La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique

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s.n. 1916, 01 Maart. La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/s756d5qm3p/
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J ai foi dans nos destinées, un Pavs qui se défend s'impose au respect de tou«= . ce pays ne périt pas! Dieu sera avec nous dans cette cause juste ALBERT Rot des Belges août 1944) Acceptons provisoirement les sacrifices qui nous soat imposés et attendons patiemment l'heure de la réparation, A. MAX FONDÉE LE i<* FÉVRIER 1915 Envers les personnes qui dominent par la force militaire notre pays, ayons les égards que commande l'intérêt général. Respectons les règlements qu'elles nous imposent aussi longtemps qu'ils ne portent atteinte ni à la liberté de nos consciences chrétiennes ni à notre Dignité Patriotique. Mn MERCLER. BULLETIN DE PROPAGANDE PATRIOTIQUE — RÉGULIÈREMENT IRRÉGULIER NE SE SOUMETTANT A AUCUNE CENSURE AIJKEâSE I ÉI.ÉGRAPHIQUF. : KOMMANDANTUR-BRUXELLE3 BUREAUX ET ADMINISTRATION ne pouvant être un emplacement de tout repos, ils sont installés dans une cave automobile ANNONCES : Les affaires étant nulles sous !a domination allemande, nous avons supprimé la page d'annonces et conseillons à nos clients de réserver leur argent pour des temps meilleurs. L'Angleterre et l'Industrie belge La Belgique, dans un long article informait dernièrement ses lecteurs de la démarche faite par M. Paul Ilymans pour obtenir de l'Angleterre qu'elle laissât importer en Belgique les matières premières nécessaire à l'industrie. Elle leur apprenait en même temps que l'Angleterre avait refusé ce que lui demandait le Gouvernement belge. Conclusion que les dits lecteurs devaient tirer du dit article : Si l'industrie belge ne peut revivre, la faute en est à l'égoïste Albion qui n'écoute que ses intérêts et malgré ses belles protestations d'amitié ne se soucie pas de notre malheureux sort. Or, il n'en est nullement ainsi, comme nous le verrons dans la réponse de Sir Grey à notre Gouvernement.En n'acceptant pas les conditions de l'Angleterre, l'Allemagne a montré que si elle dédirait voir se relever notre industrie, ce ne serait que pour en profiter. Notre intérêt lui importe peu et comme elle tire plus d'avantages d'un état de choses qui lui permet de continuer son système de rapine et de contrainte, elle le préfère à un réveil de l'industrie qui profiterait surtout aux Belges. Que reste-t-il après cela du manifeste hypocrite de M. von Bissing affiché sur nos murs l'été dernier? ../ C'est dans un journal allemand, la Gazette (te Francfort, que nous avons trouvé la réponse de Sir Grey, les journaux hollandais ayant été interdits le 2 février, sans doule pour cette raison. « MON CHER MINISTRE, » Au cours des derniers mois, vous avez dépeint, à plusieurs » reprises, la situation de l'industrie dans les parties de la Belgique » occupées par les Allemands et montré la nécessité d'importer des « matières premières pour sauver cette industrie d'une perte complète » et empêcher le chômage et la misère qui menacent de partout. Je » joins à la présente un mémorandum qui met les choses au point et je » me suis permis d'ajouter que la question ici en examen est absolu-» ment indépendante de celle de l'importation en Belgique, par le » Comité de secours, des produits alimentaires. Le Gouvernement » belge facilitera le travail de ce dernier aussi longlemps qu'il sera » sous le contrôle effectif des neutres, absolument indépendant de la « surveillance allemande et consenti par le Gouvernement belge. » Le mémorandum s'exprime comme suit : » A ce que nous apprenons, l'opinion est largement répandue parmi » les Belges que la crise industrielle dont souffre la Belgique est « uniquement due à l'action des gouvernements de la Quadruple-« Entente qui s'opposent à l'importation. On ailirme souvent que ces i) mesures 11e font pas de mal à l'Allemagne, mais que, par contre, » elles sont très préjudiciables à nos Alliés en Belgique. Ainsi qu'on le l sait, il a été impossible à l'Empire britannique de consentir à ce que » l'industrie belge soit maintenue en activité, dans les circonstances » actuelles, sans que, par le fait même, l'ennemi n'en retire un avan-» tage marquant. Mais en même temps, le Gouvernement britannique » est tout à fait pénétré de la nécessité de prêter à la population belge « toute l'aide possible et il a, en conséquence, appuyé le Comité de a secours et autorisé le commerce d'exportation de Belgique dans des » conditions définies. 11 était aussi dans les intentions du Gouvernement » depuis quelques mois, de trouver le moyen d'examiner les propo-» sitions faites volontairement pour l'importation de matières pre-« mières en Belgique par l'intermédiaire et avec la garantie du Comité » de secours. On ne demandait à l'Allemagne, en cette circonstance, ) que de très simples engagements. » L'Allenuiyne devait, pour les matières premières importées, s'engager tt garantir et mime à approuver la libre exportation des articles fabriqués au moyen de ces matières premières. L'Allemagne devait s'obliger à ne pas toucher à tout approvisionnement constitué par ces matières premières ou à tout stock d'objets qui seraient fabriqués en les utilisant et à les libérer de toute réquisition ou imposition. » En somme, l'Allemagne devait traiter toute fabrique approvisionnée de matériaux de cette manière par le Comité de secours, comme elle traite les magasins de ce Comité et leur accorder la même inviolabilité et les mêmes privilèges. On estime que l'importation, suivant ce projet pourrait être suilisante pour diminuer le chômage et pour soulager la population d'une partie au moins de sa misère, qui se trouve liée d'une façon inséparable à sa malheureuse patrie. » Le Comité de secours soumit ce projet, il y a quatre mois, aux autorités allemandes de Bruxelles. Depuis lors, nous avons toujours essayé de pousser les négociations de l'avant, mais chaque fois sans succès. Jusqu'à ce jour, aucune réponse n'a été donnée par les Allemands. Nous n'avons jamais doute un instant de la politique réelle de l'Allemagne en celle circonstance. Mais maintenant, cette politique apparaît tout à coup clairement. Pendant que le gouvernement allemand affirmait en toutes circonstances au peuple belge que l'effondrement de l'industrie était imputable uniquement à l'Entente, pendant que l'Allemagne exprimait toujours à nouveau ses bonnes dispositions pour garantir aux fabricants belges que les matières premières qui seraient importées de l'extérieur pour les besoins de leur fabrication, ne seraient pas réquisitionnées, — ce gouvernement allemand prenait la résolution de 11e pas permettre d'alléger la situation de l'industrie belge jusqu'à ce que la dernière livre de matière première actuellement en Belgique ou le dernier objet fabriqué qui pourrait d'une façon ou d'une autre servir à l'Allemagne, y soit confisqué. » De cette façon, 1 Allemagne se serait trouvée en situation de provoquer une misère telle qu'elle se serait soi-disant vue obligée de transporter en Allemagne le nombre nécessaire d'ouvriers belges ou de faire travailler dans les fabriques belges, le tout à son profit exclusif. » Si l'Allemagne avait pu atteindre ce résultat, pour autant que le patriotisme et la patience des fabricants et ouvriers belges l'eussent permis, alors il 11e fut sans doute plus resté à ceux-ci qu'à se déclarer prêts à un accord qui eut en effet permis au pays, complètement vidé alors de tous ses stocks, de se réapprovisionner à nouveau. Mais avant qu'on en arrive là, il faut que cette poliiique soit rendue claire à chacun. » A titre de preuve de ces faits suffisamment connus, il n'y a qu'à citer quelques chiffres. » Dans le courant du mois compris entre le 26 octobre et le 26 novembre, 011 a transporté de Belgique vers l'Allemagne, 74,000 tonnes de charbon, 6,000 tonnes de phosphate, 100 tonnes de plomb, 1,350 tonnes de minerai, 340 tonnes de gravier de houillère, d,200 tonnes de guano et 1,600 tonnes de briquettes. Dans le mois précédent, sur la même route d'Allemagne, de grands approvisionnements de ces produits furent expédies et en plus 840 tonnes de pyrites, 1,600 barils de tannin, 350 tonnes de produits en plomb et une quantité de fer, de plomb, de caoutchouc et de copal. Il est généralement connu que la moitié de la production de la fabrication textile a été réquisitionnée. Tout récemment, le commandant de la 4e armée en Belgique publia une ordonnance obligeant sous la menace des peines des plus sévères, de livrer tous les approvisionne- NUMÉRO 68 DEUXIEME ANNÉE MARS 1916 PRIX DU NUMÉRO — élastique, de zéro à l'infini (prière aux revendeurs de ne pas dépasser cette limite)

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Dit item is een uitgave in de reeks La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique behorende tot de categorie Clandestiene pers. Uitgegeven in S.l. van 1915 tot 1918.

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