La Flandre libérale

1295 0
15 september 1914
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1914, 15 September. La Flandre libérale. Geraadpleegd op 10 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/xw47p8vr65/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

^m^^mmfm^mm .«**,. ... .-mm&: .. :.m:....'wmi .,....,./JSir. .-..^.^.-IK^^^H. .,-;mi'.^;|^iw:^;l9!ll^,.^ ttlstfa — Mardl 15 Septembri 1914 I. H8 « Bard 15 Sepieabre 1114 iDMÏNÏSTRATÏÖI IT MFFMIEII MM, 1 RUE DU NOUVEAU B02S, I, 0BI9GflNEMEII TS ET ANNONCES 8 |J § « R É © A G T 8 © TéUphoM 32,-, TflóphoM IS ABONNEMENTS - S noii, I Hols, ö aswICo fto 2.00 4.00 &Ó0 Pr 03.75 9.00 TOXON f OSTME 8 §patai« ai larfSD du Jearnil il dans tint In fcnrauix i§ ptefe Bso. Bte Sn vOIe ©2 les Flanéres, svadresser »% tosmm $£ Fora Ie rests dn pays et Fétranger8•' ie Pnbücifé, me Nenvep86, a Brnxelles. LA GUERRE EUROPEENNE LIRE EN 3ePAGE NOS N0UYELLES DE DERNIÈRE HEURE LA SITUATION En France La retraite précipitée de farmée allemande ^NOUVEAU BUTIN Paris, 13 septimbre, 6 h. matin. — En dépit des fatigues occasionnées par cinq jours de combats incessants, les troupes francaises, heureuses des succes remportés, poursuivent les armées ennemies avec la plus grande vigueur, multipliant les charges de cavalerie sous la protection du canon de 75. La retraite des Allemands est beaucoup plus rapide que leur progression lors de leur marche en avant. Elle fut même si précipitée sur certains points, que nos soldats ont trouvé dans les quartiers généraux, notamment a Montmirail, des cartes, documents, jpapiers personnels abandonnés par 1 ennemi, ainsi que des paquets de lettres recues ou a expédier. Partout, principalement dans la region de Fromentière, a FEst de Montmirail, a 150 kilometres de Paris, Fennemi a abandonee de nombreuses batteries, quantité d obusiers,, des caissons, des voitures d'approvisionnement, des munitions, etc. Les soldats allemands, faits prisonniers, donnent F impression du dénuement Ie plus grand, du surmenage Ie plus complet, du découragement Ie plus absolu. Les chevaux, harasses, refusent de bouger. La poursuite continue, incessante. Captare de 160 canons Le Press-Bureau annonoe, de son cóté: " ^e . nombre des canons capt/urés par ia^r^Sf6mearmee francaise, le 12 septoinbïSPfas* de 160. L'ennemi bat en retraite sur boute la ligne a FOuest die la Meuse." La victoire des Allies s'accentue L'armée allemande en retraite sur toute la ligne ÜN TELEGIUMME DU COLONEL D'ORJO DE MARCHOVELETTE Anvers, dimanche, 10 heures soir. — Official. — Télégrammë1du colonel oTOrjoi de Marchovelette, représentant Fétatmajor beige au grand quartier general fran9ais, le 13 septembre, a 16 heures 30: Grand vent et pluie depuis hier soir. Armee allemande poursuivie. continue retraite dans direction générale non encore précisée. Droite allemande a repassó hier FAisne, dé ja franchie ce matin par giauche francaise. Amiens évacué oe matin. Gar es Pont-de-Metz et Longeau détruites par troupes allemandes repliées vers FEst. Corps allemand dirigó de Tournai vers Valenciennes aurait hier soir dépassé Antoing. Entre Soissons et Reims, ennemi poursuivi a repassé la Vesle, au sud-ouest de Reims. Il n'a pas défendu la Marne. Au sua de FArgonne, il tenait encore hier soir Laimont et Loupigny-le-Chateau mais avait perdu Revigny et Brabantle-Roi. En Lorraine, les forces ennemieB qui tenaient la Meurthe battent en retraite. Francais ont poussé jusqu'a Nomeny et P onta-Mousso n. Nombreux mouvements de trains de personnel et de materiel signalés le 12 sur la voie ferrée Chateau-Salins-Metz. COMMUNIQUE OFFICIEL FRANCAIS Paris, 13 septembre. — Communiqué officiel de 15 heures: A notre aile gauche, Fennemi continue le mouvement de retraite; il évacua Amiens, se repliant vers FEst, entre Soissons et JEteims.- Les Allemands se retirèrent au nord de Ja Vesle. Ils n'ont pas défendu la Marne, au sudest de Reims. Au centre, Fennemi, qui perdit Revigny et Brabantle-Roi, tient encore dans le sud de FArgonne.. A notre aile droite, les forces adverses qui étaient sur la Meurthe, battent en retraite audela de St-Dié et de Lunéville. Nous avons récocupe Raon-1'Etape, Baccarat, Rambervillers, Nomeny et "°on ta-Mou&son. En Russie, la bataille engagée en Galicie depuis 17 jours se termina par une grande victoire russe. Les Autrichiens battent en retraite sur tout le front, ladssaint aux mains des Russes un grand nombre de prisonniers et utn materiel important. (Havas-Reuter.)* ORDRE DU JOUR DU GENERAL JOFFRE Paris, 13 septembre. — Ordre du jour du general en chef des armées : La bataille qui se livre depuis cinq jours s'achève en une victoire incontestable. La retraite des lro , 2meet 3moarmées allemandes, s'accentue devant notre gauche et notre centre. A, son tour, la 4moarmee de Fennemi commence k se replier au nord de\Vitry et de Sermaise. Partout Fennemi laisse sur place de nombreux blesses et des quantités de munitions. Partout nous faisons des prisonniers en gagnant du terrain. Nos troupes constatent les traces de Fintensité de la lutte et de Fimportance des moyens mis en oeuvre par les Allemands pour essayer de résfster a notre elan de reprise vigoureuse de l'offensive. Cela a determine le succes. Tous, officiers, sous*officiers et soldats, vous ;avez répondu k mon appel. Tous vous avêz bien mérité de la patrie. (Signé) : JOFFRE. La reddiüon de Maubeuge L' "Indépendance" dit apprendre, de source absolument süre, que la place de Maubeuge s'est rendue lundi dernier, dans 1 apres-midi. "Tous les villages environnant cette position ont beaucoup souffert de la soldatesque allemande, ajoute notre confrère. Comme dans nos contrées, les Prussiens s'y sont livrés a des actes de brigandage inqualifiables. Il en est de même pour les villages de la frontière beige, prés de Maubeuge. Un de oeux-ci, abandonné de ses habitants pendant le combat, a été entièrement saccagé; les Teutons y ont enlevé les meubles des chateaux., les. vêtements, le ling© et jusqu'aux literies des enfants. " Le bétail et les chevaux ont été tués a coups de fusil pour le simple plaisir de soldats ivres. " Lorsque Maubeuge s'est rendue, les Allemands se disposaient a lever le siège pour se transporter devant Anvers. 1 JBn JBelgique Communiqué officiel beige quafre jaurs Pertes énormes des Allemands Influence de l'aeiion beige sar la marebe des operations en France Ajivers, dimanche, 10 heures soir. — (Officiel). — Après quatre jours de combats acharnés, nos troupes de campagne, qui étaient sorties de la position fortifiée d'Anvers pour attaquer les forces allemandes stationnées dans le triangle BruxellesLouvain-Malines, se sont replacées sous la protection des forts de la première ligne. Le but de la sortie, qui avait semblé n'être qu'une operation contre les troupes d'observation laissées par Fennemi en face de nous, s'est développé dans de grandes proportions. La position defensive de Fadversaire était tres forte, grace a la topographic de la region et aux travaux de terrassement executes depuis une quinzaine de jours. L'obligation de conserver a tout prix cette position a force les Allemands a y appeler toutes les forces dont ils pouvaient disposer encore dans le pays. C'est ainsi que le troisième corps allemand, qui déja avait pris la route de Ninove a Nederbrakel, est revenu en toute hate vers Bruxelles pour soutenir le choc de nos troupes. Le 9m8 corpsxdéja engage sur la route d'Audenarde a Ruyen, a également été rappelé vers le champ de bataille. Les détachements de Landwehr et de Landsturm, qui occupaient la region au Sud de Bruxelles, ont aussi coopéró a Faction, de même que les 15,000 fusiliers marins arrivés a Bruxelles depuis quelques jours. Le résultat atteint présente done, au point de vue de F ensemble des operations conduites par les états-majors francais et anglais, une importance capitale, puisque par notre intervention deux corps d'armee se sont trouvés dans Fimpossibilité de se porter au secours des armées allemandes en retraite dans le Nord de la France. Cette constatation a déja été signalée dans le communiqué officiel du 12 septembre. A cause de cette concentration de toutes les forces allemandes dis- ponibles dans le pays, notre armee s'est trouvée a la fin de la quatrième journée en presence d'un ennemi supérieur en nombre. Son repliement sous Anvers s'est effectué aujourd'hui. - Notre armee de campagne continue a être pour Fennemi une menace constante qui Fobligera a immobiliser des forces importantes, dont il a* en France, le plus pressant besoin. Lés pertes de ces quatre journées de combat sont importantes" et montrent bien Facharnement de.la lutte. .De même que lors des' précédentes rencontres, le tir de Finfanirerie allemande s'est. montré tres inférieur au notre. Il en résulte que, si le nombre des blesses est assez considerable, les blessures sont en general peu graves de notre cóté. Il n'en est pas de même du cóté ennemi, car nos soldats, aux dires de leurs officiers, ont fait preiive de beaucoup de sang-froid* et lear'tir, parfaitement ajusté, était en consequence tres meurtrier. UN ENGAGEMENT AUX ENVIRONS DE DIXMUDE. Un engagement a eu lieu- hier entre un detachement beige, compose de soldats volontaires et de gendarmes, et 200 :cavaliers allemands, qui sembla'ient venir de la direction d'Ypres. La lutte fut tres vive, mais nos soldats étaient supérieurs en nombre et avaient pu occuper d'excellentes positions. Les Allemands durent finir nar battre en retraite, en laissant derrière eux cinquante morts. et une douzaine de prisonniers dont deux officiers, sans compter les blessés qu'ils emportèrent. Quatorze chevaux provenant d'Allemands tués ou blessés ont été débarqués nier soir a Gand. Deux automobiles ont transporté ai Ostende une mitrailleuse, des lances, des iusils et des sabres abandonnés par Fennemi Les Belges ont eu deux tués et une dizaine de blessés. UN NOUVEL ENGAGEMENT PRES D'ALOST. TT •w"3™~ Un nouvel .engagement a mis aux prises nier, aux environs d'Alost — a Vier Huizen -- un détacheanent de cavaliers allemands et des autos-mitrailleuses belges. Nos vaillants soldats, en quelques minutes, eurent tót fait de disperses les Allemands qui perdirent beaucoup d hommes. LES PRISONNIERS DE TERMONDE ET DE LOUVAIN. Une demi-heure après qu'un officier allemand eut prévenu la direction qu'il était temps de quitter le .batiment, les gardiens ouvraient eux-mêmes les cellules ainsi que la porte da la prison de lermonde. Celle-ci oontenait environ 150 prisonniers condamnés la plupart, a des peines légères. Quelques-uns, seulement, devaient subir une detention de plusieurs années. Pour ca qui oonoerne la prison de Louvain, elle est restée intacte et "a conserve ses prusonniers-j Encore la chute de Namur UN RAPPORT OFFICIEL La légiatdion beige de La Haye aj communique^ ia presse hollandaise de nouveaiux détails conoernant la chute de Namur : ''D'après les renseignementfi parvenus au ministère de la guerre a Anvers et confirmés par le rapport du lieutenantgeneral Michel, commandant de la 4me division,^ la position fortifiée de Namur a subi un ibombardlement systématique pendant trods jours et deux nuits. Une quantité énorme de projectiles est tombóe non seulement sur les forts, mais aussi sur les intervalies. Des le debut, les Aüll'emands ont employé les grosses pieces de 28, qui ont detruit les travaux. Le feu était a ce point continu qu'on n© put même tenter la reparation dies ouvrages mtermédiadres. . " Le fort de Suiarilé© a été bombarde depuis le dimanche 23 aoüt au matin; après avoir été atteint, le 23 par 800 coups, le 24 par 1300 couips et le 25 par 1400 'XHips, tirés par- tronis batteries de grosses pieces, dont les projectiles pesaient 350 kilos, il a suöcombé le 25 aoüt, a 5 h. du soir. Lorsque le fort tomba, toute la partie centrale mobile était détnu'ité, et la resistance était impossible. " De Fa-utre cóté, le fort die Marchovelette, situé a Fextrême nord de la» position, a été attaque le premier et le plus sérieusement. Il fallüt 3 jours et 3 nuits pour faire taire son artillerie, et ses coupoles étaient criblées de projectiles. La resistance se poursuïvit ensuite pendant deux jours encore, avant qu'om nie Feüt con traint a capituler. Il n est done pas exact qu"il ait suffi de trois ou quiatr© poups pour réduire ces forts au1süenoe. Il faut se rappeler aussi que les forts de Namur comme ceux de Liége sont vieux de trente ans; ce ne sont done pas des forts modernes redoutables. " Ces quelques \ ronsedgnements suf fasent pour pouvoir assurer que la mise hors de^ combat dee forts die Namur et la retraite de la quatrième divisioni sont éminemment explicables, sans qu'il faille Fattribuer a la faiblesse de la garniBon." ENTRE RUSSES ET BELGES Anvers, 13 septembre, soir. — Offifciel.— Le ministre de la guerre a regu de S. A. I. le grand-due Nicolas, génóralissime des armées russes, le tólegramme suivant: . .". Je suis .heureux et m'empresse de vous annonoer que la bataille générale en Galicie, engagée il y a dix-sept jours, se termine par une . grande • victoire de nos armes. Les trophées enreg^strés pour les. journées du 8 au 10 septembre seule-" ment se chiffrent par. 100 canons et 30 mille prisonniers, dont 200 officiers. Les armées .. autrichiennes reculent sur tout leur front poursuivies par nos troupes. — (Signé).. grand-due Nicolas. " M. ' del Broqueville ' a immédiatemeht 'répondu dans les ter'mes suivants a S. A. I. le grand-duo Nicolas, généralissime; des armées russes: "Profondément heureux et plein de reconnaissance pour Fannonce de la splendide victoire, j'adresse respectueu;semen;t a Votre Altesse Impériale Fexjpression de notre admiration' pour le •grand généralissime et de notre ardente jsympathie pour la glorieuse armee rus;se;; tous nos vceux accompagnent Votre IAltesse Impériale et ses superbes trou,pes,. — (Signé): Le ministre de la guerre de Belgique, baron de Broqueville." La pafx ef h Belgique REPARATION COMPLETE L'ambassadeur américain de Londres télégraphie a son gouvernement que, [dans une conversation avec sir Ed. Grey, celuici lui a dit que, comme première condition de la paix, FANGLETERRE JEXIGERA UNE REPARATION POUR LA VIOLENCE DU TERRITOIRE BELGE, ET UNE ÏNDEMNITE COMPLE» TE POUR, TOUS LES DOMMAGES QUE LES TROUPES ALLEMANDES Y ONT CAUSES. LES PREMIERES IN» DEMNITES SERONT POUR LA BELGIQUE. Ce sera la, a ajouté sir Grey, une condition " sine qua nonlL |.e f^.l, 4ii. 'gieterre* ne cèdera pas et ne f era aucune concession sur ce point, qu'elle considère comme essentiel. / A ANVERS GENES ET ANVERS M. le bourgmestre De Vos vient de reaevoir le télégrammë suivant : " Le conseil municipal de Genes dans sa seanoe d'hier exprima un vceu d'admiration émue envers le peuple de la Belgique, défenseur généreux du droit et de la hberte. Veuillez, Monsieur le, mairö, accepter mes hommages. " Massone, Sindaco." Le bourgmestre a répondu par le télégrammë suivant : | Massone, Sindaco G (ênes, I College des bourgimestre et échevins vous remercie de tout cceur au nom du peuiple be'ljge de vos paroles enoourageantes. Lutterons jusqu'au bout pour la defense de nos droite et de nó'tnei indlépendance. I Bourgmestre De Vos." CRUAUTE RAFFINEE " Non contents de f üsiler des oivils dans tous les villages oü ils ont passé, les Allemands ont, dlit ie "Matin", inventé un moyen odieux de faire souffrir les Beiges a distance. " Voici comment ils procèdent: I Lorsqu'ils ont fait des prisonniers,il leur arrive die diébacher le numero matrdjcule des hommes et de le renvoyer punement et simpiement aux parents pour ieur fake croii'e que leur fils est mortl " C'est ce qui vient d'arriveri . a M. Brostens, lieutenant dies douanes a Anvers. Ayant recu, il y a huit jours, le numero' maitriciuile de son fils, il avait pris le dJeuil. Or, hier matin, quelle ne But pas sa stupeur en voyant rentrer son "gaa?9on"', qui, après avoir été fait prisonnier aui début de la guerre, était parvenu a s'échapper! " A qued degré d'infamie faut-il done être tombe pour inventer d'aussi misérables procédés? " PAS DE LUMIERES APPARENTES Position) fortifiée d'An vers Etat-major Quartier general a Anvers, le 13 septembre 1914. AVIS De nombreux habitants ne se oonforment pas ponctuellement aux prescriptions relatives a Fextinction des lumières a partir de vingt heures. De nombreuses lucarnes surtout, c'est-è.-dire des ouvertures donnant sur la partie supérieure des maisons, continuent a être éclairées. Une surveillance active est exercée et des mesures sóvères seront adoptees centre ceux qui continueraient a ne pas prendre des dispositions pour qu'aucune lumière ne se projette vers le ciel. *** II est défendu de conserver allumés lesphares des automobiles en stationnement. En Angleterre m I—*— Un grand meeting a Londres Laduréede la guerre LA PAIX A BERLIN Le parti liberal avait oonvoqué un grand meeting è. FOpéra. Les orateurs étaient le premier lord " die FAmirauté, M. Winston Churchill, M. Smith, un conservateur,'président du comité de censure, et M. Crdokes, un des chefs du parti ouvrier. ■Le -meeting; était preside, par un loridl" raidical', le marquis de Lincolnshire. De; la Série des discours qui y ont été prononcés, nous en reproduisons les parties 'les plus importantes: JM. CHURCHILL a parlé de la marine et de Farmée. J'arrive, (a-t-il dit, plein die ooiifiance et . d''espérance. Nous avons 'connjui des jours de girande anxiété, mais les cartes sont retournées. Le flot dévastateur rouladt sur la France. Il est arrêté, et même on peut dire qu'il recule depuis quatre jours. Ne soyons pas cependant présom/ptueux, bornons-nous a dire que la situation est meilleure, infindmenit meilleuire. Et parce que rien de ce qui arrive surtout maintenant, n'est conforme au plan de FAllemagne, la victoire s'annonce, mais.même si la bataiil© avait été un désastre, je vous dirais encore que ma confiancö ne serait pas ébranlée, et je vous dirais: Nous devons continuer, quelle que soit la durée die la guerre. La guerre sera longue et sombre. II y aura des revers et des succes, mads nous devons frayer notre route jusqu'au bout, quejles que soient nos souffrances. LA FLOTTE ET SON OEUVRE. Regardons dJ'abord la flotte. Au bout de cinq semaines elle a anéanti le commerce allemand. Les navires allemands sont chassfés, hloqués. Tous nos navires, a peu d'exceptions pres, sont rentrés au port, donnant a notre commerce oette grande prospérité qui alimente la guerre. Nous transportons nos armées dans cette mor qu'on appelait une mer allemande, sans rencontrer le pavilion allemajid. Il se cache honteusement. Par une de ces dispensations de la Providence que i'empereur df Ailemagne aime a invoquer, n

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Toevoegen aan collectie

Periodes