La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1916, 05 Maart. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Geraadpleegd op 02 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/np1wd3r147/
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ÊTROPOLE ijBE-UNI: ■LANDE: ^KTINENT: i23ME ONE PENNY VIJF CENT DIX CENTIMES AlBïEE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C. DIMANCHE 5 MARS—MERCREDI 5 AVRIL 1916 ABONNEMENTS: 1 mois, 3 sh.; 3 mois, 9 sh. Etranger: 1 mois, 4 sh.; 3 mois, 12 sh. Nos. 65—95 LA GRANDE GUERRE DEBUT DE L OFFENSIVE ? es Francais a Vaux XIEME SEM AINE DE VERDUN :4avril.— Communiqué officiel fits jieures '.— B Argonne, nous avons bombarde les Lm ennemis spécialement dans la |n de Montfaucon et Malancourt. VoMst de la Meuse il y a eu un duel 'alerte plutót violent d'Avocourt jus-Malancourt. l'est de la Meuse, la nuit a èté re-went calme. Les Allemands n'ont \mv.ne tentative pour avancer sur gigantesque bataille dont l'objectif M est Verdun et dont Tissue est destinée lercer une influence decisive sur la ie est entree maintenant dans sa Le semaine et les Allemands sont iéloignés que jamais de leur but. Ce |pas, bien entendu, qu'ils aient aban^é^ la partie. Leur honneur national ;engagé dans la lutte et, qu'ils le 4nt ou non, ils sont forces de contiWs coüteuses hecatombes. D'après indications assez süres, üs ont groupé Loins que 34 divisions devant la Leiorteresse (y compris les réserves). Bisque 30 feraient face au front britanCsans doute dans l'expectative d'une fsion possible de ce cóté, et le f delaligne serait occupé par les effec- strictement nécessaires. Quant au ibre de canons accumulés sur les hauts Heuse, il doit certainement être phé- Jrt heureusement, les Francais sont fa fait a la hauteur de la situation, -e les récents événements Tont fvé. Leur centre est si bien tenu et W sur des defenses naturelles telle- 5 formidables que, ces dernières se- W les Allemands n'ont plus même, I d'en approcher. Aussi ont-ils Isivement dirigé leurs derniers efforts les ailes de la ligne francaise. A It, ils ont lancé lundi un nouvel assaut V Haucourt et Béthincourt, contre Sition du marais de Forges qui avait pvacuée dès le 31 mars ; surpris par sfllade des nouvelles positions et par juflanquant de Béthincourt, les Alle-, Jds durent se retirer après avoir subi fertes sérieuses. l'est de la Meuse, les Francais sont ftttaque. Dans la joumée de lundi, «ont refoulé l'ennemi jusqu'a la hsière 1 du bois de la Caülette et au nord de pg de Vaux. Une contre-attaque ^e et plus énergique encore leur permit jfoccuper la partie ouest du village de A eet endroit du front, la ligne Jpise forme un saillant avantageux y a un certain intérêt a maintenir jp qu'il est le premier pas vers la -®e de Douaumont. jtame le dit une revue officieuse franI ces contre-attaques sont le début 1» offensive qui peut devenir sérieuse. fWoëvre, les Allemands sont inactifs '~ contentent de faire parier leur |P|. Ils doivent s'apercevoir que ^session de la plaine ne leur vaut •te inconvénients. \h P aviation, les Francais affirment lueiourleur supériorité marquée sur Prsaire. Aux environs de Verdun, ils jtescendu lundi rien moins que quatre les. Comme représailles pour le raezeppelins sur Dunkerque, trente P aeroplanes allies (dont des Belges) reb3 bombes de gros calibre sur les wT^ ennemis de Keyem Eessen «[est (entre Dixmude et Nieuport) Raloretd'Houthulst, qui est, comme M veritable nid d'Allemands. I ronttntannique, nos allies ont «atere le plus oriental de la Ie front de Douaumont-Vaux. Fortifiées par nos contr■e-attaques d'hier nos batteries ont été particulierement actives contre la position ennemie dans ce district. La rèplique de Vennemi jut faible. A l'est du Bois-le-Prêtre une forte reconnaissance ennemie fut dispersie par notre feu d'infanterie. En Alsace nos batteries ont tiré sur des convois de ravitaülement sur la route de Thann a Mulhouse. — Reuter. position de Saint-Eloi (au sud d'Ypres), poussant leur ligne au dela de cratère et capturant 84 prisonniers, dont quatre officiers. Un calme relatif règne sur le front russe a cause des conditions climatériques qui empêchent tout mouvement sérieux des deux cótés, sauf sur les bancs élevés des fleuves. Aussi les operations ont-elles plutot le caractère de reconnaissances en force. C'est ainsi que les Allemands ont dessiné une attaque contre la tête de pont d'Uexhuell —promptement repoussée du rest e. Il en a été de même dans la region de Liakhovitchi, oü un fort detachement aBemand avait traverse la Shara. Pour le reste, on ne signale que des engagements d'artillerie et des operations aériennes. Pétrograde annonce que la crue des rivières a encore augmenté. En Caucasie, malgré les difficultés du climat, les operations russes se pour-suivent. Nos allies ont traverse le bassin |du haut Chorok è. une altitude de plus de 3,000 metres et y ont capture des positions en montagne bien défendues, faisant des prisonniers. Aux environs de Mush, no-tamment au sud et au sud-est, les cosaques continuent a nettoyer le terrain. L'Amirauté anglaise dement l'invention allemande répandue par le sans-fil de Nauen d'après laquelle un croiseur de la classe des comtés, apparemment le Donegal, aurait heurté une mine et coulé a la mi-février de cette année. Les gouvernements aüiés annoncent officiellement que la protection accordée par la convention de La Haye a la poste a fait l'objet d'abus et qu'en consequence ils se voient forces d'appliquer la censure aux communications postales qu'ils con-trölent par leur surprématie maritime même entre pays rentres. Ceux-ci n, peuvent s'en prendre qu'a 1' Allemagne pour 1'imposition de cette mesure, rendue abso-lument nécessaire par le fait que les Allemands utilisaient la poste pour se faire adresser de la contrebande, notam-ment du caoutchouc et de la gutta-percha en feuilles. Il est certain que la censure fera rapidement connaitre les fraudeurs, de sorte que le désagrément inevitable sera minime. La grève de la Clyde est terminée et les mécontents ont repris hier le travail. Espérons que les influences malfaisantes qui se sont exercées dans ce district seront désormais sévèrement contrólées. —Un Zeppelin, retour d'Angleterre, est allé jeter des bombes sur Dunkerque et n'y a occasionné que des dégats matériels. —Quatre-vingt dix bombes lancées par un Zeppelin sur un endroit que nous ne pouvons nommer ont massacre en tout quatre poules ; par contre en Ecosse six personnes ont été tuées par^une bombe.jg |jv, —Après l'évacuation de Duala (Cameroun) les autorités du protectorat reijurent de Berlin l'ordre d'annoncer aux indigenes que par suite de la capture du " gouverneur " de France les Francais n'ont plus de "Kaiser"'; le kaiser allemand disait la proclamation avait capture le general Kitchener avec 10,000 homme !s Quand même ! Nous reparaissons quand même ! L'ceuvre que nous entreprenons au-jourd'hui est grosse de perils. La publication d'un journal en Angleterre, particulièrement en ce moment de la crise du papier, est une difficulté que les gens initiés comprendront. A ceux qui nous ont apprécié et nous ont donné des témoignages précieux de leur tristesse lors de notre disparition de nous soutenir de tous leurs efforts. Nous en avons grand besoin. Mais il ne sera pas dit que nous n'aurons pas tout tenté pour tenir en vie un organe qui s'est impose comme tache, désormais, de combattre sans répit et sans crainte toutes les manigances du germanisme dans notre pays et de placer au-dessus de tout les interets de la Patrie. Nous imaginons volontiers que- de même que l'on s'était flatté dans la.presse d'Outre-Rhin que la destruction de notre immeuble tuerait notre ame, on a du se réjouir la-bas de la fin de notre combi-naison heureuse avec le Standard. Nous ne nous rendons pas! Nous lutterons quand même et toujours, imi-tant en cela l'exemple de ceux des nótres qui sur l'Yser n'ont pas failli! Notre format est petit, image du petit coin de terre qui nous reste et oü nous affirmons a la face de l'univers étonné l'existence quand même et toujours de la Belgique! Mais notre amour puor notre pays est grand. Si l'aïde que nous attendons légitime-ment de tous nous est accordée, nous agrandirons ce format car il n'est pas, pour nous, en ce moment, question de profits et de benefices. Ce que nous vou-lons—et nos lecteurs fidèles le voudront aussi —c'est parier au nom des nótres c'est maintenir entre les nótres exilés sur cette terre fraternelle le lien nécessaire, c'est tacher d'infuser aux défaillants la confiance qui nous anime et d'aider autant que nous l'avons fait jusqu'ici tous ceux qui sè sont adressés a nous. Restée au poste jusqu'au jour du bombardement d'Anvers la Métropole, ou du moins quelques-uns de ses collaborateurs, sont arrivés ici sans ressources ou presque. La combinaison du Standard-Métro-pole nous sauva. Nous pümes tenir seize mois avec nos faibles ressources et en nous imposant des sacrifices. Aujourd'hui, grace a l'appui de quelques généreux amis que nous tenons a remercier ici même, nous faisons une tentative nouvelle. C'est de nos lecteurs seuls qu'il dépend qu'elle réussisse. Ce sont eux*qui, désormais, sont nos commanditaires. Nous remettons entre leurs mains le salut de notre cher journal, espérant qu'ils excuseront les inégalités d'un début as-treint au ménagement de faibles capitaux. A la grace de Dieu, et vive la Belgique ! La Redaction. L'Europe Centrale Alors que 1'union des Allies se fait plus étroite que jamais et que l'entente écono-mique des puissances de l'Europe occidentale et de la Russie sera prochainement scellée a la seconde conférence de Paris, le mouvement commence en Allemagne sous le titre de " Mitteleuropa" et qui a pour objet de faire entrer l'Autriche-Hongrie, la Bulgarie et la Turquie dans le " Zollverein " ne fait aucun progrès, a cause de l'attitude hostile de la Hongrie. La professeur Hoet^sch, qui a pris a la pangermaniste Gazette de la Croix la succession du professeur Schiemann, recommit tres franchement le fait et ajoute que la question de l'Europe centra e est toujours " tres loin d'une solution. Le travail, dit-il, est rendu plus difficile par l'introduction de questions politico-con-stitutionnelles dans les. affaires économi-ques ". La Belgique en France (Correspondance de la Métropole) L'éclipse de la Métropole.—La question des Agrandissements de Territoire. — La quatrième Coiffure de nos Soldats. Le Havre, le 31 mars 1916 Je dois vous dire que la nouvelle de la réapparition prochaine de la Métropole a cause ici une impression de veritable soula-gement. La nouvelle de disparition après tous vos efforts pour continuer a paraïtre avait été considérée presque comme une catastrophe. Je ne vous cacherai pas qu'on. émit a ce sujet, en ma presence, des appreciations plutöt vives contre ceux qui vous abandonnaient ainsi a votre sort. Vous aviez certes mérité mieux et pour vos devoirs d'avapt la guerre et pour votre attitude pendant la guerre. Je ne puis livrer a la publication tous les commentaires^.qui furent faits, ni contre qui les reproe! jss furent dirigés. La question de l'appui financier du gouvernement aux journaux paraissant actuellement en dehors du territoire, par conséquent dans des conditions exception-nelles, fut évidemment un des sujets de discussion. Il est certain que le gouvernement a intérêt a ce qu'un nombre restreint de journaux maintiennent la liaison entre les membres disperses de la familie beige. Si ces journaux n'existaient pas il faudrait qu'il les créat, car c'est par eux seulement que notre gouvernement est en contact avec nos nationaux. Mais il est évident que dans ce cas le gouvernement se trouverait devant une question difficile a résoudre. Quels journaux choisir et favoriser*? Ceux de la capitale seule ? Mais c'est de Bruxel-les qu'il y a eu le moins de departs pour l'étranger. La Métropole, en raison du gros pourcentage d'Anversois et de gens des Flandres résidant en Angleterre, aurait dü être inscrite une des premières. Mais alors surgissait la question de la nuance politique et, bien que pour l'instant vous n'en fassiez pas, il aurait fallu compter avec les pointus qui n'auraient pas manqué de protester. Heureusement, le gouvernement n'a pas eu a faire de choix. Les journaux ont reparu d'eux-mêmes et n'ont pas—a ma connaissance du moins—obtenu l'appui financier du gouvernement. Mais ici on incline è. croire que si un journal, en raison • des circonstances exceptionnelles dans les-quelles nous vivons, méritait un appue quelconque, c'était la Métropole, ne füt-cs que comme riposte a la destruction de voi locaux par les Allemands. Maintenant que vous allez reparaitre, je puis vous assurer que chacun fait des vceuxici pour que vous réussissiez a vaincre lesdifficultés sans aucun doute tres grosses auxquejles vous aurez a faire face. *** Une des raisons pour lesquelles on formule ce vceu tres ■sincèrement tient dans la facon dont vous avez traite certaines questions dedicates. J'ignore lequel d'entre vous a la charge de cette part de la besogne, car vous avez un dédain de la signature qui n'est pas dans la norme de nos habitudes journalisti-ques, mais, je le répète, on a remar-qué ici certains articles écrits avec la circonspection de gens qui, demain, auront une responsabi-lité dans un pays désormais déneutralisé et libre d'exprimer librement sa pensee. Il en est notamment ainsi de votre attitude au sujet des agrandissements de territoire. Je puis vous dire que le gouvernement n'a formule aucune opinion a ce sujet et n'a engage personne a faire des revendications de ce genre. Il a pour cela une raison bien simple : c'est qu'il ne peut, en aucun cas, affaiblir la position de la Belgique a l'égard des neutres et de tous ceux qui nous ont accordé leurs sympathies, notamment les Etats-Unis. La Belgique a souffert plus qu'aucun autre pays. Elle profeste ■ au nom du droit et de la justice. Elle reclame une juste reparation. Cela suffit a lui con-cilier les sympathies universelles. Si elle f ormulait des ambitions, réclamait a titre de représailles des territoires allemands, sa these ne serait plus aussi noble ni aussi pure. Elle serait discutée. Actuellement, aux yeux de tout honnête homme, les droits de la Belgique sont sans conteste. Les écrits publiés è. ce sujet sont l'expres-sion d'opinions distinguées, certes, mais personnelles. Il y a parmi les défenseurs de la these " La Belgique jusqu'au Rhin " des écrivains qui ont apporté a cette question d'intéressantes corftributions. Mais si le gouvernement beige les note, c'est a titre documentaire. Cette question dépend uni-quement des puissances garantes de notre neutralité qui sont actuellement nos allies de par la force des choses. Encore, alors même qu'elles exprimeraient le désir de renforcer la Belgique territorialement, il resterait a la Belgique d'examiner si le cadeau qu'on veut lui faire vaut d'etre accepté. Si beaucoup de Belges expriment tout naturel-lement le désir de représailles de ce genre, puisqu'aussi bien le but de l'Allemagne n'était pas autre chose que de nous annexer et d'ajouter d'autres conquêtes a son territoire, d'autres se demandent s'li convient L'actualite politique Quoi de la Hollande ? M Les mesures militaires prises par la Hollande sont au premier chef intéressantes pour nous, Belges. Les suppositions que l'on fit au début au sujet de cette mobilisation totale des forces militaires de la Hollande pouvaient faire croire que la Hollande ne prit ses mesures en faveur de l'un ou l'autre des belligérants. Dans le cas oü la Hollande pencherait vers l'Allemagne la situation de la Belgique occupée pouvait devenir tres alarmante. Aujourd'hui il semble que tous les bruits lancés en Hollande par M. Kuhlmann, ministre d'Allemagne, concernant une invasion possible dé la Hollande par les Allies, sont du même tonneau que les autres inventions de ce tres actif personnage. La presse anglaise a du reste été autorisée a démentir officiellement ces racontars et la version qui trouve le plus de crédit actuellement et qui serait, évidemment, la plus agréable a nos yeux est celle du Telegraah. Selon ce journal, les mesures militaires prises par la Hollande seraient la consequence d'un mouvement de troupes allemandes au sud et a l'est de ce pays. La concentration des troupes hollandaises sur ses frontières terrestres serait opérée en vue d'une retraite possible des Allemands du nord de la France et de la Belgique.. Ceci est évidemment. un peu premature, mais on ne doit pas pèfdtire de vue que si cette éventualité devait se produire a la suite d'un avantage francais a Verdun, l'étroit couloir Dinant-Liége, avec son nombre restreint de passages sur la Meuse, pourrait causer d'énormes difficultés aux Allemands en retraite. Et comme la lecon d'aoüt 1914 et l'invasion de la Belgique n'ont pas été perdues pour la Hollande, celle-ci prend ses precautions. Mais, répétons-le, jusqu'è présent, on n'est pas fixé sur le mobile hollandais. Le " blocus " de l'Allemagne pourrait être une des raisons des précautipns hollandaises. 'Nous examinerons ce point demain. Les allemands ont peur Ils fortifient la cöte beige On mande d'Amsterdam, 4 avril: On signale de la frontière que les Allemands fortifient la cóte beige dans la crainte d'un débarquement anglais. — Central News. Une enquête officielle hollandaise au sujet du " Duiveland" Amsterdam, 1 avril.— (Dépêche retafdée) Les autorités navales hollandaises ont ouvert une enquête au sujet du steamer " Duiveland " qui a été coulé. Le comité general de la Seconde Chambre se réunira .mardi matin.— Reuter. Le troisième raid de Zeppelins Amsterdam, 4 avril.—Suivant le communiqué de Berlin de ce jour les Zeppelins a auraient attaque dans la nuit du 23 avril, Edinbourg, Leith, le Firth of Forth, Newcastle oü des batiments du port, des hauts-fourneaux et même une batterie auraient été atteints.— Reuter. La Métropole est officiellement inforrhée que ce communiqué est de l'habituelle inexactitude par laquelle les Allemands essaient de tromper les neutres et le public. d'accorder le titre de Belges a des Allemands. Rien qu'a cette pensee on frémit. Nous ne pouvons faire nótre, évidemment,la these de Mr. Bassermann et du parti national liberal allemand qui réclamait Impropriation des habitants des territoiresconquis *et leur expulsion au besoin. Cetteboulimie germanique, nous ne la concevonsmême pas. Seules les puissances pourraientopérer ce nettoyage pour nous. Nouspourrions alors répartir le territoire conquisentre nos veterans qui nous formeraientsur le Rhin des generations de patriotes.Mais nous n'en sommes pas la!* ** Puisque je parle de nos braves et admirables soldats, laissez-moi terminer cette lettre par une petite nouvelle qui les intéresse. . La casquette russe que toute l'armée porte actuellement serait abandonnée. On reviendrait au bonnet de police portefeuille qui, a l'étranger, est considéré comme notre coiffure-type. Elle a, certes, des avantages, mais on lui reproche l'absence de visière. Ce serait done la quatrième fois que l'on changerait la coiffure de nos soldats depuis le début de la campagne. ^ ; .-„=^^==^=====L=====

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