La Belgique nouvelle: journal quotidien indépendant

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22 december 1915
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s.n. 1915, 22 December. La Belgique nouvelle: journal quotidien indépendant. Geraadpleegd op 08 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7s7hq3t145/
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1er6 Année.—No. 32 Mercredi, 22 Décembre 1915 La Belgique Aouuelle I ABONNEMENTS Royaume Uni, 1 an. 30 sh. 6 mois 15 sh. 3 mois 7 sh. 6d. On t'abonne: 43, CHANCERY LANE, LONDRES, W.Ç. Taut ce qui concerne !a Direction ou la Rédaction doit âtre adressé au Directeur. te tournai ne pouvant répondre des manuscrits communiqués prie les auteurs d'en garder copie. Téléphone : Holbom 212. Journal Quotidien Indépendant Le Numéro : Royaume-Uni, 1 Penny; Continent, 10 Centimes—Pays-Bas, 5 Cents. Regtstered at ihe G.P. 0. as a Neivspaper. ABONNEMENTS Continent. 1 an 36 fr. 6 mois 18 fr. 3 mois 9 fr. On s'abonne: 43, CHANCERY LANE, LONDRES, W.O. Tout ce qui concerne l'Administration ou le» Annonces doK être adressé à l'Administrateur. Le journal décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces. Télénhntift ? TTnlhnrn 919. Le dernier portrait de M. Achille Chainaye. Il fut pris en juillet dernier, an moment où notre collaborateur prononçait un ^discours vibrant de patriotisme sur la tombe de deux soldats belges morts pour la patrie. La Catastrophe du Havre Appel à nos lecteurs Tous les Belles ont encore présente à la mémoire, la catastrophe du Havre qui a coûté la vip à plus de 140 de nos compatriotes. La plupart étaient des soldats des vieilles classes ou des réformés qui, ne pouvant plus combattre sur les champs de bataille, avaient volontairement repris du service dans les usines de munitions. La plupart aussi étaient des pères de famille, et la " Belgique Nouvelle " croit faire œuvre de patriotique reconnaissance en ouvrant dans ses colonnes une souscription en faveur des veuves et des orphelins. Parmi les différentes œuvres qui sollicitent la générosité des Belges, il n'en est pas qui ait plus de titres à leur sympathie, et nos lecteurs, nous en avons la conviction, répondront largement à notre appel. Les souscriptions doivent être adressées à la Direction de La Belgique Nouvelle, 43, Cliancery Lane, Londres, W.C. Liste de souscription ouverte par la " Belgique Nouvelle'' en faveur des familles des victimes Liste précédente .. .. .. £80 The Pelabon Works, Richmond.. 200 Vickers Ltd., 5° Le Major d'artillerie Maunsell .. 2 M. Paul Rivière .. .. .. 10 M. Hamélecourt .. .. . . 10 Le Comptoir Métallurgique et Industriel, Ltd ' • • 20 Total ^372 CHAMPAL Le voilà transformé en titre d'article nécrologique, ce joli ■pseudonyme devenu depuis tant (Tannées familier aux lecteurs de nos journaux et qui fait penser au nom de quelque frais hameau wallon blotti au flanc d'un coteau de la Meuse ou de l'Ourthe. Champal est mort. On ne reverra plus dans les cérémonies sa silhouette élégante, un peu voûtée aux gestes lents, son profil aux traits fins et graves, ses yeux indidgents, sa longue barbiche blonde qui évoquait les portraits des Huguenots. Champal, c'était Achille Chainaye l'aîné, croyons-nous, d'un trio d'artistes, fils d'une vieille famille liégeoise, aujoud'hui tous disparus. Il y avait Armand, qui hit un peintre de talent, Hector, l'ardent propagandiste, le 'journaliste verveux, qui fut un poète pénétrant dont on conserve un livre "VAme des Choses " où s'atteste le meilleur de la sensibilité de sa race. Et Achille fut un sculpteur qui aurait pu faire une brillante carrière artistique. Il savait donner à ses études plastiques la vie nerveuse, la grâce et l'harmonie. L'équilibre latin, le sens de la mesure et de la clarté expressives distinguent les trop rares œuvres de sa jeunesse inspirée. Les nécessités de la vie lui firent aban donner ses rêves de création esthétique, mais il demeura toute sa vie un artiste, un enthousiaste, un idéaliste. S'étant orienté il y a longtemps vers le journalisme, il y conquit tout de suite une place énorme. Dans la presse bruxelloise, il y a trente ans, dans la dogmatique Réforme d'Emile Féron, il introduisit l'actualité en inaugurant l'interview du f rôonnagc en vue sur la question du jour. Combien de mortels notoires a-t-il confessés, ce grand curieux professionnel au cours de sa longue activité ? Princes, artistes, hommes politiques, professeurs, sportsmen, tous ont reçu sa visite : il fut celui qui, sur n'importe quel sujet, savait oû s'adresser pour rédiger l'article d'actualité brûlante, et sa prose vivante, claire et familière plaisait à tous. Elle gardait je ne sais quoi de personnel et de sympathique dans la présentation des questions les plus hétéroclites. L'idéaliste survivait dans l'informateur. On s'en put convaincre quand avec son frère Hector, Champal devint le chef d,e cette Réforme dont il avait été l'un des collaborateurs écoutés. Le iournal fut à ses débuts, tout au moins, — car l'entreprise ne fut pas couronnée de succès malgré les plus opiniâtres efforts—un des plus brillamment intéressants dont on ait enregistré le souvenir dans notre presse, tant par le sotici d'intel-lectualité que manifestaient ses directeurs que par l'élite des contributions qu'ils surent rassembler. Et l'on s'en aperçut encore quand, dans ce conflit des langues et des races sur lequel nul ne pense à insister en ce moment, Champal prit position avec une ardeur toute juvénile, à côté de son frère Hector, lutteur infatigable par la plume et par la parole. Achille Chainaye combattit avec une bonne foi profonde, au nom d'un patriotisme régional qui l'exaltait tout entier, pour ce qu'il estimait être la justice. Il s'est montré valeureux et tenace, mais nous ne pensons pas qu'il ait jamais pu blesser personne. Car il était foncièrement tolérant et bon. Tous ceux qui l'ont approché ont pu s'en rendre compte, mais les siens et ses amis plus intimes savent quelle âme exquisement délicate, attentive et bienveillante animait ce grand travailleur. Il avait gardé la jeunesse du cœur, la fraîcheur du sentiment et c'est ce qui faisait son accueil si cordial et son amitié si courtoisement empressée; c'est ce qui lui permit de supporter les affres d'une terrible maladie avec un courage vraiment stoïque, c'est ce qui■ lui donnait, il n'y a pas si longtemps, la force de la bonne humeur, quand, ce vieux journaliste qui en avait tant vu, et qui était un narrateur délicieux, contait ses souvenirs professionnels, ou ses farces de rapin aux temps lointains où il fréquentait l'Académie des Beaux Arts de Liège. Il fut bon et courageux de façon exemplaire. Un instant avant d'être terrassé par son mal, il dictait encore un article. Et voici qu'il succombe à cinquante-trois ans, sans avoir connu la douceur de rentrer pour s'éteindre en ce pays qu'il a tant aimé, et qu'il mit ses suprêmes énergies à célébrer sur la terre d'exil. Ce n'est pas seulement f'l sur la ligne de feu que les rangs s'éclair-cissent...I' Au jour du retour, ceux qui rentreront ie penseront avec douleur aux lutteurs tombés )e avant l'heure glorieuse. Et leur souvenir le plus fervent, leur hommage le plus at-,r triste honorera ceux qui. comme notre cher Champal, furent fidèles jusqu'à la dernière x minute à leur idéal de piété patriotique, \ de travail et de liberté. j :e "Trop Tard" , Dans l'éloquent et admirable discours que c M. Lloyd-George a prononcé, hier, à la Cham-bre des Communes, les journaux anglais soulignent tout particulièrement ce passage—où l'orateur met résolument à nu ce qui fut la n plaie, actuellement cicatrisée, esj:érons-le, des g Alliés. "Je me demande s'il ne sera pas " trop tard," mots fatidiques de cette guerre. '' (bravos). On se met trop tard en mouvement ici, on arrive trop tard là-bas (applaudis-;s : sements), on prend les décisions trop tard, it on commence trop tard, on se prépare trop r tard (Applaudissements)." I- Comme un fantôme moqueur, " Trop ■<; tard " a suivi les Alliés, pas à pas, et, à moins que nous n'accélérions nos , mouvements, la cause sacrée pour laquelle a coulé tant de sang héroïque, sera perdue et je supplie industriels et ouvriers de ne pas 'r permettre que les mots " Trop tard " soient •C inscrits au portail de leurs ateliers (Bruyants n applaudissements). Tout, au cours des pro-ie chains mois, dépendra de cela. En apparence j. les événements sont contre nous ; en réalité, ,,n ils se développent en notre faveur. Il n'y a rien en eux qui ne' soit encourageant. " Ces belles et éloquentes paroles se passent a de tout commentaire. Puissent-elles être comprises par toutes les classes dans les '■s pays alliés ! 1. n En Allemagne. Formidables taxes après '-s la guerre Copenhague, 20 déc. — Le ministre des tt finances Helfferich a déclaré au Reichstag a qu'il était impossible d'établir la balance it du budget 1916-1917 sans nouvelles taxes. ■>t Un des résultats de la guerre serait l'établissement de taxes formidables, bien que ,'s l'Allemagne espérât une colossale indemnité de guerre. \ Le patriotisme allemand, a déclaré le " Dr. Helfferich, doit se manifester non seu-le lement dans la souscription aux emprunts de n guerre, mais aussi dans le paiement des taxes. 'r )S La neutralité suédoise La Suède proteste officiellement contre les , insinuations du journal danois Extrabladet ', qui affirme, sur la foi d'une correspondance ,e privée reçue de Stockolm que la Suède songe '■ au mois d'avril à participer à la guerre aux ■s côtés de l'Allemagne et que ce dernier pays ■r a envoyé plusieurs canons à la Suède. (Reuter). Nouvelles de la Journée Communiqué officiel Français , Mardi, 15 heures. 1 La cannonade s'est ralentie sensiblement au cours de la nuit. En Artois au 1 nord de la côte 140 les Allemands ont fait exploser en avant de nos tranchées une mine qui n'a causé aucun dégât ; nous avons occupé le bord l'entonnoir. Entre la Somme et l'Aisne quelques combats de patrouilles. Dans la région de Lihons une patrouille en demie prise sous notre feu s'est enfuie laissant entre nos mains quelques blessés. Sur le plateau de Sainte Leocade au sud de Moulin sous Touvent nos canons de tranchée ont démoli un poste allemand. En Lorraine quelques tirs heureux de notre artillerie sur Abon-court et Blamont où des mouvements de troupes étaient signalés. * * * Commuiqué officiel Italien Echec Autrichien dans la vallée du Ledro Rome, 2r déc. Dans la vallée du Ledro, (au, cours de l'après-midi du 18 décembre, des groupes innemis, appuyés par un feu d'artillerie entense, attaquèrent nos positions sur le mont Cocca, au nord du lac Ledro. Ils furent repoussés par le feu de nos troupes Le même sort fut réservé à une attaque par surprise que l'ennemi, vêtu de blanc, tenta contre nos lignes dans la zone de Millegrobe, sur le plateau qui sépare les vallées de Torre et d'Astico. Sur le reste du front, il y eut des engage-r ments d'artillerie. Le feu de l'artillerie it ennemie atteignit à nouveau quelques maisons privées.—Reuter. * * * Le front italien ; D'après le critique militaire du Coriere s délia Sera, les forces totales que les Autri-r chiens opposent aux Italiens sur tout le front depuis le Stilcher Joch jusqu'à l'Adria-r tique, se chiffrent à 800,000 hommes, soit e environ 25 divisions, dont les trois quarts sont des troupes d'élite. Chaque division compte de 32 à 40 bataillons. La force est répartie en trois armées principales. La première, sur le front de l'Isonzo sous le commandement du général Boroevie comprend quelques unes des meilleures troupes de l'armée autrichienne, notamment les deux corps d'armée de Grutz et de Temesvar et les 15e et r6e corps, qui avaient e été spécialement entrainés à la guerre de montagne en vue d'envahir la Serbie. La deuxième division armée, en l'Isonzo et i le sud du Tyrol, comprend quatre divisions 1 de troupes de premier ordre, habituées à la s guerre de montagne. La troisième armée défendant le sud du Tyrol, se compose de s 130 bataillons, dont la moitié environ peut être considérée comme constituant de fort t bonnes troupes. * * * , Un général russe relevé de son a commandement Un télégramme de Petrograd annonce d qu'un décret impérial a été publié par lequel le général Russky est relevé de ses fonctions s de commandant en chef des Armées du front e septentrional. e Le général Russky garde sa dignité de s membre du Conseil de l'Empire et du Çonseil t Supérieur de Guerre. s L'empereur à cette occasion, adresse au général un rescrit dans lequel il rappelle que e la tâche considérable accomplie par lui dans l'organisation de la défense de la capitale a a gravement compromis sa santé, qui exige un repos et des soins particuliers. Le t Tsar le remercie pour les brillants résultats e qu'il a obtenus et espère le revoir bientôt s à la tête de ses troupes. * * * Les imprévus de la comédie électorale grecque Le côté imprévu, dans la comédie électorale grecque, c'est la lutte qui s'est engagée entre deux groupes gouvernementaux, dirigés chacun par un ministre du cabinet s en fonction. M. Rallis et ses partisans S veulent une paix qui sauvegarde l'honneur e de la Grèce. M. Gounaris et ceux qui le suivent sont des neutralistes à tout prix. M. Gounaris, ministre de l'intérieur, dont le ® parti, dans l'ancienne Chambre, n'était e représenté que par trois ou quatre députés, obtient la majorité dans la Chambre nouvelle. e Une triste majorité, à vrai dire, et qui ne représente aucunement l'opinion hellénique. e Ce qui le démontre le plus clairement, c'est le résultat des élections dans la circon-cription de Salonique. Salonique était le fief de M. Gounaris. Or, sur 40,000 électeurs inscrits, 4,300 seulement ont pris part au vote et parmi eux on ne compte que de s rares Grecs. Presque tous les votants sont t juifs ou turcs. s Le véritable triomphateur de la journée s est, comme on s'y attendait, M. Venizelos. c Répondant à son appel, les huit dixièmes s au moins du corps électoral grec se sont abstenut de prendre part à la prétendue consultation populaire. Et ceux qui ont voté ne sont eux-mêmes pas d'accord sur les modalités de la neutralité grecque. M. Gounaris, malgré sa majorité, ne représente que la lie de la population hellénique et l'élément grec proprement dit a plutôt donné ses suffrages à M. Rallis, dont le neutralisme est moins absolu et moins U dépourvu de dignité. ^ Le peuple grec, dans ce qu'il a de sain et e de respectable, est toujours avec M. Veni-zelos, l'homme de génie qui a sauvé la Grèce de l'anarchie et doublé le territoire du e. royaume. e Vraiment, le roi Constantin, s'il sait com-s prendre, ne doit pas être fier du rôle qu'il e a joué et de l'orientation qu'il a essayé d'imposer à la Grèce. Et il ne doit pas être e très rassuré quant à l'avenir. is *** Grecs, Bulgares, Turcs, etc. La Grèce sera-t-elle, malgré la volonté de son roi, entrainée dans la grande guerre ? M. Magrini, le correspondant italien en Macédoine dont les informations sont généralement aussi exacte que précises, dit que les troupes grecques ont occupé la gare de O Doiran, au nord de la ligne des Alliés. A Demir-Hissar, le journaliste italien a ren-!e contré quatre déserteurs bulgares qui ont "s abandonné l'armée parce qu'ils ne veulent ie en aucun cas combattre les Russes. Ils 'e affirment que les allures hautaines et pré-'s tentieuses des officiers allemands impression-îS nent très défavorablement l'armée bulgare. ie Près de Stroumitza un soldat bulgare a c> tiré trois coup de feu sur le général Todoroff 'e sans l'atteindre. Un capitaine, qui se tenait ;s aux côtés du général, a été tué. Le même correspondant dit que des 2- colonnes bulgares se dirigent vers l'Adria-ie tique, à la rencontre des Italiens et des 3S Serbes. D'autre part, un télégramme de Berlin dit que les forces austro-allemandes ont atteint le lac de Doiran et y ont occupé Ye une gare. De la cavalerie bulgare aurait exécuté une reconnaissance en territoire grec, vers Gumendze, c'est à dire sur la gauche de l'armée française, et se serait ensuite retirée. ts Les Bulgares seraient concentrés dans la n région de Valandovo, Rabrovo et Stroumitza, au nord-ouest du lac de Doiran. 1_ D'autre part, les Turcs auraient concentré •° deux divisions de six régiments, au total ie 30,000 hommes, avec de l'artillerie et de ;s la cavalerie, à Nevrokop et a Kustendil, au sud-ouest de Sofia. le * ît * * 'e La Liste des Victimes de la Catastrophe du -a Havre Voici la liste des personnes qui ont trouvé . la mort dans l'explosion de la poudrerie !a belge : >0 O [e Les soldats Adam L. ; Apalpaert F. ; t Altzinger N. ; Baguet E. ; Balis J. ; Bau-rt doux H. : Bauduor V. ; Aubaduin N. ; Bayard F. ; Bervoets L. ; Blœmen H. ; Brotcorn A. ; Callens A. ; Caudries A. ; Chantrain F. ; Cœtzier, L. ; Collet J. ; Crevets H. ; Daelman A. ; de Groof L. ; ,e de Houck R. ; Delanghe R. ; Delberghe R. ; ^ de Scheppers A. ; Deshomme L. ; Dig-neeffe P. ; d'Hondt I. ; Dumortier R. ; it Dupont G. ; Delieur R. ^ Le brigadier Desilly M. ; les soldats lc Evens Ch. ; François M. ; Finfe L. ; le ,j[ commis principal Gailly ; les soldats Gignez C. ; Gilleyns J. ; Gomez M. ; Guillin H. ; Gullick G.-F. ; Geeraerts A. ; Hermans L. ; Hollevoet G. Le sous-lieutenant de réserve jacquemin le H. ; les soldats Janssens A. ; Lachambre L. ; uj Ladry L. ; Leblond A. ; Lefebvre I. ; Lepot A. ; la maréchal des logis Lognian ou Lognan N. ; les soldats Loraine D. ; Lowet ^ V. ; Labiau L. ; le surveillant Lenard F. ; les soldats Maertens C. ; Mahieu C. ; Martin F. ; Maucq L. ; Meulemans J. ; Moors J. ; le Mullie A. ; Muyldermans A. ; Neefs F. ; Pauwelt R. ; Peerarer F. ; Peret J. ; Peret A. ; Piessens A. ; Poeck E. Les maréchaux des logis Putz A. ; Rey-^ naerts L. ; les soldats Romain J. ; Rom-IS bault F. ; Romedenne J. ; Samyn C. ; ir Saveyn F. ; Schaefer H. ; Senden J. ; le Seriscop P. ; Smoes J. ; Sosset J. ; Sobry j J. ; Staquet E. lc L'ingénieur d'artillerie Stevens ; les soldats it Steux H. ; Thomas E. ; l'adjudant de s matériel Van Alstein J. ; le brigadier Van e' der A.-A.-C. ; les soldats Vandenbossche le A. ; Van Landerwyck M. ; Van Mechelen J. ; Van Nieuwenborgh M. ; Van Roelen P.-P. ; Van der Waeren J. ; ^ Le maréchal des logis Verheeren F. ; le les soldats Verhaeghen H. ; Vercammen T. ' rg Vermarien J. ; Vermunt E. ; Viaene A. ; le maréchal des logis Weliens F. ; soldat 'e Wittocq A. , * lt * * Steamer hollandais endommagé g6 Une dépêche de Hoek van Holland, du 3g 20 décembre, dit que le steamer Princes lt Juliana, allant d'Amsterdam à Java, a ie dû entrer dans le port de Rotterdam par it suite d'un accident à son hélice.

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique nouvelle: journal quotidien indépendant behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1915 tot 1916.

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