La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

995 0
03 januari 1917
close

Waarom wilt u dit item rapporteren?

Opmerkingen

Verzenden
s.n. 1917, 03 Januari. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/b853f4mm7c/
Toon tekst

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

LA MÉTROPOLE ONE PENNY CIHQ CEHTIMEI SrillDE: VIJF CENT jSlJEJT: DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné: Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh„ Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 «b. 24ME ANNEE MERCREDI 3 JANVIER 1917 No. 3 LA GRANDE GUERRE I CALME DANS L'OUEST L'ENNEMI REPOUSSE DEVANT BRAILA I Le gouvernement provisoire de Salonique reconnu I La situation des armées respectives [autour de Braïla, où les Allemands prétendent avoir attaqué la tête de pont [derrière laquelle les Russes auraient été Irejetés n'est pas très précise. Suivant le communiqué russe l'affirmation allemande n'est pas exacte. L'ar-Imée composite du Danube au cours de ces dernières phases de la campagne est arrivée derrière l'armée de von Falken-hayn et l'armée russe a toujours réussi [à repousser les assauts de ces deux ar-Imées. Le fait est que les Russes, en vue Regarder un front uni avec l'armée qui battait en retraite à l'ouest s'est retirée sous le couvert de la nuit vers les positions de la tête de pont et ce mouvement s'est opérée sans pression de la [part de l'ennemi. Dimanche dernier les Allemands disaient aussi que la tête de pont située de 116 à 32 kilomètres du port même était soumise à des attaques continuelles. Dans leur dernier communiqué les Alle-| mands font le mort à ce sujet, probablement parce que, d'après le communiqué russe, ces attaques ont échoué. L'ennemi a voulu porter un coup au centre de la ligne mais il fut rejeté après quoi il s'est mis à construire des tranchées. Une attaque simultanée contre Braïla, débouchant de Macin, dans le coin nord-ouest de la Dobrudja eut un succès relatif et a rétréci lég'èrement la tête de pont. Actuellement les lignes ennemies se trouvent à une vigntaine de kilomètres au sud de Braïla. Le long de la frontière de Moldavie l'ennemie a étendu ses attaques dans la direction du Nord. A un ou deux poipts, les Alliés ont légèrement battu en arrière, mais sur la généralité du front ils ont gardé leurs positions. Un communiqué de Vienne annonce que plusieurs positions successives rus-j ses dans la vallée du Trotus, dans le ; centre du front de Moldavie, ont été | prises d'assaut. L'armée du général vont Arzt manifeste une activité spéciale dans la direction Okna-Tchik-Sereda; néanmoins, | dans la vallée de la Sulta et la région ^voisinante toutes les attaques ont été dispersées par l'artillerie et les contre-[ attaques russes. ! L'offensive du, général Arzt se développe sur un front long d'environ quarante kilomètres, commençant dans la région de Sus Mekionce et se continuant dans la direction du Kezdi-Vasarguel, ou des combats désespérés ont lieu eij-les vallées de Noctiana et Oituz, ensuite le long du cours supérieur des fleurs Cassina et Souchitsa où les* Roumains, non seulement ont opposé une T've résistance mais, prenant l'offensive dans la région de Sovege, ont forcé l'ennemi à se retirer tout en capturant un "ombre considérable de prisonniers. A l'ouest de cet endroit, près du vil-%e de Kessa, dans la vallée de la rivière Putna, 1' nnemi a occupé des hauteurs après une rencontre obstinée. L'action principale se développe le 'ong de la voie ferrée de Buzeu-Foks-aany où l'armée de von Falkenhayn avance très lentement par suite de la résistance de l'armée russo-roumaine. Certains villages ont changé de mains plusieurs fois. Sur le flanc gauche l'armée alliée a été attaquée le long de la voie ferrée de Braïla et près du village de ■wdorou-Verde avec de grandes pertes Anémiés mais sans aucun succès. , Sur les fronts de l'ouest, à l'exception de raids contre les tranchées enne-®les et des bombardements usuels, il "y a pas de modification dans la situation.La situation politique en Grèce n'est guère précise. Le texte de la note des j'és adressée au gouvernement grec au jtyet des réparations à la suite des trouas du 1er et 2 décembre viennent "être publiés. Les Alliés demandent : réduction de armée se trouvant en dehors du Pé-°Ponnèse, désarmement des citoyens, restauration des divers contrôles alliés, libération des venizelistes emprisonnés, dégradation de l'officier responsable pour l'affaire du 1er et 2 décembre, une apologie formelle par le gouvernement grec et salut, en public, aux drapeaux des Alliés dans un des squares d'Athènes et le' droit de débarquer des troupes à Itea et de les convoyer à Salonique par la voie ferrée de Larissa. De leur côté les Alliés donnent l'assurance que les troupes venizelistes ne feront aucun mouvement dans la direction de la Thessalie ou de l'Epire. Le blocus restera en vigueur jusqu'à ce que pleine satisfaction soit obtenue à toutes les demandes ci-dessus. Entre temps il faut signaler la reconnaissance formelle par le gouvernement britannique du gouvernement provisoire de Salonique auprès duquel Lord Gran- ■ ville, conseiller de l'ambassade britannique à Paris, a été nommé représentant officiel. Justice ! LES CRIMINELS ALLEMANDS DEVANT UN CONSEIL DE GUERRE INTERNATIONAL. Réparations, dit Lloyd George, Réparations dit la réponse des Alliés à l'Allemagne. Fort bien. Mais qu'entend-on par réparations? — De l'argent? Cela ne suffit pas. Cela ne satisfait pas notre sens de la justice. Est-ce que von Bissing, l'homme des déportations et du vol, aura impunément violé les lois divines et humaines? Est-ce que Manteuffel qui ordonna la destruction de Louvain, est-ce que le général Beeger qui a ordonné le massacre de plus de 800 habitants de Dinant et l'incendie de 1.200 maisons avec le concours du colonel Groose, est->ce que von Buelow qui a donné son consentement à ces crimes, est-ce que. le lieutenant hanovrien Hadeln qui est entre nos mains et trouvé en possession de balles dum-dum finiront en paix le reste de leurs jours? Est-ce que le major von Sommerfeld qui détruisit Termonde et le sinistre général von Boehn qui assista à l'incendie et est responsable des massacres ne seront pas punis? Est-ce que le colonel Schoenemann, du 28e pionniers qui fit tuer plus de 300 habitants à Andenne et à Seilles et détruire 300 maisons, est-ce que le colonel du 77e d'infanterie qui fit massacrer 650 habitants de Tamines et incendier 264 maisons; est-ce que le- lieutenant-général von Nieber, l'incendiaire de Wavre et le colonel du 48e d'infanterie qui permit les tortures sans nom infligées aux femmes de la région de Hofstade et de Sempst échapperont au châtiment? Et le capitaine Schwartz, le colonel Jenrich, colonel Stenger, complices d'Aerschot? Et les voleurs en aveu Anders, Harwart, Wittiler Hollmann, Vogelesang, Klein, Kâse, Barthel, etc. ? Et les massacreurs en aveu Hoffmann, Schopper Kamenz, Schlauter, Glôde, Frôlich, etc. dont nous possédons les noms, tous ces bandits échapperont-ils à la justice humaine? Non, non! Il ne peut en être ainsi. Nous ne pouvons les laisser à la justice allemande, ce serait une dérision. Nous devons porter' nous mêmes l'accusation devant un conseil de guerre international. Les coupables s'y feront défendre par des avocats. Toutes les garanties devront leur être données et s'ils ont obéi par ordre, qu'ils produisent cet ordre, qu'ils démasquent les coupables d'en haut. Ainsi, peut être, la perfidie et le faux humanitarisme du Kaiser apparaîtront-ils plus éclatants. Mme Frick, femme de l'honorable bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode, qui avait été condamnée par la Kommandantur et incarcérée, vient d'être mise en liberté, sa santé étant compromise. Il faut tuer l'influence allemande à Anvers La "Deutsche evang.-prot. Gemeinde" La publicaion de la liste des membres de l'Eglise évangélique protestante de la communauté allemande d'Anvers appelle quelques considérations. D'aucuns trouveront évidemment que mieux eut valu se taire, ne rien publier du tout. D'autres, certainement, estimeront avec nous — et même parmi ceux-là des personnes figurant sur la liste — qu'il faut porter le fer dans la plaie guérir Anvers du mal allemapd. Il n'y a, en effet, pas d'autre moyen que d'étaler le mal dans toute son ampleur pour en prévenir le retour. Or, nous sommes décidé à ne pas tolérer lp maintien de la prépondérance allemande à Anvers ni ailleurs après la paix. Pour atteindre ce résultat, il faut que le public sache comment et où s'exerçait l'emprise allemande. Que des Belges d'origine allemande se soient laissés inféoder à des entreprises de germanisation, c'est certain. Qu'ils le regrettent actuellement, c'est possible.Ils pourraient exciper de leur droit d'avoir agi en cette matière tout comme ceux de nos compatriotes qui font du « pan-néerlandisme ou s'affilient à des groupements francophiles. Bien que ce soient là des tendances peu compatibles avec l'esprit national d'un petit pays, on doit, tout en les regrettant, les admettre comme des faits. On n'oserait même reprocher à ces Belges de n'avoir pas vu le danger allemand, alors que tant de Belges de race ne l'ont pas vu. Il faut porter le fer dans la plaie,parce que nous ne voulons plus d'école allemande " Sûr foyer du Deutschtum " comme disait son directeur. Il faut porter le fer dans la plaie,parce qu'il ne faut plus d'église protestante allemande fréquentée par des Belges, administrée en allemand et soutenant une école populaire allemande subsidiée par l'Empire. Nous aurons une église protestante belge où l'on s'exprimera dans une langue belge et qui, si elle veut s'occuper d'écoles, s'occupera d'écoles belges. Nous ne manquerons pas de recevoir des protestations au sujet de la liste que nous avons publiée, tout comme nous en avons reçu lors de la publication des noms des protecteurs de l'école allemande — foyer du Deutschtum. Nous les enregistrerons, en priant, cependant, les " Belges " souscripteurs j au milliard de la guerre allemand, de s'abstenir de nous envoyer l'expression de leur patriotisme. Nous ne cesserons de réclamer la dénaturalisation des Allemands naturalisés belges, quelque valeur " financière " qu'ils puissent avoir, et cela même en vertu de la loi Del-bruck qui conserve la nationalité allemande à ces Belges que nous retrouvons —■ hélas — dans des groupements spécifiquement allemands. Les Allemands ont détruit la Belgique, nous détruirons l'Allemagne à Anvers, si formidable que la tâche puisse paraître. Et nous sommes sûrs d'avoir derrière nous des hommes. L'année de la délivrance Les vœux de nos ministres au Roi En adressant leurs souhaits de nouveLan à Sa Majesté, les ministres belges ont dit : " Nous vous saluons en cette nouvelle année, l'année qui apportera la libération de notre pays et la réparation pour une longue injustice ". Un supplice renouvelé des Chinois Un Belge rapatrié raconte qu'il a été enfermé par les Allemands dans une longue caisse comme un cercueil et placée verticalement pour avoir refusé de travailler. Après être resté plusieurs heures dans cette caisse,on le mit en cellule, puis de nouveau dans la caisse. Ces supplices alternatifs sont dignes des bourreaux chinois. Le royaume arabe Les journaux du Caire du 28 décembre ont fait paraître un communiqué officiel annonçant que la France et l'Angleterre ont reconnu l'Emir et Chérif de la Mecque et qualité de Roi du Hedjaz. Restitutions, Réparations, Garanties m- Avec cet esprit clair, primesautier qui le distingue et qui est une des caractéristique de la race galloise, M. Lloyd George a ramassé, en une formule concise et cependant complète, les buts de guerre des Alliés. Restitution, réparation, garanties ! Tout est là. Et ces trois mots résument si bien l'essentiel des aspirations des puissances alliées que toutes les ont spontanément adoptées comme un mot d'ordre de ralliement. Mais ce qui est plus curieux, c'est que, sans s'en douter, l'éminent homme d'Etat n'a fait que traduire en termes lapidaires les conséquences de la doctrine catholique sur la guerre. Cela prouve une fois 'de plus, combien les théories sociales chrétiennes sont conformes aux aspirations spontanées de la conscience humaine, quand cette conscience est droite et sincère. Il y a donc une doctrine catholique de la guerre. Malheureusement, elle est peu connue.' Ceux qui devraient par vocation, par devoir d'Etat, la prendre pour guide de leurs enseignements, ou bien ne la connaissent-pas,ce qui est déjà très grave; ou bien la connaissant ne la pratiquent pas, ce qui est plus grave encore. Quand je dis qu'il y a une doctrine catholique de la guerre, il faut s'entendre. Les éléments essentiels de cette doctrine se sont développés au cours du moyen-âge- Jusqu'au débuts des temps modernes, après le XVIIe siècle, l'âge d'or du despotisme, la doctrine se conserve dans les couvents isolés de la vie du monde, dans les in-folio poudreux que personne ne consulte. Elle se conserve, mais elle perd toute efficacité pratique. Il faut attendre la renaissance de la philosophie scolastique au XIXe siècle, pour la voir réapparaître à nouveau et attirer l'attention de quelques chercheurs. Telle -qu'elle est, après un arrêt de développement de près de trois siècles si importants pour l'histoire du monde, elle nous offre des principes sûrs et féconds qu'il suffira de développer, de mettre en contact avec les événements et les théories modernes pour en tirer une admirable doctrine morale des rapports internationaux. Pour le moment, contentons-nous de mettre en valeur ce qu'elle nous enseigne j sur les droits du vainqueur dans une guerre juste. Le lecteur constatera de lui-même l'analogie surprenante qui existe entre cet enseignement et la formule de Lloyd George. Les droits du vainqueur dans une guerre juste sont les suivants : i° Reprendre ce qui a été enlevé ; 2° Assurer la paix, qui est le but de la guerre ; 3° Punir les coupables. I-— Il est permis, dit Victoria*, de reprendre ce qu'on avait perdu en totalité ou en partie. Cela est si évident qu'il n'est pas besoin de démonstration ; c'est, en effet, dans ce but qu'on entreprend ou que l'on fait la guerre. Ceci n'est encore que la restitution. Pour la réparation même Victoria ajoute : " On peut s'emparer des biens des ennemis jusqu'à concurrence des dépenses de la guerre et des dommages injustement causés par eux " ; i°) Ces dépenses et ces dommages sont dus par l'ennemi qui a violé le droit ; le prince peut donc les réclamer et les faire payer par la guerre ; 3°) S'il y avait un jugé légitime des deux parties qui se font la guerre, il devrait condamner les injustes aggresseurs , violateurs du droit, non seulement à la restitution des choses enlevées, mais à la réparation de tous les dommages, y compris les «dépenses occasionnées par la guerre. Or, le prince qui a juste guerre remplit dans la cause de la guerre le rôle de juge : donc, il peut exiger des ennemis la compensation de tous les dommages. Ainsi, nous, Belges, pauvre petit peuple battu, décimé par la brutalité teutonne, qui avons dans cette guerre une cause juste et, ce qui est très rare, une cause dont la justice éclate à tous les yeux, nous sommes en droit et en morale, les juges des Allemands. Nous avons le droit de leur réclamer la restitution de nos biens et la réparation des dommages causés. On s'explique,après cela, la dignité, la fermeté du ton que prend le cardinal Mercier quand il s'adresse aux Allemands. C'est due Mer Mercier n'est me C£mlr>_ ment un saint évêque, qu'aucune considération humaine ne retient et ne distrait, c'est encore un docteur, le restaurateur de la philosophie scolastique, qui connait mieux que personne les droits que lui confèrent les doctrines catholiques. Mais évitons les commentaires et laissons parler les textes qui sont, par eux-mêmes, beaucoup plus éloquents que ce que nous pourrions en dire. II.—Le deuxième droit du vainqueur c'est d'assurer la paix, qui est le but de la guerre. Le prince qui a juste guerre, dit Victoria, peut aller plus loin, dans la mesure où cela est nécessaire, pour s'assurer la paix et la •sécurité du côté des ennemis : raser, par exemple, une de leurs citadelles et, jsi cela est indispensable pour supprimer tout danger intérieur, construire un ouvrage fortifié sur le territoire ennemi. i°) Comme nous l'avons déjà dit, le but de la guerre c'est la paix et la sécurité : celui qui fait justement la guerre a donc le droit de faire tout ce qui est nécessaire pour assurer la paix et la sécurité ; 2°) Les hommes mettent avec raison la paix et la sécurité au nombre des biens désirables ; car même vivant dans l'abondance des autres biens, ils ne pourraient vivre heureux s'ils n'avaient pas la sécurité ; Si donc, les ennemis les attaquent et troublent la tranquillité de l'Etat, ils peuvent chercher à l'assurer par les moyens convenables.N est-ce pas une ironie amère de voir les Allemands, tous les Allemands catholiques et socialistes compris, réclamer des garanties contre la Belgique? Oui certes, il faut des garanties, mais c'est nous qui les réclamons contre l'Allemagne. Enfin, Victoria *va même plus loin que Lloyd George, il attribue au vainqueur le droit de punir les coupables. Non seulement tout cela est licite, ajoute-t-il, mais même, après avoir remporté la victoire, après la rentrée en possession de ce qui avait été ravi, après avoir assuré la paix et la sécurité, on peut punir les violations de droit dont les ennemis se sont rendus coupables,f^sévir contre eux et les châtier à cause de l'injustice qu'ils ont commise. ^ Sur ce point, le programme de Lloyd George reste en deçà des exigences de la doctrine catholique. Dans quelques jours, les Alliés répondront à la note du président Wilson. Ils le feront, personne n'en doute, avec prudence et fermeté sans oublier que nous avons en Amérique de nombreux amis qu'il serait maladroit de froisser. Les Américains sont des gens foncièrement religieux, mais dont la conscience religieuse ne s'appuie pas toujours sur une base doctrinale solide. Si des textes, comme ceux que je viens de citer, étaient plus connus, sUls pouvaient être utilisés pour montrer aux Américains combien nos exigences sont conformes aux désiderata de la doctrine chrétienne, je pense-qu'ils exerceraient une action aussi vive que bienfaisante sur l'opinion des Etats- Unis. Fernand Deschamp. * Je citerai Victoria (1480-1546), parce que ce dominicain espagnol, tout en restant fidèle à la doctrine thomiste, en a poussé les conséquences plus loin qu'aucun de ses prédécesseurs. o o A la mémoire d'Emile Verhaeren Le 12 décembre, un service funèbre a été célébré à la Collégiale de Sainte-Gudule, à la" mémoire d'Emile Verhaeren. Tout le monde littéraire et artistique bruxellois y assistait. On remarquait la présence d'Edmond Picard, d'Iwan Gilkin, de Montald, d'Albert Giraud, de Victor Kinon, de Georges Rency, d'Auguste Vermeylen, d'avocats, de fonctionnaires, etc. La famille du défunt occupait une partie du chœur. Cérémonie on ne. peut plus émouvante. Mort de M. Jean Bary? Le correspondant bruxellois? de l'Echo belge annonce la mort de M. Jean Bary, " président de 1 Association des journalistes libéraux , qui avait cherché la liberté en attaquant, dans une petite revue publiée en Suisse, la Belgique indépendante, le gouve-nement belge et les Alliés et qui était rentré ensuite à Bruxelles où il collaborait, prétend-on, à une feuille pro-allemande. Nous reproduisons cette nouvelle sous

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dit item is een uitgave in de reeks La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Londres van 1914 tot 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Toevoegen aan collectie

Locatie

Onderwerpen

Periodes