La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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04 januari 1917
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s.n. 1917, 04 Januari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 02 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/2v2c82578x/
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LA MÉTROPOLE ONE PENNY IHOHT: CINQ CENTIME HOLLAÏ1DE : VIJF CENT CONTINENT: DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Buvez le THÉ LIPÏOlf Si tous désirez le meilUu» thé adressez-voiu à 1a firme qui le planta. LIPTON LTD Agences et filiales d*ms tout le Royaume-Uni. Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné: Holborn 212 ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sk Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 Bk 24«E ANNEE JEUDI 4 JANVIER 1917 No, 4 LA GRANDE GUERRE I UNE NOTE DE LA GRECE ■L'ennemi approche de la Sereth I Calme sur les autres fronts , retraite- russe i ses décisions au suiet de la note et de ■ L-a ■vers les lignes de la Sereth — les posi-■tionj fortifiées qui s'étendent à travers ■les plaines basses sur le seuil de la Mol-Bjvie — est virtuellement terminée. Sui-Hrant le communiqué de Berlin, l'armée Ide yon Falkenhayn approche des têtes ■de pont de Focsani et de Frendeni, deux '^■des positions principales sur cette ligne ^■fortifiée longue de quatre-vingt kilomè-Hres; un communiqué de Vienne ajoute Hiême que l'ennemi se trouve devant ■ C'est probablement à ce fliouvement ■que le communiqué de Pétrograde fait Kllusion quand il dit, sans mentionner Bde nom de localité, que pendant la nuit Bes troupes russes ont occupé de nou-Belles positions préparées d'avance, sans ^■ucune pression de la part de l'ennemi. ■Il semble évident, dans tous les cas, que ^Hes armées soient sur le point de li-^Brer une bataille considérable, dont les ^Bonséquences seront de la plus extrême ^■L'attaque de flanc tout le long de la Brontière de Moldavie continnue avec m ^Krande obstination, mais les faits tels Bju'ils sont présentés dans les communi-■ prêtent à confusion. Le communi- Bjue russe donne une longue liste d'en-i ^Broits dans la plupart des vallées où . ^B'ennemi a été repoussé avec succès tan-I Bis que les Allemands citent de nom- ) B Ainsi, suivant Pétrograde, une atta-B)ue autrichienne débouchant du village Ble Cotumba et une autre venant de la ^■vière Sulta furent toutes deux repous-Bées; une tentative d'offensive dans la ^■allée de Ciobanaca fut étouffé dans B°œuf. D'autres attaques furent faites Bans la vallée de l'Oitoz et dans la vallée B? llanicu; au cours des combats dans Bette dernière les Russes ont fait deux Bents prisonniers dont plusieurs officiers. Bu nord et au sud de Casin, les Rou-Bjains qui avaient d'abord été rejetés Bfpnrent leurs positions après une con-Bpoffensive et en sont restés maîtres. ■Quant au communiqué de Berlin les ^■êmes opérations sont mentionnées, Ba's> sous le nom de victoires alleman-B Ainsi l'ennemi aurait capturé ia ^■^te du mont Faltucanu, à l'intérieur B 'a frontière de Moldavie, capturé le BPage de Soveja, dans la vallée de Su-|B - tandis que l'armée de von Mac-^Bnsen s'est approchée des têtes de pont Focsani et de Fundeni (sur la Se-""""^B^i à mi-chemin entre Focsani et Ga- ,nd^BUant ^ Bra'ila où les Russes et les ^W'Mains gardent la dernière position ■ 'a Valachie, l'ennemi reconnaît que alliés gardent pied fermement. La ross^®/6 ^,0nt corresPondante dans la Do-a Macin, a été réduite encore irne^B attaques allemandes et bulga- :Ss0BSu,r 'es fronts de l'ouest la situation M^Sest pas modifiée; les opérations se app^B|'®t ^ des raids mutuels et des duels de reHp nap® °"r 'a Grèce, la Ligue anglo-hel-^■'r":r: de Londres a reçu de Salonique Co11®01176116 rJUe l'annonce de l'acceptais M Par 'e roi Tino de remettre six bat-^Ves en réparation aux Alliés a causé nt ^rande satisfaction. ! ant ?ux audiences des anciens pre- le m'n'stres les journaux disent s ont généralement repoussé les de-■tionO^Bj. " ('e caractère militaire. On ne iUX d^K Pa^i cependant, qu'un arrange-jt *k01t hors de question et il est tribu^Rj fRque le gouvernement intérimaire p °°sdari entre en pourparlers avec >res '^ances avant de remettre la ré- a une note officieuse publiée par 0re -B,!;iIVt"nement, en dépit de son désir jns q:®;T",ne,r une nouvelle preuve de sa trer '' ''égard de l'Entente, certains em^'^B,.- C'.e ''opinion publique rendent K.:: difficile. Le gouvernement sem-I lrer de procéder rapidement dans s'efforcer de combiner la sauvegarde des intérêts vitaux du pays avec les disposi tions du sentiment populaire et le maintien de l'amitié traditionnelle de la Grèce avec l'Entente et il espère que cette dernière l'assistera dans ces efforts. Une dépêche de Rome annonce que sur le front italien se trouvent encore quarante à quarante trois divisions autrichiennes. Depuis le début de la guerre l'Italie a conquis 19.200 kilomètres carrés de territoire en diminuant son fronde 500 à 375 milles. Le nombre de prisonniers est de 85.000. Sur le front belge il y a eu des duels d'artillerie, particulièrement dans la région de Ramscapelle et de Het Sas of le tir a eu des résultats très satisfaisants.Le bourgmestre d'Anvers condamné à 10.000 francs d'amende Amsterdam, 2 janvier.— Le Telegraa. apprend d'Anvers que les autorités aile mandes ont frappé le Ijourgmestre d'An vers d'une amende de 10.000 francs poui ne pas avoir livré les listes de chômeur; en vue des déportations.— CentrafiNews. La Hollande Amsterdam, 2 janvier. — Le Telegraa apprend de son correspondant à la frontière que les Allemands travaillent avec uni hâte fébrile à des fortifications sur la fron tière hollando-allemande. La nouvelle dit qu'ils creusent et termi nent des tranchées, dont certaines son pourvues de barres de fer et de réseau: de fil de fer barbelé. — Reuter. Le contrôle de la flotte britanniqu< La publication Syren and Shipping, nou apprend dans son dernier numéro qu'un cinquième partie de la marine marchand' britannique se trouve sous te contrôle d> trois directions. ' Les 61 compagnies figurant sur la list< comptent 2.000 batealrx et représentent ui tonnage de 12.000.000 de tonnes brutes Le Lloyds Register donne le chiffre d' 18.825.356 tonnes brutes comme total de 1; la ma#ne marchande britannique. Une seule direction a sous son contrôL plus d'un million et demi de tonnes de 1; flotte britannique ou, en d'autres termes la douzième partie de la marine marchande Lord Inchcape est parvenu à établir 1; fusion de la P. and O. British India et de 1; New Zealand Fédéral comprenant 240 unité dont le tonnage atteint 1.528.823 tonnes Le million est aussi dépassé par la Eller man Line Limited avec 289 bateaux et ui tonnage de 1.310.362 tonnes. Vient ensuit) la Furness Line comptant 220 bateaux d'ui tonnage de 920.424 tonnes. Les trois amal games donnent un total de 3.359.443 tonne ce qui équivaut à dix-huit pour cent de 1; marine marchande. La prière des petits Serbes " Notre très bon Seigeur, ayez pitié d notre Serbie meurtrie et opprimée, protège notre Roi ; délivrez du supplice les malheu reux esclaves ; sauvez et affranchissez notr royaume de l'ennemi ; donnez-nous, Seigneur la force, la raison, la volonté, afin que nou puissions, en nous instruisant, attendr l'instant de la libération." Cette prière touchante, qu'on croirai extraite d'un catéchisme nouveau, est cell que récitent chaque jour les petits Serbe hospitalisés en Corse. Deux d'entre eux les jeunes Dragoslave et Douchane B. Mila novitch, l'ont transcrite dans une lettri adressée à leur oncle, à Corfou. Ils sont ajoutent-ils,trop petits et faibles pour pouvoi aider leur chère patrie, le fusil ou la bomb< à la main, mais ils prient pour elle de tout leu cœur. Cependant,en Allemagne, le député Basser mann, chef des nationaux-libéraux, écrit dan le Moniteur de Dusseldorf : " Les annexions seront décidé pa l'issue de la guerre. La restitution de la Serbii serait une idiotie. " Il faudra bien, tout de même qu'ils 3 viennent. Le bon Dieu, qui n'est pas le vieu:: Dieu de Guillaume et de Bassermann écoute ra la prière des petits enfants serbes. L'Allemagne et les Neutres Ce qu'elle a tiré de la Belgique Déclarations du maréchal French M. Edward Bell, correspondant londonien du Chicago Daily News, publie une interview du maréchal French au sujet de l'attitude future de l'Allemagne à l'égard des neutres en rapport avec les méthodes qu'elle emploie pour utiliser les populations des contrées envahies à des buts militaires. Le maréchal French n'a pas exprimé son opinion au sujet de ces méthodes — la question n'était pas là — mais les considérations qu'il a exprimés au sujet des résultats qu'elles donnent valent d'être relevées : — Les petits pays neutres adjacents à l'Allemagne sont-ils en danger d'être subjugués par les armées teutoniques et traitées à leur tour comme l'ont été la Belgique et d'autres? — Je le crois certainement, répondit Lord French (of Ypres). — Combien les empires centraux peuvent-ils ajouter à leur puissance militaire en employant les Belges, les Serbes, le^ 1 Polonais et les Roumains? Combien de vingtaines de milliers d'Allemands peuvent être jetés sur les fronts de combat grâce au résultat de cet emploi forcé? — Les fortifications de campagne et le travail de la pelle ont une bien plus grande importance et une bien plus grande valeur f aujourd'hui qu'à aucune autre époque dans l'histoire de la guerre. Si le travail manuel qu'ils nécessitent peut être effectué en utilisant les populations de pays subjugués par les troupes hostiles, ce fait, évidemment, ; ajouterait immensément à la puissance des fronts de combat. Il y a de nombreuses autres façons dont les populations de pays conquis peuvent être employés et il est surtout nécessaire de considérer et de déterminer la valeur mili-t taire des hommes utilisés sur les lignes de ; communication. Cela, également, a une importance beaucoup accrue dans la guerre d'aujourd'hui. Il est difficile de déterminer cette force supplémentaire en chigres précis. — Si l'Allemagne devait donner à la Hol-t lande, au Danemark, à la Norvège et peul c être à la Suède le choix, ou de se joindre à elle ou d'être conquis, quel en serail l'effet sur la situation militaire de l'Aile-( magne? — La sujétion de ces autres Etats ac-3 croîtra (will increase) la puissance militaire 3 de l'Allemagne en proportion de l'augmen-3 tation de sa force militaire déjà obtenue par 3 l'emploi forcé des populations des petit» Etats déjà conquis. 3 — Tous ces petits Etats autour de l'Ai-1 lemagne sont donc comme des bouées de sauvetage qu'elle pourrait saisir si elle som-3 brait ? i — Oui, je le pense. — S'il n'y avait pas eu une obligation 3 suprême d'exercer la charité à l'égard de la ! Belgique, qu'auraient fait ces alliés? — Les intérêts strictement militaires des Alliés au sujet de la Belgique, quand ce l pays a été occupé, et laissant de côté tou-j, tes questions d'humanité, auraient été d'ap-3 pliquer le blocus à la Belgique de la même façon qu'aux empires centraux. Le droit de bloquer le territoire am 1 ou neutre occupé par un ennemi est claire-; ment reconnu par la Convention de Ls j Haye et cette reconnaissance indique ce que les intérêts d'un belligérant doivent s être. j — Que sont ces intérêts militaires. Er d'autres termes, qu'est-ce qu'il a coûté au:* Alliés d'être humains plutôt que militaires au regard de la Belgique? — La Grande-Bretagne et la France om s contribué à la Commission for Relief Ir 2 Belgium, sans compter ce qui a été dépense _ en secours pour le nord de la France, environ 22 millions de livres (620 millions de francs) — estimation très approximative ^ C'est là le montant de l'argent comptam ' dépensé en achats de vivres, frets, etc. Les Alliés ont réduit le tonnage don t ils disposent en vue de subvenir aux be soins de la Belgique. Pendant un seul mois de 1916 les navires affrétés par la Commis-' sion for Relief ont fait 34 voyages des ports du Canada, des Etats-Unis et de l'Argen-[ tine à Rotterdam et ils ont perdu quelque 12 bateaux au cours du travail de secours Le prix indirect pour les Alliés a même ^ été plus grand encore. Malgré tous les efforts pour conserver les ressources ei r les propriétés belges, les Allemands om enlevé du pays de grands quantités de bétail sur pied et de vivres. 3 De loin, plus sérieuse encore a été le brigandage financier gigantesque effectui r par les Allemands en Belgique. Il doit s'éle-; ver en ce moment à 100 millions de livres (2 milliards 800 millions de francs), très ap-' proximativement. Plus graves encore, s'il est possible, om été les saisies allemandes de matières pre mières et de machines de toute espèce. LE PROBLEME DES TRANSPORTS A L'INTERIEUR La question des transports est à résoudre dans un esprit d'ensemble, c'est-à-dire, en l'étendant aux voies ferrées et aux lignes fluviales. A cet effet, une politique générale embrassant les deux réseaux, qui réclament l'un et l'autre des progrès, est à adopter. Au jour de la paix, la Belgique recevra les réparations, les indemnités qui lui seront dues et que nos alliés se sont loyalement, formellement engagés à nous assurer. Ce qui ne veut pas dire que nous ne devons pas être économes des finances publiques ; malgré tout, l'ère des économies, des dépenses mesurée s'ouvrira. Trop de besoins pressants se présenteront impérieusement. Dans le domaine des chemins de fer, des luxes outrés, dispendieux, dont la gare d'Anvers est un exemple typique, seront abandonnés car il sera entendu que le capital egagé dans l'exploitation du rail-way national devra être rémunéré rai-sonablement; toutes les dépenses somp-tuaires seront évitées. Jusqu'ici le système de comptabilité suivi a conduit à des affirmations téméraires de bénéfices. Une tenue de livres commerciale, scrupuleuse et franche ferait cesser de pareils errements; elle établirait des prix de revient réels et démontrerait que certaines catégories de transports mettent notre railway en perte. Envisagée comme une entreprise industrielle, l'exploitation de nos chemins de fer est à guider en se préoccupant d'amortir le capital d'établissement et de former un fonds de réserve destiné à la transformation inévitable des procédés de traction; la nomination faite par M. Segers, ministre des Chemins de fer belges, d'une Commission chargée d'étudier l'électrifica tion des lignes, illustre l'imminence d( mesures financières spéciales. Bref, l'in troduction d'une comptabilité sincère e nette constitue la première des innova tions à réaliser. Autant que possible, l'Etat doit lais sér à la batellerie les transports lourd: et volumineux qui, pour le chemin de fer sont des causes de déficits et d'encom brement; aussi est-il à espérer que l'Etat renoncera à disputer au bateai des trafic onéreux obtenus précédem ment par des ristournes sur les prix ré guliers. L'état n'a pas le droit, pour en fier ses tableaux de recettes impression nants, de faire à la batellerie une con currence désastreuse pour tous et cel; au moyen des deniers publics qui peu vent être employés mieux et plus favo rablement. Par exemple, à l'exécution de travau? améliorant le régime hydraulique d< transport. L'intérêt public prime, ic comme ailleurs, toute autre considéra tion; cet intérêt exige qu'une concurren ce loyale entre le bateau et le wagon en gendre ses conséquences naturelles. Uni compétition de l'espèce modère infailli blement le taux des frets et empêche 1< relèvement arbitraire des tarifs du che mins de fer; bienfait qui ne se produi que si la batellerie dispose d'une voiri< modernisée d'usage économique. Qu'on ne se lasse pas de souteni: qu'aucun antagonisme radical n'existi entre les deux modes en présence; ei réalité, leurs intérêts se confondent puis que leurs activités respectives dériven du mouvement industriel et du dévelop pement commercial du pays qu'ils des servent tous deux. C'est vers cette pros périté générale que doivent tendre tou: les efforts, excluant toute idée d'hosti lité mutulle. Les deux systèmes sont de: rouages indispensables d'un bon méca nisme transporteur, ont des rôles dis tincts à accomplir et, par conséquent se complètent admirablement. Une en tente s'impose donc. Leur rapproche ment au moyen de garés communes, d< soudures des voies de terre et hydrau liques et d'un outillage perfectionné di transbordement matérialiseraient parfai tement cette normale collaboration Mais, leur coopération ne sera rendui efficace que par une détermination logi que de l'utilisation rationnelle du ba teau et du wagon. Dans ce même ordre d'idées, rappe Ions le principe défendu en France pa M. Dusuzeau, professeur de navigatioi intérieure à l'Ecole des Ponts et Chaus sées, qui conseille " d'organiser l'ex ploitation des voies navigables comme le serait l'exploitation d'une ligne de chemin de fer dont la voie appartiendrait à l'Etat et sur laquelle circulerait un matériel appartenant à des tiers. Le principe admis avec toutes ses suites, l'Etat serait amené à augmenter le gabarit de nos voies navigables et à les doter des derniers perfectionnements, y compris la traction électrique, et la batellerie, le cas échéant, applaudirait de grand cœur au programme appliqué. Le moment semble propice pour proposer à l'Etat de venir résolument en aide à la batellerie désemparée et amoindrie à la suite de pertes cruelles, d'abandons forcés, d'un manque regrettable de réparations et de ventes désastreuses pour la réorganisation future des transports par eau. La reconstitution rapide de la batellerie belge se réclame d'une nécessité absolue. Tout matériel flottant est à sauver par recensement, remise en état et entretien grâce à son emploi. Mais c'est à son appauvrissement par ventes à l'étranger qu'il est à mettre immédiatement fin. D' aures mesures de protection sont à prendre portant sur les droits de naviga-gation, la réfection des voies, le crédit batelier, l'instruction professionnelle, la construction navale, etc., etc.; sujets sur lesquels nous nous réservons de revenir.Au total, tout doit être tenté pour écarter une crise de transports rendant la période extrêmement difficile qui commencera au lendemain de la signature du traité de paix. L. TEUGELS-DE VOS. Le roi Albert et les Etats-Unis Washington, 2 janvier.— Le roi Albert a envoyé au président Wilson les vœux suivants pour la nouvelle année : " Je suis heureux de profiter de cette occasion pour remercier l'Amérique et son président pour la sympathie qu'ils démontrent à mon pays. L'assistance généreuse et effective de l'Amérique du Nord, non seulement inspire la profonde reconnaissance de ïa Belgique, mais donne l'espoir que l'Amérique restera toujours un puissant protecteur de la Belgique." — Exch. Tel. Co. La réponse des Alliés Fureur allemande La presse allemande est dans un état de fureur indicible à propos du férus des. Alliés. La Rhenisch West-phalische Zeitung dit que maintenant c'est la guerre au couteau... " La presse américaine confirme, notre opinion que l'Amérique ne demande pas la paix, mais la paix pour l'Amérique. Le refus rude de nos offres par l'Entente aurait dû, si les Américains demandent " réellement la paix, provoqué une tempête ; d'indignation contre l'Entente... Toutes les armes doivent être employées sur terre, sur mer et dans les airs. Nous connaissons maintenant le point faible de l'Angleterre."Le Tœglische Rundschau dit : " Le rêve de paix est évanoui pour l'instant." Le Lokalanzeiger dit : "Il n'y a sans doute personne, en Allemange au moins, qui n'ait prévu le rejet de notre offre de paix." La Vossische Zeitung dit : "Une seule réponse peut être donnée à ce rejet brutal de toutes les tentatives de raccourcir la guerre au nom de l'humanité, notamment, une conduite énergique de la guerre jusqu'à ce que l'acier froid de nos armes aura de nouveau abaissé la température de fièvre de nos ennemis jusqu'à un point à peu près normal." Brrr ! Encore Raspoutine Pour la troisième fois, on annonce la mort de Raspoutine, le moine influent qui jouissait à Pétrograde d'un pouvoir si considérable. Cette fois, il aurait été assassiné par le - prince Yousoupoff et son corps jeté dans 1 la Néva d'où il aurait été retiré. Raspoutine aurait été un instrument entre les mains des Allemands.

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