La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1918, 01 Mei. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 13 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/m32n58dm8h/
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The Newspaper for Belgians LA METROPOLE •ONE PENNY CIHQ CERT1MM ï!îir AMDE : VIJF CEHT S: DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holbor» 212. {3 mois 9 shi 6 mois 17 sh. 1 an 32 sh. ANNEE MERCREDI 1 MAI 1918 No. 121 LA GUERRE I Les Belges à Langemarck I sanglante defaite allemande I Que se passe-t-il à Pétrograde ? Mardi midi. Bits Allemands ont subi lundi sur le champ ■bataille de la Lys une nouvelle et sanglan-Biifaite. Entre Meteren et l'étang de Zille- ■ sur un front d'un peu plus de quinze ■mètres, le général Sixte von Arnim lança de ses meilleures divisions "composées ■iroupes de choix (appelées non plus Stoss-Hta, mais Grosskampftruppen — troupes ■ "grands combats ") contre les lignes ■esSdéfendant les hauteurs au sud d'Ypres, Hïl'espoir de les enfoncer. En même temps, Bppliquait un coup de sonde vigoureux ■;re la jonction des lignes anglaises et bel- ■ iu nord-est du saillant d'Ypres, vers Lan-Hiarck, sans doute en vue d'une diversion ■jiiétante dans le cas où les Belges auraient H[,>ut le plan d'attaque cependant, malgré ■ formidable caractère, échoua lamentable-Hti. Les Anglo-Français tinrent bon sur ■le la ligne au sud du saillant et repoussè- ■ brillamment les attaques allemandes, ■iisque les Belges au nord, après avoir cédé ^Ëiporairement. deux cents mètres de terrain ^■'ennemi, le repoussaient grâce à une vigou-■h contre-attaque. Lundi soir, la lutte ne ^■ct'nuait plus que sur certains points et ^hnemi s'occupait presque uniquement à ré-^■er ses pertes, qui sont énormes. ■li nouvelle bataille avait débuté dimanche ■rpar des attaques locales devant Locre, ^■ Jes diversions d'artillerie entre la Scarpe" ■ l.-ns (14 kilomètres) et entre Givenchy et ■lorêt de Nieppe (18 kilomètres) et par une ^■contre-attaques à Festubert, au sud d'Al-^■tetà Neuville-Vitasse (sud?est d'Arras) au ■1rsdesquelles les Anglais reprirent un poste ■ipturèrent des mitrailleuses et des prison- Biais le grand jeu ne commença que lundi à ^Biibe et débuta par un formidable bombarde-■': d'obus explosifs et à gaz sur le front ^■ieren-Zillebeke. Ce bombardement fut, as-^■e-t-on, quelque chose de fantastique. Les ^Ptmands avaient accumulé à cet effet un ^■ére de batteries et une quantité de muni-■'- prodigieux. Des témoins sur la côte bel-^■îssurent que son intensité dépassa celui ^■bombardements sur le front d'Ypres de ^■i> 1916 et 1917 réunis. Grosskampftruppen se lancèrent en-à l'assaut avec une force particulière, les dispositions des Alliés étaient bien ■*> et le travail de contre-batterie de leurs ^Blleurs fut particulièrement effectif. Sur le ■^t britannique, au sud, les 2ime, 25me et ■* divisions " repoussèrent complètement ■tune des tentatives de l'ennemi pour pé-■frdans leurs positions et, malgré une suc-■°n constante de furieuses attaques en force, maintinrent leurs positions " en ^■Seant aux Allemands des pertes énormes. ■™s au nord, les Français, établis sur les ■te du Scherpenberg et du mont Rouge, ■ fendirent avec une vigueur au moins éga-■Attaqués avec violence, ils repoussèrent ■out l'ennemi. Sur certains points, il y eut ■jeculs temporaires et à certains moments ■ation signalait que les soldats alpins de H'- von Arnim gravissaient les pentes des ■®esi mais des contre-attaques énergiques ■firent à les refouler de la plus. grande ^■'Nu terrain où ils avaient réussi à pren- ■*('çrnier communiqué allemand publié par ^Krcsse anglaise ne se rapporte qu'aux évé-de dimanche et ne fait pas encore ■"ion de cette sanglante défaite qui complu |jn,s 'es annales de l'héroïque défense ■f "'tuation en Russie paraît devoir être 'raplexe. Depuis quelque temps on n'a n°uvelles incomplètes de se qui s'y ■t'ii • î°urnaux finlandais parlent d'une ■Rratl°n monarchique. L'héritier du trône ■ été proclamé Tsar avec son oncle ■'" Michel comme régent. ■[ r Von dem Bussche, sous-secrétaire Kj aux Affaires étrangères, a envoyé à cet Message par T.S.F. cueilli par l'Ami-Rad a'Se' au comte von Mirbach, l'am-^prmeur. a"emand à Moscou, lui demandant ■ ai ,r''?n ou démenti de cette nouvelle. ■t.!,'1'"1'1 re<su une lettre de Pétersbourg en ■,^'3 avril, disant qu'à Pétersbourg un 'i"'"ento monarchique est imminente et n' n«;a| Alexeieff, le chef du parti octo- ■ '"tehkoff, et aussi le chef des Cadets, ■ (| ' sont à Pétersbourg. L'ancien pré-■l(rsj. a Douma, Rodzianko, serait aussi ■rr>IJ, ,a clu il faut chercher l'explication Hl^'. u't'matum envoyé à la Russie par N'le enjoignant la libération immé diate des prisonniers valides et de confier le soin des prisonniers malades à des neutres. Ou bien est-ce un prétexte pour occuper Pétrograde. L'Allemagne menace, en effet, de prendre Pétrograde si satisfaction n'est pas donnée à cet ultimatum. Bien entendu, bien qu'en paix avec la Russie, elle ne rendrait pas les prisonniers valides. Une commission allemande est arrivée à cette fin à Pétrograde. On évalue à 2.500.000 le nombre des prisonniers valides en Russie. Le gouvernement allemand, d'autre part, publie un démenti amer au sujet de l'accusation portée par les Russes d'avoir Adolé le traité de Brest-Litovsk. L'avance germano-ukrainienne en Crimée en menaçant Sébasto-pol ne laisse plus aux Russes d'autre alternative que de réfugier la flotte à Novorissisk, port manifestement insuffisant. L'Allemagne a informé les commissaires du Peuple que tous les membres de la flotte de la mer Noire qui briseraient la clause 5 du traité de Brest qui engage la Russie à désarmer ses navires jusqu'à la conclusion de la paix seraient considérés comme hors la loi. D'après le correspondant du Times à Pékin, un détachement de cosaques sous les ordres du général Séménoff a battu sur les frontières de la Mandchourie un groupe de cinq cents prisonniers hongrois armés qui essayait d'empêcher sa jonction avec un autre détachement de cosaques et l'a refoulé sur le transsibérien vers Chita. Cette dépêche indique que l'Allemagne continue à intriguer en Sibérie et que de nombreux événements sur lesquels on est très imparfaitement renseigné se déroulent dans ces provinces éloignées. Il se confirme que la tension germano-hol-landaise est moins vive, et que l'on peut considérer pour l'instant comme complètement écarté le danger de mesures de coercition de la part de l'Allemagne. Il semble bien que le gouvernement de La Haye ait abandonné quel-ques-unes de ses positions diplomatiques et que le compromis auquel il paraît avoir consenti et dont les conditions précises ne sont pas encore connues, ne constitue pas une atteinte trop flagrante à la fierté hollandaise. D'après ce qu'on dit dans les milieux diplomatiques de Londres, un accord aurait été conclu au sujet de la question des sables et graviers, et quelque satisfaction aurait été donnée à la demande hollandaise de contrôle. Cependant, d'après un article publié par George Bernhard dans la Gazette de Voss de lundi matin, l'Allemagne aurait demandé à la Hollande : 1. le droit d'envoyer du matériel de guerre à Anvers par le chemin de fer du Limbourg ; 2. le droit d'envoyer des vivres " pour transmission " d'Anvers ; 3. le renouvellement du traité (?) relatif à l'importation des sables et graviers. Bernhard croit pouvoir dire que l'Allemagne aurait fait savoir à la Hollande que dans les circonstances présentes elle ne pouvait pas se départir de ces demandes. Il déclare que, comme la Hollande a acquiescé à la pression anglo-américaine, elle doit accorder ce qu'on lui demande pour redresser la balance. La seconde session du Conseil interallié des transports tenue à Paris s'est occupée de la fourniture du charbon à la France et à l'Italie et aussi des secours aux régions occupées de la Belgique et du Nord français. o n Les bombes pleuvent sur les Allemands Le ministère anglais de l'Air vient de publier un tableau compartif des plus suggestifs donnant le nombre de bombes jetées en France sur ' les lignes ennemies par les aviateurs anglais et celui des projectiles lancés par l'ennemi dans 1 la zone occupée par les troupes britanniques. Durant le jour: Anglais, 23.099; ennemi j SI7- Durant la nuit: Anglais, 13.080; ennemi 1.948. Total : Anglais, 36.179; ennemi 2.465. Il y a donc là, en faveur de l'aviation anglaise, une proportion de 1 à 15. O o L'Allemagne s'annexerait les mines de Dombrowa Le Bergwks Zeitung, organe de l'industrie minière allemande, annonce que le gouvernement a décidé d'annexer une partie très importante du district minier polonais de Dombrowa ; ce district serait réuni à la Prusse ; le reste de la région industrielle polonaise serait laissé à la Pologne, mais sous condition d'un arrangement économique, qui donnerait à l'Allemagne le contrôle de toute l'industrie polonaise. Les Belges attaqués à Langemarck Ils repoussent victorieusement les Allemands Le Havre, 29 avril.— Communiqué officiel du grand quartier général. Front occidental.— Des attaques de surprise faites la nuit dernière à l'est de Nieuport, aussi bien que dans la direction de Kippe nous valut quelques prisonniers.Sous le couvert d'un bombardement violent, les Allemands attaquèrent nos avant-postes dans la région de Langemarck, les forçant à se retirer d'environ 200 mètres sur une légère partie du front. A la suite d'une contre-attaque, la situation se trouva à peu près complètement rétablie.— Reuter. o o Le roi Albert crée un "cercle" pour les officiers de son armée La solidarité belge et alliée a créé, en Angleterre et en France, de nombreux "homes du Soldat belge", où les permissionnaires de l'Yser, trop souvent séparés de leur famille, trouvent repos et délassement. Jusqu'ici, cependant, on n'avait pas songé à garantir aux officiers en permission, dont les familles sont restées au pays, ce qui est le cas pour le plus grand nombre, un séjour réunissant à la fois confort et agrément- Très fréquemment, les chefs héroïques des combattants doivent se fier au hasard, s'en remettre à leur bonne étoile du choix d'un gîte1 onéreux. S. M. le Roi a décidé de mettre un terme, à des situations parfois pénibles, ainsi qu'il résulte des lignes ci-après reproduites, extraites de la circulaire du 21 avril 1918, par laquelle le ministre de la Guerre annonce la création du "Cercle royal des officiers belges". J'ai l'honneur de porter à la connaissance des officiers de l'armée, dit M. le ministre de la Guerre, que S. M. le Roi, désireux de faire profiter tous les officiers du repos bien mérité que procurent les congés périodiques dans de bonnes conditions de confort et en toute liberté d'esprit, a pris à bail et fait aménager à leur intention le pavillon Henri IV, ^ à Saint-Germain-en-Laye (Paris), pour y créer le Cercle royal des officiers belges. Cette fondation a surtout pour but d'offrir aux officiers qui ont à faire face à des charges de famille de nature quelconque, un lieu de résidence où ils n'auront pas à supporter des frais de séjour supérieurs au coût approximatif de leur subsistance et de leur logement au front. Le prix rtioyen nécessairement variable de la pension sera périodiquement porté à la connaissance des officiers par la voie des ordres.En conformité des intentions du Souverain, le plus grand nombre possible d'officiers devant pouvoir jouir des avantages offerts, le séjour d'un officier au cercle ne pourra en principe pas dépasser la durée normale d'un congé de repos. Toutefois, lorsque le nombre de places disponibles le permettra et, notamment, pendant les périodes de suspension des congés, des officiers convalescents pourront faire à l'établissement des séjours d'une durée indéterminée, la priorité étant donnée aux officiers ayant des charges de famille. Une institution s'inspirant du même esprit vient d'être créée au Havre. o o De nouveaux eanons pour bombarder Paris Amsterdam, 29 avril.— Les Nouvelles apprennent que mardi dernier un des gros canons, complètement démonté, ayant servi au bombardement de Paris, a traversé l'a Belgique occupée. Le même canon a été observé mercredi à la gare d'Aix-la-Chapelle. Trois nouveaux canons à longue portée destinés au bombardement de Paris, furent vus, le 26 avril, sur un train traversant la Belgique et prenant la direction de la France. , Ces canons provenaient de la "Rhine Metalware and Machine Construction Factory" de Dusseldorf.— Reuter. o o — Des nouvelles venues de Zurich apprennent qu'une grève générale aurait été décidée pour le 1er mai dans toute l'Autriche-Hongrie. Samuel Gompers et Stockholm Aucune alternative honorable à la lutte par les armes M. Sam. Gompers, le célèbre vétéran trade-unioniste, président de l'American Fédération of Labour, a été reçu — fait unique — à une session du Parlement canadien, Sénat et Chambre réunis, le 26 avril, à Ottawa. Il fut l'objet d'une réception enthousiaste et prononça un discours dont il y a lieu de recommander la lecture à tous les socialistes qui donnent dans le panneau pacifiste. La guerre actuelle, déclara M. Gompers, est la plus merveilleuse croisade qui ait jamais été organisée par les hommes dans toute l'histoire du monde. Aucune cause plus noble, aucune entreprise plus sainte n'a jamais inspiré la nature intelligente et l'esprit de sacrifice de l'humanité. La machine impérialiste allemande a bien choisi son heure pour tenter son assaut, au moment même où ses adversaires étaient le moins bien préparés pour le recevoir, mais cette lutte devait arriver tôt ou tard. De même que Lincoln déclara un jour que les Etats-Unis ne pouvaient pas être à moitié libres et à moitié esclaves, de même, grâce à Dieu, le temps est venu pour décider que le monde ne peut pas rester à moitié démocratique et à moitié autocratique. Nous sommes dans la lutte. Nous avons été serrés de près. Ce n'est pas une mince affaire que de transformer un peuple démocratique au pied de paix sur le pied de guerre, mais la chose est faite. Nos sacrifices sont grands mais quoiqu'ils puissent être plus grands et plus durs encore, ils doivent être consentis pour que la liberté, la justice et la démocratie puissent vivre pour le plus grand bien du monde. Avant la guerre, il n'y avait pas de plus grand pacifiste dans le monde que moi-même. En juin 1914, j'avais préparé des extraits de mes discours pour en faire un livre à publier par la Fondation Carnegie pour la paix. Lorsqu'en août la guerre allemande éclata, je ne perdis pas une minute pour retirer des mains des imprimeurs cette foutue stupide matière (applaudissements). Depuis cette époque, le pacifiste extrémiste que j'étais a été transformé en une espèce d'homme capable de se battre (nouveaux applaudissements). Certains agitent l'idée d'une conférence internationale de travailleurs à laquelle assisteraient des représentants de l'ennemi. Je m'élève de toutes mes forces contre une telle conférence. Commencer à discuter de la paix, c'est perdre la volonté et la puissance de se bat. tre et le devoir de l'heure est précisément de se battre, non paroe que nous désirons nous battre, mais parce qu'il n'y a pas d'alternative HONORABLE. Dédié à M. Camille Huysmans et à tous ses compères Stockholm istes. o o Les mémoires du prince Lichnowsky (Texte intégral) paraîtront en feuilleton dans LA METROPOLE à partir de demain çy o La générosité américaine Pour les bébés belges Sur la proposition de dames américaines, la reine Elisabeth avait choisi une fleur destinée à être vendue en Amérique au profit des bébés belges — le "Forget-me-not" (myosotis), signifiant: "N'oubliez pas les enfants belges". Mme Woo-drow Wilson s'était fort obligeamment chargée du patronat de la vente, tandis que presque toutes les femmes des ministres, Mme Hoover, présidente du Comité exécutif, et beaucoup d'autres des dames plus en vue de la haute société de Washington, constituaient le Comité central.La vente des "Forget-me-not" par les dames du Comité s'est effectuée dans les rues de Washington le 18 mars 1918. Commencée à neuf heures du matin, elie finissait une heure plus tard, la prov'sion de fleurs — 20.000 — étant épuisée ! Le Comité de la Fleur de la Reine a l'intention de donner un pareil "jour" dans les plus grandes villes des Etats-Unis. La médaille de la reine Elisabeth La Médaille de la Reine Elisabeth, avec Croix rouge, a été décernée à : Mlle Bauss Christine; Mme Bedoret, née Geets Léonie ; Mlle Beel Bertha ; Mme Bron-deel, née Bonnard Jeanne; Mlles Chody Con-stantine ; Collette Jeanne ; Damas Fanny, Mme Delelienne, née Kort Gilberte ; Mlles De Winter Aline; Fay Alice; Garnier Aline; Good Suzanne; Graf Mika ; Mmes Hanssens, née Bouvier Louise ; Janssen, née de Mot Pauline ; Leclercq, née Crabbe Renée; Lippens, née Ooban Suzanne; Mlles Mansion- Elisabeth ; Mechelynck Cécile ; Mercier Louise ; Mme Monard, née Van den Bril Marie ; Mlle Mutsaars Jeanne; Mme Neuman, née Fame-rie Gabrielle ; Mlles Nys Eugénie ; Peeters Maria ; Peltzer Marianne ; Mme Ramaekers, née Wiegen Marie; Mlle Rahier Jeanne; Mme Schak de Brockdorff, née Good Marie; Mlle Schandeler Ketty; Mme Servais, née Sasse Marthe; Melles Van Acker Henriette; Ver-haege Maria; Verhasselt Elisabeth-Marie; Vervloesen Louise ; Von Hagen Jenny ; De-launoy Jeanne; De Palmenaer Zulma;'Mmes Lefèvre, née Dumoncheau Jeanne ; Abbeloos, née Cremer Jeanne; Mlles Blocteur Louise; Verwilgnen Gladys : infirmières à l'hôpital Océan, La Panne. Mlle Parmentier Juliette, infirmière à l'hô-1 pital civil de Saint-Idesbald. Mmes Baguet Clotilde; Bernard, née Bovy Jeanne; Mlles Bouillot Octavie ; Bu-tave Laure ; Buys Madeleine; Claes Julia; Cornellie Jeanne; Mmes Crouquet, née Soyer Hélènej Delsemme, née Remacly Ernestine ; Mlles Deminne Maria; Deridder Béatrice; Mme de Rosée, née de Marnix de Sainte-Al-degonde (baronne) ; Mlle Grodrian Emma ; Mmes Guffens, née Hautekiet Alice; Helle-baut, née Lagazy Cécile ; Mlle Illegems Béatrice ; Mme Jacquet, née de Haverskerke Jeanne ; Mlle-; Ladner Rosa ; Lefranc Eglantine ; Maillien Laure; Mathys Laura ; Moons An-gèle ; Moons Hélène; Nys Germaine; Nys Simone ; Mme Orth, née Heuse Gabrielle ; Mlles Peterbroeck Céline; Petit Alice; Ros-sion Berthe ; Stenten Catherine; Van Essen Marguerite ; Van Nyen Gabrielle ; Van Vol-sem Germaine; Mme Verplancke, née Gillis Elise ; Mlles Weber Gabrielle ; Winand Rosa : infirmières de l'hôpital militaire de Beveren-sur-Yser.Mme la baronne de t' Serclaes, à Pervyse. Mmes Brenders Pauline ; de Cléry Susanne ; Geyskens, née Créquillion Berthe et Henry Eugénie : infirmières de l'hôpital militaire de Beveren-sur-Yser. Mlles Defever Adrienne ; de Hults Madeleine; Mmes D'Hainaut Emilie; Drubbel Anne ; Mlles Dufrasnes Alice ; Claes Marguerite ; Mme Exkstein Valentine ; Mlles Franckx Emilie; Huybrecht Olga; Mme Jung Marguerite; Mlles Loppe Hortense; Maerkaert Maria; Minne Thérèse; Salez Marguerite; Sirtaine Maria; Vanderghote Elisabeth; Ver-meiren Louise ; Waelbroeck Caroline : infirmières de l'hôpital militaire de Cabour. Mmes Boddaert Marie; Liagre Mathilde ; Pottiez Laure; Mlles Spanoghe Fanny; Debie Caroline ; Van Everbroeck Berthe et Mme de Wael Lucie ; Mlles Auchinleck Catherine ; Baillie Collin ; Bland Eglantine; Boniface Lucy ; Boutle Elsie ; Broadberry Grâce ; Bruce Adelaïde; Campbell Jessie; Crackston Amé-lia ; Mmes De Glos, née Lindes Vera ; Ducel-lier, née Gegner Rigmar ; Mlles East Clayton Agnes; Edwards Ida; Elgood Mary; Evans Dora; Faber Connie; Mme Fenwock, née Robaerts Elsie; Mlles Foulkes Edith; Ford Constance ; Gallop Mabel ; Gillibrand Ethel ; Golding Bessie; Gooch Edith; Holst Karen ; Hughes Jeanne; Hunt Mabel; Hutchinson Anne ; Kaiser Katherine ; Lewis Nelly ; Mac-fie Dorthy ; Mlles Maclean Nellice ; Matheus Cecily ; Millar Hélène; Millar Henriette; Moir Margaret; Papillon Kate ; Patterson Charlotte; Robertson Hélène; Schrapnel Ethel ; Simonson Karen ; Smyrke Ethel ; Ste-phenson Lilian ; Mme Stroûd, née Colliver Winifred; Mlles Veitch Flower; Veitch Gladys ; Velsch Elisabeth ; Whvse Frances ; Kon-radsen Nanna ; Bowlker Frances; Campbell Astley ; Coates Clara ; Elliot Maria ; Garlick Minnie ; Lees Muriel ; Moore Gladys; Taylor Henriette; Norton Anny : infirmières à l'hôpital Océan à La Panne. Miss Chisolm Mary, à Pervyse. Miss Bainbridge et Miss Stâtter Norah, infirmières à l'hôpital militaire de Cabour'. Mme Winterbottom Gladys; Mrs. Hancock Giory ; Miss Fisher Margaret et Miss Doderet Helen : infirmières de l'hôpital militaire d'Hoogstaede. 1 Ont reçu la médaille de la reine Elisabeth : Mme Delvigne, née Demeyer Marie; Mlle Demeyer Emma, et Mme Havaux, née Walle-ghem Juliette, attachées à l'hôpital Océafi, à La Panne. Mme Hunton Smith, à Londres. o o — Le fameux champion cycliste de demi-fond Louis Darragon a été tué accidentellement par une motocyclette d'entraînement dimanche dernier au vélodrome d'hiver de Paris. Cet accident rappelle celui qui, il y a quelques années, coûta la vie au jeune champion belge Charles Verbist.

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