La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

1749 0
17 februari 1918
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1918, 17 Februari. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 17 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/p26pz53355/5
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

mmancno «« « «*»•** —— s -— — — U BBBBBgMBai" III ' I I 1 I ™eggB!ggt8iMeiaaa!ggSaBBHM™g!BeiM' PRIX DES ABO^IN ^ ^ «• ^ ' ^ «OU MOHECSEE.' pC-.;: ■—■vr-s^-r:.y-sac.-^7rf?.Trg. /] itinursi* hiii .S/A. OQ&CS. J~1 UfUUJ u. HUl . 4-»* ■* » f M *•»• g.rsàra - 1,293° jour cl© guerre Il no servirait à rien de vouloir dissimuler que ie-i Centraux viennent de rvm-por>er uiie grande victoire uipiomati^ue. Le 9 février, leur» dt-lcgu-.g à brest-Litovsk ont siGné aveo lotu-iuiiie le traita do paix que nous avoua 8i0uaij ava.uL.ii.ei et dont vont résulter pour eux des avantages considéra Lies. Au point de vue iCo-nowique, 1» paix avec l'Ouk ruine va rendre peu u peu complètement inefficace le tL,cus organise par le» Allies contre ie*» l-'uiofuu»;^ C'eit.a.es, ei ce, au motmeit même ou lac-lion des sous marins allemands s'aFf.rmc de plus en plus insupportable. Au point de vue miliuwra, c'eut la mise à nôant du peu despoir qui restait à l'Emeute d'oWenii encore uoie aide quelconque de ses anciens a.li s sur le front ce l'Es*. Dcooncertô par lu décision des cfcélûgus do la (^uadrupliee et de l'Oukraine de poursuivre leurs négociations sans se laisser arrêter par ses subtiles tentatives d'ola.ruo-tion, et sommé du reste de cesser ses i»a-liuodies, M. Trotzki u pris uiie cucisiot digne de lui. Il a déclaré que son gouvor-neiuent considérait la guerre comme terminée et ordonnait la démobilisation de 1 ar-m e* Sur quoi il a, sans plus vouloir en fendre parier de la conclusion officielle de la paix, repris avec ses compagnons 1< train pour Pétrograd... Prudents et réfléchis comme toujours, les Allemands ne 6e montrent que médiocrement disposés «à croire Sincère la décla rai ion de M. Trotzki. Lesurs journaux «o demandent quel piège elje cacho e. se mon trert surtout sceptiques en ce qjui concern( la démobilisation. Néanmoins, le baron von Arvîonno constate, dans le ,,Berliner Tage-blatt'', qu'il résulte des observations faites par des oi'f ci ers allemands que l'armée russe a réellement évacué ses positions.Plus un seul poste russe ne fait face aux. Allemands sur certaines sections étendues du fro t ou des centaines de canons de tou caiibro ont été laissés à 1 abandon. Devant Dunabourg, dont les fortifications ont encore été renforcées avec une activité fébrile au cours de l'é4é dernier, on ne voit plus un soldait russe : les troupes allemande» pouiraient entrer dans cette puissante forte-ress3 sans être saluées d'un seul coup de canon ennemi. I^e baron von Ardeuno admet à la ligue u que la démobilisation russe puisso n'itn qu'une feinte qui cacherait une réorganisa faon de l'armée. Mais il estime qu'il serai evtrômemoDt difficile de faire, des dï>ns de llu-n^e rudse amputée de ses éléments polonais ot oukraimens, une «rm.e capable d combattre. PondUnt lon^tjjiuya on.ooro7 L Wnistre garde rouge ces ma^imalis.es n© set composée que de bandes de pillards et «I as Bassins, capables^ assurément de terroriser le; populations plifiibljS, uiuis ubsoluuieiit m. puissante à opposer une résistance efficace ira adversaire organisé. • » • En réalité, Pincolkrence de la d'iploma-fcie des bolehevisteà à Brest»-Litovsk a o pour résultat de laisser l'Aliemigi-e mai tresse do réorganiser à sa guise la parti, de I Europe orientale limitrophe cte sos fron tièies. Nous disons à. sa guise, mais auSs a la plus gra«ade satisfaction des peuple îutéress'». A coup sur ces peuples ne radou tant rien autant, apr s avoir g^im sous l'op pression tzariste, que d étne livrés au terrorisme maximaliste, et c'est à cor et à cri qu il! demandent aux- Allemands l0ur protection Nul doii'o que ceux-ci, sans prendre le moindre souci des faits et gestes des Lénine. Trotzki et consorts, vont procéder méthodiquement en Pologne, en Courlande, eu Li. thuauie et, vraisemblablement aussi en Esft'io-nie, à l'instauration d! un ivgime compatible avec la sécurité de l'Empire et dins l'établissement duquel, pour la faire durable, ils tiendront le compte qu'il convient des aspirations des peuples intéressés. La signature de la paix avec l'Oukrtiine, qui a dégagé les frontières de l'Autriche-Hongrie, facilitera certainement aux Allemands la tache qu'il leur reste à accomplir dans la partie septentrionale de l'ancien frout do bataille do l'Est. A l'extrémité méridionale de ce frout, on peut croire que le canon s'est tu pour toujours. Coincés entre l'Autriche et l'Oukraine, les Roumains 8ont, en effet, dans une situation intenable et m3me absolument déscspirîo : ce serait c© la démence do leur part d« vouloir coutinuer la lutte. A ussi bien la Roumanie vient-elle d'échanger dos notes diplomatiques avec l'Entent» et d'amorcer 'ks pourparlers officieux avec lcte Centraux. • T * * i-o. guerre prenant fin de la sorte à l'Est au grand avantage d? la Quadruplico à qui elle laisse le champ libre à l'Ouest, les dirigeints de l'Entente sont désemparés. On lo serait à moins. Ils ne mesurent toutefois pas e.icore l'étendue de leur responsabili é et ne se décident pas à envisager do sang-froid la nécessité, qui s'imptise à eux pli s impérieusement que jamais, de négocier la paix honorable aue leurs adversaires leur ont si souvent offerte. M. Wilson, le président d'im peuple qu'on dit. esseuùillement pi^tique, t'ai!, de la théorie. Dans soa récent discours, il se d>s,lg de n avoir pas trouvé, dans les d'clarations de* comtes Hortling et Czeri'in, la prem e d un sincère désir de paix et d'ôtre i>ar là forcé de préconiser la guerre à outrance. 11 se réjouit par contre à 1% pensée du bonheur sans mélange qui sera le lot de l'huma-mté lorsque %€Ti enfin terminée cette guerre nu couteau : il veut dire sans doute lorsque, Les peuples de l'Europe étant décl nés par la mitraille, la misère et le» privations de toutes sortes, les^ Américains se trouveront < treles maîtres incontesté» dlu commette et ue l inoustne d»i monde. M" )^l0J"<ii,G?r'rgO *°n ctt"5 » pftr!6, nue teterpcillatioxi décidé a- M sur I* résultat» deJ» aX- »U1W J ajaiit ohhg^ à t;r,n,lra Son \CrlïO n'a plus le mordant de naeufîrn 1-e Gatlois tétu qui écartant à!^\cnenfWi ment l'idée de faire la paix et souriait en dormant l'ordre d'envover à la mort il?a centaines de millions d'nommes, ne plai-annte plus aujourd'hui et nJinjurie plus per-Kwine. Certes,, la possibilité do discuter la paix avec les Centraux ne lui apparaît toujours pas et il reste d'avis qu'il faut aller /«aqu'au bout. Mais il ne parle plus de la victoire finale qui faisait Te fond de ses pr'c'dents discours. Il se contentJo do près- I *cr l'Entente d'unir tontes ses forces. Pour astiquer 1 Non, hélas I mais seulement pour â défendre contre un ennemi dont il a si souvent, avec une coupable Idgèrêtë, pro-l>Qétis5 le prochain effondrement... Cette nouvelle attitude ch M. Llovd George a produit une impression fâcheuse et personne n'est surpris de voir en ce m<> ment de grands journaux anglais faire éebo ■ aux rumeurs qui circulent d'une crise mi-J nnt(rii lle imminente. S'il 60 pouvait que j Cet homme d Lt.it n-fase f^t à la veille »e vlisi^ira tré de la sCoiie P'd tique, ce sera^ ! un boulieur jiour l'humanité I Les peuples meurtris pourraiienit enfin re.^-nre'r, ot 1 os-£»riir renaîtr: it Ce voir se terminer la lutte p fratricide avant que l-i d'ichéauce de l'Eu-rope soit iiTéuiédia'blennent con&omui,'o... Négociations de pais ;st. Betlia. 15 février : lu de il^s en plus di'ficile à la i.er Commission aLomaïuie envoyée à Pétrograd lu. de continuer ses travaux. Les Commis-Co_ s..ireâ du peuple, surtout MA1. Lé-mue Oc fe Trv>izki, se derobeni sans cesse sous les •us pr textes les p.us divers. D'autre part, un inciaent grave viout ae se produire diins ao- une affaire concsii-nant les prisoiuners de de gueiTe ct'-les prisonniers civils allemands : de gouvernement rus^o a r-trar:té là lende-peu maiu une promesse faite la vieille. Dai s nir conditions, il est [Crmis de se demanda uer si la prJsince do li Commission allemande est encore vraiment utiia à Peti-o« u g^- ar- *** ilx_ DorUn> 16 février ; uc_ La commr-Biou allemande ainsi q,uo les pa- commissions des autres puissance» coalisée-- iion 01 Jt quitté Pétrograd Lia- et ont passé et cr_ matia les lignes allemandes. mi- * • ar- Vienne, 16 février : 0jr Les journaux puolient des informations •liL1 de souice autorisée au sujet, des de'ilibéra-je cions qui ont. eu lieu à Brest-Litovsk. La paax a\ec l'Oukraine parausisait d'autant les pl"s (fc-sirable, d^ent-ils, qu'elle est de na. ;r*e- turo à nous ouvrir i©s pins riches grenie»-» cla. de blé ce 1 Europe orientale, et on ne tar-jsq dera pas à transporter en Autriche les iOLl. stocks do blé qui y existent. Uno commis. :rue six>n spéciale a été nommée pour procéder ■on à l'inventaire et à la répartition de ces ^e- stocks. L'appui que les Puissances centrales tes prêteront eii cette circonstance aux Outrai i(;-e niens sera non seulement une aide to:hni-lus (lue» aussi militaire. En el'fet, il sora Lie- probablement iucessaiie ce i'aii-e occuper t|ll mintaireimeiit les dépôts et les voies fer-tout r €S pour défendre les stocks contre les ensuit tropxisee des bandes de pillards et des boi-e-,_ chevistes. Il ne s agit pas, Oyidemmeui,dans nie espaça, d'une al.lance miliuûre entre la lus t,»u^drupli^c et l'Oukraine, mais tout sfm-le» plement de i organisation et de la mise eu te- œuvre moyens qui doivent assurer la de socurxté et le transport des i-ecoltes. * • • ,0ir Vienne, 15 février : «.tre ^es ddflicullés <;ui se font jour ©lire l'Ou-isa- Emilie et ia Pologne au suet de ia délimi-rait rati°n des frontières de la nouvelle répu i de blique teilo qu'elle a été arrêtée dans 1< p.0_ traité de paix oouclu avec les Puiss-mcci c de Centrales concernent plus spécialement -L la lQ district de Cholm. Etiuiugra^hiquemen sera paiijant, le district de Choim doit ttre cou-las- - id> ro eonune un pajs mixte sur le piel i « les n aPlJûrait pas an premier abord <jue 1» nu- Polonais aient à faire valoir des prcLontiouj œ A incontestables. La ligne de démarcabron qui divise 13 pîij-s aux termes du ftraitôde pau a été établie en 'enaut. compte du fait qu'j^ na- l'ouest de cette ligue l'élément oukrainioi. e i {irédomine netiomoat. Au surplus, la fron-nat- liére teie qu'elle ^ été délimitée par le irtie traité n'a pas un caractère définitif. Il a é ron- ta îu compte simplement de la situation '-S31 ethnographique (Îj pa^s et la dolim.titioi plus d^iilléo a été confite aux soins d'une coin lou- mission spéciale, au sein de laque-le ltf O; i- Polonais seront appel's à faire valoir leurs 6m^ arguments. Cette commission s inspirera d^ i iis désira de3 populations iatéressées et celles-ion. ci seront appelées à décider eUOs-mémes d< jin- 'qtir sort. Les décisions jaises n'ont pa» eu ine, lieu dij surprendre les Polonais, vu qu'au-->di- eu ne concessiod d finitive ne leur avait été Li- faite et qu'eux-mêmes avaient insisté n«près no- du ini iistère des affaires étrangères à Viem*e ;ble pour voir appli iuer en l'occurrence le prin-"ta- eipe du droit reconnu aux populations de •le, disposer Iibroment de leur sort, dts , • , »• Vienne, 14 février : • ne. Ou annonce que le» Roumains demandent he- ee qui suit : lie- — Les Puissances centrales reconnaîtront >lir la souveraineté du pays et laisseront à la ien Roumanie seule le soin de décider quelle dynastie la gouvernera, l^e, Roumanie est °n dis|>os'e à céder la Dobroudeha, mais, en ou- guise de compensation, les Puissances cen-ju- traies lui assureront un appui bienveilLxnt ins dans la question de la Besairabie. Dans ent les milieux politiques, on estime que les aur pourparlers prennent une tournure favora-i^n ble. •tes On mande de Burnrest au Bureau de cer corresponiliance que, d'après des nouvelles ix. ce source autorisée de Jassy, le général A vereseu n'a ^pas encore complètement con--st ptitué le Cabinet. La base du programme lui du nouveau gouvernement est la conclusion les de la paix aveo les Puissances central#*. On — «, il La guerre navale ]rr_ ™" li s Loudree, 15 février : la IVlcgramme envoyé ce matin da Douvres ur par le correspondant particulier de l'Agence Heu ter : on — cetito nuit, un engagement a eu lieu io- darfg la Madiche. Ver3 1 heure du matin, h au milieu d'une profonde obscurité, une «s violeete «janonnale s'est fait entendre à ve l'ouest de L>ouvies ; elle a duré trois 1:\ quarts d heure environ, te ma-tin, des oa- 11 davres d'Anglais ont étA débarquée, ■n- La canouïkade est devenue plus intense à ia- mesure que les navires poussaient plus re avant dans la Manche ; puis, elle s.cst len- ie, tement éteinte vers l'est. la l^e3 bâtiments du marché do Douvres ont de etô tran&lormés en ambuLaaiee. I^s matent lots blessas y ont été transport<'s. et » • , Bcrlm, 16 février : .6, I-es dféliats à la Chambre des Communes ,h anghûses, au sujet de la guerre sous-ma- p- rine, ont démontré l'inquiétude de l'arme- i. inonit bmtonnique qui rOnonce de plus en 5. plus au trafio entre les ports de la oôto z- orientale et ceuac tie 1^ côue occidentale et it de l'Irlande. Le danger que fout oourir lies 's sous-marins à la navigation à l'embou- |l" °liure de la Tamise, a pris des proportion* telle6 la presse anglaise s'est faite lf in-Jcrprète d'un bruit, déaneuti tFailleurs par u- le gouvernement, qUo le port de Londres r aviut été fermé à la navigation. Le ,,Jour- i nal of Commerce" du 31 janvier, établi ** r?U*^qSarî ^ vivreS ^Portés par la ?- Grande-Bretagne eM ex^-dié en transit par r ,|'e3 uavrree côtiers ckis ports irlandais vers r la côte orréntale. I.o mémo journal attaque n très vivement M. Monery, direof-ur des ser-^ vices de navigation, au sujet des naviri ton J liés sur cette route, lui reprochant ses d déclarations où il prétend que les oonvois a de vivre» sont ai efficacement protégés, que - au cours du mois de décembre 1917, 8.3%' îJLwuIemeai du Wé trau^po^ ogiOé», -rtrra*,*i*"3ammates—rr •■r'Wiri^wiwB—MBsgea mi- — Ces d'clarations, dit le „Joumal < que Commerce", sont eu contradiction flagran; e ie avec le nombre Kol de navires torpillés ( serait avec la pénurie de vivres qui depuis se iples fait resseutir dans l'Angleterre tout entièi- t e«- Au surplus, les convois de navires oôfeie lutte ne »>nt pas protégés par des convoyeurs. .'Eu- Ces commentai!es démontrent la valei ... qu'on jeut attacher aux déclarations ofl' cielles anglaitea. Stockholm, 15 février : On mande de Gothenbucg que le vape „ftUia'', du Lloydi Suédois, jaugeant 1,7' à la ioimes, a coulé au large de Peter^ead. •grad îmis- Amsterdam, 15 février î a Ol On mande de Flefcsingue que lo batea les pilote qui était à la recherche d'une mil , un frottante, signalée par un bateau de péch diins a sa; t5 dans les eaux de l'Escaut orie i de tal. Une petite chaloupe de pêche, qui ni ids : vignait do conssrve avee le bat^au-pilc endo- ^'ost éga'ement perdue. Lo capitaine de Dai s dernier est mert, cinq hommes de l'équipaj man- 6ont port's manquants, de mime que tre aile- matelots do la chaloupo de pèche. Petro- »■ EN AMÉRIQUE '. *ca New-York, 16 février : ..i>ces La commission sénatoriale a rejet», Ce l'unaniuiitô moins voix, une motion i i-oste à l'instigation de M. Wilson et de ie vote aurait donne au présidât des p< voirs dictatoriauix. uona ^ l • , » * l Washington, 15 février : Le présidient Wilson. a publia un déC] uta-n t aux terme 3 duquel tou les les importai ions ^" exportations seront, à partir du 16 févrii subordonnées à l'autorisation du dôpar , " ment commercial de la guêtre, les * ^'s" Berne, 15 fô>vier : r On mande de Washington que Mme Jor . , c,eB ne!te Benkin, le seul membre f.'miniu < .laas Congrus des Etats-Unis, a dépeaj sur ''.vral" bureau, du Congrès une motion où il € i2hln- dit : t sa'a — Le gouvernement des Etats-Unis reeo '"^VI naît le droit à l'indépendance politique « er" l'Irlande, l'Irlande devant être considér ^eiJ" comme l'un des pays pour la liberté et > ooi- démocratie desquels les Etats-Ums se 5>jans entras en guerre." 5 On ne 6ajt pas encore quel a été lo se 31 ra- réservé à cetto motion. e eu * ^ i * • Br m Londres, 16 février On mande de Montréal que le feu ayi éclaté au couvent d"S Soewrs grises, oinqua enfants qui dormaient au quatrième éta sont morfc dans 1 incendie-.eluni-nfïë EN ITALIE sances —— >nt -lo Rome, 16 février : emeiu D'ab ris une nouvelle officieuse du „Gi< i Con- na!0 d l'ialia", M.Soninno portera à la ce uel ii naissance de la Cliambre une modifieati e le-s dos buts de guerre italiens. ntio.fs • 3^™ Les évéEgmanics de Russi uulaa Londres, 15 février : fron- Le „'limes' apprend de Pétrograd qui ir le uécret on daio du l-i courant ordonne [l a é d^ mobilisation de l'armée pour le 15 uu LuUion au ^ns tar(^* ,J^. P^f^r de ceu0 date, to titioii ^e'S P11011101'18 ùl awnte ainsi que les soki î com- C6SScrWit d'< tre payés. 8ieiJ^S Stockholm, 15 février* : A ia dfjmaïiile du gOuvernVïmenlt, Ubrewsky, re^inésautiint du gouverneane Z % maxlm^iste» ^ parti à boid d'un navi is eu d0 >rucire suédois pour les Hes Aland ; lu'au- tjnter,i (i ^ptehiêr les solduts russes it été oomi,,cttre des actes de vioience et les e upr-s 6aëei>a a quitter les lies, au besoin mêi a t*>rd do navires smidois. i>rin ^ dc>u-vl^œc expuliti'on navaJe suedoii l iC ^ _Fuilande a quitté Maent^iuoto l'aprc undi du 14 février -, elle ramène 639 pu sagera en Suède. *** # Brime, 15 février : Kent Litvinof a dit à. un journaliste à Lo (m . ™ Ouû le gouvernement anglais a déck v l« ajourner son projet d'incorporer les su je i^ii r,iS?c3 dans l'armée anglaise, jusqu'à ce q, it Sî3i-t'xtrancii,e la question ],endaute de la v; est Udité de la Convention anglo-russe ielati\ en u 1 obligation du service militaire à mii> îw ser aux ressortissants respectifs des dei -v l Pays. Les bolchévistes refusent de recouua validita de cette convention, sot ' 08 prétexte qu elle a été conclue avoc les r roTUr représentants de l'ancien régime et non p? avec le Conseil des commissures du pej œ pie. elles « léial i s Ilajo, 16 février * con" Kepoakjint, à la secontte Oliacibi-0, à ir nnia (iU&sticm couocruaail 1 auuuialion d(a e: «on priBits ruwea, M. Liulou, mimatiedtes1 al'fair le». etraiigèrc», a dit que le gouvernement née lanoais ayant proposé auix autres gpuveru } ments neutres d'agir de commua acco l'Es[>a^ne s'est déclarée d'accord eu pri cipe. La réponse des [>ays Scandinaves ivrns i ^ STliss0 ^ attendlue. Dans lentretemp rwirA :a i^tlon uéeilmidaise à Pétrograd a pr > L teste contre tous actes des commiissaircsi c i:... [fuPla <îo "««ro à porter prBjuûioe aux ii •îti-i i' ® nc0rl!tarîai», en eo tN«ervant le dro une' TCC,amer des dommages et jat^te. e à Stookliolin, 15 février : ^ Le journal „Sooiald( m:)kraten'' annon. juo son collaborateur Boebme se rend e ^ P°ur y gagner les a 'moCrat®! «< ,1 finlandais à l'idée de proroger à 1 t;, ^,Ufede C liltcrvenir comme arbitre outre \< ie!Q- doux partis en lutte. ,tT^es îjDagens Nylieter ' aourenn«nt â Wa-sa que M. le sénateur Ilenfall aurait d< clare que le^ gouvernement suédois s'a montré tout disposé à assumer le rôle d'&] Intra en Finlande pour mettre d'aocord lç l-artis adverses ou fout au moin# obtenl *»ûs îa conclusion d'un armistice. Le gouverr* - mcait finlandais aurait répondu à cette pre positon qu'un arliri triage est iniaidimissnbfi oôte P<^Ur. ' mai? (>uo ^ conclusion d'un ai 6 et pourrait ^tre prise en consid-ratior J DÉPÊCHES DIVERSES par Fraiicfort-sur-le-Mein:, 16 février : 1res Du CurraspoudaiH à Berlin du 1» „Gaztti >ur- (iO Francfort" : ibli — Des d6oi»ions importante", <fui aeroo la ptidl'ées incessamment, ont été prises m par -cours du oo»iseil tenu an grand 'nmr'iergé ers néral. Ces déoisionB seront probablemen que communiquées par le vice-oh.ancalier *oi M»:- Pa^er ara ohefs di^ différantes toctions di .ree ficrchsbig lars de l'entrevue que !e repré Bee sentent du ehancelier aorft ces jours pro ois ohains aveo «s personnalités poUtJqncs. I .'S?' ^ ^ présumer que ces décisions eonoomun '% plu» partieul'&remûa» les ooeséquas.^ poil të». U^ngt «| mitltûire» ^ déooulanl djl^wju. vrvrri MMicoegagaa»—r"' i;TT""iTTr î'th^ îal of clusion do la paix avec l'Ouvrante, d'une agrante part, et la déclaration la cessation cfcc illés et ;l'état de guerre par les bolchevisies, (l'au-is s est tre part, aussi bien d'ailleurs que la situa-entièie. tion créée par l'action ces liolchovistcs et côtiers le sort des pop.uilatuii*is de la Crautitëre russe, eut s. maniioées par les niônées anarchistes et provaleur voquantes des maximalistes. On se trouve is ofl'i- ici en présenCo d'une série do problèmes très difficiles à résoudre» Selon toute probo-bilito, on s'est placé au point de vua dans lo quartier général, comme d'ailleurs M. vou vapeur litihimaun Pa déjà déclaré au cours de la nt 1,700 dernière séance à Brest-Litovsk, que la sus-jad. pension dc3 hostilité^ a été consentie on vue d'une prochaine conclusion de paix et que, cetli3 ôveiituaiité ne s'étant point produite, bateau- l'état de guerre continuera donc à exister ) mine après le délai prévu, fci donc les bolche-p^che, vis tes ref osent do conclure la paix, ce refus orien- sera considéré comme une dénonciation dn jui na- l'armistice. On a li^u de croire que l'Aile-u-pilcte, magne e^ se» coalisés sont résolus formelie-de ce me.it à mettre un terme aux tergiversations quipage des masimalis'as. io trois * • + Berlin, 16 février : — Le ^,VorwarJS,, apprend que, dirna les „ mi Lieux parlementaires, on est convaincu • que lo point principal h l'ordre du jour de la procliaiue réunion du Keiciistag concer-neLa lo traité de p^it conclu avec l'Ou-&:etô, i\ kiaine. Cçtto délibération sera jointe aux taon dé. débats politiques qui, selon toutes les pré-ct dont visions, seront ectamé&i le 25 février proies pou- chain. Au cours de ces débats, le chancelier Hertàiug exposeia la politique extérieure, tandis que la défense de la politique intérieure de l'Empire sera confiée au vice-i décret chancelier von Payer. utions et • # * février, Paris, 15 février': départe- l'Agence Havas : Sur le front à 1 oue&t, les indices anuon»-,;ant do graves événements se multn plient. Les aitaques répétées des Allemands et 'em ae Joli*- activité at'rienne de plus en plus grande, iniu du donnent l'impression aux milieux oompci-sur le teuts ^ue l'offensive allemande e?* imminente, il est « * « Paris, 14 février : > reoon- I-e correspondant du „retit PariBÎen" que de sur front anglais est d'avis qu'une nsidér«*o offensive allcinando est inévitable. „I1 est é et la u-'ceesaire, dit-il, d'en informer nettement s sont !e public de manière à éviter la surprise et lo découragement lorsque l'heure critique lo sort aura sonné.'' D'autre part, esi présence du formidable raccoui-cissement du front à l'Est, le ,,]\Iaifciin" estHmo au'une offensive austro->u ayant hongroise en Vénôrie n'est pas impossible, ûnq uante •** e otage Paris, 15 février : M. Hervé éerit dans la ,,Victoire ' que la —• direction do l'année britannique en France, n'a renouvelé que pour un terme de six mois l^s contrats de louage qui avaient été conclus au début de la guerre pour un ,. terme de trois ans. EJle serait persuadée î' (|U0 ia guerre pourrait prendre fin d'un se- moitra à l'autro- . • • Paris, 16 fé\Tier : Le ,,Petit JouinaV' annonce que M. Cle-IISS lti®nc®au a refusa de faire connaître, comme " les socialistes le demandaient, les r^«oln-tione prises à Versailles et que le gouver-i qu'un !iement fera de cette question une question onne la Cabinat. 15 mars „ . . • * -te tous 15 février : s 'soldes ^ar 8!,ibe 4e l'insuffisance des stoc!;a de farine, la préfecture de Paris a ordonné la réduotion do la ration de pain à 200 grammes par jour ot par t te. ^lit, M. Amsterdam, 15 février : "navirn L',, Handelsblad1" annonça que PAcodé. nd • il mie ffaû^i8« a P°r^ ^ l'unanimité des suf. sses' dn fra^cs Jo maréchal Joffre au. faateuii va- les en- °an* P®r mort de M. Jules Claretie. 1 môulc Paris, 15 février * * * môdoise .Uil mcendie S ôit déclaré à bord du na- l'anres. rVXr ^ m Asie", qui vient d'entrer à ;<j ",V1S_ Toulon. Les flammes ont gagné plusieuis * dépôts de marchandises. . *** Paris, 15 février : , à t^j C. ustavo Hervé est cité à comparaître le décidé ? mar3 doTatl* le tribunal de Ire instance îss retq fcaitto, pour y répondre de ses accu- knftn safeu)ca contre M. Caillaux. -* *• que ^ îelativ» Londres, 15 février : * ( im.uv ^ Chambre des Commune» a voté l'adresse i deux 011 répCttlfle au ^scours dis Trône. comiaîî Londr8S) w {<,Vrie*r** les ^ , Cta Croit que lo g^ntonl Eotatson, chef ion na« , '.<5taVma^or' 6era entoudu «ame'.i oomme i pPa. témoin dana l'affaire fa colontôl Ropingtoa. Londroî, 1S fSvii»r : Lord liotert Cft il a d'claré à la Cham-à nno bra ^ .Coffll?IB® <ïue la K)«i(ion d8 la es e:iu vis-ÎUvi* da 1 Angleterre est tellement affaire. I"®11880 1.uil e®* impossible d« .'ire s'il but it n'-er- considérer oomme alliée, comme neutre >uverne ou oomme en^m;e. acoord A la qi,ts ioa de ^oir ei U. Kameusi, n prin- ou ûnlUMce 1» prooi.aine arrivée eu An- ives et K]oterre, est allé en Allemagne (>6 si M. Lit-•etfanos ministre de Kiia^ie à Ijondrcs, a, iaiiro^ 'îo,nlu<,.OI1 !« prstend, répandu des li!ielU< ire^ da rOvoLu,'io:Lu;ujCB psiiini Les ouvrier» (i:.« ïus: in- 'a',™lu®3 an-'laisea do munitions, lo rainisk-e o droit rAP<™^ 1uo 10 gouvernemant prête toute son attention atuc agissements de cea ijerson-nagea.• vnnont» J'' '1 Vr^®F ; în<! <S1 L'a l'Agence Tcl^raphique do la. presse îtes «>> SU!'956 ! r' à jfl — LfK C.irrespomiviits à Londres de» .four->re tes nallx iUï.lieo® font entrevioiai ctisrt min-ia-i'ri«l]8 en Ang5*terre. X/oppoeiti»n contre rot ie Lloyd Gooi-ge qui »'ost dessinée à la ait dé- Cliaml>1'® OoiumuMS devient da pin» en s'est £''lUi menaçante. Ca no sont pas tsuit, à. en 0 d ar_ °:'oira les bmits qui cit-culent dans les mi-a-d les lieux politique», les avisions du Conseil de oliienir S'u®rro ^e Versailles qui unt donné lieu o irvarn»- 1.'?;tu'l:<'0 agressive don» M. Lloyd George» e pro- ' i™ 00 ciucrelle personnelle aveo liss&e '* c'uf do l'état-major Ilolieiison. un ar- ^ oorrespoiidant de la Stajnpa" a-ssur« dation. 1u'011 escompte à la Chambre dos Communes un remaniement du cabinet. Dan» les milieux pacifistes, on souhaite ardemment Ç yoir l'anciea président Ai Conseil M. A squi^] " revenir au pouroir. De nombreux iibérana, amis dlo l'ancien prudent du Conseil, ont exj.rimé le vœu que lovd no «1 M. Heoderson rentrent au mini»tjèce.En inêate temps, ua des grouj>es oonaarvWaor» pro^ar» seront un assatrt contre le cabinet Ltojrd "George, es ai. Cepaœîant, _ quolquai jouiflaux iî(!Co:weiïlle|nit iergé- à M. Asqulth de sJf*«çBger dans oatte &sai-lemcn-t fire; le „Daily Mail' va mfme jusqu'à ■ von l'accuser éb „a6fait!3me''. oûs du reprt- Berna, 1B Sàvrier : pro- ,,La Feuille" de Genève apprend que !CB. Il certains eeteles politiques de l'Hmtente mi-lerrcnt raient r«yu 1» nouvelle que des twmblœ poil- «crfaote on» éclaté h Athèmaj. On oomp. la coii-^teraii di srti^wui motfi «I Uowte. 42 Communiqués Officiais . situa- 1 " " tes et Cojasatmiqaé» des Puusaucei Centrales, russe, _____ t pro- Berlin, 16 février. — Officiel de ce midi : trouve Théâtre de la guerre â l'Ouest. jlèmcs Dans certains secteurs, activité de l'artil- probo. lerie ; la canonnade est devenue plus vio- a dans lente le soir en Champagne, entre Tahure 1. vou Kipont. Do petites opérations de notre de la infanterie ont été fructueuses en Flandre et sus- à 1 est do Saint-llihiel. Sur les autres théâtres de guerre, rien de m vu<3 nouveau à signaler. » que, # # jdluite. Berlin, 15 février. — Officiel : sxistet La nuit du 14 au 15 février, nos torpH-x>lche- leurs, commandés par le capitaine de cor-a refus vette Kelicke, ont attaqué en surprise la n dm forte escadre do garde do la Manche an-l'Alle- S^60» «ntre Calais, Douvres et Folkestone. meile- Uu "fan<i navire de garde, de nombreux xj chalutiers à vapeur armés et deux navires à moteur ont été forcée au combat et en grande partie anéantis. Nos torpilleurs n'ont subi ni dégâts ni pertes et sont rentrés au grand complot. s les * • # /aincu Berlin, 16 février. — Officiel : >ur do Malgré les mesures do surveillance et de oncer- défense do l'ennemi, nos sous-marins ont l'Ou- coulé récemment dans la Manche 19,000 tonnes brut de tonnage marchand. Parmi les ai^ navires coulés, dont la plupart étaient char-i pré- fréa, se trouvaient deux grands vapeurs de pro- 6,000 tonnes brut, dont un vapeur-citerne, hance- rieure, * * • s inié- Sofia. 14 février. — Officiel i vice- S11* le front en Macédoine, dans la boucle de la Czema et sur les deux rives du Var-dar, la canonnade a été plus violente sur différents pointe à certains moments. Prés du lac do Butkovo, plusieurs détachements anglais, appuyés par dos aviateurs et de rnion^ l'artillerie, ont été repoussés. Nos détache-plient. inents de roconualssifcce ont fait des pri-et leur sonniers. rande, Sur lo front do la Dobroudscha, armistice. hipiite. Constantinople, 14 février. — Officel : Sur le front en Palestine, le temps étant clair et^ sec, grando activité des patrouilles , et de l'artillerie. Sur lo Djala, uno ron- jfcien^ contre entre uno de nos patrouilles et un qu'une détachoment de reconnaissance anglais, a l est tourné à notre avantage. irrlns! Berlin, 15 février. — Officieux: rit:mm ^ 11 ^vrier» après uue courte et violente nuque préparation d artillerie, dea détoclieincnts d'attaque • i « i un r^im®nt allemand de soldats de marine ont U'iahle traversé à la course le terrain bouleversé qui t, 10 s'étend devant leurs lignes et ont pénétré par ustro- surprise dans les tranchées belges établies au eud-fcible. oueat Mannekensvecre. Saisiesant la position ennemie aux deux extrémités, ils ont bri«é toute résistance et détruit, à coups de grenades à main, une large partie des tranchées belges. D'épaule-quo la ment en épaulement. ils ont do plus en plus serré 'rarbee, les eoldaLs belges qui occupaient les trancliées et ilo six Qui se sont défendus désespérément, tout eu au-înt ^té hissant de fortes pertes sous la pluie des grena-r un ^ ^ main. Tous ceux qui n'ont pas rapidement suadée re^u^ ^ l'arrière ont été faits prisonniers. Nos troupes ont conduit leur opération avec une ra-1111 se* pidité vertigineuse. Peu après avoir pris l'offensive, nos matelots rentraient déjà dans leurs tranchées do départ ramonant 2 officiers et 26 soldats belges, ainsi qu'un important butin, et ils ont en f. Cle- outre fait de précieuaca constatations. xmmiQ . rieolu- Communiqués de» armes* alliées ouver- Lion Pkrj^ 15 février. —- Officel de. 3 heures : N03 détachements ont pénétré dans les lignes ennemies au nord-est do Courey et en ont ramené uue douzaine do prisonniers de et une mitrailleuse. iné la En Champagne, la lutte d'artillerie s'est gram- maintenue assez vive toute' la nuit, notamment sur lo secteur de la Butte-du-Mesnil. Le chiffre total des prisonniers que nous avons faits sur ce point, au cours de nos Ar-i/te °P£ration8 du 13, est de 177. ^ • t „T ^ *a r*ve droite de la Meuse et en ?s bux- Wœvre, nuit marquée par de violents bom-1 va- bardements. -ie. En Haute-Alsace, nous avons arrêté une tentative de coup de main ennemi dans la region au sud de Seppois. Nuit calmo par-u na*- tou' « leurs. a Aviation : Dans la nuit du 12 au 13 fé-Isiôur» vner' pos escadrilles ont lancé 4.500 kilos weurs ao projectiles sur les gares de Thionville, Conflans, Chamblev, Metz-Sablon. Des Incendies et des explosions ont été constatés dans les gares de Chambley et de Metz-Utre le Sablon. stance * * » accu- Paris, 15 février. — Offioiel de 11 heures; Actions d'artlllerla assez violentes dans quelques senteurs, sur la rive droite de la Mouso, en Wœvre et en Haute-Alsaco. Doui j,._ detacuenients onnemls, qui tentaient d'abor-a.es»e der nos lignes sur le front du bois de Uiaume, ont été arrêtés par nos foui. Rien a sïgnalor sur le reste du front. , chef „Pons, 11 février. — Officiel de l'armé® somme rl Orient : ncton. . ,, 1 ouest du Vardar, deux coups de main tentés pnx les Bulgares-Allemands sur nos ont échoué complètement. A l'ouest d Ochrida, une de nos reconiMiissances a r™- dispersé un détachement autrichien et ra-3o la mené trois prisoreniers. Activité d'artillerie ement réciproque sur le Dobropolje et au nord de 1 faut Alonastir. ueutre * * . Londres, 15 février. — Officiel : raeuef, -;^r' débmt de la lurlt, l'artiilleiie alle-u An- mande a violemment bombardé nos positions . Lit- 'tabdiea itons le secteur ce Quéant. Par es, a, a.llouxs, en doliors d'eugagemeuts entre i>a-ibelléa trouilles dtais les environs de L^ns — endos s'agements qui nous ont valu des prison-tnisf-rc "iers — rien à signaler. e son Ce maton, une attaque dirigée par des erson- détachements allemands oon'tre les positions balgei établies à l'est de Merokem a été efficacement repoussée. Aujourd'hui, à l'ivube, à 1 est de Loos presse uue de nos patrouilles a surpris un détachement de travailleurs ennemie-, qui a Jour- dispersé par le feu des mitraiHeiœes. Sur ninrig- d'autres points du front, nos patrouilles iontre 011 ^ nouveau fait (les priwnnicra, à la Toute la journée, l'artillerie allemande a na en P'us active que d'habitude entre Gou-4 en zeaucourt et la Searpa, ainsi que dans le Î mi- secteur de Lens ; ello a aussi diploryé un0 il de «attefce aodvité la nuit dernière et aujour-0;1 {, d'hul au noi-d-est d'Ypres. rg» * . * . aveo Londres, 15 février. — Officiel do l'Amirauté : ssure Tera 1 l""Te. une importante Oom ®fc? rll,e de contre-torpilleurs ennemis a di-T nn« courte attaque, prè« de Douvres, i"r "?S na?irea,d<' patrouille. Un chalutiei m ent et sent navires à moteur, qui appelaient un qui* sous-marin 4 l'aide, ont été coulés. Les raucc, contre-torpiEcurs allemands Bont rapidement ont retournés vera le nord et ont disparu avant - que nos foroes navalee aient pu les forcer nême au comb!lt- y -Or*A — ® f Rorae, H février. — Officiai : ;;w . d® diversion réciproques dans nle|n,t la vs liée de la Judicario, eur la lisière *^ec- orientale du haut plateau d'Aslago et lo Kpvà long du Piave moveu. Entre le lac de Garde et l'Adige, no« aétochemonte, aprè« avoir hardiment franchi plusieurs lignes dl'obsta-cles en fil de fer barbelé, ont pénétré par que «urprise dans la position ennemie la plus surprise ; ils ont tuiê quelques soldats ot j ■ fait des prisonniers. A Test do la tôto do 1 pont de Capo Slle, nous avoua fait sauter ^P" un avant-poste ennemi et nous sommes em- i •• J_parô« d'un certain nombre do fusila. < a|s Chronique Bruxelloise .vu. L'actualité aurait pu ramasser quelques clous cette semaine sur le pavé de BruxeLes. Mais qu* .sont nos petits incidents, perdus dans ie grand. : drame qui se joue dans les Parlements et sur te* artil champs de baiailie? On croit parier de Bruxei.es viol et tout de suite on est au deié des frontières, au ihure delà de Ja Manche et de l'Océan, il n'y a piur» notre rien de bruxellois que do nom ; il n'y a pius qu* re ©t de l'universel. Tout d'abord, nous avons le discours Wiison, en de nouvelle dissertation philosophique. L'Humanité, le Droit, la Justice I Qui répondra : « Présent »c Personne. C'est ce qui fait ia force et la durée de ce genre commode d'opérat.ous or a Loir es. Les orPft* peuples a%3eptent, trop peu instruits pour scru.er c0,r" un idéal. Wiison, Lioyd George, Asquith ,C:e-9 an nienoeau prétendent, dur comme fer, avoir donné stone" dans ces mots leurs buts de guerre ! Ah 1 Wax-breux weiler, comme vous avez mal lait de vous meitre lvires dans ie. cas d'être écrasé — et de l'avoir été ! — •t en là-bas, avec le gouvernement du Havre 1 Jeune n'ont encore, vous eussiez eu le temps de former une îs au ou deux générations universitaires qui eussent appelé un chat un chat et remisé les oripeaux littéraires dans les partitions d'opéras. N'est-ce pas risible que dos hommes d'Etal et de aient sans cesse à la bouche cette trilogie mopé-.on* rante : l'Humanité, le Droit, la Justice, qua ne ??" sont, ils le savent bien, que l>a triple asp.ratoon du char8 monde depuis toujours et à jamais î... Les bom-lfl mes politiques qui ne soat pas des adaptateurs ne -me. sont rien. Il leur appartient de tracer ia routa à suivre, logique et utile. En dehors de cela, Um n'ont pas de mandat ; en dehors de cela, d n'y, a pas de différence entre le plus Ignorant éleo. >ouele leur, dont l'incompétenoe avouée se décharge du i Var- gouvernement sur son mandataire, et ce nmnda-1 sur taire lui-même, si celui-ci reste a quia sans voie* Prte et moyens. ments i^0j d'Angleterre a dit dans le discours du et de du G courant : « Chez les démocraties du monde entier, la détermination d'assurer une p paix juste et durable apparaît de plus en piu« Istice. clairement. » Qu'est-ce que oeia? Un os jeté aux démocrates I « Ça les amusera, se dit le Roi, et ,1 j pendant ce temps-là ils oublieront de mordre. * étant •** milles Si Wilson et Lloyd George se reconnaissent ron- d'accord quand ils disent qu'ils veulent une Bt un « paix sereine et durable », il est sous-entendu te, a que c'est à condition que cette paix soit telle qu'elle leur assurerait La suprématie. C'est ce qu'ils entendent par une organisation des peuple® ., , basée uniquement sur ie droit et la justice. Lloyd ittoaue George RUt semblant de n'avoir vu que des dé-no ont PÔLs de charbon à Gibraltar, Malte, Aden, etc., ié qui et d'ignorer les canons prêts à entraver la liberté é par dos mers. Pour Wilson, quelle notion de la liberté m »ad- d'autrui peut-on concevoir de la part d'un pay» )ositjon égoïste et personnel qui a créé les ■ tndésl. toute rables »? Terre avare où l'on ne peut abordef main, sanB £tre muni d'argent 1 Terre de liberté où il épaule- n»y a pour une seconde morale en de» a serru j1Qrs ^ l'américaine I O grottes et forêts de la née 6 ture sauvage, mille fois plus hospitalières que i* U na- civilisation transatlantique l Heureusement, il y a la presse. Il n'y a plut Nos un* nation dont le peuple lise et qui n'ait appris e ra- à savoir que les gens de l'assiette au beurre re-l'offen- cherchent des résultats palpables et les ouchenl s tran- sous la *orme de beaux idé>als. On ne va plus ea soldats Palestine délivrer Ile tombeau du Christ I Le ont en peuple sait qu'on lui ment. Karenski empiissM ses poches de 4 millions de francs qu'on a retrouvés dans diverses banques, pendant qu'il prô» éei chait l'abnégaton au meeting du Grand Opér* de Moscou : « Je réclame de tous le sacrifice de ures • s€s lntérôls personnels. » Ii n'y a pas un ouvrier, 3 les l>a5 un chômeur, pas un conducteur de bêtes, pas 3y et un loqueteux, pas un innocent, ie plus borné soit-uni ora il. qui aujourd'hui ne hausse les épaules et n« montre un sourire dédaigneux. s'est lotarn- On fraude sur les idéais comme sur les denrées [esnil. et sur tout I La civilisation est en faillite! Noua nous apprenons que ia France officielle glorifie ut 1 1109 crime ou le condamne, selon la nationalité. L'Eu-. rope en est là I M. Barrère, ambassadeur de 3i0CD France é Itome, a fait savoir au gouvernement italien que M. Clemenceau désire s'associer à la , Une manifestation qui aura lieu À l'occasion de i inau* ie la guration du buste de l'étudiant Oberdank et que, par- par ordre, une délégation d'officiers de ia ml». sâon militaire française assistera â la cérémonie, 13 fé- Qui connaît? Wilhelm Oberdank était un uré» kilos dentiste, une sorte de partisan du pnnepe des îviUe, nationalités jusqu'à ia bombe, qui avait formé ie i&n projet d'assassiner l'empereur François-J<>sepli statés lor8 voyage de celui-ci à Tri este. Arrêté, tt Metz- porteur de bombes, condamné é la peine de mort et exécuté en 1882. urcs- Beau héro8' Q110 ressuscite une popularité lnat. (jaDa tendue 1 Tout homme a sa minute de gloire, diU de la on- ^ais oeile"cii tout de même, qui niet au pv Deux voi£ crime et bafoue les tribunaux I... Huma, abor- nité, Droit, Justice 1 C'est la danse du scalp exé-s de cutée par le président du Conseil. Rien Pendant que de sinistres oomédiens se creusent ia tête pour trouver des horreurs, il est de braves trmée gens qui cherchent des solutions de bonne foû Cette semaine a été abondante pour mol en oom-main munications de diplomates amateurs, qui m'ont no® transmis des projets de poix avec prière d'ea tniest faire part aux divers gouvernements ; du inoins, t ra^ suppose que telle est leur intention, cor sans llerie cc!a à 1)011 * ou^re Qu6 îe n,e suis pas si rd de bien tTue avec les gouvernements depuis que j'ai préféré à mes amis l'article U de la Constitution, il y a autre chose que mes correspondants semblent parfaitement ignorer. C'est que rien oe aile- sert de fa-re des projets de paix dictés par l'Hi> tions inanité, le Droit, la Justice; ce n'est pas de cela par qu'il est question dans les règlements de compte I j pa- Nous l'avons déjà dit. Envisagé dipiomatique*-. 0n_ ment, un traité de paix est une transaction j ,|SOû_ donne-mai la casse, je te donnerai le séné. Chaque parti ruse pour céder du sien le muins pwt-fi_ sible, en échange du pius possible de celui d'art». .°ea trui. Comme nous le disions plus haut, il ne raut , ,I>T'S pas croire tout ce que racontent Wilson, A?quttJ| et les autres 1 Votre bonne toi me rappelle un grand propriétaire, venu d'une honnête pruvmce -<>08, française, qui voulait mettre à sa porte un cor« ^7 bilion qui eût fait l'office de secrétaire : chacun y » été aurait déposé l'argent dû ou pris ce qu'on *4 Sur devait. tilles Voyez d'ailleurs l'objet du nouveau litige* Comme suite aux décisions du Conseil des All és, le a une crise ministérielle est dans l'air : une grosse 3ou- fraction anglaise voit d'un mauvais œil que les \ le généraux Haig et Robei*tson aient à se régler suc un© ie commandement supérieur d'un généraLssime |our- français. Il est de toute nécessité, disent certains organes, de démontrer, arrive que pouira, qus l'Angleterre est gouvernée de Westminster et non \mi- de Versailles. Sur oe ton-là, les choses n'ironl pas loin. Nul ne sait ce qu'ont déjà coûté les ante rivalités militaires. Pour montrer oe qu'elles i di- vent, j'en citerai un exempte. riGs, En décembre 1893, le général Baratierl, gouv«r-un aeur l'Erythrée, se trouvant en congé en hv lie, on eut vent dans la colonie qu'un corps de nent l2'000 Derviches, commandés par l'émir Mohara-Faut me<i Ali, préparait un soulèvement contre les rcer loupes italiennes. A cette nouvelle, le colonel Arimondi, commandent en chef des troupes coloniales et gouverneur intérimaire en l'abeencs de Bar a tien, prit ses dispositions pour devancer îans l'attaque et, le 14 décembre 1893, il dirigeait ses ilèro troupes sur le fort d'Agoa-dat. Le 19 au mi Un, lo les Derviches ouvraient les hostilités en attaquant arde UIÎe colonne italienne. La bataille se termina le £1 au soir par la mort de l'émir et la défaite des a- Derviches. Celte victoire, qui était la première [dul emportée par les troupes italiennes, eut m ot gra-'id retentissement en Italie et elle valut au oo» lonel Arimondi une Immense popularité. dici- Dès ce moment, quelque chose manqua au gé-em- néral BaraUeri. Revenu en Erythrée, Il sa Jfjrn d'accomplir une prouesse qui dépesstt «Us 4» 5* Anne». - rr ii70

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Periodes