La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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22 september 1916
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s.n. 1916, 22 September. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 09 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/8c9r20sr0z/
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LA MÉTROPOLE ONE PENNY ,,nin: cinq centime» ffiiira: vijf cent glkbnti dix centime» PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphone: Holhorn 212. ABONNEMENTS : * 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sb. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 ob. 23ME ANNEE VENDREDI 22 SEPTEMBRE 1916 No. 265 LA GRANDE GUERRE Vaines démonstrations sur la Somme LA SITUATION A HALICZ Succès roumain dans la Dobrudja 11 paraît que la présence récente de I von Hindenburg sur le front de la Som-I me annonçait une contre-offensive alle-I mande dans cette partie du front ouest, I qui aurait neutralisé complètement les I gains faits par nos alliés tant au nord ■ qu'au sud de la rivière. Le mouvement I agressif de Sir Douglas Haig suivi aus-I sitôt de celui du général Foch est venu ■ heureusement étouffer ces projets dans ■ l'œuf. N'ayant pas eu le temps de se pré- ■ parer suffisamment pour profiter immé-| diatement du répit temporaire que le ■ mauvais temps a imposé à nos alliés les ■ Allemands ont attendu un jour pour bat- ■ tre le rappel des éléments dispersés par I l'attaque foudroyante des Alliés et avec ■ ces restes de l'offensive projetée ils ont I lancé une puissante attaque dans la di- ■ rection de la ferme de Priez dans un ef- ■ fort pour diminuer le saillant allié qui me- ■ nace Combles, et dans la direction de ■ Bouchavesnes, le point extrême de l'avan- ■ ce française au nord de Combles. Ces ■ attaques, lancées aVec vigueur sur un ■ front d'à peu près six kilomètres, se con- ■ centrèrent devant Bouchavesnes qu'ils ■ voulaient arracher à nos alliés, et l'élan l ie leur attaque leur permit même d'en-■|Wr dans le village, du côté nord-est, ■ sais une attaque française à la baïonnet- ■ 'e les en rejeta aussitôt. Devant la ferme H le Priez les vagues humaines se sui-■ aient sans interruption mais les rafales ■ <le 75 et les tirs de barrage créèrent une I elle confusion dans les rangs ennemis, ■ que l'attaque fut arrêtée net et que l'en- ■ nemi dut se rejeter en toute hâte derriè- ■ te la crête. I L'offensive n'eut donc comme seul ré- ■ sultat que de laisser aux mains des Fran- ■ çais une cinquantaine de prisonniers et ■ sur le champ de bataille une quantité ■ considérable de cadavres. Ces pertes fu- ■ rent d'aileurs abondamment confirmées ■ par les prisonniers. I Sur le front britannique de la Somme ■ la situation est inchangée ; quelques con- ■ tre-attaques à faibles effectifs furent re- ■ poussées au sud de l'Ancre tandis qu'à ■ Aras une petite opération permit de ■ nettoyer environ 200 mètres de tran- ■ chées. v I Les bombardements mutuels ont con- ■ stitué le plus important de l'activité dans I œtte région. A ce propos il n'est pas ■ mutile de reproduire ici le passage d'un I or<ire du jour publié le 24 août par le ■ général Falkenhayn, chef de l'état-ma-I lori et trouvé sur un prisonnier : "Le I ^pillage des canons, dit-il, au cours I de ces derniers mois, en a considérable- ■ "iÇnt dépassé la production ; il en est de ■ "fflie des munitions dans nos réserves ■ "u il y a eu une sérieuse diminution. Il I du devoir de tous les rangs — et ■ "°<\Pas seulement dans l'artillerie — s efforcer de remédier à cette situation ■^rieuse. Tous les rangs doivent faire ■K plus sérieux efforts pour aider à la ■ Réservation du matériel comme il est in- ■ lf|ué ci-dessus, sinon la réparation des ■ Pertes et la mise en campagne de nou-I bl » ^ormat'ons sera rendue impossi- ■ serait peut-être prématuré de tirer H es conclusions de cet ordre du jour, ■ '''aïs on ne peut s'empêcher de le trou-■|Cr s7rnPtomatique en regard de l'orgie I e mitraille et d'obus dont les Alliés cou- ■ b[ent ''ennemi, et qui seule, on le sait H doit ouvrir le chemin de la vic- Russie la bataille autour d'Ha- ■ / ,continue à faire rage. L'armée du ■; n ral Tcherbatcheff se trouve actuel- ■ ^ fint à quelque centaines de mètres de ■ ttjlatl0n c'e Halicz (que on s'en rappelle, lual SOn Pouvo'r >1 y a quelques se- ■ dei .au c'R'à du fleuve. La jonction ■ r(stg ^0le ferrée ainsi que cette dernière llWf!-en sa Possess'on et cette cap-B d1^, ^lt: de la Pr!se de la v'He un fait ■ e,. ImPortance secondaire. Une avan-■WiV?^ ob%era probablement l'en- a évacuer la ville sans coup férir. Depuis le 31 août les combats dans cette région, dont le détail reste, dans une obscurité assez profonde, ont donné aux Russes quelque 25.000 prisonniers et environ vingt-cinq canons dont plusieurs de fort calibre. Dans cette région le front autrichien a été complètement reformé et les positions ennemies sont actuellement occupées par des fragments de neuf divisions allemandes, deux divisions turques et trois divisions et demie autrichiennes. Des divisions autrichiennes qui s'y trouvaient auparavant trois ont été complètement détruites, deux sont parties dont l'une vers le front roumain, et une autre... manque à l'appel. La composition des forces allemandes sur ce même front montre l'anxiété que l'état-major éprouve au sujet de la chute éventuelle de Lemberg, qui serait directement menacée par la perte de Halicz. On y trouve la 95e et la 119e division arrivées en août, la 123e venue de l'Aisne et la 208e arrivée de la Somme; en outre il y a un fragment de la première division de réserve et de la troisième division de la garde prussienne. Quant aux Turcs, ils se composent des 19e et 20e divisions qui ont combattu contre les Alliés aux Dardanelles. Cette concentration considérable de forces allemandes rend l'avance très difficile surtout en mouvements de grande envergure et la campagne semble vouloir dégénérer en " grignotages " pareils à ceux de la Somme. Néanmoins le moral russe reste excellent et on peut avoir en nos alliés la plus entière confiance. Les Roumains ont repris de l'activité sur leur nouvelle ligne de défense dans la Dobrudja où ifs se sont fortifiés et renforcés entre Rasova et Tuzla. A Eni-gea, au centre de cette ligne, et à environ 19 kilomètres de Constanza nos alliés auraient remporté un certain succès, mais aucun détail n'est donné. Le communiqué officiel de Bucarest ajoute les lignes sybillines suivantes : Les combats continuent dans cette région où les efforts roumains sont dirigés contre l'ennemi principal, d'accord avec le mouvement prescrit par le haut commandement.Le communiqué bulgare est plus explicite : "En Dobrudja, y lit-on,la grande bataille en progrès sur la ligne des villages Mora-lui Mamitch (au sud de Rasova), Arabagi (au sud-est de cette ville), Cocargea, Kobadinu et Tuzla, se développe en notre faveur. Sur la mer Noire et le long du Danube le calme règne." La ligne ennemie a donc été poussée de Dobritch, où il y a quelque temps les Russes menaçaient l'aile droite bulgare, jusqu'à la nouvelle ligne roumaine, c'est-à-dire à plus de 65 kilomètres à l'intérieur de la Dobrudja. Pour la Transylvanie le communiqué roumain ne renseigne que des escarmouches et une violente attaque ennemie dans la vallée de Strieu à la suite de laquelle une légère retraite fut opérée. Suivant le bulletin autrichien nos alliés auraient été repoussés dans le sud de la Transylvanie, au sud-est d'Hatszeg, via Meri-sor, dans la direction de Petroseny qui aurait été^ réoccupée par l'ennemi; en même temps ils se sont emparés de la passe de Szurduk, un peu au sud de Petroseny.Sur le front de Macédoine, de même que sur celui du Carso, le calme règne. La suppression des camps de représailles L ambassade d'Espagne à Berlin a été avisee officiellement par le gouvernement allemand que les prisonniers français envoyés en territoire russe occupé seraient prochainement réintégrés dans les camps d'Allemagne, vraisemblablement dans le délai d'un mois. D'autre part, des mesures ont été prises pour achever le transfert des prisonniers allemands de l'Afrique du Nord. Nos héros congolais Le gouverneur général du Congo, M. E. Henry, publie dans le Bulletin administratif du Congo belge, la liste suivante des officiers tombés depuis le début de la campagne au Congo. Cornesse, Joseph-Prosper-Pierre-Florent, capitaine commandant ; Defoin, Léon-Joseph, capitaine commandant ; Flood, Carl-Gustav, capitaine commandant ; Lalle-ment, Georges-Pierre-Joseph, lieutenant ; Declairfayt, Louis, lieutenant ; de l'Epine, Jacques (comte d'Hulst), sous-lieutenant ; Terlinden, Robert Georges-Jules-Marie, sous-lieutenant ; Bove, Adolphe-Honoré-Gustave, agent militaire ; Venas, Pierre-Joseph, agent militaire ; Merken, Joseph-Mathieu, sous-officier ; Dupuis, Albert-Isidore, sous-officier ; Devolder, Jean-Prosper-Marie, sous-officier ; Todt, Emile-Jean-Joseph, sous-officier.Interprètes belges décorés La Military Cross a été donnée, par le roi George V en personne, à La Panne, en présence de nos souverains, aux officiers interprètes dont les noms suivent : Capitaine duc d'Ursel, lieutenant Kleist, sous-lieutenants Cels, De Man, de Prêt,-Grisar, comte de Grunne, Roels, Vander-linden, prince de Croy, baron de Vinck. La Distinguished Conduct Medal a été décernée aux sous-officiers interprètes : Farin, Nagel, Borginon, Bossier, Bracq, Conrad, De Hasque, Fester, Haelters, Hoor-naert, Lantzius, Lavalette, Minne, Molitor, Van Damme, comte de Liedekerke, Kreglinger, Van Bockel, Danckaert, Herry. Tt nez à tout prix Un Joeumert allemand On a trouvé sur un prisonnier allemand le document suivant signé par le chef d'état major de la 3e armée et daté du 14 septembre : " Il est certain que les attaques formidables faites par les Alliés vont continuer et devenir plus terribles, la lutte actuelle n'étant que le prélude d'opérations plus importantes. Il est par conséquent nécessaire d'informer les troupes de ceci : " Il est essentiel que toutes les troupes demeurent à tout prix et jusqu'au dernier homme sur les positions qu'elles ont à défendre plutôt que de céder du terrain. Tous les officiers qui ne peuvent obtenir cela de leurs hommes seront traduits en conseil de guerre." Ils craignent une invasion Le Telegraaf publie la nouvelle suivante de la frontière ~r L'arrêt de la navigation vers l'Angleterre a vivement alarmé les Allemands en Belgique. Des troupes ont été envoyées en grande hâte sur la Meuse. Elles consistent en jeunes soldats et en vieux landsturm. Une vigilance active est exercée à la frontière hollandaise, car une invasion par la voie de l'Escaut est considérée comme possible.— Reuter Le rôle financier des Etats-Unis On sait que depuis le début des hostilités, les divers belligérants ont eu recours •à l'aide financière et industrielle des Etats-Unis, le jeu des emprunts se trouvant presque inévitablement lié à celui des achats. Cette situation a donné aux Etats-Unis une force économique si profonde qu'elle fera certainement sentir ses effets bien au delà de la conclusion de la paix. Pour apprécier les bases sur lesquelles elle repose, voici un tableau qui indique le montant des créances acquises par les Etats-Unis depuis le 1er janvier 1915 : Prêts consentis : à l'Angleterre .. . . fr. 2,750,000,000 à la France .. .. ,, 2,150,000,000 à la Russie .. . . ,, 1,300,000,000 au Canada .. .. ,, 600,000,000 à l'Italie . . . . )( 125,000,000 à l'Allemagne 50,000,000 aux pays neutres d'Europe ,, 135,000,000 Total: .. fr. ?, 110,000,000 La répercussion de ces opérations financières sur le commerce américain se traduit par les chiffres suivants : depuis le 1er janvier 1915, les exportations des Etats-Unis ont dépassé de 14,860,000,000 de francs les importations. Outre les 7 milliards acquis sous forme de créances, les Etats-Unis ont reçu d'Europe, pendant la même période, 3 milliards d'or. Enfin, pour donner un tableau complet de l'accroissement de la richesse américaine, il faudrait mentionner encore le prêt consenti en 1915 et 1916 aux Etats-Unis de l'Amérique latine, prêt dont le total dépasse 500 millions de francs. Tout cela s'accroîtra encore dans les mois qui vont venir, et la liquidation même de la situation financière des principaux belligérants contribuera à donner aux Etats-Unis une suprématie de plus en plus forte et à faire d'eux le centre régulateur du marché financier international. La Belgique doit être indemnisée L'opinion de M. Vandervelde Dans le New York Times Magazine du 6 août, un socialiste américain, Morris Hillquit a répondu négativement à la question : " Faut-il qu'à l'issue de la guerre européenne les vainqueurs imposent aux vaincus le paiement d'une indemnité? " Il avait en outre, à l'appui de sa thèse, invoqué l'opinion du ministre belge M. Emile Vandervelde, président du Bureau socialiste international. M. Emile Vandervelde vient d'adresser une réponse péremptoire au New York's Times. Après avoir discerné entre les indemnités punitives, qu'il réprouve et les indemnités réparatrices qui ont son entière approbation, le leader socialiste belge fait observer que les résolutions de la conférence des socialistes neutres à La Haye ne contient pas un mot contre la réparation du dommage causé; Enfin quant à ce qui le concerne personnellement, il proteste qu'il n'est pas vrai qu'il se soit prononcé pour la restauration de la Belgique, mais non pour son indemnisation. Il s'exprime en ces termes : " Quand j'ai parlé, de " restaurer " la Belgique, j'entendais, et je devais entendre, la remettre dans la situation où elle serait si les Allemands, qui avaient garanti sa neutralité, avaient respecté cette neutralité. Or, en serait-il ainsi, et la justice serait-elle satisfaite, si, à l'issue du conflit, les envahisseurs de son territoire étaient admis à se retirer, purement et simplement, avec les honneurs de la guerre, laissant derrière eux la dévastation et la ruine; des usines, vidées de leurs machines et de leurs matières premières, vingt mille maisons détruites, la dette publique accrue de deux milliards, Dinant mis à sac, Visé et Termonde brûlés, l'Université de Louvain anéantie, les églises et les monuments de la Flandre réduits à l'état de décombres? Non, ce serait vraiment trop commode.Supposez que demain les Etats-Unis, malgré leur ferme volonté pacifique, soient attaqués sans provocation et qu'une flotte ennemie bombarde, incendie, ravage les plus beaux quartiers de New-York, de Boston ou de Baltimore, tuant quelques milliers de personnes sans défense, des enfants, des femmes, des vieillards; se trouverait-il, je le demande, un seul citoyen américain, fût-ce le plus pacifiste des socialistes, pour sou-^ tenir que le jour où l'agresseur connaîtrait la défaite, il ne serait pas d'élémentaire justice d'exiger de lui la réparation du dommage causé? Hillquit, cependant, est d'un autre avis quand il s'agit de nous, ou de Serbes, ou des habitants de la malheureuse Pologne. Il craint qu'en réclamant des indemnités aux auteurs responsables de la guerre, on ne prépare des guerres nouvelles.Je suis, quant à moi, d'un avis exactement opposé. Riep ne serait plus dangereux pour la paix future que dè voir constater à la face du monde que des gouvernements sans foi ni loi peuvent tout se permettre, qu'ils peuvent piller, incendier, spolier, ruiner des voisins pacifiques, sans s exposer à devoir réparer le dommage sans - courir d'autre risque en cas de défaite que de devoir abandonner ce qu'ils n'auraient pas détruit. Je suis socialiste comme Hillquit. Je souhaite comme lui qu'à l'issue de cet effroyable conflit, il n'y ait plus de nationalités opprimées en Europe, ni d'un côté ni de Vautre. Je suis aussi hostile que lui à un système d'indemnités punitives qui aurait ce but chimérique d'épuiser les peuples vaincus au profit des'peuples vainqueurs. Mais je ne renonce pas, je n'ai jamais renoncé à demander justice pour la Belgique martyre." À l'Université allemande de Gand Voici l'avis que le gouverneur "général vient de faire placarder et publier partout en Belgique : A L'UNIVERSITE DE GAND Conformément aux articles 9, n, 13, 29 et 31 de la loi organique de l'instruction supérieure du 15 juillet 1849 et en vertu du décret des 12 et 22 août 1916 sur 1a nomination des professeurs, le gouverneur général a nommé, à l'Université de Gand, les professeurs suivants : A la Faculté de Philosophie. 1. M. J. De Decker, docteur en philosophie, docteur spécial en philologie classique, professeur à l'Athénée communal de Saint-Gilles, collaborateur scientifique pour l'histoire ancienne à l'Institut sociologique Sol-vay, est nommé professeur ordinaire de philologie classique ; 2. M. Lucien Brûlez, docteur en droit à Watermael-lez-Bruxelles, est nommé professeur de philosophie ; 3. M. Pierre-Louis Tack, docteur en philosophie, professeur à l'Athénée d'Ixelles et à l'Ecole moyenne normale de jeunes filles de Bruxelles, attaché au Ministère des Sciences et des Arts, a été nommé professeur honoraire ordinaire de philologie néerlandaise ; 4. M. W.-A. Baehrens, docteur en philosophie, professeur à l'Université de Groe-ningen et collaborateur scientifique à l'Académie des .Sciences à • Berlin, a été nommé professeur extraordinaire de philologie classique ; 5. M. Everard-Corneille Godée-Molsbergen, docteur en philosophie, chargé de cours aux Universités d'Amsterdam et de Leyde, a été nommé professeur ordinaire d'histoire extra-européenne, spécialement d'histoire coloniale et de géographie politique. A la Faculté de Droit. 6. M. Alphonse Rosa Van Roy, docteur eti droit, avocat à Gand, a été nommé professeur extraordinaire d'encyclopédie du droit et de droit commercial. A la Faculté des Sciences. 7. M. F. Stôber, docteur en sciences naturelles, professeur extraordinaire à l'Université de Gand, est maintenu dans ses fonctions et nommé professeur ordinaire ; 8. M. César de Bruyker, docteur en médecine et en sciences naturelles, directeur des travaux à l'Institut botannique, professeur à l'Ecole normale de Gand et à l'Athénée de jeunes filles à Gand, a été nommé professeur extraordinaire de botanique générale, d'agriculture et d'acclimatation des plantes, et suppléant de M. le professeur Mac Lood ; 9. M. le docteur Jean Versluys,- professeur extraordinaire à l'Université de Gies-sen, ancien assistant et chargé de cours à l'Université d'Amsterdam, a été nclmmé professeur ordinaire de zoologie et d'anato-mie comparée ; 10. M. le docteur A. Van den Berghe, répétiteur à l'Université de Gand, a été nommé professeur extraordinaire de chimie générale ; xi. M. J. J. Ph. Valeton, docteur en chimie et docteur en philosophie, d'Arnhem (Hollande), a été nommé professeur extra-ordinaire de chimie générale et physique ; 12. M. G. J. Minnart, docteur en sciences naturelles à Gand, a été chargé du cours de physique. Faculté de Médecine. 13. M. Ad. Mertens, docteur en médecine et médecin à Deynze, a été nommé professeur extraordinaire de pathologie générale et directeur d'une polyclinique interne ; 14. M. Jos. De Keersmaeker, docteur en médecine et médecin à Anvers, a été nommé professeur ordinaire d'urologie. Ecoles techniques attachées à l'Université. 15. M. A. Fornier, ingénieur et professeur à l'Ecole supérieure industrielle de Gand, 'a été nommé professeur de technologie mécanique et de dessin de machines. Prochainement d'autres nominations seront rendues publiques. Larmes boches sur les colonies La Gazette populaire de Cologne, commentant les opérations dans l'Afrique Orientale allemande, écrit : "Un des drames les plus émouvants de ce conflit gigantesquè semble approcher de sa fin. Le peuple allemand déplorera la perte de sa dernière colonie. " Il n'est pas exagéré de dire que l'Afrique Orientale était la plus capable de développement parmi toutes les colonies allemandes. En dehors de sa valeur purement économique, sa situation géographique est du plus grand prix pour l'Empire britannique.... Le journal fait également ressortir l'importance de l'Afrique Orientale au point de vue de la Voie ferrée du Cap au Caire. En échange de leur or les Boches reçoivent du fer La Banque allemande d'Empire délivre une médaille de fer comme témoignage à ceux qui viennent apporter leur or. Le recto porte: "En temps de fer—1916", et le verso : "J'ai donné l'or pour la défense,' j'ai reçu le fer pour l'honneur." •— j .'s .-Oîl

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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