La Belgique nouvelle: journal quotidien indépendant

1688 0
17 januari 1916
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1916, 17 Januari. La Belgique nouvelle: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 07 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/125q815q33/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

2me Année—51 Edition B Lundi, 17 Janvier 1916 LaBelgiqne Dooelle ABONNEMENTS _ Royaume Uni 1 an. 30 sh 6 cdo s 15 sta. 8 mois 7 sh. 6d. 5a a'SDMi.ifl : «. CHANCERY LAffi; LONPRÈ», W.O. î*çt et Qui concerne la Dlrecf'on ou la Rédaction o«n être adressé au Directeur. le J««rnal ne pouvant répondre des manuscrits communiqué! prie les auteurs d'en garder copie. Téléphone: Holborn 212. Journal Quotidien Indépendant le Numéro : Rcyaurne-Uni, 1 Penny; Continent, îO Centimes—Pa>s-B s, 5 Cents. Régisterea at :ne G.P. 0. as j Newsoaper. MDwnntmtm i a Continent. 1 an 36 fr. 8 mois 18 fr. 8 mois 9 Ir. Çî* î'abonne : 4ï, CHANCERY LANE, LONDRES, W • «•ut ce qui concerne l'Administration ou lei Annonces d®. «ire adressé à l'Administrateur. : .tj «■e Jeurnal décline toute responsabilité quant à la teneur dsi annonces. Téléphone: Holborn 212. AVIS IMPORTANT La firme SMITH & SON se chargera désormais de la vente de LA BELGIQUE NOUVELLE dans tous ses kiosqnes. Au cas ou l'un de ces kiosques n'aurait pas le journal en dépôt, il suffira à nos lecteurs de l'y réclamer pour qu'ils puissent dorénavant se l'y procurer régulièrement. La Catastrophe du Havre Nous avions décidé de clôturer ^samedi dernier la souscription que nous, avons ouverte au profit des familles des victimes de la catastrophe du Havre. [' A la demande de beaucoup de nos abonnés qui ont bien voulu faire, en faveur de cette souscription, une propagande active, nous reculons jusqu'au samedi 22 janvier la date de la clôture définitive Liste de souscription ouverte par la " Belgique Nouvelle ' en faveur des familles des victimes Listes précédentes .. £866 io n The Vanadium Steel Co., Sheffield .. .. .. io o o W. et J. George Ltd., Great Charles Street 157, Birmingham .. .. . • 5 0 0 Quatre commis des postes et chemin de fer de Belgique, travaillant au bureau central des Postes de Londres, E.C. .. • • 040 Total à ce jour .. £881 14 11 Deux voix de chez eux Dans l'immense déchaînement de folie qui a fait du peuple allemand l'ennemi redoutable de l'humanité et de la civilisation, on est presque stupéfait d'entendre encore, de rares fois, des voix parlant raison et bon sens. Certes,-ce n'est pas parce que nous pourrions trouver une demi-douzaine de justes en Allemagne que nous pardonnerons aux Allemands leurs crimes sans nom et leur ignominie collcctive. Tout au contraire, le fait que les Allemands, qui comptent au premier rang des forces intellectuelles- de leur pays, partagent la manière de voir des peuples civilisés et disent •— autant que le permet la censure allemande—ce qu'on pense dans le monde entier, doit nous confirmer davantage dans la certitude de la justice de notre cause et nous rendre plus tangible la nécessité qui s'impose à nous de mettre à jamais fin au régime abominable et suranné qui fut toujours et sera tant qu'il existera un péril pour l'humanité et pour la civilisation. Le Docteur Alfred E. Fried, prix Nobel de la paix, a continué, au milieu de l'abominable guerre, sa propagande pacifiste. Il a publié un livre Europœ-ische Wiederherstellung (La Restauration de l'Europe) et traduit un opuscule du publiciste russe Novikow : La guerre et ses prétendus bienfaits. L'autorité de l'écrivain a empêché la censure allemande de supprimer ces deux ouvrages. Le Dr. Alfred E. Fried a pu aussi se permettre de dire son avis sur le crime stupide que fut l'exécution de miss Cavell. Voici comment il apprécie l'œuvre des bourreaux galonnés de Guillaume IT : " Elle a été condamnée à mort, écrit M. Fried, et immédiatement exécutée pour avoir provoqué et facilité le départ à l'étranger de nombreux Belges, Français et Anglais susceptibles de prendre du service dans les armées de leurs pays. Et ce fut en vertu des lois de la guerre ! - Elle ' s'est rendue coupable d'une 'action qu'elle savait bien valoir la peine de mort. Il se peut que certains tempéraments 1 heureux trouvent là leur compte, le mien n'y peut trouver la paix. Tout en moi se révolte au sujet de cette exécution. Je déplore profondément une conception des choses qui amène de semblables événements et fait paraître justifiables des injustices aussi monstrueuses que le nau-itâge du Lusitania, l'exécution de Miss Cavell et nombre d'autres. Un autre roi sans capitale Le roi et la reine de Monténégro (au centre) portant le costume national. A la droite du roi Nicolas se trouvent sa fille, la reine Hélène, et son gendre, le roi d'Italie. Au premier plan, le prince héritier de Serbie. 1 " Ce n'est point seulement parce que ce fut une femme qui a été si brusquement enlevée à l'existence par une balle. Je crois que la raison du sexe n'est qu'un faux-fuyant de notre sensibilité, une sorte de no'nte éprouvée devant le sentiment d'humanité ! Car il est ridicule de croire qu'un projectile d'acier tiré en plein cœur atteint moins douloureusement un homme qu'une femme. Ce qui nous révolte par-i dessus tout, c'est cette vie brisée, victime d'une loi d'exception, car à une époque : normale cette même faute, expiée en temps de guerre par la mort, coûterait bien moins que la vie. Et parce que la peine de mort ; crée l'irréparable, nous la haïssons comme un vestige d'un temps présumé disparu, particulièrement lorsque, sans remonter à l'origine du crime, on ne voit en elle qu'un acte de nécessité pour l'exécuter. Miss Cavell fut une patriote, et, si elle appartenait à notre nation et que nos ennemis fusssent ses juges, nous l'honorerions telle qu'une héroïne, comme nous honorons Schill et Andréas Hofer dont la mort fut, elle aussi, considérée comme le résultat d'une conception juridique et d'une loi." LTn autre écrivain allemand M. Théodor Wolff, directeur politique du Berliner Tageblatl, doit avoir grandement surpris les lecteurs de ce journal, qui ne publie d'ordinaire que des articles haineux contre les Alliés et particulièrement contre les Anglais, en détruisant la légende de la jalousie que la prospérité de l'Allemagne aurait inspirée au monde jalousie qui, au dire des journaux allemands, serait la cause principale de la présente guerre et aurait déterminé la France, la Russie et l'Italie à se' liguer, à l'instigation de l'Angleterre, dans le but de détruire un concurrent redouté. Théodor Wolf croit plutôt que son pays n'avait rien qui pût porter envie aux autres; il le dit à ses compatriotes, toujours dans la mesure où la censure permet l'expression de la vérité. " Il n'est pas difficile, écrit-il, de montrer comment dans un monde se démocratisant de plus en plus, ce pays-ci (l'Allemagne) eut le désavantage de passer pour le rempart de la réaction. En faisant même abstraction de tout ce qui a directement trait à la présente guerre, la situation intérieure (de l'Allemagne) était bien faite pour inspirer, dans la plupart des pays démocratiques, des appréciations injustes et défavorables à notre sujet.... Il est ridicule de prétendre que c'est la jalousie qui est la cause de l'aversion universelle que nous inspirons. " Les Anglais aussi ont coutume de faire de bonnes affaires dans le inonde entier et pourraient pour ce motif également être en butte à- la jalousie. Il n'en est rien cependant.... C'est la désuétude de nos idées et de nos méthodes de gouvernement qui a travaillé contre nous, malgré nos progrès extraordinaires, avant la guerre, dans tous les domaines qui n'intéressent pas la politique.... Il est peut-être possible que quelques-uns ont eu du ressentiment contre nous parce que nous devenions, dans le domaine industriel, de dangereux compétiteurs. Mais il est certain que nous avons gravement souffert [le ce qu'en matière de progrès politiques nous n'avons montré aucun talent que nous permît de nous mesurer avec les autres pays. " Si nos institutions d'Etat avaient répondu à celles des autres pays, il eût été difficile à nos ennemis de prendre la personne de notre Kaiser comme point de mire de leurs attaques et de déformer son rôle comme ils le font. En ce moment même, nous voyons comment l'Angleterre se conduit en Grèce. Le monde ne proteste pas violemment comme il l'aurait fait s'il s'était agi de nous. Non seulement le roi d'Angleterre, drapé aux yeux du monde dans la foi traditionnelle qVon a dans la mission libératrice du Royaume-Uni, est couvert par l'existence du gouvernement parlementaire, mais tout ce que l'Angleterre entreprend bénéficie du même prestige. " C'est, peut-être là une erreur, mais elle est de -celles avec lesquelles nous devons compter. Nous ne devons pas nous bercer de l'espoir fantastique que quelque chose d'utile pourra être fait par une propagande d'amateurs, par des pamphlets, par l'influence des journaux et d'autres moyens de ce genre. Nous aurions certainement été mieux aidés par l'adoption en temps opportun de la réforme de la constitution prussienne et d'autres mesures de ce genre." Il y a donc, en Allemagne, tout au moins deux hommes sensés et qui osent parler. Et ceux là-abondent dans le sens dC ceux qui affirment que l'Allemagne réactionnaire et rétrograde est devenue, par son militarisme.et par ses crimes, un objet de haine et un péril pour le monde. Retenons leur aveu. Justin Vallon. Propos du grincheux Colère de Pillards La Kaiser a beau être malade, il n'en continue pas moins à se distinguer par son... originalité. Voici qu'il se fâche comme si on lui avait arraché l'épiderme parce que les~Français lui ont joué le bon tour d'occuper Cor fou et d'installer le quartier général serbe dans sa fameuse villa de l'Achilléïon. Il tient cette opération pour une offense personnelle, il adresse au beau-frère Tino une protestation véhémente et rend la Grèce responsable de tout dommage éventuel — comme si les Français avaient l'habitude d'emporter les pendules... Cette fureur semble indiquer un vif senti ment de la propriété. Tout de même, il faut être de bon compte. Les théoriciens de la Bocherie nous ont répété sur tous les " tons que le bon plaisir est la règle de la ^ guerre, et que l'occupant peut disposer avec F sérénité de tout ce qui, sur son passage,"7m a semble être à sa convenance. C'est la morale s de la guerre selon le code d'Outre-Rhin. ^ De cette morale, le Kronprinz lui-même, en 21 ses visites aux châteaux de France, a laissé ^ d'illustres exemples. Mais sans doute ces t " sur-messieurs " révèrent-ils le précepte F célèbre : Faites ce que je dis, et non pas ce 'v que je fais... t Aussi bien, le hasard, qui s'entend à f combiner l'ironie des coïncidences, fait p voisiner cette information avec une autre, cl bien plus savoureuse encore. Il y est dit f qu'un train spécial vient d'arriver en Bul- n garie, amenant le butin volé à Belgrade et à à Nisch et notamment les chevaux et les 1< voitures du roi de Serbie. Que Boches et Bul- d gares, joyeusement complices, dévalisent leurs s victimes terrassées, rien de plus licite et de g plus méritoire. Mais qu'à ces victimes, les s Alliés offrent un asile dans un domaine du Kaiser, vous voyez celui-ci crier comme un e putois et enfourcher le grand ' dada de si l'honnêteté méconnue et lésée. C'est ce qui ti s'appelle cultiver l'inconscience et le cynisme p avec une virtuosité vraiment incomparable. u Si le beau-frère Tino osait parler net, f( peut-être télégraphierait-il à l'impérial in- yc compris : " Ne faites donc pas tant de mu- lç sique : le geste est d'un goût douteux quand H il a fallu tant de trains spéciaux pour trans- n' porter en Bocherie le produit de vos pillages." d< Mais Tino n'osera probablement pas... p Boisroger. tj ===== . t< Aspects et leçons n de Londres % Nous détachons ces impressions londoniennes, écrites par un de nos collaborateurs, du Book of Belgium's Gratitude, récemment ' paru chez_l'éditeur John Lane. On sait que ce magnifique ouvrage, qui fait ^ pendant au King Albert's Book, a été composé, ri dans une pensée de reconnaissant hommage, d des contributions de nombreuses personnalités ii notoires, de littérateurs et d'artistes belges f et qu'il constitue un témoignage mémorable Q des sentiments que l'accueil de l'Angleterre ^ et l'aide des Etats-Unis aux provinces occupées a fait naître chez nos compatriotes en exil. P Le Book of Belgium's Gratitude, luxueuse- c ment édité et orné de splendides planches en A couleur et en noir, est en vente partout au prix si de 5 sh. n c Au bord de l'avenue bourdonnante où cent véhicules se croisent en glissant sur ^ le pavé de bois, voici que le nettoyeur de ^ la voirie a terminé sa tâche. Délaissant ses outils, il s'est assis sur un banc encastré 11 dans les dalles du trottoir. Il tire d'une F poche le briquet de son déjeuner. C'est comme un signal : il est aussitôt entouré ^ " d un peuple pépiant et vorace de moineaux arrivés â tire d'aile c u square d'en face. 4 Le pauvre diable a des yeux jeunes dans sa face tannée et sous ses cheveux blancs C est une idylles en plein vent que nous I offre, sans s'en douter, ce bon Samaritain i du carrefour, heureux de partager chaque matin son pain avec les oiseaux familiers. Qu'on le regarde ou non, il accomplit pour son plaisir intime ce rite ce la journée. Il jouit en souriant de la gourmandise [de ses hôtes en bataille autour de chaque miette. Et si quelque passant s'arrête â contempler le festin, le brave homme en son jargon continue sa pensée en articulant quelques mots qui signifient â peu près : "Ce sont de si bonnes petites bêtes...". Cette bienveillance envers " nos frères nféricurs " n'est pas, sans doute, un monopole britannique. Mais elle e st pratiquée en Angleterre avec une attention pai ticulière, et c'est ainsi qu'on n'y rencontre guère d'animaux méfiants. Le chien hargneux et le chat craintif y sont un mythe. Les bêtes domestiques sont telles que 'homme les éduque. Il n'y a ni peur ni révolte là ou il n'y a pas de i violence. A Hampton Court, on verra des troupeaux de daims s'ébattre sans alarmes sur les pelouses où ks familles dînent en pique-nique. A Kensington Garde ns, des moutons à lourde toison, qui fourniront les " mutton chops " d'un prochain avenir, broutent dans la même libre sécurité à dix pas des omnibus et de l'Underground. Il y a donc dans les mœurs un mot d'ordre de bonté et de respect. * * * Les animaux n'en sont pas seuls bénéficiaires. L'Anglais a le sens de la nature. Il lui fait sa part dans les agglomérations les plus surpeuplées. Il fait jaillir les fleurs autour de ses cottages, dont-la. muraille s'éclabousse du sang vermeil des vignes vierges, et sous sa loi l'arbre peut pousser à sa guise. Il sait le bienfait social des végétations abondantes, repos pour la vuer tonique apte à vivifier, à rafraîchir l'atmos phère viciée des grandes villes. La merveille de Londres, ce sont ces jardins où tiendraient des villages, ces vastes terrains plantés et gazonnés, ces échappées de plein air et de verdure, ces oasis au milieu du morose océan de briques noircies. Il faut, aux populations amassées, ce voisinage réparateur, et c'est un sens pratique à courte vue que celui qui condamnerait les esplanades ombragées où peut jouer et se délasser un peuple, parce qu'elles représentent un capital improductif. L'hygiène collective—autant morale que physique—impose ces réserves de salubrité. Aussi bien, si la ville géante est morne en son cadre hivernal, quand la brume de ses fumées rabattues la couvre d'un manteau couleur de cendre et d'amadou, ses parcs et ses jardins lui font au printemps une couronne de sourires. Quelle douce fête que la floraison des azalées dans les jardins de Kew ! Et qu'ils sont beaux, les arbres anglais, parce qu'ils ont crû librement ! Ils sont plus que les nôtres majestueux et vivants, parce que l'émon-deur—ce censeur !—n'a pas contrarié les poussées de leur sève. Ils n'ont pas comme tant d'arbres de chez nous l'air de victimes torturées et lentes à se remettre de leurs blessures. Ils sont puissants et vénérables dans l'expansion de leurs frondaisons. Ils ont la beauté de ce qui s'est développé sans contrainte, dans une naturelle harmonie. On peut, semble-t-il, discerner dans cette protection des êtres et des choses une affirmation du sentiment jaloux qu'a l'Anglais de la liberté individuelle et du respect qu'il professe pour la liberté d'autrui. Sa tolérance est organique et instinctive. Dans le prestigieux décor de Hyde Parle, avez-vous écouté parfois les orateurs de plein air ? Les opinions contradictoires peuvent voisiner, il n'y aura pas de bagarre. Au plus éloquent de convaincre ceux qui l'entourent. Les flâneurs vont de l'un à l'autre : tel qui se voit délaissé n'a pas su persuader et ne peut s'en prendre qu'à lui-même. C'est au public à choisir entre les thèses qu'on lui propose. La plus saugrenue a le droit de se produire : au bon sens de l'auditeur à en faire justice. Si elle est mauvaise, il n'est point de dispute qui la puisse rendre meilleure.... ...Cependant, au delà des grilles, la cohue des autos, des omnibus, des cabs et des fringants attelages déferle sans répit

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique nouvelle: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1915 tot 1916.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes