La Métropole

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s.n. 1914, 01 Mei. La Métropole. Geraadpleegd op 03 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/k06ww77x3s/
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LA MÉTROPOLE ■ ^.Bc^iv"ivi3iivua:jv"x,s Uc 10 ■ •••••«•••••••tx 15 — 21e Année froiT^'on' !*.!!!!! î ' ! ! ! £ ««> "" No 120 , ftbonI)® * 10,18 *®s burewix do poste et aux tacteur*. ETRA.NGER le port en susr ■ Edition. S PouI la HOLLANDE, s'abonner de préférence aux bureaux de poste, plutôt qu'au tournai même. le numéro Journal quotidien du matin le iiiiii ™ Tous les "jours 59.ruedes Peignes, Anvers Le dimanche ^ ds 4 à 10 Administration: » 3519 de10àl6 CENTIMES pages RiMartinn : Téléo one 617 I pages CENTIME inpnn Annonces : liMmiO la petite Chronique sportive la ligise ligne fr. 0 30 £r. 3 00 Annonces financ.ld. » I 00 Faits divers fin icL » 2 00 139 Réclames la li^ne, » I 50 La Ville IcL • 5 00 ^ Faits divers corps Id. » 3 00 Emissions tMx à convenir J Pour toute la publicité, sauf celle de la province d'An- y AJi^jppQI vers» s'adresser à V AGENCE H A VAS : â BRUXELLES • 8, place des Martyrs. t : 4 A I Les travaux | d'Anve Une (eçon du passé [ Dans le Matin de mardi, Soaldis a ■ par un mouvement tournant de rev B au «benal du Kruisschans sans çmp ■te' la voie que nous lui avions si la ■ ment ouverte. ; f Nous l avions aoculo a des citât do M. Van Mierlo qui ruinaient ses ■ tiques; nous l'avions invité deux fo: ■ répondre. L'opinion de M. Van Mi ■ gênait tellement Scaldis qu'il a recc ■ au petit stratagème suivant: servir le H di un article devant répondre à un p< R ,je aos attaques autre que les textes ; M Van Mierlo; et puis, vite, dès Wmardi, avant que notre réponse ait p; ' s'empresser de reposer la question Kehenai, niais cette fois sur un teri I moins difficile pour lui que les te: H en question ! I Notre tacticien, (nous ne disons ■"technicien), a d'ailleurs été chercher ■ renfort. Désavoué par M. Van Mie ■ il a toujours la ressource de brar ■ l'opinion de M. Maurey. C'est curi ■ comme l'opinion de Scaldis coïncide 1 ■ B,voe celle de M. Maurey, plus cur: Kr encore comme Scaldis et M. Mau , I (de 1' Act on économique), s'en ten< ■ pour préconiser les projets de leur au I ■ favori. ■ 1 Et maintenant, il y a moyen de i ■ cher: 1© trio Scaldisien forme déjà t B nne petite armée remarquable par I unité. Elle dispose d'ailleurs de ( I journaux, le Matin et 1' Action éc l B journal de documentation. I* Aussi fortement documentée, sans ■. siter, la petite troupe comprei I M. Scaldis, et aussi M. Albert Mau 5 avance d'emblée la tour roulante (ty I mes amis, ne composez pas croula, s'il vous plaît), des projets qui leur : chers. ! Soyons généreux, et au lieu d'im I notre contradicteur en délaissant obamp de bataille, acceptons le noi I wgagement sur le terrain où il lui ( vien de le placer. Nous voilà donc forcé d'explique I Scaldis pourquoi nous comprenons les techniciens n'aient pas adopté les i I jets qui ont acquis ses préférences. ai1 moment de oommencer, notre insu »nce se sent confondue par la grand du sujet: il y a successivement: le n do quai d'Austruweel logarithmit ! d'après ce qui nous fut expliqué et ce < 1 nous expliquerons à nos lecteurs, l'alig m fient droit du Krankeloon, et la cou ■ d'Agnesi. Ne voua effrayez pas, cher W tour; vous verrez qu'il n'y a pas lieu, I Enfin, il y a, car la Métropole, a I Scaldis l'a judicieusement remarc ■ est l© journal le plus chic, le mieux ■ formé, etc... les conférences sur ■ deuxième principe qui ont fait coi H tout Anvers; peut-être même tichère F nous de donner aux lecteurs quelq S lueurs sur le troisième principe attei I « depuis 1912, et annoncé seulement ] | un* phrase sibylline: « après le deuxiè) Il il y en a encore un troisième ».... a i huit points d'orgue prolongeant la p ■ enoore en ce moment. ■ Nous voudrions mettre en garde c€ E qui seraient moins initiés aux cho ■ techniques contre l'engouement fac | provoqué par les réclames et le tapa, - J Nous avons toujours pensé, et la ca pagne actuelle du Matin nous confir dans cette opinion, que les matières te< niques devaient être discutées entre te< niciens par des arguments techniques, Il nous paraissait faux de mêler | grande presse à ce genre de débats: lo ; qu'un auteur a l'occasion de se fax juger par des techniciens, et qu'il préfi s'adresser à un public ne possédant pas préparation technique, nous croyons qu risque fort de se disqualifier aux ye | mémo de ceux qu'il prend comme jug ; si ces derniers laissent parler leur h t sens. Un exemple remarquable de dign (scientifique s'est rencontré dans l'ini nieur D'1 Mey, dont parfois les idi n'ont pas été partagées par ses collègu mais qui a confié à des publications ■ marquables l'exposé de ses recherches s I les ports. Certaines de ses vues peuve Têtre envisagées comme des prévisions : I;rieuses dont s'enorgueillissent ceux q I les ont adoptées après lui; ruais lui-mêi ■eu - la modestie de soumettre son travz 1à l'approbation d'un jury de technicie qui lui décerna d'ailleurs le prix du Rc Nous commencerons notre étude par question du nouveau tracé du fleuve, i tiraement liée à celle du mur de qu d'Austruweel. A quelques kilomètres à l'aval d'A vers, après avoir franchi le coude d'Aï truweel, les navires qui descendent vc la mer rencontrent d'abord deux passag où la profondeur est moindre: la pas du Krankeloon avant le tournant du fc Ste-Marie, et puis, à l'aval de ce mêi tournant, le seuil de La Perle. Le premier de ces deux passages, q nous appellerons dorénavant la passe c Krankeloon, est de création relativeme; récente. I! permet aux navires d'empru ter la passe longeant la rive gauche Sto,-Marie. Autrefois les navires faisaiei le tournant en empruntant la passe loi géant le fort Philippe, sous la rii droite, et ensuite la passe de la Péri après avoir dû brusquement changer leu orientation. La défectuosité de cette ancienne pass ou Philippe était due à.deux causes: k profondeurs à certains endroits y étaien relativement réduites, et l'allure du ch* ûa'l au tournant obligeait à des ma Oeuvres dangereuses pour les grands na 'ires surtout oeux qui remontaient. C'é «« à ce point que la Red Star Line, dé •rant augmenter les dimensions de se avires, ^ 'es instances lee plus vive ' naJ"- qu'lr1?. rera^e fût apporté à la si ' ion. L'idée que la passe de Kranke I jt-j. P°uvait être substituée à celle di 1 fn-,Mpe moyennant des dragages con 1 ^anc Krankeloon, avai; À* éfcé émise en 1894. lyàe"e!di^nil?!.di:3, 00140 éP°que. on es I 6loon f 'es travaux du Kran-' 63 prophéties de malheur ap parurent à cette occasion. Dans ur chure intitulée: « Redressement de caut en aval d'Anvers » par C. ] Mierlo (deuxième édition 1897) mq trouvons les lignes suivantes, pag< 1 O Nous ne voyons donc aucune oaus puisse d/éterminer une action creusan fusante pour former une passe, et nou attendons à trouver lors de sondage chains un passage de 3 m. 50 à 4 m. c fondeur devant la nouvelle digue. Etar saie [né le régime des courants en ce poi enir dragages que l'on pourrait y faire ne s "un- évidemment, pas plus qu'au Philippe, p " quelques années, donner une amélic ° permanente et surtout suffisante pour faire aux exigences croissantes du com: ions cri- Et pius loin, (page 16) : s à erlo En travaillant vivement à la dragi uru parviendra probablement à atteindre un- ron si* mètree de profondeur dans k )int v'e^e P®®8® du Krankeloon, sur une 1; , convenable "pour la navigation. Mais, < ? une fois, on se trouvera en lutte avec ture m âme des courants, avec leur i-ru, uusoïdale: on n'obtiendra qu'au prix < du orifices d'argent et, ce qui est plus , ain au prix d'entraves apportées à la navi; ctes Par présence de dragueurs et de cha la profondeu- qu'on avait autrefois, m lement, au Philippe, et qu'on aurait pi menter par un tracé moins droit. rj?) Malgré ces prophéties, que l'évéïw "ir devait démentir de la façon la plus e.ux plète, on fut amené bientôt à des tr£ Jien qU; provoquèrent la création de la eux velle passe du Krankeloon, et les rési rey, obtenus furent tels que la passe de 'eT1t lippe fut définitivement abando teur C'est grâce à la réalisation de la du Krankeloon que les géants de le nar- Star Line ont pu arriver à Anver oute LES « AVERTISSEMENTS » son PROPHETEo de MALHEUR AVAL leux DECOURAGE LES INGENIE ono- NOUS N'AURIONS JAMAIS V NOS QUAIS LE « LAPLANI) ». bé- Rappelons-nous cet enseignemen iant passé; les agissemerîts n'ont pas cl rey» la phrase d'autrefois, (qu'on nous Pos» donne de la répéter): « on n'obti itet qu'au prix de sacrifices d'argent .ont » qui est plus grave, aux prix » traves apportées à la navigation ïter » la présence de dragueurs et de . j M lai?^s, la profondeur qu'on avait lveJ » fois, naturellement, etc.... » es iOQ- même que celle qu'on nous sert à no en 1914. Peut-être espérait-on que 1: r â phétie malheureuse était tombée 3U« l'oubli. Nous désirons, l'en prés £0- d'autant plus qu'elle avait direct trait à l'un des endroits compris da lîl' travaux açtuels, d'autant plus auss îur pour celle-là, la paternité est bie 1U1 quise: le prophète ne peut se récuser, ,ue Nous aborderons, dans un prochai lue tiele, l'étude proprement dite des vaux futurs. Notre désir est d'ail* rbe but le plus directement possible. M< l€c" littérature parue sur certains proje . si abondante, et la moisson qu'on v nsi faire si prodigieusement riche, [ue, faudra peut-être souvent s'arrêter s champ du voisin, surtout s'il nous \ }« duit. irir ,ns' uesl L'Actualité Ubt W HOOiS>^ "es L'exposé du ile comte Berchî ;e- m- g} S'il y a en ce moment en El ne , i.uyî 1111 ministre des affaires étrar •1)- ~2L4A dont on a attendu avec quelqu ,j1_ p.i f.v.nce l'cxjjosé de la situation'interj n aie c'est bien le comte Borchtoid. Placé . me u l'a dit lui-même aux portes même la pays que la guerre la x>!us sânglanto a d ry- bés il est le mieux à môme aussi de jug< re effets du ferment que ces guerres ont rc dans îes relations entre les grandes pui la ces et de dire si l'Europe est à la veille c •jl nouvelle catastrophe ou bien si nous poi ux garder encore quelque espoir dans la co ^ vation de la paix. Sans doute on s'est m on avcc raison^ de l'optimisme of démenti le lendemain même par les é1 ments; mais il convient de considérer q ite comte Berohtold n'a jamais fait preuve ;é- ces exposés d'un optimisme déplacé que ies au contraire, iû a été un des premiers sin 2S, premier à signaler aux Délégations et à re- rope entière le danger qui menaçait en 0 ur par suite de la guerre italo-turque et ( , dernière révolte albanaise contre le l, vernement ottoman. Il a môme pr< ;e: au gouvernement français des mesures U1 l'on aurait bien fait de prendre en consii ne tion au lieu de les considérer ooirume insp il — oe qui est faux d'ailleurs — par un o ns de véritable hostilité à l'égard de la ïr Entente. Dans les chancelleries et dan |a monde politique on s'est souvenu de cei n_ certainement aujourd'hui l'exposé du o • Berchtold est un des plus écoutés de tous J que des ministres sont appelés à faire vant un parlement. n" Ces constatations faites il convient do is- que le comte Berclitold est nettement < rs niiste. Il montre les relations entre l'A es ^he et les Etats balkaniques sous un jour se favorable. En ce qui concerne la Serbi< rj. ministre austro-hongrois lui rappelle en ue •me1f.ols 1u'il veut vivre avec elle en tx intelhgence et qu'il n'entend nullement faire des difficultés dans son développer |1C ^a's ^jen entendu les inte , ,e. ; Autriche--Hongrie ne doivent pas être it J*;!ea,ou blessés de propos délibéré par la i- oie si l'on veut garder de bonnes rolation à l9 n'y a absolument rien de re i j. hensible, "i rien d'agressif. ' A la Roumanie le ministre d'Autriche-! grie a donné le certificat qu'il considèn T politique coracme suffisament russophile i - qu'il pense que cette politique ne l'empêoî r [>;:s d'entretenir de bonnes relations ave monarchie austro-hongroise. Si môme les e tiennes relations d'amitié et d'alliance j g que ont souffert de l'agitation anti-ai ' chienne dont les panslavistes ont eu la bo fortune^d'émouvoir le pays, il est certain c autre côté que ''hostilité de la Roumanie < tro l'Autriche-Hongrie est mauvaise com - 1ère pour 'a politique de la Roumanie. Les relations très amicales avec la Turc - ont maintenues comme un facteur import , cle la pohtiqtf© austro-hongroise en Orient , de cette façon on -arrive au rétablissem d une situation tolérable en Orient. Le passage le plus important de l'exjxjso oomte Borclitold est ceîui qui se rapporte i : relations entre les deux groupes de puiss "os, ç est à dire entre la Triple-Entente et ; Inplice Ici, le ministre des affaires étran res Berchtold confirme absolument l'excelli to impression produite par la politique ang] lLQZm0na n0bée ici même h Propose c% b tSIfw e? "le 1? '* transfonnati en la iTiple-Eûtonte en aiUianoo an^lo-fian. e bro1- russe. Après avoir constaté que l'Angl i l'Es- Par sa i>olitique n'a pas peu contribué Van solution pacifique des divergences do vu nous fcre ^ doux_'groupes de puissances, le Berohtold dit textuellement: Nous po . constater dans l'attitude de l'Angleter 0 désir do prévenir pour l'avenir los da 511 que les derniers événements avaient e s nous p0ur paix jg l'Europe ». On peu f P^° convaincu que oes paroles ont été ins t don Par ^"s très catégorique opposé par ît le* déterre aux suggestions hostiles à l'Au lu ron t P31^03 de St-Pétersbourg et le pre y y ^ échange de visites entre les flottes ration ohi®11110 et anglaise ont incontestable satis- aînené le comte Berchtold à souligner nerce vigoureusement dans son exposé le rôle i rateur et pacifique de l'AngUr^rre da concert européen. On se réjouira d'autant plus de ces dé« tiens du oomte Berchtold qu'elles confir ' vj aussi les informations d'après lesquell nou- g°uvernement russe n'avait rien de oov îrgeur arcc,.ces suggestions contre l'Autrici encore clu't^cs étaient parties de milieux nor la na- P°nsa,hles de la politique dn gouverne: [0- Les relations austro-russes, en effet, d' je ga. le comte Berchtold sont devenues pilus T,-ave fiantes et le ministre a exprimé la conv: Ration' ^ue le gouvernement du Tsar s'attac'neri lands a développer les ressources économique turel- Pa.vs qu'à faire une politique belliqueus 1 aug- C>n se félicitera certainement partoi 13 oes déclarations pacifiques ; partout du i où l'on n'a pas d'arrière-pensée et où ment v"°u^ franchement la paix on Europe e OQnn. une guerre d'extermination. — J. Joer -vaux non- m ■s--as»ôtu. c» Echos . nea S. SI LA VILLE URS, Programme de la journée : U A COURS Bûrlitr SchooJ, 8. Mcur. — Langires vlvar - EXPOSITIONS Salla Forst. — De 10 à 6 heures, exposltlc ianoe: œuvres de M. ilconrl Houben (ouverte jusqu i par- mai inclus). endra Sa,!e Buyio. — De 10 à 6 h exposition de .i. vres de MM. Jan Van Beers et Léon Bruni] verte jusqu'au 5 mai), d en- 1 Jha" ^es travaiIX d'Anvers iutre- MM. De Vos, bourgmestre, Albrecl j. j Strauss, échevins, Royers et Franck,déip De Winter, ingénieur de la \aUe et G y sel; .iveau directeur des propriétés communales s * JPr°" rc(?usi 06 matin, par M. Heflleputte, mil dans des travaux publics, à l'effet de continu- ïrver. uégociations relatives aux travaux mari ;men t au nord d'Anvers. ns les que, Les étrangers au port d'Anvers a ac- M. Joiin i^tnkjn , un des pdus grands s teurs de Liverpood, a invité le Ooniit n ar- port et des badins de la Mersey à taire tra- au miu visite des principaux ports du C r au nent, parmi losqu<jls oeux de llotter Lis la d'Amsterdam, d'Anvers et du Havre. ( . . visite soi-vira u renseigner le Comité < . Mersey au sujet des facilitée qu'offren-B ,.y divers ports au point de vue des emi clu j ments, des bassins, le chargement et i ur *e chargement des navires, les méthodes de 0011 - tement de divers trafics, passagers et okandises, etc. rac. Ijes visiteurs s'embarqueront le 11 mai chain à bord du « Magic », de la Bc Steamsdiip C° et so rendi-ont en droiti Amsterdam, de là à Rotterdam et pi t y Anvers où ils _arriveront vers le 16 mai. CLa délégation sera composée, outre •John Rankin, de Sir Helenus, R. Rober président du Comité, J. Edward Ande James H. Beazley, Arthur W. Bibby, W J. Ohambers, Danson Cunningham, F.C. son, Joun J. Evans, Henry P. Fernio, F: . f -j '"ick Gotty, T. F. Harrison, Jos. U. E OICL son, Richard D. Holt, M. P., John W. gkes, T. Rowland Hughes, Sidnoy L. ?Pe> mer, Charles Livingston, William M. î geies WiUliam S. Patterson, Charles E. Pay: Hugh R. R-athone, Edward V. Rayner, * . Read, John G. Rodger, Thomas «me. H. Suton Timmis, H. B. Gordon AVaj Artiliur W. Willmer. 1 jeté Villégiature ssan- M. J. De Vos, bourgmestre d'Anvers, 'uoie stalle aujourd'hui dans sa villa de Cape vons d'où les autos communales l'amèneront aser- que matin à l'hôtel de ville. oqué fie ici Aos marchés rene- ie le lj Adinunistration communale vient d dans Pi>rte. une modification au règlement bien marchés publics. >n le J"squ'ioi les fruits so vendaient en grs 'Eu- quantité sur la plupart des marché* et c< rient détriment des deux places publiques ai le la m«es spécialement en vue do la vente gou- fruits. .posé Dorénavant la vente en gros des fruitf que sera autorisée qu'au Marché aux Bœufs « léra- ^a P'aoe St-Jean. bées t^cs marchés aux légumes ne pourront sprit poser q u ' ac- essoi rem en t des fruits à ven< iple- Cette décision mettra un terme à bien s le 'contestations. a et >mte Une bonne précaution de- Les potentats de La rue Basse ont élal un programme de fêtes mirifiques à 1 dire JJf1011, ler.iaaii jour où ils se disposer 5pti- le travail en ne travaillant pas. Litri- Pamii Les numéros principaux de ce i très gramme tig-ire un grand bal oltert à tous ie proietaires, lequel suivi-a la wlrée artisti corc donnee dans ity locaux d'une grande soc m ne Pr^'oe* . lui est amusant, c'est que les affil ient anfloncent gravement que les enfants tn-< sous de sept ans n'y seront pas admn! H ou. reusement ,et ii était utile de le dire, car Ser- =ens ont tellement pris l'habitude de gi-e 5. a leure effectifs par la collaboration des ferni pré- et des gosses que, sans cette précaution, n'auraient eu peut-être qu'un bail de p [on- Pons t ? sa nai^ Contre l'alcoolisme -'in • ^ous revoici donc entres dans une des an- î* m de chaleur et de soif, ou les simi* res- ,C''a de.* Ijlère mousseuse » dessèchent [tri- i J f0,11.1 maître l'impérieuse nécest nne U° S0. ra/raichir. Ce sont des jours où tout 'un m°nde a peu près, se trouve atteint de besio aiguë. ie£j_ Ce sont aussi ces jours4à, nous semble-t qui conviendraient le mieux à la propagar uie s hgues antiaicoohquee. Non que nous p ant Rendions nous montrer en cette occurence,p et royaliste que le Roi, mais on nous coneéd< ont 1 envie fréquente de boire conduit à c< sommer toutes sortes do liquides, plus du moms aloooliques pour la plupart, no fût ux même que de la bière, dont la consommati m- répétée finit par représenter l'ingurgitati la d'une dose d'alcood assez considérable. Pei ib- être ne partagerez-vous pas cet avis, vo >n- qui en jugerez seulement par les terrasses d ai- grands ctabîissomente à la mode, où règne: les les boissons à l'eau et les cafés glacés.°Mî on vous ignorez sans doute les centaines de c x>- fée où se rendent la petite bourgeoisie et rterre peuple, à qui leurs moyens no permetten à la de payer huit et dix sous pour une consoi es en- don. Là, ce sont les bières et les alcools xvmte prix qui coulent en ce moment conum uvons cataractes en temps de crue, parce que k re, le en est abordable, tandis que les eaux i ngers raies, lets sodas et les iimonaJes y coûtent ugen- oher, que le café et le thé glace y sont i: t être nus. Cependant ,leur prix de revient i: mirées est moins élevé que celui des bières & l'An- alcools communément débités. Explique >riche bizarrerie qui pourra. cil ai n Alors, ne semble-t-ii pas que voilà iû tri- moyen et une occasion de propagande toi •ment diqué pour les ligues contre l'alcoolisme assez obtenant do la part des oabaretiers la i uodé- régulière des consommations non-alcool us le aux mêmes prix que les boissons alcooli< ce qui leur laisserait un bénéfice au r .•lara- égal? Une bonne partie du public en pr< u>< nt rait certainement, et l'action des ligues, es Ie si, se montrerait efficace. Car enfin, o unun peut empêcher les gens qui ont soif, de le et re — et si on ne met .à leur disposition re6_ des boissons enivrantes, on est mal venu nent. plaindre d'intempérance. après Que nos dévoués propagandistes y sonj e?11" ils ont mille moyens à leur disposition ction réussir, et ils pourraient obtenir des i • P'us tats autrement appréciables que ceux d< s du par des oonférencee, si brillantes soient-e- auxquelles n'assistent pas les intéressés it de Les limites de Borgerhout e ' 11011 Deurne Le projet de loi portant modificatioi limites soparatives des communes de Bc hout et de Deurne a été rapporté par M. Cauwelaert. « La Commission s'est déclarée unai ment favorable au projet de loi, dit le d< d'Anvers. Ceiui-ci, d'ailleurs, n'est qu consécration légale de l'accord interven tre les uxmmunes directement intéressé Borgerhout et de Deurne. » Le vote de ce projet sera accueilli av< tisfaction par toute l'agglomération anvi se.Eu effet,la modification proposée aux te5 tes de Borgerhout et de Deurne est des non seulement à favoriser l'essor et l'ei n des lisement de ces deux communes, et à leur au il liter l'exécution de travaux hygiéniques dus indispensables par le développemen s œu- p^e de cette partie de la banlieue a 1 tou~ soise, mais à assurer la conservation e ménagement en parc public du magni domaine « te Boulaer » et, espéorns-le, de la propriété « Boeckenborg ». it et » Rien ne s'oppose à l'adoption du pi atés ; notre seule préoccupation doit être do n rock, la retarder. Aussi, la Commission prie in£ îront ment la Chambre de voter le projet ava listre fm de cette session La situation transi ît les actuelle présente bien des inconvénient? wm.es police du quartier, dont la cession est pr< est insuffisamment faite, les mesures d'il ne y sont négligées et les finances des m un es sont intéressées à une prompte tion ». mc- 6 du Renourveflona l'expression de notre € avec qu© ce vœu de l'honorable rapporteur p onti- être exaucé 1 iam, 3L? Attendons sous l'orme ! j ces L*e résultat du prochain scnitin est anr dace- en ces .termes, par M. Hvmans, le lead< 3 dé- l'opposition : trai- * !je scrutin de demain, écrit-il, es mar- s5cru't'n partiel, qui n'englobe ni Bruxollt Anvers^ et dont tout le monde sait d'av pro- CiU'a rai»on de nos institutions électoral lfast .^a résultat ne peut détrui: ra n majorité régnante ,mais seideroent la < ^ à nuer OU L'ACCROITRE. Après ^>ela ,les libéraux seraient bien de se fatiguer I Les festivals de mal al ter Parmi les solistes^ français qui prûtent Dan- concours aux auditions des 16 et 18 ma •ede- gurent en première ligne MM. Eric Aud< odg- ténor et Léon Ponzio ,baryton, du The Eu- Royal do la Monnaie. Key- Audouin a été attaché aux princi] loss théâtres de France et est- engagé à la I ïter' Qaie depuis 1911 et jusqu'en 1915. Il es à Marseille et fit ses études musicales oetto ville avec le professeur Montfort, Ten basse de la Monnaie. Il a un répertoire e> ' mement étendu ot a rencontré partout le cès le plus vif que l'on puisse faire à un mier ténor, disposant d'un organe excepl nel et d'une méthode admirable, s'in- M. Ponzio est lauréat du Conservatoir UJen, Paris ( 1er prix d'Opéra comique ). Il d cha- ta en 1909 à la Gaîté lyrique et est en< depuis 1910 au Théâtre Royal de la Mon où il fit plusieurs créations fort remarqu notamment « Le Feu de la St-Jean », de , ohard Strauss, < La Fille du Far-Wes ^P~ t Venise » et « PénéJlope ». ^ C'est un artiste do tout premier rang, , quel les auditeurs du Festival feront le e 110 e leur accueil. i au t BRUXELLES ;t a ex- îre. Great Zwans Exhibition. La première affiche de la « Gréât Zw Exhibition » vient d'être placée aux coinf la rue Neuve et do La place de la Monn Elle a vraiment belle allure. Si la march oré dise est en raison de l'étiquette qui la ooui ec- cette exposition sora un vrai succès. T t à mieux pour la Ligue contre le cancer et p les pauvres de Bruxeles, les principaux bé ficiaires. le» ^ Chez les Boy-Scouts. 6 9 Dimanche prochain, à 2 h. 1/2, une ci I monie pittoresque réunira dans Le hall du ; lais du Cinquantenaire les troupes de B selles et des délégations importantes de t " tes les troupes de province, auxquelles le li . tenant colonel Wielemans, chef du Cabi du ministre de la Guerre ,remettra au n de celui-ci un drapeau. 05 L'institution des boy-scouts, fondée 1910, sous la pi-ésidence d'honneur du lieu nant-général Jungbluth, chef do la mais militaire du Roi et sous la présidence de 1 le lieutenant-général comte de T'Serclaes pé- aujourd'hui dirigée par un conseil géne des présidé par le général major Lodlercq, co le mandant la 8e brigade mixte succédant ité général comte de T'Serclaes.Ce conseil esrt co le [>osé de MM. le docteur Depage, vice-prc bi- dent, Pierre Graux, administrateur secrét re général, le commandant Mookel, secrét ■il, re-adjoint, lo comte Camille de Borchgra dé d'Aliéna, trésorier, le comte Guy d'Asp ré- ra'°ut Lynden ,1e capitaine baron'Gaston ^ Béthune, Emile Digneffe, le major T. ra brouoq, le lieutenant-coloneil Morel, Lé tn_ Théodor, Robert Osterrieth, le comte Jo ou Van der Bruch, le docteur René Vcrhoe^f ^ Sous la direction de ce conseil de nombre ses troupes de boys-scouts se sont forme tant à Bruxelles qu'en province sous Ip co fcrôle de comités locaux indépendants.CÎiaq jour de nouvelles troupes se forment. Les t 115 sultats acquis dépassent les espérances qu' ef vaient formées les plus optimistes. . Aussi pouiTa-t-on assister dimanche dans •1S hall du Palais du Cinquantenaire à une cér a~ monie qui réunira le plus grand nombre < le boy-saout* qu'on ait vu en Belgique. t pas AU PORT nma- à bas ^ Vs Contre la régie, s contre les piivilègi ; des cette La question dos engins de chargement et lfc in_ déchargement des matières pondéreu en aux nouevaux bassins. ente . , . iquos La Viille a été saisie en ces derniers teai jues, de diverses demandes de concession relati" loms à des engins à établir aux nouvelles ins ta! >fite- tionfl maritimes ot le bruit a couru que n ne Collège, ou certains membres du Collège, boi- préparaient à proposer au Conseil comiuu: que d'accepter certaine de ces demandes, d< a se des conditions telles que le privilège conc< >ent. aurait constitué un monopole de fait, pour La Chambre de Commerce a été saisie ésul- son tour de la question et, dans une séai innéf longue et animée qu'il a tenue hier matin, £ 3 66' Comité central a voté par 20 voix contre ia résolution suivante : t de La Chambre de Commerce d'Anvers, Considérant que diverses demandes de o i des cession ont été adressées oes derniers moi rger- l'Administration communale d'Anvers, *an mandes visant l'établissement dans les n veaux bassins d'engins destinés au char ment et au déchargement de marchand i uuie~ pondécrouses en vrac, *PU, Considérant qu'en principe, moyennant i 9 mise en pratique rationnelle, intègre et st: I e?~ tement inspirée de l'intérêt général, ces 38 mandes sont de nature à doter Anvers d staJlations perfectionnées capables de mil c s^" nous mettre à la hauteur des exigences i 3" dernes; , . Attendu, en effet, que c'est notaiman bel6 Srâee à ces installations que les ports conc r • rents paiviennent à accaparer des trafics acl" portants que notre situation devrait plus .ren" turellernent attirer à Anvers ; attendu ai ra~ que dans ces ports concurrents les dites s taxations sont l'œuvre de l'initiative priv c- Considérant que l'intérêt général d'Anv auœi prospérité de son port, doivent en 1 reil'le question, guider souverainement . , . Chambre et que des installations comme i ' les en question ne peuvent que contribuer ? P^ perfectionnement de notre outillage mu II la ki me, /• Considérant que la Chambre de Commei fidèle à ses principes, doit condamner a une égale vigueur les formes d'exploitât en régie et les combinaisons qui oonstit ^ raient directement ou indirectement un i noT>ole de fait ; Pai ces motifs, T/n Chambre de Commerce, tout en m air snoir uant sou opposition au système de ré<rîe, uisse l'Administration communalo d'Anver n'accueillir les pr^nositions de l'initiative i vée, en matière d'insrtallations fixes an p<-qu'en s'assurant par des garanties préalal et par un contrôHe sévère, qu'aucun monop oncé ou privilège de c ' l'en puisse jamais ré? a- de ter au profit comme au détriment de grou; mvents particuliers. t un Au surplus, et dans le même ordre de pr s, ni cipes, la Chambre de Commerce émet l'a ance qu* l'Administration communale doit re^ 38 et maître à chacun la liberté la plus large d' *o la stailiW des enorins du même genre dans < limi- conditions éTailes pour tous ; et- bien nota ment d^s anpareiilfi flottants destinés à eh' bons °:er et à décharger à l'intérieur des nouvea bassins, dont les amples dimensions prévi< nent l'objection du manque d'espace. • • • fj_ Pour éviter toute équivoque, disons que »uin eette résolution n'a été votée que par 20 vo âtre le® 19 autres membres du comité n'ont nul ment entendu manifester leurs préférences Ion* ^aveur ^ régie ou du monopole, b né au contraire, ils auraient voulu q ians k* résolution de la Chambre contre la régie ex- contre tout privilège direct ou indirect f trê- encore plus catégorique et atteignit formel!! suc- mont le projet dont on attribue l'adoption i ion- sauf ratification du Conseil coi munal. 3 de ibu-sago"4! g uerre mexicaine ; —)0(- au- La proposition d'armistice et M. Bryan îeil- New-York, 29 avril. — M. Bryan, secr taire d'Etat aux affaires étrangères prer sur lui qu'il n'y aura pas d'hostilités pendar — la médiation de l'Argentine, du Brésil et d Chili. En raison du danger que court Tampi< par suite de l'accumulation des pétroles ne enlevés, le département d'Etat a invité 1< rebelles de la région à neutraliser le territoii pétrolifère afin de permettre l'enlèvemer des pétroles. La légation anglaise agit parei ajjg lement vis-à-vis du général Huerta. de Une interview de M. Laure Muller aie *>ll° Janeiro, 29 avril. — M. Laure Mu an- dans une iuterview a dit que le Brésil d< ^ sire ardemment la paix et l'union des peuple ant 'ies de.ux Amériqlies. C'est ce sentiment qui )Ur poussé les Républiques Argentine, Brésiliei ué- nf Vienne a offrir leur médiation. L'idé n'appartient pas au Brésil uniquement, ma elle résulte d'une aspiration simultanée in médiatoment accueillie par les trois puissar ces dans une idée de collaboration à l'œuvr r<^_ de rétablissement de l'harmonie entre le Pa_ deux républiques amies.L'Europe, a ajouté 1 ru_ ministre, rend hommage au rôle de l'Argen 3U- Brésil et du Chili, et elle suit ave a(1_ un vif intérêt tous les effoi-ts faits pour em -S pêcher la guerre. DANS LA PROVINCE MEXICAINE Le Roman feuilleton de l'amiral La Vera-Cruz, 29 avril. — L'amiral Flet cher a donné l'ordre d'évacuer la forteress. de San Juan dont l'état sanitaire est exécra . ble. Depuis fort longtemps le capitaine d< ® frégate Sticknev, inspecteur des ports et de ' j1 douanes a fait une inspection de la forteresse qui sert également de prison et c'est aprè ~ avoir reçu ce rapport que l'amiral a donni * _ l'ordre d'évacuer les lieux. U y a paraît-il beaucoup de cellules au niveau de la mer et l ." la marée_ montante les malheureux prison '." niers étaient trempés. D'autres cellules soni ttJ" si petites que les prisonniers ne peuvent poj ye se coucher de tout leur long. On a découvert "e- également d'anciens instruments de torture de qui portent des traces d'un récent usage.Le? u- prisonniers libérés faisaient pitié à voir.Beau-011 coun d'entre eux étaient à moitié aveugle? in par suite de leur longue ine^ircération d'ans 11 • /a demi obscurité. D'autres avaient à peu u- près^ perdu la raison. Ceux de ces malheureux es en état de le faire s'empressèrent de remer-n- cier le commandant Sticknev qui les avait ie libérés. L'ancien président Madèiro avait pro-é- mis d'évacuer cette forteresse et d'en faire a- un arsenal, mais le temps lui manqua. Par-mi^ les victimes libeîréèfl ee trouvent des gens le qui étaient jadis des chefs do la vie sociale é- et^ politique diu Mexique et dont les noms le mêmes sont aujourd'hui à peu près oubliée par leurs compatriote*. a Lvi_'iN uc* . il j. uneausm iiïïiiïli >-<ggg> < Correspondance particulière de la «Métro] ÎS Le retour du Roi et de la Reine en A terre. — L'entente préférable à l'alli. étant plus élastique.— La question des de velles-Hébrides. — Les a blocards » au lement anglais. 3es Le 25 an «Cela fait bien au cœur,mais mal à la t UPS ont dû s'écrier lo roi George et la reine 1 res — intervertissant l'ordre de l'cxclanij la^ poussée par Napoléon 1er, au milieu des }e nos filles de St-Denis, — après troi d'acdliamations populaires, de fêtes, d< se vues, do banquets, de représentations d; ial la. le tout couronné par les cris de joi ins leurs sujets heureux cle 'reprendre posse idé de leurs souverains. Comme ils ont dû dormir cette nuit! et comme ils ont été chantés ce matin de déjeûner tranquille: 1 à en famille devant le lac paisible et les p Lee ses reposantes du Buckingham Palace! on H est incontestable que les Anglais on .q profondément touchés de l'aocueil sponta: ' enthousiaste que les Français ont fait à Roi et à leur Reine. Mais ce qui est ami c'est de lire les commentaires de la press< les résultats de la visite royale, et les p des entortillées dans lesquelles elle s'ef m- do démontrer qu'ils sont à la fois fécom 5 à stériles, qu'ils prouvent beaucoup tout e de- prouvant rien. Si vous demandez à ces bi >u- <rens: « Eh bien, allions-nous convertir ge- tente en alliance ? — « jamais de la vie ses pondent-ils avec conviction ». Nous son trop amis pour devenir alliés ». Ecoutez me tôt le « Temps » : u Dans les cas où l'on £ "ic- do soupçonner qu'une des parties contra de- tes dans un acx-ord international hésit in- agir selon l'esprit ot la lettre de ses en; iux ments, alors un pacte en bonne et due f no- avec des, définitions bien précises est indi sablle ; mais quand aucun doute n'exist mt les intentions d'aucune des dites parties ur- arrangements d'une nature plus élastiqu im- leur avantage ». Affilons ! vivent les arrj ua- ments élastiques! issi — Parfois, cependant, ils menacent i in- rompre, malgi'é toute^ leur élasticité, ée ; faut alors s'occuper sérieusement do le ers fLstoler. Et c'est à cette tâche que pa- Edouard Grev et M. Doumergue ont dû la plliquer en ce qui oonoerne la questioi îel- Nouvelles-Hébrides. Ce groupe d'îles si au dans l'Océan Pacifique sont administrée: tri- m ne commission mixte d'officiers de m français et anglais appartenant respec ce, imen.t à la station navale de l'une et 1': rec nation dans ces parages. Malgré la coi ion sie et la bonne volonté réciproque des i ue- bres de la Commission, ce a condominii no- engendre continuellement des frottement font voir clairement ce que le régime a produit si, comme le proposait l'Anglet te- on l'eût appliq-ué à l'Egypte en 1881. in- bien faire, il faudrait que l'une des deux s h sances oédât ses droits à l'autre. La Frai >n* incontestablement les intérêts les plus ir rt, tants dans les Nouvelles Hébrides, puisqi .îe^ y compte 417 de ses nationaux contre 22 oie jets britanniques. E y a trois missions cal ul- ques, et seulement une presbytérienne; < ye- le groupe est à proximité de la Nouvel lédonie et le eCommerce principal se fait in- Nouméa. Dans ces conditions, les Anglais vi? sentiront-ils à laisser la France exercer ; ^ sa domination sur les Nouveliles-Hébi in- C'est douteux, car ils reçurent une im le^ sion trop profonde du mot de Bismarck m- qu'ils restituèrent jadis les Iles lonienn ir- la Grèce. Le chancelier de fer dit dédai" ux sement : « Une nation qui commence à >n- dre est une nation finie ». Cela étant, i probable que M. Doumergue et Sir E. ont simplement procédé à un replâtrage i structure actuelle, dans laquelle des nouv si lézardes ne tarderont pas à se produire. * * * ' ' On ne sait pas généralement qu'il y a ie~ si des « blocards » à la Chambre des Con on nés d'Angleterre. Ces intéressants indiv méritent d'dtro connus. Ce ne sont pas llc êtres malfaisants comme leurs congér ^ dans un autre parlement, mais ils sont . fois bien gênants^ et bien ennuyeux. Le premier ministre se propose cette se: e- ne, s'il peut en trouver l'occasion, do m senter une résolution ayant pour objet Q_ restreindre un usage très famillier aux putes, mais qui est moins compris du pu' Officiellement on le désigne sous le non .. « mesure anticipée » ; les membres du pr ment, dans leurs conversations, l'appel tout simplement un blocus ( « blôckmg Sa raison d'être se trouve clans un ari du règflement, en vertu duquel il est inte a un député d'anticiper sur l'action d'un lègue qui, après en avoir donné dûment a a retenu un jour fixé pour discuter une q' tion particulière. Comme beaucoup d'air développements de la procédure -[Kirlemen ( re entrés "aujourd'hui dans les habitudes d Chambre, l'oriodne clu « blocus » remont l'époque d'obstruction organisée, que les tionaflistes Irlandais avaient inventée, il une trentaine d'années. " En ce tem<ps-ilà, la Chambre déflibérant s -le règne d'nn règlement établi bien av t l'existence des Parnell et des Bigccar, éta I la merci du premier venu de ses memb Chacun avait le pouvoir, — et souvent il usait, — d'interrompre les débats à l'ordre I iour en propesant l'ajournement de la séai C'est alors qu'en droit de légitime défense. t inventa^ ies « motions bloquantes ». a Ver.ait-on à soupçonner qu'un député irl dais avait l'intention de proposer l'a joui p ment de la séance à propos d'une quest p nuefleonque, aussitôt un autre membre de Chn.-mbre, — souvent à l'instigation « Wliip » ministériel, — se hâtait de don p avis oour une date ultérieure d'une résolut p 'm d'un bill ayant rapport au même su, c Pareil cas, dès que l'Irlandais se lev _ r>rêt à décocher sa motion, le « Speaker i ? rappe^it à l'ordre en lui faisant observer c ^n action^ anticipait sur les débats relatif une question oui appartenait à un au membre de la Chambre.Les ministériels ve: se vengèrent d'une façon qui auraient . ioui feu Bi eftar, s'il eût encore été de oo nu ? de. L'opposition se promettait de bien s'an . ceT qume on proposerait l'ajournement de , Chambre pour les vacances do Pâques. ; ces occasions Ï1 lui est permis de discuter t< , te espèce de sujets, les plus attrayants, b: : entendu, étant ceux qui doivent le plus e ; bêter le gouvernement. Que firent les ai du ministère? Ils se concertèrent pour dr ser une liste de toutes los questions à l'on du jour que leurs adversaires pourraient bi choisir pour atteindre l'objet charitable qu' avaient en vue, et les placèrent sur le papi où chaque député inscrit les motions dont donne avis, — si bien que lorsque les me bres de l'opposition arrivèrent tout joyeux la pensée de taifliïer des croupières au gouv< nement, ils découvrirent à leur grande décc fitnre qu'on leur avait coupé.l'herbe sous pied. Sir Henry Lucy, à qui j'emprunte la pl part de oes détails, dans une de oes piquant chroniques parlementaires qu'il donne cllaq semaine à 1' * Observer », rapporte un exei pie caractéristique do ce jeu qui sembler,-: convenir mieux à des écoliers qu'aux membr d'urïe grande assem'ibfl<e$ délibérante. Le 6 m 11900, parut sur le papier destiné à cet usag une motion présentée par M. Duncombe rédigée avec intention en termes générau Relative aux affaire do TAfriaue Austral .p™ j Au premier abord ceci n'avait rien d'insolite, jjil U II est vrai que tant que cette motion demeu-ï])i\ ! rerait sur Le papier nul no pourrait discuter im sujet qui s'imposait alors à l'attention du publio. Toutefois l'on se disait que M. Duncombe, après avoir donné avis par écrit de sa >ole» motion, avait pris le paquebot pour l'Afrique , Australe, sans faire connaître la date proba-ble do son retour. ince, Eu conséquence, la Chambre des Commu Nou- nés, liée par son propre règlement, fut dans par. l'impossibilité pendant tout lo reste de la session de discuter la question la pliL> importante .. du jour. M. Duncombei étant hors du Royaume no pouvait pas retirer sa motion et nul-,. lo autre personne n'avait le droit de le faire, t ' Voilà ce que c'est qu'un blocard au parlo-1 ment anglais ;mais peut-être faudrait-3 écrire L- « bloquard », ce qui accentuerait la nuance ^ * " entre cette espèce de mammifères en Angleterre et on France. ' ,'rf d3 X" > ga^ ision £La visite des % Souverains danois Toot à Bruxelles sant . sur ç ^ Les Souverains danois et leur suite. — Le ls et but de la visite. — L'avènement de Chris-n ne tian X. — Le programme de la réception, aves l'en- Quelques jours seulement nous séparent i, ré- de l'arrivée à Bruxelles des Souverains da-nanos nois: le roi Christian X et la reine ALexau-plu- dirine. Nos hôtes Quitteront en effet leur , lieu capitale le 6 mai pour faire Leurs visites offi-ïtan- cii&lLes de couromnement â l'Angleterre, à la e à France, à la Belgique et aux Pays-Bas. çage- C'est le iq mai, Que le Roi et la Reine de :>mie Danemark, arrivant de Paris par train spé-jpen- oial, débarqueront à Bruxelles. A la frontière ) sur iils seront salués au nom du roi Albert par , des une délégation composée de M. Damoiseaux, ? ont gouverneur du Hainaut et du général-major mge- Baix, commandant militaire de la province. La suite de Leurs Majestés 9e composera le se du capitaine W. Rothe, ].'remier maréchail de et il la Cour ot chanubeilan; de Mlle de Grcvenkon-s ra- Casienkiold, grande-maîtresse de la maison Sir de la Reine; de la baronne de Reeditz-Thott, s'ap- dame de la Cour; du capitaine de vaisseau des Grove, chef du cabinet naval du Roi, commuées mandant supérieur du yacht royal; du colonel i par de Kauffmann, chambellan, chef de la mai-irine son militaire du Roi; du capitaine de frégate tive- Cold et du capitaine d'infanterie Arncsen-mtre KaJl, aides de camp du Roi. irtoi- Le roi Albert a désigné comme attachés nom- à la personne des souverains danois pendant im » leur séjour à Bruxelles, le lieutenant-général s qui Ruwet, commandant la 4e division d'armée; urait le major d'état-major Bakia et le capitaine-erre, coni'mandant baron de Blommaert, du 1er Pour régiment des guides. puis- La visite cjue nous font les .•r.?',verairbs ice a danois est une visite de pure courtoisie. Xucui:, ipor- mobile politique ne l'inspire. En entreprend ; nt s'elle le voyage qu'il fait en Angleterre, en Franpe, 5 su- en Belgique et en Hollande, Christian X de ■holi- Danemark se corafcrme tout simtilement à m fin une to'adiition, à un usage qui veulent que Les *-Ca- souverains nouvellement montés sur le trône, avec aillent rendre visite à leurs aînés, con- L'avènement du roi Albert date du 23 découle oembre iqoq. Après lui sont montés sur le ides, trône: Georges V d'Angic-terre, le 6 mai iqio; :)res- Adolphe, prince de Schaumbourg-Lippe, le lors- 29 avril iqi i;Maric-Adeîaïde,grande-duchesse es à de Luxembourg, le 25 février iqi2; Christian neu- X de Danemark, be 14 mai iqi2; Constantin ren- 1er, roi des Hellènes, Le 18 mars 1913; Ernesît-1 est Augui9te, duc de Brunswick, le 1er novembre jrev 1913; Louiis III, roi de Bavière, 5 novembre 10 la 1913 et enfin îe prinee Guiillaunie de Wied elles d'Albanie. * * * Clirisifcian X, roi de Danemark, des Wendes aus- et des Goths, duc de Sleswig, Holstein, Stor-jmu- marn, des. Dilthma' de I^auenbourg et idus d'Oldenbourg, est ne . Cliarlottenlund le 26 des septembre 1870. Il a épousé à Cannes, le 26 ère? avril 1898, la duchesse^ Alexan^rine de Mcck-par- Ic-mbourg. De leur union sont nés deux fils: le prince royal Christian-Frédéric, né au châ-nai- teau de Sorgenfri le 11 mars 1899 et le prinoe pré- Knud-Chrisrian, né aiu même château le 27 de juillet 1900. dé- On se rappelle les conditions pénibles quâ >lic. ont entouré l'avènement du nouveau roi au de trône de Danemark. Son père, le roi Frédew rie- rie VIII, retournait à Copenhague en convient pagnie de la reine et d'une suite peu nom-» ). breuse. Ils s'arrêtèrent à Hambourg où ils icfle desoendirent incognino clans un hôtel du ixlit, oentre de 1a ville. Tout le monde — y compris col- la polioe — dans la grande cité, ignorait la vis, présence cles souverains danois. Le soir, le ies- Roi manifesta le désir d'aller faire une probes monade en ville. Il sortit seul, refusant la tai- compagnie d'un officier d'ordonnance. 3 In , Plusieurs heures se passant sans que e à Frédéric VIII reparut à l'hôtel, la Reine Nfa- s'inquiéta. Bientôt son inquiétude se changea y a -n angoisse et l'entourage des souverains se mit à la recherclie du Roi. Nulle part, on ne oup i^etrouva sa trace... Il ne restait plus qu'à ant avertir la police. C'est oe qui fut fait. Mais la t préfecture ignorant la présence à Hambourg •es. de cet hôte illustre, aucune surveillance eT1 n 'avait été_ organisée et cille -ne put donner dn aucune indication. ice Enfin, après de longues investigations, on 011 aj>prit que le corps d'un inconnu avait été transporté à la morgue. On courut de oe côté, an- bien certain cependant que ce ne pouvait être ne- ' Roi qui était en pleine santé. Hélas! quel-joT, ques minutes plus tard les personnages de la , ]n suite royale reconnaissaient dams ce cadavre, (]„ déposé à la morgue comme le dern ier des morne r tels, le corps de l'auguste souverain du Dane-ion mark. Frédéric VIII était mort subitement et,, dans la rue ot, rien ne décelant sa qualité, il a;t avait été transporté dans oe sinistre endroit le en attendant l'inhumation aux frais de la l„e ville si personne ne venait reconnaître et , jv, réclama le œrps ! tre . * * * cés Le roi Christian sera reçu à Bruxelles avec ré- beaucoup d'honneur et de pompe et certes, U >n- n'emportera pas de la Belgique une impres-m- sion moins heureuse que celle que îrun knisse-la ront ses visites dans d'autres capkales, leur Rn nom fût-iil Londres ou Paris, m- Le programme officiel n'est pas connu csv en coa-e, les derniers détails n'étant pas arrêtés, m- mais on peut dès maintenant en tracer tes lis grandes lignes. 3s- Le jour de l'arrivée de nos hôtes aura lieu re un dîner intime au Palais de Bruxelles. Y ?n assisteront: tes membres de la Famille royale, ils la suite des souverains danois, les dignitciiires er de la Cour de Belgique et quelques hautes il personnalités. 11- Le 20 mai, visite à l'hôtel de ville de Bro-à xeïles où aura lieu une réception suivie d'une >t- fête artistique. C'est également œ jour-là 11- qu'aura Lieu à l'avenue de Tervuenen deuns te le cadre merveilleux et grandiose de ce boute-vard aristocratique, la grande revue militaire u- dont nous avons parlé déjà. Plus de dix mille es hommes y participeront. Les troupes s'échoie lonneront depuis Etterbeek jusque Tervuerwa n- même. .it II y aura, outre l'Ecole militaire, quatre ?s régiments d'infanterie: le 9e de ligne, les gréai nadiers et les deux régiments de carabiniers; e, le bataillon cycliste; les compagnies de mi-traji Lieuses avec leui^s pittoresques attelages; c, un bataillon du génie d'Anvers; six régiments î.jde cavalerie: deux régiments de diassmra 4

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Dit item is een uitgave in de reeks La Métropole behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in - van 1914 tot 1918.

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