La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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17 januari 1917
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s.n. 1917, 17 Januari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/7d2q52g72c/
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LA MÉTROPOLE IONE PENNY I ">■ CIHq CEHTIME» ,E0?TinF! • VIJF CENT gjgg DIX CENTIME^ PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, 3 ah. ; 3 mois, 9 ih. Etranger : 1 mois, 4 «h. ; 8 mois, 12 ah ■g4ME ANNE (ii MERCREDI 17 JANVIER 1917 No. 17 LA GRANDE GUERRE La question militaire en Roumanie SUCCES BRITANNIQUE EN EGYPTE line grave affaire aux Etats-Unis ■ Situation sur le front de Moldavie Lirait sous un jour légèrement plus Bable. Les Roumains qui semblent déifement rentrés dans les lignes de cortibat ont commencé une legere of-BL 3ur les hauteurs au sud-est de Moneitar Casin et sur le Casinu et après vif combat à la baïonnette l'ennemi fulpoussé sur une distance d'un verste dans la direction du sud. De, détachements ennemis qui essaye-reiïde contre-attaquer dans la même Lon furent non seulement repousses Bles Roumains auxquels s'étaient jointes des troupes russes, mais furent Eus,S de deux verstes en arrière. _ F Par contre dans la région de Vadem, \ cinq kilomètres au sud-ouest _ de Ga-latz, l'avant-garde russo-roumaine dut ieneôre se retirer vers le nord sous la pression ennemie. Une attaque obstinée contre les positions russes dans la ré-gion de Ciuslea, non loin de la Sereth, I six kilomètres au nord-est de Focsani, futRpoussée avec de fortes pertes pour l'ennemi. j On a cherché bien des fois a expliquer ^Hvers des armes alliées en Roumanie. .L'Jniral Fournier, ancien amiralissime de la flotte française, qui est allé en Rofimame avec un train-ambulance pré-senti par l'Union des Femmes de Fran-Blonne une nouvelle explication de ■fccès roumain. [Le plan russe, dit-il, était que les Romains tiendraient l'ennemi sur la froptière de Transylvanie et qu'avec le gros de l'armée ils attaqueraient la Bulgarie C'était là également l'idée du gé-Rai Averesco. Malheureusement le plan ne put pas suivi — l'amiral ne dit pas sous l'influence de quoi — et en consé-qutlice les Roumains attaquant en Transylvanie tournèrent le dos à l'ennemi principal et en refoulant les Autri-bhiens, étendirent leur front et affaibli-renlleurs forces. Il en résulta qu'en rencontrant les puissants renforts alle-pasds ils furent obligés de se rejeter en Bre en perdant une grosse partie de leulartillerie. i Entre temps, continue l'amiral Four-H les Bulgares envahirent la Dobrud-■jt marchèrent sur Bucarest, traversant sans la moindre difficulté le Danube pui n'était gardé que par une divi-Mj Les Russes furent forcés de suspendre l'offensive du général Brusiloff p l'envoyer des renforts en Roumanie, M les événements se précipitèrent pf une telle rapidité qu'il ne fut pas Bible de couvrir le front de la Vala-p| et l'arrière dans la Dobrudja assez Flpour arrêter l'avance de l'envahis- ■ Quand la Sereth fut atteinte, une Bière effective fut formée. Bpmme nos lecteurs peuvent s'en ren-■Icompte 1'" explication " de l'amiral ■nnier est très évasive et laisse assez Bétails dans l'ombre pour nous per-Bre de croire que cette relation des Biements s'écarte assez bien des faits Boriques dont nous n'aurons la véri-Bf explication qu'après la guerre. En ■mur |ieUi pOUr autant qu'on puisse ■conclure de la situation géographique, ■ attaque en masse par la Dobrudja ■a" été accompagnée de difficultés ■mes, par suite de la présence de la ■"^ des Balkans et en second lieu, ■ s"te des renforts allemands les Rou-K v n'auraient jamais réussi à se ■tenir sur la frontière de Transylvain 11u'f en soit,des erreurs de calcul, ■r lle pas dire des fautes tant d'omis- 9ue de commission, ont été com- ■ et ce n'est pas encore le moment L jablir les responsabilités. ■ '?ypte les troupes britanniques, ■<mt 'e long de la rive gauche du I ' °nt remporté un nouveau succès; |j| llt,capturé le village de Hori, dans ■L60'1™1 de Kut-el-Amara, où elles L] 1 une quantité considérable de B et de munitions. ■ an! aux captures faites à Rafa le | Mer dernier, elles s'élèvent à 1.602 prisonniers, quaire canons rs.rupp, sepi mitrailleuses, 1.600 fusils, 83 chameaux, 134 selles et une grande quantité d'équipements divers. Dans le nord de Russie 'et sur les fronts de l'ouest la situation n'a pas subi de modifications. L'enquête ouverte aux Etats-Unis au sujet des révélations faites avant que les propositions allemandes de paix ne fussent connues et sur lesquelles des spéculations colossales ont été faites, devient de plus en plus compliquée; des déclarations très graves ont été faites et l'on s'attend à un scandale de dimension dans lequel sera compris un bon nombre de grosses légumes de Wall Street. Un des témoins, M. Lawson, déclara que c'était le président de la commission d'enquête qui lui avait dit qu'un ministre du cabinet et un banquier avaient réalisé une fortune considérable à la suite de la " fuite " de certaines nouvelles. On craint dans certains milieux que la Commission d'enquête n'établisse la culpabilité d'un diplomate étranger, que les intrigues et les attentats à la bombe n'ont rendu que trop célèbre. Le nom de ce personnage que l'on devine n'est pas publié de peur de voir s'élever des complications internationales. Les fluctuations du marché n'ont pas seulement influencé les actions à Wall Street mais encore les marchés de coton et de grains. A la frontière Sévérité allemande Les Allemands prennent toutes les mesures possibles pour empêcher le passage en Hollande des civils belges. Ces jours derniers, deux civils se présentèrent dans une maison située près de la frontière, à Selzaete. Ces individus parlaient couramment le flamand. Ils racontèrent à la femme de la maison qu'ils voulaient s'enfuir par crainte des déportations et lui promirent une bonne récompense si elle voulait les aider. La femme accepta la proposition. Mais les pseudo-fuyards montrèrent alors qu'ils étaient des détectives allemands. Dans la conversation, la femme avait nommé un soldat allemand qui pourrait les aider. Elle fut arrêtée ainsi que ce militaire. En fouillant le soldat, on découvrit beaucoup de billets de banque dont il ne put expliquer la provenance. La femme a été envoyée en Allemagne. Le bruit court que, pour faire un exemple, les Allemands auraient fusillé le soldat. Ce qui est certain, c'est qu'ils ont fait afficher partout l'avis suivant : AVIS Une bande d'une centaine de civils, dont une partie étaient armés, a essayé, le 6 décembre 1916, de passer de vive force la frontière, pour atteindre le territoire hollandais. * Des 37 personnes qui ont été arrêtées, le conseil de guerre près le gouvernement militaire de Liège en a condamné 30 à la peine de mort ; quatre qui n'avaient pas atteint l'âge de 18 ans et qui n'étaient pas armées sont punies d'un emprisonnement de 15 ans ; les trois autres personnes sont condamnées à des peines plus douces, parce qu'il n'a pas été prouvé qu'elles aient eu connaissance du moyen que l'on allait employer pour passer la frontière. Prenant en considération que ceux qui ont participé à cette tentative se sont laissés égarer et qu'ils ne s'étaient pas rendu compte de la gravité de leur crime, j'ai commué la peine de mort en celle des travaux forcés à perpétuité. Si un tel cas se représentait, je ne ferais plus usagé de mon'droit de grâce. Le gouverneur général en Belgique par intérim, Freiherr von Huene. Bruxelles, le 31 décembre 1916. Les prisonniers rapatriés Interlaken, 10 janvier. Un important convoi, qui est probablement le dernier convoi de la série actuelle du rapatriement des prisonniers de guerre convalescents français, est arrivé ce matin, à 7 h. 53, à Interlaken. Ce convoi comprenait 530 hommes qui ont été répartis dans les différentes stations climatériques de l'Oberland bernois. Le poirisme belge Les déclarations du Dr. Stubken Voici de nouvelles précisions sur les extraordinaires déclarations du Dr. I. Stiibberi, bien connu à Anvers, que nous avons déjà relevées. Elles ont paru sous sa signature dans Der Tog du 3 janvier 1917 et révèlent les véritables objectifs de la politique allemande à l'égard de la question flamande en Belgique occupée : Si le caractère ethnique bas-allemand des Flamands devait se renforcer après la guerre, s'il devait aussi s'élever à nouveau dans les classes supérieures, alors la séparation politique entre Flamands et Wallons deviendrait une nécessité... Mais, cette séparation pe s'étendrait ni aux affaires étrangères ni à l'administration des douanes, chemins de fer, postes et armée. Comme précisément l'Allemagne doit garder une influence dans ces domaines si on ne veut pas voir surgir une nouvelle Belgique au service de l'Angleterre, le " Conseil fédéral des Etats-Unis de Belgique " devrait montrer un aspect allemand très marqué, et, en tous cas, se trouver en rapports très étroits avec un statthalter impérial.Le territoire de langue flamande comprend les provinces du Limbourg, d'Anvers, de Flandre Occidentale et Orientale, avec la plus grande partie du Brabant septentrional. Dans cette dernière partie du territoire ( se trouve Bruxelles, et ici gît la difficulté. Bruxelles, capitale de l'Etat flamand, en compromettrait au plus haut degré la caractéristique populaire, car Bruxelles n'est flamand que dans les classes inférieures de sa population, et, à vrai dire, faiblement flamand ; par contre, dans les classes moyennes et supérieures complètement français. Mettre le parisianisme bruxellois à la tête de la Flandre serait mettre le loup dans la bergerie, serait préparer dans tous les domaines de l'administration et de l'éducation des obstacles au réveil de l'âme populaire bas-allemande. Seule une mesure hardie peut être efficace ici. Gand ou Anvers seuls peuvent être la capitale et le siège administratif de la Flandre. Bruxelles, avec ses environs immédiats, c'est-à-dire avec une douzaine de communes la plupart urbaines, ne peut ni appartenir à la Wallonie, ni à la Flandre. Mais elle peut être le siège du Conseil fédéral et du Statthalter impérial avec l'administration centrale des Douanes, des Chemins de fer, des Postes et de l'Armée : politiquement une ville libre de près d'un million d'habitants, libre dans le sens de nos capitales, qui en effet jouissent d'une liberté politique, quoiqu'elles reconnaissent un pouvoir supérieur. La ville de Bruxelles, l'Etat libre de la Flandre et l'Etat libre de la Wallonie sont les membres naturels des Pays-Bas belgiques ; deux Etats nationaux bien tranchés et caractéristiques et une ville centrale française-flamande-allemande. Ici, la pénétration et l'influence allemandes vont s'accroître d'année en annéfe. A cela veillera le corps des fonctionnaires des administrations dénommées, à cela veilleront le commerce, l'industrie et l'organisation scolaire. Le grand nombre des bâtiments officiels actuels n'est plus nécessaire pour ces administrations. Il y aurait de la place vacante pour la fondation d'une Université allemande réunie, et pour une école supérieure technique. L'idée de Dresde, d'une telle concentration, pourrait être réalisée à Bruxelles, pour donner le preuve la plus puissante de la vie intellectuelle allemande. Aucune autre mesure ne pourrait être appropriée d'une manière aussi efficace pour la pénétration pacifique des régions qui nous sont devenues étrangères, pour reconquérir les esprits et pour le bien-être général. Les Allemands n'encouragent donc certaines tendances extrêmes d'" activistes " flamands que pour mieux établir leur domination sur une Belgique divisée. Brelan d'arrestations dans le Limbourg A Tongres, écrit 1 Courrier de la Meuse, les deux frères du député Schaetzen oijt été arrêtés. Si je dois en croire un homme venant de cette région, ils ont été condamnés à trois mois de prison et à une amende de 2.500 marks. Toujours est-il que nos deux compatriotes se trouvent actuellement à la prison d'Aix-la-Chapelle. * * * Les Allemands viennent de procéder à l'arrestation du secrétaire communal de Mon-tenaeken, ainsi que de trois habitants de Ha9selt. Le motif de ces arrestations n'est pas connu. Mais les habitants de la commune ne la croient pas en rapport avec l'affaire Marres. L'emprunt congolais La légation de Belgique à La Haye a publié le communiqué suivant : La presse allemande et les journaux des pays neutres, ainsi que de la Belgique occupée, qui s'inspirent à Berlin, ont publié dans ces derniers temps des informations mensongères, à l'occasion d'un emprunt consenti par l'Angleterre à la Colonie du Congo belge. A croire ces informations, pour obtenir cet emprunt, la Belgique aurait dû donner en gage à l'Angleterre les parties les plus importantes et les plus riches du Congo et tout l'actif et les recettes générales de cette colonie, ce qui prouverait et notre vassalité et lés visées intéressées de l'Angleterre sur notre colonie. % Ces affirmations étaient si manifestement tendancieuses que nous avons omis de les relever plus tôt. Mais à les voir se propager, nous pensons qu'il est nécessaire de les démentir formellement. La Belgique n'a donné en gage à l'Angleterre ni aucun des territoires du Congo, ni rien de l'actif ou des recettes de cette colonie, ni rien d'autre. Et l'Angleterre ne lui en a pas fait la demande. Le Congo belge, dont on sait que les finances sont absolument distinctes de celles de la Belgique, ayant besoin de sommes considérables pour pourvoir aux nécessités de son développement économique, a contracté avec l'Angleterre un emprunt de 90 millions. Cet emprunt a été conclu aux conditions les plus favorables et qui laissent intact le domaine colonial clans tous ses éléments.Le gouvernement britannique, avec son désintéressement habituel, n'a exigé aucune garantie spéciale, confiant dans l'activité et la bonne foi de ses alliés. Il sait que le Congo prospère de plus en plus malgré l'épreuve de la guerre et qu'à l'échéance le remboursement sera effectué. Pour échafauder son œuvre de dissociation, la presse hostile s'est servie d'une disposition de l'arrêté-loi du 1er septembre 1916 autorisant l'emprunt. Aux termes de cette disposition, " le remboursement et le service des intérêts seront supportés par l'actif et par les recettes générales de la Colonie ". Le législateur belge a tout simplement fixé par là sur quel budget seront imputées les sommes nécessaires, soit au remboursement, soit au service des intérêts ; et là où la presse hostile, dans sa hâte de saisir de quoi jeter la suspicion, avait cru trouver — en faussant d'ailleurs le sens — une clause d'une convention avec l'Angleterre, il n'y a qu'une disposition de droit fiscal interne, édictée par le pouvoir législatif belge dans sa pleine souveraineté. Ajoutons pour être complet qu'il n'a jamais été question d'engager un second emprunt colonial. La " vache à lait " Le professeur Kriickmann écrit dans la Gazette de la Croix : ■ Pour les populations flamandes maltraitées par leur propre gouvernement, nous ' sommes le grand frère qui prend la défense de son cadet. Maintenant que nous leur avons donné l'Université de Gand, nous ne pouvons plus les abandonner. De plus, nous avons besoin de la Belgique dans notre guerre contre la Grande-Bretagne. Plus la lutte entre elle et nous resterait indécise, plus nous serions obligés de renforcer nos garanties contre elle. Naturellement, nous conserverons Anvers et toute la çôte flamande. Pendant au moins vingt ans la Belgique versera à l'Allemagne les sommes qu'elle dépensait pour son armée et sa marine et elle jouira de la protection militaire de l'Allemagne. La scission entre les Flamands et les Wallons doit être complète. La Flandre d'une part, l'Etat de Namur d'autre part, constitueront deux grands-duchés placés sous l'autorité de princes allemands, de la famille de Hohenlohe par exemple. Nous éviterions ainsi l'annexion pure et simple et toutes les complications de la représentation au Reichstag. L'Etat de Namur serait diminué le plus possible au profit de la Flandre et du Luxembourg. On l'agrandirait par des territoires français qui s'enfonceraient comme un coin, dans le nord de la France. La possession des mines françaises est pour nous une question vitale, la démonstration en a été faite par la guerre. Mais la Belgique n'est pas seulement pour nous la vache à lait qui embellira la paix de tout ce qu'elle nous donnera; elle est pour nous tous, jusqu'au dernier homme dans les tranchées, le symbole de nos victoires. Aucun Allemand n'y renoncera. 400.000 Serbes déportés On apprend que les Autrichiens ont déporté en Hongrie ou en Autriche 400.000 Serbes, qui ont été conduits dans les camps de concentration. A Budapest, ils ont établi un camp où sont détenus 10.000 enfants serbes. L'Université von Bissing Nouvelles nominations Un avis du chef de l'admii^stration civile allemande en Belgique en date' du 15 décembre 1916 dit : Conformément aux articles 9, 11, 13, 29 et 31 de la loi organique du 15 juillet 1849 sur l'enseignement supérieur et à l'arrêté des 12-18 août 1916 concernant l'institution du grade de professeur honoraire, le gouverneur général a fait les nominations suivantes à l'Université de Gand : L — Dans la Faculté de philosophie et lettres : 34. M. Hippolyte Meert, docteur en philologie germanique, directeur général au ministère des -Sciences et des Arts, actuellement à Gànd, est nommé professeur honoraire ordinaire pour les exercices pratiques de langue néerlandaise (arrêté du 25 novembre 1916). 35. M. Pieter Thibau, docteur en philosophie et lettres, professeur intérimaire à l'Athénée royal de Gand, est chargé des exercices philologiques des langues grecque et latine (arrêté du 20 novembre 1916); il conserve ses autres attributions. 35a. M. Paul Menzerath, docteqr en philosophie et lettres, professeur extraordinaire de psychologie, est chargé en outre, à titre provisoire, du cours de langue et de littérature romanes (arrêté du 26 octobre 1916). II. — Dans la Faculté de droit : 36. M. René Claeys, docteur en sciences commerciales, à Meirelbeke, est dispensé de l'obligation du grade légal de docteur (sic) et nommé professeur extraordinaire de droit des gens et de sciences sociales (arrêté du 14 octobre 1916). 37. M. Karel Heyndrickx, docteur en droit, secrétaire communal de St-Nicolas (Waes), est nommé professeur honoraire ordinaire de droit administratif (arrêté du 31 octobre 1916). III- — Dans la Faculté de médecine : 38. M. C. ten Horn, de Veendam (Pays-Bas), docteur en médecine, ancien directeur de la section chirurgicale et urologique à l'hôpital de la marine au Helder (Pays-Bas), est nommé professeur extraordinaire de chirurgie (arrêté du 11 novembre 1916). 39. M. le professeur Edmond Forster, docteur en médecine, privat-docent à l'Université de Berlin, premier assistant à la clinique psychiatrique de la Charité à Berlin, est chargé provisoirement du cours d'histologie (arrêté du 23 novem-bre 1916). M L'Allemagne construit toute une flotte de sous-marins L'Allemagne consacre actuellement tout son effort maritime à la construction d'une énorme flotte de sous-marins. Depuis un an déjà, l'activité de l'armement a été poussée " à l'extrême. Des certaines de nouveaux chantiers sont maintenant terminés et des centaines d'autres ont été transformés pour la fabrication du matériel de guerre. Jour et nuit, les chantiers navals travaillent sans relâche. Un grand nombre de sous-marins ont déjà leur équipage au complet. La difficulté d'entraîner les équipages est notoire, car on se rend compte que des hommes peu ou mal entraînés seraient un énorme danger. Un des centres spéciale d'entraînement est la rade de Kiel. On peut y voir fréquemment environ trente sous-marins du dernier modèle et complètement équipés. Les caractéristiques spéciales de ces nouveaux submersibles sont leurs dimensions extraordinaires et l'aspect bizarre de leur avant. Cet avant a la forme d'une faux, dont la pointe sort de l'eau. Par un procédé que l'on dit nouveau, la lame est excessivement dure et tranchante, de sorte que, quand le sous-marin marchant à une vitesse modérée vient à heurter une houssière en fer d'une épaisseur de 40 millimètres, il la coupe comme si c'était du chanvre. Ces bateaux sont construits et approvisionnés pour pouvoir faire des voyages de 70 jours, et, au besoin, cette durée pourrait même être prolongée. 1 out ne se passe pas sans quelques anicroches, étant données les difficultés qu'il y a à surmonter. Lors d'un récent lancement dans un chantier allemand, un nouveau sous-marin " glissa " trop vite et vint heurter un obstacle qu'on n'avait pas eu le temps d'enleve*. Le sous-marin se retourna complètement dans l'eau et douze hommes de l'équipage furent noyés.

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Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

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