La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1501 0
21 december 1917
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1917, 21 December. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 28 juni 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/ff3kw58h1w/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LA MÉTROPOLE ONE PENNY ABOUTI CINQ CENTIME* aOLLANDBl VIJF CENT CONTINENT! DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane. W.C.2 — Téléphone : Holborn 212. ABONNEMENTS 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 ih. 24tm» ANNEE VENDREDI 21 DECEMBRE 191? No. 355 LA GRANDE GUERRE Les effectifs allemands dans l'Ouest LE COMMANDEMENT UNIQUE La guerre sous-marine Aucune modification sérieuse ne s'est produite sur le front de l'Ouest, où dans le secteur britannique, il y a eu des reconnaissances et des patrouilles, à l'est et au nord-est de Pasgchendaele; dans le secteur français, il y a eu de l'activité d'artillerie au sud de Juvincourt, sur le front de l'Aisne, et en Argonne, au Four de Paris. La question qui se pose, en ce moment, à propos du front de l'Ouest, c'est celle du nombre de divisions que les Allemands pourront y envoyer, grâce à la complète désorganisation du front russe. Une note officieuse publiée à Paris, répondant à cette question, dit que sur le front franco-britannique les Allemands ont eu en ce moment 154 divisions, ce qui approche de très près le nombre maximum de divisions (155) qu'ils ont concentré sur ce point depuis le début de la guerre jusqu'à fin juillet dernier. Les Allemands continuent à remplacer leurs armées par de jeunes contingents ou des détachements spéciaux enlevés du front oriental, et par du matériel de guerre, de l'artillerie et des avions provenant de la même source. Les Alliés gardent une supériorité marquée à tous les points de vue sur ce front. Il semble qu'après les nombreuses et heureuses offensives de l'été et de l'automne derniers, les armées française et britannique profitent de la période de froid et de neiges pour prendre toutes les dispositions et les mesures nécessaires en vue de: la nouvelle phase dans laquelle entie la guerre. Toute offensive que l'ennemi pourrait se croire forcé d'entreprendre les trouvera prêts \ offrir une résist; nce victorieuse. Sur le front russo-roumain, continue cette note, l'accord de l'armistice défend l'enlèvement de troupes du front oriental ê l'exception de celles qui étaient en voie de transfert au moment de la signature de l'armistice, mais depuis de nombreuses semaines, les Allemands enlèvent les jeunes classes en même temps que du matériel de guerre. Ce transfert de troupes continue en ce moment et si l'ennemi laisse de nombreuses unités sur le front oriental c'est parce qu'elles n'ont qu'une valeur relative et parce qu'il a été forcé d'en faire ainsi par suite de la proximité d'une nation armée dans les affres de la révolution et par l'occupation d'une région dont la population lui est hostile. Finalement, l'armée roumaine est intacte et appuyée par la mission française. Si le front roumain est inclus dans l'armistice, le gouvernement roumain n'a pas participé aux négociations, ni signé le traité c!e Brest-Litovsk. Cela explique pourquoi il y a toujours 113 divisions, comprenant 77 divisions allemandes, 33 autrichiennes et le reste bulgares et turques, opposées à la Russie et la Roumanie. En septembre dernier, il y en avait 137. La question de l'unité de commandement sur le front de l'Ouest, rendue encore plus importante par la gravité de la situation, préoccupe vivement les esprits en France. M. Gabriel Hano-taux écrit dans le Figaro, que la mesure est d'une urgence extrême. Il ajoute qu'en principe on ne peut y faire aucune objection et affirme que les bruits qui ont été répandus, suivant lesquels l'Angle tèrre serait radicalement opposée à l'innovation, sont inexacts, comme en j témoigne le fameux discours de M. Lloyd George. M. Hanotaux admet qu'il y a des difficultés personnelles à surmonter mais celles-ci s'évanouiront immédiatement devant la nécessité de sauver la cause commune. M. Clemenceau est pressé de tous côtés de prendre une attitude ferme et d'user son influence pour en arriver à un accord parmi les Alliés à ce sujet. Des bruits circulent même à Paris qui semblent indiquer que le chef de Cabinet français pourrait sous peu prendre une décision. Les journaux d'Athènes annoncent que le général Sarrail a été rappelé du haut commandement de Salonique et disent que son successeur serait le général Guillemet (Guillaumat?). Ce n'est que sur le front italien qu'il se livre des actions importantes. Les attaques autrichiennes entre la Brenta et la Piave sont à peu près incessantes, malgré des pertes considérables. Elles ont réussi cette fois à refouler un peu les Italiens, en prenant pied entre les sommets en bordure, dans la dépression du col Caprile. Elles ont échoué de nouveau à côté, au col délia Beretta. La retombée au sud du col Caprile n'existe pour ainsi dire pas. L'ennemi arrive sur le plateau mouvementé. Il y est maintenu à peu de distance des pentes qui conduisent au nord sur la Bcenta; mais, enfin, il parvient jusqu'ici à s'y cramponner. Ce fait à son importance, non pas à cause de la profondeur minime du terrain perdu par les Italiens, mais parce que ces derniers n'étant plus sur le bord, à la naissance des pentes, ne voient plus ces pente= et ne les battent plus directement. Il est à souhaiter qu'une vigoureuse offensive rétablisse au plus tôt la situation. Sur l'autre point de l'offensive, au mont Solarolo, toutes les attaques répétées indéfiniment contre ce sommet en venant du nord, sont repoussées successivement avec de fortes pertes. Dans cette direction, l'ennemi ne gagne rien. Les Italiens ont vivement attaqué le mont Spinuccia, à l'est du Solarolo et enlevé par l'ennemi depuis trois jours. Il est certain que la présence des Autrichiens sur le Spinuccia doit leur permettre d'appuyer les tentatives qu'ils dirigent en remontant le val Calcino, contre le flanc droit du Solarolo. La distance qui sépare les deux sommets est d'environ 2 kilomètres seulement. Le Spinuccia s'élève à 1.303 mètres, tandis qu'au sud du col del Orso, les Italiens possèdent un sommet plus élevé, coté 1680, d'où il doit être facile de contrebattre le Spinuccia. Toutefois, il parait assez difficile d'amener sur ces divers pitons autre ,chose que de l'artillerie de montagne. En somme, la situation parait sans changement important vers le Solarolo, tandis qu'elle est devenue plus mauvaise à moins de reprise, sur le bord du massif compris entre le ' mont Grappa et la Brenta. Suivant la statistique j^u sujet des pertes sous-marine, 14 navires dépassant 1.600 tonnes ont été coulés-au cours de la semaine finissant le 15 décembre, contre 14 et 16 respectivement les deux semaines précédentes; 3 navires de moins de 1.600 tonnes., contre 1 et 7 les deux semaines précédentes ont été coulés. 11 navires ont été attaqués sans succès. o—o La correspondance anglaise de von Kuhlmann En réponse au colonel Faber, qui lui demanda le 18 décembre aux Communes si le baron von Kuhlmann, ministre allemand des Affaires étrangères, était à même de correspondre avec une dame haut placée en Angleterre sous le couvert d'une valise diplomatique neutre et, dans l'affirmative, si des mesures avaient été prises pour mettre fin à une telle correspondance, Lord Robert Cecil répondit : "Je n'ai pas connaissance de cette affaire et j'hésite à croire (sic) qu'aucun gouvernement neutre pourrait se prêter à un tel abus du privilège diplomatique (voir l'affaire Luxbourg). "Je serais heureux si mon honorable et brave ami voulait me fournir toute information sur l'affaire." Le "Lenine belge" On lit dans la Belgique de Leyde (5 décembre 1917) : A ceux qui pouvaient cloute- encc re de la 11; tu e du n ouvement entrep is en Hollande par M. Camille Huysmans et son , monde, nous dédions cette information empruntée en date du 1 décembre à un journal emboché de la capitale : Dimanche dernier, a. eu lieu à la Maison flamande, Grand'Place, à Bruxelles, un congrès composé d'environ 60 délégués de groupements démocrates-socialistes de Bruxelles, Anvers, Gand, Tirlemont, Louvain, Lierre et d'autres villes. Après une discussion approfondie, la motion suivante a été adoptée ■ à l'unanimité de l'assemblée : "Le congrès des démocrates-socialistes flamands, siégeant à Bruxelles, le dimanche 25 novembre 1917, considère que le parti ouvrier belge officiel a pour devoir de se prononcer sur les questions intéressant la démocratie, socialiste qui ont surgi en ces derniers temps; procède à l'organisation d'une centrale d'action de la démocratie socialiste, qui aura pour mission, en exécution des décisions du Comité hollando-scandinave-russe de Stockholm, de prendre position dans la question d'une action tendant à une paix immédiate et générale; et estime qu'il importé de garantir à la Flandre également le droit de se gouverner elle-même, comme l( seul moyen pouvant la conduire à l'autonomie culturelle." Nous voyons surgir ici pour la première fois Le "Comité hollando-scandinave-russe. Ainsi l'action s'avoue et se démasque. Avions-nous tort de dire que M. Huysmans est, à tout prendre, une manière de Lénine belge? ——a—o Le cadavre d'Almereyda veut parler On lit dans la Victoire : La requête du général Dubail, gouverneur militaire, tendant à obtenir la levée de l'im-, munité parlementaire qui couvre M. Caillaux, nous a révélé un fait que l'ancien président du conseil, jusqu'à ces jours derniers, s'évertuait à cacher. Depuis la guerre, il avait cessé, affirmait-il, toute îelation avec Almereyda. Sa correspondance nous démontre le contraire. Jusqu'à la veille de l'arrestation de l'ancien directeur du Bonnet rouge, M. Caillaux lui écrivait " mon cher ami D'où viennent ces lettres? Pourquoi ne fu-rent-elles pas saisies tout d'abord? Comment et pourquoi sont-elles demeurées cachées jusqu'à ce jour? Qui avait intérêt à ce qu'elles ne soient pas divulguées? Ouel parti en aurait pu tirer Almereyda vivant? Et jusqu'à quel point leur disparition momentanée est-elle de nature à expliquer sa fin tragique? Telles^int les questions que Me Paul Mo-rel se p5^ et vient de poserà M. le procureur général près la Cour d'appel de Paris, en le priant de mettre à sa disposition les procès-verbaux des perquisitions opérées chez Almereyda et les fiches des Scellés. " J'ai été heureux, écrit-il, de voir les journaux publier les lettres de M. Caillaux à Almereyda. Il m'a semblé qu'un magistral coup de. bistouri ouvrait l'abcès interne dont souffrait la France. "Comme tout s'éclaire! Le directeur du Bonnet rouge qui a eu entre ses mains ces documents et d'autres, qui était capable de les invoquer ou de les divulguer était gênant, s'il pouvait parler encore. Ceux qui prétendent avoir rompu depuis longtemps avec lui devaient redouter jusqu'au son de sa voix. " ... Il fallait incarcérer M. Almereyda mais n'atteindre ni son correspondant le plus enthousiaste, ni son ami le plus dévoué. " — Les graves questions que les faits récents soulèvent s'imposent à moi ; elles sont liées aux causes qui ont provoqué le meurtre de Fresnes. Après avoir nommé le bourreau je n'ai pas renoncé à désigner ceux qui l'ont mis en œuvre. " Me Paul Morel est tenace. Suivant les déclarations mêmes de M. l'avocat général Go-defroy devant la chambre des mises en accusation, les circonstances qui ont entouré la mort d'Almereyda sont demeurées extrêmement troublantes. Le directeur du Bonnet iouge s'est-il suicidé, ou a-t-il été pendu? o—o Les Etats-Unis et la neutralité suisse M. Lansing publie un mémorandum promettant le respect de la présence de forces américaines en Europe, engagées dans la guerre contre le gouvernement impérial allemand, le gouvernement des -Etats-Unis juge convenable pour la sécurité de la Confédération suisse et en harmonie avec l'attitude des cohflligérants des.Etats-Unis, d'annoncer que .les Etats-Unis ne manqueront ^pas d'observer le principe" de la .neutralité applicable à la Suisse et de respecter l'inviolabilité de son territoire, tant que la neutralité sera maintenue par la Confédération et respectée par l'ennemi . Un office central belge pour les prisonniers de guerre Un arrêté royal, en date du 1er décembre 1917, institue, au Havre, un offi-oe central belge pour les prisonniers de guerre. Voici, d'après le rapport au Roi, signé par M. H. Carton de Wiart, ministre belge de la Justice, quel est le rôle de cette institution nouvelle : Dès les premiers temps de la guerre, le gouvernement, soucieux d'apporter un allégement à la situation si pénible des prisonniers, institua l'Œuvre d'assistance aux prisonniers de guerre belges en Allemagne. Par l'octroi de larges subsides et la coordination des initiatives charitables, il avait en vue d'aider, de faciliter et d'harmoniser l'action d'œuvres diverses et hautement louables consacrées au soulagement moral et matériel de nos compatriotes réduits en captivité pendant la guerre. L'Œuvre d'assistance aux prisonniers de guerre belges en Allemagne était placée sous la direction de M. Cooreman, ministre'd'Elat, président, assisté de M. Louis Huysmans, ministre d'Etat, vice-président. L'activité de ce Comité central dut élargir sans cesse le champ de ses travaux, surtout depuis qu'elle eut à s'étendre aux prisonniers belges qui, réunissant les conditions voulues, sont transférés en Suisse,où ils bénéficient du régime beaucoup moins dur de l'internement. Le développement continu de l'Œuvre d'assistance, son organisation de plus en plus complexe, ses ramifications et son fonctionnement dans les pays alliés et dans plusieurs pays-neu-Xtjps, la nécessité d'une intervention pécuniaire de l'Etat toujours plus importante, tous ces motifs justifient la consécration officielle de l'Œuvre d'assistance par l'établissement d'un statut propre et l'attribution d'une mission définie.C'est dans ce but qu'un Office central belge pour les prisonniers de guerre vient d'être institué. L'Office continuera et élargira l'action de l'Œuvre d'assistance, au travail fructueux duquel le gouvernement belge se plaît à rendre hommage. Organisme d'information, il recueillera les renseignements nécessaires pour être à même de satisfaire aux demandes des familles et des amis anxieux de connaître le sort de ceux qui leur tiennent au cœur et impatients d'entrer en rapports avec eux II reprendra aussi la tâche du bureau de renseignements sur les prisonniers- de guerre, constitué conformément à l'article 14 du règlement annexé à la 4e Convention de La Haye du 18 octobre 1907. Organisme d'assistance, l'Office central belge viendra en aide aux prisonniers de guerre en Allemagne et aux internés en Suisse, sous toutes les formes désirables, notamment — suivant le cas et les possibilités — par l'envoi de vivres, de vêtements, de livres; par l'organisation de cours et de conférences, par la création d'écoles d'apprentissage et d'ateliers ; par l'aide pécuniaire; par la transmission de la correspondance. Il interposera ses bons offices en vue des libérations, des transferts, des échanges, des rapatriements ; il étudiera et préparera les accords relatifs à ces objets. L'Office central belge coordonnera le travail des entreprises locales, sans se substituer à elles. Celles-ci, érigées en sous-comités, fonctionneront sous la direction de l'Office central.o—o Une armée de deux millions six cent mille hommes D'après le dernier rapport officiel publié par le ministre de la Guerre, les forces totales actuelles de l'Union présentement sous les armes, tant en Amérique qu'outre-mer, se décomposent comme suit : Armée nationale et garde fédérale, 1 million 85.820; armée régulière, services et réserves, 650.000 ; officiers de tous rangs, 80.000; marine nationale et réserves, 197.871 ; milice, services et gardes marines, 58.500; officiers de tous rangs, 15.200. Soit, pour l'armée 1 million 815.200 et pour la marine 271.571, formant un total de 2 millions 87.391 soldats et officiers, ce nombre comprenant 1 million 400.000 volontaires.Avant le commencement de l'armée 1918, l'organisation militaire des Etats-Unis sera suffisamment complétée pour permettre l'ap-. pel du second ban prévu par la conscription obligatoire. Cet appel, augmentera d'un demi-million de soldats les effectifs actuels et portera à près le 2 millions 600.000 hommes les forces mobilisées de la "Grande Armée" américaine.——0—0 La ville de Gand, qui vient de conclure un emprunt extraordinaire de dix millions de francs avec un consortium de banques gantoises pour couvrir ses dépensées de guerre, a conclu, en outre, un emprunt spécial, de 2 millions 905.000 francs, représentant la quote-part de la ville dans la constitution du capital de la Coopérative provinciale d'alimentation de la Flandre Orientale. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfantt se meurent de faim. y Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologiqus de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. VINGT-CINQUIEME LISTE Report £ 400 10 3 Fr. 210 L. B. C. ... ... ... 10 o o B. D. et Cie 500 A. D. et Cie ... IO 0 o J- K ! 0 „ Jack 1 o o E- A. ... ... ... ... i o o J- S. ... ... ... ... 500 K- Bros. 200 B- S. ... ... ... ... 500 L- T o o V. A. Fr 100 Ami 3 0.0 Elbaum Frères ... 200 Demkels et Cie 1 1 o R- B. ... ... ... ... 300 Van den Heuvel ... 200 S. B. et S. H 2 o o H. E. ... ... ... ... 100 Bamdas et Tolkowskv 200 M. S. T. H. ... 2 o o J R- • ••• ... ... 1 10 Fr. Rombouts 200 J. Haar 330 J- Bol le '1 ô o Total £ 469 t.5 3 Fr, 210 Une erreur de composition s'est glissée dans la publication de notre 23e liste. Les souscriptions suivantes y ont été omises : F. De Smet ... ... ... ; o Marguerite, Eisa, Joseph ... ? e Notre souscription étant à la veille d'être clôturée, nous prions nos lecteurs voulant encore contribuer à notre Noël des petits pauvres d Anvers, de vouloir nous adresser leur obole sans retard. o—o La presss embochée en Belgique Selon la Koelnische Volkszeitung, le nombre total des journaux paraissant en Belgique occupée atteint "d'après une estimation prudente", au moins soixante-dix. Environ vingt-cinq de ces journaux, ajoute-t-elle, paraissent en français; 45 environ paraissent en flamand et 3 paraissent en allemand : Belgischer Kurier, Bruxelles; Areler Zeitung; Der Landmann, Bruxelles. Il y a, à Bruxelles, un quotidien flamand : Gazet van Brus sel et un journal hebdomadaire et illustré : Vlaamscli Leven; quatre grands journaux français y paraissent quotidiennement : La Belgique, Echo de la Presse, Messager de Bruxelles, Le Bruxellois; paraissent hebdomadairement : L'Avenir wallon, L'Information, La Revue internationale. Il y a aussi deux journaux hebdomadaires illustrés : L'Evénement et 1914-1917 illustré. A Anvçrs paraissent onze quotidiens flamands ; à Gand, cinq quotidiens et cinq publications hebdomadaires; à Namur, deux quotidiens rédigés en français. Tous ces journaux sont aux ordres et la plupart d'entre eux à la solde de l'ennemi. Presque tous sont confectionnés par des individus tarés, qui n'appartiennent pas à ,1a corporation du journalisme belge et de nt le rôle se réduit au maniement des ciseaux et à l'insertion de la prose fournie par le Bureau de la presse de la "Politische Abteilung" de Bruxelles, dirigée par le comte von Harrach. La position des rares journaux belges d'avant-guerre, qui ont reparu sous la censure allemande est indéfendable depuis qu'en novembre 1914, les quatre journaux politiques anversois, qui avaient consenti à paraître dans ces conditions étaient incompatibles avec le patriotisme et ont suspendu, •' de commun accord, leur publication. ■■■■■■■■■■■■■■a Le but flamand Votre Excellence semble d'ailleurs se faire une idée inexacte du mouvement flamand; son objet est non plus de combattre les Wallons et la France.. * M. Louis Franck et consorts. Déclaration à von Bissing. Anvers, 10 mars 1917. «■■■■■■annaur

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes