 28 juillet : On mande de Londres à la .,Be:'liugsc>€ Tidende" qu'il n'existe guère d espoi;^ que sir Roger Casement soit gracié par lo Roi. 1 L'Vvéoution aura lieu vraisemblablement dam le courant de la semaine prochaine. ♦ * * Londres, 29 juillet : M. Giuuel, députa irlandais do la Chambre (tes commîmes, a été condamné a une amende de 100 ■£ ou à une [xjine d'énori-sonnement de six semaines, du chef il avoir donné un fau,x nom pour se faire autoriser à entrer i dans une prison . où des rebelles irlandais sont internés. * * ♦ Londres, 27 juill t : La Commission unioniste de la guerre h. prié le gouvernement de déposer d'arsenal le projot de loi relalif à la confection dé, listes électorales nécessaires pour Ii>s pro, chaînes élections. « * • Paris. 2S jn'llct : i.c „Matin" annonce qu'un ineen Se a éclaté dans des for.'ts domaniales, près cl" Bordeaux, où est installé un camp do troupes noire? L'i icendie a pris de telles proportions que la garnison a dû . nro raoïiisi- —®- DÉPÊCHES DIVERSES Lontfres, 28 juillet : Le ,,Times'' annonce qu'an certain nom bre de députés union 1 a Les préconisant uj aplani sspment de la crise irlandaise te soai b réunis Irer à la Chambre des commune 1 et ont) djéçict£, après un échange de vues 5 de délibérer à nouveau à ce sujet la se 1 maine prochaine. Cotte brève information, envoyée ai .,Times" par sir Edward Cavson o, Ion I-Ienry Bentnigh, a produit une bonne im pression au Parlement. ♦ * * Londres, 2S juillet : M. DiUon, député naiionalisie, a tfjpjs. une motion demandant à la Chambre d« Communes de prier le gouvernement de faire connaître le projet du système gouvernemental dont il entend doter lTrlandi pendant la. guerre. * * * Londres, 28 juillet' : En réponse à une adresse signée pa.i Iretate-ueuf de pu tes irlandais et sulliciia-n la grâce de sir Roger Caserne nt> pmr 'la motifs politiques, M. Asquith a répondu qm tous les détails concernant ca'.e affaire se ront soigneusement examinés. « * * Copenhague, 28 juillet : On mande de Londres à la .,Be:'liugsc>€ Tidende" qu'il n'existe guère d espoi;^ que sir Roger Casement soit gracié par lo Roi. 1 L'e.véoutioii aura lieu vraisemblablement dam le courant de la semaine prochaine. ♦ * * Londres, 29 juillet : M. Giuuel, député irlandais do la Cham-bre dés commîmes, a été condamné a une amende de 100 ■£ ou à une [xjine dVniïri-sonnement do six semaines, du chef il avoir donné un faux nom pour se faire autoriser à entrer i dans une prison . où des rebelles irlandais sont internés. * * ♦ Londres, 27 juill t : La Commission unioniste de la guerre h. prié le gouvernement de déposer d iligence le projot de loi relalif à la confection dé, listes électorales nécessaires pour les pro, chaînes élections. « * • Paris, 2S jn'llct : i.c ,,Mutin" annonce qu'un ineenSe a éclaté dans des fort- domaniales, près de Bordeaux, où est installé un camp do troupes noire? L'i icendie a pris de telles propor-tions que la garnison a dû . ("ire r'uuisi- —®- DÉPÊCHES DIVERSES Lontfres, 28 juillet : Le ,,Times'' annance qu'an certain nom bre de députés unionistes préconisant/ uj aplanisBjement de la crise irlandaise te soai b réunis Irer à la Chambre des commune 1 et ont) décidé, après un échange de vues 5 de délibérer à nouveau à ce s a jet la se 1 maine prochaine. Cotte brève information, envoyée ai .,Times" par sir Edward Cavson e, Ion I-Ienry Bentnigh, a produit une bonne im pression au Parlement. ♦ * * Londres, 2S juillet : M. DiUon, député naiionalisie, a tfjpoa une motion demandant à la Chambre d« Communes de prier le gouvernement de faire connaître le projet du système gouvernemental dont il entend dolcr lTrlandi pendant la. guerre. * * * Londres, 28 juillet' : En réponse à une adresse signée pa.i tretate-ueuf de pu tes irlandais et sulliciia-n la grâce de sir .Roger Caserne nt> pmr des motifs politiques, M. Asquith a répond a qm tous les détails concernant ca'.o affaire se ront soigneusement examinés. « * * Copenhague, 28 juillet : On mande de Londres à la .,Be:'liugsc>€ Tidende" qu'il n'existe guère d espoir^ que sir Roger Casement soit gracié par lo Roi. 1 L'Vvéoution aura lieu vraisemblablement daui le courant de la semaine prochaine. ♦ * * Londres, 29 juillet : M. Giuuel, député irlandais do la Cham-bre dés commîmes, a été condamné a une amende de 100 ■£ ou à une [icine dVniïri-sonnement do six semaines, du chef il avoir donné un faux nom pour se faire autoriser à entrer i dans une prison . où des rebelles irlandais sont internés. * * ♦ Londres, 27 juill t : La Commission unioniste de la guerre h. prié le gouvernement de déposer d iligence le projot de loi relalif à la confection dé; listes électorales nécessaires pour les pro, chaînes élections. « * • Paris, 2S jn'llct : i.c ,,Mutin" annonce qu'un ineen Se a éclaté dans des fort- domaniales, près de Bordeaux, où est installé un camp do troupes noire? L'incendie a pris de telles propor-tions que la garnison a dû . nro r:\luisi- —®- DÉPÊCHES DIVERSES Lontfres, 28 juillet : Le ,,Times'' annance qu'an certain nom bre de députés unionistes préconisant! ni aplanisgpment de la crise irlandaise te soai b réunis Irer à la Chambre des commune 1 et ont) décidé, après un échange de vues 5 de délibérer à nouveau à ce s a jet la se 1 maine prochaine. Cette brève information, envoyée ai .,Times" par sir Edward Cars on e, Ion I-Ienry Bentnigh, a produit une bonne im pression au Parlement. ♦ * * Londres, 2S juillet : M. DiUon, député naiionalisie, a tiipoa une motion demandant à la Cliambre d« Communes do prier le gouvernement de faire connaître le projet du système gouvernemental dont il entend dolcr lTrlandi pendant la. guerre. * * * Londres, 28 juillet' : En réponse à une adresse signée pa.i tretate-ueuf de pu tes irlandais et sulliciia-n la grâce de sir Jioger Casement/ p uir da motifs politiques, M. Asquith a répond a qm tous les détails concernant ca'.o affaire se ront soigneusement examinés. « * * Copenhague, 28 juillet : On mande de Londres à la .,Bo:'lingsc>€ Tidende" qu'il n^existe guère d espoiî- 3 que sir Koger Casement soit gracié par lo Roi. 1 L'Vvéoution aura lieu vraisemblablement dam le courant de la semaine prochaine. « * * Londres, 29 juillet : M. Ginuel, député irlandais do la Chambre dés commîmes, a été condamné a une amende de 100 ■£ ou à une [icine dVniïri-sonnement do six semaines, du chef il avoir donné un faux nom pour so faire autoriser à entrer i dans une prison . où des rebelles irlandais sont internés. * * ♦ Londres, 27 juill t : La Commission unioniste de la guerre h. prié le gouvernement de déposer diligence le projot de loi relalif à la confection dé; listes électorales nécessaires pour les pro, chaînes élections. « * • Paris, 2S jn'llct : i.c ,,Mutin" annonce qu'un ineen lie a éclaté dans des fort- domaniales, près de Bordeaux, où est installé 0n camp de troupes noires L'incendie a pris de telles propoi-lions que, la garnison a dû . nro r'uuisi- Dîmanche 30 Juillet Î91* •niii»Mi>mr>wii.n. un m iihilii m iwi ru » i.Mimiiii ' JOURNAL QUOTIDÎEN, — JL,e Numéro ■: 1U Centimes flnii Kl» C1C LA BELGIQUE FRÎX BES ABOIÏESENfTS 2 roDis (août, sept), fr. 4.60 [ I mois (août), fr, 2.3i EL es «Scn»3idle8 reesfii EXCLUSIVEMENT rcx fticlel» lirewx «îe reste. ADMINISTRATION ET RÉDACTION Si' Montagne-ftxnc-IIerbes-.'Rotaffères, brljjl m.t.ft BUREAUX » D'C 0 à 17 HEURES Jos. MORESSÊE, Directeur Peti €* auno'-»e« to ligne, t*- O.C JRé^l.nne Ie« annonoco . • —• ^ C^ri>« du juuxnul 5.C PRIX DES AN.M0NC6Î Faiu - 3.7 Kéesroiogio. . . —» 2.S Aujourd'hui : HUU page- LA GUERRE 727° jour de gues-ra La bataille se poursuit sur place ou peu pi.es a.tro l'Ancre et la. homme, îoug du front anglais Pozi.-res-Bazejii>i Lougueval. Avec un aeiiaiiienieiît saj txoiupie, les adversaires disputent cliaqi aiaiaujj, cikkjuo section de tranchée. J moindre avantage n* est, de part ou d'autr déliniûvemcnt obtenu qu'au prix de uoi breusos et meurtrières attaques! et contr •ituujiies. La lutte e-t moins vive entre l'e •1© liardecourt et- la homme, de même qu'a de la riviôre; les Français ont surlo eenployô celte semaine à consolidei- le m positions, eu no développant par endroi •iuo quelques assauts espaces. Sur toule la ligne e.'i Picardie, l'action (>ris une allure absolument différente ci ceile qu'elle avait eue dans îes dix premier jours de l'offensive fxanco-briuannique. l'e à peu l'on eu est revenu, dans le bassin é la Somme, à la guerre dfe ti'anchées, plu s-Uric'fcment localisée que jamais. Ceci n doit pas néce.-saimnenc faiie croire que k recettes attaques générales dies A.lU'és ne s reniouyelleront plus. Diveis indices, a contraire, so:;t do nature à. faire considère Cj:naie imminents de nouveaux et vaste assauts. Lesn* plus ou moins do ohancc d succès eist longuement discuté dans L presse. Du cûti français et-anglais1, lo.s écrivain militaires s'accordent pour affirmer qu'ei îfcpii do la résistance exiraordînairemeu ■tenace <u'elle rencontre depuis un moi: l'offensive sera con;innée sans défaillance Pt que son objectif, la trouee des liixne flilemaindes, sera finalemient eD malgré tout 1 résultat des attaques successives qui seron on't'iodiquement poursuivies:. Il ne faut tou tefois pas, fait-on remarqua"1, s'attendre i des succès rapides. Les Qri tiques militaires allemands é'metten ta même opinion, en ce sens qu'ils font eux aussi, prévoir à leurs lecteurs une re prise prochaine des fort-.>s attaques! générale-des Alliés. Ils différent, bien entendu, complè fcement d'avis quant au rOisultat qu'on en, peu efiCompter-Sans doute, écrivent-ils, l'organisa tii'.)n technique d'une grande of'enrive, à rais-o; des tirs destructifs dirigés suit l'es première lignes et des tirs de barrage dirigés i l'arrière, oblige forcément les défenseurs d'un© position à en évacuer les parties avancées, quitte à chercher ensuite à le* reprendre par des contre-attaques immédia^ tes et, en tout cas, à, faire payer le p.lui cher iKJSSiible à l'assaillant son moindro sue cés. Mais, hormis Cûit iinosi avances locales îes critiques d'outre-Rhin les plus .autori ô^s prétendent que les plus violants assauts finiront par re briser contre les lignes allemandes. Le thème qu'ils approfondissent longuement à cette occasion- se résume à dire que ,.leurs adversaires1 ne peuvent pas passer et qu'ilsi ne passeront pas". La note apportée dans ce débat par la presse des _ pays neutres est plutôt hésitante. Après avoir été fort impressionnés par les premiers succès anglo-l'rançais, les journaux suisses, suédois, danois et aussi — nombre de nos lecteurs auront pu s'en apercevoir — les organes hollandais, estiment aujourd'hui que ,,cela va trop lentement''. Leur avis est que, du moment que l'on recommence à se battre pendant des trois et quatre jours pour un village ou pour deux cents mètres de tranchées, les Allemands ont tout lo temps de réédifier à l'arrière les positions qu'ils évacuent. La preuve étant faite, à tenir compte des communiqués anglais, que jusqu'ici les hommes ne manquent pas aux Allemands, les journaux neutres sont généralement enclins à croire que c'çst une bataille purement locale qui a re-oommencé ©t Picardie et que. la lutte, si elle continue de la sor'o, ne peut aboutir à autre chose qu'à l'épuisement. ♦ * * Dans l'Est, la bataille acharnée qu'a déchaînée l'offensive des' Russes dans ia région de Riga s'est calmée sans avoir provoqué^ de résultat. Dans le secteur de BaranowitoChi, les Russes réitèrent- périodiquement leurs grandes attaques contre les positions que défendent toujours aveo la même opiniâtreté les troupes du prince de Bavière. Depuis le sud du P ri pot jusqu'en >Bv.co-*inje, le seul foyer d hostilités réellement animé est délimité par une ligne allant du sud de la Lipa au secteur de iBrody-Rad-fiwillow à travers l'angle du territoire galicien conpnis entre la Sfc.yr supérieur, la Boldurka, la route LesziiiowJBrody et la frontière. Dans les trois derniers jours, Meffort des Russes a été très tenace sur cette ligne, particulièrement au sud de Ixs7Jiiow. Leur avance a été constatée ici vendredi, mais elle no s'est! pas, depuis lors, accentuée, de manière sensible, do telle sorte que, s'il e^c incontestable que l'avantage leur reste dans la région, nous commentons à croire que nous nous sommes peut-être exagéré l'importance et lo carao-tère décisif du nouveau mouvement offensif entrepris par le général Sacharow dans la direction de Lemberg. Il est vrai de dkc que les Austro-Hongrois, qui savent ce qu'il leur en a coûté, en Volhynie et en Bucovine^ de s être obstinés dans une trop longue résistance, paraissent avoir appris l'art do se replier à temps devant des forces supérieures pour les mieux pouvoir indigner sur do nouvelles positions préparées à l'arrière où des renforts ont ou !e temps d'être concentrés. Cette tinctiquo leur permet do neutraliser l'rfction de très gro* effectifs, sans être désormais contraints à évacuer des territoires aussi étendus1 que ceux qu'il leur a fallu abandonner aux débuts de l'offensive russe» Les Austro-Allemands évaluent s\ 15 kilomètres en profondeur sur SO kilomètres de front J'étendue des régions abandonnées par : eux la snice des nruTCAiw i sur toute la ligne en Yolhynio. Assuréme; co recul est notable et l'importance, s'en rév "" surtout par comparaison avec les! modiLc lions extrêmement restreintes imposées p les plus violentes batailles au front da l'Ouest-, où c'est un événement do v( changer de mains quelques kilomètres cc rés. Il y a lieu toutefois do réfléchir q dans l'Est l'allure des opérations est te autre, ainsi que lo font éloquemmenil ressc tir certains chiffres que nos lecteurs tro ^ veront aans la siitliistiquo officielle allemian jg que nous publiant ci-contre* ît, En présence de ceiie attitude, lo gtouvt ve noment néerlandais a déciué de résister ai a- [xréten'.fkHis de l'Angleterre et) j'ai man ar par écri)b au ministre d;Angleterre qu'< ils exigeant que la Hollande n'expoii-ât p dr son poisson en Allemagne, il était em o r- position avec les stipulations expresses-ne la deuxième Convention de La llagre < ut L007, d'après lesquelles un Etat D'eut r- n-'est pas tenu d'interdire l'exportation dia: u>- les pays belligérants ôe marchandises i le quelque nature qu'elles soient. En ce qui concerne ia saisie des n vires, j'ai fait tout d'abord ressortir qu'< ^ désignant une partie de la mer du: N'o: S comjBo dangereuse, le gouvemementl ibrita nique n'était nullement dispensé d'ecerc dans cette zone le droit do visite conform mont aux règles du Droit des gens, gén 1_ ralement reconnues sur ce point. Le r vernement britannique n'a pas le droit d mener ces navires dans ses ports. En ce qui concerne les saisies de n s vires qui se font en ce moment sous pr L_ [ÇSxX£ de contrebande, j'ai rappelé mes p'r testations antérieures disant que deis a lt ticles de contrebande conditionnels, c'est-dire los vivres qui se trouvent à bord < a navires neutres faisant route vers des p;or neutres, no peuvent être saisis par les le y. ligérants, ^ la contrebande de ce genre i pouvant être saisie que si elle est destin' e à un gouvernement belligérant ou à t force armée. Or, les chalutiers néerlanda amènent leur poisson dans des poils née landais exclusivement et nos pêcheurs o: toujours soigneusement évité de céder ui e part quelconque de leur cargaison à d< 0 navii-as de g-uerro de puissances bellig rantes. J'ai fait ressortir, on outre, que : pêcherie néerlandaise dans la mer d'uNoi ne peut être assimilée à un commerce c ^ transport international né des besoins sp a ci aux d'un des belligérants, qu'elle est ur x industrie nationale de très vieille date 1 qu'elle ne doit aucunement son existence l'état de guerre. La paralysie cont elle e menacée mettrait en jeu l'oxistenco d'ui partie importante de 1a j>opulationj in'Gerlai d'aise, non seulement celle des- armateoii1© i - des ipecheurs, mais encore celle de toutf 1 les autres industrie dépendant d'elle. Si le goiu-ennempnt britannique pens avoir à se plaindre de la vente à l'Ail' magne de la plus grande partie du poison, libre à lui de faire des offres au mâché.J'ai également attiré l'attcntioni diu jji» nistre d'Angleterre sur rirrit-».tioni que }^r< voquent dans tous les Jlays le?1 ïnCormï fions piVrlant des exigences notifiées a.u 1 délégués des intéressés aéeriandais, qui o; à 60 rendre à Londres pour cl; lib«i«i'. Bi ces œcigeaccs étaient maintenue elles ahonfiraient à paralyser presque coir plttGineiifc notre pêcbo dans la mer d'à Nor ^ ob, par voie de conskjuenea, lea indlasfciic qui en vivent. J'ai ajouté que le. gouvern* ment néerlandais n'avait pas encoitt confiirmation de ces Jij'ormations et qu.o i coïïiptais que le gouvernement toritammdqu n'adopterait pas une attitude à ce point in just2. Finalement, j'ai fait comprendre que 1 J gouveirnement néerlandais eet («ur ces ra sons en droit d'attendre que le» navires sai sis soient relâchés sans retard. Je puis atfirmcr à la Cliambre que 1 . gouvernement no cessera pas do prêter tout . son attention à cette question, vitale pou - llTifl TYnrt.ÎA irtTnnrfinn^ — j COMMUNIQUES OFFICIELS B W B u V7 M W B u Vi» sn . ' ■ p- Communiqués des Puissances Centrales le Berlin, 29 juillet. — Officiel de ce mi'Ji Théâtie de la guerre à l'Ouest, jk Dans la î-égion de la Somme, do violent duels d'artillerie se sont livrée. J Bans les en-rirons de Pozières, dte forte J attaques anglaises ont échoué. Immédiatement au nord do la Somme, t-'e 1H fcaa'lalives d'att)aque do l'ennemi ont *H Bl, étouffées soue notre jfeui. r Dans la région de la Meuse, la joumé s;>îit pass.ee sn us que l'infanterie ait été c . action. x_ 1-e feu anglais dirigé contre Comi:ie (France), a fait d«3 victiaies p^i-mi la jw puLation et a causé de grands d-'igâts maté riels, mais aucun dégât quelconque d'ordr c" militaire. Près dé Hoclincouit, au nord d'Arras F~ un avion ennemi, touche en plein par uo ; eamons de défense, a été descendu, ts Théâtre de la guerre à l'Est, il- Armées du fe^d'-marqohal von Iliudcn-îe bùrg : 0 | Sur ce front, pas d'événements spéc:aus ;a à signaler. is _ N os avions ont attaqué avec succès', t i> diverses reprises, des trains de transports it eusses et des installations do chemin d< ie fer. ;s Armées du fcld-maréchal prince Léopoh; 5" de Bavière : Les combats qui n'étaient pas encore ter-minés hier matin sur le front Skpbowa ^ \V|ygoda ont eu ime issue tout à fait favo ^ .rable pour nous. ii Armées du général von Linsingen . à Les Eusses ont également étendu h«ei >t leurs attaques sur des parties du secteui o du Stochod et sur lo fronb au nord-ouesl i- de Luok. Une forts attaque prononcée an it noi-d-ouest do Sokul a été repous.sée avec s de for*es pertes pour l'ennemi. De faibles attaques entreprises à d'autres endroits du 0 front du Stochod ont également échoué. Au nord-ouest do Luck, après plusieurs ^ poussées vaiaos1, l'ennemi a réussi à péné u;er dans nos ligues dans la région d< T%sten et nous a amenés à abandonner liï [. positions que nous tenions encore jus)?.!•'2 présent eai avant du Stochod'. A l'ouest de Luck, l'attaque russe a ét ■c arrêtée par notre contre-attaque. j Près de Zwiniac/.é, à l'est de Goro-u chow, l'ennemi a été ne'tement- repoussé. Au sud1 du Perespa, un avion russe 2 ' été c&3scend)u au cours d'un combat, aérien ^ Arm ,|3 du général comte vonj {Bothmei* : s Des attaques russes répétées dans la ré- '* gion située au nord-est et au sud-est d't 1 Alonasterz/s'xa se sont écroulées avec d€ 3 fortes pertes pour l'ennemi. o Théâtre de la guerre danisi les [Balkans. La situation est inchangée. & Le 3G juillet, un aviateur ennemi est .. lômbô au cours d'un combat aérien livré . au-dessus du lac de Doiran. * 3 * * 3 Berlin, 29 juillet. — Officiel : Le 27 juillet), la station d'a/iaii.m rus'«e ' de Ltbara, sur l'île de Zerel, a etedouoi.-veau attaquéo à deux reprises par une de nos escadrille d'ii^dro-avions; l'une de ces atfcaquce a ét/6 et'iectuécs au lever du jour et l'autre à la Soirée. Malgré une forte dé* t'ciLse, nos aviateurs ont obtenu de bons résultats et nous avons observé, sans qu'il puisse exister de doute à- cet é^ard que les haï.gars ont été touchés e'j aue ineen?" diei y ont éclaté. Une des n*iW>u5\ de Jfi-* statinJ d'aviation ^eveiijieVa^H'X^m^ flammes. Berlin, 29 juillet). — Of.icjelXr r n La, deuxième année de gTierre touchant à \ sia fin, il est intéressant de donner quel-- quea statistiques sur les îAsuitats obteuus : 1° Jusqu^à présent, les puissances centrales ont occupé en Europe les territoires ennemis suivants : iielgique . (en cliiffres ronds) 29,000 km2 } Franco 21,000 —. Russie 280,000 — Serbie 87,000 — Monténégro . . r . . • . 14,000 — Total . ."~431,000 — 1/ennemi a occupé : En ALsacc (en chiffres ronds) l,00rj kni'2 ; En Galicie et en Bucovine. • 21,000 — Total . . 22,030 — A la fin do la première année de gue-rie, la proportion ct-iiti de ÎS-O^OOO à 11,000 kilomètres carrés. 2° Le nombre total des prisonniers^ de guerre s'est élevé, vers la fin de la deuxième année de guerre, à : /En Alletmagnd - l,6|6i3f,794 En A utriclie-IIongrio 942,489 En Bulgarie (chiffies ronds) . . 38,000 En Turquie (cliiitfres ronds) . . 14,000 lotal . . 2,65S,2.fe Il y a ur. an, le nombre total dm pi|-sonniers de guerre en Allemagne ci 41 Autrichei-IIongrie s'élevait «à. 1,095,400» Comme prisonnier^ de guerre rusées, il se trouve -en Allemagne 9,010 of.iei^rs êf] 1,2j2«,872 soldats ; ei Autriche a Honig'ri§ 1,242 efficiors et 777,324 soKÏ'ats ; en Bu» â'arie et- en Turquie, 35 ofriciers et l,43i hommes, soit au total 13,294 officiers e| 1,9Sl«6|3l hommes. Jusqu'à présejit, sont en capitivitô c-n^ Allemagne : Français 5,947 officiers 34S,731 hommes, fusses 9,019 — 1,2o2.872 — Belges 666 — 41,752 — Anglais 947 — 2-9,956 ►— Serbes — — 23,914 — Tptal 16,569 — 1,647,225 — 3* En Allemagne, on a relevé jusqu'à présent comme butin de guerre : 13,0^6 canons avec 1,747,038 pro ectilcs; pistolets et revolvers et 3:450 mitrailleuse 11 y a lieu de faire remarquer à ce su. que seul est indiqué ici le butin amené ( : Allema.gne, alois qu'un nombre imposs^b à évaluer approximativement de canons, < , mitrailleuses et de i'usil-s avec mVitutioi ont été immédiatement employés en camp s " . . 4° D après la dernière statistique « 5 uombie des- personne* appartenant à 1 aim ^ de c;i.mpagne allemande qui ont été soigné dans les ambulantes de leur patrie, 90 g ]X>ur cent sont redevenue» aptes au servit 1 1.4 pour cent sont mortes, S.4 pour ce sont i-esc«ie> inaptes au service ou ont t , lenvoyées en congé. Grâce aux mesures hygiéniques, spôci, lenient- aux vaccinations immunisantes 1 gomeusement appliquées, le nombre des sv: c dais aUeints de maladies épidémijues e resté tout à fait insignifiant. En l'occu ' rence, il ne s'est jamais agi que de mal * dies isolées et jamais les opérations mil taires n'ont été entravées par des épid mies. ♦ * * Vicnne, 29 juillet — Officiel d'hier à mid Front russe. Plusieurs aitaques russes ont échoué s ■ le Czarny Czeremosz su {/rieur. ; Dans le secteur au nord de Brody, l'e 1 nemi a continué à nous assaillir, hier, d rant toute la j^juniée. Toujours repoussé | nouveau par nos troupes, qui so bat taie avec entrain, Peimemi ni'a pa^. pu gagner 1 pouce de terrain, jusqu'en fin de journ^ . Co ir'est que dans la soirée, qu'à la sui . d'une nouvelle attaque en musse, le>Buss ont réuSvSi à jx>n.étier dans nos- positions l'est de la route conduisant de Leszniov B.rodft'. Sur _ la lisière .sud de Brody, n-tiv>u|)es continuent le combat. Près de Rustomy'tjy, en Volhynie^ û< détachements austro-hongrois ont déloj H ennemi d'une redoute avancée- Au nordrest de Swinuichy, nous '-opposoi une contre-attaque à un envahissement 1 cal des Jiusses. En Voll^vnie, après quatre semain ' d'inaction, l'ennemi a repris son ofîensi' ■ depuis la md-juillet Tout ce qu'eJle lui J mppoité jusqu'ici, se résumo dans le fu L que, de notre côté, la ligne de front a é ■ rcculçe de lu kilomètres sur une étendue ( 80 Kilomètres. Une série ininterrompue c ■ violentas attaques et. des sacrifices sai nibm'bre repr'îsentent le prix dont l'ennep ■ a dû payer cet insignifiant gain de terrai] Front italien. Sur toute la ligne du front, aucune a tion quelque peu importante. Dans le bassin de Laghi, une /patrouil' a exécut ; un coup de main et ramené pi 1 son: lier s 1 officier et 27 hommes. Dans le secteur de Paneveggio, la a nonuade ennemie a continué, vigoureus< Des détachements italiens peu importair ont esquissé des mouvements offensifs, er rayés, dès le début, par notre feu. Front du Sud-Esst. Rien de changé. Sur mer. Le 27 juillet au matin, nos escadrille d'hydl-oplanes, attaquant Otra-nte, Mok Bari, Giovmazzo et Molfctto, y ont, ave un succès des plus marqué, lancé des bon hé* incendiaires et d'autres bombes de tou calibres sur les gares, les objectifs mil taises et les usines. Nous avons constaté, surtout à iBari, qu les installations do la gare, les usines ' < lô palais du gouvernement furent atteint en plein et quo le feu y faisait do gtraind ravages. Eu dépit du tir violent de l'en rjcmii, qui leur opposa aussi ses avions d défense, nos escadrilles sont rentrées ii: demn.es. * * * ConBCa-ntin^ile, 2-S juillet-. Officiel d quartier général, 7 heures du soir : Sur le front do l'Irak, dans le secteur d Felahie, il n'y a pas eu de combats. Dan le ssetcur de_U2uphrate, près de Korna.n > troupes se sont emparées d^plû^eurs*"' na vires ennemis chargés de vivres; elles ont tu 9 et. blessé 4 Anglais de leurs équipages. Sur le front persan, pas de nouvelles , signaler. Sur le front du Caucase, à notre ail droite, l'ennemi a couvert du feu de so artillerie et de son infanterie plusieurs d< jachements de i-cconnaissance qui ont t£nt de s approcher de nos tranchées et ont ét partout repoussôs par notre feu. Dans c seqteur, un détachement de cavalerie ennem a. <'té dispersé par notre violent feu d'aï ti'lvsrie. Au centre et à notre aile gauche pas de nouvelle* importantes à signaler. Le 26 juillet, un avion anglais s'est -élev du bord du vapeur ,,Giron", que p?roV: ge.ue.nt des torpilleurs français, et a la-nc des bomhes sur Ilaiffa et les* environs; il j iué^ plusieurs enfants et une femme. Sur le front égy ptien. dans la rég'ion d Ka-tia, des miconU-es de patuouijles ont eo une îvsuc t.: \ orai>le..-pou^. ^lous. * * * Constantinople, 28 juillet. — Officiel du grand quartier général, 8 heures du soir : A la suite d'attaques russe» entreprises dans la direction de Baiburth et de Mawa-charun contre nos positions au centro et sur la rive sud du Tchorok, nos troupe-se sont retirées eu bon ordre en maintenant leurs lignes successives et en confere-atuquant. A notre aile gauche, au non du Tchorok, dans la région côtière, nos troupes se sont également retirées volontairement sur l'ordre qui leur en a été donné en suivant le mouvement du centre. Par suite, les localités de Baiburth, de (ruomuoschkhame et d'Ersindjan sont tombées entre los mains de l'ennemi. t ,.s progrès, que les Ru'-s*is n'ont ebtem [qu'an prix de pertes sanglantes, ne peu von' influencer notre situation générale su: ce front. J^es ternies dans le-s»]uels les com ^niuniqués officiels russes parlent de n.otr< ;.le^lrlite, oui n;n été qu'une nécessité stTa aégiqùo, sont d'une exagération manifeste SLes Russes tentent de faire prendra notr< mouvement jwur une fuite : or. il y f ' lablc ]>ar le feu ennemi, notre armé© u^ft | r'ou laissé derrière elle. Le fart «n e i.-ov.à 1 avons emmené toute notre arti'lk^io o" «3 tout nou'o matériel démontre l'ordre |jî>i-.5 lait do la retraite à laquelle nctre anme ^ s'est résolue pour des considérations d» t r-^ minéos. \Â i'oidant plusieurs contre} atttiqi.es jro* uo.:c(.'CS au cours dfj l'op^-i\ai'.i;)i», nous * avons fait un. grand nombre de pris iiidutv La î>erlo d'Erzindjan e;-t regretsble, mais 1 comme il s'agit d'une ville ouve:te:. elle .fe n'aura aucune influence sur nos opéra: i u:s •(J générales. A notre aile droit?, dane les so.'teu p. >!e 2l €l ("c la»' ®'tti,ation e. t iiu- 0I la4:.^e, l'actixi: : iatcrmittentè de 1 ea-^:[ hemi y étant arrêtée j>ar nos contAo/i'Ojj-'. u vements. Les forces rus-^ss quii avn.e.ift ''|réussi^ à atteindre ie secteur de iîe-.iuA a ^ |oni été chass.'e* de la l'iroi o 1 . la &ui:e de plusi nirs combativ heui.ouix j.ouip I nos armes*. Des trois armées qre ivus ^ avions ]>ostôes sur le front s'été iduiit «.lut |u/i de la Perse jusqu'à la mer Noire, u ^culo celle de notre aile ganche a diâ si . ^rejilier quelque peu. Tandis quo les R.u. s^aj î" signalent le fait comme un grand suco^J ^l'année de notice aile dmite avance cons'J tamment au sud de la Perse, et» notre cenJ . »e_ domine complètement le secteur d'Asti 1: |&e'dj;v 1 et les régions occidentales de cette ëpnlrée. Les prochai îes opérations qui a m-ir ront lieu- à bref délai montreront que 1 p 'Russes se sont trop hâtés en répandu u :j|a :1. Nouvelle de ces snccvs: soi-disant imjort:]pt3 u- cfc^Oivclles erreurs contiennent leurs Jom-

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